Feb bulletin 2018 french version

Le Bulletin Bolivarien du Venezuela

Le ministère du pouvoir populaire pour les affaires étrangères

L'ambassade de la République bolivarienne du Venezuela

Volume 6, numéro 2- 2018

Comment les crypto-monnaies vont changer le monde. i) Le Crypto-monnaie du Venezuela pour le monde: «La prévente de PETRO commence» ii) La date des élections présidentielles vénézuéliennes est fixée au 22 avril iii) L'importance du coup d'État du 4 février 1992 iv) L'intervention humanitaire et l'impérialisme v) Le Forum urbain mondial vi) Le Nicaragua: Qui était Augusto César Sandino? vii) Malcolm X parle de la vérité au pouvoir à travers le temps et la mort

Contenu 1) L’éditoriale 2) Crypto-monnaie du Venezuela pour le monde: 3) Pluripolar world declares war on the dollar in a large-scale rebellion 4) How cryptocurrencies will change the world 5) Le rapport des prix du pétrole en monnaie chinoise, évitant le dollar américain 6) Face à l'impérialisme des États-Unis 7) La date des élections présidentielles vénézuéliennes est fixée au 22 avril 8) Chavismo closes ranks ahead of presidential elections 9) Les États-Unis tentent de pousser un coup d'État au Venezuela 10) L'importance du coup d'Etat du 4 février 1992 11) Les États-Unis publient 731 déclarations contre le Venezuela 12)La visite de Rex Tillerson en Amérique latine: Les menaces de militarisation et de pétrole 13) le tour de la dignité sud-sud:- pourquoi le venezuela et l'afrique 14) La Ligue arabe et le Venezuela ont analysé les questions de coopération et de relations avec l'Amérique latine 15) Le Venezuela dénonce devant le Conseil des droits de l'homme de l'ONU l'ingérence des EtatsUnis et de l'UE 16) Le secrétaire général de l'ONU reçoit le ministre des Affaires étrangères du Venezuela, Jorge Arreaza 17) La nouvelle ère de la mondialisation en Chine et en Amérique latine 18) Chomskey: l'intervention humanitaire et l'impérialisme 19) La Malaisie: 9ème Forum urbain mondial 20) AVIS: Les travailleurs d'usine d'Asie vont se battre pour s'adapter à un monde conduit par l'IA 21) Le Nicaragua: Qui était Augusto César Sandino?

22) Malcolm X parle de la vérité au pouvoir à travers le temps et la mort

L’éditoriale Actuellement, l'année 2018 a été marquée comme le moment du naufrage du dollar, la crise obligataire, l'éclatement définitif de l'énorme dette américaine, bref, le retour d'une autre crise financière mondiale beaucoup plus dévastatrice que la précédente.

Face à ce panorama, les pays industrialisés sont prêts à résister à ces sombres présages, c'est pourquoi ils ont accru leur bellicisme, déclenchant des agressions partout dans le monde, accentuant les tentatives d'imposer une vision univoque des sociétés, des économies et des cultures. En particulier, les pays du Tiers-Monde ont été les victimes, en particulier ceux qui ont tracé une ligne indépendante et essayé de s'affranchir de la sujétion économique et culturelle.

L'Afrique, l'Asie et l'Amérique latine ont subi ces dernières années une attaque disproportionnée, marquée par la menace militaire directe, les bombardements aveugles, les invasions, les assassinats sélectifs et, en général, tous les stratagèmes de la force occidentale brutale que ces mêmes puissances prétendent défendre.

Ainsi, quand les sénateurs américains et les hauts dirigeants politiques invoquent le renversement des gouvernements sous la doctrine de Monroe («l'Amérique pour les Américains ... du Nord») dans le style du président américain Theodore Roosevelt connu pour sa politique de gros baton avait disparu, nous voyons le cas du déni absolu de toute tentative authentiquement démocratique. Mais les gens ont augmenté leur conscience et ils font face à toutes ces attaques avec courage.

Au premier rang de cette lutte actuelle et nécessaire se trouve la République bolivarienne du Venezuela, menacée militairement, financièrement fermée par un blocus économique, accusée d'être une "dictature", bien qu'elle soit un pays où 24 élections se sont déroulées selon un système électoral qui, selon les mots de l'ancien président Jimmy Carter, est "le plus fiable du monde".

Après l'échec de plusieurs tentatives pour renverser le gouvernement démocratique du président Nicolás Maduro, une "crise humanitaire" inexistante a été récemment inventée et de plus sans l'avis d'un rapporteur accrédité de l'ONU. Alfred De Zayas, qui a visité le Venezuela, a nié la soi-disant «crise humanitaire» au Venezuela. Ceci affirme clairement que "quiconque a travaillé pendant des décennies à l'ONU, sait qu'au Venezuela il n'y a pas de crise humanitaire.

Crypto-monnaie du Venezuela pour le monde: La prévente de ‘PETRO’ commence

La Crypto-monnaie vénézuélienne, le PETRO, commence à circuler avec un ensemble de mesures économiques prises par le président Nicolas Maduro. Une première phase de prévente pour le PETRO a été lancée par le Venezuela cherchant à briser la dépendance de son commerce extérieur avec le dollar. Le ministre de l'Information, Jorge Rodriguez, a admis que le président Maduro fera des annonces économiques importantes.

Le PETRO est la première Crypto-monnaie au monde avec plus de 5,3 milliards de barils de pétrole. Selon le gouvernement vénézuélien, chaque PETRO sera émis avec une valeur équivalente à un baril de pétrole.

Le président Maduro a annoncé la semaine dernière que dans la première phase, 38,4% de tous les PETRO en circulation seraient libérés. Selon les estimations des experts, le pourcentage de vente sera équivalent à plus de 2,3 milliards de dollars. C'estestimé que 44% du PETRO devrait être émis par le Venezuela avecUne valeur nominale de 2,7 milliards de dollars sera offerte au public plus tard.

Selon le surintendant cryptocurrency Carlos Vargas, le Venezuela espère attirer des investisseurs du Qatar, de la Turquie ainsi que des pays du Moyen-Orient, d'Europe et des États-Unis. www.telesurtv.net www.dw.com

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Le Venezuela va lancer une deuxième crypto-monnaie: ‘Petro or’

La nouvelle monnaie numérique, qui suit le lancement réussi du Petro, sera soutenue par l'or et d'autres métaux précieux.

Le président a déclaré que l'objectif du Petro et maintenant le Petro Gold est de combattre les sanctions et la «guerre économique» menée par le gouvernement américain et ses partenaires juniors contre son pays, et avancer sur les questions de souveraineté monétaire, de faire des transactions financières et surmonter le blocus financier. "

Après le lancement de la crypto-monnaie pétrolière, le gouvernement vénézuélien prépare actuellement une nouvelle monnaie numérique appelée Petro Gold ou «Petro Oro», qui sera soutenue par l'or et d'autres métaux précieux. Le président Maduro a annoncé que 735 millions de dolars américains avaient été recueillis en une seule journée lors de la pré-vente du Petro.

Le lancement du Petro a été annoncé en décembre. Il est réglementé par la Surintendance des Cryptocurrencies et des Activités Connexes, ainsi que par l'Observatoire Blockchain. Crypto-monnaies ne sont généralement pas soutenus par un gouvernement ou une banque centrale, ni sont réglementés.

Cependant, la Commission américaine chargée de la sécurité et des échanges a de plus en plus suivi les monnaies numériques, classant certains jetons comme des titres, les soumettant ainsi à une surveillance.

Maduro a déclaré: "Nous avons fait un pas de géant dans le 21ème siècle ... Nous sommes sur l'avant-garde technologique du monde.

Cryptomonnaies vénézuéliennes pourraient violer les sanctions et donc créer un risque juridique pour les investisseurs américains, plusieurs entreprises et investisseurs du Brésil, Pologne, Danemark, Honduras, Norvège et le Moyen-Orient ont déclaré qu'ils sont ouverts à recevoir Petro en paiement de marchandises ou en investissant dans devise.

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Le monde pluripolaire déclare la guerre au dollar dans une rébellion à grande échelle Igor Sechin, qui préside la compagnie pétrolière Rosneft, dans une interview accordée à Bloomberg, a ouvertement invité toutes les compagnies pétrolières du pays à déménager à la bourse commerciale Mercantile de Saint-Pétersbourg (SPIMEX) pour mettre fin au marché nord-américain Brent et générer et juste "coût pour le gaz et le pétrole comme roubles.

Spimex cherchera non seulement à augmenter le coût du brut, mais aussi à augmenter les revenus provenant de la vente de «l'Oural», qui est une marque de pétrolière reconnue mais qui est vendue avec des rabais pour l'existence prédominante du Brent précité.

M. Sechin affirme que d'autres sociétés sur le marché telles que Lukoil et Gazprom soutiennent fortement l'idée et peuvent devenir des teneurs de marché. L'idée vise à encourager le rouble et encourager les entreprises qui sont traitées dans cette devise, ainsi que de réduire considérablement toutes les transactions pétrolières qui sont faites au Panama. "L'objectif est de créer un système où le brut russe est cité et vendu équitablement et franchement", a déclaré Alexeï Ríbnikov, président de la Bourse Mercantile de Saint-Pétersbourg (SPIMEX), à Bloomberg. Il convient de noter que non seulement Moscou est le promoteur de cette idée, des pays comme la Chine, le Venezuela et l'Iran serait proche d'annoncer - dans le reste de l'année - leur passage du dolár à une monnaie extérieure pour lutter contre la chute le prix de l'or noir Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de l'ambassade.

Les opérateurs estiment que la chute du dollar se poursuivra en 2018 Pour le dollar tout-puissant, 2017 était simple et moche. Cette année pourrait être encore pire. Malgré le rebond récent, les analystes et les investisseurs affirment qu'ils pourraient perdre davantage de terrain face à l'euro et au yen car les perspectives de croissance économique forte et une politique monétaire plus stricte en dehors des États-Unis compensent largement les taux d'intérêt plus élevés au niveau local. Le dollar a chuté de plus de 7% par rapport aux principales devises mondiales cette année, plus que jamais en une décennie.

La croissance économique "que nous observons en Europe, dans les marchés émergents et dans le reste du monde est susceptible d'entraîner une nouvelle vague de ventes en dollars", a déclaré Erin Browne, responsable de la répartition de l'actif chez UBS Asset Management qui est responsable d'environ 770 000 millions de dollars. Quant à ce que les banques centrales pourraient faire en Europe et au Japon, "il a été peu pris en compte".

Browne dit que l'euro pourrait atteindre 1,30 dollar en 2018, ce qui représente une avance de 10,7% par rapport au dollar. Cela augmenterait d'environ 12% cette année. Il s'attend également à plus d'augmentations du yen. Le dollar était à 1,1743 dollars pour un euro et 113,33 euros par yen. Ça ne devrait pas être comme ça, supposément. Au début de cette année, les stratèges étaient presque tous haussiers pour le dollar puisque les opérateurs ont adhéré à l'élection du président Donald Trump et à ses promesses d'encourager la croissance en réduisant les impôts et en augmentant les dépenses en infrastructures.

La Réserve fédérale était également prête à relever les taux, fournissant plus de soutien à la monnaie. Mais une grande partie de cet optimisme a disparu tout de suite. Oui, la Fed a relevé les taux à deux reprises, mais la reprise ne s'est jamais concrétisée étant donné que l'inflation et le pessimisme médiocres concernant la capacité de Trump et de ses collègues républicains à remplir leurs promesses législatives avaient un coût.

Par Lananh Nguyen avec la collaboration de Chikafumi Hodo et Jacob Bourne.

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de l'ambassade.

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Comment les cryptocurrences vont changer le monde

Vous avez probablement déjà entendu parler de Bitcoin. Si vous êtes jeune et habitué à Internet, ou si vous restez au fait du monde de la technologie, il y a de bonnes chances que vous sachiez au moins ce que c'est, même si vous ne comprenez pas comment cela fonctionne ou pourquoi c'est important. Mais le reste d'entre vous peut être complètement ignorant, comme je l'étais jusqu'à récemment.

taux. L'argent de Fiat a été utilisé pour la première fois par la Chine en l'an 1000, et est devenu dominant dans le monde entier au 20ème siècle.

Les devises Fiat sont contrôlées par les banques centrales. Une banque centrale contrôle la valeur d'une monnaie fiduciaire en régulant la quantité, ce qu'elle peut faire par plusieurs méthodes. Le plus évident est en imprimant plus d'argent. C'est quelque chose qu'ils n'aiment généralement pas faire parce que cela dévalue la monnaie.

Eh bien, il est temps que vous en appreniez sur Bitcoin, parce que Bitcoin (ou quelque chose comme ça) va changer radicalement le monde et la façon dont nous vivons. En fait, c'est déjà le cas. Reste et je te dirai pourquoi. Portez une attention particulière, parce que je suis sur le point de vous présenter des mots et des phrases que vous n'auriez jamais cru devoir connaître.

Mais vous avez besoin de les connaître.

Ils peuvent également modifier le montant d'argent que les institutions bancaires doivent garder en réserve. La plupart des économies utilisent un système bancaire à réserves fractionnaires. Plus les réserves obligatoires sont faibles, plus les banques peuvent prêter de l'argent. Si la réserve est de 10%, une banque peut prêter 100 millions de dollars pour chaque tranche de 10 millions de dollars qu'elle a en stock.

Laisser tomber à 5% et la banque peut prêter 100 millions de dollars supplémentaires sans augmenter ses magasins. Comme vous pouvez l'imaginer, il est dangereux d'abaisser ce pourcentage de réserve, car il y a un risque que les banques n'aient pas assez d'argent pour couvrir les retraits.

Quelles sont les cryptocurrences?

Bitcoin est quelque chose appelé une cryptomonnaie. Les crypto-monnaies sont des monnaies virtuelles. Cela ne signifie pas qu'ils ne sont pas réels. Ils sont tout aussi réels que toute autre monnaie. Mais ils existent purement dans le monde numérique. Vous ne serez jamais capable de tenir un Bitcoin dans votre main.

Si une banque traverse une période difficile, il peut arriver que de nombreux clients aient peur de perdre leur argent et tentent de se retirer en même temps. La banque peut ne pas avoir assez d'argent pour couvrir les retraits de tout le monde. Alors encore plus de gens auront peur et essayeront de se retirer.

C'est ce qu'on appelle une course de banque. Si cela

Les monnaies traditionnelles que vous connaissez, comme le dollar américain et l'euro, sont appelées monnaies fiduciaires ou monnaie fiduciaire.

Contrairement à l'argent des produits de base comme l'or et l'argent, ils n'ont aucune valeur autre que celle qui leur est donnée par les règlements gouvernemen6

accéder au registre, personne ne peut voir qui a envoyé ou reçu la crypto-monnaie. C'est cette technologie de blockchain, plus que la crypto-monnaie elle-même, qui est le véritable changeur de mondes.

arrive à plusieurs banques à la fois, comme cela peut être le cas lors de crises économiques graves comme la Grande Dépression, c'est ce qu'on appelle une panique bancaire.

La banque centrale peut également modifier le taux des fonds fédéraux (taux d'intérêt qu'ils prélèvent lorsqu'ils prêtent de l'argent à d'autres banques), acheter ou vendre des obligations d'État ou faire ce qu'on appelle l'assouplissement quantitatif, où ils créent de l'argent et l'utilisent pour racheter des obligations d'autres banques, augmentant ainsi les réserves bancaires, ce qui permet aux banques de prêter plus d'argent.

La Blockchain La blockchain est la clé de tout, il est donc important de comprendre comment cela fonctionne et pourquoi il est un changeur de jeu. La technologie Blockchain résout un problème très important lié aux transactions entre une partie et une autre: le problème de la confiance.

Traditionnellement, les transactions financières (par exemple un achat VISA en ligne) impliquent une certaine quantité de confiance. Confiance que le montant d'argent offert, parié ou dépensé existe réellement dans le compte de celui prometteur.

Confiance qu'ils vont suivre et effectuer le paiement.

Confiance que la banque exécutera la transaction correctement au lieu de la bloquer ou de geler le (s) compte (s) des personnes impliquées.

Les cryptomonnaies ne sont pas contrôlées par les banques centrales. En fait, aucune banque n'est nécessaire du tout. Ils sont décentralisés. Les transactions se font directement d'une personne à l'autre, d'une personne à l'autre ou d'une entreprise à l'autre.

Il n'y a pas de médiateur ou de tiers nécessaire. Et il n'est pas nécessaire de garder votre cryptomonnaie dans un compte bancaire, car il n'y a aucun risque que quelqu'un puisse le voler par des moyens traditionnels (il peut être volé par des pirates, mais une banque ne va pas aider avec ça.

Confiance que personne d'entre-deux ou l'institution ne s'enfuira avec l'argent. Confiance que l'expéditeur n'annulera pas la transaction. Parfois, cette confiance est brisée et une fraude est commise ou des erreurs sont commises dans le processus par la banque.

Cela peut déjà vous donner une idée de la manière dont les cryptocurrences peuvent changer le monde. Supprimer le besoin de banques centrales, voire de toutes les banques, est révolutionnaire.

La blockchain résout ce problème. Il n'y a pas d'intermédiaire. Aucune transaction ne peut avoir lieu à moins que l'argent existe dans le compte de l'expéditeur, et quand il a lieu, il se passe rapidement et de façon irréversible, et les dossiers sont accessibles au public pour vérification (l'inconvénient est que si vous faites une erreur, par exemple envoyer de l'argent sur le mauvais compte, il peut y avoir aucun moyen de récupérer votre argent).

Comment fonctionnent les cryptocurrencies Le terme «crypto» vient du fait que les crypto-monnaies utilisent des techniques cryptographiques pour la sécurité. Lorsque vous possédez une crypto-monnaie, elle est stockée dans un «portefeuille» numérique et vous obtenez un mot de passe très long appelé clé. Sans la clé, personne ne peut accéder à votre crypto-monnaie, y compris vous.

Comment fonctionne la technologie blockchain

Chaque transaction de crypto-monnaie est enregistrée pour toujours sur un registre public appelé «blockchain». L'identité de l'expéditeur et du destinataire est cryptée, donc bien que n'importe qui puisse

La blockchain est ainsi appelée parce qu'elle est littéralement une chaîne de blocs de transaction.

Une blockchain peut être centralisée, mais les chaînes de blocs utilisées par Bitcoin et de nombreuses autres cryptocurrences sont décentralisées. Cela signifie qu'ils sont stockés sur un grand nombre d'ordinateurs distribués dans le monde entier. En prenant Bitcoin comme exemple, chaque personne qui possède Bitcoin a un portefeuille avec deux clés, une publique et une privée. Lorsqu'une nouvelle transaction est exécutée, l'utilisateur envoyant Bitcoin utilise sa clé privée pour accéder à son portefeuille et dire au réseau d'envoyer Bitcoin à un autre portefeuille.

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Une chaîne de texte décrivant sa transaction, avec sa clé publique, est ensuite envoyée au réseau. La transaction est reçue par des ordinateurs, ou «nœuds» sur le réseau, et combinée avec d'autres transactions pour former un «bloc». Mais pour que ce bloc soit ajouté à la chaîne, un problème mathématique complexe doit d'abord être résolu.

La sécurité Ceci est considéré comme un système sans confiance parce qu'il n'y a pas d'humains ou d'institutions impliqués, prenant des décisions. Tout se passe par un algorithme mathématique. Bien sûr, on peut soutenir qu'il y a encore de la confiance, car il faut faire confiance à l'algorithme ou au système. Mais plus il fonctionne longtemps et plus les transactions sont exécutées avec succès, plus cela sera facile.

L'exploitation minière Ceci est fait par des mineurs de Bitcoin. les utilisateurs indépendants ou les entreprises qui utilisent des ordinateurs puissants dédiés à la résolution des problèmes de mathématiques. Ils sont tous en concurrence à travers le réseau pour résoudre les problèmes et sont récompensés pour leurs efforts par la production de nouveaux Bitcoins. Chaque fois qu'un problème mathématique est résolu, un nouveau bloc de transactions est ajouté à la chaîne, et un peu de Bitcoin est créé et donné aux mineurs.

Parce qu'il y a des milliers ou des millions d'ordinateurs contenant des copies de la blockchain, il est protégé contre les attaques par une extrême redondance. Le registre lui-même ne peut pas être modifié ou piraté. Comme je l'ai mentionné plus tôt, cependant, il est possible pour les pirates de voler des Bitcoins. Par exemple, ils peuvent mettre sur votre ordinateur des logiciels malveillants qui modifient le numéro de compte auquel vous envoyez le Bitcoin. Ou ils peuvent pirater votre ordinateur et trouver votre mot de passe. Ils peuvent également pirater l'échange (un endroit où Bitcoin est acheté et vendu en échange d'autres devises) où vous détenez vos Bitcoins.

Cette incitation assure qu'il y aura toujours des mineurs pour maintenir le réseau en marche, et qu'il y aura toujours de nouveaux Bitcoin créés pour remplacer ce qui est perdu quand, par exemple, les gens perdent l'accès à leurs Bitcoins en perdant leurs mots de passe.

Si vous stockez vos Bitcoins sur votre propre matériel qui est déconnecté d'Internet, vous êtes la plupart du temps protégé contre le piratage. Mais si vous perdez le matériel, vos Bitcoins sont également partis. Pour la plupart d'entre nous, traiter en toute sécurité avec cryptocurrencies nécessitera d'en savoir plus sur la sécurité numérique. Parlons donc de la façon dont ces technologies vont changer le monde.

Ce processus de résolution de problèmes mathématiques pour ajouter des blocs à la chaîne est appelé preuve de travail (certaines cryptocurrences utilisent d'autres types de 'preuves' qui sont sans doute meilleures, mais cela dépasse le cadre de cet article). Il est très important pour un système sans confiance d'avoir une sorte de méthode de preuve pour ajouter des transactions, car c'est ce qui empêche la fraude.

La montée des crypto-monnaies Si vous avez prêté attention aux nouvelles, vous avez probablement entendu parler de la récente augmentation fulgurante de la valeur de Bitcoin et d'autres cryptocurrencies. Lorsque les Bitcoins ont été introduits pour la première fois, chaque pièce valait moins qu'un centime. Il y a une histoire maintenant célèbre d'un homme qui a dépensé 2000 Bitcoins pour acheter une pizza. Aujourd'hui, chaque Bitcoin vaut plusieurs milliers de dollars.

Une fois qu'un bloc a été ajouté à la chaîne, il est considéré comme valide en raison du travail effectué pour l'ajouter. S'il y a un conflit, le bloc qui a eu le plus de travail à générer est considéré comme le bon.

Par conséquent, puisque chaque bloc est vérifié par la concurrence à travers le réseau, le remplacement d'une transaction par une transaction frauduleuse nécessiterait plus de puissance de calcul que ce qui existe dans tout le réseau de mineurs.

Le processus d'extraction garantit également que la chaîne est correctement construite. Parce que la blockchain est sur un réseau distribué, il serait un problème commun que de nouvelles transactions seraient ajoutées dans différents ordres sur différents nœuds, ce qui entraîne des désaccords entre les ordinateurs sur la structure exacte de la blockchain.

Les problèmes mathématiques sont si difficiles à résoudre qu'ils ne seront pas résolus exactement au même moment par différents nœuds. Ainsi, chaque bloc sera ajouté dans un ordre convenu.

Quiconque a détenu des Bitcoins depuis les premiers jours de la monnaie est probablement un millionnaire maintenant (c'était une pizza très chère).

Mais Bitcoin n'est pas la seule pièce à connaître une telle augmentation spectaculaire de la valeur. Beaucoup de gens sont allés de pauvres en riches en un temps extrêmement court en investissant dans des cryptocurrencies. Certaines de ces pièces ont augmenté de milliers de pour cent en quelques mois ou même semaines.

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Imaginez un réseau de trading collectif où les gens produisent des biens ou de l'art ou de l'information et reçoivent un paiement en Bitcoin ou dans une autre crypto-monnaie mondiale. Cette monnaie a la même valeur partout. Les œuvres produites par le pauvre fermier ougandais auront la même valeur que les œuvres d'art produites par le riche avocat américain.

Il y a toujours eu de telles occurrences sur le marché boursier ici et là, mais la vitesse et l'étendue de cette situation sont plus extrêmes même que la bulle Internet. Cela a conduit beaucoup de gens à croire que les cryptocurrences sont une bulle géante qui attend d'éclater. Ils peuvent avoir raison. Mais il y a deux choses à garder à l'esprit.

1) L'éclatement de la bulle Internet a fait beaucoup de gens pauvres du jour au lendemain et a détruit beaucoup d'entreprises, mais ce n'était pas la fin des entreprises point-com. Il s'est simplement débarrassé des perdants et a permis aux gagnants d'atteindre le sommet et de dominer le marché. Regardez Google et Microsoft aujourd'hui.

Un exemple des possibilités offertes par cryptocurrencies est le réseau social appelé Steemit.

Ici, des dizaines de milliers d'utilisateurs publient des histoires, des blogs, des vidéos, des photos, des illustrations numériques, de la musique, etc., et sont payés dans Steem Power, une crypto-monnaie. Le paiement a lieu par d'autres utilisateurs "upvoting" leur contenu. Plus les upvotes sont élevés et plus Steem Power est propriétaire de ces upwotings, plus l'affiche est payée. N'importe qui de n'importe quel pays peut participer. L'argent n'est pas payé directement par ceux qui votent, mais par le pot communautaire. Tout le système fonctionne parce que les gens investissent dans la monnaie, ce qui lui donne de la valeur.

2) Les cryptomonnaies remplaceront les devises fiduciaires au fil du temps. Cela signifie que toute la valeur actuellement associée aux devises fiat va se retrouver dans les cryptomonnaies. Jusqu'à présent, la valeur totale des cryptomonnaies n'est qu'une infime fraction des monnaies fiduciaires. Cela signifie que même s'il peut y avoir une bulle à court terme, à long terme, les cryptomonnaies vont augmenter beaucoup plus que ce qu'elles ont déjà.

Bien sûr, tout le monde n'est pas payé en fonction de la qualité, ou même de la popularité, de leurs contributions. Si vous produisez du contenu de haute qualité mais que vous n'avez pas de followers, vous ne serez pas payé. Et avoir seulement quelques abonnés riches en Steem Power signifie que vous serez payé plus que quelqu'un avec beaucoup de disciples relativement pauvres.

L'ouest sauvage Une autre différence entre cryptomonnaies et le marché boursier est le manque de réglementation.

L'enregistrement d'un compte pour négocier des actions est un processus qui nécessite généralement une sorte de vérification des revenus et de signature de documents, etc. Et le négoce boursier (au moins sur les principaux marchés) est réglementé par des organisations comme la SEC.

Néanmoins, le potentiel est clair, étant donné que le lieu ou le statut a peu d'incidence sur le paiement. Ils sont payés parce que les gens trouvent de la valeur dans le contenu qu'ils produisent, peu importe d'où ils viennent, quels sont leurs antécédents ou à quel point ils sont riches ou pauvres.

Le commerce des cryptomonnaies n'a actuellement aucun organisme de réglementation.

N'importe qui peut ouvrir un compte, transférer de l'argent et commencer à trader en quelques minutes.

Cela le rend plus risqué, mais cela signifie également qu'il y a plus de possibilités. Les banques et les gouvernements ne font pas les règles (pour l'instant). Un jeune de 13 ans peut transformer son allocation de 20 dollars en 10 000 dollars dans sa chambre à coucher.

Un concierge peut devenir riche en investissant les quelques dollars supplémentaires de son salaire chaque semaine. C'est l'ouest sauvage.

la perte du gouvernement et du contrôle institutionnel Cryptocurrencies pourrait signifier la fin du contrôle gouvernemental et institutionnel sur l'argent.

Ce n'est pas quelque chose à prendre à la légère. Les effets ne seront pas soudains. Les gouvernements ne tomberont pas comme des dominos. Les banques ne commenceront pas à fermer, du moins pas tout de suite. Mais ils vont lentement commencer à perdre le contrôle.

L'opportunité mondiale Les cryptomonnaies sont des devises mondiales. Un paysan pauvre en Ouganda peut gagner, détenir et utiliser Bitcoin ainsi qu'un avocat américain riche. Cela offre des opportunités sans précédent pour l'égalisation de la richesse entre les nations.

Au fur et à mesure que les cryptomonnaies augmentent, les monnaies fiduciaires vont chuter. Les banques commencent déjà à se rendre compte du 9

problème et commencent à s'embarquer dans les cryptocurrences. Cela peut aider ou assurer leur survie.

Mais il est probable qu'ils vont encore perdre le contrôle. Avec la valeur monétaire mondiale passant aux monnaies mondiales décentralisées, les banques ne parviennent pas à établir les règles. Beaucoup d'entre eux investissent dans une crypto-monnaie centralisée appelée Ripple, dans le but de maintenir un certain contrôle. Il reste à voir comment cela va se passer.

Tout le système monétaire va changer. Les gouvernements, les banques, les particuliers. Les économies peuvent augmenter ou diminuer. L'équilibre mondial de l'argent et du pouvoir va changer. L'égalité peut augmenter, ou la richesse et le pouvoir peuvent simplement changer, comme c'est souvent le cas avec les révolutions. Rien est certain. Mais il y aura du changement.

Les banques ne seront pas en mesure de contrôler les taux d'intérêt sur les prêts, car les gens vont se constituer des réseaux globalisés et se prêter mutuellement. Cela permettra de maintenir les tarifs compétitifs et raisonnables, et de s'assurer que n'importe qui a la chance d'obtenir ou de donner un prêt. De telles communautés existent déjà, mais elles deviendront sûrement plus communes au fur et à mesure que les cryptocurrences prendront de l'ampleur.

Si vous ne saviez rien sur les crypto-monnaies et la blockchain avant de lire cet article, vous trouverez peut-être que beaucoup de mes affirmations sont incroyables, juste de la fantasy. Je vous encourage donc à prendre le temps de vous éduquer. Faire votre recherche. Pensez aux implications. Je ne suis pas un expert en crypto-monnaie. Je me bats toujours pour comprendre tout cela moi-même. Mais c'est réel, et ceux qui refusent de reconnaître ce fait seront laissés pour compte, tout comme ceux qui ont refusé d'apprendre à utiliser Internet.

Les conclusions

Sans le besoin de banques centralisées et avec la valeur transférée hors des monnaies nationales, les gouvernements perdront le contrôle du système monétaire. Sans les banques centrales, ils ne seront pas en mesure de contrôler la valeur ou la quantité de devises. En outre, les transactions étant anonymes, elles n'auront pas un moyen facile de contrôler ou de suivre les transactions financières des citoyens.

L'augmentation incroyablement rapide des cryptocurrencies est une bonne raison de faire preuve de prudence si vous investissez dans eux. Ce n'est pas une bonne raison de les ignorer ou de les rejeter. Ils, et surtout la blockchain sur laquelle ils sont construits, sont là pour rester.

Depuis la montée de l'Internet au milieu des années 90, nos vies ont changé au point que la plupart d'entre nous peuvent à peine imaginer vivre sans elle.

La blockchain a le potentiel de faire la même chose. Ce n'est pas une mode. Ce n'est pas une technologie obscure dont vous n'avez pas besoin de savoir. C'est une révolution qui change la vie et qui change le monde, et ça ne va pas disparaître. La seule question est: qu'allez-vous faire à ce sujet?

Ce sera une aide pour les criminels, qui peuvent faire leurs affaires anonymement. Cela rendra également l'audit fiscal beaucoup plus difficile. Les gouvernements peuvent rencontrer un certain nombre de problèmes financiers si les monnaies fiduciaires disparaissent. Sans contrôle sur le système monétaire, ils peuvent ne pas être en mesure de contrôler leurs propres budgets.

Les gouvernements qui décident d'interdire les crypto-monnaies dans une tentative de maintenir le contrôle peuvent constater que des économies souterraines d'une taille sans précédent fonctionnent dans tout le pays et sont presque impossibles à fermer.

www.shawndove.com Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de l'ambassade.

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Le rapport des prix du pétrole en Venezuela Reports Oil monnaie chinoise, évitant le dollar Prices in Chinese Currency, américain

Shunning the U.S Dollar'

soit l'équivalent de 46,76 dollars sur la base du taux de change indiqué dans une note de bas de page. Cela est en hausse par rapport au prix de la semaine précédente de 300,91 yuans, soit 46,15 dollars sur la base des taux de change.

Le ministère n'a pas répondu à un courriel demandant des détails supplémentaires.

"Personne ne change de contrat pour le moment", a déclaré un négociant pétrolier consulté sur la question, qui a demandé à ne pas être identifié. "Le pétrole est une marchandise qui est vendue presque toujours libellées en dollars ... et c'est comme cela qu'ils devront payer les détenteurs d'obligations », a déclaré le trader, se référant à la compagnie pétrolière nationale. Le système monétaire Dicom du Venezuela a temporairement suspendu la vente de dollars afin d'incorporer d'autres devises.

Le Venezuela a publié vendredi le prix de son pétrole et de son carburant en monnaie chinoise dans ce qu'il appelle un effort pour libérer le pays socialiste de la "tyrannie du dollar", faisant écho à un plan récemment annoncé par le président Nicolas Maduro.

Maduro a déclaré la semaine dernière que son gouvernement rejetterait le dollar après que les Etats-Unis ont annoncé des sanctions qui ont bloqué certaines transactions financières avec le Venezuela sur des accusations selon lesquelles le parti socialiste au pouvoir sape la démocratie.

Le dirigeant socialiste tardif Hugo Chavez, au cours de son règne de 14 ans, a promis à plusieurs reprises de s'éloigner du dollar, qui, selon lui, était imprimé de manière indiscriminée et était destiné à perdre sa place de monnaie dominante mondiale.

Mais le Venezuela reste tributaire du billet vert, étant donné qu'il effectue de nombreux échanges commerciaux avec les États-Unis à la fois à travers les exportations de pétrole et les importations de produits alimentaires et de consommation des Etats-Unis. Les sanctions imposées par l'administration du président Donald Trump ont empêché les citoyens américains d'acheter de nouvelles dettes du Venezuela ou de sa compagnie pétrolière nationale, mais n'ont pas interrompu directement les opérations d'importation et d'exportation.

L'industrie pétrolière mondiale utilise massivement le dollar pour la tarification des produits. Un bulletin hebdomadaire du ministère du Pétrole publié vendredi indiquait les prix de septembre en yuans, tout en incluant les prix des semaines précédentes et des mois en dollars. "Ce format est le résultat de l'annonce faite le 7 septembre par le président ... que le Venezuela mettra en place de nouvelles stratégies pour libérer le pays de la tyrannie du dollar", a écrit le ministère dans un communiqué publié après le bulletin.

Les prix du yuan au Venezuela semblent être le résultat de la multiplication des prix en dollars par le taux de change dollar / yuan. Le prix du baril pour la semaine se terminant vendredi était de 306,26 yuans,

www.reuters.com Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de l'ambassade.

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Face à l'impérialisme des États-Unis

Cela a ébranlé le capitalisme mondial il y a dix ans. Ce qui les attend tôt ou tard, selon des prédictions très respectables, sera supérieur à celui de 2008. Mais le capitalisme mondial a appris qu'il ne peut pas se permettre de faire face à un tel cataclysme sans protection. Et il se prépare à y faire face. Le seul soutien dont il dispose est de continuer et d'approfondir le pillage et le pillage des peuples d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine. L'Union soviétique, après la victoire contre le fascisme nazi pendant la Seconde Guerre mondiale et la lutte anti-impérialiste pour la libération du peuple, a donné un répit à certains pays du Tiers-Monde, parce que leur action a amorti le pillage impérialiste mondial.

"Nous pouvons concevoir un monde dominé par une tyrannie invisible qui utilise des formes de gouvernement démocratique" * Kenneth Boulding est un économiste nord-américain d'origine ukrainienne, poète, pédagogue et activiste pour la paix et la liberté.

La crise structurelle du capitalisme éclate le 5 septembre 2008. La bulle immobilière des prêts hypothécaires subprime ou spéculatifs à haut risque de défaut provoque un tremblement de terre. Fannie Mae et Freddie Mac, les plus grandes sociétés immobilières du monde font faillite. Plusieurs banques tombent, y compris la banque d'investissement Bear Stearns.

Révolte Lehman Brothers Holdings Inc., l'institution financière la plus importante au monde.

Après la chute du mur de Berlin, les pays impérialistes, dirigés par les Etats-Unis, sont revenus.

Ils intensifient leur rapacité et étendent leurs tentacules partout dans le monde en essayant de contenir ou d'anéantir par la violence toute tentative de déséquilibre qui risque le projet de spoliation, fondement de leurs sociétés, un pilier irremplaçable du niveau de vie dont jouissent aujourd'hui les pays industrialisés., comme une conséquence historique du colonialisme.

Ils cassent aussi the American Home Mortgage, l'une des plus importantes banques hypothécaires aux États-Unis et the National City Home Equity.

Il y a de la panique. Ce même mois, la crise touche toutes les bourses mondiales. En Europe, BNP Paribas, une banque française, vacille. La Deutsche Bank allemande subit de lourdes pertes qui terrorisent les banquiers et les épargnants. Les États-Unis et l'Union européenne ont recours à l'injection de fonds pour empêcher la faillite du système financier mondial.

Citigroup, le plus grand groupe financier au monde, annonce des pertes de plusieurs millions de dollars.

Merrill Lynch suit au bord de la faillite. Son président avoue qu'il a des dettes irrécouvrables pour des milliards de dollars. Goldman Sachs et Morgan Stanley tombent dans le même tourbillon, mais sont sauvés par la Réserve fédérale américaine.

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Pour cette année 2018, le naufrage du dollar et la nouvelle crise financière mondiale avec l'émission d'obligations et l'énorme dette du gouvernement américain sont annoncés. Les bases du pouvoir nord-américain tremblent encore et augmentent leur agressivité. Depuis le début de l'année 2000 commence une attaque brutale du World Trade Center qui a fait 3000 morts comme l'écrit Thierry Meyssan dans son livre "La grande imposture", où il dénonce avec des données indiscutables un affreux crime de faux-drapeaux. Prétexte pour déclencher la guerre en Afghanistan.

monde souterrain avec les armes de guerre, les bombes dans les ambassades et les assassinats sélectifs contre la volonté des dirigeants révolutionnaires de préserver la paix et d'éviter la guerre civile, stimulée par le droit interne et l'impérialisme. Toutes ces tentatives ont été vaincues une par une.

L'invasion de l'Irak puis de la Libye, également sous des faux positifs: les armes de destruction massive n'ont jamais été retrouvées (Hans Blixs, conseiller du gouvernement américain, regretterait que son gouvernement «fabrique de fausses preuves»); et la mise en scène, dans une vaste étude, des bombardements aveugles dans la ville de Bengazi. Intervention de l'OTAN, tueries inhumaines, destruction d'une partie de Tripoli. L'épilogue de cette orgie sanglante a abouti à la pendaison de Saddam Hussein et au meurtre brutal de Mouammar Kadhafi. Seulement en Irak il y a un million de morts qui provoqueront le rire de Mme Clinton à la lumière du cadavre massacré du chef libyen.

Simultanément, l'impérialisme américain se précipite pour nettoyer le terrain: en 2008, un coup d'Etat parlementaire au Paraguay congédie Fernando Lugo en moins de 24 heures à travers un «procès politique express», comme le soutient le journaliste argentin Juan Manuel Karg. Puis en 2009, un autre coup d'État au Honduras a renversé Manuel Zelaya. Il y a eu des tentatives de coup d'Etat en Bolivie et en Equateur.

Tous sous l'ombre de la CIA. Puis au Brésil, Dilma Rousseff est licenciée sous un autre coup d'Etat parlementaire. La campagne féroce de discrédit par les médias argentins entre les mains d'hommes d'affaires sans scrupules, Cristina Fernández de Kirschner perd les élections.

Les États-Unis forment et mercenaires armes pour la guerre au Moyen-Orient dans un schizophrène de la lutte simulée entre alliés sous le parapluie du soi-disant État islamique afin de renverser le gouvernement légitime de Bachar al-'Asad et occuper la Syrie.

Mais il est défait après l'intervention de la République fédérale de Russie avec l'armée syrienne.

A ceci s'ajoute la trahison de Lénine Moreno en Equateur qui ouvre finalement la boussole à l'intervention en République bolivarienne du Venezuela, véritable objectif. À cela il faut ajouter le harcèlement judiciaire contre Cristina Fernández et Lula pour empêcher leur participation aux élections dans leurs pays respectifs. En un mot, l'impérialisme américain ne veut pas permettre le retour des leaders sociaux qui remettent en question sa domination dans la région au point d'une menace militaire imminente contre la révolution bolivarienne afin de récupérer les champs pétrolifères certifiés comme la plus grande réserve prouvée de la monde.

Il y a un désespoir au sujet de la guerre perdue en Afghanistan, en Irak et en Syrie après les millions de morts. AFRICOM s'intensifie dans le continent noir pour arrêter l'indépendance définitive. L'impérialisme vise alors à retrouver le terrain perdu en Amérique latine après l'émergence de la révolution bolivarienne sous la direction du commandant Hugo Chávez et l'avènement de gouvernements progressistes au Brésil, en Argentine, en Bolivie, au Nicaragua, au Paraguay et au Honduras. Il est alors proposé d'annihiler ce qu'ils considèrent comme l'anneau protecteur de la révolution bolivarienne, le véritable danger pour leurs intérêts. Ses conceptions sont évidentes: il faut le renverser définitivement.

Toutes ces manoeuvres contre le président Nicolás Maduro ont échoué. L'Empire américain est impatient. Il stimule l'échec du dialogue avec l'extrême droite. Il recourt à la menace militaire directe du président Trump. Mais l'approche de la crise financière et la chute imminente du dollar le pousse à accélérer davantage ses plans. Le Venezuela décide d'utiliser le yuan pour vendre du pétrole face au harcèlement financier.

Le coup d'état militaire contre Chávez a eu lieu en 2002, orchestré en complicité avec la ACI, sabotage pétrolier, violence de rue d'extrême droite, menaces constantes. Une fois le commandant Hugo Chávez assassiné, l'impérialisme pensait qu'il était possible de quitter Dictature Chavista ".

En outre, les médias soulignent une "dictature" et une "crise humanitaire" à travers l'attaque impitoyable contre la monnaie vénézuélienne et l'inflation induite. La résistance du peuple vénézuélien sous la direction audacieuse et compétente du président Nicolás Maduro l'a empêché: il approfondit la démocratie en appelant l'Assemblée nationale constituante et en organisant des élections pour les gouverneurs et les maires du pays qui aboutissent à une victoire écrasante des forces révolutionnaires. Toutes les techniques de «coup de cœur» de Gene Sharp qui ont été mises en pratique au Venezuela, toutes les tentatives d'assassinat, le sabotage, la mobilisation du

La monnaie crypto Petro est née comme une réponse. L'impérialisme enlève le masque démocratique. L'OEA et les sénateurs américains appellent ouvertement au coup d'État et au renversement d'un gouvernement démocratiquement élu et passent à la phase finale: l'agression militaire ouverte après la tournée de Rex Tillerson dans certains pays d'Amérique latine et la présence de Kurt Tidd, chef du Commandement Sud, en Colombie, en utilisant son allié privilégié, Juan Manuel Santos. Le dialogue entre le gouvernement et l'opposition est rompu après un ordre nord-américain.

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Plusieurs invasions en Haïti depuis 1915.

Maintenant plus que jamais, nous devons être en alerte générale et en solidarité internationale pour empêcher la guerre de 100 ans dans toute l'Amérique latine, prédit par le commandant Hugo Chávez au cas où le gouvernement américain oserait marcher sur le Venezuela.

Le précédent ne peut pas être plus obscur et sanglant. Il s'agit de la résurgence de la Doctrine Monroe, l'Amérique, pour les Américains du Nord "qui avaient imposé une série de dictateurs en Amérique latine: Anastasio Somoza du Nicaragua, Marcos Pérez Jiménez du Venezuela et Rafael Leónidas Trujillo de la République Dominicaine, C'est-à-dire le retour de la politique du «gros bâton» du président Theodore Roosvelt: le coup d'État du XXe siècle montre un exemple flagrant: 1953, renversé Jacobo Arbenz au Guatemala.

1961, l'invasion à Cuba. Vaincu à Playa Girón.

1964, Coup au Brésil contre Joau Goulart.

1965, l'Invasion en République Dominicaine et le Renversement de Juan Bosch.

Coup d'Etat au Chili en 1973. Assassinat du président constitutionnel Salvador Allende. Et comme un épilogue, la mobilisation récente de l'armée colombienne à nos frontières.

1976 L'opération Aries, Coup en Argentine contre María Estela de Perón.

1983, L l'invasion à Grenade et le meurtre de Bishoff.

1989 L 'invasion et l'attentat à la bombe au Panama.

Destruction du quartier "El Chorrillo".

By: Mr. Alfredo Lugo Premier secrétaire de l'ambassade du Venezuela à Nairobi Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de l'ambassade.

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La date des élections présidentielles vénézuéliennes est fixée au 22 avril Le Conseil électoral national du Venezuela a confirmé dimanche 22 avril la date officielle des prochaines élections présidentielles. La présidente du Conseil national electoral (CNE), Tibisay Lucena, a fait cette annonce mercredi soir après une période d'absence qui l'a amenée à se retirer de la vie publique pendant plusieurs mois en raison d'une maladie non divulguée. "Les élections sont convoquées pour le 22 avril 2018", a déclaré Lucena.

De plus, les remplacements de candidats doivent avoir lieu avant le 2 mars et la campagne officielle peut commencer le 2 avril et se terminer le 19 avril.

Le président actuel, Nicolas Maduro Moros, est candidat à la réélection au nom du parti de gauche Nous sommes le Venezuela, le Parti Socialiste Unifié (PSUV), et d'autres petits partis de gauche alliés au parti gouvernemental..

La chef du CNE a également ajouté que le corps était en "session permanente" depuis lundi dernier "en analysant les dates et en travaillant sur différents scénarios".

La justice de la Cour suprême du Venezuela a récemment statué que la coalition officielle de l'opposition, la Table ronde sur l'unité démocratique, ne pouvait pas obtenir un ticket d'unité pour les élections comme elle l'a fait précédemment, en invoquant la double appartenance à un parti comme raison de sa décision. Cependant, les partis d'opposition individuels devraient annoncer leurs candidats bientôt. Le leader du Progressive Advance, Henri Falcon, a publiquement confirmé qu'il se présenterait comme pré-candidat présidentiel pour l'opposition.

Au début de cette année, l'Assemblée nationale constituante du Venezuela a voté en faveur de la tenue des élections présidentielles prévues pour la fin de l'année 2018 pour les quatre premiers mois de l'année. En plus d'annoncer la date des élections présidentielles, le CNE a également rendu public un calendrier officiel des procédures électorales menant au vote.

venezuelanalysis.com The views and opinions expressed in these articles are of the author and do not necessarily reflect the official position of the Embassy

Selon le calendrier du CNE, les électeurs pourront s'inscrire et modifier leurs coordonnées sur le registre électoral jusqu'au 20 février, tandis que les candidats à la présidence devront se présenter les 26 et 27 février.

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Le Chavismo ferme les rangs avant les élections présidentielles Beaucoup de noms et peu de bruit

Le peuple vénézuélien se prépare pour les élections présidentielles, appelées par l'Assemblée nationale constituante (ANC) avant le premier trimestre de 2018. Face à ce scénario, Chavismo a officiellement annoncé son candidat: Nicolás Maduro, qui est aussi le président actuel, il dirigera réélu et devient ainsi le personnage désigné pour assurer la continuité du processus bolivarien.

Beaucoup de noms sont entendus dans l'opposition: Henrique Capriles, Ramos Allup, Henri Falcón, Leopoldo López et même l'homme d'affaires qui subventionne le gouvernement lui-même, Lorenzo Mendoza. Au contraire, Chavismo se rend aux élections présidentielles avec un seul candidat qui a été sélectionné dans le cadre du PSUV, la plus grande organisation politique du pays

Des ministres, des gouverneurs, des maires, des électeurs et d'autres fonctionnaires, membres du Parti socialiste uni du Venezuela (PSUV), ont approuvé à l'unanimité la candidature de Maduro.

"Ce sont des moments cruciaux pour la révolution bolivarienne et bien que les menaces et les sanctions contre le Venezuela continuent, il y a un peuple prêt à faire tout ce qui est nécessaire pour défendre sa souveraineté (...) aujourd'hui nous devons confirmer et ratifier la candidature "La sélection du président Nicolás Maduro et je sais que nous le ferons", a déclaré Adán Chávez, frère de l'ancien président et commandant de la révolution bolivarienne, Hugo Chávez.

Par: M. Alfredo Lugo Premier secrétaire de l'ambassade du Venezuela à Nairobi Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de l'ambassade.

L'acte a eu lieu à l'emblématique Poliedro de Caracas, avec des milliers de personnes de différentes guildes et groupes d'âge qui font partie de cet auvent politique, rassemblés à l'intérieur et à l'extérieur de la salle en démonstration de leur soutien pour la candidature du président qui travaillera dur pour la prochaine période présidentielle 2019-2025.

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Les États-Unis tentent de pousser un coup d'État au Venezuela

The Venezuela Government demanded Washington to “immediately stop all assaults and threats” against the Venezuelan people, repeating Venezuela was a free and sovereign country, defending its right to peace, stability and democracy.

If they really want to be humanitarian saviors, the US regime should stop bombing the countries in Africa and the Middle East, and dedicate themselves to improving the living conditions of their surviving populations, which have been victims of their destructive imperial desires.

“The Government of the Bolivarian Republic of Venezuela rejects the statements of the Assistant Secretary of State for Western Hemisphere Affairs, Francisco Palmieri, who once again pretends to exercise an authority that no one has granted him in order to ignore our legitimate, democratic and constitutional institutions with the objective of promoting a change of Government.

And if they do not want to go very far, then focus on addressing the social and economic problems that exist in Puerto Rico after the passage of Hurricane Maria, and where, to this day, thousands of people have been forced to leave their homes due to the contempt with which the American white supremacist regime has treated them. More than four months later, most of the island lacks electricity and potable water service, turning its survivors into true displaced persons and refugees in need of urgent humanitarian assistance.

Neither the US regime nor its regional subordinates have any legal or moral competence to pretend to shape the future of Venezuelans, and even less when they are the ones directly responsible for the problems that afflict the citizens of our country, by imposing coercive unilateral sanctions that hinder our national development and interfere with the right of Venezuelans to exercise their democratic rights , generating to devastating effects on the economy and the population leading to what should be considered as crimes against humanity.

Venezuela demands the immediate cessation of all aggressions and threats of the US regime against our people and reiterates that it is a free and sovereign country, and as such will defend its peace, stability and democracy.” www.mppre.gob.ve www.telesurtv.net

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L'importance du coup d'Etat du 4 février 1992

S'il y a un rappel utile du coup d'Etat de Chavez du 4 février 1992, c'est que le monopole vénézuélien du pouvoir n'a pas cessé d'exister, il vient de déménager à Washington et dans d'autres capitales coloniales.

Un événement du passé peut-il nous donner un avertissement sur les événements actuels aujourd'hui?

La réponse est affirmative si nous croyons que l'histoire est un enseignant. Lorsque nous regardons un événement historique important, nous avons généralement tendance à nous souvenir des informations factuelles entourant l'événement - les faits réels qui ont eu lieu à ce moment-là. Comme nous aimons marquer les anniversaires, c'est essentiel. Mais nous devons également être mis au défi de réexaminer l'événement pour trouver une nouvelle signification et un nouvel éclairage sur la pertinence de l'événement.

Dans les livres d'histoire, les faits sont généralement précis; les documents officiels en témoigneront. Cependant, l'analyse de ces faits qui seront consignés dans les livres d'histoire dépendra de l'interprétation correcte des actions comme elles devaient l'être au moment de leur réalisation. L'exactitude de la preuve, y compris un compte rendu équilibré de l'analyse, doit être préservée.

En ce moment nous nous souvenons de l'anniversaire de la tentative de coup d'État par Hugo Chavez au Venezuela le 4 février 1992. Dans une région où le symbolisme marque des événements importants, ce jour a été déclaré "la Journée nationale de la dignité du Venezuela". Nous avons déjà mentionné dans un article précédent quels aspects de la pensée de Simon Bolivar ont inspiré Chavez, et nous avons une bonne idée de la raison du coup d'Etat de Chavez, mais nous devons aussi nous demander quelle est l'implication du Venezuela aujourd'hui, 26 ans plus tard?

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Chavez estimait que le "projet bolivarien", comme il l'appelait, n'était pas achevé, puisque le Venezuela et le reste de l'Amérique latine n'avaient pas obtenu leur indépendance totale - ni politiquement ni économiquement - et étaient encore sous domination néocoloniale. Il a justifié ses actions par ces mots: "le même système, en économie et politique, le même déni des droits de l'homme et le droit du peuple à déterminer son propre destin (était toujours en place) ... Le Venezuela souffrait d'une crise terminale par une dictature habillée en tenue démocratique. "

L'échec du coup d'État en 1992 s'est transformé en un succès inattendu puisqu'il a permis à Chavez de se faire connaître et d'inciter une population prête à se réveiller à la contradiction d'un pays riche avec 80% de la population vivant dans la pauvreté. .

Une grande majorité de Vénézuéliens a soutenu la rébellion.

Mais cet échec n'a pas empêché Chavez de remplir sa promesse faite dix ans auparavant en 1982: "Je jure pour les dieux de mes parents; Je jure pour mon pays; Je jure pour mon honneur que je ne donnerai pas la paix à mon âme et que je ne me reposerai pas sur mes bras jusqu'à ce que je voie briser les chaînes qui oppriment mon peuple sous la volonté des puissants.

Le "costume démocratique" était une référence à l'apparition d'un système multipartite alors qu'en réalité les deux partis dominants avaient signé un pacte pour former un monopole de centre-droit du pouvoir contrôlé par les intérêts de l'oligarchie vénézuélienne, à l'exclusion de les gens, ce qui n'a pas permis de contester le consensus politique. Chavez a fait référence à ce monopole comme " Puntofijismo " après l'endroit où le Pacte de Punto Fijo a été signé à Caracas.

La raison politique qu'il a donnée et sa détermination personnelle l'ont amené à se présenter à la présidence et à remporter l'élection en 1999 sur une plate-forme qui promettait de rompre la longue période de Puntofijismo de 1958 à 1999 et de transformer profondément la société vénézuélienne.

Chavez a vu les problèmes sociaux au Venezuela comme conséquence, et non comme une coïncidence, de l'exploitation de sa richesse par des sociétés étrangères en complicité avec l'oligarchie nationale.

Chavez a estimé que le Venezuela avait besoin de prendre le contrôle total de son industrie pétrolière afin que ses revenus bénéficient à tous les Vénézuéliens de manière équitable et équitable dans un processus guidé par l'Etat à travers des programmes sociaux. En même temps, et pour ce faire, il réaliserait le rêve de Bolivar d'une véritable indépendance de toutes les puissances coloniales non seulement pour le Venezuela, mais aussi pour l'Amérique latine par l'intégration équitable de tous les pays dans la Patria Grande - comme il l'appelait - la Grande Patrie.

La vie de Chavez a été interrompue par sa mort prématurée en 2013, mais son héritage est capturé en un seul mot, Chavismo. L'intention qui l'a déplacé à l'action du 4 février 1992 est toujours vivante et nécessaire aujourd'hui. La majorité des Vénézuéliens ont appelé le président Nicolas Maduro à faire avancer la révolution bolivarienne. Les élections présidentielles 19

monopole international du pouvoir contrôlé par les intérêts de l'oligarchie internationale qui est prêt à réinstaller les détenteurs originaux du Puntofijismo au Venezuela, sinon une version plus perverse de celui-ci.

qui auront lieu avant le 30 avril prochain exprimeront à nouveau la volonté populaire des Vénézuéliens librement, démocratiquement et souverainement.

Cependant, il y a eu un effort concerté pour arrêter le projet bolivarien depuis sa création. Ceux qui ont hérité du penchant politique de Puntofijismo ont tenté en 2002 un coup d'Etat contre Chavez qui était trop tôt pour être utilisé comme une déclaration d'échec de son projet, et, comme l'histoire doit le constater, c'était contre la majorité des gens qui fait l'a restauré au pouvoir.

Les instruments de ce pacte comprennent la promotion de la violence et des actions terroristes, la menace incessante à la souveraineté du Venezuela, les sanctions des États-Unis, du Canada et de l'UE et le blocus financier imposé au secteur des ressources du Venezuela.

Au moment où nous écrivons, un dialogue a lieu en République dominicaine entre le gouvernement et certains représentants de l'opposition afin de faire avancer le processus constitutionnel. Nous pouvons regretter que ce soit arrivé à ce point, mais nous devons célébrer la démonstration de la volonté politique des parties concernées.

S'il y a un rappel utile du coup d'Etat de Chavez du 4 février 1992, c'est que le monopole vénézuélien du pouvoir n'a pas cessé d'exister, il vient de déménager à Washington et dans d'autres capitales coloniales. Et s'il y a une implication pour le Venezuela, c'est un avertissement que le nouveau président devra adopter plus fermement l'héritage de Chavez et se lancer dans le démantèlement du "Puntofijismo" de Washington en remettant en cause son consensus politique dévastateur.

Malheureusement, des gouvernements puissants ont tacitement signé un autre pacte semblable à un Puntofijismo international dont le siège est clairement et ouvertement situé à Washington, pas à Caracas. C'est un nouveau pacte pour former un

By: Nino Pagliccia www.telesurtv.net

La tentative de coup d'État civico-militaire du 4 février 1992 était une réponse à mécontentement social croissant au Venezuela contre le système de contrôle ou"Pacte" démocratie connu comme le système Punto Fijo, qui avait régné sur le pays depuis le renversement de la dictature de Marcos Jimenez en 1958.Plus précisément, le soulèvement a été considéré comme une réponse au Caracazo en 1989, une explosion d'émeutes de masse et de protestation en réponse à la mise en œuvre d'un programme d'ajustement structurel néolibéral par la présidence de Carlos Andres Perez.

Les émeutes et les manifestations ont été annulées par la répression de l'État, avec jusqu'à 3000 civils tués. Entré en action, un mouvement progressiste au sein des forces armées vénézuéliennes appelé Mouvement révolutionnaire bolivarien (MBR 200) et leurs alliés civils ont lancé une tentative de coup d'état contre le gouvernement Perez le 4 février 1992. Le soulèvement a été dirigé par Hugo Chavez, un parachutiste militaire à le temps. Quatorze personnes sont mortes dans les combats, selon les chiffres officiels.

Alors que le coup a échoué, Hugo Chavez a eu l'opportunité de s'exprimer à la télévision nationale pour exhorter ses camarades à se battre pour déposer les armes, l'objectif principal de la prise du palais présidentiel à Caracas n'ayant pas été atteint. Son acceptation publique de la responsabilité de l'échec du coup d'État, ainsi que son slogan désormais célèbre selon lequel les objectifs du mouvement n'avaient pas été atteints «pour l'instant» lui ont valu un profil national.

Chavez a été emprisonné de 1992 à 1994, lorsque le président suivant, Rafael Caldera, l'a libéré.

Chavez a ensuite formé un mouvement électoral et a remporté la présidence en 1998 avec 56% des voix. Ici, Venezuelanalysis.com publie une série de photos originales du 4 février 1992. Ils sont de la Bibliothèque nationale du Venezuela, et ont été présentés pour la première fois sur le site d'information vénézuélien Text by Ewan Robertson for Venezuelanalysis.com

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Pictural

Un regard sur l'histoire: Les images originales de la tentative de coup d'État du Venezuela du 4 février 1992

Le président Carlos Andrez Perez en prière (La Bibliothèque nationale)

Les figures militaires et civiles rebelles portent un de leurs blessés (La Bibliothèque nationale)

Un policier impliqué dans le combat (La Bibliothèque nationale)

Un officier de police et un soldat combattant les rebelles (AP)

Un homme cherchant la couverture derrière une jeep du journal El Nacional (La Bibliothèque nationale / El Nacional)

Hugo Chavez détenu après la tentative de prise de Caracas a échoué (AP)

Hugo Chavez dit aux camarades de déposer les armes et que les objectifs du mouvement n'ont pas été atteints «pour l'instant». Un peu moins de sept ans plus tard, il serait élu président vénézuélien. (AP)

www.enezuelanalysis.com/tag/february-4-1992

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Le rapport vénézuélien LE BULLETIN DE LA RÉPUBLIQUE BOLIVARIENNE DU VENEZUELA

L'OBSESSION VENEZUELAINE Une étude révèle une stratégie de harcèlement diplomatique et d'agression médiatique

Les États-Unis publient 731 déclarations contre le Venezuela Une enquête publiée récemment par le ministère des Affaires étrangères du Venezuela montre que la nation sud-américaine est la cible d'une campagne agressive de harcèlement diplomatique, politique et médiatique, dirigée depuis les États-Unis, avec un fort soutien en Europe et en Amérique latine.

La recherche, basée sur un examen des communiqués et déclarations publiés par l'administration de Donald Trump, les gouvernements de l'Union européenne et la couverture journalistique vénézuélienne en 2017, approuve les allégations répétées du gouvernement de Nicolas Maduro concernant les agressions subies par son pays. Selon la recherche, alors que le président Trump - qui a menacé le Venezuela d'une intervention militaire en 2016 - impose un ensemble de sanctions sévères, qui constituent en pratique un blocus financier contre l'économie vénézuélienne, la rhétorique anti-vénézuélienne augmente en Europe et dans le appelé Grupo de Lima (Groupe Lima). De telles actions - qui sont illégales selon la Charte des Nations Unies - sont diffusées dans les médias comme «préoccupations de la communauté internationale», «pression sur la dictature vénézuélienne» et prétendue intention d'aider le Venezuela à surmonter la «crise humanitaire» ".

Cela constitue une menace sérieuse pour les principes de la souveraineté, de la non-ingérence et de l'autodétermination.

La recherche montre que les porte-parole américains, du président Trump, vice-président Pence, secrétaire d'État Tillerson, à l'ambassadrice de l'ONU, Haley, avec quelques membres du Congrès, ont publié un total de 731 déclarations hostiles contre le gouvernement vénézuélien en 2017. Cela signifie deux déclarations quotidiennes, douze par semaine, contre la démocratie vénézuélienne. De même, cela montre que l'Union européenne s'est inclinée devant la stratégie de Washington.

L'Union européenne a publié 242 déclarations sur le Venezuela en 2017, dont 78% étaient négatives. Le Parlement européen a fait jusqu'à 18 déclarations contre la démocratie vénézuélienne. Seul le gouvernement espagnol a émis 89 déclarations contre le gouvernement légitime du Venezuela. Il y a quelques semaines, la crise a atteint ses limites lorsque le Venezuela, marre des assauts de Mariano Rajoy, a expulsé l'ambassadeur d'Espagne.

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-

La recherche caractérise l'agression subie par le Venezuela comme l'agression la plus grave contre un État souverain sur le continent américain, après la campagne qui a renversé Salvador Allende au Chili en 1973. Comme l'histoire le révèle, le gouvernement de l'unité nationale du Chili, car il a été élu en 1970, a été soumis à une campagne scandaleuse pour forcer son renversement.

Cette campagne incluait l'infiltration dans la classe militaire, un sabotage économique, des pénuries, des vols d'argent, l'hyperinflation, des attaques contre le prix international du cuivre et une stratégie honteuse menée par la société transnationale ITT, l'agence UPI et le journal chilien El Mercurio. ". Selon la recherche, la croisade antiVenezuela menée par les États-Unis atteint une dimension comparable au blocus économique et à la campagne d'agression que la République de Cuba a enduré pendant plus de 50 ans.

La campagne contre le gouvernement de Nicolas Maduro, élu en 2013, est encouragée par certains ministères des affaires étrangères latino-américains qui comprennent le groupe de Lima et des agences multilatérales comme le Secrétariat général de l'OEA, le Mercosur, l'Union européenne et le Parlement européen et certaines instances des Nations Unies telles que le Conseil des droits de l'homme. La stratégie vise à délégitimer le gouvernement vénézuélien, à nier l'existence d'institutions démocratiques, à rendre les processus électoraux invisibles et à criminaliser le pays en tant que dictature qui viole les droits de l'homme, générant ainsi une situation qui justifie une action internationale.

La démocratie et le peuple vénézuélien ne sont pas seulement diabolisés dans la presse mondiale. Leurs luttes et leurs réussites sont invisibles.

Certaines des données et des conclusions de la recherche intitulée: "La violence impériale, l'assaut politique et médiatique contre le Venezuela" sont présentés ci-dessous

Washington attack strategy communiques/statements by the United States against Venezuela

731 communiques/ statements

149

76

83

97 58

3

18

22

jan.

Feb.

Mar.

64

70

35 Apr.

May

Jun.

Jul.

Aug. Sept. Oct.

Nov.

Dec.

Les déclarations des porte-parole américains contre le Venezuela ont augmenté en avril au début de la violence politique dans les rues et ont augmenté avec l'élection de l'Assemblée nationale constituante.

Il n'y a pas de problème international qui mérite un tel niveau d'attention sur l'agenda de Washington, pas même sa confrontation avec la République Démocratique de Corée

Près de la moitié des 731 déclarations contre la démocratie vénézuélienne ont été faites directement par le gouvernement américain. Quatre déclarations sur dix sont venues du Congrès, en particulier du lobby anti-cubain: les parlementaires Díaz Balart, Menéndez, Ross-Lethinen et Rubio.

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Un total de 87 déclarations contre le Venezuela a fait le congressiste de la Floride, Ileana Ross Lethinitimement vainqueur du leader antichavisme, le sénateur Marco Rubio, qui a fait 81. La mesure du classement antivénérolanisme permet d'identifier qui finance et favorise le renversement du gouvernement de Nicolás Maduro.

L'agence Bloomberg, le Miami Herald et le blog de Breibart News, Steve Bannon, sont en tête de la liste des médias qui désinforment le Venezuela. Le Washington Post et FOX suivent, en battant le New York Times et CNN. Toutes les transnationales dans le secteur de la communication contre un pays.

L'Union européenne suit la stratégie de Washington avec 242 déclarations ou déclarations mettant en cause la démocratie vénézuélienne. Seule l'Espagne, mandatée par Trump pour travailler en Europe, a émis 89 déclarations.

REUTERS est de loin l'agence qui influence le plus la publication d'informations négatives sur le Venezuela dans la presse américaine

Les médias du Mexique, de la Colombie et du Chili se voient attribuer les trois premières places en termes de ferveur anti-vénézuélienne. L'Inter-American Press Association (SIP) est le grand coordinateur de la stratégie

En 2017, la presse américaine a publié 3880 nouvelles sur le Venezuela, et essentiellement contre. Les préjugés, les fausses nouvelles et la manipulation étaient la caractéristique centrale de l'attaque médiatique.

La presse privée en Amérique latine n'est pas restée en arrière. Près de 12 000 nouvelles négatives dans la grande presse sud-américaine et 8 300 nouvelles dans la presse centraméricaine sur le Venezuela. Les monopoles régionaux fonctionnent comme des extensions locales des matrices de la presse américaine.

Deux cas curieux en Europe: l'agence de presse espagnole EFE a publié plus de 3 000 articles sur le Venezuela, avec un pourcentage écrasant (75%) négatif. EFE fonctionne comme un modèle pour le reste de la presse européenne. Le journal espagnol "El País" a mis le Venezuela dans 249 de ses 365 éditions. Le sujet Venezuela a attiré l'attention des rédacteurs du journal "El País" une fois toutes les 36 heures.

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La visite de Rex Tillerson en Amérique latine: Les menaces de militarisation et de pétrole

Le modèle de Tillerson pour les relations hémisphériques incarne la diplomatie de guerre traditionnelle de Washington. Dans le contexte d'un conflit géopolitique avec des concurrents capitalistes extracontinentaux (Chine, Russie et Union européenne) remettant en question l'hégémonie de l'empire dans ses zones d'influence traditionnelles, la récente visite du secrétaire d'État Rex Tillerson au Mexique, en Argentine, au Pérou, en Colombie et en Jamaïque avait une projection clairement expansionniste basée sur deux axes principaux: la sécurité et l'énergie.

capital corporatif transnational. Une triangulation d'intérêts qui, en perspective, sous l'administration Trump, façonne un état policier mondial néo-fasciste.

Dans ce contexte, les fractions du plus grand capital le plus enclin au fascisme du 21ème siècle se situent dans le secteur financier spéculatif, le complexe médiatique militaro-industriel-sécurité et dans les industries extractives, entremêlés de capital high-tech / numérique.

Compte tenu de l'ampleur de la crise du capitalisme, de sa portée mondiale, de la dégradation sociale et du degré de dégradation écologique qu'elle engendre, afin de contenir les protestations ou rébellions réelles ou potentielles, la ploutocratie dominante a favorisé divers systèmes de contrôle social de masse. et la guerre (ouverte ou clandestine), qui sont également utilisés comme outils pour obtenir des profits et continuer à accumuler du capital face à la stagnation.

C'est ce que Robinson appelle l'accumulation militarisée ou la répression.

En tant que membre de l'élite capitaliste transnationale, Tillerson, ancien directeur exécutif de la société pétrolière privée américaine Exxon-Mobil, quatrième plus grande société au monde après Aramco l'Arabie saoudite, la NIOC (l'Iran) et la CNPC (la Chine), selon Jorge Eduardo Navarrete, Tillerson a utilisé une approche mercantile primitive, anachronique comme la doctrine Monroe sur laquelle il a fondé son discours à l'Université du Texas, à Austin, un jour avant son arrivée au Mexique.

Une telle catégorisation fait référence au talon d'Achille du capitalisme: la suraccumulation.

L'écart grandissant entre ce qui est produit et ce que le marché peut absorber. Si les capitalistes ne peuvent pas vendre leurs produits, ils ne font aucun profit.

Compte tenu de l'énorme concentration de la richesse - avec ses niveaux corrélatifs de polarisation sociale et d'inégalité mondiale sans précédent -, la classe capitaliste transnationale doit trouver des moyens de

Le modèle de Tillerson pour les relations hémisphériques incarne la diplomatie de guerre traditionnelle de Washington, soulignée en raison de la crise mondiale structurelle et de la légitimité du système capitaliste. William I. Robinson a caractérisé la stratégie comme une fusion entre le pouvoir politique réactionnaire dans l'État, les forces de droite, autoritaires et néo-fascistes dans la société civile, et le 25

production rentables pour écouler quantités d'excédents accumulés.

d'énormes

Ainsi, les complexes énergétiques et extractivistes recourent à l'intensification et à l'approfondissement du néolibéralisme via la privatisation des infrastructures routières, portuaires, aéroportuaires, ferroviaires, pipelines et électriques ((par exemple, Pemex et la Federal Electricity Commission dans le cas mexicain); la surexploitation du travail et la précarisation du travail (sous-traitance, sous-traitance), et les politiques de déréglementation totale et de plus grande subvention au capital transnational.

Étant donné que les hydrocarbures sont une composante centrale de la stratégie néocoloniale militarisée de Donald et de la sécurité énergétique tant pour Trump que pour les entreprises du secteur économique - dans le contexte de la restauration conservatrice et de la défense de son hégémonie Petroleos de Venezuela (PDVSA) le monde) était un autre objectif central de la tournée de Tillerson.

Ces politiques de relocalisation, de réindustrialisation et d'accumulation du capital en privant les autres des territoires, ainsi que des matières premières dans les économies dépendantes, se sont produites au Mexique, en Amérique centrale et du Sud par des coups légers, l'imposition de facto d'un état d'urgence permanent. la mise en place d'états policiers, dont le soutien est la militarisation de la société civile et les différentes modalités de guerre tactique sans fin, camouflée en lutte anti-drogue ou contre les ennemis internes - disent les Mapuches du gouvernement de Mauricio Macri -, avec des armes avancées pilotées artificiellement intelligence, y compris des systèmes sophistiqués de surveillance, de suivi, de sécurité et de surveillance.

C'est pourquoi il a chargé les gouvernements collaborationnistes sécessionnistes d'Enrique Peña Nieto, de Mauricio Macri, de Pedro Kuczynski et de Juan Manuel Santos, les nouvelles modalités qu'ils devront mettre en œuvre pour intensifier le siège militaire, économique et financier contre le gouvernement constitutionnel de Nicolas Maduro, incluant un éventuel embargo pétrolier comme nouveau précipitateur d'une crise humanitaire qui finira par justifier une intervention militaire multilatérale.

Produit dans le bassin du Permien et de la Louisiane, vers le marché asiatique: Produit dans le bassin du Permien et de la Louisiane, vers le marché asiatique: le Japon, la Chine, l'Inde, la Corée du Sud, le Taïwan), via les ports de Manzanillo et l'axe Coatzacoalcos / Salina Cruz, sur l'isthme de Tehuantepec, profitant de Pemex. Les infrastructures installées donneront des avantages aux sociétés énergétiques, en utilisant moins de temps et en réduisant les coûts de transport que si elles le faisaient par le canal de Panama.

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Les vues et opinions exprimées dans cet article sont de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position officielle de l'ambassade

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LE TOUR DE LA DIGNITÉ SUD-SUD:POURQUOI LE VENEZUELA ET L'AFRIQUE

Foreign Minister Jorge Arreaza with his Nigerian counterpart Geoffrey Onyeama

Chancellor Jorge Arreaza with President of Equatorial Guinea, Teodoro Obiang Nguema

Minister Jorge Arreaza meets President of the Republic of Congo, Denis Sassou-Nguesso

Minister Jorge Arreaza meets with his Ethiopian counterpart Workneh Gebeyehu

Minister Arreaza and Egyptian representatives paying tribute to Hugo Chavez at his bust in Cairo, Egypt

Le Venezuela est phénotypiquement et génotypiquement un pays où plus de 50% de la population est afro-descendante, décerné internationalement par la (Conférence internationale-Traité de Durban (Afrique du Sud) contre le racisme et la discrimination 2001), comme le droit de regrouper populations descendantes des grandes masses d'Africains asservis au cours de la période coloniale néfaste, cette caractéristique offre au pays une identité ethnique qui historiquement et ancestral lie le Venezuela.

généralement sous-estimé et pour cette raison les fausses matrices tombent sur le Venezuela et sa propre sagacité politique, sa facette en tant que grand homme d'État et stratège international ne fait pas exception.

Son poste avant la vice-présidence et la présidence était celui de chancelier, où il a précisément accompli des victoires exceptionnelles et stabilisé la doctrine diplomatique du Venezuela, celle de paix et de respect qui, au milieu des attaques et des menaces constantes, peut-être de par sa nature, ses fruits les plus doux.

Ces liens indélébiles, ainsi que les liens politiques, idéologiques et géopolitiques, constituent la base réelle de la reprise des liens naturels entre le continent africain et le Venezuela, entre les mains du président Hugo Chávez lui-même et du vice-ministre de l'Afrique de l'époque, Reinaldo Bolívar , qui ont manifesté avec les agendas respectifs Afrique, et la plate-forme du Sommet Amérique du Sud-Afrique (ASA) et un virage absolu vers la complémentarité, la solidarité, la coopération et la diplomatie des peuples, comme un antonyme aux liens chrématistiques, utilitaires et dangereux que d'autres Etats poursuivent en Afrique. Il est important de souligner que cette politique internationale se poursuit par le biais du président Maduro, de l'actuel ministre des Affaires étrangères, Jorge Arreaza, et du vice-ministre pour l'Afrique, Yuri Pimentel.

La direction du chancelier Jorge Arreaza réaffirme la position de respect envers ceux dont la domination intellectuelle veineuse et eurocentrique au Venezuela et en Amérique cherche à discréditer le poids et l'importance du «Tour de la dignité Sud-Sud» (#GiradelaDignidadSurSur). Il devrait être illustré que pour le Venezuela, en plus des principaux liens ethniques et politiques avec toute l'Afrique, les pays du Nigeria, de la Guinée équatoriale et de l'Angola sont des membres stratégiques de l'OPEP. Le Nigeria est également la principale économie du continent; Sur le plan économique, elle compte plus de 180 millions d'habitants et, avec elle, un vaste marché de produits et de services, où les principales transnationales de l'alimentation, des télécommunications et du textile se battent sans cesse contre les quotas de participation.

La Guinée Equatoriale, étant le seul pays ayant l'espagnol comme langue officielle, est le membre le plus récent de l'OPEP, année après année, elle

LE TOUR DE LA DIGNITÉ SUD-SUD Le président vénézuélien Nicolás Maduro est 27

dépasse ses records de production et se trouve dans un grand processus de modernisation du système de production énergétique, des infrastructures nationales et administratives. La réorganisation de l'État Angola pour sa part après le renouvellement présidentiel et l'avance d'une industrie minérale qui ne se contente pas de pétrole (gaz pétrole et dérivés), mais atteint également la production d'or et d'autres minéraux stratégiques avec une performance et l'utilisation technologie de grande importance dans le monde.

africain pour tenter d'obtenir les voix dont elle avait besoin pour la position du Secrétaire des Nations Unies (ONU), le monde diplomatique a observé comme une réticence et sans résultats positifs une telle entreprise a échoué, un autre trébuchement récent pourrait être observé du sommet ISRAEL-AFRICA pré-annoncé, qui a produit non seulement l'annulation de toute tentative et le mélange d'un rejet populaire au gouvernement togolais, mais la conformation de positions solides d'un groupe très important et nombreux (presque majoritaire) de pays africains en ce qui concerne les crimes et les actions belliqueuses du régime d'extrême droite qui occupe le gouvernement israélien, de cette façon, tout l'agenda diplomatique conçu par Israël et Benjamin Netanyahu lui-même baptisé "Le V retour en Afrique", afin d'essayer o inverser les revers et les résolutions qui frappent Israël pour arrêter l'invasion des territoires palestiniens et les politiques de répression, d'enlèvement, d'emprisonnement et de bombardement du peuple palestinien.

Elle est également un grand producteur de diamants et préside le Système de Kimberley pour la certification des diamants (Système de Certification du Processus de Kimberley), où il a conseillé et accompagné le Venezuela dans ses processus d'inclusion et le développement de l'Arc Minier.

La République démocratique du Congo et la République du Congo sont d'autres destinations qui ont été couvertes par le ministre des Affaires étrangères, alliés de grande importance pour le Venezuela, avec qui il a développé des niveaux élevés de coopération en matière éducative, commerciale et administrative dont son autonomisation a déjà été annoncé.

Une telle entreprise de Netanyahou a échoué et a également dû se contenter du soutien timide et peut-être désagréable de quelques autres gouvernements en Afrique pour sortir par la porte arrière.

Le développement et l'expérience de longue date dans les processus industriels lourds, les ressources en eau, l'extension territoriale imposante sur le continent et ses frontières et influences sur un grand nombre d'états africains, en plus du potentiel en ressources minérales stratégiques, telles que le coltan , qu'il partage avec le Venezuela et le Brésil comme les plus grands et presque seuls réservoirs, ne sont que quelques exemples du potentiel et de l'importance de cette amitié.

Ces tentatives par leur nature et leurs buts grossiers, tout comme l'oligarchie et l'arrogance suprématiste de la droite mondiale, ignorant l'importance de l'Afrique, ignorent la valeur réelle du peuple africain et les besoins réels du continent, qui pointent vers la coopération et accord politique, pas l'établissement de nouveaux colonialismes ou l'achat d'avantages et de votes dans les divers forums, principalement celui des Nations Unies où l'Afrique possède 33%. La dignité des peuples d'Afrique n'est pas à vendre.

Puis l'Ethiopie, qui abrite plus de cent millions d'habitants, une condition fondamentale pour la stabilité de la sous-région et du continent, siège de l'Union africaine (UA), organisation (contrairement aux autres continents) dont le respect, la cohésion et la quotidienneté la politique exécutive, fait une grande différence par rapport aux autres organes continentaux et où précisément le Venezuela a une position privilégiée en tant qu'Etat observateur, qu'un plus grand nombre d'États et de groupes de pouvoir aimeraient occuper. Et enfin l'Egypte, siège de la Ligue des États arabes.

Le récit aboutit à une réalité stupéfiante et accablante, les faits, la réciprocité, l'amour et la fraternité du traitement donné au peuple et au gouvernement vénézuéliens sont évidents, seule une myopie absolue, une haine viscérale ou une ignorance totale peuvent expliquer, les dénonciations ou accusations d '"isolement" du peuple et du processus bolivarien, alors qu'en réalité il y a une solidarité majoritaire entre les peuples d'Afrique, des Caraïbes et d'Amérique Latine, quand le Venezuela préside l'organe intergouvernemental avec le plus grand nombre de membres dans le monde tels que le Mouvement des pays non alignés, ou plus encore lorsque nous présidons le Comité spécial des Nations Unies sur la décolonisation, et enfin lorsque le nombre incessant d'initiatives non-sens et de sanctions a couru avec le même sort que les aventuriers intéressés en Afrique, l'échec .

Il existe de nombreux exemples et parallèles de tentatives infructueuses de divers centres de pouvoir pour gagner la volonté et la solidarité du continent africain, en essayant notamment d'imiter les sommets Chine-Afrique, Russie-Afrique, Turquie-Afrique et le présage des sommets de l'ASA. Pour n'en nommer que deux, nous pouvons nous rappeler comment, en août 2016, Susana Malcorra, alors la Ministre des Affaires Etrangères de l'Argentine, a planifié une tournée naissante et infructueuse du continent

L'auteur: OG L'Observatoire des médias du Centre de connaissances africain, américain et caribéen

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La Ligue arabe et le Venezuela ont analysé les questions de coopération et de relations avec l'Amérique latine

Le ministre des Affaires étrangères, Jorge Arreaza, et le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Abul Gheit, ont parlé dimanche au Caire, en Egypte, des questions de coopération, des relations entre l'Amérique latine et cette organisation au Moyen-Orient, ainsi que comme d'autres aspects stratégiques basés sur le respect du principe de non-intervention et de l'autodétermination et de la souveraineté des peuples.

Les deux responsables ont également discuté des questions du Venezuela, y compris le processus d'élection présidentielle qui se tiendra le 22 avril, "et comment l'année dernière nous avons pu surmonter les moments difficiles à travers les élections", a déclaré le ministre des Affaires étrangères. Lors de la réunion, Arreaza et Ahmed Abul Gheit ont rendu public leur rejet du terrorisme dans le monde financé par le gouvernement des États-Unis.

"Avec le secrétaire général de la Ligue arabe, nous avons passé en revue la coopération historique du Venezuela avec la Ligue arabe, les relations entre l'Amérique latine et la Ligue arabe, ainsi que les questions stratégiques de nos régions et du monde",le ministre des Affaires étrangères vénézuélien a rapporté sur Twitter.

"La solution aux problèmes sera toujours le dialogue, la démocratie et la paix, et non le terrorisme financé par les Etats-Unis", a déclaré M. Arreaza.

Après cette rencontre, le porte-parole de la diplomatie vénézuélienne a participé à un événement en hommage au commandant de la Révolution bolivarienne, Hugo Chávez, et a également honoré le Père de la Patrie, Simón Bolívar, juste avant que sa statue soit érigée au centre du Caire. Cette activité a été suivie par le petit-fils de Gamal Abdel Nasser, qui était le président de l'Egypte, connu pour sa lutte pour l'égalité entre les peuples et la construction du socialisme arabe.

Avec cette rencontre, Arreaza a commencé son programme de travail en Egypte, dans le cadre de la tournée South-South Dignity, qui l'a amené au Nigeria, en Guinée équatoriale, en Angola, au Congo et en Ethiopie pour renforcer les liens de fraternité et de solidarité.

"Le secrétaire général a remercié le respect mutuel que nous avons exercé pendant des années et le respect du principe de non-intervention que nous avons toujours maintenu", a déclaré M. Arreaza.

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Le Venezuela dénonce devant le Conseil des droits de l'homme de l'ONU l'ingérence des Etats- Unis et de l'UE

Le ministre des affaires étrangères de la République bolivarienne du Venezuela, Jorge Arreaza, a dénoncé lundi devant le Conseil des droits de l'homme des Nations unies (ONU), basé à Genève, les actions "inadmissibles" d'ingérence du gouvernement américain et des l'Union européenne (UE) dans les affaires intérieures du pays sud-américain.

"Il a appelé publiquement l'armée vénézuélienne à renverser le gouvernement démocratique du président Nicolás Maduro et immédiatement, nos forces armées nationales bolivariennes respectées et anti-impérialistes lui ont donné une réponse digne et opportune (...) Tillerson a annoncé que son gouvernement ignorerait la volonté de notre peuple, qui sera exprimé librement lors des élections présidentielles du 22 avril 2018, comme si j'étais aidé par une faculté à reconnaître ou à ignorer les résultats des élections dans mon pays ", a-t-il ajouté.

Lors de son discours au Segment élevé de la 37e session de l'organe principal des Nations Unies, le ministre a rappelé qu'en 2017, les porte-parole du gouvernement et du Congrès américain, dont le plus élevé dans la hiérarchie, ont prononcé 735 déclarations contre le Venezuela. Dans les premiers mois de 2018, dont 10 sont documentés.

Parallèlement, le ministre Arreaza a ratifié l'engagement du Venezuela à garantir et à défendre les droits de l'homme, ainsi que le Conseil.

"En 2017, le président Donald Trump a menacé le Venezuela d'une intervention militaire, a imposé des sanctions illégales à notre économie, notre peuple et a financé et soutenu les violentes actions terroristes de l'opposition radicale vénézuélienne qui a causé des pertes en vies humaines, des blessures, des souffrances et des dégâts matériels non quantifiables », a-t-il récapitulé.

"Nous espérons continuer à travailler sur le renforcement de son cadre institutionnel, également sur le mécanisme des examens périodiques universels", at-il souligné. www.mppre.gob.ve www.saberesafricanos.net

Dans son discours, le ministre du Pouvoir Populaire pour les Affaires Etrangères a également évoqué l'appel à un coup d'Etat militaire au Venezuela présenté par le Secrétaire d'Etat des Etats-Unis, Rex Tillerson.

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Le secrétaire général de l'ONU reçoit le ministre des Affaires étrangères du Venezuela, Jorge Arreaza

Le Secrétaire Général des Nations Unies (ONU), Antonio Guterres, a reçu lundi 26 février 2018 le Chancelier de la République bolivarienne du Venezuela, Jorge Arreaza, lors d'une réunion officielle dans le cadre du Segment Haut de la 37ème session du Conseil des droits.

Lors de la réunion, le ministre des Affaires étrangères a transmis au secrétaire général un message envoyé par le président Nicolás Maduro, et a expliqué la situation actuelle du pays sud-américain à la veille des élections présidentielles du 22 avril 2018.

La réunion faisait partie de l'agenda du diplomate vénézuélien au Conseil des droits de l'homme des Nations Unies, basé à Genève, en Suisse.

Lors de son discours au Segment élevé de la 37e session du Conseil, le Chancelier Arreaza a ratifié l'engagement de la République bolivarienne du Venezuela en matière de garantie et de défense des droits de l'homme auprès de cet organe de l'ONU. "Nous devons protéger ce Conseil, compte tenu des pressions et des interventions des pays puissants, pour influencer leurs opinions, leurs rapports et leurs positions", a-t-il insisté. www.mppre.gob.ve

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La nouvelle ère de la mondialisation en Chine et en Amérique latine Les dirigeants latino-américains alignent de plus en plus leurs économies sur la Chine, et les États-Unis semblent inquiets.

Le président chinois Xi Jinping a poussé à intégrer l'Amérique latine dans l'Initiative ceinture et route, et les gouvernements à travers l'Amérique ont renforcé leurs accords d'infrastructure et de ressources avec la Chine. Les partenariats chinois avec les gouvernements et les entreprises latino-américains, pour construire des routes, des hôpitaux, des trains et développer des ressources énergétiques renouvelables et fossiles, indiquent à beaucoup un changement d'époque qui pourrait laisser les États-Unis à la traîne.

Sud se sont toujours trouvés sous la force du «grand bâton» du Nord.

Le journal d'État cubain Granma a rapidement réagi en condamnant ce qu'il considère comme le «retour de la doctrine Monroe» sous la direction de Trump, expliquant qu'il s'agit d'une réaction à un «tournant géopolitique» plus large.

Il ne fait aucun doute que l'avènement d'une économie mondiale multipolaire a ouvert de nouvelles options aux gouvernements du monde entier qui préfèrent ne pas trop se lier aux États-Unis, avec leur longue tradition d'unilatéralisme "gros bâton" dans les relations étrangères.

"Le tournant géopolitique vers d'autres acteurs émergents tels que le géant asiatique (la Chine) et la Russie nuit au rêve de Washington", indique le journal. Les gouvernements latino-américains de diverses tendances politiques ont souvent loué les avantages d'une souveraineté et d'un développement accrus que le développement du commerce avec la Chine a engendrés.

Pour de nombreux dirigeants, le modèle chinois des relations extérieures est un souffle bienvenu du multilatéralisme et du respect de la souveraineté.

La Chine, contrairement aux États-Unis, n'a pas installé de bases militaires dans les pays avec lesquels elle fait affaire ou est intervenu dans leurs systèmes politiques.

Le ministre vénézuélien des Affaires étrangères Jorge Arreaza, un critique virulent de l'interventionnisme américain contre son pays, a déclaré en décembre "Dieu merci, l'humanité peut compter sur la République populaire de Chine pour garantir la paix ou au moins moins de conflits".

Pendant ce temps, la première année d'administration du président Donald Trump n'a fait que renforcer l'approche unilatérale des États-Unis en matière de relations extérieures en imposant de nouvelles sanctions au Venezuela, en diluant les relations avec Cuba contre l'opinion internationale, en se retirant de pour se frayer un chemin à travers l'Accord de libre-échange nord-américain, ou les renégociations de Nafta .

Lors de la récente réunion Chine-Celac, le ministre chilien des Affaires étrangères, Heraldo Munoz, a déclaré que la coopération chinoise "représente une répudiation catégorique du protectionnisme et de l'unilatéralisme".

L'Amérique latine et la Chine contre la doctrine Monroe?

Le secrétaire d'État Rex Tillerson en a énormément irrité lors de sa récente tournée en Amérique du Sud en louant la célèbre doctrine Monroe, affirmant que la politique qui a supervisé un siècle d'intervention américaine dans le Sud est «aussi pertinente aujourd'hui qu'elle l'était aujourd'hui». Apparemment inconscient de l'ironie que beaucoup ont perçu, Tillerson a décrié les relations sino-latino-américaines comme «impériales». Cependant, parler de «puissances impériales» venant de M. Tillerson, n'a pas eu beaucoup de poids pour les peuples et les dirigeants du

Le premier président indigène de la Bolivie, Evo Morales, a loué les investissements chinois pour ne pas imposer de conditions supplémentaires, contrairement à ceux des Etats-Unis et du Fonds monétaire international, ou FMI. "Si nous acceptons les prêts du FMI, nous devrons nous soumettre à des politiques de privatisation et perdre notre héritage national", a déclaré M. Morales. "L'empire américain ne veut pas voir la présence de la Chine et de la Russie (en Bolivie)", a déclaré Morales l'année dernière, à l'instar de Cuba évoquant une "guerre géopolitique" en cours. www.telesurtv.net

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Chomskey: l'intervention humanitaire et l'impérialisme "Presque tous les actes d'agression commis par une grande puissance sont justifiés pour des raisons humanitaires", déclare l'intellectuel américain Noam Chomsky dans une interview exclusive. Dans un entretien exclusif avec teleSUR, le célèbre activiste intellectuel et politique Noam Chomsky aborde le concept d '«intervention humanitaire», qui, selon lui, est utilisé pour justifier une intervention militaire violente de la part de grandes puissances mondiales, notamment les États-Unis.

Wesley Clark, le général en charge des forces américaines et de l'OTAN pendant la guerre du Kosovo, a averti Washington qu'une attaque américaine contre la Yougoslavie ne ferait qu'aggraver les atrocités: incapable d'attaquer les Etats-Unis, la Yougoslavie serait obligée de riposter. L'OTAN a alors lancé l'opération Allied Force, le nom de code pour le bombardement de la Yougoslavie, ostensiblement pour empêcher d'autres atrocités.

Ceci a intensifié la réponse yougoslave et a causé encore plus de souffrance, menant finalement au procès de Slobodan Milosevic à un tribunal pénal international américain.

«Du point de vue de l'agresseur, il s'agit d'une intervention humanitaire, mais pas du point de vue des victimes, probablement si nous avions des dossiers d'Attila le Hun, nous pourrions trouver la même chose», a déclaré Chomsky.

La première fois que le terme «intervention humanitaire» a été largement discuté à la fois en droit international et par les organisations mondiales, c'était à la suite de l'intervention de l'OTAN en Serbie.

"Si vous regardez la discussion, la façon dont elle est encadrée ... il s'agissait d'une intervention humanitaire parce qu'ils devaient arrêter les atrocités serbes, et c'est ainsi que cela se passe en Occident: ils doivent garder le silence sur le fait que les Serbes les atrocités étaient une conséquence prévue et attendue de l'invasion ", a déclaré Chomsky.

En 1996, des groupes sécessionnistes au Kosovo, soutenus par l'armée albanaise, ont mené des attaques terroristes sur le territoire yougoslave, ce qui a déclenché des attaques réciproques de la Yougoslavie. Les États-Unis et les pays de l'OTAN ont ensuite utilisé cela comme une excuse pour envahir et bombarder la Serbie

Les avocats et les analystes internationaux ont décidé plus tard que l'invasion avait été "illégale mais légitime", a déclaré Chomsky: "Illégale en raison d'une violation évidente du droit international, mais légitime parce qu'ils ont dû arrêter les horribles atrocités qui ont suivi l'invasion. Alors ils ont simplement inversé la chronologie, ce qui est habituellement fait ...

L'OTAN en Serbie

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Les attaques ont détruit la plupart des infrastructures libyennes et tué environ 10 000 personnes, laissant la Libye sans défense "comme elle est aujourd'hui entre les mains de milices inquiétantes".

(Les États-Unis) ont envahi afin de prévenir les atrocités qui ont été provoquées par l'invasion. " La discussion sur ce qui constitue une «intervention humanitaire» et comment ce concept peut coexister avec la souveraineté a commencé après le génocide au Rwanda et le massacre de Srebrenica, mais les événements en Serbie ont finalement abouti à des accords internationaux.

Chomsky dit que cela a permis l'émergence des dernières milices islamistes: la Libye représentait un proxy pour le flux d'armes et de Jihadis vers le Levand et l'Afrique de l'Ouest ", qui est devenue la principale source de terrorisme radical dans le monde. appelé intervention humanitaire en Libye.

L'Assemblée générale des États-Unis a alors proposé une résolution concernant la «responsabilité de protéger», déclarant qu'une action militaire ne peut être entreprise sans l'autorisation du Conseil de sécurité. Ceci, en effet, donne la priorité à l'application des pressions diplomatiques afin de s'assurer que les gouvernements ne violent pas les droits de leur propre peuple.

"Vous regardez au cas par cas et, occasionnellement, vous pouvez trouver un exemple que vous pouvez peut-être soutenir est une intervention humanitaire", et pourtant de véritables affaires humanitaires restent "farouchement opposées" par les Etats-Unis.

Une autre définition juridique est venue de la Commission internationale sur l'intervention et la souveraineté des États (CIISE) dirigée par Gareth Evans et Mohamed Sahnoun et comprenant des représentants du Canada, des États-Unis, de Russie, d'Allemagne, d'Afrique du Sud, des Philippines, de Suisse et du Guatemala.

L'Irak et l'Afghanistan Chomsky affirme que les intentions américaines en Irak et en Afghanistan étaient très différentes: "Dans le cas de l'Afghanistan, je soupçonne que c'était juste de la vengeance, c'est probablement comme Abdul Haqq l'a dit: ils voulaient" montrer leur force ". 'quelqu'un nous a attaqués, nous allons montrer au monde que nous pouvons attaquer quelqu'un de façon encore plus dure.' "

La Commission a affiné la «responsabilité de protéger» en ajoutant une clause permettant aux groupes régionaux d'intervenir «au cas où le Conseil de sécurité n'accepterait pas d'intervenir», mais «sous réserve de l'approbation ultérieure du Conseil de sécurité».

Cette mentalité est reprise dans le commentaire nucléaire de Trump à la Corée du Nord d'avoir "un bouton plus gros que vous faites". Comme le souligne Chomsky, il n'y avait «aucun but stratégique ou autre derrière».

Quel groupement régional peut intervenir?

Comme le dit Chomsky: «Il y en a un: il s'appelle l'OTAN, et ce que cela signifie, c'est que même si le Conseil de sécurité des États-Unis ne l'autorise pas, l'OTAN est justifiée d'intervenir.

L'Irak, dit-il, est une histoire différente: «L'Irak est un pays (les États-Unis) voulait envahir», en raison de ses ressources et de sa situation stratégique au milieu de la plus grande région pétrolière du monde.

"Que vous pouvez comprendre sur les motifs impériaux traditionnels, mais je soupçonne que l'Afghanistan était vraiment à peu près ce qu'Abdul Haqq a dit."

En d'autres termes, chaque fois que les États-Unis ou l'OTAN disent que l'intervention militaire est légale en vertu du droit international avec l'approbation du Conseil de sécurité, ils signifient que c'est légal dans le rapport de la CIUSE. «C'est un bel exemple de la façon dont la propagande fonctionne dans un système performant », explique Chomsky.

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Suite à ce raisonnement, le bombardement de la Libye pourrait être considéré comme une «intervention humanitaire» selon le concept de «responsabilité de protéger»: le Conseil de sécurité a approuvé une zone d'exclusion aérienne pour la Libye et le gouvernement de Kadhafi a accepté une trêve mais Bengazi, les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France ont lancé une campagne de bombardement.

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La Malaisie: 9ème Forum urbain mondial

FUM9

Le Forum urbain mondial (FUM) est la première conférence mondiale sur les questions urbaines. Il a été créé en 2001 par les Nations Unies pour examiner l'un des problèmes les plus urgents auxquels le monde est confronté aujourd'hui: l'urbanisation rapide et son impact sur les communautés, les villes, les économies, le changement climatique et les politiques.

La neuvième session du Forum urbain mondial (FUM9), qui se tiendra à Kuala Lumpur (Malaisie) en février 2018, a été reconnue par la résolution 70/210 de l'Assemblée générale comme la première session consacrée à la mise en œuvre de la nouvelle stratégie urbaine. Ordre du jour adopté à la Conférence des Nations Unies sur le logement et le développement urbain durable, Habitat III

Organisé et convoqué par ONU-Habitat, le Forum est devenu l'un des rassemblements les plus ouverts sur la scène internationale, pour échanger des points de vue et des expériences sur les défis urbains. La nature inclusive du Forum, combinée à une participation de haut niveau, en fait une conférence unique des Nations Unies et le premier rassemblement international sur les questions urbaines.

FUM 10

La dixième session du Forum urbain mondial (FUM 10) aura lieu à Abu Dhabi (Emirats arabes unis) en 2020. L'annonce officielle a été faite en mars 2017 après la conclusion du processus d'appel d'offres, qui a eu lieu en 2016. Le FUM 10 sera le premier forum qui se tiendra dans la région arabe et ce sera une autre occasion d'examiner la mise en œuvre du nouvel agenda urbain.

L'objectif du forum

Le processus d'appel d'offres pour le FUM11 Le processus de sélection pour la onzième session du Forum urbain mondial qui se tiendra en 2022 a commencé par un appel à manifestation d'intérêt pour les villes qui souhaiteraient accueillir l'événement. La date limite pour la réception des manifestations d'intérêt est le 30 juillet 2017. La ville / le pays hôte choisi pour le FUM11 sera annoncé lors du FUM9 à Kuala Lumpur en février 2018. Plus d'informations sur l'Appel à Expressions sont disponibles ici.

Le Forum urbain mondial a les objectifs suivants: Sensibiliser les parties prenantes et les parties prenantes, y compris le grand public, à l'urbanisation durable; Améliorer les connaissances collectives sur le développement urbain durable à travers des débats ouverts inclusifs, le partage des leçons apprises et l'échange de bonnes pratiques et de bonnes politiques; Et Accroître la coordination et la coopération entre les différentes parties prenantes et parties prenantes pour l'avancement et la mise en œuvre de l'urbanisation durable.

unhabitat.org Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de l'ambassade.

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L'OPINION:

AVIS: Les travailleurs d'usine d'Asie vont se battre pour s'adapter à un monde conduit par l'IA

Pourquoi avez-vous besoin de savoir L'intelligence artificielle et l'automatisation avancée vont sévir sur la classe ouvrière, mais les gouvernements peuvent prendre quelques mesures pour adoucir le coup.

papier hygiénique.Les caméras intelligentes sont utilisées pour suivre et charger les voitures dans les parkings, éliminant ainsi le besoin de personnel et de barrières. ‘’Un propriétaire d'usine confronté à la hausse des coûts de main-d'œuvre et à des demandes croissantes de vitesse peut considérer l'automatisation et la fabrication numérique comme une aubaine’.

L'ère de l'IA et de l'automatisation est à nos portes. Cela peut être de la musique aux oreilles des technologues, des entreprises et des investisseurs, mais les travailleurs d'usine en Asie seront gravement touchés lorsque les ordinateurs et les robots prendront en charge des emplois à forte intensité de main-d'œuvre. Pour aider les travailleurs à naviguer dans la nouvelle économie, les gouvernements et les entreprises devraient investir dans des programmes de protection sociale et d'éducation.

Alibaba a annoncé son intention de consacrer 15 milliards de dollars américains à la recherche sur l'intelligence artificielle, l'apprentissage automatique et le cloud computing. Tencent et Baidu dépensent également beaucoup pour assurer le leadership d'Amnesty International. McKinsey et PwC ont déclaré qu'IA pourrait ajouter plus d' un point de pourcentage de croissance au PIB mondial chaque année, augmenter le PIB chinois de 26% en 2030 et transformer des industries comme la fabrication, l'agriculture, la vente au détail et la finance.

Aujourd'hui, en Chine, la technologie supprime le besoin de personnel de service dans les expériences les plus occasionnelles. Les caméras équipées de la technologie de reconnaissance faciale sont utilisées dans les toilettes publiques pour éviter les abus de 36

Bénéficiant du capital au détriment du travail?

Pour les travailleurs d'usine, l'automatisation, la robotique et l'IA représentent un ensemble de défis, particulièrement à des niveaux de compétence inférieurs. Premièrement, il y aura moins d'emplois à pourvoir et, deuxièmement, les emplois qui subsisteront nécessiteront des données et des compétences analytiques que les travailleurs d'usine n'auront probablement pas.

Ce sont des moments passionnants pour les technologues, les entreprises et les investisseurs. Alors que la robotique et l'automatisation sont de plus en plus utilisées par les fabricants pour remplacer les humains, l'intelligence artificielle permet aux ordinateurs de remplacer les humains par la «pensée».

L’automatisation et la robotique permettent aux propriétaires d'usine de réduire leurs coûts de main-d'œuvre, de réduire les risques liés au travail et d'améliorer la qualité, l'efficacité et la capacité. Un propriétaire d'usine confronté à la hausse des coûts de main-d'œuvre et à des demandes croissantes de vitesse peut considérer l'automatisation et la fabrication numérique comme une aubaine.

Plus de jeunes Asiatiques que jamais vont à l'école, mais dans certains pays, les résultats des premières années, primaires et secondaires, restent à la traîne par rapport aux moyennes mondiales, et certains pays asiatiques ont encore de graves problèmes d'analphabétisme. Qu'arrive-t-il à ces travailleurs lorsque les usines deviennent numériques?

Auront-ils les compétences nécessaires pour trouver un autre emploi? Sommes-nous naïfs d'espérer qu'ils seront en mesure de naviguer dans l'économie du spectacle ou de s'engager dans des entreprises?

L'effet de l'automatisation et de l'IA sur les tâches est inégal. Certains technologues font état de percées technologiques antérieures où les craintes initiales de perte d'emploi étaient exagérées, comme l'avènement du guichet automatique, qui a assumé certaines des tâches les plus fastidieuses des guichets.

Aujourd'hui, les caissiers sont moins nombreux et ont un éventail plus large de responsabilités et de compétences. Pendant ce temps, les banques ont créé d'autres emplois nécessitant des compétences complètement différentes.

Ces préoccupations sont sérieuses étant donné que l'Asie souffre déjà d'une aggravation des inégalités de revenus.

Le PIB par habitant en Chine et en Inde a peut-être augmenté de façon spectaculaire en moyenne, mais à un niveau granulaire, les gains de croissance ont été capturés de manière disproportionnée par les plus riches. En Inde, par exemple, de 1980 à 2014, la croissance moyenne du revenu était de 187%, mais les 50% inférieurs de la population enregistraient une croissance de 89%, tandis que les 1% les plus riches enregistraient une croissance des revenus de 750%. 0,1 pour cent au sommet de la croissance du revenu expérimenté de 1,138-pour cent. Les chiffres de la Chine sont pareillement faussés: les revenus au sommet ont augmenté de 1 534%, tandis que ceux dans la moitié inférieure ont connu une croissance des revenus de seulement 312%.

Emplois asiatiques peu qualifies Une meilleure compréhension de la façon dont la technologie entraîne des changements dans l'emploi est absolument nécessaire dans les pays en développement d'Asie, où la fabrication manufacturière à forte intensité de main-d'œuvre prend en charge des millions d'emplois peu qualifiés et répétitifs. Un rapport récent de l'Organisation internationale du travail estime que 137 millions d'emplois, soit 56% du total, sont menacés d'automatisation dans cinq pays d'Asie du Sud-Est Thaïlande, Vietnam, Cambodge, Indonésie et Philippines -, dont une grande partie les industries du vêtement et du textile, de l'électronique et de l'automobile.

Aux États-Unis, l'automatisation de la fabrication durant les années 1990 et au début des années 2000 a donné à l'économie un «gain net» grâce à une productivité accrue. Mais cela a durement touché les ouvriers d'usine, contribuant à la perte de millions d'emplois et à l'éviction du secteur manufacturier.

Aujourd’hui, étant donné ces expériences et avec la perspective imminente de l'IA, les gouvernements et les entreprises asiatiques doivent réfléchir soigneusement à la manière de créer de meilleurs paradigmes pour le développement, qui ramèneront la mobilité ascendante au centre des résultats de la croissance.

‘’Si l'industrialisation à l'avenir ne favorise pas la création d'emplois, les stratégies nationales de réduction de la pauvreté connaîtront un grand vide’.

Ce sont ces mêmes industries qui ont permis à l'Asie en développement de sortir de la pauvreté au cours des 20 dernières années. Si l'industrialisation à l'avenir ne favorise pas la création d'emplois, les stratégies nationales de réduction de la pauvreté connaîtront un grand vide.

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Inventer le filet de sécurité de demain

de la mauvaise circulation sur eux-mêmes, en ayant de meilleures voitures et la possibilité de choisir quand ils voyagent. Les pauvres, d'autre part, sont liés aux transports en commun. Des situations similaires existent en ce qui concerne les services de santé publique en Asie, qui ont tendance à être sous-financés alors même que les États investissent massivement pour soutenir les hôpitaux privés au service du tourisme médical.

Une façon évidente de le faire est de renforcer le filet de sécurité sociale, qui peut protéger les travailleurs pendant les périodes de changement. Une mesure de filet de sécurité sociale peut être quelque chose d'aussi simple qu'un transfert d'argent direct, des déjeuners ou des repas scolaires, ou des exonérations de frais (par exemple pour les procédures gouvernementales); aucun d'entre eux ne coûte très cher et peut être temporaire, mais ils donnent aux travailleurs le temps de s'adapter et de passer à une autre étape de leur carrière. La perte temporaire d'un emploi ne devrait pas renvoyer définitivement un travailleur et le retirer du marché du travail.

En bref, il existe toute une gamme de mesures simples et éprouvées que les gouvernements et les entreprises peuvent adopter pour améliorer les perspectives des travailleurs à faible revenu et moins éduqués dans la gestion de l'économie numériqu émergente. L'automatisation et l'IA arrivent, mais les avantages qu'elles apportent devraient être appréciés de manière responsable, en gardant à l'esprit la société, de peur d'exacerber l'inégalité.

Selon la Banque mondiale, les économies en transition et en développement dépensent, en moyenne, 1,6% de leur PIB en mesures de protection sociale. Mais ce chiffre chute à 1,2% en regardant uniquement l'Asie de l'Est et le Pacifique, et à 0,8% en regardant uniquement l'Asie du Sud. Si les gouvernements sont prêts à dépenser des millions pour attirer et développer l'IA et la fabrication numérique, il n'est pas déraisonnable de leur demander d'augmenter le financement des programmes de filets sociaux pour aider les pauvres à traverser les changements économiques qu'ils entraînent.

Plus tôt nous commencerons à construire des systèmes et des institutions pour aider les travailleurs, plus l'Asie aura de chances de créer ce nouveau paradigme pour le changement technologique et économique.

ww.international.thenewslens.com

Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de l'ambassade.

Nous savons que la technologie entraîne un changement massif et accéléré de la fabrication dans le monde entier; nous devrions préparer activement les travailleurs aux emplois de demain et leur permettre de continuer à apprendre à mesure que ces emplois évoluent. De nombreuses entreprises remodèlent actuellement leurs processus de formation et de développement, mais nous commençons seulement à comprendre à quoi ressemble «l'apprentissage continu» au niveau de la société.

Bien que ce soit un truisme, les services publics et les infrastructures publiques sont en effet essentiels à la qualité de vie de la majorité des citoyens dans tous les pays. Lorsqu'ils sont bien utilisés, ils peuvent aider les citoyens à faire progresser leur fortune. Il suffit de regarder la congestion de la circulation à Jakarta - qui coûterait au pays 2 milliards de dollars par an - pour comprendre que des infrastructures publiques mal planifiées affectent différemment les pauvres et les riches. Les riches sont plus à même d'atténuer l'impact

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Le Nicaragua: Qui était Augusto César Sandino? commémoration des 84 ans de l'assassinat d'Augusto Cesar Sandino, général des hommes et femmes libres , qui est un exemple latino-américain de dignité et de lutte inlassable pour la souveraineté et l'autodétermination nationale.

L'assassinat de Sandino, comploté par les forces contre-révolutionnaires, incarné par Anastasio Somoza et le gouvernement des États-Unis, représenté par l'ambassadeur Arthur Bliss Lane, révèle une pratique récurrente de l'impérialisme visant à supprimer, par tous les moyens, l'espoir des peuples latino-américains. et leur résolution à être des protagonistes de leur propre destin.

Cependant, l'exploit du général Sandino, l'amour de son peuple et son profond sentiment latino-américain, sont allés au-delà de cette action sournoise et sont devenus une source d'inspiration pour la lutte révolutionnaire nicaraguayenne, ainsi que pour le reste des luttes libertaires populaires. C'est pourquoi sa voix calme et ferme résonne encore quand il déclare: «Nous irons vers le Soleil de la liberté ou vers la mort, et si nous mourons, peu importe, notre cause continuera à vivre, d'autres nous suivront. "

Augusto César Sandino est né en 1895 et assassiné en 1934 par des gardes nationaux agissant sur les ordres du dictateur Anastasio Somoza Garcia.

Somoza s'installa plus tard comme président du Nicaragua. Somoza a ensuite admis avoir perpétré ce crime avec le soutien de l'ambassadeur américain.

Le chemin de Sandino est toujours en construction à travers chaque victoire de nos peuples, à chaque défaite de l'impérialisme. De la Révolution bolivarienne, nous patriotiquement et avec l'esprit de solidarité accueillir et embrasser le commandant Daniel Ortega et le camarade vice-président Rosario Murillo, avec la ferme intention de continuer à avancer conjointement dans la construction de Notre Amérique, celle qui est basée sur les pensées de Bolivar, Marti et Sandino.

De 1926 jusqu'à son assassinat en 1934, Sandino a défié la puissance militaire des États-Unis dont les Marines avaient occupé le Nicaragua depuis 1909 et finalement, en 1933, le dernier contingent a quitté le Nicaragua. Six années de combat par une poignée de travailleurs et de campesinos ont largement contribué à cette victoire.

Aujourd'hui, l'héritage de Sandino est la force motrice pour construire un avenir de liberté pour nos peuples d'Amérique latine et des Caraïbes; il reste vivant et inflexible, comme les pensées et les actions des hommes comme Che Guevara, Fidel Castro et Hugo Chavez, et nous, inspirés par son engagement indéfectible envers la justice, levons notre poing une fois de plus pour réaffirmer la vocation de liberté et de souveraineté de notre peuples.

Sandino n'était pas seulement un combattant mais un écrivain prolifique et un orateur doué. Tout au long des 34 années de dictature Somoza soutenue par les États-Unis et depuis lors, le «sandinisme» est devenu le cri de ralliement pour la liberté, l'autodétermination et la non-intervention, non seulement pour le Nicaragua mais pour les mouvements de libération en Amérique latine.

Le président de la République bolivarienne du Venezuela, Nicolas Maduro, au nom du peuple vénézuélien, adresse un salut révolutionnaire à l'héroïque peuple nicaraguayen à l'occasion de la

Vive le général Augusto Cesar Sandino! www.nicaraguasc.org.uk www.mppre.gob.ve

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Malcolm X parle de la vérité au pouvoir à travers le temps et la mort El-Hajj Malik Shabazz, la vie de Malcolm X est un exemple frappant du pouvoir rédempteur de l'homme.

"Nous déclarons nos droits sur cette terre être un être humain, être respecté en tant qu'être humain, recevoir les droits d'un être humain, dans cette société, sur cette terre, en ce jour, que nous avons l'intention d'introduire dans existence par tous les moyens nécessaires. "- MALCOLM X" Je ne vais pas m'asseoir à votre table et vous regarder manger, avec rien dans mon assiette, et m'appeler un dîner. Assis à la table ne fait pas un dîner à moins que vous mangez de ce qui est sur cette assiette. "- MALCOLM X

Un orateur habile, Malcolm plaidé avec passion pour la liberté, la justice et l'égalité "Par tous les moyens nécessaires". Contrairement aux principaux leaders des droits civiques tels que Martin Luther King Jr. et James Farmer, il a souligné la nécessité pour les Américains noirs de s'armer en état de légitime défense. Parlant la nuit où sa maison a été bombardée, Malcolm a expliqué sa philosophie violente mal interprétée: "Je n'ai jamais préconisé aucune violence; J'ai seulement dit que les Noirs victimes de la violence organisée perpétrée sur nous par le Klan, le Conseil des citoyens et bien d'autres formes, nous devrions nous défendre. Et quand je dis que nous devons nous défendre contre la violence des autres, ils utilisent habilement leur presse pour faire croire au monde que je réclame la violence, point final. Je n'appellerais personne à être violent sans une cause "-Les mots de la ligne de front; livré le 14 février 1965.

Nous déclarons nos droits sur cette terre être un être humain, être respecté en tant qu'être humain, recevoir les droits d'un être humain, dans cette société, sur cette terre, en ce jour, que nous avons l'intention d'introduire dans existence par tous les moyens nécessaires. "- MALCOLM X «Je ne vais pas m'asseoir à ta table et vous regarder manger, sans rien dans mon assiette, et m'appeler un dîner. Assis à la table ne fait pas un dîner à moins que vous mangez de ce qui est sur cette assiette.

"- MALCOLM X

C'est pourquoi chaque fois que je lis sur les atrocités, les injustices et la dégradation de la vie humaine perpétrée sous le couvert de la race, de la tribu, de la religion ou du néo-impérialisme, il ne me reste que de la tristesse. Negro Clerics utilisait ses chaires pour dénoncer le racisme et embrasser la fierté noire.

Cinquante-trois ans se sont écoulés depuis que Malcolm X, militant noir et défenseur des droits de l'homme, a été tué alors qu'il montait sur le podium pour une conférence à l'Audubon Ballroom de Harlem, à New York lors du rassemblement de l'Organisation de l'unité afro-américaine.

Nos pasteurs noirs et nos imams du XXIe siècle prétendent hypocritement être pro-masses alors qu'ils se classent en tête de liste des clercs les plus riches du monde. Il y a quelques décennies à peine, nous pouvions observer que la lutte pour les droits civiques, les droits de l'homme, les droits économiques et le droit de vote n'était ni menée par les enseignants noirs ni

Malcolm Little né le 19 mai 1925, la vie de Malcolm X a suivi un schéma similaire d'un Noir noir typique - vécu dans le désespoir, la peur, l'agitation, la frustration et la servitude envers l'homme blanc. En traversant plusieurs transformations dans sa vie, du ghetto Malcolm Little au raciste Malcolm X et enfin à 40

tions qu'il a eues avec des dirigeants africains tels que Gamal Abdel Nasser d'Egypte, Jomo Kenyatta du Kenya, Julius Nyerere de Tanzanie, Nnamdi Azikiwe du Nigeria, Kwame Nkrumah du Ghana et Sekou Touré de Guinée, il s'est publiquement excusé des remarques affirmant qu'il était prêt à travailler avec toute personne réellement intéressée par la cause des noirs, quelle que soit la couleur de la peau.

dirigée par les médecins; au contraire, la diversité des personnes qui ont fait la maison des États-Unis aujourd'hui n'aurait pas pu rêver de vivre dans une telle réalité si les révérends, les pasteurs, les évangélistes et les ministres musulmans n'avaient pas sacrifié leur vie pour mener des protestations, batailles de combat, défiant les ordres du tribunal et même fait face à des tuyaux d'eau et des chiens policiers. Comme Malcolm le dit justement dans son discours d'avril 1964:

Bien que Malcolm X ait été surveillé par ce que la légende de l'Afrobeat, Fela Anikulapo-Kuti appellerait plus tard les "Government Chicken Boys ", le FBI et la CIA, il n'était pas devenu une véritable épine dans l'Amérique raciste jusqu'à ses voyages. Contrairement au Dr King, Malcolm n'a jamais mâché ses mots pour dénoncer l'hypocrisie des Etats-Unis qui se réjouissent de la protection des droits de l'homme à travers le monde et qui nient les 22 millions de Noirs dans ses droits fondamentaux. Il a écrit ceci du Ghana:

"Et quand nous nous rendons compte qu'Adam Clayton Powell est un ministre chrétien, il est à la tête de l'église baptiste abyssinienne, mais en même temps, il est plus célèbre pour ses luttes politiques. Et le Dr. King est un ministre chrétien, à Atlanta, en Géorgie, mais il est devenu plus célèbre pour être impliqué dans une lutte pour les droits civiques. Il y en a un autre à New York, le révérend Galamison - je ne sais pas si vous avez entendu parler de lui - il est un ministre chrétien de Brooklyn, mais est devenu célèbre pour son combat contre un système scolaire ségrégué à Brooklyn.Le révérend Clee, ici même, est un ministre chrétien, ici à Detroit. Il est à la tête de 'Freedom Now Party'. Tous sont des ministres chrétiens, mais ils ne viennent pas à nous en tant que ministres chrétiens. Ils viennent à nous en tant que combattants dans une autre catégorie. Je suis un ministre musulman - tout comme ils sont des ministres chrétiens - je suis un ministre musulman. Et je ne crois pas aux combats d'aujourd'hui, mais sur tous les fronts. En fait, je suis un combattant de la liberté nationaliste noir. »- Le bulletin de vote ou la balle.

"Je suis arrivé à Accra de Lagos, au Nigeria. La beauté naturelle et la richesse du Nigeria et de ses habitants sont indescriptibles. Il est plein d'Américains et d'autres blancs qui sont bien conscients de ses ressources naturelles inexploitées. Les mêmes Blancs, qui crachent sur les visages des noirs en Amérique et mettent leurs chiens de police sur nous pour nous empêcher de «s'intégrer» avec eux, sont vus partout en Afrique, s'inclinant, souriant et souriant dans un effort pour «s'intégrer» avec les Africains -ils veulent s'intégrer dans la richesse et la beauté de l'Afrique.

C'est ironique ".

Soulignant l'importance de l'éducation et la nécessité pour les nègres de contrôler l'économie de la communauté noire, il a fondé l'Organisation de l'unité afro-américaine visant à restaurer, réorienter, éduquer et assurer la sécurité économique. Il a dit: "Vous et moi construisons des églises et laissons le blanc construire des écoles. Toi et moi construisons des églises et laissons le blanc construire tout pour lui-même.

Ensuite, après avoir construit l'église, vous devez aller demander l'emploi à l'homme blanc, et demander l'éducation à l'homme blanc.

Selon Wikipédia, les croyances de Malcolm X étaient centrées sur ce qui suit: "que les Noirs étaient les premiers peuples du monde, que les Blancs étaient des démons et que la fin de la race blanche était imminente". Mais à son retour du pèlerinage En 1964, Malcolm X a dénoncé les croyances raciales qu'il a maintenues dans la nation d’Islam.

Il a écrit: "Je ne suis pas raciste. Dans le passé, je me suis permis de faire des inculpations de tous les blancs, toute la race blanche, et ces généralisations ont causé des blessures à certains blancs et ne méritaient peut-être pas de blesser. En raison de mon éveil spirituel, à la suite de mon pèlerinage à la Mecque, en Arabie, je ne souscris plus à des inculpations radicales de quelque race que ce soit.

S'exprimant au Forum du travail militant, M. Malcolm a reconnu l'immense avantage qu'un voyageur pourrait tirer d'un voyage lorsqu'il a déclaré que «les voyages élargissent sa portée». Son pèlerinage à la Mecque et dans d'autres pays du MoyenOrient et en Afrique l'a exposé aux dangers d'avoir une vision du monde limitée et étroite. Suite aux interac41

Bien que critiqué par certains de ses contemporains, le passage du temps avait présenté au monde entier une grande opportunité de venir réaliser et accepter Malcolm X comme un individu qui se dresse parmi les activistes et les martyrs. Fela, après avoir lu l'Autobiographie de Malcolm X a dit: "Ce livre, je ne pouvais pas le mettre bas: L'Autobiographie de Malcolm X. Cet homme parlait de l'histoire de l'Afrique, en parlant de l'homme blanc. comme ça avant dans ma vie, j'ai dit: cet homme est un homme! Je voulais être comme Malcolm X. J'étais si malheureuse que cet homme a été tué, tout ce qui concerne l'Afrique a commencé à me revenir. "

Lee Sustar a écrit que s'il est impossible de résumer brièvement l'héritage de Malcolm X, trois éléments ressortent: «une opposition intransigeante au racisme et à l'impérialisme, une volonté d'exposer la façade de la démocratie américaine et un engagement à la transformation révolutionnaire de la société».

Malcolm X n'a jamais nié son passé sombre et criminel; il ne se vantait ni de son proxénétisme ni de sa drogue, ni fustigeait ses auteurs après sa réforme. Au lieu de cela, il a souligné les dangers inhérents à ces faits en établissant des faits, en faisant preuve d'empathie et en se voyant lui-même comme un exemple de la façon dont un individu du plus bas niveau pourrait devenir une personne totalement réformée.

Alors que je me joins à des millions de personnes partout dans le monde pour célébrer le 53e anniversaire de la transition de Malcolm X, il est impératif de souligner que la grandeur de Malcolm n'était ni son éloquence naturelle ni son physique puissamment construit; ce n'était ni son acharnement ni son éclat. Ce ne pouvait pas être le fait qu'il a appris les plus de 18 000 mots dans le dictionnaire. Non! Son ascension vers l'immortalité et l'héroïsme est due au fait qu'il ne s'est jamais considéré comme un «tout savoir», il s'est rapidement ajusté et s'est séparé de son erreur et de sa folie une fois identifié. Il s'est excusé auprès de tous ceux qu'il estimait avoir offensés soit par ses croyances racistes auparavant tenues, soit par une philosophie nationaliste noire défectueuse.

La vie de Malcolm X fait appel à notre humanité collective, celle qui nous pousse à embrasser les gens de toute tribu, culture et religion comme une grande famille. Il nous apprend qu'être un tribaliste ne fait pas moins un sociopathe que les maîtres esclavagistes et les suprématistes blancs des siècles précédents. Une étude de la vie de Malcolm et de ce qu'il représente supprimerait toutes les tendances tribales et le fanatisme religieux en nous tous.

Quel meilleur moment pour perdre ces lourds bagages que maintenant.

By: Mr. Modiu Olaguro www.saharareporters.com Les opinions exprimées dans cet article sont celles de l'auteur et ne reflètent pas nécessairement la position de l'ambassade.

EDITORIAL TEAM: Jose Avila, Alfredo Lugo, Keyla Castillo, Daniel Mwangi, Lucy Ojwang’, Milka Aweyo, Antony Onyango, Laura Silva, CONTACT: UN Crescent, Opposite Diplomatic Police Gigiri, Nairobi Kenya, P. O. Box 2437- 00621, Tel: (+254 - 20) 712 06 . 48 / 712 06 . 49

Les citations de Chavez sur le Petro Dólar "Nous avons l'idée d'une monnaie internationale, et pour moi la seule idée qui m'excite est: le" PETRO ", un’argent pétro qui est basée sur les grandes réserves de pétrole que possèdent certains pays du monde, comme dans d'autres émission de devises doit être soutenue par l'or et les États-Unis est coupable de rompre la référence à l'étalon-or " "Les Etats-Unis sont à blâmer pour avoir rompu la relation avec l'or et c'est là que le revers et le privilège que personne n'a donné aux Etats-Unis ont commencé, mais ils ont été abrogés et le monde a été inondé de dollars.

Comme l'a dit Fidel, ils ont acheté la moitié du monde avec du papier sans valeur " " l'argent pétro sera la proposition pour les grands producteurs de pétrole".

"C'est l'occasion de continuer à donner forme à la multipolarité: la nouvelle architecture du monde post-empire des USA, car l'empire du dollar a pris fin, la chute définitive de l'empire yankee ... Dans cette naissance historique c'est nécessaire pour accélérer le rythme du monde pluripolaire " Hugo Chávez 30 mars 2009 Le IIe Sommet du Sud et des Pays Arabes