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La république Bolivarienne du Venezuela

Vol. 4: Numéro 14, 23 avril, 2018

Le ministère du pouvoir populaire pour les affaires étrangères

L'ambassade de la République bolivarienne du Venezuela

Bulletin

Hebdomadaire Dans Les élections présidentielles vénézuéliennes cette Des tweets partout dans le monde en édition soutien au candidat du Front large de la patrie Nicolas Maduro

Les élections présidentielles vénézuéliennes Les Etats-Unis présentent le rapport "Droits de l'Homme" -L'Espagne et le Venezuela entament un processus de normalisation des relations diplomatiques La déclaration de la haute représentante de l'Union européenne sur le Venezuela La République de Cuba organise des élections démocratiques La Syrie commémore le 72ème Anniversaire

Inside Africa:

La réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth Londre 2018

Tout le monde avec

Des personnalités politiques, des organisations et des mouvements sociaux soutiennent l'actuel président et candidat Nicolas Maduro pour les élections du 20 mai.

Les partis politiques vénézuéliens ont annoncé dimanche 22 avril 2018 la réalisation d'une campagne Twitter en faveur de l'actuel président et candidat à la présidence, Nicolas Maduro, dans le cadre du lancement de la campagne pour les prochaines élections du 20 mai.

L'événement devait commencer à 06:00 heure locale Les messages portant le hashtag #TodosConMaduro, sur le réseau social Twitter, visent à encourager les personnalités politiques, les organisations et les mouvements sociaux, les jeunes et les individus à soutenir le candidat du Frente Amplio de la Patria.

Le président Maduro a le soutien d'une douzaine de partis, dont son organisation politique le Parti socialiste unifié du Venezuela (PSUV), le Parti communiste du Venezuela, le mouvement Somos Venezuela (Nous sommes Venezuela), Patria Para Todos (Patrie pour tous) , entre autres.

Dans l'élection, le président actuel fera face à Henri Falcon, du parti Progressiste Advancé, Mouvement au socialisme (MAS) et au Comité d'organisation politique électorale indépendante (Copei), Javier Bertucci, du groupe des électeurs Espoir pour le changement, Reinaldo Quijada , de UPP89, et indépendant Luis Alejandro Ratti. www.telesurtv.net

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Les Etats-Unis présentent le rapport "Droits de l'Homme" Alors que l'administration américaine prétend être le champion des droits de l'homme et avoir une société civile dynamique, de solides protections constitutionnelles pour de nombreux droits civils et politiques, elle est la plus grande hypocrite du monde, de nombreuses lois et pratiques américaines, notamment dans les domaines de la justice pénale et juvénile, de l'immigration et de la sécurité nationale, violent les droits de l'homme internationalement reconnus. Souvent, ceux qui sont le moins en mesure de défendre leurs droits devant les tribunaux ou par le biais du processus politique - les membres des minorités raciales et ethniques, les immigrants, les enfants, les pauvres et les prisonniers - sont les personnes qui souffrent le plus souvent Le gouvernement du Venezuela a dénoncé un rapport sur la pratique des droits de l'homme publié en 2017 par le Département d'État américain, qui accuse le pays de violations des droits de l'homme.Le gouvernement du Venezuela a dénoncé un rapport sur la pratique des droits de l'homme publié en 2017 par le Département d'État américain, qui accuse le pays de violations des droits de l'homme.Le Venezuela a déclaré "la manipulation du régime des Etats-Unis d'Amérique sur le sujet des droits de l'homme avec le seul objectif de promouvoir la campagne d'agression et la délégitimation des puissances nationales pour justifier sa politique de" changement de gouvernement ".

autorité morale ou juridique pour agir en tant que juge de la défense des droits de l'homme, puisque ses propres pratiques internationales et nationales le présentent comme l'un des principaux auteurs des violations des droits de l'homme.

Le gouvernement des États-Unis encourage les guerres génocidaires et soutient des conflits impitoyables pour des intérêts économiques et géopolitiques, dans lesquels les populations civiles ont subi la violation totale de tous leurs droits humains. La République bolivarienne du Venezuela dénonce une fois de plus devant la communauté internationale la manipulation du régime américain des droits de l'homme, dans le seul but de promouvoir des campagnes d'agression et la délégitimation des autorités nationales, justifiant ainsi son «changement ... politiques «gouvernementales». La République bolivarienne du Venezuela réaffirme, devant le monde, son engagement inébranlable en faveur de la promotion, de la protection, du respect et de la défense globale des droits de l'homme.

Le gouvernement bolivarien a publié la déclaration samedi, affirmant que les allégations contre le Venezuela sont récurrentes et routinières.

La République bolivarienne du Venezuela rejette catégoriquement les rapports nationaux sur les pratiques des droits de l'homme 2017 publiés par le Département d'État des États-Unis, ainsi que la pratique qui vise à qualifier d'autres pays et à utiliser la question des droits de l'homme à des fins politiques afin de faire progresser leurs intérêts impériaux.. Le régime suprématiste et xénophobe des États-Unis n'a aucune

www.telesurtv.net www.iranian.com www.mppre.gob.ve

L'Espagne et le Venezuela entament un processus de normalisation des relations diplomatiques Le Royaume d'Espagne à travers le Ministère des Affaires Etrangères et de la Coopération et le Ministère du Pouvoir Populaire pour les Affaires Etrangères de la République bolivarienne du Venezuela ont convenu d'entamer un processus de normalisation des relations diplomatiques au profit de ses citoyens unis par des liens étroits qui doivent être préservés.

A cette fin, ils se sont mis d'accord sur le retour de leurs ambassadeurs dans les pays respectifs dans les jours à venir, afin de rétablir les canaux de dialogue diplomatique entre les deux gouvernements, dans le cadre du respect mutuel et du droit international. www.mppre.gob.ve

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La déclaration de la haute représentante de l'Union européenne sur le Venezuela L'Union européenne a déclaré jeudi 19 avril 2018 qu'elle pourrait imposer de nouvelles sanctions au Venezuela s'il estime que la démocratie y est compromise, après que le président sud-américain ait appelé le mois prochain des élections selon lesquelles l'opposition principale a annoncé son boycott.

Federica Mogherini, chef de la diplomatie européenne, a déclaré dans un communiqué qu'elle regrettait la manière dont les autorités du président Nicolas Maduro avaient appelé les élections présidentielles du 20 mai sans consensus sur les "conditions d'un processus électoral crédible et inclusif".

Le gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela rejette fermement la déclaration de la haute représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères, Federica Mogherini, au nom de l'Union européenne, publiée le 19 avril 2018, qui viole clairement les principes les plus élémentaires du droit international. la loi et les dispositions relatives au respect de la souveraineté, à l'autodétermination des peuples et à la non-ingérence dans les affaires intérieures des États, établies dans la Charte des Nations Unies. Avec ce type de positions, l'Union européenne et ses États membres démontrent une fois de plus leur regrettable subordination aux instructions du gouvernement des États-Unis d'Amérique.

Ces actions représentent une agression contre le peuple vénézuélien et l'État vénézuélien et ses institutions légitimes et souveraines. Il est important de rappeler a la Haute Représentante que le système électoral vénézuélien est l'une des plus grandes forces de notre démocratie, un exemple des progrès réalisés par les peuples pour consolider leur droit de choisir en paix et sans ingérence d'une nation ou d'une puissance étrangère.

L'Autorité électorale du Venezuela est un pilier fondamental de la patrie vénézuélienne. Son efficacité et sa transparence ont été reconnues dans le monde entier et servent de référence pour de nombreuses nations démocratiques, y compris les États de l'Union européenne. Comme elle a été publiquement connue et publiée dans les médias, l'Autorité électorale a invité les observateurs internationaux, en particulier de l'Union européenne, sans aucune limitation, à témoigner de la transparence du processus électoral que certains ont l'intention de mettre en question avant la concrétisation.

Malgré les déclarations de la Haute Représentante, le Gouvernement bolivarien du Venezuela et les autorités électorales réitèrent l'invitation envoyée a la Haute Représentante pour participer en tant qu'observateur international au processus électoral qui se tiendra le 20 mai prochain, car elle lui a été directement informée lors de la réunion dans son bureau à Bruxelles le 11 avril avec le ministre des Relations extérieures, Jorge Arreaza. De même, le ministre vénézuélien des Affaires 3

étrangères a exhorté la Haute représentante à entreprendre les procédures correspondantes et appropriées afin de débloquer les fonds et les transactions de l'État vénézuélien par les institutions financières européennes, en signe d'indépendance à la lumière de la soumission mesures coercitives illégales émises par l'administration de Donald Trump contre l'économie et le peuple du Venezuela.

Le Venezuela sera toujours prêt à engager un dialogue constructif avec l'Union européenne et ses Etats membres, basé sur le respect mutuel et le traitement égalitaire, comme le président Nicolas Maduro l'a montré ces derniers jours en proposant et concrétisant la normalisation des relations diplomatiques avec le Royaume d'Espagne.

Aujourd'hui, 19 avril, date à laquelle nous célébrons le début de la ferme détermination du peuple vénézuélien à être libre et indépendant, nous réaffirmons les idées du Libérateur, Simon Bolivar, qui dans un message adressé aux délégués du Congrès Amphictyonique de Panama, exhorté à résister à toute intervention dans les affaires intérieures des nations latino-américaines. Aucun vestige impérial, nation, groupe de pays ou organisation de quelque nature que ce soit, ne peut intervenir ou porter atteinte à notre indépendance et à notre ligne de liberté, de paix et de coexistence démocratique sans faille. www.mppre.gob.ve www.euractiv.com Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade

La République de Cuba organise des élections démocratiques

Le président cubain Raul Castro, centre gauche, entre à l'Assemblée nationale, suivi de son successeur Miguel Diaz-Canel, centre droit, pour le début de la session législative de deux jours à La Havane, Cuba, mercredi 18 avril 2018. L'assemblée cubaine a choisi M. Miguel Diaz, le premier vice-président de 57 ans, comme candidat unique pour succéder à Castro, dans une transition visant à faire en sorte que le système de parti unique du pays survive aux révolutionnaires vieillissants qui l'ont créé.

Miguel Diaz-Canel, âgé de 57 ans, a remplacé Raul Castro au poste de président de Cuba le 19 avril 2018, marquant le début d'une nouvelle ère politique: un gouvernement dirigé par une seule famille pendant six décennies tente d'assurer la survie à long terme des derniers états communistes du monde.

L'Assemblée nationale a annoncé que Miguel Mario Diaz-Canel Bermudez avait été approuvé comme seul candidat à la présidence. Les membres de l'Assemblée nationale ont ouvert la session cruciale un jour après avoir voté sur la nomination de Miguel Mario Diaz Canel Bermudez comme seul candidat à la présidence. Le résultat devait être officiellement annoncé mais le résultat était clair car l'assemblée approuve toutes les propositions de la branche exécutive par des marges de 95% ou plus.

progrès et le projet socialiste dans la société cubaine, ainsi que pour son leadership. le monde et dans Notre Amérique, promouvoir le respect du droit international et favoriser les processus d'intégration régionale, en élargissant la solidarité, la connaissance et l'égalité entre les peuples du monde. Le camarade Raul Castro a plus qu'accompli l'énorme responsabilité confiée au peuple cubain par le commandant Fidel Castro de jouer avec sagesse, loyauté et courage; comme il l'a fait dans toutes les tâches que l'histoire lui a confiées, combattant des mille batailles avec Fidel, depuis le 26 juillet, le Granma et la Sierra Maestra, avec le triomphe de la Révolution, pendant près de six décennies de résistance anti-impérialiste et les progrès globaux du peuple cubain.

Ces dernières années, les Présidents Raul Castro et Nicolas Maduro ont renforcé l'union solidaire et imprenable entre Cuba et le Venezuela, ainsi que la consolidation et le renforcement de l'Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique (ALBA-TCP) et la Communauté. des États d'Amérique latine et des Caraïbes (CELAC), honorant la vision stratégique et l'héritage infini des commandants géants, Fidel Castro et Hugo Chavez. Le camarade Raul Castro a beaucoup de choses à accomplir pour contribuer à son pays et à l'humanité, à partir de ses nouvelles tranchées de lutte.

De même, le Président Nicolas Maduro félicite avec enthousiasme le nouveau Président des Conseils d'Etat et des Ministres de la République de Cuba, le camarade Miguel Diaz-Canel, fidèle représentant de la brillante nouvelle génération, né, grandie et forgé avec la revolution cubaine, affirmant ainsi que son élection garantit que la patrie de Marti et de Fidel restera libre, souveraine et socialiste. Miguel Diaz-Canel a démontré la rectitude, l'efficacité et l'engagement révolutionnaire dans chaque responsabilité, de tous ceux que la direction de la révolution cubaine lui a confiés.

Le départ du président Castro de la présidence est néanmoins un moment symboliquement chargé pour un pays - d'abord par le dirigeant révolutionnaire Fidel Castro et, depuis dix ans, par son frère cadet.

Le président Diaz-Canel et le peuple révolutionnaire de Cuba ont le soutien sans réserve du président Nicolas Maduro et de la révolution bolivarienne, pour approfondir notre union et affronter ensemble les défis et les luttes pour la justice sociale et le développement humain dans ce monde tumultueux, et pour les années à venir. À cette date, qui commémore le début de la contre-offensive révolutionnaire de Playa Giron, qui en moins de 72 heures a réussi à vaincre l'invasion mercenaire impérialiste, le peuple cubain continue d'enseigner des leçons de dignité au monde au 21ème siècle; et la révolution bolivarienne et la révolution cubaine continueront à être unies par l'héritage émancipateur de Marti et de Bolivar et l'alliance indissoluble scellée par l'étreinte historique entre Hugo Chavez et Fidel Castro.

"Nous construisons une relation entre le gouvernement et les gens ici", a-t-il déclaré après avoir voté pour les membres de l'Assemblée nationale. "La vie de ceux qui seront élus doit être axée sur les relations avec les gens, l'écoute des gens, l'étude de leurs problèmes et encourager le débat." Dit le président Miguel Diaz.

Le président de la République bolivarienne du Venezuela, Nicolas Maduro Moros, au nom du gouvernement et du peuple vénézuéliens, félicite le peuple frère de la République de Cuba pour la performance impeccable, démocratique et participative dans la nomination de ses autorités législatives et exécutives, Il a culminé avec l'élection des membres du Conseil d'État, notamment l'élection du camarade Miguel Diaz-Canel comme nouveau président, par l'Assemblée nationale du pouvoir populaire souverain.

Vers la victoire toujours! Nous vaincrons!

Le président Nicolas Maduro a exprimé sa profonde admiration et sa reconnaissance touchante envers le général de l'armée Raul Castro Ruz, pour la direction droite de son peuple ces dernières années, consolidant l'indépendance, le

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La Syrie commémore

le 72èmeAnniversaire

La Syrie, un pays où les manifestations de masse sont tenues ces jours-ci en rejetant la récente agression des Etats-Unis et des alliés occidentaux, a célébré le 17 avril 2018, le 72ème anniversaire du Jour de l'Indépendance.

Le Président de la République bolivarienne du Venezuela, Nicolás Maduro Moros, a adressé, au nom du peuple et du gouvernement bolivarien, ses plus chaleureuses félicitations au courageux peuple et au gouvernement de la République arabe syrienne à l'occasion de leur LXXII anniversaire de leur fête nationale.

Le peuple bolivarien rejoint la commémoration de ce jour glorieux de 1946, après une longue lutte contre le colonialisme européen, qui, depuis l'accord de Sykes-Picott, a voulu imposer son joug au peuple syrien, il a été possible de finaliser le retrait de l'occupation. troupes, et enfin l'indépendance et la souveraineté pour la nation syrienne sœur a été atteint.

Le gouvernement bolivarien réaffirme son refus du bombardement criminel du territoire syrien effectué le 14 avril par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni, réitérant l'engagement du Venezuela envers le gouvernement de la République arabe syrienne, pays jumelé à l'histoire et à la culture, unité anti-impérialiste, dans la lutte que nous menons actuellement ensemble contre des menaces très similaires, que nous savons pouvoir conjurer ensemble, tant que nous construisons un monde multipolaire et multi-centré.

La République bolivarienne du Venezuela saisit l'occasion pour réaffirmer son soutien car la paix peut atteindre le peuple syrien frère, la paix dans la dignité étant fondée sur le respect de la décision du peuple et du gouvernement de la République arabe syrienne de conserver son indépendance. www.mppre.gob.ve

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À L'INTÉRIEUR DE L'AFRIQUE:

La réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth LONDRES 2018

La réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth 2018, également connue sous le nom de CHOGM 2018, était la 25ème réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth des Nations. Il s'est tenu au Royaume-Uni. La réunion devait être tenue par Vanuatu à la fin de 2017, mais a été déplacée au Royaume-Uni après l'impact du cyclone Pam sur l'infrastructure du Vanuatu. La réunion a ensuite été reportée à avril 2018 en raison d'autres engagements internationaux.

Le poste de président en exercice du Commonwealth, détenu par le chef du gouvernement du pays hôte de la CHOGM, a été transféré au sommet du Premier ministre de Malte a la premiere ministre du Royaume-Uni, qui occupera ce poste jusqu'au 26e CHOGM. (prévu en 2020)

L'ordre du jour des dirigeants du Commonwealth comprend des discussions sur la promotion d'une croissance économique inclusive et durable, le soutien aux petits États vulnérables et la reconnaissance des opportunités de développement économique de l'océan.

LE PRÉSIDENT KENYATTA AU SOMMET DE CHOGM Le président Uhuru Kenyatta s'est joint aux autres chefs de gouvernement lors du sommet des dirigeants du Commonwealth dont l'objectif est d'accroître la prospérité mondiale.

Au cours des tables rondes des dirigeants, le président Uhuru devrait parler de questions prioritaires pour le Kenya, notamment la promotion de la croissance inclusive et la lutte contre l'extrémisme violent et les menaces à la cybersécurité. Il a présenté les efforts du Kenya pour défendre le développement économique durable des océans et des côtes.

Le commerce et l'investissement entre le Kenya et l'après-Brexit en Grande-Bretagne sont l'une des priorités de l'ordre du jour du président Kenyatta pendant le sommet.

Le Royaume-Uni a été un partenaire commercial et diplomatique fort pour le Kenya.Des 220 entreprises britanniques d'une valeur de 2,7 milliards de dollars opèrent au Kenya et emploient 250 000 Kenyans. Le président Uhuru est un fervent partisan du commerce intra-africain et a défendu l'adoption de la zone de libre-échange continentale africaine (ALEAC).

Le soutien à l'appel lancé aux pays membres pour qu'ils continuent à soutenir les mécanismes dirigés par les femmes et les jeunes qui permettent leur participation significative à la croissance économique et aux processus de consolidation de la paix.

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Dans l'ensemble, 47 des 53 États du Commonwealth étaient représentés au sommet par leurs chefs de gouvernement, les ministres des Affaires étrangères étant les principaux participants des autres pays.

Le président Kenyatta, en marge des forums du Commonwealth, s'est déjà entretenu avec le président Cyril Ramaphosa (Afrique du Sud), le président Filipe Nyusi (Mozambique) et la présidente Nana Akufo-Addo (Ghana) .Le kenya a émergé du sommet avec un endossement pour son nouveau rôle en tant que champion du développement de l'économie bleue.

LES RÉSULTATS Les dirigeants ont publié un communiqué à la fin du sommet dans lequel ils: 1) ont engagé leurs pays à ratifier et à appliquer la Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes, 2) "intégrer les priorités des jeunes dans les politiques et plans de développement nationaux", 3) «combattre la stigmatisation entourant le handicap sous toutes ses formes et manifestations» 4) approuvé le rapport du Groupe d'action ministériel du Commonwealth sur les valeurs politiques fondamentales du Commonwealth, 5) adopté les lignes directrices révisées du Commonwealth sur l'observation des élections dans les pays membres 6) appelé à renforcer la réponse internationale à l'important mouvement de réfugiés, y compris le retour dans leur pays d'origine dans la sécurité et la dignité 7) adopté une déclaration sur le programme de connectivité du Commonwealth pour le commerce et l'investissement et a chargé le Secrétariat d'élaborer un plan d'action d'accompagnement qui tienne compte du renforcement des capacités et de la connectivité matérielle et souple" 8) adopté la Charte bleue du Commonwealth sur le développement durable et la protection des océans du monde 9) adopté une déclaration sur le cybercommerce du Commonwealth qui «reflète les valeurs du Commonwealth et énonce un engagement commun en faveur d'un Internet ouvert, démocratique et sécurisé, respectueux des droits de la personne et de la liberté d'expression».

10) appelé à un renforcement de la mise en œuvre de la Convention sur les armes chimiques 11) accepté de travailler ensemble pour lutter contre le changement climatique - en particulier en ce qui concerne les «petits États insulaires en développement» 12) Coordonner les efforts de lutte contre l'extrémisme et la traite des êtres humains.

13) Ils ont convenu que le Rwanda accueillera la prochaine CHOGM en 2020 et que le Samoa accueillera la CHOGM 2022.

La Première ministre Juma a été nommé présidente du Groupe d'action ministériel du Commonwealth (GAMC), qui s'occupe des conflits et des questions de gouvernance au sein du Commonwealth.

LES PARTICIPANTS NOTABLES

Les ministres des Affaires étrangères présents à CHOGM 2018 1) Jacinda Ardern, Première ministre de Nouvelle-Zélande; C'était sa première participation à CHOGM. 2) Adama Barrow, président de la Gambie; après le retour de la Gambie à son statut de république du Commonwealth le 8 février 2018.

3) Narendra Modi, Premier ministre de l'Inde; marquant la première fois depuis CHOGM 2011 qu'un Premier ministre de l'Inde a assisté au sommet.

4) Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a dû quitter le sommet de bonne heure, retournant en Afrique du Sud pour faire face aux émeutes dans la province du Nord-Ouest.

Le ministre des Affaires étrangères du Zimbabwe, Sibusiso Moyo, était à Londres et a demandé à assister au sommet en tant qu'observateur dans une tentative par le pays de reprendre contact avec le Commonwealth après le départ du président de longue date Robert Mugabe. La présence de Moyo aurait été la première fois que le Zimbabwe a assisté à un CHOGM depuis son départ du Commonwealth en 2003. Moyo a rencontré plusieurs dirigeants du Commonwealth en marge du sommet, et le Royaume-Uni a exprimé son soutien pour réintégrer le Zimbabwe au Commonwealth, mais Moyo n'était pas autorisé à assister au sommet lui-même car le Commonwealth ne prévoit pas de statut d'observateur.

Les dirigeants ont également publié une déclaration annonçant leur décision que le prince Charles sera le prochain chef du Commonwealth www.capitalfm.co.ke www.the-star.co.ke Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade

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