Newsletter 12 french version

La république Bolivarienne du Venezuela

Vol. 4: Numéro 12, 3 avril, 2018

Le ministère du pouvoir populaire pour les affaires étrangères

L'ambassade de la République bolivarienne du Venezuela

Bulletin

Hebdomadaire Dans cette édition

Le Venezuela demande à la Suisse de mettre fin aux sanctions hostiles

Le Venezuela demande à la Suisse de mettre fin aux sanctions hostiles Une solution diplomatique avec le Guyana sur Essequibo Le Conseil électoral commence le registre financier Les célébrations de Pâques autour du monde La Fédération de Gymnastique du Qatar envisage des Championnats du Monde memorable Winnie MadikizelaMandela: L'héroïne défectueuse de l'Afrique du Sud meurt à 81 ans Cambridge Analytica en Amérique latine: ce que nous savons jusqu'à present À L'intérieur De L'afrique: L'adoption du coton génétiquement modifié en Afrique est le prochain terrain de bataille pour les entreprises de biotechnologie

Le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Jorge Arreaza, a informé la Confédération suisse que le gouvernement vénézuélien rejette les attaques économiques de la Suisse qui violent l'accord de la Charte des Nations Unies.

Le ministre a communiqué au chef des négociations de la Confédération suisse, Didier Chassot.

Dans une note officielle à Chassot, le chancelier Arreaza dit que les sanctions et restrictions économiques que le gouvernement suisse a imposées au Venezuela la semaine dernière "démontrent la subordination (suisse) aux membres de l'Union européenne et du gouvernement américain". La note d'Arreaza a rappelé à Chassot que les sanctions suisses violent les principes fondamentaux de la Charte des Nations Unies que les deux pays ont signé Le communiqué lisait que la démarche de la Suisse ne favorise pas le dialogue mais solidifie les points de vue extrémistes qui utilisent la violence pour trouver des solutions. "Rappelons-nous que ces mesures menacent non seulement la stabilité du peuple vénézuélien mais créent également des difficultés pour les entreprises suisses opérant au Venezuela", a déclaré M. Arreaza au nom de son gouvernement.

Le gouvernement suisse a ordonné des gels d'actifs et des interdictions de voyage à certaines entreprises, organisations et fonctionnaires vénézuéliens, dont sept ministres et hauts fonctionnaires vénézuéliens, dont l'ancien président de l'Assemblée nationale Diosdado Cabello, le ministre de l'Intérieur Nestor Reverol et le juge en chef Maikel Moreno. Le gouvernement vénézuélien exige la souveraineté dans son air intérieur et que le gouvernement suisse mette fin à son blocus hostile. www.telesurtv.net www.mppre.gob.ve

1

Une autre menace contre le Venezuela

Une solution diplomatique avec le Guyana sur Essequibo

La région d'Essequibo a fait l'objet d'un différend territorial entre l’ancienne colonie britannique et le gouvernement bolivarien depuis des décennies. Le Venezuela demande au Guyana de rétablir ses relations diplomatiques afin de parvenir à une "solution pratique et satisfaisante à la controverse territoriale" concernant la région d'Essequibo riche en pétrole, a réitéré le ministère vénézuélien des Affaires étrangères.

"Sous l'égide de l'Accord de Genève de 1966, le gouvernement de La République bolivarienne du Venezuela a proposé au gouvernement de la République coopérative du Guyana de rétablir les contacts diplomatiques qui permettent une solution pratique et satisfaisante de la controverse territoriale ", a déclaré le ministère dans un communiqué.

L'invitation intervient après que le Venezuela a rejeté une décision des Nations Unies de soumettre l'affaire à la Cour internationale de Justice (CIJ), une proposition qui a été accueillie à son tour par les autorités guyanaises.

"Nous avons conclu qu'un progrès significatif dans la controverse n'a pas été atteint et c'est pourquoi la CIJ a été choisie comme moyen d'être utilisé pour la résolution", a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres, le 30 janvier.

Mais le Venezuela ne considère pas les résolutions de la CIJ comme contraignantes, préférant plutôt suivre les directives établies dans l'Accord de Genève de 1966, qui stipule que le différend doit être "résolu à l'amiable d'une manière acceptable pour les deux parties".

L'Accord de Genève de 1966 a été signé entre le Venezuela et le Royaume-Uni en ce qui concerne les étapes d'un règlement futur de la controverse frontalière. Le Venezuela avait rejeté la sentence arbitrale de 1899 entre les deux pays comme "nulle et non avenue", revendiquant la souveraineté sur une partie de ce qui était alors la Guyane britannique. Le ministre des Affaires étrangères du Venezuela, Jorge Arreaza, a également commenté la question en soulignant les intentions du pays bolivarien pour un dialogue légal et viable avec son voisin.

L'avocat vénézuélien Severo Mallet-Prevost a révélé comment la Russie et la Grande-Bretagne ont conclu un accord secret afin d'influencer les juges sur la définition des frontières lors du Prix du tribunal arbitral de 1899. Le Guinana britannique a obtenu l'indépendance quelques mois après la signature de l'Accord de Genève. En 2015, la compagnie pétrolière Exxon Mobil a trouvé un champ pétrolifère dans la zone contestée, ce qui a relancé le confit territorial.

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a fait une demande initiale pour une médiation des bons offices aux États-Unis en juillet 2015 après que le Guyana eut entamé des mesures exploratoires pour extraire du pétrole dans le territoire disputé d'Essequibo.

Les pourparlers officiels entre les deux pays et le représentant norvégien des Nations Unies, Dag Nylander, ont débuté en septembre, mais n'ont pas abouti à un accord. www.telesurtv.net www.mppre.gob.ve

2

Le Conseil électoral commence le registre financier

Candidat de l'opposition Henri Falcon promet de demander des capitaux privés pour le pétrole vénézuélien (PDVSA)

Le Conseil national électoral a ouvert le processus d'enregistrement financier pour que les partis politiques puissent soumettre leurs informations. L'appel a été lancé par un avis officiel publié dans un journal national qui comprend également des groupes électoraux, des communautés et des organisations autochtones ainsi que les candidats enregistrés pour les élections du 20 mai 2018.

Les paiements à Petros

Le candidat à la présidence, Henri Falcon, a déclaré qu'au cas où il remporterait les élections, il demanderait des prêts d'une valeur de 12 milliards de dollars pour réactiver l'industrie pétrolière vénézuélienne. Falcon a assuré qu'il recourrait à des organisations internationales pour injecter des ressources économiques dans PDVSA, qui a réduit sa production à moins de 2 millions de barils de pétrole par jour.

L'Institut national des espaces aquatiques a commencé à facturer à Petros pour les services fournis aux navires étrangers. Les accusations contre le cryptoactif vénézuélien ont commencé à la suite d'un ordre émis par le président Nicolas Maduro.

La déclaration émise par l'Institut National des Espaces Aquatiques, précise que les montants seront exprimés en dollars sur la feuille de travail, mais les paiements doivent être effectués dans Petros.

Le principal candidat de l'opposition considère que PDVSA a pris la "partisanerie" et a perdu son schéma institutionnel, entraînant une baisse de la production et une contraction de la trésorerie du pays. Actuellement, le secteur pétrolier génère 97% des dollars qui entrent au Venezuela.

Falcon a déclaré qu'il maintiendra des alliances avec des sociétés privées et publiques de Russie et de Chine.

L'ordre présidentiel publié le 22 mars implique que toutes les institutions et sociétés d'État qui génèrent des revenus en devises étrangères doivent être chargées dans Petros. Selon l'Institut national des espaces aquatiques, toutes les compagnies maritimes doivent présenter leur système de paiement à Petros. Le gouvernement vénézuélien a commencé à faire circuler le Petro le 20 février pour briser la dépendance économique que le pays a avec le dollar nord-américain

Source: Chavezvive 3

Les célébrations

de Pâques autour du monde Le pape François s'adresse à des foules immenses rassemblées sur la place Saint-Pierre au Vatican pendant Pâques

Une religieuse lit le livre des évangiles avant le début de la messe de la veillée de Pâques dirigée par le pape François dans la basilique Saint-Pierre au Vatican, le 31 mars.

Les catholiques chinois assistent à la veillée de Pâques dans une église à Shanghai, en Chine, le 31 mars.

Les enfants se préparent à participer à une reconstitution de la Via Crucis (Chemin de la Croix) pendant les célébrations du Vendredi saint à Lima, au Pérou

Les groupes de Côte d'Ivoire se produisent dans le village d'Assounvoue pendant "Paquinou". C'est une fête de Pâques avec la réconciliation, la nourriture, la musique et la danse.

Des éclaireurs syriens défilent dans le quartier chrétien de Bab Sharqi dans le vieux Damas.

Pour les chrétiens du monde entier, la Semaine Sainte et Pâques sont l'occasion de célébrer le retour de Jésus-Christ à Jérusalem, sa crucifixion et sa résurrection. Dans certains pays, cela peut signifier allumer des bougies, assister à des cérémonies et regarder des défilés solennels. Dans d'autres, cela peut être une chance de danser, de faire de la musique et de manger des aliments spéciaux.

Depuis un balcon de la basilique Saint-Pierre au Vatican, au-dessus d'une mer de visages enthousiastes, le Pape Frances a dit que «les chrétiens croient et savent que la résurrection du Christ est le véritable espoir du monde, l'espoir qui ne déçoit pas». Il a dit: "C'est la puissance du grain de blé, la puissance de cet amour qui s'humilie et se donne jusqu'au bout, et qui renouvelle ainsi véritablement le monde."

Comme les chrétiens participent partout aux festivités de Pâques, il a appelé à "des fruits de paix sur le monde entier", en particulier dans des pays comme la Syrie, le Yémen et le Venezuela où la souffrance perdure. www.npr.org www.telesurtv.net Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade

4

La Fédération de Gymnastique du Qatar envisage des Championnats du Monde memorable

Saluant la Coupe du Monde Artistique Individuelle de la FIG récemment conclue, Ali Al Hitmi, Président de la Fédération Qatar Gymnastique (QGF), a promis d'organiser un Championnat du Monde mémorable lorsque les meilleurs athlètes reviendront à Doha plus tard cette année.

Le Qatar, qui accueille la série de la Coupe du monde de la FIG depuis 2007, deviendra le premier pays du Moyen-Orient à accueillir le méga-événement prévu du 25 octobre au 3 novembre 2018. Le QGF a testé leur courage pour avoir accueilli le spectacle lors de la Coupe du monde qui s'est déroulée du 21 au 24 mars à l'Aspire Dome. Plus de 360 athlètes de 39 pays ont pris part à l'événement annuel de quatre jours qui a vu des batailles palpitantes alors que les gymnastes se sont battus pour un total de 10 médailles d'or.

"L'événement a été une répétition générale réussie pour les championnats du monde", a déclaré Al Hitmi.

"Nous avons beaucoup d'expérience dans l'organisation de compétitions de haut niveau et je suis persuadé que nous serons en mesure de livrer des championnats du monde mémorables à Doha", a-t-il ajouté.

"Nous allons faire de notre mieux pour rendre les meilleurs Championnats du monde de gymnastique artistique parce que nous avons de grandes capacités et des installations modernes." La Fédération Internationale de Gymnastique, qui était présente lors de l'événement, a félicité QGF pour avoir accueilli avec succès les séries de la Coupe du Monde depuis 11 ans et espéré que les Championnats du Monde au Qatar seraient une superproduction.

De plus, les meilleurs gymnastes ont également manifesté leur intérêt à participer à l'événement d'octobre à novembre.

La vétéran ouzbek Oksana Chusovitana, qui a défendu avec succès son titre de volt vendredi, a déclaré qu'elle était désespérée de venir à Doha.

"J'adore participer à Doha. Le soutien que je reçois des spectateurs ici me motive à revenir encore et encore ", a déclaré le joueur de 42 ans. "Je suis impatient de venir ici et de gagner plus de médailles d'or", a-t-elle ajouté.... www.thepeninsulaqatar.com Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade

5

Winnie Madikizela-Mandela: L'héroïne défectueuse de l'Afrique du Sud meurt à 81 ans

Qui a rendu hommage?

La militante anti-apartheid sud-africaine et ancienne première dame Winnie Madikizela Mandela est décédée. Elle et son ex-mari Nelson Mandela, tous deux emprisonnés, étaient un symbole de la lutte anti-apartheid du pays pour trois décennies.

Dans un discours télévisé, le président Cyril Ramaphosa, que Mme Madikizela Mandela a salué au début de l'année, l'a qualifiée de «voix de défi» contre la domination de la minorité blanche.

Des foules de personnes en deuil et de personnalités politiques se sont rassemblées chez elle à Soweto, à Johannesburg, après que la nouvelle de sa mort a éclaté. Le porte-parole de la famille, Victor Dlamini, a confirmé que Mme Mandela "a succombé pacifiquement aux petites heures du lundi 2 avril 2018 entourée de sa famille et de ses proches" suite à une longue maladie qui l'avait fait entrer et sortir de l'hôpital depuis le début de l'année.

"Face à l'exploitation, elle était une championne de la justice et de l'égalité", a-t-il déclaré lundi. "Elle est un symbole permanent du désir de notre peuple d'être libre". L'archevêque et lauréat du prix Nobel, Desmond Tutu, a déclaré qu'elle était "un symbole déterminant de la lutte contre l'apartheid". "Son défi courageux a été profondément inspirant pour moi et pour des générations d'activistes", a-t-il ajouté.

Le président vénézuélien, Nicolas Maduro, et la famille vénézuélienne sont affligés par le décès de Winnie Madikazela-Mandela. En cette triste occasion, le gouvernement du Venezuela transmet ses sincères condoléances au gouvernement et au peuple d'Afrique du Sud et rejoint le continent africain et les amoureux de la liberté dans le monde entier en pleurant le décès d'un véritable combattant de la liberté et d'un sud-africain emblématique. . . Elle se tient comme une lumière brillante qui a brillé une voie en avant pour beaucoup d'autres. Elle a défendu le principe, et ses valeurs ont survécu à la lutte et s'appliquent à ce jour.

La mère de la nation Mme Madikizela-Mandela est née en 1936 à Eastern Cape - alors connu sous le nom de Transkei. Elle était une travailleuse sociale qualifiée quand elle a rencontré son futur mari dans les années 1950. Ils ont continué à avoir deux filles ensemble.

Ils ont été mariés pendant 38 ans au total, mais pendant près de trois décennies, ils ont été séparés du fait de la longue détention de M. Mandela. C'est Mme Madikizela Mandela qui a pris son bâton après avoir été emprisonné à vie, devenant ainsi un symbole international de la résistance à l'apartheid.

www.theguardian.com www.bbc.com www.telesurtv.net Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade

Elle aussi a été emprisonnée pour son rôle dans la lutte pour la justice et l'égalité. Pour ses partisans, elle est connue affectueusement comme "Mère de la Nation".

6

Cambridge Analytica en Amérique latine: ce que nous savons jusqu'à present

"Pig.gi a déjà connu un énorme succès au Mexique et en Colombie", a déclaré le PDG Alexander Nix l'année dernière dans un communiqué, lorsque l'application a enregistré 200 000 utilisateurs. "Nous sommes ravis de nous associer à l'application pour que leurs partenaires puissent transmettre le bon message aux bonnes personnes au bon moment."

Cambridge Analytica a travaillé sur la campagne électorale du président américain Donuld Trump et a obtenu l'accès aux données de 50 millions d'utilisateurs de Facebook afin de construire des profils d'électeurs, y compris dans les pays d'Amérique latine en cours de scrutin. Cambridge Analytica a largement contribué à aider Donald Trump à remporter les élections présidentielles américaines de 2016.

Le vice-président de Cambridge Analytica a déclaré à Bloomberg l'année dernière que le partenariat avait été conçu de manière transparente pour influencer les votes des jeunes mexicains, puisque les élections générales devraient avoir lieu le 1er juillet. États au Mexique, présentant le poste sur LinkedIn comme «le cerveau derrière les élections mexicaines."

1. Le Brésil Alex Tayler, responsable des données chez Cambridge Analytica, et Mark Turnbull, directeur général, ont déclaré à un journaliste de la chaîne Channel 4 que la société travaillait au Mexique et qu'elle ciblait désormais le Brésil, entre autres pays.

Dans un message posté le 23 octobre sur la page 'Foreigners in Mexico City' avant les élections du gouverneur, les dirigeants de la branche mexicaine de Cambridge, comme Arielle Dale Karro, auraient également été en contact avec des membres du parti conservateur PAN y compris le sénateur Ernesto Cordero. Le site Web de Cambridge mentionne également la Colombie comme l'un de ses principaux centres d'opérations, citant le maire de Bogota, Enrique Peñalosa (Parti vert), comme l'un de ses conseillers. Le bureau du maire a nié tout lien avec l'entreprise.

"Si vous collectez des données sur des personnes et que vous les présentez, cela vous donne plus de visibilité que vous pouvez utiliser pour savoir comment segmenter la population, leur donner des messages sur les questions qui les intéressent et le langage et l'imagerie qu'ils sont susceptibles de s'engager avec ", a déclaré Tayler.

«Nous utilisons cela en Amérique et nous l'utilisons en Afrique, c'est ce que nous faisons en tant qu'entreprise, nous l'avons fait au Mexique, nous l'avons fait en Malaisie et maintenant nous allons au Brésil, en Australie, en Chine. "

Le quotidien colombien El Tiempo a constaté que Peñalosa travaillait avec Farrow Colombia SAS en juillet 2017, une société liée à l'application Pig.gi - qui enregistre 150 000 utilisateurs dans le pays, avec pour objectif d'atteindre 800 000 d'ici 2018. Les électeurs colombiens sont attendus pour les élections du mois de mai. 27 d'élire un nouveau président, environ deux mois après les élections législatives tenues début mars, avec la victoire des partis de centre-droit et d'extrême droite.

Les procureurs brésiliens ont ouvert mercredi une enquête pour savoir si le cabinet de conseil politique basé à Londres a agi illégalement au Brésil, une controverse sur les pratiques de collecte de données de l'entreprise répandues à travers le monde.

Le cabinet est soupçonné d'avoir utilisé illégalement les données de millions de Brésiliens pour créer des profils psychographiques grâce à son partenariat avec le groupe de conseil basé à Sao Paulo, A Ponte Estratégia Planejamento e Pesquisa LTDA. Ponte Estrategia aurait demandé de suspendre le partenariat avec Cambridge Analytica, selon Bloomberg Business. Le Brésil est le troisième plus grand marché de Facebook, et les Brésiliens organiseront des élections majeures en moins de sept mois.

3. Le Pérou, l'Argentine et la Guyane Selon une carte publiée sur le site Internet de Cambridge, la société a également opéré au Guyana, au Pérou et en Argentine, bien que peu d'informations soient disponibles sur l'ampleur des opérations.

En Argentine, les autorités n'attendent pas de demande officielle et la Chambre électorale nationale du pouvoir judiciaire a ouvert une enquête sur le travail de Cambridge Analytica dans le pays.

2. Le Mexique et la Colombie Bloomberg Business a fait la lumière sur le matériel de relations publiques montrant comment il a scellé un partenariat avec une application de téléphone nommée Pig.gi et conçu pour fournir un crédit Internet et téléphone gratuit en échange de regarder des publicités et lire des histoires sponsorisées.

Il révèle également des liens avec d'anciens agents du MI6 et des sociétés de renseignement israéliennes qui fournissent aux clients de Cambridge Analytica un rapport sur "tous les squelettes" dans les placards de leurs adversaires.

7

www.telesurtv.net Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade

À L'INTÉRIEUR DE L'AFRIQUE:

L'adoption du coton génétiquement modifié en Afrique est le prochain terrain de bataille pour les entreprises de biotechnologie

Un technicien agricole inspecte le coton transgénique. Selon un groupe de pression basé à Johannesburg, la lutte pour le contrôle de l'agriculture génétiquement modifiée en Afrique pourrait se jouer entre Bayer AG et ChemChina, avec des entreprises indiennes entrant en jeu dans le future

L'Afrique pourrait devenir un champ de bataille pour les multinationales européennes, américaines et asiatiques qui cherchent à contrôler la culture du coton génétiquement modifié en Afrique, en particulier en Éthiopie, au Kenya et au Malawi.

La ruée vers le marché des semences GM devrait s'intensifier l'année prochaine après deux fusions multinationales notables: 66 milliards de dollars de reprise de Monsato par l'allemand Bayer AG et 43 milliards de dollars d'acquisition de la société suisse Syngenta AG par China National Chemical Corporation (ChemChina).

Les graines de coton génétiquement modifiées telles que Bacillus thuringiensis (Bt) augmentent les rendements grâce à une résistance intégrée aux ravageurs tels que les vers de la capsule, ce qui réduit les coûts de production en réduisant l'utilisation d'insecticides. Cependant, les graines de coton Bt sont plus chères par rapport aux graines conventionnelles.

Monsanto domine le marché mondial en tant que seul propriétaire de la technologie Bollgard approuvée pour la culture commerciale aux États-Unis, en Chine, en Afrique du Sud, en Argentine, en Inde, au Brésil, au Costa Rica, au Burkina Faso, au Soudan et au Myanmar.

Les experts affirment que ces accords ouvriront Monsanto à une concurrence accrue de la part de ChemChina, qui pourrait soutenir la fourniture de semences de coton génétiquement modifiées génétiquement moins chères par d'autres sociétés de biotechnologie en plus de Monsato aux agriculteurs africains.

Les sociétés technologiques chinoises et indiennes ont produit des versions génériques moins chères après l'expiration du brevet Bollgard I en 2011. Pendant la durée de vie du brevet, Monsanto a vendu des semences et a obtenu des frais d'utilisation de la technologie de sociétés biotechnologiques rivales.

Le Centre Africain pour la Biodiversité (ACB), un groupe de pression basé à Johannesburg, a déclaré que la lutte pour le contrôle de l'agriculture GM en Afrique pourrait se jouer entre Bayer AG et ChemChina, avec des entreprises indiennes entrant en jeu dans le futur.

La plantation à grande échelle L'une des intentions de ChemChina pour l'achat de Syngenta est la promotion de la plantation à grande échelle de

8

cultures génétiquement modifiées. Syngenta a une présence significative au Cameroun et en Côte d'Ivoire.

Les filiales de China-Africa Cotton Development Ltd au Malawi, en Zambie, au Mozambique et au Zimbabwe possèdent sept usines d'égrenage, deux usines d'extraction d'huile de coton et une usine de semences qui a signé des contrats avec des milliers de petits producteurs. C'est la plus grande entreprise cotonnière du Malawi et l'une des trois plus importantes en Zambie.

L'Afrique du Sud cultive le coton Bollgard II de Monsanto, tandis que le Kenya et le Malawi effectuent des essais de la variété. Le Swaziland utilise des variétés GM indiennes et le Soudan utilise la variété chinoise. "L'Éthiopie préfère les semences de l'Inde et du Soudan, plutôt que le coton Bt de Monsanto parce que l'entreprise ne voulait pas entreprendre de tests en laboratoire ou sur le terrain", a déclaré ACB dans un communiqué.

La Chine a financé des centres de démonstration au Rwanda, en Tanzanie, en Ouganda, au Soudan, en Éthiopie, en Zambie, au Mozambique, en Afrique du Sud, en République démocratique du Congo, au Zimbabwe, au Bénin, au Cameroun, au Libéria et en Guinée-Bissau.

Les graines de coton GM de Bayer ont été vendues en Afrique du Sud en 2013. La société a commencé des essais de coton génétiquement modifié au Cameroun avec la commercialisation des semences prévue en 2018.

L'ACB a déclaré que la Loi sur la croissance et les opportunités en Afrique (Agoa) était une incitation à revitaliser le secteur du coton. Les pays de l'Afrique de l'Est et de l'Afrique australe se tournent vers le coton génétiquement modifié pour augmenter les rendements afin de faire face au déclin de la production de cultures biologiques. Les pressions de l'Afrique en faveur du coton transgénique vont à l'encontre des subventions accordées aux producteurs de coton des États-Unis, de la Chine et de l'Union européenne

Monsanto domine les ventes de semences de coton GM, tandis que Bayer exploite des bureaux de représentation au Ghana, en Zambie et en Angola avec des marchés clés pour les produits phytosanitaires en Afrique du Sud, au Kenya, en Côte d'Ivoire, au Maroc et en Algérie.

"L'entreprise fusionnée profitera de la présence de Monsanto dans les pays africains et de sa capacité à fournir d'autres produits complémentaires, sans les risques que Bayer risque d'encourir pour pénétrer ces marchés", a déclaré ACB.

www.theeastafrican.co.ke Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade

La fusion ChemChina-Syngenta Selon le lobby, la fusion ChemChina-Syngenta augmentera la part de marché de Syngenta, car la Chine est fortement impliquée dans l'agriculture africaine en termes d'aide financière, 25 centres de démonstration agricole et des sociétés cotonnières financées par l'Etat.

9