MERCI BORDEAUX ! Le magazine créé et offert par l’agence immobilière Votre Habitation
N° 4 2022
A VENDRE – NANSOUTY / BARRIERE DE BÈGLES
1 009 000 € (dont 3 % d’honoraires charge acquéreur)
Belle maison familiale de 215 m² répartie sur 3 niveaux. Elle se compose de 5 chambres, un bureau, deux salles de bain, une grande véranda, une cave et un jardin de 110 m². En rez-de-jardin se trouve un appartement de 40 m² avec son entrée indépendante. Contacter Baptiste BERNADO au 06.78.98.58.60 / Henri PAULY 06.63.76.87.58
EDITO Bordeaux, la belle endormie, ville bourgeoise et fermée dans laquelle il est difficile de s’implanter… Voilà ce qu’on entendait jusqu’à peu encore. Mais les choses ont changé ! Pour en témoigner nous avons donné la parole à deux néo-bordelais qui ont lancé avec succès leur activité dans notre ville : Bartolo RUSSO dont la cuisine napolitaine régale les épicuriens et Joël FRASCHINI, producteur d’un vin naturel qui s’est imposé dès sa première année. Nous avons également rencontré quelqu’un pour qui Bordeaux n’a jamais cessé d’être une source d’inspiration : Arnaud BRUKHNOFF, photographe artisan d’art qui a consacré plusieurs ouvrages à sa ville. Nous le remercions très chaleureusement de nous avoir autorisés à publier ses photos. Ce numéro de Merci Bordeaux !, le magazine de l’agence immobilière Votre Habitation, a été réalisé avec la participation de l’agence immobilière Bordeaux Immobilier Conseils. Nous vous souhaitons une très bonne lecture. Violaine et Henri
Grand théâtre - Bordeaux confiné 2020 1.0
Quai de Bordeaux- 2022
MERCI BORDEAUX ! SOMMAIRE
En couverture Arnaud BRUKHNOFF
N°4 2022
Arnaud BRUKHNOFF Artisan D’art
Bartolo RUSSO DA BARTOLO Passione Napoletana
Joel FRASHCINI Un vigneron dans le pigeonnier
MIEUX COMPRENDRE A quoi engage une offre d’achat ?
Siège social : VH Immobilier, 13 rue Alfred Duprat, 33200 Bordeaux www.votrehabitation.fr / agence@votrehabitation.fr Directeur de la publication: Henri Pauly Rédactrice en chef: Violaine Gruel de Villeneuve
PHOTOGRAPHIE
Place Jean Jaurès, couleurs d’automne C’est avec un grand plaisir que nous avons rencontré Arnaud BRUKHNOFF, photographe artisan d’art Bordelais et amoureux de sa ville.
LA VOIE DU FOCUS Arnaud commence sa carrière très jeune en créant une société de sonorisation et d’organisation de soirées. Il est DJ et anime les fêtes de la région. Il passe ensuite 11 ans chez Cdiscount en tant qu’acheteur. Mais l’ennui pointe le bout de son nez et Arnaud ne supporte pas ça. Inspiré par un livre (La force du Focus) que lui recommande un ami, il imagine dès 2015 l’après Cdiscount
ARTISAN D’ART et met toute son énergie à réaliser son projet : vivre de ce qu’il aime, la photo. Aujourd’hui, Arnaud est un photographe reconnu. Après 5 ans de travail de Il ne se définit pas comme mise en place (diffusion de un artiste mais comme un artisan d’art., Caudéran ses photos, publicationVilla Maria dans Sud-Ouest, organisa- Il a deux activités : les tion d’expositions et pre- commandes et les photos mières commandes) il crée personnelles. Et chacune sa structure et se lance en renvoie à une vision diffé2018. En 2019 il sort son rente de son travail. Pour les commandes, « je me premier ouvrage « Bordeaux 2016-2019 ». mets au service des gens, je n’impose rien et le but La première édition de 1.000 exemplaires est est que ça leur plaise. Comme quand j’étais DJ, épuisée en 3 mois !
je n’arrivais pas avec une playlist imposée mais je m’adaptais au public pour qu’il s’amuse. Je fais de la photo pour les gens et j’adapte ce que je fais à leur goût. Je veux pouvoir répondre à toutes les attentes des clients: photos culinaires, vitrines de magasins, reportage en entreprises, évènements publics et privés. ». Et cette approche se retrouve dans sa facturation : « quand je travaille avec une entreprise il n’y a plus de droits : les photos appartiennent au client, moi je ne facture que la prestation ». L’autre démarche consiste à créer selon ses goûts. Ce sont ses photos artistiques. Il les prend
Place Pey Berland, confiné comme elles viennent, librement, sans chercher de cadre spécifique. « Chaque lieu, chaque moment est différent. Par exemple, souvent le week-end je me lève à 7h et je fais le tour des deux ponts à vélo. Mais ce n’est jamais le même matin. Chaque jour
Colonne des Girondins, confiné
la Garonne offre un spectacle différent. Il peut n’y avoir rien mais ce rien est dingue ! Je ne me lasse jamais. ». Il lui arrive également de chercher les situations hors du commun. En 2020, lors d’un déplacement à Paris avant le confinement, un chauffeur de taxi lui explique qu’en 15 ans de métier, il n’a jamais pu voir la Carrousel du Louvre depuis la rue car il y a des bus garés devant en permanence : « Vous imaginez ce que ce sera mardi ? » lui dit-il en faisant référence au début du confinement annoncé par Emmanuel Macron. Arnaud réalise la situation et prend aussitôt sa décision: il arpentera les rues de Bordeaux pour photo-
graphier la ville dès le premier jour de confinement. Un bel album naitra de cette situation : « Bordeaux confiné 2020 1.0 »
TEMOIGNER ET EMOUVOIR Arnaud est un amoureux de Bordeaux, il y trouve beaucoup de son inspiration et lui a consacré plusieurs ouvrages. Mais c’est également pour lui un devoir de garder une trace des évolutions de la ville. Il s’y promène tous les jours et se constitue une base de photos de Bordeaux qui témoignent d’un avant et d’un après. Ces images de quartiers qui se transforment alternent entre nostalgie de ce qui a disparu et esthétique de la modernité. « Lorsque je prends mes photos, j’ai en tête le résultat que je veux avoir ». Il nous montre une photo de brume le matin et nous explique que dès sa prise il a fait des réglages spécifiques (vitesse d’obturation, ouverture, etc.) pour arriver à un style photographique, en l’occurrence arriver à créer une ambiance douce, ancienne. Il fait aussi beau-
Homme seul (2022) coup de post-production pour adapter les clichés à son goût. Depuis 6 mois il ajoute à ses photos des personnages. La présence humaine rend les clichés plus vivants, actuels, et elle apporte une profondeur de champs. A travers ses photos Arnaud espère faire éprouver des émo-
tions aux gens : le calme, une stupeur, etc. « Je veux que mes photos soient modernes mais qu’elles aient un côté intemporel en même temps. Elles racontent une histoire à un instant T mais j’espère qu’elles renvoient aussi à des sentiments plus universels ».
Cours du Chapeau Rouge La pluie renforce le contraste du bitume qui fait naturellement ressortir les zones colorées tel que ce passage clouté peint (2019)
Retrouvez toute l’actualité d’Arnaud sur : www.arnaudbrukhnoff.com
A VENDRE – CAUDERAN / QUARTIER ORANGERS
385 000 € (honoraires charge vendeur)
Bel appartement de 101 m² entièrement rénové en 2021 avec des matériaux de qualité, lumineux, 2 chambres de 12 m², un bureau, un cellier, un balcon, un garage à vélo et une place de parking. Situé dans le quartier des Orangers à Caudéran. Contacter Henri PAULY au 06.63.76.87.58
GASTRONOMIE
Rencontre avec Bartolo RUSSO, restaurateur originaire du Sud de l’Italie et installé à Bordeaux depuis 8 ans. L’histoire d’un passionné de gastronomie qui a la cuisine dans la tête et dans le cœur.
UNE SUCCESS STORY NAPOLI-
en cuisine et en salle dans le monde entier (New York, Hong Kong, TAINE Londres, Madrid, etc.). En Bartolo Russo a long- 2014 il arrive à Bordeaux temps enseigné dans la pour faire l’ouverture d’un prestigieuse école hôte- établissement. Il renlière de Naples. Il a formé contre sa future femme et
décide à quarante ans de mettre en acte ce qu’il a enseigné toute sa vie: il ouvre son premier restaurant rue des Faussets, l’Osteria Da Bartolo. Puis deux autres établissement voient le jour en
2017 et 2018 dans la même rue. On y déguste des spécialités napolitaines et les trois salles ne désemplissent pas. En 2019 il ouvre la Trattoria Da Bartolo au cœur du quartier Saint-Augustin, petit restaurant de 14 couverts dont la liste d’attente va très vite s’allonger.
UNE SOLIDARITÉ RÉCOMPENSÉE C’est alors qu’arrive la pandémie et les restaurants sont frappés de fermeture administrative. Pendant 16 mois, Bartolo ne licenciera personne, conserve tous ses employés (61 à l’époque) au chômage partiel et les paie
L’Osteria occupant la rue des Faussets !
La Trattoria, St-Augustin à 100%. Quand la reprise arrive, les restaurateurs peinent à retrouver du personnel. Ce n’est pas le cas de Bartolo : il pourrait ouvrir l’Osteria, mais le service est en extérieur uniquement à cette époque et ça ne suffit pas à faire travailler toute son équipe. La mairie lui donnera alors l’autorisation d’occuper toute la rue des Faussets, du jamais vu ! Pendant un bon mois il servira jusqu’à 225 places assises en terrasse, parfois même sous la pluie avec des parapluies ! « Dès que j’ai réouvert, les gens appelaient pour réserver, c’était la vie qui reprenait ! ».
mais après 2 ou 3 jours de réflexion j’ai décidé d’essayer. Quant on a réouvert, les clients venaient me remercier d’avoir lancer cette activité de traiteur pendant la pandémie, c’était incroyable ! ». Aujourd’hui la Trattoria ne fait plus que de la vente à emporter. C’est aussi une épicerie fine de produits italiens. Entre 2 confinements, Bartolo ouvre Bella Napoli au numéro 2 de la rue du Palais Gallien : bruschetta et focaccia notamment à déguster sur le pouce ou à emporter. Le 1er mars 2022 il ouvre sa dernière adresse au 54 de la même rue : La Delizia Da Bartolo.
A Saint-Augustin, la Trattoria subit elle aussi le confinement. Bartolo reçoit alors plus d’un millier d’emails d’habitants du quartier lui demandant de livrer à domicile. « Ce La Delizia, rue du Palais Gallien n’était pas mon métier
Adresse plus intimiste et bistronomique, on y retrouve les spécialités de la côte amalfitaine dont il est originaire : calamars farcis aux anchois, aux capres et Mais réussir à tenir la lonau persil, morue frite, car- gueur c’est un boulot énorme qui demande énerpaccio de poulpe, etc. gie et savoir-faire. Je vois beaucoup de gens LES RECETTES DU quitter leur travail pour SUCCÈS ouvrir un restaurant ou un L’ouverture de cinq res- bar. Ils font venir un architaurants en cinq ans, avec tecte, et pensent que ça va le confinement au milieu, marcher avec des beaux quelle réussite ! « La res- locaux. Mais ce n’est pas tauration c’est mon mé- aussi simple. Moi je soigne tier, je l’aime et je sais ce bien mes clients, je que je fais. Le fondement m’amuse avec eux, on de mes restaurants c’est échange, on rigole. Ici c’est l’Italie. D’abord avec les comme une auberge, produits : 80% arrivent j’adore recevoir des gens d’Italie et on reçoit envi- chez moi, je les mets tout ron 14 palettes par se- de suite à l’aise. maine. Ensuite je recrute majoritairement des chefs et du personnel Italien (à 70%) par le biais de l’école hôtelière. Ouvrir un restaurant c’est facile.
La Delizia Da Bartolo, 54 rue du Palais Gallien, 33000 Bordeaux
L’ambiance c’est comme on est, c’est généreux. J’adore la vie, je vis à fond et j’essaie de transmettre cette bonne humeur ». Boulimique de travail, il compte bien faire une pause dans son développement : pas de nouveaux restaurants à l’ordre du jour. Mais ce ne serait pas drôle si ce passionné de cuisine n’avait pas d’autres projets. En l’occurrence, la pâtisserie napolitaine, une glacerie, et la fabrication sur place de mozzarella. De belles surprise en perspective !
A VENDRE - TRIANGLE D’OR 1 050 000 € (dont 4 % d’honoraires charge acquéreur)
Magnifique appartement d’apparat de 121 m² donnant sur la place Gambetta. Prestations anciennes conservées. Il possède une entrée avec un salon d’attente, une grande salle de séjour, cuisine équipée discrète encastrée dans des meubles en bois, une suite parentale de 35 m² avec dressing et salle d’eau. Contacter Baptiste BERNADO au 06.78.98.58.60.
VIGNOBLE
Aujourd’hui nous nous rendons à Saint-Caprais, petite commune de l’Entredeux-Mers à une vingtaine de kilomètres de Bordeaux. Objectif du rendezvous : le Clos Paradiso, exploitation viticole dans la zone d’appellation Cadillac-Côtes de Bordeaux. Mais si on vous emmène là-bas ce n’est pas que pour vous parler de vin, c’est aussi pour vous raconter l’histoire hors du commun de Joël FRASCHINI, le propriétaire des lieux.
L’ADIEU AUX ARMES D’origine italienne, il naît en France et grandit dans une petite ville de Bourgogne. Très vite il s’ennuie et rêve de partir. C’est un fondu de sport. Il fait partie des cadets sapeurspompiers quand on lui
parle de gendarmerie : « J’y suis entré comme ça, par passion du sport. C’est le côté très physique qui m’a attiré puis mené aux unités d’élite, d’abord au GIGN puis au GSPR ». Le GSPR assure la sécurité du chef de l’Etat. Joël Fraschini y fait sa carrière, à la protection de
François Mitterrand puis de Jacques Chirac. Lorsqu’il quitte la gendarmerie, il s’installe à Bordeaux et commence une nouvelle vie à laquelle rien ne le prédestinait: celle de vigneron. Pour ça il se forme en faisant un BTS œnologie qu’il complète par des expériences dans
les grands châteaux à Saint-Emilion. Il trouve une parcelle à acheter et se lance en 2004.
UN PIGEONNIER DANS LES VIGNES C’est un pigeonnier du XVème siècle qu’achète Joël, un tas de ruines, un cylindre de pierres envahit par la végétation. Mais il se projette et imagine tout de suite la transformation. Il réhabilite lui-même ce bâtiment avec l’unique aide d’un artisan métallier. Ils vont travailler un an à cette restauration. Ils refont notamment la charpente et un plafond suspendu tenu par la poutre centrale. Tout le bois arrive brut de la scierie et c’est sur place qu’ils le travaillent. Ce lieu atypique est devenu magnifique et fonctionnel : un local technique au rez-de-chaussée,
un espace dégustation au 1er étage et un espace d’habitation au 2ème étage. « L’artisan était dans l’esprit du lieu, il prenait son temps, c’est un artiste. J’ai vraiment pris mon pied ! ».
RESPECTER LE PRODUIT Vient ensuite le moment de la production. « Au début ce n’était pas simple mais c’est venu assez vite. Le vin ne doit pas se faire
dans le stress, mais tranquillement. Par exemple je mets de la musique classique quand je travaille dans le chais. Ce n’est pas grand-chose mais ça apporte de la sérénité à la façon de travailler ». Cet état d’esprit il l’applique à toute sa production. Le vin est élaboré sans aucune mécanisation : vendanges et éraflage manuels pour une sélection rigoureuse des baies, choix des périodes en fonction de la
lune, pigeage fait à la main, etc. Pour lui c’est une façon de respecter le produit. « La haute technologie fonctionne aussi mais ce n’est pas l’angle que j’ai choisi ». Et c’est une réussite dès sa première année, en 2015. Des chefs de renom lui passent commande. Un négociant prestigieux propose de lui acheter l’intégralité de sa production mais il refuse. Il n’augmente pas ses prix pour « pouvoir toucher le plus grand nombre et pour ne pas être un imposteur, car nous ne sommes pas sur une appellation très prestigieuse ».
UNE HISTOIRE D’EMPREINTE Le nom du vin a lui aussi une histoire : « Après avoir coulé la dalle de béton, le maçon m’appelle pour me dire qu’un animal
était entré pendant la nuit et avait laissé des traces. J’ai choisi de les laisser visibles. Elles accompagnent le visiteur qui entre dans le pigeonnier et j’en ai tiré le nom du vin : « L’empreinte ».
Ce n’est pas meilleur ni moins bon, mais ça donne des vins plus ronds, plus souples plus rapidement ». Avec un mélange d’exigence, d’humilité et de plaisir, Joël Fraschini fabrique un vin de très grande qualité. Il ne cherche pas la quantité à tout prix ni l’uniformisation. Il veux faire un vin qui reste dans l’artisanat, qui révèle le terroir et sa personnalité. Pour lui, « c’est cette relation entre le terroir, l’humain et la plante qui fait que c’est un produit si particulier ».
« L’empreinte » est 100% Merlot « comme Petrus ». Le vin reste en barrique 12 à 17 mois en fonction des chauffes. Depuis 2019 Joël fait de la vinification intégrale (le vin est mis directement en barrique sans passage en cuve) : « Les tanins du bois contribuent à ce que les molécules se marient mieux.
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Château du 19ème siècle de 640 m2 sur un terrain d'environ 7 ha avec une périgourdine de 127 m2 à rénover, une grange et un hangar. Salon, salle à manger, 5 chambres avec arrière chambre/dressing, cuisine avec cheminée monumentale et poêle, salle d'eau, salle de bains, salle de billard. Bordeaux Immobilier Conseils - 0679253610 / delphine@bdx-immo.fr
MIEUX COMPRENDRE A QUOI ENGAGE UNE OFFRE D’ACHAT ? OU L’IMPORTANCE D’UN BON AGENT IMMOBILIER
Vous avez trouvé le logement de vos rêves et vous venez de faire une offre au prix. A quoi cela vous engage ? On va simplifier la réponse : pour vous, particulier, l’offre d’achat n’a quasiment aucune portée. Car en pratique vous bénéficiez d'un droit de rétractation de dix jours à l'issue de la signature du compromis de vente qui vous permet de renoncer à l'achat sans motivation et sans pénalité. Votre offre est au prix, le vendeur est-il obligé de l’accepter ? On vous épargne les finesses juridiques, mais sachez qu’à quelques exceptions près, le vendeur est libre d’accepter ou de refuser toute proposition. De même, le vendeur qui reçoit plusieurs propositions simultanément dispose d’une totale liberté de choix. Et c’est pareil une fois l’offre acceptée par le vendeur : la portée juridique de cette acceptation est très limitée en pratique et il est très difficile de poursuivre l’exécution forcée de la vente. A RETENIR : au final l’offre d’achat ne constitue donc qu’une simple invitation à entrer en négociation et ne peut pas, même acceptée, valoir vente. Il est également très difficile d’obtenir des dommages-intérêts.
Dans les faits, c’est donc à l’agent immobilier de s’assurer des bonnes conditions de la négociation pour conférer à l’offre d’achat toute sa valeur. Il doit analyser le projet de l’acheteur, valider se faisabilité, et s’assurer qu’il entre bien dans les conditions du vendeur. Une fois ce travail terminé, il peut démontrer au vendeur que le dossier acheteur est sûr et pertinent.
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Transactions uniquement
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