NEWSLETTER 13 FRENCH VERSION

La république Bolivarienne du Venezuela

Vol. 4: Numéro 13, 17 avril, 2018

Le ministère du pouvoir populaire pour les affaires étrangères

L'ambassade de la République bolivarienne du Venezuela

Bulletin

Hebdomadaire Dans cette édition

Le Venezuela condamne l'attaque perpétrée par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni contre la Syrie

Le Venezuela condamne l'attaque perpétrée par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni contre la Syrie La réponse du chancelier cubain au vice-président des États-Unis au VIIIe Sommet Le Venezuela: Le Venezuela exige de l'Union européenne le respect de ses institutions, de son gouvernement et de sa constitution Un accident d'avion tragique en Algérie Le deuxième héros de la libération du Kenya, Kenneth Matiba, est honoré après sa mort Pourquoi le pouvoir impérial occidental a-t-il entrepris de détruire la Syrie?

À L'INTÉRIEUR DE L'AFRIQUE: La Tanzanie classée en tête du classement des investissements

Le vendredi 13 avril 2018, les alliés américains et européens ont lancé des frappes aériennes contre des cibles syriennes de recherche, de stockage et militaires. "Le gouvernement de la République bolivarienne du Venezuela répudie et condamne fermement l'attaque militaire unilatérale perpétrée par les États-Unis, la France et le Royaume-Uni contre le territoire et le peuple frère de la République arabe syrienne. " Une fois de plus, les États-Unis et certains de leurs alliés ignorent les principes et les normes les plus élémentaires du droit international, lorsqu'ils entreprennent une action unilatérale, sans discussion ni approbation au sein des organes habilités à le faire par les Nations Unies. Avec l'utilisation unilatérale et illégale de la violence, les pays attaquants violent ouvertement la souveraineté, le droit à la vie et tous les droits de l'homme du peuple syrien frère.

La République arabe syrienne a été attaquée en dépit du fait que l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) n'a pas encore envoyé ses équipes d'experts sur le terrain pour enquêter sur l'utilisation supposée d'armes chimiques par l'armée syrienne. L'opération militaire précipitée des Etats-Unis, rappelle l'invasion catastrophique de l'Irak en 2003, justifiée sous prétexte de la nécessaire neutralisation des armes de destruction massive qui, après des mois de mort et de chaos, ont reconnu n'avoir jamais rien trouvé.

Le Président de la République bolivarienne du Venezuela, au nom du peuple et du gouvernement vénézuéliens, exprime sa solidarité absolue avec le peuple et le gouvernement syriens pour les pertes en vies humaines, les blessures et les dégâts matériels résultant de cette attaque impitoyable et injustifiée. www.mppre.gob.ve

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La réponse du chancelier cubain au viceprésident des États-Unis au VIIIe Sommet

Le ministre des Affaires étrangères de Cuba, a assuré ce samedi 13 de avril de 2018 à Lima que notre pays est disposé à maintenir des relations cordiales avec les Etats-Unis, mais pour cela, il n'est pas disposé à "négocier pas un de ses principes". Le ministre cubain des Affaires étrangères, Bruno Rodriguez Parrilla, a déclaré samedi à Lima que notre pays est disposé à maintenir des relations cordiales avec les Etats-Unis, mais qu'il n'est pas disposé à "négocier un seul principe". "Cuba n'acceptera pas le chantage des Etats-Unis", a déclaré le diplomate lors des sessions du VIIIème Sommet des Amériques. "Cuba ne veut pas de confrontation, mais il ne négociera ni ne cèdera un de ses principes", a-t-il ajouté, après avoir souligné les sacrifices et la résistance du peuple cubain pour obtenir le droit d'occuper ce poste.

Il a dénoncé le durcissement du blocus économique par Washington, qui touche le peuple des Grandes Antilles, alors que l'isolement du gouvernement américain dans le monde, dans sa société et dans la population d'origine cubaine, se renforce à cause de cette politique ratée. Les arguments utilisés pour réduire le personnel de l'ambassade des États-Unis à Cuba ont été totalement discrédités, a déclaré Rodriguez Parrilla, à propos de la décision qui a pratiquement paralysé la section consulaire et les services de la mission officielle américaine. "Notre Amérique, martiana et bolivariana, un groupe de nations du Rio Grande à la Patagonie, continue d'être pillé et vilipendé par l'impérialisme américain", a déclaré Rodríguez Parrilla, qui a rappelé la doctrine Monroe pour justifier la domination américaine dans notre région. .

Il a dénoncé le danger qui existe en ce qui concerne le retour possible à l'usage de la force et les mesures coercitives unilatérales et même les coups d'Etat militaires sanglants. "La gravité de la déclaration du Venezuela comme une menace inhabituelle et extraordinaire à la sécurité de la superpuissance" des Etats-Unis ne doit pas être sous-estimée, at-il ajouté. Il a déclaré que l'absence du président Nicolás Maduro du Sommet était un "affront à l'Amérique latine" et un recul de Washington. En ce sens, il a ratifié sa solidarité avec le Venezuela et a souhaité des succès à la prochaine élection présidentielle au Venezuela. Le chancelier cubain a invoqué dans l'audience la déclaration de l'Amérique latine comme zone de paix, signée par tous les présidents de la région lors du sommet de la CELAC à La Havane en 2013.

Il a rappelé que le gouvernement cubain avait condamné l'attaque perpétrée par les Etats-Unis et certains alliés de l'OTAN contre la Syrie et avait dénoncé le fait que l'action était "unilatérale" et ne reposait pas sur des preuves. À cet égard, il a souligné que Cuba rejette l'utilisation d'armes chimiques par "n'importe quel acteur et en toute circonstance". Rodríguez Parrilla a critiqué que l'Amérique latine est la région avec la plus grande inégalité dans la distribution de la richesse. "Les gens n'ont pas un accès équitable à la santé, à l'emploi, à l'assainissement, à l'électricité et à l'eau potable", a-t-il ajouté.

"Nous ne ferons que progresser par l'intégration au milieu de la diversité qui a conduit à la création de la CELAC", a-t-il déclaré. En attendant, il a souligné que dans les campagnes électorales aux États-Unis il n'y a pas de limites éthiques et la haine, la diffamation, le racisme et la xénophobie sont promus, alors qu'il a dénoncé les tentatives de construire des murs sur la frontière sud.

De quoi parle-t-on de démocratie et de valeurs? »Le diplomate cubain s'est demandé:« Ceux de Lincoln et de Martin Luther King »ou ceux de« l'extrémiste conservateur qui gouverne aujourd'hui aux États-Unis ». Le ministre cubain des Affaires étrangères a souligné les liens de notre pays avec le Pérou, en particulier la solidarité de l'île en période de catastrophes naturelles. "Nous savons que le peuple péruvien répudie les agressions contre Cuba des derniers jours".

Les événements récents montrent que l'OEA, en particulier son secrétaire général, Luis Almagro, sont de simples instruments des Etats-Unis, a dénoncé le diplomate cubain. Il a ajouté que ses actions visent à restaurer le «néolibéralisme sauvage» à l'échelle continentale et son utilisation de la lutte contre la corruption comme «l'arme politique».

Il indique que, dans le cas du Brésil, l'ancien président Luiz Inácio Lula da Silva est un prisonnier politique et a demandé sa libération. En ce qui concerne le prochain processus électoral, le 19 avril, il a déclaré que les jeunes générations, avec le Parti communiste de Cuba, célébreront la victoire contre l'agression mercenaire de Playa Girón. www.granma.cu 2

Le Venezuela:-

Les États-Unis ont destiné plus de 50 millions de dollars contre le Venezuela

L'ONU n'enverra pas d'observateurs aux élections présidentielles et législatives au Venezuela

Le Conseil national électoral a confirmé que les Nations Unies n'enverra pas d'observateurs aux élections présidentielles et législatives qui se tiendront le 20 mai au Venezuela. L'information a été confirmée par la présidente du Conseil électoral Tibisay Lucena, de Tunisie, où elle a lancé une tournée mondiale pour informer sur le processus électoral du Venezuela. Lucena estime que l'absence des Nations Unies aux élections du Venezuela est due à la position politique du secrétaire général Antonio Guterres.

Les Etats-Unis ont approuvé plus de 50 millions de dollars pour financer plusieurs agences opérant à la frontière du Venezuela avec la Colombie. L'Agence des Nations Unies pour les réfugiés a confirmé que Washington avait fourni plus de 35,5 millions de dollars pour de multiples activités à la frontière. Jeudi dernier, le vice-président américain, Mike Pence, a disposé de 16 millions de dollars supplémentaires pour s'occuper des problèmes frontaliers.

Pence a fait l'annonce après une réunion au Pérou avec divers facteurs politiques vénézuéliens opposés à Nicolas Maduro, y compris le parlementaire Julio Borges. Les troupes colombiennes ont été mobilisées à la frontière avec le Venezuela et au Brésil des tâches similaires ont été faites en dupliquant la présence militaire à Roraima

Elle a exposé devant les médias européens, africains et arabes que Guterres n'avait aucune raison de boycotter les élections au Venezuela. Le président du pouvoir électoral a entamé une tournée d'information à travers divers pays européens et africains, a confirmé la chancellerie vénézuélienne.

20 procureurs publics détenus pour corruption

L'Union Africaine officiellement invitée

Le procureur général du Venezuela, Tareck William Saab, a indiqué lundi 17 février 2018 que vingt procureurs publics avaient été arrêtés au Venezuela pour corruption. Les autorités vénézuéliennes ont confirmé la détention de l'ex-procureur, Saida Josefina Farfán Acosta, du bureau du procureur de l'État de Bolivar et ex-procureur pour les matériaux stratégiques, QuQu del Valle Quintana Rojas.

Les femmes ont été arrêtées pour avoir prétendument vendu des médicaments, de la nourriture et du matériel stratégique sous la supervision du bureau du procureur général. Farfán Acosta et Quintana Rojas seront présentés devant le tribunal pour être accusés de crimes de corruption, de détournement intentionnel de biens publics et d'association de malfaiteurs.

Le Venezuela a officiellement réitéré l'invitation à l'Union africaine d'envoyer une mission d'observation pour participer aux élections présidentielles du 20 mai. La chancellerie vénézuélienne a informé que le vice-chancelier Yuri Pimentel a rencontré le chancelier sénégalais, Sidika Kaba, pour préciser l'invitation faite par le Conseil électoral national à l'Union africaine. Pimentel et Kaba ont parlé des élections, où 20,5 millions de Vénézuéliens sont appelés à voter. Ce jour-là, les Vénézuéliens choisiront également les membres des conseils législatifs municipaux et des États. Caracas a informé que lundi l'un des 14 processus d'audit du système électoral a été accompli.

Le Brésil ne prévoit pas de fermer la frontière avec le Venezuela Le ministre brésilien de la Sécurité, Raul Jungmann, a affirmé qu'il n'y avait pas de raison de fermer la frontière avec le Venezuela comme l'avaient demandé les autorités de Roraima. Jungmann a déclaré au journal brésilien que la frontière ne peut pas être fermée et donc rompre une tradition diplomatique et humanitaire. Le gouvernement de l'État de Roraima a demandé à la Cour suprême de fermer temporairement la frontière vénézuélienne, alléguant une effusion de services publics due à l'arrivée des Vénézuéliens.

L'église vénézuélienne pourrait recevoir des fonds des États-Unis La presse locale a rapporté que le sénateur américain Marco Rubio a suggéré de financer des opérations au Venezuela par l'intermédiaire de l'église catholique de ce pays. Le sénateur républicain pour l'état de la Floride, Marco Rubio, a déclaré que le financement de ces opérations ne doit pas être mélangé avec des actions politiques.

Rubio a indiqué que des ressources économiques pourraient également être fournies par l'intermédiaire des bureaux des Nations Unies ou des organisations non gouvernementales. Le vice-président américain, Mike Pence, a confirmé que les Etats-Unis avaient approuvé jeudi 16 millions de dollars pour financer des opérations à la frontière vénézuélienne. Les Etats-Unis ont envoyé plus de 50 millions de dollars pour couvrir les coûts d'opération à la frontière pour diverses agences et pour le gouvernement colombien.

Jungmann a qualifié la situation de Roraima de grave mais a insisté sur l'absence de raisons de fermer la frontière, une mesure qu'il a qualifiée de radicale. Le ministre brésilien de la sécurité a ajouté que la fermeture de la frontière est une attribution pour le président de la République et non pour la Cour suprême. Le Brésil a doublé la présence militaire à Roraima, une mesure similaire à celle prise par la Colombie au nord de Santander. Le Venezuela a dénoncé que ces pays font partie d'un complot international contre Nicolas Maduro.

Source: Chavezvive

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Libérez notre argent

Les centres électoraux sont prêts

Le Conseil électoral national vénézuélien a publié la liste des 14.511 centres électoraux qui fonctionneront pour les élections du 20 mai. Plus de 20,5 millions de Vénézuéliens sont appelés à choisir le Président et les membres de la Vingt-cinquième seront au Venezuela depuis 1998.

Le Venezuela par l'intermédiaire du chancelier, Jorge Arreaza, a demandé à l'Union européenne des actions auprès du fournisseur de services financiers, Euroclear, pour la libération de plus de 1.500 milliards de dollars vénézuéliens que la compagnie continue de bloquer.

Caracas cherche à établir des relations avec Madrid

La demande a été faite lors d'une réunion avec Federica Moguerini, haute représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité. Euroclear fait partie du système financier mondial qui entrave la libre circulation de l'argent vénézuélien, après un décret approuvé par Washington en août dernier.

Le chancelier Arreaza a déclaré à Moguerini que l'Union européenne doit demander aux banques de ne pas être induites en erreur par les sanctions américaines et de permettre au Venezuela d'avoir accès au financement. Il expliqué que le blocus activé aux États-Unis, et dans les banques européennes ne permet pas les transactions gouvernementales pour l'importation de produits de base.

Le Venezuela a envoyé une lettre au gouvernement espagnol à Madrid pour encourager un processus de dialogue visant à régulariser les relations diplomatiques entre les deux pays. Le chancelier vénézuélien Jorge Arreaza, a informé que malgré l'attitude intrusive flagrante de Madrid, le gouvernement de Nicolas Maduro veut ouvrir des espaces de dialogue et régulariser les relations.

L'UE change les lois pour bloquer le Venezuela

La lettre a été remise directement au ministre espagnol des Affaires étrangères, Alfonso Dastis, a déclaré Arreaza lors de la Belgique. Arreaza regrette que le chef d'État espagnol, Mariano Rajoy, protège les fugitifs de la justice vénézuélienne et garde une conduite hostile contre le Venezuela. Caracas a expulsé l'ambassadeur de Madrid en janvier dernier, une mesure prise par le gouvernement espagnol 24 heures plus tard

Le Venezuela offre au Ghana ses 3 satellites Le gouvernement vénézuélien a offert son système de satellites à la République du Ghana lors d'une réunion entre Yuri Pimentel, vice-ministre du Venezuela pour l'Afrique et la ministre des Affaires étrangères du Ghana, Shirley Ayorkor Botehway.

Le chancelier vénézuélien, Jorge Arreaza, a dénoncé les nouvelles agressions déclenchées par l'Union européenne contre les institutions vénézuéliennes. M. Arreaza a regretté que l'Union européenne tente d'étendre ses facultés pour harceler le pays au milieu d'une vague de sanctions initiée par Washington.

Le Venezuela a proposé l'utilisation des satellites Simon Bolívar, Miranda et Sucre pour conclure des accords bilatéraux concrets dans les secteurs de l'éducation et des télécommunications. La Chancellerie vénézuélienne a informé que les deux Nations ont également évalué des projets pour les secteurs minier et énergétique. Pimentel a également rencontré le vice-ministre de l'Intérieur de la nation africaine, Ambrose Dery, pour parler de la lutte contre la drogue. C'est le deuxième pays visité par le vice-ministre Pimentel lors d'une tournée à travers le continent africain après sa visite au Bénin.

Il a examiné les mesures que certains pays de l'Union européenne ont l'intention de mettre en œuvre de manière unilatérale et coercitive et a dénoncé que, par des normes et de nouveaux cadres juridiques, ces pays et organismes tentent d'écraser la souveraineté du Venezuela. Selon le chancelier, les agents politiques internes et externes sont soutenus par des sanctions pour attaquer l'économie de la Nation sud-américaine.

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Source: Chavezvive

Le Venezuela exige de l'Union européenne le respect de ses institutions, de son gouvernement et de sa constitution

Le ministre des Affaires étrangères du Pouvoir du peuple, Jorge Arreaza, a tenu une réunion avec Federica Mogherini, haute représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité et vice-présidente de la Commission européenne, le 11 avril à Bruxelles.

Le ministre Jorge Arreaza a exprimé la volonté politique du Venezuela d'ouvrir des espaces de dialogue avec l'Europe lors de cette réunion de haut niveau avec le plus haut représentant de l'Union européenne sur les affaires étrangères. Arreaza a rappelé à Mogherini que le Venezuela ne reconnaît pas l'autorité et encore moins la légalité des sanctions unilatérales imposées, qui violent clairement le droit international et contredisent l'esprit fondateur de l'Union européenne.

Le ministre a également regretté la soumission de l'Union européenne à la politique d'administration de Donald Trump contre le Venezuela. Il a exprimé que les élections qui se tiendront le 20 mai seront une autre manifestation de la revendication politique sociale du peuple vénézuélien. Il a ratifié la nature démocratique du Venezuela; en témoigne la tenue de plus de 25 élections sûres et transparentes accompagnées d'une observation électorale internationale, démontrant ainsi l'existence réelle de garanties électorales, également reconnues par l'opposition démocratique.

Le ministre des Affaires étrangères, Jorge Arreaza, a exprimé au vice-président de la Commission européenne, Federica Mogherini, que notre pays continue d'avancer vers des solutions négociées en vertu de la Constitution et des lois vénézuéliennes, de manière ouverte, transparente et démocratique malgré le fait qu'un secteur de l'opposition continue d'agir avec intransigeance et contredit les valeurs démocratiques en faisant constamment la promotion de la violence. À cet égard, le ministre a appelé l'Union européenne à ne pas être impliquée dans la campagne de guerre menée par la politique étrangère des États-Unis, qui encourage les secteurs radicaux de l'opposition à ignorer les principes de la démocratie.

M. Arreaza a exhorté l'Union européenne à appeler ces secteurs à éviter la violence et à s'engager dans un dialogue politique et une participation active aux processus démocratiques et électoraux vénézuéliens. Le ministre des Affaires étrangères, M. Arreaza, a exprimé la volonté du Venezuela de maintenir un dialogue et une communication ouverts avec la haute représentante de l'Union européenne pour les affaires étrangères, Federica Mogherini. www.mppre.gob.ve

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Un accident d'avion tragique en Algérie

Les Algériens, dont beaucoup pleuraient, ont fait la queue dans un hôpital le 12 avril 2018 pour identifier les victimes de la pire catastrophe aérienne du pays qui a fait 257 morts.

Le transporteur militaire russe Ilyushin Il-76 s'est écrasé après le décollage de la base aérienne de Boufarik au sud-ouest d'Alger. Des témoins ont dit qu'une aile avait pris feu.

La plupart des morts étaient des soldats mais aussi des membres du Front Polisario, un groupe soutenu par l'Algérie luttant pour l'indépendance du Sahara Occidental voisin.

Le Président de la République bolivarienne du Venezuela, Nicolás Maduro Moros, au nom du peuple et du gouvernement vénézuéliens, exprime ses sincères condoléances au peuple et au gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire après l'accident d'avion survenu le 11. Avril 2018 dans la province de Blida, au sud d'Alger, cela a laissé la mort malheureuse de 257 personnes.

Le gouvernement vénézuélien prie pour le défunt et envoie un message de solidarité aux familles et proches des victimes. En rejoignant la douleur qui touche le peuple algérien, le président Nicolás Maduro ratifie sa solidarité dans ce moment difficile. www.mppre.gob.ve

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Le deuxième héros de la libération du Kenya, Kenneth Matiba, est honoré après sa mort JUIN 1932 - AVRIL 2018

Des messages de condoléances ont été envoyés par différents dirigeants, tous saluant Matiba suite à sa mort le dimanche 15 avril au Kenya. Le président Kenyatta affirme que Matiba, qui est décédé à l'âge de 85 ans, était à l'avant-garde de la formation du paysage politique du pays. "Avec le décès de Mzee Matiba, la main cruelle de la mort nous a volé un leader dévoué et un mentor qui a été un modèle pour beaucoup. En effet, il a servi le pays avec distinction.

Ses réalisations démontrent clairement que l'attention, la diligence et la détermination sont payantes. Ceux qui le connaissaient bénéficiaient immensément de son leadership et de sa sagesse altruistes ", a déclaré le président Kenyatta dans une déclaration télévisée de State House.

Le politicien vétéran avait été malade pendant plusieurs années depuis qu'il a subi un accident vasculaire cérébral pendant sa détention pendant la lutte pour le multipartisme. Avec le décès de Mzee Matiba, la main cruelle de la mort a volé les Kenyans d'un dirigeant dévoué et mentor qui était un modèle pour beaucoup. En effet, il a servi le pays avec distinction. Ses réalisations démontrent clairement que l'attention, la diligence et la détermination sont payantes.

Il a particulièrement noté ses efforts pendant la clameur de la démocratie multipartite dans les années 1990 et son cri de ralliement de « Toujours en avant, en arrière Jamais» qui «a contribué à transformer le pays en son statut actuel».

J'exhorte les Kenyans à défendre fermement ce que Matiba croyait. "Pour que notre deuil de Kenneth Matiba soit significatif, les Kenyans doivent accepter que nous ne permettrons jamais à quiconque d'être harcelé, arrêté, déporté ou lésé par la politique.

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Pourquoi le pouvoir impérial occidental a-t-il entrepris de détruire la Syrie?

1. En Syrie, il n'y a pas de banque centrale Rothschild.

2. La Syrie a interdit les aliments génétiquement modifiés ainsi que leur culture et leur importation.

3. La Syrie est le seul pays arabe qui n'a pas de dettes avec le Fonds monétaire international ou avec la Banque mondiale ou avec qui que ce soit d'autre.

4. La famille Al Assad appartient à l'orientation tolérante alaouite de l'Islam.

5. Les femmes syriennes ont les mêmes droits que les hommes, tels que le droit d'étudier, la santé et l'éducation.

6. En Syrie, les femmes ne sont PAS tenues de porter la burka. La charia (la loi islamique) est inconstitutionnelle.

7. La Syrie est le seul pays arabe doté d'une Constitution laïque et ne tolère pas les mouvements islamistes extrémistes.

8. Environ 10% de la population syrienne appartient à l'une des nombreuses branches chrétiennes qui ont toujours été présentes dans la vie politique et sociale.

9. Dans les autres pays arabes, la population chrétienne n'atteint pas 1% en raison du harcèlement subi.

10. La Syrie est le seul pays méditerranéen qui possède encore sa compagnie pétrolière, qui n'a pas voulu la privatiser.

11. La Syrie est ouverte à la société et à la culture occidentales comme aucun autre pays arabe.

12. Tout au long de l'histoire, 5 papes étaient d'origine syrienne. La tolérance religieuse est unique dans la région 13. Avant la conspiration mondiale, la Syrie était le seul pays pacifique de la région sans guerres ni conflits internes.

14. La Syrie est le seul pays au monde à avoir admis des réfugiés iraquiens sans aucune discrimination sociale, politique ou religieuse.

15. Bashar Al Assad a une approbation extrêmement populaire.

16. Saviez-vous que la Syrie possède 2 500 millions de barils de réserves de pétrole, dont l'exploitation est réservée aux entreprises d'État.

17. La Syrie s'oppose au sionisme et au criminel israélien de l'apartheid.

18. La population est bien informée et discute fréquemment de l'établissement du Nouvel Ordre Mondial.

19. La Syrie est le dernier obstacle qui empêche l'esclavage de l'humanité et la création du Grand État talmudique d'Israël.

20. Peut-être que maintenant vous pouvez comprendre pourquoi les Etats-Unis ont tellement d'intérêt pour la Syrie 8

www.renegadeinc.com www.telesurtv.net Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade

À L'INTÉRIEUR DE L'AFRIQUE:

La Tanzanie classée en tête du classement des investissements

En effet, une campagne anti-corruption a élevé son statut de deux places en 2017 à partir du numéro sept des deux années précédentes, a rapporté la banque marchan de rand de l'Afrique (RMB) a rapporté. Le classement 2017 montre les dix premiers pays à investir en Afrique, à savoir l'Égypte, l'Afrique du Sud, le Maroc, l'Éthiopie, le Ghana, le Kenya, la Tanzanie, le Rwanda, la Tunisie et la Côte d'Ivoire, par ordre décroissant. "Notre performance a largement contribué aux efforts de répression de la corruption du cinquième régime et à la facilitation des enregistrements de sociétés et des licences, grâce au président John Magufuli", peut-on lire dans le rapport. "Les réformes récentes sur la corruption ont rendu l'environnement d'investissement favorable", a déclaré le professeur d'économie Samuel Wangwe.

«Les fonctionnaires servent maintenant les entreprises de manière égale, attirant davantage d'investissements, étant donné qu'avant que le secteur privé ait peu de soutien de la part du gouvernement, cela augmentera l'investissement étranger direct dans les capitaux». "Le gouvernement est déterminé à stimuler la productivité nationale et à réduire activement la dépendance de la Tanzanie à l'égard des importations pour atteindre le statut de pays à revenu intermédiaire, ce qui renforcerait son attrait pour les investissements", explique le rapport.

Parallèlement, l'ouverture continue du marché des capitaux de la Tanzanie (dette et capitaux propres) a ouvert la voie aux investissements de portefeuille, en particulier pour les investisseurs de la Communauté de l'Afrique de l'Est. En outre, les nouvelles lois qui ont été promulguées pour augmenter la part de l'Etat dans les bénéfices miniers sont susceptibles de plafonner les futures entrées de capitaux dans le secteur minier en Tanzanie, selon le rapport. Les nouvelles lois minières, qui ont été accélérées par le parlement, augmentent la taxe sur les redevances pour les exportations d'or, de cuivre, d'argent et de platine à 6% contre 4%.

«Les fonctionnaires servent maintenant les entreprises de manière égale, attirant davantage d'investissements, étant donné qu'avant que le secteur privé ait peu de soutien de la part du gouvernement, cela augmentera l'investissement étranger direct dans les capitaux».

"Le gouvernement est déterminé à stimuler la productivité nationale et à réduire activement la dépendance de la Tanzanie à l'égard des importations pour atteindre le statut de pays à revenu intermédiaire, ce qui renforcerait son attrait pour les investissements", explique le rapport.

Parallèlement, l'ouverture continue du marché des capitaux de la Tanzanie (dette et capitaux propres) a ouvert la voie aux investissements de portefeuille, en particulier pour les investisseurs de la Communauté de l'Afrique de l'Est. En outre, les nouvelles lois qui ont été promulguées pour augmenter la part de l'Etat dans les bénéfices miniers sont susceptibles de plafonner les futures entrées de capitaux dans le secteur minier en Tanzanie, selon le rapport. Les nouvelles lois minières, qui ont été accélérées par le parlement, augmentent la taxe sur les redevances pour les exportations d'or, de cuivre, d'argent et de platine à 6% contre 4%.

Ils donnent également au gouvernement le droit de déchirer et de renégocier des contrats pour les ressources naturelles et de supprimer le droit à l'arbitrage international. Toutefois, le directeur de la recherche stratégique de Repoa, Abel Kinyondo, est prudent. Il suggère de réduire la charge fiscale pour les investisseurs, d'harmoniser les organismes de réglementation et de renforcer les partenariats public-privé.

"Le fardeau fiscal fait fuir les investisseurs parce qu'ils dépensent beaucoup d'argent par rapport à leurs retours sur investissement." Dr Kinyondo a appelé à la création d'un centre commercial à guichet unique pour éviter que les investisseurs ne passent à plus de 10 organismes de réglementation pour le service. Pendant ce temps, les partenariats public-privé doivent être travaillés car, pour le moment, son effet n'a pas été entièrement pris en compte dans le pays, a déclaré le Dr Kinyondo.

"Pourtant, les partenariats public-privé ne fonctionnent pas pleinement.La plupart des appels d'offres sont effectués par des organismes gouvernementaux que le secteur privé." Il a cité des offres de construction, affirmant qu'elles étaient principalement menées par la Tanzania Building Agency. Récemment, le président John Magufuli a rassuré les entreprises sur la promotion des partenariats public-privé. "Nous sommes également disposés à continuer à fournir un environnement favorable à l'investissement pour faire de la Tanzanie le meilleur endroit pour investir en Afrique".

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