Urbanne La Baule #6

urbanne MODE & STYLE • LA BAULE

OÙ BRUNCHER CET ÉTÉ ?

SORRY DETOX ON ARRÊTE DE S’EXCUSER

MODE

COULEURS DOUCES POUR SAISON CHAUDE

BIJOUX

L’ÉTÉ AU BOUT DES DOIGTS

RENCONTRE AU FOUQUET’S AVEC PIERRE GAGNAIRE

#06

une vision unique de la promotion et de l’investissement immobiliers.

P2i cultive sa différence par une approche sur-mesure, qui, à la façon d’un artisan, lui permet d’offrir une réponse entièrement personnalisée sur chaque projet.

Fondée sur une écoute attentive des besoins et d’un dialogue avec les acteurs concernés (propriétaires, clients, investisseurs, entreprises, collectivités…). Ainsi notre méthodologie de travail nous permet d’appréhender les caractéristiques spécifiques de chaque réalisation, de répondre avec précision aux attentes des acteurs économiques et des futurs acquéreur.

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Urbanne

SOMMAIRE

Et en même temps...

Bienvenue dans cette saison où l’on veut tout faire en même temps. Aller à gauche et à droite. Picorer des idées et des envies ici et là. N’en faire un peu qu’à sa tête. C’est la politique estivale. Tout un programme, qui nous emmène, cette année, des créations originales de Ffil à Saint-Nazaire aux plus beaux jardins de la presqu’île. Une vision destinée à vous faire sortir dans la rue, dans les lieux les plus emblématiques, du Fouquet’s de Pierre Gagnaire aux marais de Brière, dont le morta, trésor secret, se fait aujourd’hui bijou. Rouge, vert, bleu... les couleurs de la mode estivale défilent aux Tourelles à Pornichet. Et puisque l’époque appartient, paraît-il, à celles et ceux qui osent créer et se lancer dans des entreprises hors norme, nous vous emmenons jusqu’à Quiberon, à la rencontre de ceux qui veulent non seulement y faire pousser de la vigne, mais en faire un grand vin. Il faudra attendre quelques années encore pour voir aboutir cette ambition. Comme en toute chose, le temps seul sera l’arbitre.

On vous embrasse, L’équipe Urbanne.

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En couverture Lunettes solaires Jimmy Choo La Baule Optique (4 avenue Louis Lajarrige - La Baule)

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Sommaire

Tendance : capter l’air du temps

Mode : couleurs douces pour saison chaude Vuitton s’ancre dans l’Ouest Les maillots de l’été

Bijoux : l’été au bout des doigts Beauté : l’algue, atout minceur

Sorry detox : on arrête de s’excuser

Les belles adresses de Sha Malhaire Où bruncher cet été ?

En cuisine : le cabillaud façon « Villa »

Rencontre au Fouquet ’s avec Pierre Gagnaire De la vigne au milieu de l’océan

Visite privée : une oasis contemporaine à Guérande Évasion dans la Russie éternelle

Urbanne Mode & Style - Magazine gratuit. N°6 - Dépôt légal en cours Un magazine des éditions MGI (SAS) 176 route de Vannes, 44700 Orvault Crédit photo : P. Kyriazis, D.R Impression : Union Européenne - Tirage : 25 000 exemplaires Régie publicitaire : Prana’Com - spotin@pranacom.fr Chefs de publicité : Odile Schmitz Rédaction : Pierre-Baptiste Vanzini - Karen Jouault - Guillaume Frouin - Clémentine Albert Illustrations de Marina Le Ray Directeur de publication : Stéphane Potin - 06 16 28 33 67 Création : Achromac El Kouri - 06 75 20 66 91 La reproduction des textes et photos est interdite.

Ne pas jeter sur la voie publique

redaction@urbanne.fr retrouvez Urbanne sur Facebook www.urbanne.fr

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© le portrait réalisé par Pauline Rühl Saur.

Mode

TENDANCE

CREATION

« L’IDÉE, C’EST DE CAPTER l’air du temps »

Flore Larrazet a installé son atelier en plein centre-ville de Nantes. Elle l’a baptisé Studio Walkie Talkie. Elle y invente des motifs pour les secteurs de la mode, de la décoration et de l’objet. Elle crée également sa propre collection de tissus jacquard, made in France. Une créatrice qui fourmille d’idées et qui est professionnellement obligée d’être à la pointe de la mode. Rencontre.

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Comment devient-on designeuse textile ?

Un peu par hasard. Et par curiosité. C’est un métier que je ne côtoyais pas lorsque j’étais petite, même si mes grands-parents étaient dans le textile. Moi, mon truc, c’était surtout le dessin. J’ai fait un bac arts appliqués.

Puis un BTS textile design à Lyon, le berceau historique du tissage.

D’où vous vient cette passion pour le tissu ?

Il y a beaucoup de choses, comme l’idée de perpétrer un savoir-faire français, utiliser des fils recyclés... Mais ce qui domine, c’est la matière. Un jacquard « bouge » différemment, il accroche la lumière différemment, il y a du relief, de la matière. Il y a quelque chose de noble, qui est très plaisant.

Qu’est-ce qui vous a séduit dans le textile ?

C’est un domaine où on dessine beaucoup, où l’on travaille énormément la couleur, les matières, et je suis très sensible à ça. Au début, je me suis lancée dans la mode enfantine où l’on utilise plutôt l’impression, et qui est plus proche de l’illustration. Aujourd’hui, j’ai évolué vers le jacquard. Le travail du tissu est passionnant.

Pour qui travaillez-vous aujourd’hui ?

Je travaille pour plusieurs fabricants de tissu lyonnais.

Pour les pièces imprimées, je travaille pour Monoprix, Atomic Soda, Des Petits Hauts, etc. Travailler sur différents supports me permet d’élargir ma clientèle et de toucher à tout.

Combien imaginez-vous de motifs chaque année ?

Je ne compte pas, mais je dirais cinq par semaine, environ. Ça doit faire entre deux cent cinquante et cinq cents par an . En fait, je n’arrive pas à m’arrêter, je suis les pistes lorsqu’elles sont intéressantes dans la répétition, surtout quand ce sont des motifs géométriques.

Où allez-vous puiser votre inspiration ?

Je cherche beaucoup... Non, en fait, je cherche tout le temps. Ça peut être au détour d’une expo, d’un film, d’une balade... Je regarde tout ce qui se passe autour de moi. Je fais un peu mon marché dans la rue, en observant les gens. Je regarde aussi vers le passé, par exemple l’ornement architectural.

Et ensuite ?

Ensuite, je fais des synthèses. J’aime associer des choses un peu incongrues. Ce n’est pas magique, c’est une sorte de recette. L’idée est d’arriver à capter l’air du temps. Pas le temps d’aujourd’hui, mais le temps de demain.

Ensuite, il faut que vos dessins vivent leur vie... Ça commence dans les salons comme Première Vision, à Paris. C’est là que mes tissus sont exposés, et que l’ensemble de la collection est présenté « pour de vrai ». C’est là aussi que l’on commence à avoir les premiers retours.

Une fois vos créations vendues, où les retrouvez-vous ?

Un peu partout. Ça peut être sur des coussins, des plateaux... C’est assez amusant de voir le résultat. Aujourd’hui, ce que j’adore, c’est quand mes créations sont utilisées pour des pièces d’ameublement.

Je suis de plus en plus attirée par la déco. On crée une atmosphère, une ambiance, un bien-être au quotidien. D’ailleurs, ma première gamme de papiers peints vient d’être éditée pour Monoprix. C’est une composition un peu plus complexe, un peu plus haute et un peu plus large qu’un tissu.

Quelles sont les tendances à venir que vous avez identifiées ?

En mode féminine, pour l’automne-hiver 2018-2019, au niveau des motifs et des matières, ce sera une palette de rayures, de quadrillages, de dentelles, de motifs ethniques géométriques et de velours. Pour les couleurs, ça dépend beaucoup de la cible, de la tranche d’âge, du style recherché… Mais il devrait y avoir encore des couleurs rouge et rouille.

Et pour le printemps-été 2019 ?

C’est encore très loin. Pour l’instant, et ce n’est que ma vision personnelle, j’imagine au niveau du graphisme quelque chose de minimal, des jeux de carreaux et de rayures. Cela devrait être très présent, selon moi dans le prêt-à-porter féminin. En ce qui concerne les couleurs, c’est un peu tôt à mon sens pour évoquer des pistes.

J’ai pas mal d’idées, mais les choses peuvent évoluer. ¢

Découvrez les créations de Flore Larrazet sur son site

www.studiowalkietalkie.com

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Mode

ÉTÉ

Lunettes solaires Jimmy Choo / La Baule Optique (4 avenue Louis Lajarrige - La Baule)

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Mannequin : Chloé Nunez Make-up artist : Solenne Gomes (Facebook : Solenne Auxpetitssoins)

Merci à la direction du Château des Tourelles pour son accueil pour ce shooting.

MODE

COULEURS DOUCES pour saison chaude

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ÉTÉ

Blazer et short ICHI, t-shirt Vila et bracelet / Le Dressing By Sylvie (23 rue de la Paix et des Arts - Saint-Nazaire) • Tennis Palladium / Pied d’Estale (42 avenue du Général de Gaulle, Pornichet)

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Mode

ÉTÉ

Robe, perfecto, mules et sac cabas / Samanta (3 avenue Pierre Loti et 17 avenue Louis Lajarrige - La Baule) 14

80, AVENUE DU GENERAL DE GAULLE 44500 LA BAULE 02 40 24 72 63 urbanne 70x240-ICode-Urbanne.indd 2

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ÉTÉ

Robe smoking / ZAPA (107 avenue du Général de Gaulle - La Baule)

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ÉTÉ

Jean mom, blouse, sac et mules velours / Glewn Rose (7 avenue Pierre Loti - La Baule)

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ÉTÉ

Chemise bimatière, pull en maille et chino / Sugar (passage du Royal, avenue Marie-Louise La Baule et 9 quai Jules Sandeau - Le Pouliguen) • Baskets No Name / Pied d’Estale (42 avenue du Général de Gaulle - Pornichet) 20

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ÉTÉ

Chemisier sans manches, short, bandeau et tennis / I.Code (80 avenue du Général de Gaulle - La Baule)

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ÉTÉ

Robe, tennis et sac cabas / Les Coquettes (75 bis avenue du Général de Gaulle - Pornichet) 24

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ÉTÉ

Chemise en lin et pantalon Ralph Lauren, sandales Free Lance / La Réserve (1 avenue Pavie - La Baule)

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TENDANCE

CREATION

LOUIS VUITTON

s’installe (encore) dans l’Ouest

Le symbole est fort. Après avoir perdu, il y a vingt ans, ses dernières usines de confection, victimes de la concurrence low-cost asiatique, le pays de Cholet va voir sortir de terre, en début d’année prochaine, à Beaulieu-sur-Layon (Maineet-Loire), un tout nouvel atelier de maroquinerie. Et pas n’importe lequel : c’est Louis Vuitton, la locomotive du groupe de luxe LVMH, qui est derrière le projet ! L’enseigne a d’ores et déjà entamé les recrutements : sur les deux cents à deux cent cinquante personnes recherchées pour cette seizième usine française, soixante-dix ont d’ores et déjà été embauchées. Il n’y a pas de temps à perdre : dès cet été, un autre « atelier » de la même importance va être ouvert à La Merlatière (Vendée), petit village de 980 habitants, dans des bâtiments cette fois-ci existants. Le marché du luxe est en effet en plein développement : la division à laquelle appartient LVMH a connu l’an dernier une croissance de l’ordre de 13 %.

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© LouisVuitton

Louis Vuitton va ouvrir un nouvel atelier de confection, cet été, à La Merlatière (Vendée). Puis un autre, début 2019, à Beaulieu-sur-Layon (Maine-et-Loire). Les recrutements ont déjà commencé.

Tests pour petites mains « Si on s’installe ici, ce n’est pas un hasard : il y a là une vraie tradition d’artisanat, qui demeure très ancrée », souligne-t-on chez LVMH, où l’on se félicite d’avoir reçu un « accueil très favorable » des élus locaux. La présence à Cholet des étudiantes de BTS du Lycée de la Mode a également pesé dans la balance, confie-t-on au sein du groupe de luxe. Mais, à vrai dire, pas besoin d’être couturière pour candidater : des tests de « dextérité » permettent de détecter les mains les plus soigneuses. La « précision » et la « capacité d’apprentissage » sont d’autres qualités particulièrement recherchées par Louis Vuitton. Ces tests sont effectués dans ses deux usines voisines de Sainte-Florence (Vendée), non loin des Essarts et de La Merlatière.

Formation « dé » en main Une fois sélectionnées, les heureuses élues ne sont pas livrées à ellesmêmes : des « tutrices-piqûres » les encadrent. Comme Roselyne, qui travaille depuis seize ans dans l’entreprise. « Beaucoup de recrues sont admiratives du produit », constate cette marraine de 50 ans. « Elles ont aussi une grande fierté d’appartenir à la maison Vuitton ». Estelle, une ancienne fleuriste de 27 ans, est ainsi heureuse de « travailler sur un produit noble » : elle va désormais participer à la confection de sacs à main « iconiques », comme le Twist ou l’Alma, des best-sellers pour le groupe de luxe français.

Mais, avant tout, elle et ses nouvelles collègues vont commencer par créer leur propre trousse à outils (réglet, poinçon, coupe-fil…), « qui va les suivre tout au long de leur carrière », souligne-t-on dans l’entreprise. Des carrières jusqu’alors pas vraiment linéaires : Émilie, 33 ans, travaillait par exemple au « contrôle qualité » des bateaux du groupe Bénéteau. Dorothée, 44 ans, a longtemps travaillé chez le fabricant d’électroménager Brandt, puis dans un magasin de bricolage. « Ici, on travaille des valeurs comme la bienveillance, l’entraide et l’excellence », souligne-t-on chez LVMH. 

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TENDANCE

CREATION

Ffil

Le recyclage se fait art Des sacs en cuir à monter soi-même. L’idée est un peu décalée, ludique. Et pas si folle que ça. Claire Batardière a commencé à travailler sur ce concept lorsqu’elle suivait des études de stylisme à l’école Duperré, à Paris. De cette idée découle toute une philosophie qui aboutit à la faculté de créer et fabriquer en France. « Le système de conception à plat limite la main d’œuvre, explique-t-elle. Cela permet de conserver du savoirfaire et de faire travailler les entreprises de notre pays ». À l’arrivée, les sacs se font et se défont très facilement, ce qui permet - au passage - de pouvoir en glisser un - ou plusieurs dans la valise, sans risquer une dangereuse inflation du volume de bagages.

Ses sacs, Claire Batardière les taille dans les plus beaux cuirs, et pour cause : la matière première est issue des plus belles maisons de luxe françaises. « Je recycle les peaux des plus grandes maisons. Ils ont des critères de qualité tellement élevés qu’ils mettent au rebut des matières incroyables. Des cuirs comme ça n’existent plus, sauf dans ces grandes maisons ».

Surtout, ce sont des cuirs durables que l’on peut facilement entretenir.

Une partie de la production est aujourd’hui réalisée dans un ÉSAT (Établissement d’aide et de service par le travail) de SaintNazaire. « Je me suis entendue à merveille avec ce petit groupe de travailleurs. J’ai vraiment voulu continuer à travailler avec eux. Ils font aujourd’hui la couture de tous mes accessoires ».

C’est d’ailleurs à Saint-Nazaire qu’est née l’icône de la marque : le petit pompon. « Ce pompon, à la base, ce n’est pas grand-chose : une sorte d’exercice pour leur montrer qu’il y avait un droit à l’erreur. L’idée n’est pas de travailler sous pression ». La pression, Claire l’a d’ailleurs rejetée en

venant s’installer à Saint-Nazaire. Sa marque avait totalement décollé, présente dans plus de cent cinquante boutiques. « Moi qui aime la création, j’étais devenue chef d’entreprise.

Je commençais à acheter mes matières premières au lieu de les récupérer. Je sentais que mon éthique et que les valeurs de mes produits étaient en train de se perdre ».

Aujourd’hui, elle s’est donc recentrée sur l’essentiel : ses créations. ¢ Le Garage 40 rue des Halles - Saint-Nazaire contact@ffil.fr

www.ffil.fr

Les sacs sont tous modulables. On peut les porter de plusieurs façons différentes, y compris sur les deux épaules.

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TENDANCE

PORTRAIT

CRÉA’TURES Virgine Jossomme, slasheuse de la mode

Virginie Jossomme est auteure, directrice artistique, styliste et modéliste. Ça fait beaucoup pour certaines personnes, mais pas pour elle. C’est plutôt un mode de vie. Et une façon de ne pas s’essouffler. Rencontre. « Au fil des mois, dans l’année, je passe de la rédaction d’ouvrages à la conception et la direction de défilés, avant de me mettre à créer des robes de mariées au printemps-été. C’est un choix. Ce sont des activités variées et complémentaires ».

Cela la mène de la Fashion week de Saint-Nazaire à l’écriture d’ouvrages destinés aux couturières qui veulent apprendre et se perfectionner.

Tous ces métiers étaient en germe dans la formation de stylistemodéliste, avec une spécialisation dans le costume de scène, qu’elle a suivie à Esmod Paris. « J’ai besoin de toutes ces activités pour m’épanouir. J’aime le show, travailler en équipe sur un projet artistique. Quand on m’appelle à Paris ou ailleurs, je prends ma valise et j’y vais ». Mais la jeune femme aime aussi créer des robes avec pour seuls outils son crayon et son inspiration. « Ce que je tiens à faire, c’est ce qu’on ne voit pas ailleurs, des choses différentes, sur-mesure, uniques. Je ne fais jamais deux fois la même chose ».

Dans cette démarche, elle se démarque des tendances. C’est d’ailleurs pour ça que de futures mariées lui font confiance. « On vient me voir pour un modèle unique. Mes clientes, ce sont celles qui veulent voir exister la robe qu’elles ont en tête, qui veulent quelque chose à leur goût ». Elle conçoit ainsi entre dix et trente robes par an. « Évidemment, on est influencé par les tendances de couleurs et de tissus qui sortent chaque année. C’est sur cette base que l’on travaille, mais l’avantage du sur-mesure, c’est qu’on arrive à se détacher de ce que font les autres boutiques ». Elle utilise la soie française, issue d’une maison avec laquelle elle travaille depuis quinze ans, mais aussi le tulle, la mousseline ou la dentelle. Elle arrive même à faire des miracles quand le timing est serré. Ou impossible. « Je peux mettre d’un an à quinze jours pour créer une robe, sourit-elle. Il m’est arrivé de sauver des mariées qui avaient commandé des robes asiatiques qui ne sont jamais arrivées ». ¢

Retrouvez les créations de Virginie Jossomme dans sa boutique Créa’tures, passage du Royal, à La Baule.

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TENDANCE

PORTRAIT

PLUUME

des sacs éthiques et poétiques Des sacs féminins pop mais pas too much, classiques mais pas ringards, voilà ce que propose Clémentine Lacroix avec sa marque Pluume. Elle prône surtout une démarche éthique et ne veut pas sacrifier ses valeurs.

Pluume évoque la légèreté et la poésie ; pour Clémentine Lacroix, sa fondatrice, c’est aussi un côté féminin assumé avec des touches de paillettes, du rose poudré et du ton sur ton. « Je suis très girly, sans ne jurer que par le rose ! Mon souci, c’est que je ne trouvais pas de sacs qui me ressemblaient : soit ils étaient trop classiques, soit trop fantaisistes ». D’où l’idée de créer sa première collection. « La création m’a toujours attirée. J’adore pouvoir imaginer le petit détail qui change tout ».

Pourtant, Clémentine ne se considère pas comme créatrice.

Elle connaît ses limites : elle peut dessiner ses produits, mais pas les réaliser. « C’est pour cela que j’ai du mal à me dire créatrice ».

Cet aspect va pousser Clémentine à chercher un atelier de couture local pour mettre en forme ses sacs. « J’ai longtemps cherché, sans trouver ce que je voulais. Et puis, ma maman m’a parlé des ÉSAT ». ÉSAT, pour Établissement et service d’aide par le travail. En clair, une structure qui permet aux personnes reconnues avec une déficience intellectuelle légère ou moyenne de travailler. La jeune femme rencontre les personnes de l’ÉSAT Marie Moreau à Saint-Nazaire, et c’est le déclic. « Avec la cheffe d’atelier, on a pris le temps de former Sophie et Miguel, les personnes qui allaient assembler mes sacs.

Au début, ils pensaient qu’ils n’allaient pas y arriver. Petit à petit, ils ont pris confiance et le temps de fabrication est devenu plus rapide », raconte Clémentine.

Elle dessine ses produits, l’ÉSAT Marie Moreau les assemble.

Clémentine est très fière de cette collaboration. « Ma manière de faire et mon discours ne changeront pas. Surtout après les retours très positifs de mes clientes ». Car Clémentine explique sa démarche. « Il arrive que certaines personnes ne comprennent pas. Mais en général, l’accueil est très bon.

Surtout, je n’ai jamais vu de clients revenir avec un sac parce qu’il y avait un problème ».

La jeune femme se nourrit des rencontres, des encouragements et de la bienveillance de son entourage. « Cette boutique me permet de rencontrer des gens et ça m’apporte beaucoup ». Et des rencontres, Clémentine en fera encore beaucoup d’autres dans quelques mois, lors du salon Maison et Objets (du 7 au 11 septembre à Paris) auquel elle va participer pour la première fois avec Pluume. ¢ Pluume 63 avenue Charles de Gaulle – Pornichet 06 27 19 63 27

www.pluume-shop.com

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Mode

ACCESSOIRES

BLANC ET BLEU Le classique revisitĂŠ

Top manches en maille et sac en cuir Paul Smith, denim HIGH, baskets Diesel et bijoux / Quadranne (36 rue de la Paix et des Arts - Saint-Nazaire) 36

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BORD DE L’EAU

SOUS LE SOLEIL EXACTEMENT

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1 Maillot Roidal / Jardin de Femme (317 avenue De Lattre de Tassigny - La Baule) 2 Maillot Antigel / Jardin de Femme (317 avenue De Lattre de Tassigny La Baule) • Lunettes Jimmy Choo / La Baule Optique (4 avenue Louis Lajarrige La Baule) 3 Maillot Sugar / Sugar (passage du Royal, avenue Marie-Louise - La Baule) • Lunettes Marc Jacobs / La Baule Optique (4 avenue Louis Lajarrige - La Baule) 4 Bikini Antigel / Joliesse Lingerie (12 centre République - Saint-Nazaire)

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ÉTÉ

BLEU ET OR

Les couleurs de l’été au bout des doigts

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1/ Bague en or (750/1000) sertie d’un saphir jaune (1,95 ct) / Apert Joaillier - Fabricant (2 allée des Camélias - La Baule) 2/ Bague en or (750/1000) sertie de saphirs (1,30ct) et de diamants (0,45 ct) / Apert Joaillier - Fabricant (2 allée des Camélias - La Baule) 3/ Montre Première Chanel / Prieur 1896 (passage du Royal, avenue Marie-Louise - La Baule) 4/ Bague Pomellato / Prieur 1896 (passage du Royal, avenue Marie-Louise - La Baule)

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Création

PORTRAIT

PORTRAIT

MORTA

Le bijou à remonter le temps « Je transmets une histoire. L’histoire de la Brière, celle d’il y a cinq mille ans ». Le morta, c’est un bois qui a commencé à se fossiliser. Du chêne venant tout droit de l’époque des hommes préhistoriques qui a été conservé dans la tourbe du marais de Brière. Un matériau unique. « Quand on a un morceau de morta dans les mains, on arrive à s’imaginer cette immense forêt de chênes. On remonte le temps. C’est un bois magique ». Hélène Jacquot n’est pas la première de sa famille à s’intéresser à ce bois. Son mari, Jean-Henri Pagnon, a, le premier, entrepris de le mettre en lumière en façonnant avec ce matériau des manches de couteaux. C’est lui qui approvisionne Hélène en matière première. « Il l’exhume de la tourbe au milieu du marais. Nous avons le droit de le faire, parce que nous habitons ici, et que le marais appartient, selon la volonté du dernier seigneur du lieu, à tous ses habitants ».

Il faut ensuite laisser sécher le morta au moins trois ans avant de pouvoir commencer à le travailler. « C’est un bois qui est très dense. Je travaille de toutes petites pièces que je découpe puis biseaute une à une. Le ponçage est la partie la plus longue. C’est lui qui va révéler tout l’éclat de ce bois, le côté soyeux. J’utilise trois grains différents pour le polir ».

Il suffit ensuite d’un peu de cire pour terminer de mettre en valeur le bijou. La monture en argent - pour conserver la sobriété du bois - est réalisée par Hélène, qui est allée se former à Paris pour apprendre à travailler ce métal précieux. « J’ai créé des modèles tels que j’avais envie de les porter.

Je fourmille d’idées, mais je veux garder une cohérence, une ligne directrice, pour que l’on puisse reconnaître mes bijoux.

Ce que je cherche, c’est la sobriété et la discrétion. Je pense que c’est la meilleure manière - et la plus respectueuse - de mettre en valeur ce noble matériau ».

Atelier : 87 rue de la Brière Saint-André-des-Eaux

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Beauté

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BEAUTÉ

LE POUVOIR des plantes

Helio-Spray, protection solaire des cheveux résistant à l’eau de System Professionals / Les Petits Ciseaux (64 avenue du Maréchal Joffre La Baule) • Crème visage Hydra Summum de Guinot / Institut Guinot (6 avenue Louis Barthou - Pornichet) • Brume protectrice Adaptasun d’Institut Esthederm / Carpe Diem (4 avenue du Marché - La Baule) • Masque à l’orchidée pour cheveux très secs de Leonor Greyl / Marc Réthoré (43 avenue du Général de Gaulle - Pornichet) • Crème au miel et à l’immortelle pour cheveux très sensibilisés de Phytodess / Benoit Coiffure (19 boulevard Hennecart - La Baule) • Damage Remedy, shampooing restructurant à la protéine de quinoa de Aveda / Pur Salon et Spa du Cheveu (12 avenue Louis Lajarrige - La Baule) • Crème de shampooing réparatrice aux plantes ayurvédiques de Cinq Mondes / Beauté des Îles (3 avenue Louis Lajarrige - La Baule) • Vernis à ongles longue tenue et son top coat pour un effet gel de Essie / Christine Blanc (154 avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny - La Baule) • Kit sourcils de Miss W / Jolie Citadine (48 avenue du Général de Gaulle - Pornichet) • Rituels d’Afrique, crème corps hydratante et fermeté de Nohèm / Holen (2 place Dolgellau - Guérande) 44

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Santé

CONSEIL

BEAUTÉ

DES ALGUES

et des stimuli électriques Avec l’arrivée de la belle saison, on veut être resplendissante dans notre jolie robe d’été.

Sans centimètres superflus autour de la taille ou des cuisses… Et quand il s’agit de vous dégoter une méthode qui allie amincissement et relaxation, on est là !

Depuis l’an dernier, Angèle Goyer, du centre Oméa, propose une technique d’amincissement originale et pluridisciplinaire.

Une méthode à la carte, selon les besoins de la personne, mais dont la base est la ionithermie. « La ionithermie est composée de deux mots : « ionophorèse », c’est-à-dire faible courant électrique, et « thermie », chaleur. Ce soin est detox, il permet de mincir, il raffermit l’épiderme et favorise la micro-circulation », précise Angèle. Rien que ça ! Mais pas de panique, tout cela est bien plus relaxant qu’il n’y paraît.

Le rendez-vous commence par une prise de contact : que recherche la personne, que cache le problème de poids… « Je souhaite surtout mieux connaître le ou la client.e pour pouvoir lui proposer la formule qui lui convient le mieux. Peut-être qu’il faut associer la ionithermie à un programme de gestion de poids ou à des séances de sophrologie. Je travaille également en partenariat avec d’autres professionnels (sophrologue, énergéticienne, naturopathe) pour apporter une réponse complète », explique Angèle.

Des stimulations électriques qui chatouillent Après ce premier contact, place au soin. Angèle va préparer un masque enveloppant composé d’algues « pour stimuler, drainer et détoxifier », d’huiles essentielles de cyprès et de pin - « la première stimule la circulation, la seconde est anti46

inflammatoire » - et de complexes actifs raffermissants et amincissants. Angèle pose ce masque sur la zone ciblée, ventre, cuisse ou fessier, et insère de petites électrodes qui vont délivrer des stimulations électriques - rien de désagréable puisqu’elles ressemblent à des chatouilles. « Cela va favoriser la pénétration des actifs et le remodelage de la silhouette.

Associé au masque, l’ensemble va décomposer les amas graisseux et disperser les toxines ». Sans compter les effets visibles : la peau est plus douce, on se sent à la fois détendue (surtout lorsque Angèle ajoute la méditation guidée au soin) et redynamisée. Cette technique est bien différente de ce que nous, les filles d’Urbanne, avions déjà testé, et malgré une certaine appréhension - on parle de stimulations électriques quand même ! - nous avons été séduites ! À votre tour…

Un peu d’histoire…

Développée dans les années 80 par des Français - cocorico ! -, cette méthode a connu ses jours de gloire sur les paquebots de croisière. Depuis quelques années, elle est de retour sur la terre ferme, mais garde des airs de grand large avec l’utilisation d’algues.

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Psycho

CONSEIL

Première semaine

Plus aucune excuse n’est tolérée ! Non, vous n’en serez pas plus malpolie. « Comme j’avais pris conscience de ce tic de langage, cela n’a pas été trop difficile d’arrêter complètement », réalise Pascaline. Vous avez quand même le droit de garder deux jokers lorsque, vraiment, il convient de s’excuser.

Deuxième semaine

PSYCHO

Se poser une question : pourquoi toutes ces excuses ?

Pascaline s’est auto-analysée : « Je vois ça comme de la politesse. Je me suis aussi rendu compte que tout le monde s’excuse dans le bus ou dans la rue ». Peut-être, mais trop de courtoisie tue la courtoisie !

Troisième semaine :

« EXCUSEZ-MOI de vous demander pardon… » Il est un mal dont nous, les femmes, souffrons particulièrement* : nous nous excusons beaucoup ! Et pas toujours par politesse. Rassurez-vous, arrêter de s’excuser à tout va, c’est possible. Il suffit de suivre la « sorry detox ». Une de nos lectrices, Pascaline, a relevé le défi. « Quand on m’a parlé de cette detox et expliqué à qui elle s’adressait, je me suis tout de suite reconnue dans ce schéma », admet la trentenaire. Pascaline l’avoue, elle s’excuse très souvent : quand on la bouscule dans les transports en commun, lorsqu’elle veut poser une question à un de ses collègues, si elle envoie un texto à une amie au mauvais moment. Or, s’excuser pour tout et rien révèle souvent un manque de confiance en soi.

Et même si c’est un peu vrai, on n’a pas forcément envie que cela se voie, surtout au travail ! Alors, va pour une sorry detox de trois semaines !

Ne pas replonger ! Ça y est, vous avez compris le pourquoi du comment de toutes ces excuses. Reste à maintenir le cap.

Voici pour cela quelques astuces : • Analysez les situations : est-ce qu’emprunter l’agrafeuse de votre collègue va réellement le déranger au point de s’excuser platement ? Avez-vous fait exprès de lâcher la porte alors que quelqu’un arrivait en face (tant que ladite personne ne s’est pas fracturé le nez contre cette porte, tout va bien, non ?)

• Investissez dans une tirelire dans laquelle vous mettrez un euro à chaque faux-pas. Non, vous n’utiliserez pas la cagnotte pour partir en voyage, mais vous reverserez les gains à une association caritative. On sait que vous êtes généreuse…

• Changez votre vocabulaire : troquez les « désolée de te déranger » par « tu as un moment ? ». Car, oui, vous avez le droit d’être là !

Pascaline a tenu bon et est désormais complètement désintoxiquée ! Pourtant, une inquiétude subsiste : « Est-ce que je vais reconnaître les situations où il faudrait vraiment que je m’excuse? ». Pas de panique, Pascaline ! Parce que vous êtes bien éduquée, vous ne deviendrez pas du jour au lendemain une malotrue ! * D’après une étude parue dans la revue Psychological Science en novembre 2010

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Beauté

CONSEIL

BEAUTÉ

PRENDRE SOIN DE SOI au naturel

C’est l’été, bientôt les vacances... Bref, c’est le bon moment pour changer ses habitudes de soin. Julie et Cynthia, les deux esthéticiennes de Jolie Citadine, révèlent leurs secrets de beauté au naturel.

Dans leur petite caravane rose, elles prodiguent soin, bien-être et conseils. Avec leurs astuces, adopter des gestes plus sains et des produits plus respectueux de l’environnement, c’est facile !

Un démaquillage à l’huile de coco On sort l’huile de coco de sa cuisine et on la range dans les étagères de sa salle de bains ! « L’huile de coco désintègre complètement le maquillage, même waterproof. En plus, elle nourrit la peau en profondeur », explique Cynthia. Une fois appliquée avec les mains, vous pouvez utiliser un coton pour enlever les traces de maquillage.

Un maquillage aussi simple que possible Avec l’été, on a envie de maquillages plus légers. Qu’à cela ne tienne ! Vous pouvez opter pour une poudre minérale ou une BB crème, parfaite pour les peaux déshydratées. « Un maquillage simple et naturel est facile à reproduire chez soi au quotidien », note Julie. Un petit coup de mascara pour ouvrir le regard, et le tour est joué !

L’huile de jojoba pour hydrater Ça, on le sait, puisqu’on la trouve partout dès qu’il est question d’hydratation ! Mais pourquoi ne pas l’utiliser simplement, plutôt que de la chercher dans des produits conventionnels ?

Car elle peut facilement remplacer la crème de jour : trois gouttes suffisent à prévenir la déshydratation et revitaliser les teints un peu ternes.

Des ongles sublimes « On conseille d’avoir toujours une petite lime à ongles dans son sac ou à portée de mains. Dès qu’un ongle accroche, vous pouvez ainsi le limer sans abîmer la manucure ». On complète avec une huile d’argan pour nourrir les cuticules et une huile de ricin pour renforcer les ongles, et voilà des mains parfaites !

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Beauté

COIFFURE

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Benoit, coiffeur passionné vous accueille dans ce lieu à son image : dynamique, créatif et souriant Benoit saura mettre son savoir faire et sa créativité à votre service pour que votre passage au salon soit un moment pour votre beauté et votre détente

Le Salon est situé à La Baule, à deux pas de l’avenue de Gaulle , face à la mer

Benoit vous accueille Le Lundi de 10 heures à 18 heures Du Mardi au Samedi de 9 heures à 19 heures Le dimanche matin en été 52

Enfants

BON PLANS

ENFANTS

DES BÉBÉS gâtés

Voici une petite sélection de cadeaux à offrir à nos chérubins pour Noël. Sauf si vous estimez qu’ils n’ont pas été assez sages…

Un anneau de dentition en bois Quoi de plus sain que de mâchouiller du bois lorsque les quenottes commencent à chatouiller les gencives de bébé. Cet anneau de dentition accompagné de son tissu coloré et tout doux de chez Maybe Monday peut être gravé. Pratique pour éviter les échanges entre copains !

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Un coussin coloré Un coussin contre lequel bébé pourra se reposer - ou contre lequel maman pourra s’appuyer pour donner le biberon - voilà une bonne idée ! Et quand ledit coussin est floqué au prénom, date de naissance ou autre de bébé, c’est encore mieux…

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Un drap de bain moelleux Le drap de bain en bambou de la marque nantaise Pomme Caramel fera du moment du bain un vrai instant de douceur. Accompagné d’un bavoir et d’un gant de toilette, on connaît des bébés qui seront vraiment contents d’être nés !

Bisous Soufflés 136 avenue du Général de Gaulle - La Baule 06 69 77 77 39

Doudou porte le même prénom que Bébé Ces doudous en coton traité à l’aloe vera ont tous un petit nom : Léon, Marius, Garance, Romane… Il y en a forcément un qui porte le même prénom que le bébé de votre meilleure amie. À moins qu’il ne s’appelle Maddox ou Lourdes…

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Homme

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Homme

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Urbanne

LOCAL GUIDE

GUIDE

LES BELLES ADRESSES de Sha Malhaire

Où passer un bon moment, boire un verre, déjeuner sur la plage ou en ville, faire un peu de shopping ? Nous avons demandé à Sha Malhaire, Bauloise, créatrice de la marque Make Everyday Happy et gérante de la Maison Pavie aux côtés de son époux Stéphane, qui est également aux commandes du Nossy Be, de nous servir de guide. Ça tombe bien, des idées et des adresses, Sha en a plein...

À table ! « Quand je ne suis pas au Nossy Be ou à la Maison Pavie, que ce soit au restaurant au rez-de-chaussée ou au bar à tapas de l’étage, j’aime beaucoup aller au QG. J’aime le côté sans chichi, les pieds dans le sable. Il y a un côté « safe » avec les enfants. C’est agréable, et on reste dans l’esprit de la station : l’assiette est bonne et le cadre est sympa. Je vais d’ailleurs au Récif exactement pour les mêmes raisons. Pour sortir un peu de la plage, que ce soit le midi ou le soir, j’aime beaucoup Le Derwin pour sa vue sur la côte sauvage et ses bonnes petites crêpes. C’est vraiment une institution ».

Un peu de shopping « Pour moi, le shopping se passe beaucoup avenue de Gaulle. J’aime le shopping de niche qui permet de sortir un peu de la « fast fashion ». Je trouve toujours des choses chez Lili au Soleil, qui a une très jolie collection de créateurs à tous les prix, que ce soit des pièces sophistiquées ou des petites marques plus accessibles. Mes enfants, je les habille souvent dans les boutiques Week end, où je trouve régulièrement des pièces, décontractées ou casual. Et quand il s’agit de dénicher une belle pièce à se faire offrir (rires), je vais chez Urbane ».

Retour de marché « Pour prendre un verre avec les copines, au retour du marché, on s’attable souvent à La Tour de Pise. C’est agréable et convivial. On partage une planche, on découvre toujours de nouvelles saveurs. C’est aussi le cas à La Table de Loïc. J’adore pénétrer dans cette épicerie pleine de saveurs du monde entier et le voir cuisiner devant moi.

C’est fabuleux, atypique et bon ! ».

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Boire un verre

Chouchous Barrettes Pochettes Sacs Accessoires

« Ô Bar’Bu, il y a une très jolie sélection de vins, et des planches à grignoter très sympa. C’est très agréable de s’y arrêter en fin d’après-midi ou en début de soirée après avoir fait du shopping avenue de Gaulle ».

Plein les yeux « J’aime parcourir les galeries, voir les expos sur l’avenue Pavie, comme à la Galerie Bobino-Langlais. Juste à côté, il y a l’atelier de Pierre-Yves Dayot. J’adore ce qu’il fait : c’est un peu déjanté avec plein de nouvelles idées, c’est super ».

Pornichet Le Récif / 112 avenue de Bonne Source Le Pouliguen Le QG Beach / 14 rue de la Plage Batz-sur-Mer Crêperie du Derwin / Route du Dervin

Papa Pique et Maman Coud PP MC

La Baule Le Nossy Be / Sur la plage, face au 11 boulevard Darlu La Maison Pavie / 20 bis avenue Pavie La Tour de Pise / 33 avenue des Ibis La Table de Loïc / 1 avenue du Marché Ô Bar’Bu / 151 avenue du Général de Gaulle Lili au Soleil / 87 avenue du Général de Gaulle Week end / 43 avenue du Général de Gaulle Urbane / 51 bis avenue du Général de Gaulle Galerie Bobino-Langlais / 8 avenue Pavie Pierre-Yves Dayot / 21 avenue Pierre Loti

LA BAULE Tél. : 02.40.60.46.85

GUERANDE Tél. : 02.40.88.46.02

www.ppmc.fr urbanne

Miam

BONS PLANS

LES BRUNCHS DE LA CÔTE D’AMOUR

MIAM

Se lever tard, prendre son temps et lâcher prise, c’est pour cela que les week-ends ont été inventés. La meilleure solution pour mettre en pratique ce petit programme, c’est le brunch ! Et pour vous éviter de chercher, chez Urbanne, nous vous avons dressé la liste des endroits les plus chouettes pour bruncher. Alors détendez-vous et suivez le guide !

Pop’Art Café

La Dinette

Maison Pavie

Qu’est-ce qu’on y trouve ?

Dans l’ambiance cosy de ce restaurant, trois formules sont proposées. La « New-yorkaise » avec œufs au plat, bacon, toasts, beurre, confiture et boissons (froide et chaude). La « Philly », composée des ingrédients de la formule précédente avec en plus des pommes de terre sautées, des pancakes maison et du sirop d’érable. Pour les petites faims (enfants de moins de 10 ans), le « P’tit Brunch » est également à la carte et propose un chocolat chaud, une boisson fraîche, un œuf au plat, deux tranches de bacon, un toast et un pancake maison.

Et si vous êtes d’humeur créative, vous pouvez composer votre propre brunch (fruits, granola, fromage blanc...).

Qu’est-ce qu’on y trouve ?

Ici, on commence par une boisson chaude et une boisson fraîche, avec la première spécialité de la maison : le thé glacé. Du côté de l’assiette sucrée, vous retrouverez des pancakes, du pain, du beurre, de la confiture et les desserts maison du chef, qui varient en fonction du jour. Pour le salé, il vous est impossible de passer à côté de LA spécialité du restaurant : les frites maison et le mini burger, servis avec des œufs brouillés, du bacon et du coleslaw.

Un brunch copieux et « so good » !

Qu’est-ce qu’on y trouve ?

Des viennoiseries et de la brioche accompagnées de confitures ouvrent ce brunch. Puis viennent ensuite différentes pâtisseries (macarons, crème brûlée, coulant au chocolat...), qui varient en fonction du jour. Pour le côté salé, des entrées froides composées d’œufs mimosa, d’huîtres, de bulots et de saumon fumé fait maison s’offrent à vous. Le restaurant propose également trois types de salades, ainsi que de la charcuterie et différents fromages. Côté chaud, vous pouvez déguster un plat qui change tous les dimanches, mais aussi des œufs brouillés, des saucisses et du bacon. Le tout accompagné de boissons chaudes et froides, bien sûr.

Quand ? Le samedi de 11h à 14h30

Où ? 4 quai Jules Sandeau Le Pouliguen (réservation : 02 44 07 73 88 ) 5 place du Marché au Bois, Guérande (réservation : 02 40 91 35 90)

Le brunch du samedi

Combien ? Formules entre 11€50 et 15€ pour les adultes, 7€50 pour les enfants de moins de 10 ans Où ? 13 rue de la Paix et des Arts Saint-Nazaire (réservation : 02 40 45 47 01)

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Le brunch américain maison

Quand ? Le dimanche de 11h à 12h30 Combien ? 17€

Le dimanche à la villa

Quand ? Les dimanches et jours fériés de 12h à 16h Combien ? 35€ pour les adultes, 15€ pour les enfants Où ? 20 bis avenue Pavie - La Baule (réservation : 02 40 88 07 13)

Miam

BONS PLANS

©Fabrice Rambert

KOOK Bistrot Chic

Les Tourelles

Le Fouquet’s

Qu’est-ce qu’on y trouve ?

Ici, il y a des hors-d’œuvre composés de plusieurs salades, de fruits de mer et de saumon fumé. Puis viennent les immanquables œufs brouillés, accompagnés, bien sûr, de bacon, saucisses et champignons. Selon la saison, il y a des soupes chaudes ou des gaspachos, ainsi que différents pains, fromages et charcuteries.

Arrivent ensuite les plats chauds, avec les assiettes de viande ou de poisson.

Pour la note sucrée, tout un buffet de desserts est dressé pour vous ravir : viennoiseries, brioches, pâtisseries, cakes, le tout fait maison. Et pour encore plus de saveurs, un plateau de fruits frais. Du côté des boissons, mis à part les différents cafés et thés proposés par ce bistrot chic, il est possible de déguster une boisson fraîche, comme le thé glacé ou les smoothies de la maison !

Qu’est-ce qu’on y trouve ?

Un « Verger » composé d’une corbeille et d’une salade de fruits des producteurs qui fournissent le restaurant ; un « Potager » qui vous propose, selon la saison, des verrines, des salades et des crudités ; une « Crémerie » qui prend la forme d’un plateau de fromages locaux et du beurre de chez Beillevaire ; une « Basse-cour » faite d’œufs brouillés servis avec du bacon, des tomates, du fromage et autres douceurs ; un « Show cooking », avec une démonstration de poisson fumé et un atelier italien réalisés par le cuisinier. Et, bien entendu, les hors-d’œuvre du terroir et de l’océan composés de fruits de mer, de poissons fraîchement pêchés et de charcuterie que le chef revisite pour vous. Le tout face à la mer. Voilà ce que vous trouverez au Château des Tourelles Hôtel Thalasso et Spa.

Qu’est-ce qu’on y trouve ?

Entrez dans cet établissement de renom du groupe Barrière et découvrez les buffets qui s’offrent à vous. Les incontournables fruits de mer, les plats chauds servis par le chef en personne, et le plateau de fromages de chez Beillevaire. Pour le buffet d’entrées, une animation culinaire vous est proposée afin de découvrir comment sont réalisés vos plats. Et pour apporter la note sucrée nécessaire aux brunchs, des pâtisseries et des fruits sont également au menu. Pour finir, votre dégustation est accompagnée d’une coupe de champagne. Et pour un brunch en musique, découvrez tous les dimanches, du 1er juillet au 19 août, les brunchs musicaux dans les jardins du Royal, l’un des célèbres hôtels du groupe Barrière, qui héberge le Fouquet’s.

Le copieux

Quand ? Deux dimanches par mois en saison (dès Pâques), premier dimanche du mois hors-saison Combien ? 38€ pour les adultes, gratuit pour les moins de 10 ans Où ? 104 avenue du Général de Gaulle La Baule (réservation : 02 40 24 65 37)

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Le verger, la crémerie et la basse-cour

Quand ? Tous les dimanches à partir de 12h30 Combien ? 55€ pour les adultes et 25€ pour les enfants de 4 à 12 ans (gratuit pour les moins de 4 ans) Où ? 1 avenue Léon Dubas - Pornichet (réservation : 02 28 55 05 64)

L’art du choix

Quand ? Tous les dimanches de 12h30 à 14h00 Combien ? 72€ pour les adultes et 36€ pour les enfants Où ? 6 avenue Pierre Loti - La Baule (réservation : 02 40 11 48 48)

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EN CUISINE

RECETTE

LE CABILLAUD façon « Villa »

Arnaud Guignard a usé sa première toque et ses couteaux dans la baie de La Baule. Cet enfant du Berry a commencé par se frotter aux anguilles et aux cuisses de grenouilles de l’Auberge de Bréca - une gastronomie pas si éloignée de celle qu’il a apprise dans les jupons de sa grand-mère - avant d’oser taper à la porte du Castel Marie-Louise, où il a fait ses classes, de commis à chef de partie, sous le regard bienveillant d’Éric Mignard. « Il fallait que j’apprenne les produits de la mer. À l’école, nous ne les avions presque jamais travaillés. Trop loin de la côte. Le Castel Marie-Louise, c’est le genre d’endroit où on vous apprend LA bonne façon de travailler ». Mais dès son arrivée, Arnaud Guignard prévient son chef. Il a des envies

d’ailleurs. Au bout de trois ans, il part à Saint-Martin, dans les Antilles, vivre son rêve. Et il apprend, encore et toujours. La langouste, le manioc, les papayes, la mangue et les épices. Il ramène tout cela dans ses bagages quand il revient à La Baule, et commence à travailler dans les plus grands établissements.

Il est aujourd’hui aux commandes de La Villa. « Ma mission est simple, sourit-il. Faire perdurer l’esprit de cette brasserie de luxe en travaillant des produits frais et de saison. Il y a de quoi se faire plaisir et faire plaisir ». Il nous présente aujourd’hui deux plats à base de cabillaud, qui seront à la carte cet été. Un poisson goûteux qui plaît à tout le monde.

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EN CUISINE

Effeuillé de cabillaud aux agrumes et framboises Conseils du chef « Il faut faire attention à ne pas trop cuire le poisson, sinon, il risque de partir en charpie. La chair doit être juste nacrée. » « La cuisson des pommes de terre en robe des champs conserve leur saveur un peu terreuse. » « Pour peler un agrume à vif, il faut d’abord couper les deux extrémités. Ensuite, avec un couteau bien aiguisé, on enlève la peau par bande en prenant soin d’ôter toute la membrane blanche qui donne de l’amertume. On coupe ensuite entre chaque segment pour les séparer et ne conserver que la chair. »

Ingrédients

Progression

Dressage

200g de cabillaud 160g de pommes de terre de Noirmoutier 1 grosse échalote 1 botte de ciboulette 1 orange, 1 pamplemousse Framboises Mesclun de salade Sel, poivre et huile d’olive Vinaigre de framboise

• Cuire les pommes de terre à l’eau salée en robe des champs. Laisser refroidir, couper en lamelles. Les faire mariner avec fleur de sel, poivre du moulin, huile d’olive, échalote ciselée et ciboulette.

Cuire le poisson à la vapeur 5 minutes. Laisser refroidir.

Peler à vif les pamplemousses et les oranges.

Découper les segments.

Récupérer le jus des oranges et du pamplemousse. Ajouter une cuillère à soupe de vinaigre de framboise. Assaisonner. Émulsionner avec de l’huile d’olive. Réserver.

• Placer les pommes de terre en arc de cercle sur la périphérie de l’assiette.

Placer le mesclun de salade au centre de l’assiette. Défaire délicatement le cabillaud et placer les morceaux sur la salade. Ajouter de part et d’autre les quartiers d’agrumes et quelques framboises. Assaisonner avec la vinaigrette aux agrumes.

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L’avis du chef

« C’est un plat diététique, très frais et de saison.

Un plat très féminin et en même temps copieux. »

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EN CUISINE

Dos de cabillaud et légumes croquants sauce « Villa »

Conseils du chef « La sauce « Villa » est basée sur une sauce antillaise, la sauce chien, utilisée là-bas aussi bien sur les viandes que les poissons.

Elle apporte moelleux et juste ce qu’il faut de piquant. » « La sauce peut se conserver facilement trois jours au réfrigérateur.

L’huile pimentée se conserve bien plus longtemps, dans une bouteille fermée. » « Si je plante un bâtonnet de romarin, c’est un peu pour la déco mais surtout pour vérifier, sans abîmer le poisson, qu’il est bien cuit. Il doit rentrer facilement. Sinon, c’est qu’il manque de cuisson. »

Ingrédients

Progression

Dressage

800g de cabillaud 2 carottes, 1 navet, 2 courgettes...

Huile d’olive, sel et poivre Herbes de Provence

• Cuire le poisson à la vapeur environ 5 minutes avec un peu d’huile d’olive, de sel et de poivre.

Nettoyer, éplucher les légumes et les couper en morceaux grossiers. Les cuire à l’eau séparément pour qu’ils soient juste croquants.

Réaliser la sauce « Villa » en mélangeant un oignon ciselé, la tomate mondée (sans peau et sans pépins) coupée en dés et le persil haché.

Faire bouillir les piments oiseau dans de l’huile de tournesol portée à frémissement.

Laisser refroidir, filtrer l’huile et conserver.

Mélanger l’huile pimentée avec le mélange oignon, tomate, persil, échalote.

• Poêler les légumes juste avant de servir dans de l’huile d’olive avec un peu d’herbes de Provence. Assaisonner.

Dans une assiette creuse, placer les légumes au fond de l’assiette. Mettre dessus le dos de cabillaud. Terminer avec une belle couche de sauce « Villa ».

Pour la sauce « Villa » Oignon, tomate, persil 6 piments oiseau Huile de tournesol

L’avis du chef

« C’est un plat copieux que l’on peut servir toute l’année. Il suffit de changer les légumes en fonction des saisons. Le côté pimenté relève le poisson et les légumes, sans brûler le palais. »

La Villa 18 avenue du Général de Gaulle La Baule 02 40 23 06 00

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Miam

RENCONTRE

MIAM

ON CRAQUE POUR « La box made in chez nous »

Recevoir chaque mois, à domicile, dans sa boîte aux lettres, une box contenant des produits 100% locaux mis au point par des artisans engagés... Un bonheur à savourer sans modération, que l’on soit habitant de la région ou que l’on ait envie de se faire envoyer un petit rappel des saveurs de vacances !

Cela fait à peine quelques mois qu’Orane Jarlégant, jeune nazairienne, s’est lancée dans cette aventure : faire découvrir au plus grand nombre le talent des artisans de bouche de notre région. « Je suis acheteuse dans l’agroalimentaire, et je me suis rendu compte que ça n’avait pas beaucoup de sens de faire venir des produits de l’autre bout du monde, alors que d’autres existent localement et qu’ils sont souvent meilleurs ». Au-delà du côté sympa de la découverte de nouvelles saveurs et de nouveaux artisans, se cache donc un engagement réel. « C’est un peu utopique, je l’avoue, mais je pose une petite pierre pour essayer de construire le changement ».

Pour cela, elle est allée dénicher des producteurs qui ont une âme. « Ceux que je mets en avant, ce sont des gens qui travaillent selon une charte de qualité que nous avons élaborée. On fait attentions aux ingrédients, à leur provenance, à la façon dont on travaille les matières premières. Je les rencontre. On échange pour voir si on est sur la même longueur d’onde. Certains sont moins passionnés que d’autres, et moi, j’ai besoin d’avoir en

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face de moi des gens qui ont envie de mettre en avant leur région et leurs produits. C’est comme ça que je sélectionne ». Dans une seule boîte, on reçoit les produits issus des plus beaux marchés du coin. Ceux de producteurs trop occupés à bien faire pour gérer la communication et le marketing. « C’est là que nous intervenons pour les aider. Notre travail, c’est avant tout de les faire connaître. C’est pour ça que je m’attache à mettre en avant des produits différents, comme la terrine d’huître. Ce n’est pas quelque chose que l’on rencontre tous les jours ». Aujourd’hui, vingt-deux producteurs lui font confiance, de la bière aux jus de fruits en passant par les confitures, les terrines, les chocolats, et même l’huile fumée. Les paniers sont composés de six produits différents chaque mois : une boisson à découvrir, deux ou trois produits salés et autant de sucrés. « Il y a beaucoup de richesses à découvrir », souligne Orane. ¢

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INTERVIEW

FOUQUET’S

PIERRE GAGNAIRE AU FOUQUET’S « Quand on travaille avec une grande dame, on fait dans la dentelle »

Voilà trois ans que le groupe Barrière a décidé d’associer deux des plus grands noms de la gastronomie française : le Fouquet’s et Pierre Gagnaire. Le chef triplement étoilé est chargé d’accompagner le développement de la brasserie de luxe, tout en conservant son ADN : une très belle table autour de laquelle on passe un très bon moment. Rencontre toujours aussi sympathique et vraie au Fouquet’s La Baule.

Cela fait trois ans que le Fouquet’s a ouvert ses portes à La Baule. Le début d’une belle aventure ?

C’est une histoire qui a démarré à Dinard. J’ai rencontré Dominique Desseigne. Je ne le connaissais que de loin, et j’ai découvert quelqu’un d’attentif, qui aime les gens qui travaillent dans ce groupe. Cette intuition, j’ai pu la vérifier depuis trois ans.

Comment définiriez-vous le Fouquet’s ?

C’est une grande dame. D’ailleurs, le groupe Barrière est une grande dame, et le Fouquet’s en est une autre. Et quand on travaille avec une grande dame, on ne sort pas le bazooka. On fait dans la dentelle. Il faut procéder par petites touches. Il faut rentrer peu à peu dans la maison et se faire adopter pour apporter notre pierre à l’édifice.

La pierre que vous apportez semble de taille : vous avez ouvert de nouvelles adresses…

Oui. Nous avons aujourd’hui sept adresses en France et dans le monde : Marrakech, Paris, Toulouse, Courchevel, Enghien, Deauville et La Baule.

Justement, comment conserver l’identité du Fouquet’s quand le nombre des établissements augmente ?

Nous avons créé une colonne vertébrale pour définir l’identité du Fouquet’s. Il y a évidemment l’accueil et quelques plats signature. Mais on ne peut pas décliner la même chose partout. Nous ne sommes pas McDonald’s.

Je trouve que c’est évident : on ne mange pas à La Baule comme on mange à Courchevel. Il faut trouver à chaque fois le petit plus qui fait que la clientèle comprend et apprécie d’être à La Baule. Cela passe évidemment par des produits locaux, les algues, les poissons, et un peu le beurre et la crème. Moi, je le dis sans problème : les meilleures fraises sont à La Baule !

Puisqu’on en parle, comment définiriez-vous l’esprit de La Baule ?

Ici, il y a comme une espèce de langueur, un peu comme au bord des lacs. Je pense que c’est dû à cette étendue d’eau, à cette baie. Les gens qui travaillent ici ne se rendent plus compte de la chance qu’ils ont. Je suis arrivé depuis deux jours pour travailler, mais je suis reposé ! Et puis, il y a cette lumière grisée, bleutée, ce climat qui influe sur les gens et sur les personnalités. Ce que j’aime, ici, c’est que j’y ai rencontré beaucoup de gentillesse. Mais attention, ce n’est pas pour autant que le travail n’est pas fait, bien au contraire. Ici, on ne travaille pas avec un stress délirant.

Quelles sont les nouvelles tendances dans nos assiettes ?

En ce moment, les gens sont très quinoa. C’est un produit que l’on utilise depuis longtemps et qui est très bon. Il y a d’ailleurs un autre produit dont personne ne parle, mais qui est tout aussi bon et qui s’appelle l’amarante. D’une manière générale, en ce moment, les céréales sont à la mode. Les légumes prennent également une part de plus en plus importante sur les cartes. C’est une chose que j’ai bien intégrée depuis trente ans. Auparavant, la cuisine française utilisait et mettait très très peu en avant les légumes.

Ce sont des innovations que vous introduisez au Fouquet’s ?

Disons qu’ici, nous suivons le mouvement, avec une cuisine un peu moins riche, un peu moins sucrée. Mais attention, nous ne sommes pas là pour être lanceurs de tendance.

L’idée, ici, c’est de faire une belle brasserie à la française, un beau tartare ou une sole meunière… avec ce qu’il faut de beurre !

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Comment vous partagez-vous entre les différents établissements ?

Je viens au moins une fois par an dans chaque Fouquet’s. Je travaille avec François-Xavier, qui est à mes côtés, et qui est le vrai réceptacle pour tout ce qui passe dans ces établissements. Il est en permanence en contact avec tous les chefs. Mais, vous savez, nous nous rencontrons régulièrement. Le chef d’Enghien est arrivé hier pour préparer les fêtes de fin d’année. Il y a un lien entre nous, une famille Barrière. Pour le menu des réveillons, nous faisons les essais tous ensemble avec tous les chefs. C’est un vrai moment de partage, où chacun apporte sa pierre à l’édifice.

Comment réussit-on à durer dans votre métier ?

Dans notre métier, ce qui est formidable, mais ce qui est aussi difficile et qui rend modeste, c’est que nous sommes jugés tous les jours par le client qui s’assoit. Il a sa propre idée de la vinaigrette et de la couleur de la robe de la serveuse. Nous nous devons d’être toujours au service des gens, même si ce n’est pas un mot à la mode. Nous sommes des lieux où les gens viennent juste pour être bien et que ce soit bon. On n’est pas là pour faire un « show », et je crois qu’aujourd’hui, les attentes sont différentes d’il y a quelques années. Les gens veulent de la qualité et de la joie. Ils veulent des produits bien travaillés et un bon rapport qualité-prix. C’est ce que nous proposons ici.

Et au niveau des chefs, leur image a bien changé, non ?

Aujourd’hui, il faut savoir se vendre, s’exprimer. C’est ce qu’on voit dans des émissions comme Top Chef. Aujourd’hui, un chef a un look, il gère son Instagram. Je peux vous dire que si nous avions réalisé la même interview il y a quarante ans, il y aurait eu beaucoup de silences et de bégaiements.

En vous voyant évoluer au milieu des chefs et du personnel, on se rend compte qu’il y a beaucoup de bienveillance dans la manière de gérer vos équipes. De la bienveillance et une vision… C’est ça, la sagesse ?

Vous savez, il y a vingt ans, j’ai tout perdu. Cela reste une faille douloureuse. C’est aujourd’hui réglé, mais dans un coin de ma tête, je reste très très prudent. C’est tellement fragile ce qu’on fait… Il faut rester très sage. Avant, je détestais ce métier. Il y a eu deux ou trois déclics. L’un d’entre eux a été un article écrit par un journaliste sur mon travail. La façon dont il a décrit un plat m’a fait prendre conscience que ce métier est un moyen incroyable pour créer du lien avec les autres. C’est un formidable moyen de grandir, de construire sa vie d’homme. Il faut donner du sens à son travail. Le sens, c’est ce lien à établir les uns avec les autres, avec l’équipe, avec les clients.

Il y a une vraie fraternité entre nous. ¢

Il y a trois ans, quand vous avez ouvert le Fouquet’s ici, vous aviez des ambitions. Où en êtes-vous aujourd’hui ?

Eh bien, nous sommes au-dessus de nos objectifs ! Nous voulions faire venir la clientèle de La Baule dans nos établissements, et c’est pari gagné. Ce qui ne veut pas dire qu’on ne peut pas faire mieux, mais en tout cas, le lieu vit à l’année. Le plus bel objectif, à mon sens, que nous ayons atteint, c’est que les gens de la région se sont emparés de cette table mythique qu’est le Fouquet’s, et qu’ils ont aujourd’hui le réflexe d’en pousser la porte.

Cette réussite, c’est aussi parce que vous n’êtes pas arrivé en donneur de leçons ?

Chaque établissement a à la fois une signature et une cohérence.

Cela lui permet de s’intégrer parfaitement dans son environnement.

Que transmettez-vous aujourd’hui à vos équipes ?

Je dirais que je transmets un état d’esprit. Vous savez, avant tout, il y a l’envie, le bonheur d’être là. On fait des métiers joyeux. Que son travail, on le fasse bien ou mal, on y passe autant de temps. Alors, à mon sens, il vaut mieux le faire avec envie et gourmandise.

Quel regard portez-vous sur l’évolution de votre métier, avec vos quarante ans de carrière ?

Il y a d’abord une évolution dans l’assiette. Plus personne ne veut manger comme il y a quarante ans. Cette évolution a commencé dans les années 80 avec la nouvelle cuisine, ce moment où la gastronomie française s’est remise en question. Bien sûr, on continue de faire du navarin, de la daube de bœuf… Mais on va peutêtre l’agrémenter d’une purée de légumes verts. Les Saint-Jacques fraîches ne vont plus baigner dans la crème. Dans l’assiette, il faut que ça soit simple et goûteux.

Fouquet’s La Baule 6 avenue Pierre Loti (hôtel Barrière Le Royal) - La Baule 02 40 11 48 48 76

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DE LA VIGNE AU MILIEU DE L’OCÉAN Quiberon, le nouveau terroir Catherine et Hervé Bourdon, les propriétaires du Petit Hôtel du Grand Large, se sont lancés dans l’aventure de la création d’un vignoble... à Quiberon. Associés à Françoise Bedel, vigneronne de Champagne, ils sont en train de rassembler des terres et de les défricher. D’ici quelques années, ils espèrent pouvoir produire, à quelques mètres de l’océan, du vin en biodynamie. Rencontre avec des passionnés.

« On a un ensoleillement dingue, ici. Il y a des palmiers, des eucalyptus, des lauriers-roses... Cette année, les oliviers ont donné des olives. Donc, on va faire du raisin, c’est obligé, et ça va marcher ». Catherine Bourdon arpente l’une des premières parcelles de son futur vignoble. La lande est fraîchement défrichée. Sans végétation, on devine le squelette de pierre qui délimite les anciennes parcelles de cultures peu à peu laissées à l’abandon.

Partout où son regard se porte, l’océan est là. « On est au centre de la presqu’île, c’est le point culminant, et on a la mer autour de nous, décrit-elle. Elle va être notre amie et notre ennemie. Ce qu’on craint, c’est le vent, et avec le vent, l’iode qui vient de la mer et qui va peutêtre brûler les raisins et la vigne ». Avant de planter, le chemin est encore long. Il faut obtenir les autorisations administratives, et avant cela encore, réfléchir, tester.

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Savoir quel cépage conviendrait sur cette terre bretonne et comment former les rangs. « On va planter des haies qui vont monter le plus haut possible pour nous protéger du vent, on va consolider les anciens murets. Il faut réfléchir pour planter la vigne, sans doute pas trop haut pour éviter la prise au vent. Tout ça est en réflexion, on pense qu’on ne plantera pas avant 2020. Il faut faire les choses dans le bon sens. La vigne, ça prend du temps ».

Cela laissera à Catherine Bourdon, son mari Hervé, et Françoise Bedel, le temps de convaincre d’autres petits propriétaires fonciers de la presqu’île de leur confier leurs terres. La mairie de Quiberon a donné l’exemple en leur louant quelques arpents, tout près de l’ancien moulin. D’autres ont suivi. Ils imaginent planter ici des vignes pour produire des cuvées de blanc, là obtenir du rouge.

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« On est sur des granits, sur une très belle exposition.

Qualitativement, il y a quelque chose à faire »

« On voit le potentiel que ce terroir peut avoir », tranche Jérôme Bretaudeau, l’un des vignerons qui ont contribué au changement d’image du vignoble nantais. Ce producteur de vins bio et biodynamiques, que l’on retrouve sur les plus grandes tables du monde, est venu reconnaître ce nouveau terrain d’expérimentation. « Il y a évidemment le potentiel du lieu, avec cette vue sur mer absolument splendide, et surtout le potentiel d’un terroir plutôt atypique. On est sur des granits, sur une très belle exposition. Je pense que qualitativement, il y a quelque chose à faire ». Lui qui connaît sur le bout des doigts l’histoire des vins de France sait qu’à une époque, la vigne s’épanouissait en Bretagne. « Remettre des vignes ici, ça a du sens. La création d’un vignoble, c’est long, mais il y a toute une vie pour ça. Il faut être un peu fou, concède-t-il.

Mais quand on voit la cuisine du Petit Hôtel du Grand Large, leur potager maraîcher fait en permaculture, on voit que ce sont des passionnés. Et si je peux les aider, je le ferai ».

« Un jour, il y aura une AOC en Bretagne » Catherine Bourdon ne nie pas le côté un peu fou du pari. Mais l’espoir est plus grand que la crainte. « Je suis persuadée qu’on peut faire du bon vin en Bretagne, puisqu’on y fait bien à manger. C’est un futur grand terroir, et on veut faire partie de l’aventure. Moi, sur ma carte des vins au restaurant, j’ai de plus en plus de « vins de France ». C’est-à-dire des vins sans appellation, produits par des gens qui se creusent la tête pour faire des choses, qui sortent des jus incroyables, mais qui ne rentrent pas forcément dans les normes. Donc, on se dit qu’ici, on est totalement hors normes, et qu’on va faire un vin de France. Et puis, ce n’est pas ce qu’on cherche, mais je suis sûre qu’un jour, il y aura une AOC en Bretagne ». ¢

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Culture Urbanne

AGENDA

AGENDA

1,2,3...

SORTEZ !

Le soleil pointe enfin le bout de son nez ! C’est l’heure de prendre du bon temps ! Que ce soit pour vos week-ends prolongés ou vos vacances d’été, nous avons sélectionné pour vous quelques idées de sorties. C’est parti !

Les Jeudis du port Concerts

Cet été, au Pouliguen, les jeudis promettent d’être rythmés ! Une fois par semaine, venez écouter un concert sur le quai Jules Sandeau, entièrement piéton pour l’occasion. Les commerçants du centre vous accueillent même pour des concerts au sein de leur boutique ! Du reggae, du rock, de la musique traditionnelle régionale, un mélange éclectique pour goûter à tout durant la période estivale. Admirez aussi, dans tout le centre-ville, des artistes de rue donner des représentations hors du commun : cracheurs de feu, danses folkloriques et bien d’autres !

Pourquoi y aller ?

Pour passer une soirée à déambuler dans la petite ville du Pouliguen en découvrant de nouveaux artistes, après votre journée plage et farniente.

Tous les jeudis du 5 juillet au 30 août dès 18h Quai Jules Sandeau et centre-ville Le Pouliguen - Informations : 02 40 15 08 00

Rando Verte Roller de la Côte d’Amour

Journée Jazz Le Croisic

Sport, nature et tourisme sont au rendez-vous pour cette randonnée de 42 kilomètres en roller sur la côte d’Amour. Découvrez les marais salants, mangez sur la plage et surpassez-vous en participant à la boucle supplémentaire d’une dizaine de kilomètres jusqu’au Croisic.

Durant toute une journée, venez écouter des concerts de jazz dans l’ancienne cité corsaire (à l’affiche, le groupe vintage Les Glam’s et le quatuor The New Swing Band), et profiter d’une initiation à la danse du lindy hop. Le soir, accompagné du groupe Initial Big Band, le célèbre pianiste de jazz Jacky Terrasson est invité pour clôturer le festival.

Événement Sportif

Pourquoi y aller ?

Pour se dépenser tout en profitant du patrimoine naturel de la région Dimanche 20 mai (départ 9h30 - arrivée 17h) Complexe sportif Aubry / Prieux (avenue de Prieux) - Pornichet Inscriptions : sur place (possible jusqu’au jour J) ou sur Internet : www.myroller.fr/evenements/ ou www.rcp44.com

Stand Up Surprise Spectacle one-man-show

Aller à un spectacle sans savoir qui l’on va voir, c’est le concept de cet événement. Riez durant le spectacle d’un artiste connu du one-man-show, dans des salles propices à la proximité et l’échange.

Pourquoi y aller ?

Pour l’effet de surprise !

12 mai à 20h - Maison Pavie (20 bis avenue Pavie) - La Baule 16 juin à 20h - Bar Le Nuage (10 bis avenue Pavie) - La Baule Informations et réservations à l’Office de tourisme de La Baule (8 place de la Victoire) ou sur comedie44@gmail.com

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Festival de jazz

Pourquoi y aller ?

Pour découvrir le jazz et swinguer au rythme des cuivres, pianos et autres instruments !

Samedi 30 juin dès 11h Sur les places du quartier du port Le Croisic Informations : 02 40 23 00 70 (vendredi 29 juin à Piriac-sur-Mer et dimanche 1er juillet à Batz-sur-Mer)

Pornichet 100% Nautik Manifestation maritime

Cette dixième édition propose baptêmes (pirogue…), initiations (grimpe d’un mât, surf), démonstrations de sauvetage, courses de bateaux pop pop (fait avec des conserves) et sorties en mer !

Pourquoi y aller ?

Pour découvrir et fêter le nautisme Samedi 26 et dimanche 27 mai - Port d’échouage - Pornichet Informations : 02 40 61 33 33

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Dossier

ESCAPE GAMES

GAMES

ESCAPE GAMES L’aventure se vit à fond

Les points forts

ESCAPE HUNT NANTES L’univers

Une immersion en pleine Angleterre victorienne, dans laquelle Sherlock Holmes n’est jamais loin. Avec 1800 m², c’est le plus grand escape game de France, ou plutôt, la plus grande école de détectives de l’hexagone. Un immense salon accueille les équipes dans des salons cosy avec des rafraîchissements qui tombent à point nommé après une rude enquête.

La taille et le détail. Six salles sont disponibles et chacune a été pensée jusqu’au moindre détail. Tout a été réalisé par l’équipe qui anime le lieu. Les décors ont été recréés à partir de tableaux, de photos, et même de lectures romanesques. La lumière, et même les odeurs, ont été imaginées sur-mesure ! Ils accueillent de surcroît des entreprises de toutes tailles, avec des buffets et des formules privatisation.

Les enquêtes

Trois enquêtes différentes sont proposées : « La pierre philosophale », « Anne de Bretagne » et « Chantier naval », et chacune possède son double exact, ce qui permet à deux équipes différentes de se challenger sur le même thème. Bien sûr, il faudra s’échapper en moins d’une heure !

Qui peut venir jouer ?

Les enquêtes sont accessibles aux joueurs à partir de douze ans (avec un adulte au moins) et aucune condition physique n’est requise. On peut jouer à partir de deux personnes, et jusqu’à trente-deux personnes peuvent jouer simultanément (ou soixante- quatre en deux sessions), 7 jours sur 7 et toute l’année.

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L’expérience s’exporte

Le jeu se déplace en entreprise. Très récemment, Escape Hunt a investi neuf étages d’un organisme public pour faire jouer près de cent trente personnes, pour une enquête géante au cœur de leur lieu de travail ! Le jeu permet aussi aux entreprises de faciliter certains recrutements en aidant à la sélection de candidats. ¢ Escape Hunt 7 rue du Charron - Saint-Herblain 02 28 26 70 39

nantes.escapehunt.com

Travailler en équipe, être malin, inventif, et se plonger corps et âme au cœur d’une histoire. Vivre une aventure en vrai. C’est la promesse tenue par les escape games.

Ces espaces proposent chacun des univers différents.

Nous vous emmenons en visite dans deux escape games aussi différents qu’ils sont complémentaires.

L’ONIRIUM L’univers

Plongez dans l’origine des rêves… À l’Onirium, pas d’enquêtes à résoudre, mais des rêves défectueux à réparer. En pénétrant dans cet organisme secret, on se déconnecte de la réalité pour entrer dans un monde unique et onirique. Une expérience inédite qui ne laisse pas indifférent.

Les rêves

Deux rêves sont proposés, un troisième sera disponible d’ici la fin de l’année. Le premier nous fait faire un bond dans le passé, enfermés dans un cachot à l’époque de la Révolution Française à Nantes. Le second emmène les joueurs dans une station orbitale endommagée par un astéroïde, qui dérive dans l’espace. Les joueurs ont soixante minutes pour sortir du rêve en vie.

Avec qui rêver ?

Les rêves sont accessibles à partir de trois personnes, et jusqu’à douze en mode compétition. Les joueurs peuvent communiquer entre eux et influencer le rêve de l’autre équipe : émulation garantie ! Pas de restriction physique, accessible aux personnes à mobilité réduite, il faut tout de même avoir minimum douze ans pour comprendre les rêves.

Le détail qui fait la différence L’immersion commence dès l’entrée, avec l’accueil des Ingénieurs, spécialisés en rêves défectueux.

Le temps du brief et d’une boisson, les joueurs entrent ensuite en scène. L’une des particularités de l’Onirium est la façon de monitorer l’aventure : pas d’écran ni de repère visuel, mais la conscience du rêve qui interagit directement avec l’équipe.

L’expérience s’exporte

On peut désormais profiter des beaux jours tout en jouant avec la réalité augmentée dans le centre-ville de Nantes, équipé d’une tablette et d’un sac à dos à fouiller. Vous avez quatrevingt-dix minutes pour sauver le monde d’un virus redoutable, par équipe de deux à cinq joueurs. La tablette, géolocalisée, guide les joueurs et leur délivre des énigmes sur l’histoire de Nantes. Une façon novatrice de visiter Nantes. Coopération et moment convivial à la clé. Jusqu’à cent personnes peuvent jouer en même temps, idéal pour les entreprises !

L’Onirium 34 bis boulevard Guist’hau - Nantes 09 86 62 00 43

lonirium.com

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CINÉMA

CINÉ

« CARNIVORES »

LES SŒURS RIVALES « Carnivores », c’est l’histoire de Mona, une jeune femme qui rêve depuis toujours de devenir comédienne. Au sortir du conservatoire, elle est promise à un brillant avenir, mais c’est Sam, sa sœur cadette, qui se fait repérer et devient rapidement une actrice de renom. Un thriller réalisé en tandem par Jérémie et Yannick Renier. Deux frères, également acteurs et réalisateurs, qui se sont assis sur le divan de Jean-Jacques Lester pour une interview en forme de psychanalyse dans « Action, le mag ciné » de France Bleu.

Jean-Jacques Lester : « Carnivores », c’est le premier film que vous faites en tant que réalisateurs. Vous ne jouez pas dans ce film, il y a Leïla Bekhti, Zita Hanrot et d’autres comédiens fabuleux, comme Bastien Bouillon… Qu’est-ce que ça raconte ?

Yannick Renier : C’est un thriller psychologique qui raconte l’histoire de Mona, une fille qui a fait tout bien pour devenir actrice, mais c’est sa petite sœur qui réussit. Elle lui propose de devenir son assistante, Mona accepte, et, petit à petit, elle se dit : « J’ai une place à prendre ». Le film raconte leur relation, et l’envie de Mona de prendre la première place.

J.J.-L. : C’est Leïla Bekhti qui joue Mona dans ce film.

Le paradoxe, c’est qu’elle est plus connue que celle qui joue sa petite sœur. Les rôles se sont un peu inversés dans ce film...

Jérémie Renier : Ce ne sont pas seulement les rôles, c’est aussi leur personnalité, leur couleur d’actrice, leur nature.

J.J.-L. : C’est vrai que Leïla Bekhti est plutôt celle qui est « Tout ce qui brille », par exemple.

J.R. : Oui, voilà, elle est lumineuse, elle donne confiance.

Zita, à l’inverse, c’est quelqu’un d’assez pudique, assez réservé, ça nous amusait et ça les amusait toutes les deux qu’on les emmène à un endroit qu’elles connaissaient d’elles-mêmes, mais qu’il fallait explorer, travailler, pour montrer une autre facette de leur personnalité.

J.J.-L. : Pourquoi les avez-vous choisies ?

J.R. : Ce qui nous plaisait, c’était de trouver un duo d’actrices qui s’écoutent et qui peuvent travailler ensemble. Malgré les tensions par lesquelles elles passent dans le film, il fallait qu’elles s’aiment. Parce que ce sont deux sœurs qui s’aiment et qui sont malheureusement bousculées par leur vie, leurs choix, leurs envies, leur jalousie, et la vision qu’elles ont l’une de l’autre.

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CINÉMA

« RACONTER QUELQUE CHOSE D’INTÉRESSANT SUR LA RIVALITÉ, SUR LA VIOLENCE, SUR TOUTES LES PULSIONS QU’IL PEUT Y AVOIR ENTRE FRÈRES ET SŒURS » J.J.-L. : C’est en effet un magnifique rôle pour Leïla Bekhti, qui délivre une palette de jeu assez inhabituelle pour elle. Et c’est aussi l’histoire d’une sororité qui est réalisée par deux frères. On doit vous le renvoyer un peu quand même ?

J.R. : C’était notre envie de réaliser cette histoire tous les deux, oui, forcément, de notre vécu, de notre relation, mais après, très vite, on s’est éloigné de ça pour en faire un thriller psychologique, quelque chose de plus fantasmé : le film, la mise en scène, et, surtout, les personnages. Par exemple, Mona, on voit à travers ses yeux, comment elle, elle voit ce qu’elle n’a pas, et ce qu’elle fantasme pour pouvoir aller plus loin que la relation que nous vivons l’un avec l’autre.

Y.R. : La notion de réussite dans une fratrie est importante, parce qu’on a le même métier, mais pas la même notoriété. Et après, on s’est dit : « Tiens, il y a une histoire que l’on peut dérouler pour raconter quelque chose d’intéressant sur la rivalité, sur la violence, sur toutes les pulsions qu’il peut y avoir entre frères et sœurs ». Il y a l’amour, et en même temps, la haine.

J.J.-L. : Vous dites qu’il y a quelque chose d’étrange dans le film « Carnivores », et c’est vrai qu’on est à la limite du cinéma fantastique dans beaucoup de moments du film...

J.R. : Nous devions, avec la chef opératrice, qui était aussi la directrice artistique du film, arriver à une proposition qui ne s’accroche pas à une forme de réalité. Nous voulions que ce soit quelque chose de déformé, ou, en tout cas, qui plonge le spectateur dans une histoire, une fiction.

J.J.-L. : On sent également une sorte de malaise chez Mona, qui a du mal à se faire accepter par sa famille, du fait de la réussite de sa sœur.

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J.R. : On sent qu’elle n’a pas toujours été dans l’ombre de sa sœur : c’était une grande sœur qui s’occupait de sa petite sœur, elle était méritante et travaillait bien, là où sa sœur était un peu la rebelle.

Donc elle a cru, naturellement, qu’elle allait garder cette placelà, celle de la bonne fille qui réussit, que l’on croit, à qui on fait confiance. Or, les places dans la famille sont bousculées, inversées, ça crée une tension énorme.

J.J.-L. : Vous, Yannick, vous êtes comédien, qu’est-ce qui vous a poussé ?

Y.R. : Jérémie, depuis l’âge de sept ans, il a une caméra entre les mains, et il m’a toujours mis en scène quand on était petit. Ça me paraissait naturel. Moi, je ne faisais pas ça, j’avais envie de salle, j’avais envie de théâtre, de littérature, d’écriture. Et un jour, on s’est dit : « On est complémentaire, on a le désir de passer de l’interprétariat à la création, et on a les moyens pour le faire, parce qu’on a tous les deux cette envie-là ». Et on s’est mis tous les deux à écrire, et on a fait ce film.

J.J.-L. : Jérémie, alors, depuis toujours vous vouliez être réalisateur, et ça y est, enfin !

J.R. : Depuis l’enfance, je ne sais pas d’où ça vient, j’ai envie de filmer, de raconter des histoires... Quand on a fait le film « Nue Propriété », de Joachim Lafosse, on s’est très vite rencontré dans le travail, et on s’est dit que nos différences et nos ressemblances pouvaient s’assembler et créer quelque chose. Ça part surtout d’une envie très simple, de prendre du plaisir et d’imaginer un film ensemble. Très vite, ce sujet s’est mis en place, parce que ce sont des choses qui nous traversaient nous, Jérémie et Yannick, dans nos vies respectives, l’un et l’autre face à la famille, face au travail, face à la réussite. Et tous ces points-là, on s’est dit : « Tiens, c’est intéressant, comment on peut mettre tout ça dans un film ? ». ¢

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Déco

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VISITE PRIVÉE

VISITE

UNE OASIS AU MILIEU DE GUÉRANDE Contemporaine et pleine de chaleur

Une grande maison contemporaine à quatre cents mètres des remparts de Guérande et à portée de vélo du Croisic. C’est ici qu’un couple de Nantais a décidé de bâtir sa maison de rêve, 350 m² au milieu d’un parc. Pourtant, le terrain, une ancienne carrière, était loin d’être accueillant. Mais tout est possible quand on a des envies... et des idées !

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VISITE PRIVÉE

La pièce de vie mesure 180 m² d’un seul tenant. La cheminée centrale, dessinée par le propriétaire, ne sert qu’à l’agrément et à structurer l’espace.

Une végétation sauvage et un trou énorme. C’est sur ce terrain totalement atypique que la propriétaire jette son dévolu, après des mois de recherches infructueuses. « J’ai fait toute la presqu’île, de Saint-Marc-sur-Mer au Croisic, mais je n’ai rien trouvé. Ici, j’ai eu un coup de cœur, et mes enfants aussi », se souvient-elle. Cet endroit, à quelques centaines de mètres des remparts de Guérande, est une ancienne carrière. Certaines de ses pierres ont été utilisées pour bâtir la collégiale Saint-Aubin, l’un des joyaux de la ville. Il faut un peu d’imagination pour voir le lieu sans ronces et capable d’accueillir une vaste demeure. Ça tombe bien, le couple de propriétaires en a à revendre. Suffisamment, en tout cas, pour convaincre l’architecte des bâtiments de France d’accepter un projet très contemporain sur cette zone classée.

C’est le propriétaire qui a entièrement dessiné le lieu. « Je voulais un côté dedans-dehors et un mono-espace pour la pièce de vie », explique-t-il. Cette volonté de faire rentrer l’extérieur à l’intérieur est superbement aboutie. Un bandeau de verre ceinture tous les murs périphériques, juste sous le toit. L’effet est incroyable. Cet aspect est encore souligné par le choix des baies à galandage, qui s’effacent totalement dans les murs. « Le résultat, c’est comme un appartement qui « flotte » au-dessus du terrain, entre les arbres, baigné de lumière naturelle », sourit-il. Le côté naturel se ressent également à l’intérieur. La maison a été bâtie avec une structure bois et est chauffée par géothermie. « La structure en bois est incomparable. Il n’y a pas de conductivité électrique. À mon sens, elle permet de mieux vivre et de mieux dormir que dans une structure en béton et métal. De plus, le bois est un excellent régulateur à tous niveaux », souligne le propriétaire.

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VISITE PRIVÉE

Au niveau de la pièce de vie, une aile entière a été dévolue aux enfants du couple. Elle est totalement indépendante, accessible directement depuis l’extérieur ou le soussol. Deux chambres et une salle de bains entourent une pièce de vie avec coin cuisine. De quoi envisager des séjours prolongés en toute intimité.

Au rez-de-jardin, à côté du garage double, une autre cuisine, réservée aux beaux jours, ainsi qu’une immense salle entourent la piscine chauffée et sa terrasse orientée vers le soleil. C’est de là que part la promenade dans le parc de 3 000 m², entièrement imaginé et végétalisé par la propriétaire après des mois passés à lutter contre les ronces, sécateur en main. Le résultat est magnifique.

La propriétaire a su jouer avec les contraintes de ce jardin pour créer une oasis à l’abri des regards.

La plupart des meubles ainsi que les jardinières ont été dessinés par le propriétaire, autodidacte, qui s’est formé au contact de Jean Nouvel ou d’Alexande Chemetoff.

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VISITE PRIVÉE

On peut décider de prendre l’ascenseur qui dessert les trois niveaux, pour accéder à la suite parentale. Vue de l’extérieur, elle se fond dans le décor. Toute cette partie a été revêtue de verre réfléchissant qui la fait disparaître de l’environnement. À cet étage, sur un magnifique parquet en érable, on trouve un grand dressing, une chambre qui débouche sur une nouvelle terrasse avec une vue époustouflante sur le marais, et une salle de bains. Un lieu intime et ouvert à la fois.

Cette maison est aujourd’hui en vente.

Elle nous est présentée par Barnes Nantes - La Baule 4 place Aristide Briand - Nantes 02 72 74 89 30 14 place du Marché - La Baule 02 72 74 89 30

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ÇA BOUGE !

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THIERRY IMMOBILIER À Guérande, l’aventure continue

Patrick Delprat a le sourire en passant le témoin de la première agence immobilière de Guérande, créée il y a cinquante-sept ans, à Thierry Immobilier. « C’est une entreprise familiale comme nous, même si elle est un peu plus ancienne. C’est pour cela que nous avons choisi, avec mon frère Alain, de retenir leur offre. Nous avons le même ADN, les mêmes valeurs ».

Depuis le 1er janvier, c’est donc Thierry Immobilier qui a repris les commandes de l’agence Bel Air, à la grande satisfaction de Benoît Thierry : « Cela faisait des années que nous étions en discussion. J’appelais Patrick tous les ans, sourit-il. Nous souhaitions vraiment nous appuyer sur l’expertise qui s’est développée ici au fil des décennies, pour nous installer sur la presqu’île ». L’objectif est clair : développer l’agence en créant l’activité de syndic et en faisant progresser l’activité de gestion, dont le cabinet est numéro un sur la métropole Nantes-Saint-Nazaire.

Un troisième négociateur va également venir renforcer l’équipe du service transaction. « Lorsque nous avons décidé de nous développer hors de Nantes, nous avons d’abord choisi Saint-Nazaire, il y a sept ans. Aujourd’hui, nous sommes quinze. En venant à Guérande, nous avons choisi un autre poumon économique, avec une activité qui n’est pas uniquement

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touristique ». L’agence a déjà prévu de s’agrandir - en restant à la même adresse - pour accueillir de nouveaux collaborateurs en complément de l’équipe de six personnes déjà en place, et créer le département consacré au syndic de copropriétés. « Je pense que c’est un service qui manque, ici, aujourd’hui, souligne Benoît Thierry. Il n’y a pas de syndic dans la région guérandaise. Il va falloir du temps, mais cela a fonctionné à Saint-Nazaire : au bout de sept ans, nous gérons mille cinq cents lots de copropriétés ».

De l’autre côté du bureau, Patrick Delprat n’a aucun doute sur la réussite de l’entreprise. « J’ai vu l’évolution de Guérande en quarante ans. C’est devenu une vraie ville. Il y a beaucoup de jeunes qui viennent s’installer sur la presqu’île. D’ailleurs, nous travaillons à 80% pour des gens qui recherchent ici leur résidence principale. En ce moment, six cent vingtquatre logements sont en construction dans un nouveau quartier. Il y a vraiment une belle dynamique »

Thierry Immobilier - Agence Bel Air 8 rue Vannetaise - Guérande 02 40 24 79 49

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BIENTÔT CHEZ MOI

Fauteuil Diamant - Knoll Casaligne 13 rue de la Briquerie (ZA de Villejames) - Guérande

Fauteuil Le Cygne - Fritz Hansen Casaligne 13 rue de la Briquerie (ZA de Villejames) - Guérande

Fauteuil Volta - Fama Intérieurs Ster 9 rue de la Briquerie - Guérande

HUIT FAUTEUILS STYLÉS pour intérieur exigeant Fauteuil H. Russel (design Studio BrichetZiegler) - Versant Edition À Pas de Loup Passage du Royal, esplanade Lucien Barrière - La Baule

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Chaise noyer et cuir Shell - Rex Kralj Momi Design 64 avenue du Général de Gaulle - La Baule

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Fauteuil Helsinki - Fama Intérieurs Ster 9 rue de la Briquerie - Guérande

Fauteuil velours safran Madame De. - Cabinet de curiosités 1 place de l’Église - Le Pouliguen

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CONSEIL DE SPÉCIALISTE

UNE PISCINE qui vous ressemble

Les beaux jours arrivent. C’est le moment où l’on se dit que ce serait bien d’avoir une jolie piscine dans son jardin. Pour cette année, c’est trop tard. Mais autant s’y prendre maintenant pour être dans les temps l’année prochaine. Fabrice Drufin, à la tête de ACP (Assistance Création Piscines), nous donne ses conseils d’expert pour une piscine réussie.

Quelles étapes doit-on suivre si l’on veut une piscine chez soi ?

Le maître-mot est « anticipation ». Si vous voulez une piscine pour l’année prochaine, il faut commencer à y travailler dès aujourd’hui. La première démarche à effectuer est d’aller en mairie consulter les documents précisant ce que vous avez le droit ou pas de faire dans votre jardin, car il y a des exigences à respecter. Il faut aussi savoir que sur la côte, il n’est pas possible de prévoir des travaux entre le 1er juillet et le 31 août. Dès que le client a les informations, nous pouvons intervenir.

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Comment se passe le premier rendez-vous ?

Nous rencontrons les propriétaires pour voir avec eux l’espace dont ils disposent, ce qu’ils souhaitent, comment ils imaginent l’intégration de leur piscine dans leur jardin, etc. Généralement, ils savent quel format ils veulent. Nous les guidons sur l’implantation, le choix des équipements, etc. On leur dessine leur future piscine en direct, grâce à un logiciel. Ensuite, nous nous occupons de tout : du dossier à déposer à la mairie jusqu’à la construction de la piscine et l’aménagement paysager autour, si besoin, puisque je travaille avec un paysagiste.

À quoi faut-il penser une fois la piscine construite ?

Principalement à l’entretien. Nous proposons des contrats annuels pour la mise en route en début de saison, la mise en hivernage, l’entretien régulier, les dépannages… Nous avons un vrai suivi après la construction.

Quelle est votre construction la plus exceptionnelle ?

Les piscines ressemblent à leurs propriétaires, et pour cela, elles sont toutes différentes et intéressantes.

Personnellement, j’aime quand c’est un peu complexe, quand il y a un challenge. Je me souviens d’un chantier sur lequel une grue a dû intervenir pour passer une pelleteuse dans le jardin…

Finalement, pourquoi les gens veulent-ils une piscine ?

C’est d’abord pour avoir un endroit où se détendre. Les grands-parents imaginent leurs petits-enfants dedans.

Pour les locaux, c’est surtout un moyen d’échapper à la plage en pleine saison. Surtout, le jardin est devenu une extension de la maison, et on cherche à le valoriser.

ACP 14 route de Bugale - La Baule 09 63 44 40 01 - 06 75 07 06 59 / fabricedrufinacp@orange.fr

assistance-creation-piscines.com

Est-ce que tous les jardins se prêtent à la construction d’une piscine ?

Aujourd’hui, les terrains sont de plus en plus petits, et par conséquent, le marché de la mini-piscine évolue. Il faut savoir qu’une piscine d’une superficie au-dessous ou égale à 10 m² ne nécessite pas de déclaration en mairie. Il y a tout un champ des possibles…

Existe-t-il de nouvelles techniques dans le monde des piscines ?

De plus en plus, on propose d’installer un générateur UV pour traiter l’eau. Cela permet d’éviter le chlore.

Y a-t-il des modes dans le marché de la piscine ?

Aujourd’hui, on voit beaucoup de piscines allongées, type couloir de nage. Cela se marie très bien avec un habitat contemporain.

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CHRISTIAN FLEURS

ouvre de nouveaux horizons Après quelques travaux d’agrandissement, la boutique propose désormais un univers déco et arts de la table, pour célébrer l’art du vivre ensemble.

Si le cœur de métier de Christian Fleurs reste les bouquets et autres compositions florales, les artisans fleuristes proposent un nouvel espace dédié à « l’art du vivre ensemble, l’art du recevoir », indique le gérant Christian Pierrat. Il a remis en état une pièce lumineuse de 20 m², qui bénéficie du charme d’une verrière. Ici, un îlot central met en valeur tout ce qui concerne la maison. « J’ai une formation de tapissier décorateur et j’ai voulu associer mes deux passions : les fleurs et la déco », explique-t-il.

Associer deux passions : les fleurs et la déco On retrouve ainsi, dans cet univers, tout ce qui concerne l’art de la table, avec par exemple de la vaisselle en grès Serax. « Le grès est un matériau très noble, fin et léger, qui est remis au goût du jour », explique Christian Pierrat. Des objets déco

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sont également proposés, tels que des terrariums nippons en forme d’œufs ouverts, plus faciles à entretenir, ou encore des bougies Baobab. « Nous avons deux collections : la collection Women qui permet de financer la recherche contre le cancer du sein, et une collection éphémère appelée Trano, d’inspiration africaine ».

En développant ainsi leur commerce, Christian et Florian cherchent avant tout à créer un lieu qui leur ressemble. « De plus en plus, il me semble qu’une boutique doit ressembler à celui qui la fait vivre. Pour moi, ouvrir cet espace, c’est proposer des objets que j’aime vraiment ».

Et découvrir ainsi non seulement de nouvelles marques, mais, surtout, aller à la rencontre des artisans fleuristes. ¢

Christian Fleurs 60 avenue du Général de Gaulle - Pornichet - 02 40 61 00 70

www.christianfleurs.fr

Facebook : Christian fleurs / Instagram : @christianfleurs / Pinterest : Christian Fleurs

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BIENTÔT CHEZ MOI

MÉTAL ET BLANC Le chic intemporel

Miroir Pop - Fiam Casaligne 13 rue de la Briquerie (ZA de Villejames) - Guérande

Porte-bouteilles Barkcellar - Alessi Momi Design 64 avenue du Général de Gaulle La Baule

Bibelot poisson argenté Madame De. - Cabinet de curiosités 1 place de l’Église - Le Pouliguen

Lampe médium Pipistrello Martinelli Luce Momi Design 64 avenue du Général de Gaulle La Baule

Tables basses en fer et verre Face Mer 79 avenue du Général de Gaulle Pornichet

Lampe Postkrisi - Catellani & Smith Casaligne 13 rue de la Briquerie (ZA de Villejames) - Guérande

Banc en tissu et fer forgé Face Mer 79 avenue du Général de Gaulle - Pornichet

Pot impression graphique Madame De. - Cabinet de curiosités 1 place de l’Église - Le Pouliguen

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BIENTÔT CHEZ MOI

L’ÉLÉGANCE DU NOIR

Crâne clouté Madame De. - Cabinet de curiosités 1 place de l’Église - Le Pouliguen

Lampe à poser (collection Okio) Concept verre Intérieurs Ster 9 rue de la Briquerie - Guérande

Pot en métal Madame De. - Cabinet de curiosités 1 place de l’Église Le Pouliguen 110

Coupe à fruits Joy - Alessi Momi Design 64 avenue du Général de Gaulle La Baule

Coupe à fruits La Stanza - Alessi Momi Design 64 avenue du Général de Gaulle La Baule

Lampe à poser métal Madame De. - Cabinet de curiosités 1 place de l’Église - Le Pouliguen

Chaise Belleville - Vitra Casaligne 13 rue de la Briquerie (ZA de Villejames) - Guérande

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LE CHOIX SANS L’EMBARRAS chez Intérieurs Ster

Les meubles Ster, c’est une histoire de famille. D’ailleurs, le nom du magasin n’est autre que la contraction de celui de Fabienne Sabater, de son époux et de leur fille, Coline, qui travaille avec eux. Après avoir quitté leur magasin de l’avenue de la République à Saint-Nazaire, où l’aventure a commencé il y a dix-sept ans, les meubles Ster ont investi un espace de 1200 m² à Guérande. Mais si le lieu change, l’ADN reste. « Mon mari est ébéniste de formation. Au-delà du design, il s’est toujours attaché à la qualité de fabrication des meubles que nous vendons ». Évidemment, depuis l’origine, le choix de meubles a évolué. « Nous avons des collections modernes et contemporaines, et en même temps, des meubles de charme. Ça va du canapé contemporain à la bergère de style, sourit Fabienne Sabater. Nous suivons les tendances et nous présentons des nouveautés en permanence ». Au gré des salons, les coups de cœur de Fabienne et de son équipe, dont sa fille Coline, viennent donc habiller le magasin, chaleureux et plein de couleurs. « Tout ce qui est dans le magasin, nous l’avons choisi. Rien ne nous est imposé. Ici, nous avons créé des ambiances et des mélanges de styles qui permettent de se projeter. C’est cette diversité qui nous donne la possibilité de meubler à la fois un jeune couple qui s’installe, ceux qui veulent tout changer, ou une maison de vacances ».

Aider à oser Au-delà du choix de meubles durables et aux prix cohérents, ici, on se concentre sur le conseil. Cela commence dès l’entrée du magasin et l’accueil par l’équipe de conseillers, et cela va jusqu’à la livraison et l’installation, réalisées par une équipe de professionnels. Pour Françoise Sabater, c’est un accompagnement nécessaire : « J’aide les clients à cerner leurs envies, je prends en compte leur personnalité. Il faut écouter, rentrer dans leurs vies, et au bout d’un moment, le déclic se fait. On part d’un élément, une table, un canapé, et tout en découle : tapis, tableau, luminaire... C’est par le meuble qu’on personnalise son intérieur ». C’est aussi pour cela que les meubles Ster osent mettre en avant des ambiances colorées. « On n’a pas peur de montrer aux gens qu’il faut oser dans la couleur, les ambiances. Ça peut être un élément comme un tapis de couleur Lesage. Cela permet, en un clin d’œil, de transformer un salon très classique ».

C’est l’avantage de pousser la porte d’un commerçant 100% indépendant.

Intérieurs Ster 9 rue de la Briquerie - Guérande 02 51 76 98 51

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CONSEIL DE SPÉCIALISTE

MOBALPA

La qualité et le service avant tout Refaire sa cuisine, créer un dressing ou des aménagements, ce sont des questions que les Français se posent tous... les quatorze ans ! C’est une moyenne, mais cela veut dire que tout le monde, un jour ou l’autre, devra se lancer dans cette aventure.

Des projets importants, pour lesquels on veut être sûr de ne pas se tromper. Et pour cela, il vaut mieux être bien accompagné. Mobalpa s’y emploie tous les jours.

Mobalpa, la marque de mobilier née dans les Alpes et qui a toujours conservé ses fabrications en France, a su se réinventer pour accompagner dans les moindres détails ses clients dans les aménagements de leurs espaces à vivre, de la cuisine à la suite parentale. « Le service au client est plus que jamais au centre de nos préoccupations, souligne Christophe Pichon, co-gérant du magasin de Trignac. Nous proposons une offre à tiroirs,

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et ce sont les clients qui décident de ce qu’ils souhaitent.

Cela peut aller de la simple fourniture de meuble sans pose à une offre clé en main, à une solution complète pour refaire et aménager un appartement ou une maison.

Nous coordonnons alors tous les travaux, du carreleur au peintre. C’est un vrai plus pour nos clients, qui savent que les dates de livraison et les prix seront respectés ».

Un travail qui se fait en plusieurs temps. Au premier rendez-vous, on se concentre sur les besoins et les envies, et au deuxième, on découvre le travail de réflexion mené par les équipes de Mobalpa. « Notre métier, ce n’est pas juste habiller un mur, assure Philippe Davy, l’autre co-gérant du magasin. C’est avant tout réfléchir aux aspects pratiques et esthétiques, savoir comment vivent les clients dans leur cuisine ou leurs espaces privés. Il faut tout imaginer, pour expliquer ensuite ce qui est possible et ce qui ne l’est pas ». C’est aussi pour cela que Mobalpa a créé un centre de formation agréé, qui permet à ses concepteurs de maintenir et de développer leurs compétences.

Des garanties à toute épreuve Mobalpa garantit sept ans son électroménager, pièces, main d’œuvre et déplacement. Les meubles sont eux garantis dix ans, et les pièces d’usure les plus sensibles, les charnières et les coulisses, sont garanties vingt-cinq ans ! Un contrat de service qui protège le consommateur sur de nombreux points - comme la garantie de remboursement de l’acompte par la marque - est également mis en place pour un achat en toute sérénité.

À Trignac, près de Saint-Nazaire, dans l’espace Mobalpa tout juste réaménagé, on peut prendre conscience de la variété des propositions et des solutions mises en œuvre par la marque et ses concepteurs. Avec une dizaine de cuisines, chacune immergée dans une ambiance qui lui est propre, ainsi qu’un appartement qui permet immédiatement d’appréhender les aménagements possibles dans les différents espaces : suite parentale, bibliothèque et salle de bains. « L’intérêt, c’est de pouvoir présenter une vision assez large de notre métier, souligne Christophe Pichon. Nous avons fait le choix d’avoir un magasin aéré, des espaces de rencontre avec nos clients qui soient les plus agréables possible, pour pouvoir échanger et partager notre savoir-faire ».

Mobalpa Rue de la Roselière (ZAC de la Fontaine au Brun) Trignac - 02 40 88 80 80

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BIENTÔT CHEZ MOI

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Lustre en bouleau - Tom Rossau Momi Design 64 avenue du Général de Gaulle La Baule

DOUCEUR ET NATURE L’éclairage crée l’ambiance

Lampe à poser Madame De. - Cabinet de curiosités 1 place de l’Église - Le Pouliguen

Lampe « Les Fables de La Fontaine » (exclusivité) À Pas de Loup Passage du Royal, esplanade Lucien Barrière - La Baule 114

Lampe à poser (collection Vallon Obscur) - Concept Verre Intérieurs Ster 9 rue de la Briquerie - Guérande

Luminaire suspension Face Mer 79 avenue du Général de Gaulle Pornichet

Lampadaire Audrey - Ligne Roset Casaligne 13 rue de la Briquerie (ZA de Villejames) - Guérande

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CONSEIL DE SPÉCIALISTE

INNOVATIONS DURABLES

chez Pain Concept Design Paysage

Pain Paysage fête ses quarante-et-un ans cette année. L’entreprise qui imagine, embellit et entretient les jardins de la baie de La Baule et de la presqu’île de Guérande, ne s’endort pas pour autant sur ses lauriers. Toujours à la pointe, elle nous dévoile les dernières innovations pour un extérieur durable et facile à vivre.

Une terrasse bois pour cinquante ans !

Le bois naturel est parfait pour habiller une terrasse. Chaleureux, agréable aux pieds nus, il avait jusqu’ici un seul défaut : il vieillissait mal. Et un peu trop vite. « Aujourd’hui, nous proposons un nouveau système de lames de terrasse basé sur des lambourdes (la charpente de la terrasse) en aluminium qui permettent de « clipser » les lames, précise Cédric Pain, le dirigeant de l’entreprise. C’est d’abord très esthétique et graphique, puisqu’il n’y a pas de vis, c’est démontable, et c’est aussi un avantage en matière de pérennité, puisqu’une ventilation optimale est garantie ». Ce sont surtout les lames proposées avec ce système qui vont garantir la durée de vie : le bois, du pin radiata, peut être traité à l’Accoya (traitement par acétylation qui offre cinquante ans de garantie) ou au Kebony (trente ans de garantie). Ce dernier traitement, par « furfurylation », consiste à densifier le bois par des résines, à base d’alcool, qui, en polymérisant, vont garantir une protection définitive contre les insectes et les champignons.

Le grès cérame s’adapte à tout Après avoir envahi les intérieurs, le grès cérame est également adopté à l’extérieur, sur les terrasses. En grand modèle, version contemporaine gris ciment ou aspect métallique, ou encore proche de la pierre naturelle, il peut aussi former des pas japonais dans le jardin. Des produits calibrés, antitache et qui ne fissurent pas.

L’acier Corten rouille pour durer L’acier Corten est utilisé par certains architectes depuis longtemps pour sa propriété unique : grâce à un ajout de cuivre, une patine de rouille apparaît et stabilise l’acier. Le Corten se décline en mobilier, pots, assises, panneaux... « C’est idéal en bord de mer où tout finit par rouiller, souligne Cédric Pain. Du coup, on joue avec cette teinte qui se marie très bien avec le vert du jardin. Les applications sont très nombreuses. J’aime particulièrement les braseros, une solution idéale pour la mi-saison, ou encore les bûchers en acier. C’est très déco, pratique, et en même temps, cela peut structurer l’espace du jardin ».

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Pain Concept Design Paysage Batz-sur-Mer 02 40 23 94 98

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ESSAI AUTO

ESSAI

BMW X2

L’audace pour seule règle Quel look ! La dernière-née de BMW a de quoi faire tourner les têtes. Le X2, son tout nouveau SUV, adopte un style clairement sportif, avec des lignes - et des couleurs audacieuses. Présenté ici dans sa version M Sport, avec un moteur diesel de 190 ch, c’est une petite bombe. Angèle Goyet, du centre d’amincissement Oméa à Guérande et lectrice assidue du magazine - l’a essayé pour vous.

Quel a été votre premier sentiment en découvrant cette voiture ?

En matière de look, j’ai vraiment été séduite. C’est dynamique, jeune, et en même temps, ce n’est pas une voiture « voyante ». La ligne est très jolie, et je dois dire que j’ai craqué sur les jantes. Elles sont hyper élégantes.

Comment s’est passée la prise en main ?

Cette voiture est très intuitive. C’est extrêmement agréable. Je suis très à l’aise, alors que je ne la connaissais pas il y a dix minutes.

Nous sommes passés dans les marais salants, un peu tortueux, et je peux dire qu’elle est aussi maniable que confortable.

Une fois sur la route, quelles sensations ?

J’ai été très agréablement surprise par la fluidité de conduite. La voiture obéit vraiment au doigt et à l’œil. J’étais un peu inquiète à l’idée de me lancer, mais on n’a pas du tout le sentiment de se retrouver dans une voiture imposante. On domine la route, légèrement en hauteur, j’adore.

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Au niveau des équipements et de la finition, qu’est-ce qui vous a tapé dans l’œil ?

La finition de l’intérieur, qui est impeccable. Les cuirs à gros grain sont à la fois discrets et fermes. Les sièges sont très confortables. Et puis, au niveau des manœuvres, la caméra de recul est un vrai plus.

La navigation sur l’écran de bord, qui se fait soit par l’intermédiaire de la molette, soit par l’écran tactile, est très intuitive.

Un détail qui fait la différence ?

C’est dur à dire, justement : il y a tellement de détails dans cette voiture ! Mais je dirais l’assistance au créneau. C’est du stress en moins au quotidien.

Où iriez-vous avec cette voiture ?

Partout ! Autant en ville que sur les grandes routes. Avec cette voiture, on peut faire des petits trajets comme de grands voyages sans problème.

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Evasion

SAINT-PÉTERSBOURG

EVASION

SAINT-PÉTERSBOURG Au confluent des Russie Si proche, et pourtant si loin. Ouverte sur l’Europe, l’ancienne capitale des tsars n’a aujourd’hui rien perdu de son éclat. Les régimes politiques qui se sont succédé ont en permanence cherché à conserver l’allant de ce qui est l’une des plus belles vitrines de la Russie. Même aux premiers temps du communisme, les palais ont été conservés, entretenus. Après la Seconde Guerre mondiale, c’est sous Staline qu’a commencé la restauration du palais d’été, en partie détruit par les nazis.

Saint-Pétersbourg, autrefois Pétrograd, autrefois Leningrad, est aujourd’hui une mégapole de plus de cinq millions d’habitants. On y croise des touristes du monde entier, les grandes enseignes internationales, l’histoire à chaque coin de rue, mais aussi des retraités qui vendent quelques patates et trois conserves, pour essayer de gagner un peu d’argent. L’ancienne capitale n’a pas encore été touchée par la gentrification qui s’est répandue en Europe dans toutes les métropoles, avec tous ces petits commerces tendance.

Si proche, et pourtant si loin, derrière les façades impeccables, on devine, dans les arrière-cours, la réalité d’une Russie pleine de contradictions. Un voyage inoubliable.

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L’Ermitage

Il faut plutôt parler DES palais de l’Ermitage. Le long de la Neva, leurs façades s’étirent sur des kilomètres, et se poursuivent à l’intérieur de la ville. Les collections présentées ici sont étourdissantes. Les plus grands noms de la peinture, Titien, Vinci, Rembrandt, mais aussi Monet, Renoir, Matisse ou Soulages, ornent les galeries sans fin. Les collections rassemblées ici après la révolution de 1917 sont celles de la famille impériale, et de toutes les familles de l’aristocratie. Les immenses bâtiments ne suffisent pas à tout présenter. Aujourd’hui, même les réserves sont ouvertes à la visite. Les bâtiments sont dans un état de conservation étonnant, et permettent de se rendre compte du faste de cette cour. Les collections sont tellement diverses qu’il vaut mieux préparer sa visite en se concentrant sur quelques points. Ou revenir. Et revenir encore.

Le palais Catherine, au village des tsars

À quelques dizaines de kilomètres de Saint-Pétersbourg, un autre palais impérial étend ses dorures à l’infini. En partie détruit pendant la Seconde Guerre mondiale, il a été minutieusement restauré depuis l’époque communiste. L’une des découvertes incroyables de la visite : le salon d’ambre. Les mosaïques des murs sont constituées d’ambre de différentes teintes. La résine fossilisée est partout, et rappelle que la Russie détient 90% des réserves mondiales d’ambre.

La fin de Raspoutine au palais Ioussoupov

Un saint ou un gros dégueulasse ? Ce prêcheur orthodoxe a divisé la Russie. Proche de la famille du tsar et de son jeune héritier, dont il était le seul à pouvoir soulager les maux - il souffrait d’hémophilie - son influence sur la famille impériale ne plaisait pas du tout à l’aristocratie. Il était contre l’engagement de la Russie dans la Première Guerre mondiale. Proche d’une doctrine qui assurait que le péché rapprochait de Dieu, on lui prête de nombreuses aventures, des beuveries et des orgies avec les personnes de la meilleure condition. Ce paysan prédicateur a été maladroitement assassiné dans un sous-sol du palais Ioussoupov, l’une des plus éminentes familles de Russie. Après avoir été empoisonné sans effet, puis touché d’une balle dans la poitrine, il est parvenu à s’échapper avant d’être abattu dans la cour de deux balles. Son corps a été jeté dans une rivière glacée, où il sera retrouvé immédiatement. Curieusement, le corps de Raspoutine a été incinéré. Seul son sexe (29 cm) a été préservé et est aujourd’hui présenté dans une clinique d’urologie de la ville. Avant de mourir, il avait fait une incroyable prédiction à l’impératrice : « Je mourrai dans des souffrances atroces. Après ma mort, mon corps n’aura point de repos. Puis tu perdras ta couronne. Toi et ton fils, vous serez massacrés, ainsi que toute la famille. Après, le déluge terrible passera sur la Russie. Et elle tombera entre les mains du Diable ». Raspoutine est mort le 30 décembre 1916. Il n’a pas été enterré. La monarchie russe a été abolie le 1er septembre 1917, et la famille assassinée le 17 juillet 1918.

La scène de son assassinat a été recréée dans le palais Ioussoupov.

Attention : elle n’est accessible que lors des visites de groupes.

Le palais Ioussoupov en lui-même permet de comprendre la fortune extrême de certaines familles aristocratiques, en passant par les salles de bal et de réception, ou par le théâtre miniature où même le tsar venait s’essayer à la comédie. urbanne

Evasion

SAINT-PÉTERSBOURG

La Russie orthodoxe

Après la chute du régime communiste, les églises ont peu à peu été rendues au culte. Les coupoles des églises et des cathédrales ont retrouvé leur éclat, après avoir parfois été reléguées au rang de simples entrepôts, comme la cathédrale Saint-Sauveur-surle-Sang-Versé, bâtie à l’endroit exact où Alexandre II fut assassiné. La portion de route où s’est écroulé le tsar est toujours visible, ceinte de mosaïques. Mijanvier, on peut assister à l’incroyable dévotion des croyants, qui vont se plonger dans la Neva glacée pour célébrer le baptême du Christ sous l’œil des caméras.

Une cérémonie qui a lieu tout à côté du tombeau des Romanov où le mystère - entretenu par l’Église - plane encore sur le fait de savoir si toute la famille impériale a été assassinée en 1918, ou si certains en ont réchappé.

Partout, ce jour-là, les églises sont pleines, l’encens brûle, et on se presse pour récupérer de l’eau bénite par litres dans un climat de ferveur incroyable.

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Evasion

SAINT-PÉTERSBOURG

Quand y aller ?

En été, les bateaux circulent sur les canaux et les rivières.

Les parcs apportent un peu de fraîcheur. Un moment formidable, sous le soleil de minuit, qu’il faut partager avec un flot d’autres visiteurs. La foule rend certaines visites compliquées. En hiver, après le Noël orthodoxe, la neige et la glace enserrent la ville. Les touristes se sont en grande partie évaporés. Mais les journées sont courtes.

Où dormir ?

Les hôtels sont légion, mais on peut s’offrir une ou plusieurs nuits dans un endroit qui est à la fois un hôtel et un monument historique : le Grand Hôtel Europe.

C’est l’un des plus anciens palaces d’Europe. Il a ouvert ses portes en 1875 sur Nevsky Prospekt, l’équivalent des Champs-Élysées de la capitale de l’empire. Tchaïkovski a passé sa lune de miel ici, Raspoutine y a dîné, tout comme Élisabeth II. La salle de restaurant, inchangée, accueille chaque semaine des dîners de gala avec musiciens, chanteurs et couples de danseurs. Bar à caviar sous un gigantesque toit de verre, bar à cocktails... On croise ici l’élite de la société russe actuelle.

On ramène quoi ?

Bien sûr, il y a le caviar - que l’on peut même trouver sur le marché - ou la vodka. Une belle découverte également : les vins russes ou géorgiens. On trouve également (à tous les prix) de magnifiques matriochkas peintes à la main dans les environs de Moscou, et même des matriochkas à peindre, ce qui occupera les enfants.

Ce reportage a été réalisé avec la complicité des Carnets de Magellan, une agence de voyage indépendante qui propose des voyages sur-mesure uniquement dans les régions connues et reconnues par ses dirigeants.

www.lescarnetsdemagellan.fr 124

LA BAULE Rien que pour vous VOTRE APPARTEMENT

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CA VIENT D’OUVRIR / CA VIENT DE CHANGER

L’Officine Bauloise

BY MORGANE ET DIMITRI - DEPUIS FÉVRIER 2018

À Pas de Loup

BY XAVIER - DEPUIS AVRIL 2018

Le parfum sous toutes ses formes Dans une ambiance rock, différents effluves émanent de cette petite boutique : des parfums pour la peau, bien sûr, mais aussi du liquide vaisselle parfumé en bouteille pompe, des bougies, de l’encens, des soins capillaires ou pour le visage… Ici, chaque produit raconte une histoire. Celle des parfums Room 1015, en référence à une chambre du Continental Hyatt des années 70 régulièrement saccagée par les rockeurs. Celle encore des parfums Art Meets Art, au nom de chansons. Le tout sublimé par une déco noire et dorée.

Décoration et aménagement Dans cette nouvelle boutique, le décorateur Xavier Leu exprime sa vision de la déco : luminaires, objets, peintures aux pigments naturels, coussins, mobilier… Il met un point d’honneur à proposer des articles que l’on ne trouve pas ailleurs. S’il crée différentes ambiances au sein de son showroom, il sait aussi conseiller et guider les clients pour l’aménagement de leurs pièces. En étant à l’écoute, il peut intégrer d’anciens meubles, qu’il met au goût du jour, dans une nouvelle décoration, ou dessiner de nouveaux meubles.

Mantra : « Une parfumerie hors du temps dans une ambiance rock chic »

Mantra : « Des pièces intemporelles et une touche de fantaisie »

Passage du Royal (rez-de-chaussée), La Baule - 02 40 01 26 90 Mardi : 14h30-19h. Du mercredi au jeudi : 10h30-19h Instagram : @lofficinebauloise

Holen

BY STÉPHANIE - DEPUIS MARS 2018

Passage du Royal (rez-de-chaussée), La Baule - 09 71 22 33 76 Du mardi au dimanche : 10h-13h / 15h-19h www.a-pas-de-loup.com / Facebook : Décoration Apasdeloup LaBaule

Oscar

BY ARNAUD - DEPUIS MARS 2018

Spa Une déco aux teintes bleues comme la mer, blanches comme le sel et roses comme le coucher du soleil. Ici, tout est fait pour ressentir les bienfaits des marais salants jusqu’au plus profond de nos corps.

Des soins simples, tels les gommages au sel de Guérande ou les enveloppements aux algues, ancrent le spa dans son territoire. Le bien-être est au cœur des préoccupations avec le sauna, le hammam, le jacuzzi six places et le seau d’eau. Sans oublier le moment d’évasion devant le mur de sel, véritable source d’énergie riche en sels minéraux et oligo-éléments.

Concept store masculin Oscar, c’est l’endroit idéal pour les hommes élégants et curieux de tout. Vêtements (Aviator Nation, Cuisse de Grenouille), chaussures (Rivieras), accessoires (ceintures Andersons), maroquinerie, rhum (Arhumatic), cosmétiques (Bivouak), vélo, casques, livres (Taschen)… le maître des lieux choisit de beaux produits de qualité qui feront de nos garçons, des hommes heureux ! Dans une boutique chaleureuse avec son parquet et ses grands meubles en bois, les articles, de préférence français, ont trouvé un écrin dans lequel ils sont sublimés.

Mantra : « Tous les bienfaits du sel »

Mantra : « La passion des belles choses »

2 place Dolgellau, Guérande - 02 40 53 52 56 Du lundi au samedi : 10h-13h / 14h-19h. Dimanche : 10h-13h www.holenspa.fr / Facebook : Holen Spa / Instagram : @holen_spa

11 avenue Marie-Louise, La Baule - 02 40 60 10 18 Du lundi au dimanche (pendant l’été) : 10h-13h / 15h-19h Facebook : Oscar / Instagram : @oscarlabaule

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CA VIENT D’OUVRIR / CA VIENT DE CHANGER

Samanta

BY MARTINE - DEPUIS MARS 2018

Thierry Immobilier

BY BENOÎT - DEPUIS JANVIER 2018

Prêt-à-porter féminin Que vous cherchiez une tenue sport chic ou plus habillée, des vêtements pour le week-end, pour le travail ou pour une cérémonie, vous êtes au bon endroit ! Dans cette boutique multimarques chaleureuse et accueillante, l’éventail des produits est large avec des marques comme Vanessa Bruno, HIGH ou encore Ermanno Scervino, à partir du 34. En plus du prêt-à-porter, vous y trouverez également des accessoires et des chaussures. Et grâce aux conseils de Martine et de ses équipes, vous serez la plus belle cet été !

Agence immobilière Depuis 1963, cette agence familiale s’appelait Delprat Immobilier et était tenue par deux générations. Rachetée par une entreprise créée en 1924, dirigée aujourd’hui par l’arrière-petit-fils, l’agence a gardé son esprit familial. Les agents prennent le temps d’écouter leurs clients, que ce soit pour une vente, une location ou une gestion de location. L’équipe, inchangée et renforcée, apporte une vraie expertise, car elle connaît parfaitement le marché sur la côte. À noter : l’agence va développer la partie syndic de copropriétés.

Mantra : « Des conseils sur-mesure »

Mantra : « Écoute, rigueur et convivialité »

3 avenue Pierre Loti, La Baule - 02 40 60 89 11 Du lundi au dimanche : 10h30-13h / 15h-19h Facebook : Samanta La Baule

8 rue Vannetaise, Guérande - 02 40 24 79 49 Du lundi au vendredi : 9h-12h30 / 14h-19h. Samedi : 9h-12h30 / 14h-18h www.thierry-immobilier.fr / Facebook : Thierry Immobilier

Pur Salon

BY CYRIL - DEPUIS FÉVRIER 2018

Salon de coiffure et spa du cheveu En poussant la porte, vous n’entrez pas dans un salon de coiffure comme les autres. Ici, les soins sont ayurvédiques et traitent les cheveux en profondeur. Les produits Aveda utilisés contiennent jusqu’à 98% d’ingrédients d’origine naturelle. La prise en charge commence par un rituel : une tasse de thé est offerte et un massage du cuir chevelu et des épaules avec une huile sensorielle est prodigué. Si vous optez pour une coloration, on vous massera même les mains durant le temps de pose. Le + : le salon est aussi barber shop.

Mantra : « Le bien-être du cheveu dans une ambiance zen » 12 avenue Lajarrige, La Baule - 02 40 24 01 02 Du mardi au samedi : 9h30-12h / 14h30-19h Facebook : Salon Pur

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Barnes

BY ÉTIENNE - DEPUIS MAI 2018

Transactions immobilière internationales Présente dans une trentaine de pays, cette agence de référence sur le marché du haut de gamme accompagne et conseille ses clients sur leurs problématiques immobilières dans le monde entier : là où ils vivent, là où ils travaillent, là où ils voyagent et là où ils investissent.

Grâce à son réseau de bureaux et ses collaborateurs expérimentés, Barnes offre un accompagnement privilégié et personnalisé en s’occupant de tout : du financement aux assurances, en passant par la décoration et le déménagement.

Mantra : « Vision mondiale, savoir-faire local » 14 place du Marché, La Baule - 02 72 74 89 30 Du lundi au samedi : 9h-19h. Dimanche matin www.barnes-nanteslabaule.com / Facebook : Barnes Nantes-La Baule

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St-Nazaire Et Guéran

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CA VIENT D’OUVRIR / CA VIENT DE CHANGER

Chez Paulette

BY FRÉDÉRIC - DEPUIS MARS 2018

Épicerie fine Chez Paulette, on trouve tout ce qui fait un bon apéro ou un goûter gourmand, préparés par de petits producteurs locaux, mais Italiens ou Espagnols. Les amateurs de sucré se régaleront avec les confitures de Mimi, ou les sablés bretons au blé noir signés Chez Paulette. Ceux qui préfèrent le salé saliveront devant les chips de blé noir, les produits de la mer de la Compagnie Bretonne du Poisson ou les pâtés aux légumes. Sans oublier le cidre ou le rhum. Bref, on est prêt pour un moment convivial ! Le + : possibilité de livraison locale.

Mantra : « L’épicerie des gourmandises sucrées et salées » 92 avenue du Général de Gaulle, Pornichet - 02 40 15 33 28 Du mardi au samedi : 10h-12h30 / 15h-19h30. Dimanche : 10h30-12h30 www.chezpaulette.eu / Facebook : Chez Paulette

Les Cocottes

BY HUGUES - DEPUIS AVRIL 2018

Face Mer

BY EMMANUEL - DEPUIS MARS 2018

Décoration et aménagement Cette nouvelle entité est issue du regroupement de deux boutiques : Meubles par Face Mer et Face Mer, qui était orienté sur la déco.

Aujourd’hui, l’adresse propose des ambiances différentes dans lesquels les styles sont mélangés. Ainsi, une étagère indus’ peut se retrouver dans un aménagement plus classique. Les couleurs sont aussi mises en valeur par touche, comme pour ne pas oublier de se sentir bien chez soi… La boutique privilégie également les objets déco utiles, tels ces pics pour l’apéro en forme de sardines ou ce couteau Opinel aux couleurs chatoyantes.

Mantra : « Des ambiances cosy et colorées » 79 avenue du Général de Gaulle, Pornichet - 06 99 75 19 25 Du mardi au samedi : 10h-13h / 15h-19h. Dimanche : 10h30-13h. Ouvert le lundi durant la saison Facebook : Face mer villa Ker Emmanuel / facemer@wanadoo.fr

Delvigne-Delanoë

BY MICKAËL - DEPUIS FÉVRIER 2018

Prêt-à-porter féminin Des imprimés colorés, des tissus fluides, des coupes très féminines…

Dans cette nouvelle boutique cosy et chaleureuse, il y a tout ce qu’il faut pour se créer le look estival parfait. Avec des coloris variés, vous trouverez certainement le top dont vous rêviez, la veste coupée à la perfection ou la robe légère idéale pour l’été. Et pour compléter votre tenue, sacs et foulards sont à votre disposition ! Petite précaution à prendre : avec l’arrivage régulier de nouveautés, vous risquez vite de devenir accro !

Décoration, peinture, papiers peints Cette enseigne, créée en 1931, a récemment quitté la place du Marché de Pornichet pour intégrer un endroit plus fonctionnel. La nouvelle adresse permet de développer la partie sol avec diverses propositions (lame bois PVC, parquet, moquette…). Les peintures et papiers peints restent bien sûr le cœur de métier de DelvigneDelanoë. Le client peut choisir d’appliquer ses peintures ou de poser ses papiers peints lui-même, mais il peut aussi profiter du savoir-faire des peintres de la maison.

Mantra : « Féminité chic »

Mantra : « Accueil et professionnalisme »

30 avenue du Général de Gaulle, Pornichet - 02 57 71 00 90 Du mardi au samedi : 10h-13h / 15h-19h Facebook : Cocotte Pornichet / Instagram : @lescocottespnt / lescocottespornichet@gmail.com

3 avenue du 18 juin 1940, Pornichet - 02 40 61 22 62 Lundi, mardi, jeudi, vendredi : 9h-12h / 14h-17h. Mercredi : 9h30-12h.

Samedi et hors horaire d’ouverture sur rendez-vous www.peinture-delvigne-delanoe.fr

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