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Intégration facile avec plus de 100 marques partenaires
Niko Home Control est compatible avec plus de 100 marques de renom telles que SMA, Duco, Atlantic et Easee, Alfen, Blitzpower. Cette ouverture garantit une grande flexibilité et une évolutivité maximale, quel que soit le type de logement.
Gestion intelligente de l’énergie
Avec Niko Home Control, votre habitation devient plus économe en énergie sans jamais compromettre votre confort :
• Utilisation optimale de votre énergie solaire grâce à l’autoconsommation intelligente
• Adaptation automatique à des tarifs dynamiques selon les heures les moins chères
• Réduction des pics de consommation (peak shaving)
• Pilotage intelligent des gros consommateurs : pompe à chaleur, borne de recharge, électroménager…
Tout se gère automatiquement, sans que vous ayez à y penser. Résultat : un confort maximal, une facture réduite.
Sécurité et confort – sans compromis
Niko Home Control, c’est aussi la tranquillité d’esprit :
• Bouton “tout éteindre” en quittant la maison
• Simulation de présence en cas d’absence
• Notifications intelligentes sur votre smartphone
• Ambiances préprogrammées comme “Soirée romantique” ou “Cinéma”
Votre maison s’adapte à votre rythme de vie, en toute simplicité.
Plus d’infos sur Niko Home Control


Karl Neyrinck Président
Techlink
Linking Techniques
Notre secteur est confronté à des défis majeurs. Plus que jamais, il est essentiel de nous unir au sein d'un un réseau solide pour partager nos connaissances et développer ensemble des solutions. Le salon Install Day (voir page 6) nous a offert l’occasion rêvée,. Le vendredi 17 octobre, c’est tout notre Écosystème dédié aux installations multifonctionnelles qui s’y était réuni. Outre les installateurs, étaient aussi présents des fabricants, des distributeurs et des entreprises spécialisées dans la maintenance et la gestion de l’énergie.
Le thème dominant de ce salon était la durabilité, plus présente que jamais. Autrefois perçue comme une tendance émergente, elle est aujourd'hui devenue une exigence incontournable. Le secteur de l’installation a pris conscience de l’urgence de la situation et s’engage résolument dans des solutions durables. Les exposants ont été invités à présenter une gamme complète et innovante, composée de technologies contribuant activement à la transition énergétique. En parallèle, les installateurs doivent sans cesse affiner leurs connaissances et leurs compétences afin de pouvoir appliquer ces nouvelles techniques de manière correcte et efficace.
Ces évolutions techniques soulèvent une autre question cruciale : comment attirer et former suffisamment de spécialistes pour les mettre en pratique dans notre secteur? Techlink assume pleinement son rôle en suscitant dès que possible l’enthousiasme des jeunes pour les métiers techniques à travers la campagne en ligne Install Tomorrow. Cette année, nous avons également organisé un événement en présentiel : l’Install Tomorrow Experience Day à Walibi, où nous avons accueilli quelque 2 000 étudiants et leurs enseignants pour leur faire découvrir notre secteur de manière à la fois interactive et inspirante. Nous souhaitons doubler ces chiffres en 2026, en accueillant 2 000 étudiants francophones le jeudi 23 avril et 2 000 étudiants néerlandophones le vendredi 24 avril.
Notre magazine Techlink s’engage à tenir informés ses membres des avancées les plus récentes en matière de technologies durables et des évolutions du secteur. Nous continuerons l’année prochaine à partager des informations pratiques, des tendances et des idées qui vous aideront, en tant que professionnels, non seulement à rester compétitifs sur un marché exigeant, mais aussi à faire la différence.
Excellente lecture à vous
23 & 24 avril 2026
PARTENAIRE et donnez un coup de pouce aux jeunes talents techniques
Augmentez votre visibilité
Renforcez votre image
Présentez vos innovations Occasion de réseauter
INFOS ET PARTENARIATS: installtomorrow.be/fr/experience-day
Ils nous suivent dans l’aventure 2026... Et vous ?


6 ● Install Day
Install Day 2025 a de nouveau été un grand succès. Le contact direct entre tous les acteurs – installateurs, fabricants et grossistes –de notre Écosystème des installations multifonctionnelles a été clairement apprécié. Nous remercions tous les exposants et visiteurs pour cette édition réussie et vous donnons rendez-vous en 2026 pour un nouveau salon.
3 ● Édito : La durabilité : le fil conducteur du secteur de l’installation
6 ● Install Day : Huitième édition
12 ● Actualités : Techlink Data Portal
14 ● Activités des membres : Inter Belgium Security (IBS)

16 ● Techlink-ORES
Techlink collabore avec ORES pour une série de séances d’information destinées aux professionnels de l’installation (électriciens). Les séances sont dédiées aux évolutions majeures du réseau qui impacteront directement le quotidien de nos entreprises membres. Avec environ 50 participants par séance, nous pouvons conclure que cela a été apprécié par nos membres.
16 ● Sessions d'info : Techlink-ORES
20 ● Législation : La facturation électronique via Peppol
22 ● Projet : ECOFLEX
24 ● Construcity.brussels
Éclairage
26 ● Nouvelles normes pour l'éclairage de secours
30 ● Lumina Domestica

26 ● L'éclairage de secours
Depuis fin 2024, de nouvelles versions des normes NBN EN 1838:2024 et NBN EN 50172:2024 sont en vigueur. Pour de nombreux installateurs, cela semble être « un document de plus » à première vue, mais dans la pratique, ces changements ont des conséquences directes sur la façon dont vous installez, configurez et vérifiez l'éclairage de secours.
32 ● Toutes les solutions LED ne sont pas aussi durables
36 ● Durabilité et design : un nouvel éclairage sur la création
40 ● DALI pour les nuls
42 ● Pleins feux sur un membre : Les 10 ans de Bureau 9000
43 ● Reno+
44 ● Productnews
Embuild
Avenue des Arts 20, 1000 Bruxelles embuild.be
Editeur responsable
Dirk De Wolf dirk.dewolf@techlink.be
Techlink asbl Excelsiorlaan 91, 1930 Zaventem T. +32 2 720 40 80 info@techlink.be • www.techlink.be
Directeur général
Kris Van Dingenen kris.vandingenen@techlink.be
Publicité
Inge De Ridder T. +32 53 80 87 47 inge.deridder@techlink.be
Périodicité • Tirage
Trimestriel • 3.000 ex. NL / 2.000 ex. FR
Traduction
André Verkaeren, Metaphrasis bvba
Rédaction & relecture
Sophie Lambert sophie.lambert@techlink.be
Mise en pages nikka.cuypers@embuild.be
Impression Graphius

La huitième édition d’Install Day s’est déroulée le 17 octobre dernier au Brussels Gate. La « grandmesse des installateurs », une initiative de Techlink rendue possible grâce à Embuild, reste un rendezvous incontournable pour celles et ceux qui qui s’intéressent aux techniques d’installation en Belgique. Les résultats parlent d’eux-mêmes : plus de 5 300 visiteurs cette année. Une raison de plus pour organiser l’année prochaine une neuvième édition.
Photo's par ©Aurore Delsoir
Comme à l’habitude, le salon a rassemblé des installateurs, des fabricants et des grossistes, offrant une occasion unique de découvrir les produits, techniques, innovations et logiciels de pointe.
plus
Install Day 2025 a accueilli plus de 5 300 visiteurs, un succès qui continue d’en faire le plus grand salon de notre secteur en Belgique, mettant à l’honneur les solutions durables et économes en énergie.
Toutes les solutions les plus récentes étaient à portée de main, chez les 230 exposants présents sur 15 000 m², représentant l’ensemble des domaines de notre Écosystème : électrotech-
nique, sanitaire, chauffage, ventilation, éclairage, climatisation, batteries et techniques de mesure et de régulation, mais aussi les systèmes de monitoring et de gestion de l’énergie.
Nous avons constaté sur le salon que les métiers d’électricien et de technicien HVAC continuent de se rapprocher en raison de la transition énergétique. Une évolution qui se confirme si l’on examine les solutions proposées actuellement par les grossistes et les fabricants : avec le passage aux énergies renouvelables, le lien entre l’électricité et le HVAC est de plus en plus étroit. Une pompe à chaleur en est le meilleur exemple : tant l’électricien que l’installateur HVAC se trouvent concernés par son installation.
De plus en plus d’installateurs deviennent donc des techniciens multi-

«
Une chose est claire : la durabilité n’est plus une tendance, mais une valeur sûre. C’est formidable de voir comment les fabricants et les grossistes s’adaptent à cette situation. »
ERIC PIERS, CEO DE TECHLINK
techniques, ou des multitechniciens, qui maîtrisent aussi bien les pompes à chaleur que les autres solutions HVAC, solutions qu’il faut également intégrer dans des systèmes de gestion de l’énergie. Parallèlement, les installateurs de chauffage traditionnels et les techniciens du froid empruntent le chemin inverse : eux aussi doivent se familiariser avec l’électricité et les réglages techniques. S’ils ne le font pas, ils risquent de perdre le contact avec le marché.
Les installations électriques intérieures deviennent de plus en plus multitechniques. Elles doivent par exemple intégrer des panneaux solaires, des batteries et des bornes de recharge pour véhicules électriques. Les systèmes de contrôle d’accès, de vidéosurveillance et de protection contre les intrusions se rapprochent également de plus en plus les uns des autres. Cette interdépendance croissante accroît sans cesse la nécessité de coordination et d'interaction entre les installations.
ERIC PIERS : « Nous croyons fermement en un Écosystème où fabricants, distributeurs, installateurs, entreprises

L’équipe Member Affairs (composée de Bruno Van der Stappen, Dirk Baetens et Rudo Bonni) s’est occupée d’accueillir de nouveaux membres potentiels sur le stand Techlink et d’aider nos membres actuels. C’était l’occasion de mettre à jour la brochure Techlink sur les avantages offerts aux membres.
de maintenance et entreprises actives dans les contrats de performance énergétique (CPE) travaillent main dans la main. Ensemble, ces parties prenantes peuvent offrir au client final un conseil complet et contribuer aux installations de demain – des installations multifonctionnelles qui misent au maximum sur les énergies renouvelables ».
d’installation plus solides grâce aux connaissances, aux conseils ciblés et à un réseau qui aide à aller de l’avant.
Grâce à l’adhésion duo avec Embuild, unique en son genre, vous n’êtes jamais seul. Les membres ont accès à des conseils personnalisés, à des outils pratiques, à des formations et à un vaste réseau qui leur ouvre de nombreuses opportunités. Ils ne sont jamais seuls face aux défis qu’ils rencontrent. Que vous soyez indépendant, que vous dirigiez une PME ou une entreprise de construction ou d’installation de plus grande taille, Techlink vous aides à entreprendre avec davantage d’intelligence, de solidité et de confiance.

Dirk De Wolf (rédacteur) et Sofie Lapière (MarCom) ont présenté la brochure Techlink distribué lors d'Install Day.
Avec Techlink, vous n’êtes jamais seul ! Vous faites partie d’un vaste écosystème de projets polyvalents.
Cette année, nous avons fait campagne à travers un dépliant où des membres ont partagé les avantages retirés de leur affiliation — Vincent Vanderkimpen (VincEnergy), Grégory Valard (VALARD ELEC), Michiel Mentens (Energieconcepten) et Michel Verstraelen (IBS).
Innovation et durabilité
La durabilité a encore servi de fil conducteur dans l’offre proposée lors du salon. CAROLE METZMACKER, Responsable marketing et communication chez Techlink, explique : « La demande en énergie propre n’a jamais été aussi forte. C’est pourquoi l’instal-
lateur suit le mouvement. »
INGE DE RIDDER , Commercial Account Manager chez Techlink : « Ce salon destiné aux professionnels a permis aux installateurs de se faire une idée précise, en une seule journée, des dernières évolutions dans le secteur de l’installation. Il offrait aussi une occasion idéale d’échanger avec des collègues et de nouer de nouveaux contacts au sein du secteur. »
L’innovation dans le domaine des systèmes de chauffage, ventilation et climatisation est aujourd'hui motivée par la durabilité. Des technologies révolutionnaires de pompes à chaleur aux systèmes de ventilation intelligents, chaque produit et chaque solution ont été conçus dans une optique


de respect de l’environnement. Observer comment le secteur contribue activement à la transition énergétique est un exercice inspirant. Les acteurs de tous les secteurs s’engagent à réduire l’empreinte écologique et à améliorer l’efficacité énergétique des bâtiments.
DIRK DE WOLF : « Les conversations que j’ai eues en tant que rédacteur et les innovations que j’ai observées lors d'Install Day mettent en évidence un message clair : il est plus urgent que jamais de continuer à investir dans des solutions énergétiques efficaces et durables. Ces solutions ne doivent pas seulement relever les défis techniques actuels, mais aussi contribuer à un avenir viable pour notre planète et ses habitants. »



a

Pour les installateurs, le salon était le moment idéal pour comparer les solutions des différents fabricants et faire les bons choix pour leurs clients. Nous


vous en présentons quelques-uns qui ont retenu notre attention.
Les spécialistes de l’installation pouvaient obtenir des informations détaillées auprès de nos équipes spécialisées.
Sur le stand de Buildwise, on pouvait découvrir principalement leurs dernières démonstrations techniques :


Volta était heureuse d’être de retour au salon et de partager ses connaissances avec les électriciens.
1
Découplage hydraulique pour pompes à chaleur
Lors de rénovations, le raccordement d’une pompe à chaleur peut s’avérer complexe, car celle-ci ne fonctionne pas avec les mêmes régimes de température et de débit que les anciennes chaudières. La démonstration présentait une solution efficace : le découplage hydraulique, qui facilite l’intégration des pompes à chaleur dans les installations existantes tout en préservant leurs performances et leur durabilité. Ce concept, ainsi que d’autres alternatives possibles, ont été présentés et expliqués par les consultants de Buildwise afin de mettre en avant les bonnes pratiques en matière de rénovation énergétique.
2Filtration innovante pour la ventilation
Comment maintenir une bonne efficacité de filtration, même en cas de forte concentration de poussières ?
Peut-on diminuer la fréquence de remplacement des filtres sans affecter leur capacité à retenir les particules ni provoquer une hausse notable de la consommation d’énergie ?
VOLTA
Au salon, Volta présentait « maconsosouslaloupe.be », un site web pratique qui montre comment des produits innovants fonctionnent avec le compteur principal de votre installation électrique. L’un de ces produits innovants s’appelle EMS – l’abréviation de « Energy Management System » ou « système de gestion de l’énergie ». C’est une application ou un appa-
Une machine à grappins a attiré l’attention des visiteurs et servi de métaphore : elle symbolisait la difficulté de “pêcher” des profils techniques.
reil que vous connectez – dans la plupart des cas – à un compteur numérique. Un EMS est un outil intelligent: il vous permet de surveiller, d'évaluer et de réguler votre consommation d'électricité de manière plus efficace. Il vous aide à mieux comprendre vos habitudes de consommation et à prendre des décisions éclairées pour réduire vos coûts ou ceux de vos clients. Pendant la démonstration, les visiteurs ont pu essayer euxmêmes le site web. Les conseillers de Volta étaient présents pour répondre aux questions et expliquer la valeur ajoutée de cet outil au quotidien. Install Day est l’occasion idéale de découvrir des solutions d’avenir qui vous aideront à faire la différence en matière de gestion efficace de l’énergie.
www.installday.be/fr/

Comme l’année dernière, il n’y avait pas de programme distinct pour les écoles. En revanche, cette année, nous avons organisé l’Install Tomorrow Experience Day à Walibi, où nous avons accueilli près de 2 000 étudiants et leurs enseignants pour leur faire découvrir notre secteur attractif de façon à la fois interactive et inspirante. En 2026, nous nous comptons aller encore plus loin et accueillir pas moins de 4 000 étudiants : 2 000 étudiants francophones le jeudi 23 avril et 2 000 étudiants néerlandophones le vendredi 24 avril 2026.
installtomorrow.be/fr/experience-day-fr/
L’équipe Techlink attend déjà avec impatience la prochaine édition !



SOLUTIONS CONNECTÉES ET INTELLIGENTES

SOLUTIONS DATA


SOLUTIONS TRANSITION ÉNERGÉTIQUE

SOLUTIONS INFRASTRUCTURES ÉLECTRIQUES
Imaginez un monde où les installateurs et les grossistes n’auraient plus jamais à chercher des fiches produits ou des spécifications techniques. Dans ce monde idéal, ils n’auraient qu’à s’adresser directement aux fabricants pour obtenir des données toujours à jour, fiables et complètes. Grâce au nouveau portail Techlink Data Portal, ce rêve devient une réalité.
Le secteur électrotechnique est en pleine transformation numérique. Les technologies, telles que les bâtiments intelligents, les énergies renouvelables et les infrastructures de recharge, sont de plus en plus intégrées. Cependant, le secteur heurte toujours un écueil majeur : celui des données. Les informations sur les produits sont souvent fragmentées et uniquement disponibles en format PDF ou sur des sites internet. Elles sont rarement accessibles directement pour des estimations, des devis ou des spécifications techniques, ce qui entraîne des doublons, des inexactitudes et une perte de temps.
Le Techlink Data Portal vise à rompre ce cercle vicieux. Il ne s’agit pas d’une base de données centralisée traditionnelle, mais d'une infrastructure distribuée reposant sur le principe des espaces de données. Les fabri-
cants diffusent leurs données dans leur propre suite, directement depuis leur système PIM ou ERP. À partir de là, les informations circulent automatiquement vers les utilisateurs de la chaîne : bureaux d’études, installateurs, grossistes et entrepreneurs. Le fabricant reste propriétaire de ses données, mais celles-ci sont mises à disposition sur de manière standardisée, sécurisée et exploitable.
LUCAS VAN ARDENNE , PDG de Nedelko : « Notre suite dans le Techlink Data Portal rend accessibles nos données produits selon le principe des espaces de données. Cela nous permet de conserver le contrôle, tout en permettant à tous les partenaires de la chaîne d’accéder à ces données de manière sécurisée et future orientée. Ce procédé réduit la charge de travail tout en favorisant l’émergence d’applications innovantes. »

Les fabricants réalisent ainsi un double gain. D’une part, ce portail étend considérablement leur portée : leurs données sont directement intégrées dans le logiciel utilisé quotidiennement par le secteur. D’autre part, ils se préparent aux exigences
futures. Certaines législations européennes, telles que le règlement sur l’écoconception pour des produits durables (ESPR) et le règlement sur les produits de construction (CPR), les obligeront bientôt à fournir des passeports produits numériques. Grâce à la plateforme Techlink Data Portal, ils peuvent répondre à cette exigence dès aujourd'hui.
Pour les grossistes et les installateurs, cette fonctionnalité se traduit principalement par une plus grande fiabilité et une meilleure efficacité. Ils n’auront plus à chercher ou à encoder deux fois des données sur les produits. Les calculs seront effectués plus rapidement et avec une plus grande précision, les devis deviendront plus transparents et les commandes plus efficaces. La conformité et la durabilité sont également améliorées : les données PEB, EPD et les certificats seront immédiatement accessibles.
Le secteur électrotechnique est en outre soumis à une pression croissante en termes de circularité et de durabilité. Pour répondre à cette exigence, il doit avoir accès à des flux de données fiables et complets, incluant des informations techniques et commerciales, des données circulaires et environnementales. C’est pourquoi ce portail établit un lien direct avec TechBiM, l’initiative de normalisation de Techlink pour le contenu BIM. Ensemble, ces deux systèmes fournissent une infrastructure numérique unifiée qui rend accessibles et utilisables les données de toutes sortes – des informations géométriques aux données de durabilité.

Selon DÉSIRÉE DE MAESSCHALCK , directeur marketing chez Niko, le Techlink Data Portal est une étape cruciale pour assurer la qualité et la conformité des données sur les produits. « Grâce à la standardisation et à la fiabilité des données, nous offrons à nos par-

tenaires un accès simple, sécurisé et permanent à des informations pertinentes, ce qui correspond parfaitement à l’ère numérique actuelle du secteur de la construction. Nous sommes un acteur majeur et nous aidons nos partenaires en leur fournissant des solutions innovantes et tournes vers l’avenir sur le marché belge des interrupteurs et des systèmes domotiques, dont nous sommes le leader.
Il est crucial de noter que l’initiative Techlink Data Portal n’est pas un projet isolé dans notre démarche de publication de données en Belgique, en partenariat avec Athumi. Notre objectif est d’établir des normes, conventions et directives communes pour l’ensemble du secteur de la construction.
Sur le plan européen, cette dynamique s’inscrit dans la stratégie globale sur les données et dans le contexte des espaces de données.
Les chiffres démontrent que le portail a connu un début prometteur. Plus de trente fabricants se sont engagés, et de nouvelles connexions suivront rapidement. L’appel est sans équivoque : rejoignez-nous, que vous soyez fabricant ou utilisateur, et contribuez à l’édification d’un avenir plus efficace, plus intelligent et plus durable.
PLUS D’INFOS ? www.techlinkportal.be/ et data.techlinkportal.be
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Belgique: +32 (0)3 - 326 40 00 | Pays-Bas: +31 (0)76 - 578 20 00
Notre équipe Members Affairs souhaite rapprocher les membres les uns des autres et renforcer ainsi leur implication. Notre Account Manager Rudo Bonni est le premier point de contact pour la Wallonie et Bruxelles. C’est avec lui que Power+ a rendu visite à l’entreprise membre Inter Belgium Security (IBS) – Spécialisée dans l’installation de systèmes de sécurité pour particuliers et professionnels. Rien de tel qu’une conversation avec l’un de nos membres pour mieux comprendre leurs besoins et ce qui les aide à optimiser et améliorer nos services.

Depuis près de 40 ans, IBS s’impose comme un acteur incontournable de la sécurité électronique, en misant sur l’innovation, la qualité et la sécurité. Spécialisée dans la protection contre l’intrusion et l’incendie, l’entreprise se distingue par l’intégration des technologies les plus avancées : détection électronique pour l’intrusion et l’incendie, caméras intelligentes et contrôle d’accès. Expertise, fiabilité et engagement sont au cœur de son ADN.
MICHEL VERSTRAELEN siège également à l’Organe d’Administration de Techlink Namur-Brabant wallon, où il contribue activement à renforcer le réseau des professionnels du secteur. Comme il le souligne : « Nous attachons une grande importance à la création de liens et de collaborations avec tous les acteurs de notre secteur ». Les maîtres-mots : innovation, formation et sensibilisation.
Pouvez-vous expliquer votre parcours ?
J’ai suivi une formation à l’Académie royale militaire, puis j’ai accumulé de l’expérience au sein de la Défense comme officier d’infanterie. Je me suis retrouvé dans un environnement structuré : des jours et des horaires de travail fixes, l’accent mis sur la discipline et le travail d’équipe, ce qui gé-
nère de la stabilité et une employabilité claire.
Ma carrière dans le secteur de la sécurité a débuté en 1991, quand j’ai débuté dans des entreprises internationales telles que Schindler et Siemens. J’y ai acquis de solides références et j’ai notamment été responsable du lancement et de la création d’un Monitoring & Alarm Receiving Center, à savoir OKTOPUS.
En 2012, j’ai eu l’opportunité de rejoindre IBS. J’y ai gravi les échelons jusqu’au poste de General Manager et, en 2020, mon rôle a évolué de celui d’actionnaire minoritaire à celui d’actionnaire principal.
Pouvez-vous décrire la nature précise de votre offre ?
Le cœur de métier d’IBS consiste à proposer des solutions pour tous les besoins des clients en matière de sécurité électronique : effraction, incendie, contrôle d’accès, caméras intelligentes, etc. Nous travaillons dans le domaine de la sécurité et ne sommes pas une entreprise d’électricité ! Nous proposons également un service 24h/24 grâce à un contrat de maintenance et de surveillance à distance.
Une vingtaine de personnes sont actives dans différents segments d’activité d’IBS, tels que les services commerciaux, opérationnels, technologiques et administratifs. Depuis mars 2025, nous exerçons nos activités depuis un nouveau site à Grez-Doiceau car il nous fallait plus d’espace pour nos bureaux et nos stocks.
Votre fils fait désormais partie d’IBS. Cela fait de vous un père comblé ?
Tout à fait ! De mes deux fils, c’est Jeremy (38 ans) qui a explicitement manifesté son intérêt à s’impliquer activement dans le développement futur d’IBS. Jeremy est passé par les différents échelons de l’entreprise pour se familiariser avec l’ensemble des départements et des processus. Ainsi, il
a acquis l’expérience et la crédibilité nécessaires pour assumer à terme un rôle à responsabilités, non pas en tant que « fils à papa », mais comme professionnel à part entière.
Jeremy : « Il y a une différence entre travailler dans une entreprise et travailler pour une entreprise. Tout est question d’implication, d’engagement et de création de valeur. Je cherche des solutions, je pense à l’avenir et je me sens coresponsable du résultat. »
Pourquoi êtes-vous devenu membre de Techlink ?
IBS est membre depuis 2012, mais ce n’est qu’en 2019 que Rudo a pris contact avec IBS pour participer à la création de la future section provinciale Techlink Brabant wallon. Au cours de ce processus, Embuild Namur a annoncé sa fusion avec Embuild Brabant wallon. Techlink national a soutenu cette initiative, ce qui a conduit à la naissance de Techlink Namur–Brabant wallon, dont je suis toujours administrateur.
Par ailleurs, je siège également au Comité de gestion Installation chez Techlink national. Grâce à Techlink, les membres contribuent activement au développement d’un réseau solide de professionnels. En tant qu’administrateur, je crois fermement à la coopération au sein du secteur. C’est pourquoi je m’engage au sein de la fédération à contribuer structurellement à la création d’un environnement commercial solide et tourné vers l’avenir.
Qu’attendez-vous de Techlink ? Quels sont vos besoins ?
Au sein de Techlink, je fais aussi partie du groupe du travail « Sécurité Électronique ». Ce comité sectoriel se concentre sur les entreprises agréées pour les systèmes d’alarme et définit la position de Techlink au sein d’ALIA Security, l’association professionnelle belge de la sécurité électronique. Par le biais d’ALIA Security, ce groupe du travail assure :
● le transfert régulier vers ses membres des connaissances sur les nouvelles technologies, la législation et les normes, etc. par des échanges d’informations et des formations ;
● la sensibilisation et la promotion d’une politique de prévention des vols et des incendies ;
● le lobbying et le plaidoyer en faveur des systèmes de détection d’intrusion, de détection d’incendie, de contrôle d’accès et de vidéosurveillance dans le but de fournir des solutions de sécurité fiables et de qualité.
Ces travaux portent notamment sur :
• l’agrément des entreprises de sécurité,
• la formation du personnel,
• les exigences techniques en matière de systèmes d’alarme,
• la vérification préventive des fausses alarmes,
• le libre choix des utilisateurs dans les solutions de sécurité.
• en collaboration avec ses partenaires, le contrôle de la qualité et l’accompagnement des certifications INCERT.
Le label de qualité INCERT est très important pour nous. On n’insistera jamais assez l’importance et la valeur d’une analyse de risques approfondie.
Les événements de networking conservent également leur importance, mais constituent de plus en plus souvent un défi pour une fédération professionnelle qui doit susciter l’enthousiasme d’un nombre suffisant de membres. Il n’empêche, les collaborations naissent souvent de relations personnelles. Ce qui ne figure pas dans une newsletter est souvent évoqué lors de conversations informelles lors d’un événement.
N’hésitez pas à participer activement à la discussion avec vos confrères installateurs et à contribuer ainsi à déterminer la position de Techlink, en assistant aux réunions des groupes de travail qui vous concernent.
Techlink collabore avec ORES pour une série de séances d’information destinées aux professionnels de l’installation (électriciens). Les séances sont dédiées aux évolutions majeures du réseau qui impacteront directement le quotidien de nos entreprises membres. L’objectif est de présenter les dernières actualités en matière de compteurs communicants, de matériel "plug-andplay", de nouveaux tarifs de distribution et de modernisation du réseau.


Au programme
Compteurs communicants État d’avancement du déploiement en Wallonie et implications concrètes pour les prosumers et les entreprises.
Le décret électricité, modifié par le décret du 25 avril 2024, précise que 100% des compteurs communicants doivent être installés sur le réseau au plus tard le 31 décembre 2029. ORES a mis en place un formulaire sur son site web pour que chaque client puisse savoir quand le compteur arrive chez eux via info.ores.be/placement-compteur.
La Puissance de l'installation est définie par la valeur du disjoncteur principal. Il n'y a pas de limitation de puissance au niveau du compteur.
Le type de compteur permet d'identifier le coupage
Le disjoncteur principal déclenche, le client peut rétablir son courant en relevant le disjoncteur.
La puissance est limitée directement au niveau du compteur en fonction du type de contrat choisi par le client.
Le type de compteur ne dépend plus nécessairement du couplage de la liaison au tableau général. Un QR code apposé sur le compteur permet d'identifier le couplage.
La coupure peut aussi avoir lieu au niveau du compteru gui se met en sécurité → enenfoncer le bouton de commande (vert) quelques secondes piour le redémarrer.





































De la réglementation à la réalisation : Comment se conformer aux exigences BACS et PEB NR en Flandre ?
En collaboration avec des experts d’Agoria et de Schneider Electric, découvrez des solutions pratiques pour appliquer intelligemment les exigences BACS et PEB NR.








Inscription via le code QR









Il y avait beaucoup de monde chez Embuild Verviers.

Il y avait aussi beaucoup de monde (6 représentants d'ORES inclus !) chez Embuild Luxembourg.

Nouveaux tarifs
Présentation des nouveaux tarifs de distribution à partir de 2026, analyse de leur influence sur les profils de consommation et d’injection.
Équipements “Plug & Play”
Nouvelles obligations de déclaration pour les bornes de recharge, panneaux solaires et systèmes de stockage. ORES a présenté ses formulaires de déclaration de PV, batteries ainsi que des bornes de recharge pour véhicule électrique disponible sur ores.be.
Bonnes pratiques en matière de sécurité :
● Vérifier la non-vétusté de leur installation électrique (respect RGIE) ;

● Avoir une prise étanche pour leur installation en extérieur ;
● Brancher maximum 2 panneaux dans une prise ;
● Mettre à jour son contrat d’assurance en cas d’incendie ou dégâts occasionnels ;
● S’assurer de la bonne fixation des PV.
Modernisation des réseaux
Perspectives de renforcement du réseau et réflexion sur la disponibilité de puissance.
Les séances d'information ont également suscité de l’intérêt sur les réseaux sociaux.
PLUS D'INFO ?
En cas de question, nous vous invitons à envoyer un email au co-organisateur de ces sessions d’info, Rudo Bonni, à l’adresse suivante : rudo.bonni@techlink.be

La transition vers la mobilité électrique bat son plein et Hager espère vous surprendre avec sa nouvelle gamme de bornes de recharge. Que ce soit pour des projets résidentiels ou d’autres projets de bornes de recharge, Hager se fera un plaisir de vous accompagner dans vos projets.

• Un grand espace de câblage

• Peut être alimenté par le haut, le bas et l’arrière
• Plaque de montage légère et boîtier simple à clipser
• Configuration facile via l’application ‘‘Hager Charge’’
• Version avec câble fixe ou prise
• Possibilité d’extension de garantie
• Concours jusqu’à fin 2025

A partir du 1er janvier 2026, la facturation entre entreprises (B2B) devra se faire exclusivement par voie électronique, y compris pour toutes les transactions entre entrepreneurs généraux et sous-traitants, fournisseurs et fabricants. Les entreprises d'installation ont donc tout intérêt à se préparer dès maintenant à cette transition.
Actuellement, la facturation électronique est déjà obligatoire pour les factures destinées aux pouvoirs publics, mais à partir de 2026, elle sera étendue à toutes les transactions interentreprises. Et contrairement à la facturation électronique pour les marchés publics, qui a été introduite progressivement, il s'agit d'une transition radicale. A partir du 1er janvier 2026, la facturation papier ou par PDF interentreprises ne sera plus autorisée.
Une facturation entièrement automatisée
Attention : la facturation électronique va bien au-delà de la simple création de factures au format PDF ou de l’envoi de factures par e-mail.
Avec la facturation électronique, ou e-invoicing, la facturation entre deux parties s’effectue via un logiciel, leur envoi. Le logiciel de facturation utilise un codage numérique qui permet aux différents programmes de facturation de communiquer entre eux. Les entreprises assujetties peuvent ainsi automatiser entièrement le traitement des factures entrantes et sortantes, avec l’avantage supplémentaire que le logiciel comptable peut être connecté à d’autres plateformes de gestion de l’entreprise (gestion des stocks, planification, paiements, etc.).
Qu'est-ce que la facturation
Une facture est un document par lequel une personne, physique ou morale, demande le paiement d’une dette
résultant de la livraison de biens ou de services à une autre personne. Si le paiement a déjà été effectué, la facture indique que la dette a été réglée. La facture est également un document comptable et fiscal obligatoire, soumis à la TVA. Elle ne peut donc pas être établie de manière arbitraire et doit respecter des obligations spécifiques : mention de la date, d’un numéro séquentiel, et, le cas échéant, le numéro de TVA du fournisseur et du client, etc.
Pour qu’une facture soit archivée correctement, elle parcourt plusieurs
étapes, dont le nombre peut varier selon les cas :
● Création
● Envoi
● Transmission
● Réception
● Validation
● Comptabilisation
● Paiement
● Archivage
La facturation électronique consiste à automatiser l’ensemble de ce processus, depuis l’émission par le fournisseur jusqu’au paiement et à l’archivage par le client.
LA FACTURE DOIT OBLIGATOIREMENT MENTIONNER LES ÉLÉMENTS SUIVANTS:
● le mot ‘facture’ doit être explicitement mentionné
● la date de la facture, mais aussi : la date de livraison (pour les biens) ou la date de réalisation des prestations (pour les services tels que l'exécution de travaux de construction)
● un numéro de facture unique et séquentiel
● votre nom, ou la raison sociale de votre société, et votre adresse
● le nom (raison sociale) et l’adresse du destinataire
● votre numéro de compte bancaire
● le numéro de TVA ou le numéro d'entreprise du fournisseur et du destinataire
● la description et la quantité des biens et/ou services fournis
● le prix (unitaire), les éventuelles remises accordées et la quantité
● les montants : montant hors TVA, taux de TVA et montant de la TVA pour chaque taux applicable, ainsi que le montant total à payer*
● le lieu d'émission de la facture
● les conditions de paiement
* Pour l’exécution de travaux immobiliers par des assujettis à la TVA, la TVA doit être versée par les co-contractants, et la TVA n’est pas mentionnée sur la facture. Depuis 2023, au lieu de la mention « TVA inversée », la facture doit comporter la mention suivante : "Taux de TVA : A défaut de contestation écrite dans un délai d'un mois à compter de la réception de la facture, le client est censé reconnaître que (1) les travaux sont effectués sur un logement dont la première occupation a eu lieu au cours d'une année civile qui précède d'au moins dix ans la date de la première facture relative à ces travaux, (2) le logement, après l'exécution de ces travaux, est utilisé exclusivement ou principalement comme logement privé et (3) les travaux sont fournis et facturés à un utilisateur final. Si au moins une de ces conditions n'est pas remplie, le taux normal de TVA de 21 pourcent s'appliquera et le client sera redevable de la taxe, des intérêts et des amendes dus au titre de ces conditions".




En d’autres termes, une fois le produit ou le service livré, la facture est générée et envoyée sans intervention humaine. Elle est reçue et traitée de la même manière, grâce à des outils et processus informatiques sécurisés.
Cette méthode est plus fiable, plus rapide et souvent plus efficace, car elle réduit les erreurs. La facturation électronique permet également de réaliser d’importantes économies. Selon une étude de l’Université de Hasselt, réalisée pour le compte de l'Agence pour la Simplification Administrative (ASA), l’économie s’élèverait à 9 € par facture, sur un coût moyen estimé de 12,08 €.
La Belgique introduit la facturation électronique obligatoire parce que les recettes de TVA effectivement perçues sont bien inférieures à ce que l’Etat devrait percevoir. Ce phénomène est connu sous le nom d'écart de TVA.
En 2023, le Fonds monétaire international (FMI) a publié une étude montrant que cet écart de TVA représente 2 % du produit national brut (PNB), soit bien plus que dans les pays voisins. En automatisant la facturation entre entreprises, le ministre des Finances, Vincent Van Peteghem (CD&V), espère ramener l’écart de TVA au niveau de celui de nos pays voisins. Cela constituerait évidemment aussi une source supplémentaire de recettes publiques.


Mais la facturation électronique présente aussi de nombreux avantages pour les entreprises. Elle permet en effet de réaliser d’importantes économies grâce à la réduction de l’usage du papier et des opérations manuelles. Cela réduit aussi considérablement le risque d’erreurs. Par ailleurs, la fraude à la facturation devient beaucoup plus difficile. En effet, le logiciel vérifie à la fois les numéros IBAN, de TVA et d’entreprise, ce qui empêche l’émission de fausses factures et les doubles paiements.
Un autre atout est que les paiements effectués via e-facturation sont généralement plus rapides. Enfin, l’archivage et la recherche des factures s’avèrent bien plus simples qu’avec la facturation papier. La gestion automatisée du milliard de factures échangées chaque année en Belgique représenterait un gain d’efficacité annuel estimé à environ 3,5 milliards d’euros !
A partir de 2026, tout entrepreneur devra disposer d’un logiciel de comptabilité capable d’émettre des factures électroniques. La Belgique a choisi d’intégrer le réseau européen PEPPOL (Pan-European Public Procurement Online), une norme internationale pour l’envoi, la réception et le traitement des factures électroniques. Grâce à ce réseau, les pouvoirs publics, les entreprises et autres organisations peuvent échanger des messages élec-
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Pour les entreprises membres qui ne pratiquent pas encore la facturation électronique, Embuild a conclu un partenariat avec l'Unifiedpost Group. Cela permet aux membres d'Embuild d'accéder facilement à Billtobox, un outil flexible et convivial pour la facturation électronique Billtobox est un logiciel sécurisé qui permet de créer, envoyer et recevoir des factures, de les payer, de les archiver et de les partager automatiquement avec un comptable, à partir d’un ordinateur portable, d’un smartphone ou d’une tablette. Cet outil est idéal pour les entrepreneurs qui utilisent encore des solutions très basiques, comme un carnet de factures papier, un traitement de texte (par ex. Word) ou un tableur (par ex. Excel). Billtobox simplifie leur administration et leur donne surtout accès aux technologies les plus récentes.Pour les entrepreneurs qui disposent déjà d’un logiciel de facturation de type ERP, Billtobox peut être intégré dans leur ERP ou y être couplé comme canal d’envoi et de réception de leurs factures électroniques.
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troniques de manière simple, rapide et sécurisée. Les entreprises peuvent se connecter à ce réseau via un point d’accès PEPPOL, après un enregistrement unique.
Sur le site gouvernemental efacture. belgium.be, vous trouverez une liste de prestataires IT agréés proposant des logiciels de facturation électronique. Vous y trouverez également des informations sur la plateforme gratuite Hermes, mise à disposition par les autorités, qui permet aux entreprises d’envoyer gratuitement des factures électroniques structurées à tous leurs clients belges. Les membres d’Embuild peuvent également utiliser l’outil d’e-facturation Billtobox (voir ci-dessous).
PLUS D’INFOS? efacture.belgium.be
Le 11 septembre dernier, le BeClimate Hub a accueilli l’événement de clôture du projet ECOFLEX. Ce projet a permis de partager les résultats de trois années de recherche, d’essais et de collaboration autour du rôle des actifs énergétiques décentralisés dans un système énergétique plus intelligent et plus résilient. Ce projet, soutenu par le SPF Économie, s’est penché sur une question centrale dans la transition énergétique : comment les actifs décentralisés peuvent-ils contribuer à un réseau plus durable, plus intelligent et plus résilient ?
Nous avons eu l’occasion de rencontrer TIM GOOSSENS (Volta), qui nous a fait part de ses principales conclusions :
« La flexibilité résidentielle, le partage efficient de l’énergie et la recharge des VE en cas de déséquilibre ont été les points forts de ce projet. Les résultats n’étaient pas surprenants, mais ils ont été confirmés par plusieurs projets pragmatiques et concrets, menés en collaboration avec les gestionnaires de réseau, qui ont traversé les frontières linguistiques. »
Ce projet a non seulement fourni à Techlink des informations précieuses et exploitables, mais a également permis d’orienter les installateurs et les conseillers de manière plus ciblée.
Résumé
Voici quelques-uns des enseignements clés tirés des présentations et des discussions :
● Bien que les points de vue soient

très divergents, le partage d’énergie semble avoir un impact très positif sur le réseau, à condition qu’il soit utilisé de manière proportionnée.
● Les technologies évoluent rapidement. La standardisation et l’interopérabilité des données sont indispensables pour faciliter l’utilisation de différents systèmes de gestion intelligente des actifs. Certaines applications intéressantes sont déjà sur le marché et la gestion flexible des actifs s’avère en tout cas être une étape clé pour l’avenir.

Une conversation animée sur la technologie, la réglementation, l’économie et le comportement des consommateurs, qui doivent se combiner pour que la flexibilité devienne vraiment ajustable.
● La complexité juridique et réglementaire permis d’orienter les installateurs et les conseillers de manière plus ciblée. mais il reste encore beaucoup de place pour l’adaptation et l’innovation.
● Les modèles économiques doivent encore être consolidés pour garantir la rentabilité de tous les acteurs et pour mieux combiner les services énergétiques individuels, comme les tarifs dynamiques, les compensations de déséquilibre et le tarif de capacité.
● Malgré le comportement imprévisible des utilisateurs (des conducteurs de véhicules électriques, par exemple), il existe de plus en plus de solutions créatives pour accroître leur implication et leur réactivité aux signaux du marché.
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La construction connaît une profonde mutation. À Bruxelles, la transition énergétique, les normes de durabilité et l’évolution rapide des technologies transforment autant les attentes des clients que les compétences requises. Les installateurs HVAC, électriciens ou plombiers sont confrontés à des systèmes plus performants, des réglementations plus strictes et un marché qui peine à recruter. Conscients de ces enjeux, les partenaires sociaux du secteur de la construction bruxellois ont décidé d’unir leurs forces par le biais de leur fonds sectoriel Constructiv avec les partenaires publics et de créer Construcity.brussels (ci-après « Construcity »), un Pôle Formation Emploi (PFE). Ce pôle a été créé en 2021 en accord avec le gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale.
Ce partenariat permet à Construcity.brussels de centraliser les activités sur le plan de l’information, de la formation et de l’emploi dans le secteur de la construction bruxellois.
Une mission globale portée par un réseau
Construcity réunit les acteurs sectoriels (Constructiv, Embuild, …) et des partenaires publics comme Actiris, Bruxelles Formation, VDAB, SFPme EFP et Bruxelles Environnement. Ensemble, ils coordonnent quatre axes : accompagner vers l’emploi, proposer des formations, observer l’évolution du secteur et promouvoir les métiers.
Grâce à l’expertise de partenaires publics et privés sur le terrain, toute personne intéressée par la construction est accompagnée de manière plus efficace vers une formation ou un emploi.
Les missions de Construcity se déclinent autour de quatre axes complémentaires :
● Accompagner vers l’emploi : identifier les compétences recherchées par les entreprises et orienter les candidats vers les postes disponibles.
● Former et enseigner : proposer ou coordonner des formations qualifiantes, du niveau débutant au perfectionnement, et soutenir les écoles et centres de formation.
● Observer et anticiper : analyser l’évolution des métiers et des technologies pour adapter l’offre de formation et conseiller les entreprises.
● Promouvoir et sensibiliser : valoriser les métiers de la construction auprès des jeunes, des demandeurs d’emploi et du grand public, notamment en montrant l’impact de l’éco construction et de la transition énergétique.
Orienter et former les nouvelles générations
Construcity joue d’abord un rôle d’orientation. Chaque mardi matin, des séances collectives présentent les métiers et leurs exigences, puis un entretien individuel permet de bâtir un projet professionnel.
Pour acquérir les compétences recherchées, le PFE propose un large catalogue de formations gratuites pour les chercheurs d’emploi, avec des formules allant des ateliers pratiques aux parcours en alternance. Les conseillers insistent sur la nécessité de se former en continu face à l’évolution rapide des techniques et des matériaux. Les candidats s’appuient sur l’annuaire des métiers d’Actiris et sur la plateforme Renolution Ready pour identifier les parcours liés à la rénovation durable. Après la formation, Construcity accompagne la recherche d’emploi en aidant à rédiger CV et lettres et en diffusant les candidatures aux entreprises.
Construcity développe des modules de formation et propose un accompagnement personnalisé pour mettre à jour ses compétences ou se reconvertir. Les modules couvrent les pompes à chaleur, la ventilation double flux, la sécurité ou l’économie circulaire, via des partenaires comme Constructiv et Build Circular.
Le PFE collabore étroitement avec les conseillers de Constructiv qui aident les entreprises à recruter et à renforcer les compétences de leurs équipes. Les conseillers identifient les profils adéquats et planifient des formations sur mesure tout en expliquant les aides (sectorielles) existantes. Construcity accompagne gratuitement les entrepreneurs dans ces démarches.
L’offre d’accompagnement spécifique aux métiers techniques pour les ouvriers de la CP124 s’articule autour de plusieurs besoins :
● Requalification et perfectionnement : modules sur les pompes à chaleur, la domotique, le photovoltaïque et d’autres technologies permettant de se reconvertir ou de se spécialiser.

● Sécurité et économie circulaire : formation obligatoire en santé et sécurité et conseils pour intégrer des pratiques durables
Renolution et transition énergétique
L’Alliance Renolution ambitionne de réduire par trois la consommation d’énergie des bâtiments bruxellois d’ici 2050. Pour atteindre ce cap, toutes les compétences doivent être mobilisées : couvreurs, électriciens, chauffagistes, installateurs sanitaires et spécialistes de la ventilation. Construcity pilote l’atelier « Emploi/ Formation » de l’alliance et incite écoles et centres de formation à intégrer l’éco construction. Le label Renolution Ready distingue les établissements engagés dans cette démarche et la plateforme associée recense les parcours conformes aux exigences énergétiques.
La stratégie Renolution repose sur plusieurs piliers :
● Objectifs climatiques ambitieux : réduire drastiquement la consommation énergétique des bâtiments en améliorant l’isolation et en installant des systèmes performants.
● Synergies sectorielles : réunir entreprises, écoles, associations et pouvoirs publics pour construire des solutions communes.
● Label Renolution Ready : encourager les écoles et centres de formation à enseigner l’éco construction et à obtenir une reconnaissance officielle.
● Plateforme d’orientation : aider les
candidats et les professionnels à trouver des formations et des projets répondant aux exigences climatiques de Bruxelles.
L’essor des pompes à chaleur, de la ventilation performante et du solaire thermique change la pratique des installateurs. Construcity propose des parcours de requalification pour maîtriser ces technologies et répond à la demande croissante en rénovation durable. L’alternance organisée par l’EFP permet d’appliquer rapidement ces compétences.
Pour les entreprises, Construcity facilite le recrutement et l’organisation de formations. Les conseillers identifient les candidats, expliquent les aides à l’embauche et organisent des sessions collectives avec Constructiv ou Build Circular. Les métiers techniques évoluent donc vers une dimension plus numérique et durable :
● Installateurs HVAC et frigoristes : forte demande pour les pompes à chaleur, les systèmes de ventilation à récupération et les régulations intelligentes.
● Plombiers et sanitaristes : développement des chauffe eau thermodynamiques, récupération et traitement des eaux grises, raccordement de cuisines industrielles économes.
● Électriciens : installation de panneaux photovoltaïques, de réseaux de communication et de bornes
de recharge pour véhicules électriques.
● Techniciens de maintenance : diagnostics de systèmes complexes et optimisation de l’efficacité énergétique.
Construcity.brussels se positionne comme un hub indispensable pour dynamiser les métiers techniques et accompagner la transition durable. En réunissant les forces des acteurs publics et privés, il offre orientation, formation, accompagnement des travailleurs et des entreprises, promotion des métiers et pilotage des initiatives liées à la rénovation. Son engagement au sein de l’Alliance Renolution souligne une volonté de construire une ville plus efficace énergétiquement et la collaboration avec Techlink permet de développer des outils et actions adaptés aux besoins particuliers des professionnels des techniques d’installation.
Grâce à la vision des partenaires sociaux d’investir pleinement dans la collaboration au sein du PFE, et grâce à ses services gratuits et personnalisés, Construcity permet aux jeunes, aux demandeurs d’emploi, aux installateurs et aux entreprises de saisir les opportunités offertes par la transition énergétique. Les professionnels des techniques d’installation ont donc tout intérêt à s’appuyer sur ce pôle pour maintenir leurs compétences, recruter les talents nécessaires et participer à l’édification d’une région bruxelloise plus durable.
Depuis fin 2024, de nouvelles versions des normes NBN EN 1838:2024 et NBN EN 50172:2024 sont en vigueur. Pour de nombreux installateurs, cela semble être « un document de plus » à première vue, mais dans la pratique, ces changements ont des conséquences directes sur la façon dont vous installez, configurez et vérifiez l'éclairage de secours.
«L'éclairage de zone spécifique » est une nouveauté de la norme NBN EN 1838 depuis 2024. Il s'agit d'un éclairage de secours pour les personnes qui n'évacuent pas lors d'une coupure de courant, mais qui restent dans le bâtiment. Dans certains cas, il n'est pas pratique et peutêtre même dangereux d'évacuer.
Un exemple est une maison de retraite, où l'on ne veut pas faire sor-
Figure 1: Au moins 1 lux sur le sol de la voie d'évacuation (pleine largeur, sauf les zones de bord).

tir les résidents pour une période de temps inconnue. Un autre exemple pourrait être un magasin, où le personnel évacuera immédiatement les clients, mais restera présent après l'évacuation, afin de pouvoir rouvrir lorsque le courant reviendra.
Les niveaux d'éclairage requis doivent être déterminés par une analyse de risque, mais doivent être au moins les mêmes que ceux de l'éclairage des issues de secours : 1 lux. L'autonomie mi-
Tableau 1 : Vue d'ensemble de l'éclairage de secours
ÉCLAIRAGE DE SECOURS
nimale de l'éclairage local ne peut être inférieure à l'autonomie de l'éclairage des voies d'évacuation associées.
Dans cet article, nous rassemblons les points d'attention pratiques les plus importants – afin que vous sachiez immédiatement à quoi faire attention lors de l'installation et de l'inspection.
Eclairage de l'issue de secours : plus de 1 lux
Sur les voies d'évacuation vers l'is-
Éclairage d'évacuation d'urgence NOUVEAU
Éclairage des issues de secours Éclairage antipanique
Éclairage des lieux de travail risque accru
Éclairage de zone spécifique
Éclairage de remplacement

sue de secours, 1 lux est nécessaire. Auparavant, cela ne s'appliquait qu'à l'axe central de la voie d'évacuation et a maintenant été étendu à toute la largeur, à l'exception d'une zone de bordure de 0,5 m (ou 1/4 de la voie d'évacuation dans le cas d'une voie d'évacuation plus étroite que 2 m).
Dans une zone inférieure à 8 m², si un luminaire fournit le niveau de lumière requis, un luminaire de signalisation éclairé de l'intérieur peut être utilisé comme deuxième appareil. Dans une zone aussi petite, il n'est donc pas correct d'utiliser uniquement un dispositif d'évacuation et un pictogramme éclairé de l'extérieur.
La norme EN 1838 exige ce qui suit pour l'éclairage antipanique: Pour déterminer si un éclairage antipanique est nécessaire dans d'autres lieux, une analyse des risques est recommandée ;
● Espaces > 60m²;
● Espaces complexes : avec de nom-
breux participants ou risque de trébucher;
● Toilettes et vestiaires : voir paragraphe suivant
Exigences:
● En cas d'urgence, au moins 0,5 lux. Une zone de bordure de 0,5 m peut être exclue.
● Autonomie minimale: 1h
● L'éclairage antipanique doit être suffisamment uniforme : le rapport entre l'éclairage maximal et l'éclairage minimal doit être conforme à E max /Emin ≤ 40/1
EN 1838:2024 accorde une attention particulière aux zones sanitaires, y compris les toilettes et les toilettes pour personnes handicapées. La figure 3 montre comment les différentes zones doivent être équipées selon la norme :
● Sanitaires (bleu) : les pièces de plus de 8 m² doivent être équipés d'un éclairage antipanique. Au moins 0,5 lux sur le sol, sauf dans la zone de bordure de 0,5 m.
● Toilettes ou salles de douche pour fauteuils roulants (gris) : au moins 1 lux est nécessaire au sol. Pour les boutons de signalisation d'urgence et d'alarme, l'exigence supplémentaire de 5 lux verticaux s'applique, de sorte qu'ils restent clairement visibles et accessibles à tout moment.







ÉCLAIRAGE ANTIPANIQUE :
ÉGALEMENT DANS LES TOILETTES ET LES VESTIAIRES
La nouvelle version de la norme NBN
● Hall des toilettes (jaune) : il fait partie de l'issue de secours et doit donc répondre aux exigences de l'éclairage de l'issue de secours : au moins 1 lux au sol, fourni par au moins deux luminaires.
● Couloir (orange) : il fait également partie de la voie d'évacuation et donc les mêmes exigences d’appliquent : 1 lux, avec au moins deux luminaires
Important : les dessins indiquent clairement que chaque type d'espace a ses propres niveaux d'éclairage.

Tableau 2: Obligations en matière de contrôle de l'éclairage d'urgence
Initial
Tour
Test d'autonomie
Mesures de la luminosité
Quotidien
Vérifier les voyants de batterie centrale
Cela permet aux utilisateurs d'utiliser, en cas de situation d’urgence, la voie d’évacuation en toute sécurité et les points critiques (comme les boutons d'alarme) sont toujours bien éclairés.
d'ensemble des obligations en matière d'essais et de vérification
La personne responsable (voir tableau 2) veille à ce que les vérifications suivantes soient effectuées régulièrement, comme décrit dans la norme NBN EN 50172. Qui est responsable du bon fonctionnement du système d'éclairage de secours ?
● Selon le Codex Bien-être au travail, l'employeur est responsable de fournir un éclairage et une signalisation de sécurité.
● Selon l'arrêté royal Normes de base en matière d'incendie, le client, le propriétaire ou l'exploitant d'un bâtiment est responsable.
En pratique, il est logique que la partie responsable du bon fonctionnement de l'éclairage d'un bâtiment soit également responsable de l'éclairage de secours.
Mesurer en pratique
Que devons-nous prendre en compte lorsque nous commençons à prendre les mesures dans la pratique ?
LE CONTRÔLE DANS L'OBSCURITÉ
● Les mesures sont prises de préférence le soir ou le matin, sans la lumière du jour.
● Évitez la lumière parasite (fermez les rideaux, protégez les sources lumineuses perturbantes).
● Si la lumière parasite ne peut être évitée : mesurez séparément avec l'éclairage de secours éteint et soustrayez le résultat de la valeur mesurée.
● S'il est inférieur à 5 % du niveau requis (0,05 lux), il peut être ignoré.
Mensuel
Test fonctionnel
APPAREILS DE MESURE
Annuel
Tour
Test d'autonomie
● Luxmètre : Classe 2 (CIE TR 231:2019) ou Classe B (DIN 50327:2017), résolution 0,01 lux, étalonné annuellement.
● Cellule de mesure amovible obligatoire → évite l'ombre de l'opérateur.
● Luminancemètre uniquement en cas de litige, résolution 0.1 cd/m².
COMMENT MESURER ?
● Éteignez l'éclairage normal.
● Mesure indicative : vérification rapide avec luxmètre.
● Mesure de contrôle : placez le luxmètre sur le sol ou la surface, l'opérateur prend de la distance.
● Mesurez au moins 10 % des luminaires , avec un minimum de 2 par compartiment et 2 par étage.
● Les résultats des mesures de contrôle doivent être inclus dans le rapport, les mesures indicatives ne doivent pas l'être.
MESURES VERTICALES (5 LUX)
● Luxmètre verticalement contre l'objet : bobine d'incendie, détecteur manuel, plan d'évacuation ou pictogramme.
● La valeur s'applique dès que 5 lux sont atteints quelque part sur la surface.
APERÇU : QUOI DE VRAIMENT NEUF
DANS LES NORMES ?
● Ajout de l'éclairage local : pour les zones où les personnes n'évacuent pas en cas de panne de courant, par exemple les centres de soins résidentiels.
● 1 lux sur toute la largeur de la voie d'évacuation, et non plus seulement sur l'axe central.
● Pictogrammes éclairés de l'extérieur : minimum obligatoire 5 lux vertical.
● Nouvelles exigences pour des
Tous les 5 ans
Tour
Test d'autonomie
Mesures de la luminosité
pièces spécifiques : salles de production, toilettes, salles de douche, piscines.
● Mesures de lux obligatoires tous les 5 ans dans le cadre de la gestion.
● L'ajout de la norme NBN EN 50172 a rendu les exigences de maintenance et de gestion plus strictes.
QUAND LES NOUVELLES NORMES SERONT-ELLES D’APPLICATION ?
● NBN EN 1838:2024 : en vigueur depuis le 17 octobre 2024, l’ancienne version a été retirée.
● NBN EN 50172:2024 : période de transition de 3 ans, l'ancienne version expire le 27 mai 2027. Il est recommandé d'appliquer la nouvelle version maintenant.
La révision des normes d'éclairage de secours rend la pratique plus claire et plus stricte. Pour les installateurs, cela signifie une plus grande attention à des pièces spécifiques, des mesures de lux correctes et un calendrier d'entretien strict. Ceux qui respectent les nouvelles règles évitent toute discussion lors des inspections et veillent à ce que les gens trouvent leur chemin en toute sécurité en cas d'urgence.
AUTEUR: Wouter Wissink, Conseiller en technologie chez VOLTA

REMERCIEMENTS
Nous remercions Adriaan Van Nuffel (ETAP Lighting International) pour ses précieuses explications et contributions à la préparation de cet aperçu. Merci également à l'asbl Fireforum pour la documentation mise à disposition dans le Code de bonne pratique Éclairage de secours 2025. Enfin, un sincère remerciement à IBE-BIV pour leur soutien.

Cette solution basée sur Zigbee 3.0 est conçue pour les installateurs et les professionnels de l‘éclairage. Elle permet de gérer jusqu‘à 40 luminaires par zone, sans nécessiter de passerelle, de connexion au cloud ni de support informatique. Il suffit de se connecter via Bluetooth, de définir ses préférences et le tour est joué. Scannez le code QR et regardez la vidéo.

Tout semble facile lorsqu’il s’agit d'aujourd'hui d’éclairer nos bâtiments, l’espace public ou même le ciel. Mais qu’en était-il aux siècles et millénaires passés ? Le Musée des Lampes, à Bruges, retrace la fabuleuse histoire de l’éclairage intérieur depuis la domestication du feu jusqu’à nos jours. Un lieu encore méconnu et pourtant, il abrite la plus grande collection de lampes au monde avec plus de 6.000 pièces.
Texte et photos © Julien Semninckx
Comment s’éclairaient nos ancêtres ? Depuis la maîtrise du feu par l’Homme préhistorique jusqu’aux
LED actuels, le Musée des Lampes (Lumina Domestica) à Bruges fait le tour de la question. Ce lieu d’exposition compte plus de 6 500 objets anciens, rassemblés depuis l’enfance par un passionné. Rencontre exclusive avec EDDY VAN BELLE (75 ans), qui a dirigé la multinationale alimentaire Puratos, leader mondial en ingrédients de boulangerie, pâtisserie et chocolaterie, employant 11 000 personnes dans 120 pays. Un groupe dont le Conseil d'Administration est aujourd’hui présidé par son fils, Cédric.
Marchés aux puces
« C’est mon père qui m’a transmis le virus de la collection et du respect de l’objet ancien », se rappelle Eddy Van Belle. « Dès que j’ai su marcher, je l’accompagnais sur des marchés aux puces. Il me donnait un peu d’argent de poche et j’achetais une cruche, un sabre, un vieux revolver… Un jour, j’ai acquis une très petite lampe qui servait à allumer les cierges dans les églises et les châteaux. Ce fut le déclic et je n’ai plus acheté que des lampes. J’avais alors une douzaine d’années. »
d’un
En pénétrant dans le musée, une vi-
trine met en valeur une carnassière en cuir brun sur laquelle sont gravées les initiales d’Eddy Van Belle. « Ma toute première sacoche m’aidait à transporter les objets. Peu à peu, j’ai fait l’acquisition de lampes plus chères et plus rares. J’ai commencé à me documenter et à acheter des ouvrages spécialisés. J’en possède désormais plus d’un millier. J’ai visité de nombreux magasins d’antiquités, même lors de mes déplacements professionnels et de mes vacances. Aujourd’hui, je n’achète presque plus aucune pièce car je possède quasiment tout ce qui a pu exister en lampes d’intérieur au fil des siècles. »
La visite du musée se veut chronologique, en commençant par la domestication du feu par percussion (silex) ou friction (bois), les lampes en pierre trouvées dans des grottes, puis des pièces égyptiennes, grecques et romaines avant un grand saut au Moyen Âge, puis vers 1550 avec la lampe Cardan (dotée d’un cylindre contenant de l’huile dans lequel on créait un vide
Eddy Van Belle, fondateur du Musée des Lampes à Bruges : « Ma première sacoche, offerte par mon père, pour transporter les objets achetés aux Puces. »



← Un mystère de plus autour du génie visionnaire de Léonard de Vinci.
↙ La plus grande collection de lampes d’intérieur au monde. Plus de 6 500 pièces rassemblées dans le musée Lumina Domestica de Bruges.
d’air en retournant ce réservoir avant d’allumer la mèche du bec). Les améliorations s’accélèrent avec la mèche creuse inventée par Argand vers 1780, la lampe Carcel (qui pouvait brûler une journée entière), de Gagneau, Rimberg, Gotten, ou encore les modèles dits « modérateurs ». Les lampes deviennent alors aussi des objets de décoration.
Pétrole, essence, gaz, électricité, halogène, LED… À l’origine, le combustible utilisé était la graisse animale. Puis, pendant des siècles, ce fut l’huile d’olive. Dans nos régions, elle sera remplacée par l’huile de lin, de noix, et surtout de colza qu’on pouvait cultiver à grande échelle. Apparaîtront ensuite les lampes à pétrole, suspendues ou sur pied, pouvant s’incendier facilement, puis celles à essence, plus dangereuses encore car elles pouvaient exploser.
Toutes ces lampes deviendront désuètes avec l’apparition du gaz puis de l’électricité. « Les lampes à gaz apparaissent vers le milieu du XIXe siècle. Quarante ans plus tard, autour de 1881, on fabrique les premières lampes électriques. Mais il ne faut pas croire que l’électricité a immédiatement effacé le gaz. Tous deux cohabiteront comme source d’éclairage durant plus d’un demi-siècle. L’ampoule électrique ne s’imposera qu’avec le remplacement du filament en carbone par un filament à haut point de fusion, comme le tungstène par exemple. Viendront ensuite l’halogène puis la LED, mais la base de ma collection va des toutes premières lampes de l’époque magdalénienne (-15 000 avant J.-C.)
jusqu’à celles au gaz et aux débuts de l’électricité. »
Le Musée des Lampes, qui a ouvert en juillet 2007, s’étend sur plusieurs étages avec un parcours préétabli. Dans chaque salle, des panneaux didactiques en trois langues détaillent l’évolution apportée par chaque catégorie de lampes exposées. Certaines pièces sont uniques, d’autres quasiment identiques et regroupées par modèles. C’est notamment le cas des lampes ‘snotneuzes’. « Elles portaient ce surnom, en Hollande et en Flandre, car de l’huile coulait un peu du bec », sourit Eddy Van Belle.
Chaque lampe mise en vitrine a été expertisée. « Je suis très fier que, dans mon immense collection, moins d’une dizaine de pièces aient été déclarées fausses. Lorsqu’on est collectionneur, il est important de pouvoir distinguer l’authentique de la contrefaçon. » Il partage l’une de ses astuces. « Les vraies lampes romaines en terre cuite doivent être légères et avoir cette odeur typique d’humidité. Mais surtout, lorsqu’on y passe la langue, la tache disparaît aussitôt car il s’agit d’un objet ancien très sec qui absorbe immédiatement l’humidité. Il faut aussi se méfier des achats sur Internet souvent entachés de mauvaises datations, de descriptions erronées et de faux certificats. »
Toutes les pièces exposées sont des originales, à l’exception d’une seule. « Nous avons fait reproduire une grande lampe d'après un croquis réalisé par Léonard de Vinci (1452-1519) dans l’un de ses carnets. Elle évoque une lampe à pétrole telle qu’on en trouvait seulement au début du XXe siècle. » Une vitrine du musée est largement consacrée à ce mystère fascinant.
Les inquiétudes liées aux émissions de CO2 et à l’utilisation de matières premières dangereuses ont accéléré l’avancée de la technologie des LED, devenue la référence mondiale en matière d’éclairage général. Parallèlement, les directives européennes sur le retrait progressif des technologies dépassées ont encore renforcé cette évolution.
Les solutions LED durables abordent la durabilité sous tous ses aspects. Leur impact sur la consommation d’énergie, l’empreinte écologique et l’économie locale est positif. Rencontre avec An Moors, gérante de PANEL bv.
Au cours des premières décennies de ma carrière dans le secteur de l’éclairage, l’accent était mis sur les solutions offrant une réelle valeur ajoutée : qualité d’éclairage supérieure, confort visuel, limitation de l’éblouissement et conception de qualité. Les grands fabricants européens et américains dominaient encore le marché à cette époque. La combinaison de la lampe et du luminaire allait de soi: elle était souvent considérée comme un tout.
Le commerce de gros jouait un rôle d’intermédiaire crucial au sein de la chaîne – non seulement comme

maillon logistique, mais aussi comme partenaire fiable pour le transfert de connaissances et l’accessibilité des produits. Les grossistes étaient un élément essentiel de l’écosystème, pour les installateurs comme pour les fabricants.
Ces dernières années, le marché a été dominé par le les technologies LED. Trois facteurs principaux façonnent désormais la demande en solutions d’éclairage : 1
UNE RÉDUCTION DE LA CONSOMMATION D’ÉNERGIE, UNE
DURÉE DE VIE PLUS LONGUE ET DES PRIX TOUJOURS PLUS COMPÉTITIFS. Nous avons assisté, vu cette pression, à une croissance explosive des fabricants d’éclairage dans le monde entier, particulièrement en Asie. Cette évolution crée un marché de type « océan rouge », C'est à dire un marché saturé, hautement concurrentiel, axé sur les prix et laissant peu de place à la différenciation.
Dans de telles conditions, il est fréquent que les professionnels du secteur de l’éclairage accordent moins d’importance à la qualité de la lumière, au confort visuel, à la réduction de la pol-

lution lumineuse et à la conception des produits. Le volume et le prix prennent alors le dessus et deviennent les facteurs déterminants. Beaucoup de luminaires en viennent à se ressembler fortement et le choix de l’utilisateur final devient de plus en plus délicat, à moins de disposer de connaissances suffisantes et de se sentir en confiance.
Les fonctions du grossiste évoluent actuellement. Il se transforme progressivement en un partenaire logistique axé sur l’efficacité, les délais de mise en œuvre et les marges sous pression.
Ce changement a des conséquences
importantes pour les fabricants européens d’éclairage. Nombre d’entre eux, pour rester concurrentiels, sont contraints de délocaliser leur production en Asie ou de s’associer à des acteurs asiatiques.
Mais ne nous y trompons pas : certains fabricants asiatiques possèdent une expertise approfondie, une capacité de production importante et des produits de qualité qui méritent leur place sur notre marché. Cependant, ne négligeons pas non plus le contexte géopolitique global. Nous vivons dans un monde où les tensions économiques et les mesures commerciales entre grandes puissances s’intensifient. Il est par conséquent essentiel que l’Europe travaille à renforcer sa propre industrie manufacturière.
Le secteur de l’éclairage n’échappe pas à cette dynamique mondiale. Il est grand temps de rétablir un équilibre sain entre la production européenne et asiatique en prenant en considération la durabilité, l’innovation et l’indépendance stratégique.
La durabilité est aujourd’hui un moteur fondamental dans le secteur de l’éclairage. L’efficacité énergétique n’est plus l’unique priorité ; minimiser l’empreinte écologique globale est désormais tout aussi important. Dans ce domaine, les fabricants européens ont d’ailleurs un avantage certain sur de nombreux acteurs asiatiques. C’est le cas notamment de :
● l’utilisation de sources d’énergie locales non fossiles,
● des chaînes de transport plus courtes,
● des emballages durables et recyclables,
● la reprise et la réparation des produits usagés,
● la réutilisation des matériaux résiduels, et
● des processus de production strictement contrôlés en Europe.
Cette évolution offre une occasion unique aux grossistes de se réapproprier un rôle central. Alors que ces dernières années, l’accent a été mis sur la transition énergétique et les nouvelles technologies, le conseil en éclairage et la connaissance des produits ont été quelque peu relégués au second plan.
Le commerce de gros n’en reste pas moins le point de contact privilégié des installateurs à la recherche de solutions et d’expertise. En collaborant activement avec les fabricants européens d’éclairage, les grossistes peuvent à nouveau faire la différence - avec des solutions LED à la fois durables, de qualité et réparables, autant économiques qu’écologiques.
Le résultat ? Une triple victoire : pour l’installateur, le client et le climat.
Le premier « gagnant » est le commerce de gros, qui peut se positionner fortement dans les tendances émergentes de la circularité et de la durabilité. Grâce à leur expertise logistique, les grossistes occupent une position idéale pour jouer un rôle actif dans le flux circulaire des luminaires et des pièces détachées retournées, en étroite collaboration avec les fabricants.
Le stockage et la livraison à la carte des pièces de rechange pour les projets de rénovation, ainsi que l’offre de solutions globales, du câble à la prise de courant, en passant par l’éclairage, s’inscrivent pleinement dans cette évolution.
Investir dans le savoir et dans la formation de son personnel s’avère crucial. En s’associant à des fabricants européens, plus réactifs grâce à leur proximité géographique, le grossiste peut retrouver son statut d’expert et de conseiller. Les compétences techniques deviennent une arme décisive : elles permettent aux grossistes de se distinguer dans un marché de plus en plus compétitif.

Mieux encore, le choix de la production européenne présente des avantages concrets :
● Une moindre dépendance aux droits de douane;
● Des taux de change plus stables;
● Des coûts de transport moins élevés.
Pour résumer la situation, disons que les avantages sont nombreux : réduction des émissions de CO 2 , durabilité accrue et renforcement de la position sur le marché pour les grossistes prêts à innover et à anticiper l’avenir.
Le deuxième « gagnant » est l’installateur. Celui-ci est confronté, aujourd’hui plus que jamais, à des clients de mieux en mieux informés et plus exigeants, tant sur le marché privé que professionnel.
Pour les clients professionnels, les lois et réglementations toujours plus strictes en matière de durabilité et de bien-être pèsent de plus en plus lourd. Il ne suffit donc plus de se concentrer uniquement sur la consommation énergétique. La demande se déplace vers des solutions d’éclairage durables, circulaires et faciles à entretenir. Ce peut être des luminaires faciles à rénover, dont les pièces peuvent être réutilisées ou remplacées à moindre coût, sans qu’il faille mettre hors service tout l’appareil.
Les fabricants européens, dont la production est de proximité, sont parfaitement positionnés pour répondre rapidement et avec flexibilité. Ils sont en
mesure de fournir des pièces détachées aux grossistes, ce qui permet à l’installateur de desservir sa clientèle plus rapidement et de manière plus durable.
En optant délibérément pour des articles marqués « Made in EU », l’installateur ne privilégie pas seulement la qualité, mais également un service après-vente fiable, des délais de livraison courts et la garantie d’un fabricant qui adhère à une vision à long terme.
Le troisième « win » concerne les fabricants européens, parfaitement placés pour réagir rapidement et avec souplesse aux évolutions grâce à leur proximité avec le marché et leurs clients. Ils apprécient non seulement la collaboration avec les grossistes, mais la considèrent également comme un partenariat stratégique.
Les fabricants renforcent leur position dans la chaîne en collaborant activement avec les grossistes : ceux-ci deviennent en effet des partenaires clés — utilisateurs, conseillers et ambassadeurs de leurs produits. Les investissements communs dans le développement des connaissances, les services, le marketing et la gestion des stocks garantissent des relations durables, fondées sur une véritable valeur ajoutée, bien au-delà du simple prix.
Enfin, la réglementation et les objectifs de durabilité de l’Europe encouragent les fabricants à rendre leurs processus de production plus durables : ● la décarbonation, ● la réduction des déchets,
● la circularité, et ● le respect des conditions de travail sociales , intégrés de manière structurelle dans la politique industrielle européenne.
En bref, les fabricants européens renforcent non seulement leur position sur le marché, mais participent activement à la construction d’un écosystème industriel plus durable, plus responsable et plus compétitif.
En conclusion
Je tiens à souligner pour conclure qu’il est dans notre intérêt à tous de soutenir l’industrie européenne de l’éclairage. Une industrie forte et tournée vers l’avenir est essentielle pour tous les acteurs de la chaîne, des fabricants aux grossistes, en passant par les installateurs et les clients finaux. L’industrie elle-même est en effet acteur majeur de travaux d’installation et de solutions d’éclairage, et donc un client important tant pour les grossistes que pour les installateurs.
Une industrie locale qui fonctionne bien se traduit aussi par une économie régionale solide. La croissance économique stimule les investissements dans les infrastructures, les bâtiments, la technologie et la durabilité - autant de leviers qui profitent à l’ensemble de la chaîne de valeur.
AUTEUR:
An Moors, gérante de PANEL bv. Contact: anmoors.panel@proximus.be

Techlink est votre partenaire de confiance dans la transition énergétique et représente toutes les entreprises d’installation (électricité et HVAC/sanitaire). En tant que fédération professionnelle belge, Techlink rassemble également les fabricants, distributeurs et entreprises actives dans la
maintenance technique et la gestion de l’énergie, qui font partie de notre écosystème des installations multifonctionnelles. C’est pourquoi Techlink est l’une des voix les plus influentes dans le débat sociétal sur la transition énergétique en Belgique.
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Le 16 septembre, la KU Leuven et le cluster Groen Licht Vlaanderen organisaient la première masterclass internationale liée au projet SHAPE-THE-LIGHT. Une session consacrée à l’intégration des principes de durabilité dans la conception des produits d’éclairage – notamment des créations artistiques. Les participants ont eu l’occasion de découvrir comment appliquer la réglementation Ecodesign pour soutenir les modèles économiques circulaires, dans le fil du Pacte vert européen et des initiatives du Nouveau Bauhaus européen – qui visent à promouvoir des environnements de vie durables, inclusifs et esthétiques.
SHAPE-THE-LIGHT est un projet européen qui a pour objectif de créer des passerelles entre les industries de l’art, du design et de l’éclairage.
CATHERINE LOOTENS : « Le projet a démarré l’année dernière. La KU Leuven/Groen Licht Vlaanderen soutient ce projet en collaboration avec trois autres partenaires: Rete di Imprese Luce en Vénétie (IT), CI-


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« L’éclairage de demain est circulaire », a affirmé Greet Verhoeven, responsable R&D chez Etap Lighting International, à l’occasion de la présentation donnée dans le cadre de la formation.
CAT Lighting Cluster (ES) et Cluster Lumiére (FR). Chaque partie est également membre de l’ELCA, European Lighting Cluster Alliance. »
Règles actuelles et futures en matière d’écoconception et d’étiquetage pour l’éclairage
TERESA SELVAGGIO: « L’écoconception cherche à établir des normes minimales sur l’empreinte environnementale des produits. La directive précédente se concentrait principalement sur la consommation d’énergie et était donc connue sous le nom de directive ERP (pour les produits liés à l’énergie). Le nouveau règlement élargit le champ

d’application à la consommation des ressources et inclut également des facteurs tels que la durabilité et la réparabilité. À l’avenir, la réglementation sur l’écoconception obligera toutes les entreprises à documenter la durabilité de leurs produits selon des normes définies, probablement au moyen d’un passeport produit numérique (Digital Product Passport, DPP), d’un indice de réparabilité et, si nécessaire, d’un étiquetage détaillé. »
GREET VERHOEVEN : « Au cours des prochaines années, nous repenserons tous nos produits selon un concept circulaire et nous nous consacrerons entièrement à la C-LaaS, qui signifie Circular Light as a Service. De plus en plus de clients font confiance à ETAP
pour assurer leur éclairage plutôt que d’acheter des luminaires ou un système d’éclairage. La durabilité a toujours fait partie de notre ADN.’ Nous sommes leaders dans le domaine des solutions LED à très faible consommation d’énergie et à longue durée de vie, tant dans les bâtiments neufs
que dans les projets de rénovation et de réhabilitation. C’est un pas important vers une société plus durable et économe en énergie, car cela signifie qu’il est possible de remplacer les ampoules moins souvent et de réduire la consommation de matières premières. »
Techlink comprend parfaitement l’importance croissante de la durabilité dans tous les domaines. Nous encourageons les fabricants et les concepteurs d’éclairage artistique à intégrer des pratiques durables à chaque étape du processus de création et de fabrication: du choix des matériaux et de l’efficacité énergétique à la modularité, en passant par la réparabilité et la recyclabilité en fin de vie. Pour un éclairage artistique durable, l’installateur doit tenir compte non seulement de la sécurité et de la conformité réglementaire, mais aussi de la facilité d’installation et d’entretien.














Disponible chez votre grossiste en matériel électrique





Type A, type B (CA & CC)
C’est là que s’allume la lampe !
Tout ce qu’il faut savoir sur le protocole DALI et pourquoi les électrotechniciens en sont dingues !
DALI = DIGITAL ADRESSABLE LIGHTING INTERFACE.
C’est un système intelligent qui permet une communication entre les sources lumineuses et les appareils tels qu’interrupteurs, variateurs et displays. Le protocole DALI te donne le contrôle sur tout le système d’éclairage. Tu peux allumer et éteindre les lampes, les tamiser, adapter leur température de couleur, etc.

Chaque point lumineux du réseau DALI possède une adresse numérique unique. Le contrôleur DALI envoie des signaux à ces lampes, qui réagissent aux commandes. Pour faire simple : tu donnes un ordre et les lampes l’exécutent.






a ÉCONOMIE D’ÉNERGIE
Les lampes peuvent se tamiser automatiquement quand la lumière du jour est suffisante ou que la pièce est vide. On économise ainsi de l’énergie !
a FLEXIBILITÉ
On peut régler et commander chaque point lumineux séparément, pour que chaque espace ait l’ambiance souhaitée.
a COMPATIBILITÉ AVEC D’AUTRES SYSTÈMES
Le protocole DALI fonctionne en synergie avec d’autres systèmes de gestion énergétique dans les bâtiments, comme les systèmes de sécurité ou de HVAC. Il est donc possible d’intégrer les différents systèmes entre eux.
a FACILITÉ D’ENTRETIEN ET DE RÉSOLUTION DES PROBLÈMES
On peut détecter les problèmes pour chaque lampe individuelle et les résoudre rapidement, ce qui facilite l’entretien.
QUELLES SONT LES UTILISATIONS COURANTES ?
a L’éclairage des bureaux.
a L’éclairage des écoles.
a L’éclairage des magasins.
a L’éclairage industriel.
a La véritable limitation réside dans le réseau DALI lui-même, qui peut traiter un courant de commande maximal de 250 mA.
a La vitesse limitée : avec 1 200

SOURCE


Bureau 9000, le bureau d’études et de conseil en énergie, a célébré son 10e anniversaire au Musée de l’Industrie de Gand, le 25 septembre dernier. Son directeur, Jozef Mees, a présenté au public une rétrospective inspirante de ces dix années de croissance et de réalisations, tout en levant un coin du voile sur un avenir riche en surprises et en ambitions. Qu’avons-nous retenu de cette soirée exceptionnelle ?
La soirée n’était pas seulement consacrée aux rétrospectives, mais surtout à l’avenir. Cependant, l’annonce la plus inattendue de la soirée a été faite par JOZEF MEES lui-même : la société danoise RelyOn, qui domine le marché mondial de la formation en sécurité, a récemment acquis Bureau 9000. Dès le 1er janvier 2026, l’entreprise cessera d’utiliser la dénomination « Bureau 9000 » et adoptera plutôt le nom de « RelyOn Belgium ».
Jozef Mees : « Cette acquisition offre de nouvelles opportunités pour nos clients et notre personnel. L’histoire de Bureau 9000 prend désormais une envergure internationale. »
Lars Brenne, directeur général de RelyOn Central Europe : « L’électrification de la société entraîne une forte augmentation de la demande en formations de qualité dans le domaine de la sécurité électrique. Nous
cherchions à renforcer notre présence en Belgique dans ce domaine. L’acquisition de Bureau 9000 était une décision naturelle pour atteindre cet objectif. »
Techlink tient à adresser ses sincères
félicitations à Jozef Mees et à l’ensemble de l’équipe de Bureau 9000 pour ce parcours exceptionnel. Nous avons hâte de découvrir le nouveau chapitre de votre histoire et vous souhaitons plein succès dans cette nouvelle aventure !


Le projet Reno+, initié par Buildwise, Embuild Wallonie et GreenWin, vise à développer une approche innovante de l’accompagnement à la rénovation et de rénovations groupées en Région wallonne. Après une première phase pilote qui a donné d’excellents résultats à Braine-l’Alleud, entre 2023 et 2024, le projet se poursuit et a pour objectif de réaliser de nouveaux trains de rénovation : deux premiers trains de rénovation verront le jour à Ottignies-Louvain-la-Neuve et en province de Liège, tandis qu’un troisième viendra s’ajouter dans le Brabant wallon.
Accélérer et faciliter la rénovation énergétique en Wallonie avec comme objectif de réaliser 50 chantiers par commune. Reno+ propose une approche innovante et groupée avec : un carnet de commandes prévisible, un taux de signature des devis exceptionnel, des projets cadrés et sans zones d’ombre, des chantiers déjà financés, une confiance renforcée auprès des clients et des outils numériques pour gagner du temps.
Mais vous, en tant qu’entrepreneur, quel est votre intérêt à monter dans un train de rénovation ? « Premièrement, vous intervenez sur des chantiers bien cadrés : les dossiers sont complets, accompagnés de cahiers des charges techniques clairs, synthétiques et didactiques. Lors de la phase pilote à Braine-l’Alleud, 85 % des devis réalisés par les entrepreneurs ont débouché sur des chantiers. Ensuite,
l’administratif est allégé et l’efficacité renforcée : le prêt à la rénovation est accordé au candidat avant même la réalisation du devis par l’entrepreneur, et les démarches liées aux permis et primes sont prises en charge. Troisième avantage : la confiance du client. Celui-ci est accompagné jusque dans la réception des travaux, ce qui valorise votre savoir-faire. Enfin, vous bénéficiez d’une visibilité accrue grâce à des chantiers qualitatifs et prévisibles. Chaque train de rénovation regroupe plusieurs ménages, ce qui vous permet de planifier vos équipes, optimiser vos ressources et lisser votre activité », explique Nicolas Spies, conseiller Energie & Rénovation chez Embuild Wallonie.
Intéressé ? Voici un planning qui devrait vous permettre d’y voir plus clair. De septembre à novembre 2025, manifestez-vous et contactez les équipes de Reno+ ! De novembre à décembre, Reno+ analysera votre candidature et répondra à vos questions. Les premiers chantiers démarreront en mars 2026.
Il y aura donc un train à Ottignies-Louvain-la-Neuve, un train en province de Liège et un autre dans le Brabant wallon. « L’objectif est de réaliser 50 chantiers par commune, soit par train. Pour chaque train, nous recherchons cinq isoleurs, deux façadiers, cinq ventilistes, cinq couvreurs-étancheurs, trois menuisiers pour les châssis, deux chauffagistes et deux électriciens », précise NICOLAS SPIES.
INTÉRESSÉ ?
www.renoplus.org et info@renoplus.org

Light + building 2026 du 8 au 13 mars
Cette année, c’est du 8 au 13 mars 2026 que Francfort am Main accueillera le plus grand salon professionnel mondial dédié à l’éclairage et aux technologies du bâtiment. Des exposants venus du monde entier présenteront une large gamme de produits et de solutions. La décarbonation, la numérisation, les nouvelles sources d’énergie et l’évolution des exigences en matière de mode de vie, de travail et de construction posent des défis innombrables. Les trois thèmes principaux de Light + Building 2026 –transformation durable, connectivité intelligente et lumière vivante – offrent autant de repère au sein d’un marché dynamique. Ils reflètent les tendances et les évolutions qui façonnent aujourd’hui le secteur de la construction et de l’installation, et qui influenceront son avenir. Comme à l’habitude, votre fédération professionnelle sera présente au salon. light-building.messefrankfurt.com/frankfurt/en.html
LEDVANCE lance Direct Easy, le système de gestion de l’éclairage sans fil pour une installation rapide et intelligente

LEDVANCE, fournisseur de solutions d’éclairage, présente Direct Easy : ce nouveau système de gestion de l’éclairage sans fil est spécialement conçu pour offrir simplicité, flexibilité et évolutivité. Pour les installateurs, Direct Easy offre un moyen particulièrement rapide et intuitif de réaliser des projets d’éclairage intelligents, sans unité de commande centrale, infrastructure informatique ou configuration complexe. Les installateurs n’ont besoin que d’un smartphone, sans passerelle, connexion cloud ni inscription. Grâce à sa configuration intuitive (via Bluetooth), la courbe d’apprentissage est minimale et la mise en service plus rapide que jamais. Direct Easy prend en charge jusqu’à 40 luminaires Zigbee et appareils certifiés 3.0 par zone. Il peut être facilement étendu à un système de gestion de l’éclairage basé sur une passerelle, sans remplacer les luminaires ou appareils existants. Direct Easy offre ainsi une base pérenne pour la poursuite de la numérisation des bâtiments. www.benelux.ledvance.com


Les mercredi 8 et jeudi 9 octobre, Kopuur était présente à CleanTech Xpo, un nouvel événement professionnel qui soutient les entreprises dans leur transition vers un modèle économique plus durable, à Courtrai. « Nous vous offrons au cours de ce salon la possibilité d’en savoir davantage sur notre processus de recyclage des câbles, qui consiste à transformer les vieux câbles en matières premières précieuses. Nous présentons également notre service de conteneurs gratuit. Ce service permet aux entreprises de recycler facilement leurs câbles usagés de manière efficace et durable, sans frais de transport ou de traitement supplémentaires. Nous vous fournissons également volontiers de plus amples informations sur nos prix pour les câbles solaires. En tant que spécialistes du recyclage des câbles, nous nous efforçons de proposer des prix transparents et compétitifs pour le recyclage des câbles solaires, ce qui est non seulement avantageux pour votre entreprise, mais contribue également à un avenir plus durable », explique Wout Debacker, directeur de Kopuur. www.kopuur.be

Pour les installations professionnelles, la technologie de sertissage-i d’Intercable offre une combinaison inégalée de fiabilité, de simplicité et d’économies. Cette méthode innovante permet l’utilisation de cosses standard avec des câbles en cuivre de classe 2, 5 et 6, y compris leurs variantes compactées. Moins de types de cosses signifie moins de stock, moins d’erreurs et des coûts réduits. Grâce à une connexion robuste testée selon la norme DIN 46228, le sertissage-i assure une résistance à la traction 20 à 50 % plus élevée et une fiabilité maximale, même dans des environnements exigeants comme l’industrie ou les applications ferroviaires. Les matrices i sont compatibles avec les pinces hydrauliques standard, ce qui rend la transition simple et économique. Le sertissage-i d’Intercable est le choix idéal pour des connexions électriques durables, sûres et rentables. Nos experts techniques vous accompagnent pour une solution adaptée à vos besoins spécifiques. www.intercable-tools.be
Lé conduit d’installation HVAC

Idéal pour les installations HVAC, les boîtiers muraux et Airco’s
■ Résistant aux UV
■ Résistant aux intempéries
■ Approuvé DIN et ISO 4892-2 pour les applications extérieures
Les goulottes murales et de plafond OBO WDK (RAL9010) sont résistantes aux UV et aux intempéries, testées selon les normes DIN et ISO 4892-2 et homologuées pour les applications extérieures. Idéales pour les installations CVC et l’alimentation de petits systèmes tels que les boîtiers muraux et les climatiseurs.

Pour les applications résidentielles, Hager propose les bornes de recharge witty plus de couleur noire qui sont disponibles avec une prise ou un câble fixe witty plus est une borne de recharge communicante qui permet d’interagir avec un CPO. La communication peut se faire via LAN (Ethernet), WLAN (wifi) ou 4G (LTE). Elle est équipée d’un lecteur RFID et d’un module Bluetooth. Ce dernier permet aux installateurs de configurer la borne de recharge et aux clients de gérer leurs sessions de recharge à l’aide de l’application conviviale ‘‘Hager Charge’’. La connexion entre la borne de recharge et le compteur numérique permet d’obtenir un équilibrage dynamique de la charge. Il est également possible d’optimiser la recharge à l’aide de l’énergie solaire. Grâce à l’application, le client détermine dans quelle mesure la recharge doit être effectuée à l’aide de l’énergie solaire ou du réseau. Cette borne de recharge offre une grande facilité d’installation pour l’installateur grâce à son grand espace de raccordement. L’alimentation peut être réalisée par l’arrière, le haut ou le bas de la borne. Une fois montée, la borne de recharge est protégée contre les intempéries (IP55, IK10), les nuisibles et tout contact avec des composants sous tension. Grâce à la détection de courant de défaut 6 mA CC intégrée, un différentiel de type A de 30 mA dans le coffret électrique suffit. www.hager.be
Schneider Electric met l’accent sur l’innovation dans les systèmes d’alimentation 800 VCC pour prendre en charge la prochaine génération de GPU NVIDIA
Leader dans la transformation numérique de la gestion de l’énergie et de l’automatisation, Schneider Electric renforce son engagement à soutenir la transition du secteur vers des architectures énergétiques 800 VCC. Ces architectures sont essentielles pour les systèmes de racks à haute densité qui seront utilisés dans la prochaine génération de centres de données. Alors que le secteur s’efforce d’accélérer la transition vers des densités de puissance plus élevées et une efficacité accrue, Schneider Electric innove pour répondre à ces besoins grâce à une approche systémique globale qui intègre la conversion énergétique, la protection et la mesure. Cette approche garantit que les systèmes énergétiques sont non seulement efficaces, mais aussi sûrs, plus solides et plus modulables. Dans le cadre de l’écosystème NVIDIA, Schneider Electric rejoint


le mouvement plus large de l’industrie vers les architectures de nouvelle génération qui nécessitent une infrastructure énergétique plus avancée. www.se.com/be/fr/
PV CYCLE Belgium est une organisation à but non lucratif qui propose des services collectifs et sur mesure dans le domaine de la gestion des déchets et de la conformité réglementaire aux entreprises et aux détenteurs de déchets de par le monde. Fondée en 2007 par et pour l’industrie photovoltaïque, PV CYCLE Belgium dispose aujourd’hui d’un large éventail de produits de gestion des déchets dans son portefeuille.

Johan Goossens, Country Manager pour la Belgique, et le rédacteur Dirk De Wolf
Johan Goossens, Country Manager Belgium chez PV Cycle : « Nous rencontrons des acteurs du secteur autour des défis croissants du recyclage et de la réutilisation des panneaux solaires. Tous les acteurs doivent collaborer afin de garantir un avenir durable au secteur de l’énergie solaire ». pvcycle.be/fr

Niko collabore avec des marques fiables, telles que Smappee, afin que vous puissiez commander tous les systèmes importants de votre habitation en toute fluidité. En connectant le système Niko Home Control et le chargeur de VE de Smappee, vous pouvez recharger votre voiture électrique de manière optimale au meilleur moment de la journée et de la manière la plus économe en énergie. Niko Home Control est directement connecté au chargeur via le contrôleur connecté pour câblage bus ou via le hub intelligent sans fil pour câblage traditionnel. Cette routine intégrée pour la recharge intelligente des véhicules électriques garantit la recharge automatique du véhicule au moment le plus opportun et le plus économe en énergie de la journée. Aucune intervention manuelle n’est nécessaire. Le système tient automatiquement compte de la consommation d ‘énergie des autres appareils dans le logement. Il permet des pics de consommation plus faibles et une augmentation de l’utilisation de l’énergie solaire autoproduite. Il en résulte une réduction de vos dépenses énergétiques sans sacrifier votre confort. www.niko.eu

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