Vous vous demandez sûrement ce que signifient les chiffres de ce titre ? En lettre hébraïque, ce chiffre a la même valeur numérique que «םימיה תירחאב דוד ןב», Ben David, le Mashiah à la fin des temps.Les valeurs numériques m’ont toujours intriguée. Chaque fois qu’il arrive quelque chose - de bien ou moins bien - j’essaie de trouver la Guématria de l’évènement.
Un attentat catastrophique a une fois de plus frappé le pays. Cette fois-ci à Jérusalem, notre capitale. Nous nous sommes réveillés au son de dizaines de sirènes d’ambulances et des flashes infos. Encore un moment déchirant qui nous ramène aux mauvais souvenirs de l’époque de notre Alya. En 1990, en pleine intifada, c’était quasiment chaque jour que les bus explosaient. Un ange est parti : un jeune garçon de 16 ans, Arié Sheshopek, zal. Il attendait le bus avec son ami - actuellement hospitalisé dans un état grave - lorsqu’une la bombe a explosé.
Il a malheureusement perdu la vie dans des circonstances dramatiques, en raison de la haine aveugle. Et je ne parle pas des blessés et des personnes traumatisées.
Tellement de questions, de colère, de larmes ! C’est tout simplement inexplicable. Comment avancer après un tel drame ? Nous avons choisi la vie ! C’est en pleurs que j’ai consulté l’application digitale consacrée à la valeur numérique des lettres et des phrases afin de les interpréter. J’ai essayé de - peut-être - comprendre l’incompréhensible. En inscrivant les nom et prénom en hébreu de notre jeune victime, j’ai obtenu le chiffre 792. Un chiffre similaire à la phrase : Ben David, le Mashiah à la fin des temps.
Vous pouvez vérifier : קפו’צש הירא et םימיה תירחאב דוד ןב.
Est ce un signe caché annonçant la fin des temps, ainsi que l’ont prédit nos prophètes ? Personne n’est en mesure de répondre. Ce que je sais, ce que je sens, c’est que ce n’est pas une simple coïncidence.
Repose en paix Tsadik, au Gan Eden, auprès du Maître du monde.
La fête de Hanouka se célèbre toujours à la période de l’année où le soleil se lève le plus tard et se couche le plus tôt. Enfin Hannouka, qui vient marquer la victoire de la lumière contre l’obscurité. C’est justement dans ces moments où nous ne voyons pas d’issue, qu’apparaît toujours cette petite flamme, la délivrance.
H’anouka Saméa’h
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Il y a 10 ans, à la même époque, jeune commandant de compagnie de 24 ans au sein de Guivati, Ziv Shilon est gravement blessé à Gaza : il perd sa main gauche et la droite n’est sauvée qu’au prix de nombreuses opérations. Il a accepté de se livrer à notre magazine Trouver en Israël, dans un entretien qui dévoile une réalité difficile mais un espoir et une leçon de vie qui montre une grandeur que seul notre pays sait dévoiler. Ziv nous raconte cette nuit d’octobre 2012 où sa vie a basculé...
Sarah Ben Abramowicz : Vous avez récemment écrit que ce sont les gens qui vous ont transformé en Superman. Qu’entendez-vous par là ?
Ziv Shilon : Pendant mon service militaire j’ai don né beaucoup pour le pays et les habitants d’Israël. À l’armée on ne se pose pas vraiment la question de qui sont les personnes qui se tiennent derrière les fron tières que l’on garde. On pense juste à une masse de gens quelconque en dehors de sa famille et de ses proches. C’est seulement après avoir été blessé que j’ai reçu en retour. Des gens de tout Israël et même des Etats Unis, m’ont rendu visite et m’ont accom pagné pendant ma convalescence. Cette expérience a ancré plus profondément le lien que j’ai avec le peuple d’Israël. Ce soutien a éveillé en moi un sen timent de responsabilité personnelle et collective en tant que soldat de montrer qu’on ne se laisse pas abattre et que tout est réalisable. J’ai voulu créer un précédent pour les autres soldats avec des blessures ou des traumatismes. Si je par venais par mes succès à leur transmettre que tout est réalisable, qu’on peut créer une nouvelle réalité et qu’en dépit des douleurs et des difficultés, il était toujours possible de se focaliser sur les bons côté et de propager le bien, ils pourraient surmonter les épreuves avec plus de facilité. C’est devenue pour moi une mission beaucoup plus importante qu’une simple convalescence suivie d’un retour à une vie pseudo-normale. Si j’ai pu passer d’handicapé à hé ros c’est uniquement grâce aux soutiens que j’ai reçu de la part des gens.
S.B.A. :Que ressentez-vous en regardant dix en ar rière, depuis l’époque de votre blessure ?
Z.S. : J’ai l’impression d’être né à nouveau. Je me sou viens très bien de ce qui s’est passé. C’était long. J’ai été blessé par une explosion pendant une mission à Gaza. J’y ai laissé ma main gauche et celle de droite était en lambeaux. J’avais pris la décision de laisser mes soldats sur place en couverture et à l’abri des sni per ennemis Je me suis évacué tout seul. Je me sou viens avoir récupéré ce que je pouvais de ma main et d’avoir couru en direction de la frontière pour rentrer en Israël. Mon plan était de rejoindre un poste de commandement à la frontière pour demander un ap pui de blindés de sorte à pouvoir retirer mes soldats en toute sécurité.
S.B.A. : Comment êtes-vous parvenue à garder la tête froide et à continuer à donner des ordres dans une telle situation ? Z.S. : Je ne sais pas. J’ai probablement reçu une aide du ciel. Je suis quelqu’un de croyant, je pense que si je suis resté en vie c’est que D. avait encore une mission pour moi. Je ne connais pas beaucoup de personnes qui se font souffler par trois kilos d’explosifs et qui par viennent à traverser un champ de bataille en courant. Ce n’est pas quelque chose humainement possible. J’entend que l’adrénaline ou les entrainement aident mais à tel niveau, je n’y vois qu’une intervention divine.
S.B.A. : Comment s’est déroulée votre convalescence ? Z.S. : J’ai traversé plusieurs phases. Dans les premiers
mois j’avais du mal à comprendre ce à quoi je devrais faire face à présent. J’ai subi une quinzaine d’opéra tions en deux semaines. J’ai reçu une cinquantaine de poches de sang. J’étais entre la vie et la mort pendant longtemps alors au début j’étais juste occupé à rester en vie.
plus grands que moi m’a empêché de sombrer dans la dépression. J’ai fini par arrêter d’aller en rééducation et j’ai relégué mes opérations chirurgicales au second plan. Ma blessure avait cessé d’être ma préoccupa tion principale et c’est comme ça que j’ai pu retrouver une vie normale.
« Je me souviens avoir récupéré ce que je pouvais de ma main et d’avoir couru en direction de la frontière pour rentrer en Israël »
Ensuite quand ma situation s’est stabilisée et que les mois ont passé, les amis et les proches ont repris leur routine et je me suis retrou vé seul quelque fois avec du temps pour penser. En paral lèle j’ai commencé à prendre conscience de ma nouvelle condition, des difficultés pour manger ou me doucher. Je re gardais ma main et je consta tais qu’elle restait immobile. Les gens étaient moins pré sents et je devais désormais me débrouiller seul pour les tâches quotidiennes. C’était l’étape la plus difficile à surmonter.
S.B.A. : Vous êtes-vous senti seul ?
Z.S. : Ma famille a toujours été à mes côtés donc je n’ai jamais ressenti de solitude. Mais après plu sieurs mois où j’étais le centre de l’attention des mes proches, non seulement je prends conscience du sens de mon infirmité mais aussi je perds l’attention que j’avais. C’était vraiment une étape critique dans ma convalescence. C’est une épreuve que chaque soldat grièvement blessé traverse, tôt ou tard.
S.B.A. : Combien de temps êtes-vous resté à l’hôpital ?
Z.S. : J’ai passé un an à l’hôpital et ensuite j’ai conti nué de recevoir des soins quotidiens pendant près d’un an et demi.
S.B.A. : Comment s’est déroulé le retour à la vie ‘normale’ ?
Z.S. : J’ai une prothèse à la main gauche et je peux à peine bouger ma main droite. J’avais compris que si je restais seul à la maison je deviendrai fou. Alors j’ai décidé d’étudier le droit à l’université, trois semaines après avoir quitté l’hô pital. En parallèle de mes études je continuais de subir des opérations à la main.C’est cette décision qui m’a per mis d’arrêter de me comparer à ce que j’étais avant ma blessure et de pouvoir enfin aller de l’avant.
J’ai aussi créé un programme pour les soldats invalides qui se base sur ma propre expérience. Je me suis rendu compte que le meilleur moyen de se rétablir d’une blessure est de continuer à vivre sa vie et d’être actif. Celui qui se morfond et s’apitoie sur son sort à très peu de chance de s’en sortir. Le fait d’être occupé par des projets
S.B.A. : Quelle est votre situation familiale actuelle ? Z.S. : Celle qui était ma petite amie pendant trois ans et devenue ma femme deux ans après l’incident. Nous avions des discussions sur le sujet à plusieurs, je lui ai plusieurs fois demandé de me laisser et de continuer sa route. Je n’étais plus la personne qu’elle avait connu, vivre avec quelqu’un dans ma situation est quelque chose d’absolument pas évident. Mais elle a toujours refusé de partir. C’est un merveilleux message d’amour et de don de soi. Jusqu’à présent, elle est mon soutien le plus précieux et le plus infail lible. Nous avons aujourd’hui deux enfants.
S.B.A. : Qu’avez-vous accompli depuis votre sortie de l’hôpital ?
Z.S. : J’ai terminé une licence en droit, puis j’ai créé un programme social pour les jeunes placés en centre de détention pour mineurs avec des entraîne ments préparatoires à l’armée au sein même de ces prisons. En partenariat avec IDC, nous avons fondé le programme « Shorashim » (racines) qui vise à ai der les soldats blessés après leur rééducation pour trouver une orientation professionnelle et accéder à des études supérieures puis les intégrer dans le marché du travail. J’ai monté une start-up qui a été rachetée par une grande compagnie australienne. J’ai eu un long parcours dans le monde des affaires. J’ai pu accomplir le défi Ironman qui est la compé tition sportive la plus difficile qui soit. Elle comporte une nage de 4 km suivie d’une course de 180 km en vélo pour finir avec un marathon de 42 km en cou rant. C’est un défi que seules huit personnes dans le monde dans la même situation que moi ont accom pli. Je ne suis pas spécialement un mordu de sport, je voulais juste prouver que c’était faisable et rester
en action. Ma femme pense que c’est une forme de fuite pour échapper à la réalité. Elle a probablement raison, mais au moins c’est une fuite qui me permet d’accomplir de bonnes choses et m’éloigne de la dé pression. Tout le monde traverse des épreuves plus ou moins difficiles dans sa vie, il faut juste trouver la façon de les surmonter.
S.B.A. : Avez-vous découvert de nouvelles amitiés depuis votre séjour à l’hôpital ?
Z.S. : Les gens qui sont le plus restés à mes côtés par mi mes amis durant ces mois d’hospitalisation ont été mes camarades de l’armée, mes frères d’armes. Ils restaient jours et nuits avec moi, me donnaient à manger, m’aidaient à me laver et même m’accom pagnaient aux toilettes. C’est un lien indescriptible. Ces personnes sont encore mes meilleurs amis aujourd’hui et je les considère plutôt comme des membres de ma famille à part entière.
S.B.A. : Vous avez posté récemment sur Facebook. On aurait pu s’attendre à un énoncé des difficultés propres à votre situation de handicap mais il s’agissait d’un message de remerciements et d’ex pression de votre joie de vivre.
Z.S. : J’aurai pu à chaque fois me plaindre de ma si tuation et avec raison mais j’ai préféré voir le verre à moitié plein. Il vaut mieux se focaliser sur la petite lu mière même si on se trouve dans une grande obscu rité. Je pense que c’est vrai pour toutes les étapes de la vie. J’ai traversé beaucoup d’épreuves, entre autres le décès de ma mère d’un cancer pendant ma convales cence, la perte d’un ami au Liban ou encore le handi cape qui accompagne ma fille depuis sa naissance. À chaque fois je me force à chercher le bon côté de ces épreuves. Je ne trouve pas toujours mais au moins je ne me concentre pas sur la difficulté.. Certaines personnes ont tout mais sentent qu’ils n’ont rien. En parallèle, il existe des gens qui n’ont rien mais qui sourient continuellement. Tout dépend de la façon dont on aborde la vie.
S.B.A. : Sur cette même page de Facebook, qui est d’ailleurs suivie par plus de 70 000 personnes, vous laissez souvent des coups de gueule. Qu’est ce qui vous énerve au sein de la société israé lienne ?
Z.S. : J’ai du mal avec le fait que les gens n’acceptent plus les points de vue dif férents des autres. Je ressens comme une véritable scission dans la société. Avant, le discours était plus respectueux, plus retenu. Cette haine qui prend sa source dans les différences de visions de monde et d’idéologies des habitants nous ronge de l’intérieur et brûle notre société. Un autre point qui me dérange est le fait que nous vivons une période où les politi ciens se préoccupent davantage de leur siège que du bien des citoyens. On voit de plus en plus de popu lisme, chacun essaie de se rattacher à une partie de la société, non pas de façon à faire avancer les choses mais en y voyant un moyen d’amasser plus de voix. Je pense qu’un représentant de l’Etat doit faire avant tout pour l’État. Pas pour son intérêt personnel ou son statut.
S.B.A. : Envisagez-vous de vous lancer dans la politique ? Z.S. : Aujourd’hui il existe d’autres domaines qui per mettent d’influencer et de changer les choses, parfois avec plus de succès que les politiciens. Je n’exclus ce pendant pas la possibilité d’entrer dans la politique à l’avenir. J’ai appris beaucoup de choses au cours de mes projets sociaux et des entreprises que j’ai fon dées et je pense que si un jour j’en ressens l’envie, je tenterai de faire avancer les choses également sur le plan politique.
S.B.A. : Quelle est votre position sur le traitement des handicapés de l’armée ? Z.S. : Il y a de nombreuses réformes à faire sur le sujet, notamment pour faci liter les procédures d’obtention de statut. On m’a donné la possibilité d’y jouer un rôle et je travaille dessus. Il y a eu cer taines avancées mais la route est encore longue. Ce qui était le plus énervant pour moi c’est qu’on ne pouvait absolument rien faire dans le pays tant qu’il n’y avait pas de gouvernement stable. Lorsque le premier ministre change tous les deux jours, il est impossible d’avancer sur des projets de loi. J’espère que la fondation de ce nouveau gouvernement stable nous donnera enfin l’occasion d’accélé rer le processus.
« Certaines personnes ont tout mais sentent qu’ils n’ont rien. En parallèle, il existe des gens qui n’ont rien mais qui sourient continuellement. Tout dépend de la façon dont on aborde la vie »
PAR HAVA OZ
Voici le fabuleux défi que Yehouda Ohanna s’est fixé. Un challenge salué et sponsorisé par Torah Box, soutenu par toute notre communauté dont Trouver En Israël.
Faire le plein d’endorphines, c’est maintenant ! Et votre Neshama n’en sera pas en reste, je vous préviens !
Hava Oz : Très heureuse de faire votre connaissance Yehouda Ohanna. Votre projet suscite beau coup d’engouements tant en France qu’en Israël. Nous aimerions savoir d’où vous vient ce projet ambitieux, qui êtes-vous bien entendu et comment comptez-vous le réaliser ?
Yehouda Ohanna : Je vis à Paris. J’ai 54 ans. Je suis né en Israël, arrivé en France tout de suite après mon service militaire. J’ai les 2 natio nalité, israélienne et française. Je travaille dans le secteur des énergies renouvelables et je suis cordiste, diagnostiqueur en immobilier et je réalise des audits performance énergé tique.
« Je souhaite récolter des dons et témoigner ma reconnaissance à l’association Torah box qui a soutenu ma mère »
Ce projet de voyage à vélo me tient à cœur depuis très long temps, 25 ans déjà. Enfin, je suis prêt pour le réaliser, Je suis prêt à relever le défi. Un par cours qui va démarrer à la mi-novembre, vraisembla blement le 17 à l’Ambassade d’Israël à Paris.
Je vais calculer mon trajet au jour le jour, selon les conditions météorologiques hivernales. A l’époque où je voulais partir, j’ai rencontré la mère de mes 3 enfants, Eythan, 21 ans, Noham,19 ans, et ma petite princesse Lirane âgée de 12 ans. Désormais, je suis enclin à réaliser mon rêve et je tiens à le concrétiser de façon écologique à vélo. J’ai toujours voulu que mon projet soit bénéfique à une association.
Ma mère était hospitalisée trois mois à l’hôpital Shaarey Tzedek de Jérusalem et les bénévoles de l’as sociation Torah box venaient la visiter. Ils sont par venus à rendre l’hospitalisation de ma maman plus agréable. Cela m’a beaucoup ému ! J’ai décidé que c’était avec eux que je voulais faire mon parcours. De plus, je souhaite récolter des dons et témoigner ma reconnaissance à l’association Torah box qui a soutenu ma mère. Je veux faire ce voyage pour sa bonne guérison et aider l’association à pou voir continuer à donner tant d’amour à tous. Mon but n’est pas de générer du profit. Il est non lucratif, seu lement récolter des dons à chaque kilomètre parcou ru. Je vais présenter les meilleurs moments de mon parcours en les partageant dans les réseaux sociaux et médias.
En roulant vers le Mur des Lamentations, au Kotel, sur mon dos je porterai fièrement les drapeaux israélien et français. Je mange casher et je compte respecter le Chabbat lors de mon aventure. Pour faire preuve d’économies, j’ai l’intention de dormir chez l’habitant et montrer à tous que notre société peut vivre de peu pour être heu reuse - vélo friendly - je vais me servir des applications Warmshowers & BeWelcome. J’ai tracé la route des centres communau taires juifs et les synagogues ‘Habad-Lou bavitch un peu partout comme des points de repère et des stops.
Je prévois d’emprunter la route de la Suisse, l’Italie la Grèce et la Turquie, Chypre et arriver à Haifa ou Ashdod pour enfin atteindre Jérusalem et arriver au kotel. Une cérémonie de bienvenue doit m’y attendre. Je m’équiperai le plus légère ment possible, les téfilines seront collées à moi, Concernant le voyage en mer, je compte traverser en bateau-stop avec des pêcheurs, navires marchands et des bateaux privés. Si je ne trouve pas rapi dement, je prendrai un traversier / un ferry. Un drone fera partie de mon matériel. (J’ai fait la demande d’obtenir les autorisations soit les conditions pour utiliser un drone, moins de 500g).
Je fournirai chaque jour un montage vidéo de mon parcours en espérant toucher le maximum de personnes. Ce projet demande beaucoup d’énergie et de volonté de fer. Il démarre au début de l’hiver (froid glacial et la tombée de la nuit très tôt 16 h 30, période souvent humide). J’estime mon voyage entre 40 à 50 jours en fonction de la météo. Je ne peux m’empê cher de faire le parallèle avec le chiffre 40 dans la Torah.
alors je vous remercie par avance pour votre soutien, car toute aide sera la bienvenue. Dans ce voyage, je serai accompagné par un ami de la famille, il s’occupera de filmer : Yuval Ben Tzvi.
« J’estime mon voyage entre 40 à 50 jours en fonction de la météo.
Je ne peux m’empêcher de faire le parallèle avec le chiffre 40 dans la Torah »
Il habite à Jérusalem il est israélien, grand amateur de ce type de voyage et de nature comme moi exactement
Je laisse ma localisation en temps réel, tou jours activée. Merci de m’avoir écouté Hava et encore dé solé pour mon français.
H.O. : Au nom de toute l’équipe de Trou ver en Israël, nous vous souhaitons un merveilleux voyage à vous deux, une refoua complète et définitive pour votre mère. Nous sommes tous à vos côtés et vous soutenons.
Si les gens ont des conseils et des recommandations, des aides pour obtenir les autorisations de passage,
Beatsla’ha, et de vous à moi, nous espérons un jour parler tous l’hébreu aussi bien que vous parlez le français Yehouda.
Pour les suivre pendant leur périple, une chaîne youtube, un site et des comptes facebook & instagram :
Öbikerideparis2jerusalem Ôbike.openmind.org.il Úohannayden Îohanna.yehuda
Trouvez en Israël compte sur vous pour les soutenir dans leur fabuleuse démarche sportive et spirituelle.
Sophie Rachel Attal découvre le Théâtre à l’adolescence. Depuis elle le joue et le transmet avec une joie et une énergie peu commune. Comédienne et professeure de Théâtre, son actualité est riche.
Depuis son Alyah en 2005, Sophie Rachel Attal se consacre pleinement à sa pas sion : « Le Théâtre ».
Elle anime son Atelier depuis près de 15 ans à Jérusalem et Tel Aviv et près de 300 comé diens en herbe sont passés par ses cours. Certains ont même embras sé une carrière professionnelle…
Son enseignement repose sur la méthode de l’Actor Studio : tra vailler sur le système sensoriel, émotionnel et développer son imagination pour une interpré tation dans le plaisir. En cours, il s’agit de faire tomber les barrières et les codes sociaux pour retrou ver l’élan innocent de l’enfant. Elle attend de ses élèves d’être justes, vrais, naturels, sincères dans un abandon total : « le lâcher prise ». Le cours débute par un échauffe ment et quelques exercices de re
Ce que son ami Bernard Bitan dit
Son actualité est aussi : Par le bout du nez, 2 nouvelles représen tations à Tel Aviv et Jérusalem les 1er et 3 Janvier prochain. Réservations au 052-306-0863 et en scannant le QR Code
laxation : respiration abdominale, relâchement corporel, méditation qui permettra de couper avec l’ex térieur. Suivront des exercices de voix et de diction. On travaillera ensuite sur le système émotion nel, sensoriel et l’imaginaire. En fin, les apprentis comédiens se livreront à des improvisations sur thèmes.
A partir du milieu de l’année, les élèves travailleront des textes du Théâtre moderne fran
Pour faire ce métier, il faut de la passion avant tout, du courage et de la générosité. Je peux dire que Sophie Rachel Attal a bien ces 3 qualités, avec le talent en plus… Et son plus grand talent, c’est la capacité qu’elle a à se mettre en danger sur scène… Et ça marche ! Quand on évoque ce métier d’acteur, la clé de la réussite, selon la formule consacrée c’est « 5% d’inspiration et 95% de transpiration » ! Sophie est une bosseuse, elle est cash (peut être trop parfois), mais c’est ce que j’aime aussi chez elle. Elle sait être critique, mais son caractère bien trempé ne l’empêche pas d’être toujours à l’écoute afin de sans cesse vouloir progresser, tant sur le plan personnel que professionnel. C’est une spécialiste de la thérapie par le théâtre, et c’est sur elle qu’elle se l’applique en premier, sa therapie, ce que je trouve particulièrement admirable aussi chez elle. Elle excelle dans son registre de jeu. En plus d’être une merveilleuse rencontre sur le plan humain, on peut dire que nous nous sommes trouvé professionnellement. Bref, c’est un bonheur pour un metteur en scène de travailler avec Sophie !
née à Paris
Mariage avec Elie Attal à Jérusalem
Alya avec son mari et ses 3 enfants
Premier passage sur scène
Le D du carnage de Yasmina Rezza à Jérusalem et ouverture d’un cours de théâtre pour adultes
Production de concerts mu sicaux
1962 1984 2005 2007 2007-2017 2008-2022
Plusieurs passages sur scène de théatre avec : - Ils s’aiment Palmade/Laroque
- Maman met un sweat et calme toi
Sophie Rachel Attal
-Un amour qui ne finit pas André Roussin
çais qu’ils pré senteront en fin d’année. Sophie Rachel Attal aime d’ailleurs à proclamer être le seul Atelier de Théâtre francophone en Israël qui présente chaque fin d’année un spectacle ou chaque élève vo lontaire monte sur scène et y ren contre le public.
Après plus d’un an passé dans les rangs de l’opposition, Binyamin Netanyahou retrouve les cimes du pouvoir. Fort d’une coalition de 64 députés composée des partis sionistes religieux (Noam, Parti Sioniste Religieux, Force Juive) et orthodoxes (Shas et Judaïsme de la Torah), le Premier Ministre est attendu au tournant par les électeurs du camp de droite nationale sur les dossiers sécuritaires, diplomatiques mais aussi économiques.
ardi 1er novembre. 22h01.
Les chaines de télévision israéliennes publient les premières estimations. Le bloc de droite nationale dirigé par Binyamin Ne tanyahou franchit la barre fatidique des 61 députés nécessaire pour former la prochaine coalition. La salle du Palais des Congrès de Jérusalem choisie par le Likoud pour accueillir ses militants se remplie peu à peu. Le volume sonore de la musique d’am biance monte de plusieurs décibels aussitôt les pre miers résultats connus. Les cadres du parti arrivent. Amir Ohana, Miri Reguev, Danny Danon affichent un sourire des grands soirs. « Optimiste oui mais me suré » déclare l’ex-ministre de la Justice. Après 5 élec tions en 4 ans, le Likoud se veut prudent au sortir des premières estimations.
IL EST MINUIT. Toujours pas de Binyamin Ne tanyahou dans cette grande salle du Palais des Congrès. Le chef de l’opposition est dans une chambre de l’hôtel Carlton à Tel Aviv. Entouré de sa
garde rapprochée, il réclame de s’entretenir avec son ami Aryeh Déri. « Où est Arié ? » lance le responsable du Likoud. « Je tiens à le remercier pour son travail accompli durant cette année passée dans l’opposition. Sans lui, jamais nous n’aurions pu rêver revenir au pouvoir. Il mérite d’occuper tous les grands postes mi nistériels » s’emporte le futur Premier Ministre.
AUX ALENTOURS DE 3H DU MATIN, Binyamin Ne tanyahou monte sur la scène du Palais des Congrès de la capitale israélienne. Il refuse de crier « victoire » trop tôt et appelle ses soutiens à attendre la fin du dé pouillement des urnes. Le chef du Likoud prononce pourtant un discours de Premier Ministre. Rassem bleur. Il promet de panser les plaies des fractures de la société israélienne. La foule acquise à sa cause crie : « Gouvernance, gouvernance ». Les électeurs de droite nationale réclament le retour d’un pouvoir fort face à la terreur palestinienne. Face à l’administra tion Biden. Face aux élites acquises au centre et à la gauche israélienne. Face aux monopoles. Face à un appareil judiciaire ligué selon eux contre Binyamin Netanyahou et la droite israélienne.
Après 3 jours de décompte, le Likoud et le bloc ce droite obtiennent une majorité de 64 députés
APRÈS 3 JOURS DE DÉCOMPTE, le Likoud et le bloc ce droite obtiennent une majorité de 64 députés. Le parti d’extrême-gauche Meretz ne passe pas le seuil d’éligibilité. Yaïr Lapid, l’actuel Premier Ministre, té léphone à Binyamin Netanyahou pour reconnaitre sa défaite. « C’est inespéré » affirment certains mili tants des différents partis de la prochaine coalition. « Le score obtenu à ces élections obligent Binyamin Netanyahou et son bloc à répondre à nos attentes et aux attentes des israéliens. Nous voulons des résultats » déclarent l’un des militants du Likoud.
TEURS, le grand parti de droite promet d’augmenter le salaire des soldats conscrits de 20% et d’offrir le salaire minimum aux combattants ayant servi dans les rangs de Tsahal pendant deux ans et demi. La pro chaine coalition s’engage aussi à financer à 100% les frais universités des soldats libérés de leurs obliga
tions militaires désireux de s’engager dans des études supérieures.
Pour enrayer la hausse du coût de la vie, Binya min Netanyahou s’engage à geler temporairement les augmentations des taxes foncières, des factures d’électricités, d’eaux et du gaz. L’inscription en crèche pour les enfants de 0 à 3 ans sera gratuite.
Binyamin Netanyahou compte aussi renforcer l’ins titution parlementaire face à la Cour suprême et ainsi assurer un plus juste équilibre des pouvoirs au travers du vote d’une loi fondamentale.
Dans les écoles, les prochains programmes scolaires prévoient de renforcer l’apprentissage de l’Histoire Juive, de la Torah et de l’instruction civique.
L’un des objectifs du prochain gouvernement sera aussi de freiner l’augmentation des prix dans le sec teur de l’immobilier. Pour cela, le Premier Ministre promet d’accélérer le processus d’obtention des per mis de construire et de réduire la paperasserie admi nistrative dans les procédures de commercialisations des terrains.
L’autre chantier pour la coalition se situe au-delà de la Ligne Verte en Judée-Samarie. Binyamin Ne tanyahou s’engage à mettre fin aux constructions palestiniennes en Zone C sous contrôle israélien et de multiplier les unités de logements dans les locali tés juives des territoires. Les jeunes villages de Judée Samarie seront désormais reliés au réseau électrique israélien.
Sur le plan diplomatique, le Premier Ministre projette de conclure un accord de normalisation avec l’Arabie Saoudite et entend renforcer les relations entre Israël et les pays signataires des Accords d’Abraham. Pour mener à bien tous ces projets, Binyamin Netanyahou espère pouvoir faire tenir sa coalition du rant les quatre prochaines années. A 73 ans, le chef du Likoud entame son 6è mandat à la tête de l’Etat d’Israël. « Et surement pas le dernier » selon ses proches...
Selon l’inspection du Conseil de la consommation israélienne, le panier moyen des ménages, lors du passage en caisse, a augmenté de 7% par rapport à l’année dernière.
Le lait pour bébés Gold Similac 700 grammes 94,9 nis sur le réseau Yalo VS 54 nis sur le réseau Rami Levy en ligne
augmentation de 5 % à 7 % a été observée au niveau des chaines de distribution.
LES PRODUITS UNILEVER ont enregistré une augmentation de 6 %, ceux d’Osem de 7%, ceux de Layman Schlissel de 5%, et si la différence entre la chaîne d’alimentation bon mar ché (Rami Levi) et la chaîne la plus chère (Shuffersal deal) est de 16 %, le mois dernier, tous les produits ont connu une augmentation mi nimale de 3 %.
LA SOCIÉTÉ PROCTER ET GAMBLE
(Bounty, Pampers, Gillette…), n’a pas désiré augmenter le prix de ses produits, qui ont même bais sé par rapport à l’année précédente de 1%. Le consortium Tnuva qui dirige en grande partie la chaine du lait et de ses dérivés, a lui an noncé une hausse de 4.7% de ses produits. Alors que l’augmenta tion chez les produc teurs et les éleveurs a été mesurée, environ 1 %, en valeur cumulée depuis le début de l’année, une
L’APATHIE DES CONSOMMA TEURS n’est plus de mise, et seule une action volontaire de leur part pourra permettre d’infléchir la courbe ascendante du marché des prix. Ils devront opter pour les chaînes moins chères, et provo quer ainsi une concurrence entre les différents acteurs pour provo quer une baisse ou un gel des prix à la consommation.
« Nous déconseillons d’acheter les produits de l’entreprise, il y en a de moins chers »
Certaines différences publiées permettent de se faire une idée de l’am pleur du phénomène :
- Les rasoirs à 5 lames pour hommes Gillette Fusion à manche fixe 12 unités : 248,5 NIS dans la chaîne Super Pharm et 139 NIS dans la chaîne Bee.
- Le lait pour bébés Gold Similac 700 grammes : 94,9 NIS sur le ré
seau Yalo et 54 NIS sur le réseau Rami Levy en ligne. - Les tablettes pour lave-vaisselle
Max Finish 80 unités : 49,9 NIS dans les chaînes Super Pharm, Su per Barkat, Shira Market, Bar Kol Tov, Nativ Chesed et 78,6 NIS dans la chaîne Super Yoda. Désormais les chaines ont déci dé, de façon apparemment non concertée, de ne pas mettre en vente des produits dont l’augmen tation de prix annoncée serait très importante, optant pour une entrée en guerre offensive et per cutante.
UNILEVER est de ce fait embléma tique, et les distributeurs ont préfé ré indiquer : « Nous déconseillons d’acheter les produits de l’entreprise, il y en a de moins chers ». Il n’y a ainsi aucune ambi guïté.
Unilever est une multinationale néer lando-britannique, présente dans plus de 100 pays, qui propose en Israël des produits comme Dove ou Rexona, mais aussi fabriqués en Israël : Badin, Clic, Krembo, Magnum, les pro duits Knorr et Telma, Cornflakes, Hellmans…
des produits appartenant à Unile ver, sur lesquelles il est indiqué : « Il vaut mieux que vous choisis siez des alternatives », ou « Chers clients, étant donné que Shufersal n’a pas accepté d’augmentation de prix, il pourrait y avoir une pénu rie de produits Unilever », « Nous vous invitons à acheter des pro duits similaires d’autres marques. Nous nous excusons pour le déran gement ».
Dès lors, ces chaines, qui malgré tout cherchent à préserver leurs acquis et à ne pas perdre de parts de marché, sont entrées en conflit ouvert avec Unilever ou d’autres marques, dont certains produits pourraient disparaitre des rayons, lorsque les stocks existants au ront été épuisés, et qui conduira à une impor tation parallèle, à la fois des marques ellesmêmes et de produits de substitution.
« Nous vous invitons à acheter des produits similaires d’autres marques. Nous nous excusons pour le dérangement »
Les sociétés Shufersal et Beitan ont accroché des pancartes à côté
MAIS LA COMPENSATION ne pourra être élargie dans un premier temps à tous les produits et certaines dents de vraient se mettre à grincer bientôt, la marque Unilever étant l’une des plus grandes entreprises de consommation, proposant de nombreux produits alimen taires et de toilette, largement diffusés, et ayant acquis une bonne réputation.
Pour ce faire, les chaines ont besoin du soutien des consommateurs, de leur par ticipation active, afin que cer taines exigences concernant les prix et la qualité des pro duits, puissent remonter vers les dirigeants de ces grands groupes, ultra puissants, qui depuis un certain nombre d’années déjà, pratiquent un lobbying agressif, en raison de leurs positions de monopoles.
La baisse des taxes à l’importa tion devrait permettre de créer un précédent, et de faire péné trer sur le marché israélien de produits concurrentiels, afin de juguler la crise en aval plu tôt qu’en amont.
« Brit ha-périphéria » ou « l’alliance des minorités » est le nom longtemps donné à un paradigme sioniste né au temps du Yichouv, préconisant le contournement du bloc arabe hostile par des pactes avec les minorités ethniques et reli gieuses du Moyen-Orient. Cette stra tégie fut pendant plusieurs décennies la pierre angulaire de la politique liba naise d’Israël, celle qui consista à per cevoir le pays du Cèdre comme un allié potentiel, notamment du fait de sa di versité confessionnelle. A l’heure où les relations israélo-arabes connaissent un essor inédit, qui se souvient que le Li ban aujourd’hui pris en otage par l’Iran a autrefois signé un traité de paix avec Israël, le 17 mai 1983, reconnaissant Jé rusalem comme capitale de l’Etat juif, et que ce traité fut ratifié par le Parlement libanais ? Le nouveau contexte régional peut-il contribuer à un quelconque rapprochement entre Israël et son atypique voisin du nord ?
Israël entretient aujourd’hui des relations indirectes avec l’Église maronite et avec nombre d’acteurs chrétiens au Liban
Situé au cœur d’un environ nement hostile et instable, Israël est confronté depuis son indépendance à des défis existentiels, au premier rang desquels celui de son intégra tion régionale. Pour faire face à l’hostilité de ses voisins et à ce qu’il perçoit comme un encerclement, le jeune Etat hébreu opte dès ses premières années d’existence pour deux stratégies simultanées conçues et mises en applica tion par son Premier ministre David Ben Gourion.
La première, née au début des années 1950, consis ta à se rapprocher de pays orientaux ou musulmans pro-occidentaux, essentiellement non-arabes, ap
partenant à la « deuxième ceinture », et ce, dans une logique de contre-encerclement des pays arabes les plus hostiles. C’est dans cet esprit qu’Israël a jadis cherché à tisser des relations diplomatiques, économiques et militaires avec les monarchies ira nienne et libyenne, avec la Turquie kémaliste ou encore avec l’Empire éthiopien.
Une seconde stratégie consista pour Israël à recher cher au sein de son environnement proche-oriental des groupes confessionnels, ethnolinguistiques ou tribaux susceptibles de s’allier à lui pour fractionner le bloc arabe hostile, telles les communautés druze, circassienne et bédouine en Israël, kurde en Syrie et en Irak, copte en Egypte et maronite au Liban.
Le Liban est un cas à part dans le spectre régional arabe. A moitié chrétien, c’est un pays qui a tou jours revendiqué sa neutralité et ses liens privi légiés avec l’Occident. Il a refusé de s’engager aux côtés de l’Egypte et de la Syrie dans leur confron tation avec Israël en 1967 et en 1973. Sa participa tion à la première guerre israélo-arabe ne fut que symbolique puisqu’il n’a engagé que des réservistes
qui ne se sont pas battus. La frontière israélo-libanaise restera d’ailleurs paisible jusqu’à l’avènement des groupes armés palestiniens au Liban à la fin des années 1960. En réalité, le Liban officiel n’a jamais fait la guerre à Israël. Ce dernier a combattu sur le sol libanais des factions certes hos tiles mais étrangères au Liban : l’OLP, l’armée syrienne, le Hezbollah.
Les maronites constituent la prin cipale communauté chrétienne du Liban. Ils ont longtemps contesté le caractère arabe de ce pays et cherché à cultiver son identité phénicienne. Ils occupent une place centrale dans l’histoire, la politique et l’économie du Liban. Ils continuent à jouer un rôle fondamental dans la direction de l’Etat. Plu sieurs fonctions clés leur sont formellement réser vées : président de la République, chef de l’armée, gouverneur de la Banque centrale... Par le passé, leurs dirigeants se sont montrés bienveillants à l’égard du projet sioniste. D’anciens présidents du Liban, tels Emile Eddé et Alfred Naccache, ont soutenu l’idée de créa tion d’un Etat juif en Pa lestine. Le patriarche de l’Eglise maronite Antoine Arida a appuyé le plan de partage de l’ONU de 1947, de même que l’ar chevêque de Beyrouth Ignace Moubarac.
Durant la guerre civile (1975-1990), les milices chrétiennes se sont ruées vers Israël, perçu comme un allié naturel, sollicitant son appui pour expulser l’OLP du Liban. L’intérêt des maronites pour une alliance reposa alors notamment sur sa perception de la puissance d’Israël. Ce dernier représente tou jours pour beaucoup la success story d’une mino rité moyen-orientale non-arabe et non-musulmane qui, non seulement a conquis son indépendance et sa sécurité en dépit de l’hostilité de ses voisins, mais s’est élevée au rang de superpuissance régionale.
Israël entretient aujourd’hui des relations indi rectes avec l’Église maronite et avec nombre d’ac teurs chrétiens au Liban. De leur côté, les maronites dans leur ensemble continuent à envoyer à Israël l’image d’une communauté pacifiste et modérée. La retenue dont firent preuve les dirigeants des for mations chrétiennes au Liban durant la guerre de 2006 en est une illustration. Enfin, le voyage histo rique qu’effectua le patriarche Béchara Boutros Raï en Israël en mai 2014 mérite d’être mention né. En dépit des critiques qu’il dut affronter, Raï
accompagna le pape François lors de sa visite, arguant qu’il s’agissait là d’une mission religieuse dénuée de toute considération politique. Mais ses appels à la paix et son attitude bienveillante envers les anciens combattants de l’Armée du Liban-Sud réfugiés en Israël, auxquels il rendit visite sous la protection de la police israélienne, envoyèrent au monde un message politique d’une grande clarté.
Les Accords d’Abraham signés entre Israël et plu sieurs pays arabes fin 2020 ont une conséquence géopolitique majeure : la normalisation avec l’Etat juif n’est désormais plus un sujet tabou dans le monde arabe. Cette fois, ce n’est pas un traité de paix séparée qui a été signé entre Jérusalem et un voisin vaincu, mais une série d’accords visant à in tégrer Israël au Moyen-Orient, avec le soutien des principaux pays de la Ligue arabe.
Dans la foulée, et malgré l’opposition virulente d’un Hezbollah surarmé et totalement subordonné au régime iranien, le président libanais Michel Aoun a déclaré dans un entretien accordé à BFM TV qu’il n’excluait pas que le Liban signe un jour la paix avec Israël. Sa fille et conseillère, Claudine Aoun, écrira sur son compte Twitter le 24 septembre 2020 : « Je ne m’opposerai pas à la perspective d’un accord de paix [avec Israël] ». Enfin, la signature le 27 octobre 2022 d’un accord ratifiant le tracé de la frontière maritime entre Israël et le Liban éloigne davantage les deux pays du spectre de la guerre.
*Meir Masri est docteur en géopolitique et maître de conférences à l’Université hébraïque de Jé rusalem. Il a représenté Israël dans plusieurs conférences internationales et intervient quoti diennement sur les grandes chaînes d’informa tion des pays du Golfe.
« Je ne m’opposerai pas à la perspective d’un accord de paix [avec Israël] »Benjamin Netanyahu, Donald Trump, Abdullatif bin Rashid Al Zayani, et Abdullah bin Zayed Al Nahyan assistent à la cérémonie des Accords d’Abraham à la Maison Blanche
quand Gad Elmaleh met en scène sa conversion au catholicisme. Ce film, qui n'est pas la première œuvre de Gad Elmaleh traitant de la religion catholique, met en scène la quête spirituelle du comédien vers le catholicisme. Qu’en pensent les internautes ?
Lisette Handelsmann
De quel droit jugeons nous cet homme ?
La foi ne regarde que celui qui la porte
Il n’y a pas de haine ds tt ca. Pour nous juifs spirituels ca ne fait pas de sens. La religion chretienne est ce qu’elle est mais elle a ete fondée sur de nbx mensonges( a commencer par les juifs ayant tue leur messie) et ils se st perdures lgtps. Les juifs ont été brules au nom de ce mm d. Cf l’inquisition. Etc... qu’1 juif renomme en public vienne faire du hilloul hachem a tu et a toi est au bas mot 1 affront au judaisme et tous ses arguments st faux. Co il peut oser se montrer et dire qu’on ne rentre pas par superstition ds 1 église ?? Il a vu ca ou?? Et il veut entrainer d’autres ds son giron?
Claudine Bentura
Converti ou pas il restera juste et puis il est libre de sa décision qu’elle soit vrai ou fausse Moi je vous conseille d’aller voir le film jusqu’à la fin et après vous pouvez-vous permettre de juger
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La véritable polémique à mes yeux c’est celle de l’ingérence dans la vie de l’autre en général, du juif en particulier. Est-il resté juif ou a-t-il franchi la barrière pour devenir Catho ? Et même ?
Les élections sont passées avec tout cet élan de haine et d’insultes…Apparemment elles nous manquent déjà !
Allons-y sur Gad à présent …traitre, horrible, ingrat, menteur, tricheur…et pourquoi pas sur son fils…sur son mariage…génial on va se déchaîner, avec notre suffisance, nous les tsadikim !
Gad est un garçon d’un talent rare, qui a reçu un don de D ieu, le seul D ieu qu’il connaisse, le même D ieu que nous..
Et si on cessait de juger son prochain, si on balayait tout simplement devant notre porte ? C’est plein de poussière… En voilà un sujet d’actualité , qui va vite, je sens, devenir polémique
La réussite lui a sûrement monté à la tête Mais c’est très dommage qu’une personne comme lui qui a étudié en Yeshiva devienne aussi bête
La question n’est pas si il va se convertir ou pas chose qui reste desolante mais de faire tomber des juifs fragiles qui sont déjà bien assimilé. A mon humble avis il va avoir des répercussions sur son «simple film».
Il est libre de se convertir, libre de faire ce qu’il veut. Si il veut entraîner les autres c’est aussi son choix. Il y a bien eu un shabtai tsvi
Juif un jour, juif toujours!
S’il fait maintenant une blague sur les juifs, sera-t-il antisemite pour la cause?
S’il a une affection particulière pour Marie, pourquoi pas! N’était-elle passe juive?
C’est donc un retour pour lui à l’aube du judaïsme.
Oui Gad parlons-nous comme tu le dis !
Ce n’est pas un «film» et tu le sais.
Tu veux partager ta révélation et cela s’appelle du prosélytisme.
Du coup l’œuvre s’écroule et l’art cinématographique est trahi parce que ce film sera toujours soupçonné de servir ta cause.
Du coup même si il est évident que pris au second degré ce film est hilarant et talentueux ton message le rend de fait chiant et ennuyeux.
Laisse donc à l’intime ce qui relève de l’intime surtout quand il s’agit de foi !
Par ailleurs on ne peut nous juifs qui t’avons suivi jusqu’à aujourd’hui et avec fierté comme un membre de notre peuple, ignorer le sort de tous les juifs que l’église a banni, expulsé, maudit et brûlé vifs durant des siècles et qui a attendu jusqu’à Jean Paul II pour faire un mea culpa.
Pour finir et pour rendre hommage à ton «humilité» sache que les religions n’ont pas attendus ton «coming out» pour dialoguer.
Allez...RESTE encore un peu !
Il pousse loin la provocation ce Gal qu’il fasse ce qu’il veut de sa vie et qu’ils nous foutent la paix
Voilà ce que je pense, depuis quelques temps il est très critiqué pour l’histoire de piaggia, son image s’est détériorée aux yeux de tous au fil des mois , il a besoin d’un nouveau public pour redorer son blason, je fais le pari qu’après la sortie de son film, il révélera que tout ça n’était qu’une plaisanterie.,
Et participer a 1 propagande qui ns insulte si vivement? S’il commence a recevoir des reponses negatives de notre part c’est parce qu’il vehicule tellement de non sens! Et si tout cela n’etait qu’1 coup de pub c’est encore plus honteux.
Décembre 2022 | www.trouverenisrael.co.il
Le présent nous ramène aux pires heures de la seconde intifada.
L’attentat de Jérusalem vient de briser une famille.
Un adolescent de 16 ans ne rentrera plus jamais dans son foyer, ne reverra plus ses parents. L’essence même de l’Etat est pourtant d’assurer la sécurité de ses citoyens. Ce drame n’est pas le pre mier, il nous contraint à l’autocritique. Il est notoire que nous possédons des services de renseignements exceptionnels, capables de frappes d’une précision chirurgicale.
Une situation où un terroriste éliminé se voit rempla cer par trois autres, probablement encore plus fana tiques ?
En fait, tel n’est pas leur rôle, car il s’agit du champ d’action du décideur politique qui porte la respon sabilité de la faillite d’une politique qu’il nous faut maintenant constater dans de biens pénibles cir constances.
DEPUIS DES DÉCENNIES, nous croyons acheter la paix sociale, et la paix sécuritaire en réagissant tou jours de manière modérée afin de ne pas exciter d’avantage les terroristes.
Nous procédons à des éliminations très ciblées uni quement quand il n’y à pas d’autres moyens. La plupart du temps, les égorgeurs islamistes sont envoyés dans des centres pénitenciers dont le confort les fait bien rire.
NOUS AVONS CONSTRUIT UN MUR afin de nous pro téger. Ce dernier à sauvé un nombre conséquent de vies innocentes, mais ne peut, par définition, rien contre les terroristes qui franchissent journellement les checkpoints.
Finalement jusqu’a quand allons nous payer un tri but à un ennemi qui dit et répète vouloir notre mort physique ? Voilà un formidable aveu de faiblesse que l’Iran ne manquera pas de constater. Les Romains l’ont bien fait avec les Barbares, ces derniers ont pourtant fini par les massacrer.
Quand comprendrons nous que ces personnes n’obéissent pas aux mêmes codes moraux que nous ? La solution, étonnement, est pourtant évidente à dé faut d’être simple, elle tient en deux volontés.
LA PREMIÈRE, s’émanciper radicalement des cri tiques que ne manqueront pas de faire la techno cratie de l’union européenne, du parti démocrate américain, et de l’ONU (pour ne rien changer) à notre égard. La seconde, se résoudre à une politique d’éradication sans pitié du terrorisme islamiste sans se soucier des moyens à employer, car seul l’objectif doit compter.
Faire ce que Vladimir Poutine a osé faire pour protéger son peuple et sa patrie de la folie san guinaire du terrorisme islamiste en Tchétché nie. Son mot d’ordre à été des plus simples : « Nous poursuivrons les terroristes partout, on ira les buter jusque dans les toilettes ». Cela peut choquer les bonnes consciences humanistes ?
Peut-être. Mais le terrorisme islamiste tché tchène n’existe aujourd’hui plus. C’est préférable que de pleurer nos enfants.
Vouloir sauver le « vivre ensemble », comme l’a fait le précédant gouvernement, revient à ac cepter le « vivre avec ».
de la rentrée littéraire d’automne
Roy Jacobsen. Les vainqueurs. Gallimard.
Août 2022. Collection Du monde entier.
Les vainqueurs suit la vie d’une famille emblé matique de la Norvège, de la côte du Helgeland jusqu’à Oslo, de l’été 1927 au printemps 1990. La première partie raconte la vie de Marta et de son père Johan. Ce dernier est un petit paysan-pê cheur sur l’île de Heroy et se voit contraint de placer sa fille comme domestique dans une riche famille d’Oslo qui choisira la collabora tion pendant la seconde guerre mondiale. Dans la seconde partie du roman, le narrateur est Ro gern, un des fils de Marta. Le gamin, qui grandit dans la cité nouvelle d’Arvoll, pose un regard aussi vif que truculent sur le bond monumen tal fait par le pays au cours d’un demi-siècle. Les vainqueurs est une superbe fresque ro manesque, unanimement considérée comme un classique de la littérature norvégienne. Roy Jacobsen n’a pas son pareil pour mêler la vi sion d’ensemble et le détail. Il nous fait vivre avec émotion la Grande Histoire et les destins de gens modestes. Il évoque la lutte des classes, les sentiments des personnages sur la vie, sur la famille. Il met en lumière les questions exis tentielles que tout le monde se pose un jour ou l’autre. Le tout imprégné de culture norvé gienne. C’est un magnifique roman d’une très grande délicatesse. Je vous en recommande vi vement la lecture !
Giuliano Da Empoli. Le mage du Kremlin. Gallimard.
Août 2022. Grand Prix du Roman de l’Académie française 2022.
Grand moment d’émotion et de plaisir pour nous, le Grand Prix du Roman de l’Académie française 2022 a été attribué à un de nos coups de cœur, Le mage du Kremlin ! Vous allez vous dire : « Mais qui est Giuliano Da Empoli ? ». Lais sez-moi vous présenter l’écrivain. D’origine italienne et suisse, Giuliano Da Empoli est essayiste et conseiller poli tique. Son dernier livre, Les ingénieurs du chaos, consacré aux nouveaux maîtres de la propagande politique, a été traduit en 12 langues. Et si vous ne l’avez pas lu, il est bien normal que vous ne connaissiez pas l’auteur, car Le mage du Kremlin est son premier roman. C’est, de mon point de vue, un des ouvrages essentiels de cette rentrée littéraire. Un roman hypnotique et effrayant sur l’implacable acces sion au pouvoir de Vladimir Poutine, qui se termine par des pages aussi admirables que terrifiantes. Sans compter que ce livre a été terminé en janvier 2021, soit un an avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie. On peut dire que le propos est visionnaire ! L’écrivain nous embarque dans les coulisses du Kremlin par le biais d’un personnage libre ment inspiré de l’ex-éminence grise de Poutine, Vladislav Yuryevich Surkov, « le mage du Kremlin ». Rebaptisé Va dim Baranov dans le roman, ce personnage de l’ombre qui a passé 15 années au service de Poutine nous éclaire sur les arcanes du pouvoir russe de ces 30 dernières années. On plonge au cœur de ce pouvoir russe, où courtisans et oligarques se livrent une guerre de tous les instants. De la guerre de Tchétchénie à la crise ukrainienne, en passant par les jeux olympiques de Sotchi, Le mage du Kremlin est LE grand roman de la Russie contemporaine, une médita tion passionnante sur l’exercice du pouvoir. Vraiment un roman magistral ! Lisez-le, ne passez pas à côté !
Quelques étapes de sa carrière artistique (Extraits de son prochain Livre de Souvenirs)
Samy Goz, parallèlement à son parcours de chanteur et chef d’or chestre, a enregistré de nombreux albums.
Au début des années 90, Samy Goz décide d’être producteur de ses futurs albums avec le label Atoll Music. Parmi les premiers enregis trement : l’album en anglais Love Songs For You And Me et l’album en italien Italy Forever
Suite au succès de ces deux opus, viendra la réalisation des albums de Samy Goz and Big Band, enre gistrés avec tous ses musiciens pa risiens au Studio Gold.
L’album français French Love Songs, inclut le duo avec Jeane Manson (A quoi ça sert l’amour ?) et I Wish, I Wish (chanson du film Mariage Mixte).
L’album salsa en espagnol Salsa Rica (la version salsa du titre Alabi na). Suivront les albums en anglais Jet Set Party (jazz, swing et salsa) et Jet Set Party (Crooner Forever).
Toutes ses productions musicales sont, à ce jour, distribuées par le Label Believe en téléchargements et streaming sur toutes les plate formes numériques.
En 1996, à la demande du label Atoll Music, Samy Goz sera le pro ducteur exécutif et co-composi teur des deux premiers albums du groupe Oriento-Gypsy, ALABINA (Feat. Ishtar & Los Ninos De Sara), et ce, avec l’arrangeur, composi teur, réalisateur Ronny Gold. La chanson Alabina sera le géné rique des films La Vérité si je mens et l’album éponyme obtiendra des disques d’or dans plusieurs pays du monde, dont Israël... Un Succès Mondial !
Le 31 décembre 1999, le célèbre Hôtel Marocain La Mamounia à Marrakech engage Samy Goz et son
Big Band pour animer la soirée du Nouvel An 2000. Soirée mémorable où seront présents de nombreuses personnalités, dont Alexandre Arcady (Le Grand Pardon, Le Coup de Sirocco, Pour Sacha...), qui quelques années plus tard, en 2004, lui demandera de jouer son propre rôle de chanteur, dans son nouveau film Mariage Mixte Samy Goz y interprétera ses chan sons originales (dont I wish I wish, Ojos Negros, Si no te vas, ainsi que Did We Really Try entre autres...), et co-composera une partie de la bande originale. Ce sera pour Samy Goz l’occasion également d’inclure dans cette bande origi nale sa nouvelle co-production (avec Studio Gold et Atoll Music) DORBIA interprétée par Reines De Saba et qui sera le générique de fin de Mariage Mixte
A l’été 2004 à Saint Topez, lors de la soirée gitane du milliardaire Tony Murray, animé tous les étés par Samy Goz et ses musiciens, Ivana Trump, la première épouse de Donald Trump, lui présente son nouveau boyfriend Rossano Ru bicondi, qui sera son quatrième mari (mariage célébré dans la pro priété de Donald Trump en 2012, à Mar-A-Lago, Palm Beach, Floride). Ivana et Rossano insisteront pour que Samy Goz anime la Soirée de Bal et changeront même leur date de mariage pour pouvoir l’engager. Ensemble, ils produiront pour le Fun un Single Dance Amore Mio,
Secret Love remixé par des DJ cé lèbres, et qui sera un Tube d’été dans les discothèques.
A ce jour depuis son alyah, Samy Goz et ses Musiciens israéliens, continuent d’enregistrer réguliè rement de nouveaux albums et animent toujours de belles soirées privées dans tout Eretz Israël..., de Jérusalem à Eilat, en passant par Netanya, Ashdod, Tel Aviv ou Hertzliya...
Goz en concert au Kikar Hamusica le 1er et 22 Décembre à 20h
samygoz@gmail.com
C’est une médecine plurimillénaire toujours d’actualité, totalement inté grée à la médecine moderne. Pratiquée par un médecin- acupunc teur expérimenté, compétent et sé rieux, elle offre un champ thérapeu tique insoupçonné.
L’ACUPUNCTURE MÉDICALE est une des branches de la Médecine tradi tionnelle chinoise qui s’appuie sur les grands principes de la Médecine asiatique : Yin et Yang, utilisation des méridiens énergétiques … Pratique basée sur l’implantation et la manipulation de fines aiguilles à des endroits précis du corps, afin d’obtenir les actions thérapeutiques souhaitées, pré venir certaines affections et rétablir l’équilibre éner gétique.
L’ACUPUNCTURE
Elle s’adresse aux adultes, personnes âgées et enfants, et permet de traiter, soulager et guérir de très nom breuses affections.
On utilise l’acupuncture comme traitement anti-âge. Ce qui est aujourd’hui particulièrement innovant pour le traitement anti-rides ou lifting par acupunc ture, qui donne des résultats rapides et spectaculaires. Je parle là, d’une véritable méthode de rajeunisse ment facial indolore, non invasive et sans danger. Elle ne nécessite aucune injection de produits. Elle ne présente aucun risque d’allergie. Elle n’a pas de contre-indication et n’entraine pas d’effets secon daires..
L’acupuncture va lifter vos traits de façon naturelle et non définitive. Le lifting par acupuncture est une mé thode anti-âge bien moins invasive que les injections d’acide hyaluronique ou de toxine botulique (botox) et moins définitive que le lifting chirurgical.
Pas d’anesthésie ni hospitalisation. Une séance d’acu puncture ciblée dure entre 40 et 60 minutes avec des résultats surprenants immédiats.
Durant une séance de lifting par acupuncture je vais piquer une quarantaine d’aiguilles à la surface du vi sage, sur des points nommés « points d’attaque ».
Je vais procéder rapidement pour entrainer la contraction musculaire qui va retendre la peau.
Mon travail s’effectue sur toutes les rides du visage : les rides du lion, les sillons naso-géniens anise que celles du front.
Outre l’action plus précise locale s’ajoute les effets bé néfiques de l’acupuncture traditionnelle.
Je peux rassurer les personnes sensibles, le lifting par acupuncture est indolore, juste des petits « picote ments », sans aucun danger, pas de contre-indication, ni risque d’allergie. Elle nécessite précision et dexté rité.
LES EFFETS DU LIFTING PAR ACUPUNCTURE : il ne faut pas comparer les effets du lifting par acupuncture au lifting chirurgical : c’est un geste doux et non inva sif avec un effet tenseur plus naturel. Nous nous inspi rons de la médecine chinoise traditionnelle.
Très vite ce « coup d’éclat » que certains qualifient d’impressionnant ira en augmentant durant les heures et les semaines suivantes.
On assiste à un rajeunissement facial, avec atténua tion des rides, voire leur disparition temporaire. avec une tonification de la peau, le visage va retrouver son éclat.
Mon expérience m’a permis d‘établir un protocole qui a fait ses preuves en fonction de l’âge des patients et que j’adapte.
Journaliste international dans la presse francophone israélienne et analyste géopolitique
PAR GÉRARD ALIMI
Gérard Alimi : Votre identité « en devenir » ne serait-elle pas encore… aboutie ?
Richard Darmon : De même que notre patriarche Abraham a changé son identité en arrivant en Eretz Israël, je crois que l’identité de tout Juif ayant tra versé notre époque évolue et s’approfondi avec les événements qu’il vit. Ainsi, ma 1ère identité juive était en France – comme le disait Sartre – celle ins crite dans le « regard de l’autre » et définie par le seul antisémitisme. Puis, j’ai saisi – même à Paris –que le judaïsme n’était pas seulement une religion, mais « une certaine manière d’être homme » et un projet de civilisation. Une démarche qui m’a ame né en Israël. Et là aussi, notre identité est en deve nir : de Juifs de l’exil que nous étions, nous sommes devenus peu à peu des Israéliens, mais il nous faut maintenant devenir des Hébreux ! Ce sont là les « mutations d’identité » citées par Léon Ashkénazi (Manitou).
G.A. : Votre récit autobiographique n’est-il pas au fond celui de tout Juif pied-noir ? Qu’aurait le vôtre de particulier ?
R.D. : Comme ma famille était, déjà en Algérie, très « assimilée » et loin de tout judaïsme religieux, traditionnel ou même culturel et qu’en arrivant en France (à l’âge de 7 ans), nous n’étions plus vrai ment des Pieds Noirs ni vraiment des Français, il m’a fallu vivre dans ce pays de troublantes situa tions et scènes d’« ambiguïté identitaire » qui m’ont peu à peu amené à m’interroger sur ce que j’étais vraiment. Et puis, je ne crois pas que tous les Juifs originaires d’Algérie ont vécu - comme moi après mai 1968 - un engagement militant total de près de dix ans dans l’extrême gauche trotskyste au nom d’une Révolution que nous croyions alors encore possible… Un intense détour initiateur qui m’a fait aller très loin de mes valeurs profondes, celle de l’âme, que j’ai redécouvertes ensuite.
G.A. : Quel est le continent où vous avez vécu qui vous a le plus marqué ?
R.D. : L’Algérie si ensanglantée de la fin des an nées 1950 que les « évènements » nous ont obligé à quitter de manière dramatique, la belle France ro
mantique et révoltée du printemps 1968 – qui s’est ensuite peu à peu rendormie – ne font pas le poids pour moi avec ma découverte ultérieure d’Eretz Is raël et de Jérusalem ! Ni surtout avec l’intensité et la densité de la vie quotidienne sur la Terre de nos ancêtres qui nous donnent l’énergie et la confiance de relever l’incroyable défi du retour du peuple hébreu dans son « espace-temps » : une singularité qui est le contraire d’un « particularisme ». D’au tant que ce Retour a pour but de faire réussir à tous les niveaux l’Etat et la société d’Israël - lesquels doivent devenir, grâce à tous nos efforts et ceux de nos descendants, un laboratoire de réussites tous azimuts qui profitera à toute l’humanité.
G.A. : Quelles sont les rencontres décisives dans votre parcours qui vous ont le plus touché et qui ont fait évoluer votre réflexion ou votre position nement politique ?
R.D. : On connaît beaucoup de gens en sept décen nies de vie ! Mais je citerai certaines rencontres – li vresques ou concrètes - marquantes avec, d’abord, le philosophe Albert Camus, auteur, entre autres, de L’homme révolté que j’ai redécouvert à la fin des années 1970 après ma période militante. Puis les « Quatre mousquetaires » de l’Ecole de Pensée juive de Paris que j’ai personnellement connus : Mani tou, André Neher, Benno Gross et l’incroyable femme qu’était la psychanalyste Eliane Amado Lévi Valensi. A la fin de mon long séjour en France, j’ai aussi connu deux personnes décisives pour moi : Shmuel Trigano - dont l’un des premiers livres écrit au début des années 1980 Le Récit de la disparue m’a fait répondre à l’appel abrahamique du Lekh-Lekha en me rendant ensuite en Israël ; puis le regretté Daniel Auswaks, un génie et véri table « électron-libre » de l’étude juive authentique et profonde qui m’a fait découvrir bien des secrets de la Tora m’inspirant encore aujourd’hui. Et puis bien sûr, il y a surtout eu ma rencontre en 1981 à Paris avec ma femme Florence dont la confiance et la sérénité ancrées dans une tradition juive et hébraïque respirantes m’ont redonné le souffle auquel j’aspirais sans le savoir durant tout ce parcours assez chaotique.
Décembre 2022 | www.trouverenisrael.co.il
« Chacun de nous, ensemble, Notre mission première est de connecter les juifs entre eux depuis 1929. L’Agence Juive aide les juifs du monde entier dans leur démarche d’Alyah, assure la sécurité des juifs dans le monde, renforce l’identité juive, relie les Juifs à Israël, et transmet la voix du peuple juif à l’État d’Israël pour aider à façonner sa société ».
Telles sont les missions que l’Agence juive s’est assignée.
Doron Almog, ancien général de Tsahal, est devenu, le dimanche 21 août dernier, le nouveau président de l’Agence juive pour Israël, après la démission d’Itzhak Herzog appelé à exercer la plus haute fonction de l’état.
Il a présenté au conseil d’admi nistration de l’agence, devant plu sieurs centaines de dirigeants de communautés et d’organisations juives du monde entier. un nou veau plan lors de sa prise de fonc tion, afin de renforcer les relations entre Israël et la diaspora juive, prescrivant pour cela : « d’honorer les communautés juives de la dias pora lors de cérémonies d’État en Israël, de créer des liens entre les Israéliens à l’étranger et les familles juives, et d’aider également à inté grer les nouveaux immigrants dans l’emploi ».
SON INTENTION EST DE CRÉER DES PONTS entre les communau tés juives dans le monde et Israël, entre étudiants juifs étrangers et étudiants israéliens, entre les fu
turs acteurs de la vie économique, en particulier dans le domaine des industries high-tech, et de favori ser l’absorption des olim en Israël.
« Le plan phare que nous ferons avancer ensemble est un plan qui signifie rassembler les cœurs, ren forcer la relation avec chaque Juif, chaque famille juive et chaque communauté juive dans le monde. Nous ne devons en perdre aucun » a déclaré Doron Almog, indiquant en outre : « Je voudrais consacrer la 75e année de l’État d’Israël au renforcement des relations avec toutes les communautés juives du monde ».
CE PLAN PRÉVOIT D’ACCORDER DU CRÉDIT ET DE L’IMPORTANCE aux communautés juives
de la diaspora lors de cérémonies d’État, et de veiller à lutter contre l’antisémitisme et les appels au boycott d’Israël, en déléguant de nombreux envoyés de l’Agence juive, jeunes pour la plupart, dans les communautés juives organi sées qui existent dans le monde entier.
Le programme fait également référence à la nécessité de main tenir des attaches privilégiées avec les Israéliens qui résident à l’étranger, dans le cadre de mis sions précises (de défense, de santé, de travail…), de périodes d’étude, lors de congés sabba tiques, ou d’activités écono miques, et de les aider à établir des rapprochements avec les fa milles juives sur place.
Concernant l’immigration pro prement dite, Doron Almog aura à cœur, en Israël, de placer l’Alyah au cœur des préoccupations des autorités locales, des autorités compétentes, et des employeurs potentiels, afin d’aider les nou veaux immigrants à s’intégrer rapidement, à trouver un emploi et un logement. Des programmes de volontariat seront également développés sur la base d’« Une famille accompagnant une fa mille », ou grâce à la participa tion de lycéens bénévoles, qui aideront les immigrants dans l’apprentissage de l’hébreu, lors d’activités sociales diverses, pour assurer le suivi scolaire des en fants…
Comme il est de tra dition au moment des célébrations de Roch Hachana, le nouvel an juif, des statistiques ont été publiées pour indi quer les nouvelles ten dances d’évolution du peuple juif.
15,3 millions de Juifs vivent dans le monde dont 46% en Israël
ron 8,25 millions de Juifs vivent en dehors des frontières d’Israël, et que le nombre de candidats éligibles à la loi du retour (telle qu’elle a été instituée jusqu’à ce jour), s’élève à 25,5 millions (puisqu’il suffit d’un grand-père juif pour être éligible). C’est dire l’importance des mesures qui seront prises pour permettre une Alyah massive.
Il est apparu ainsi que 15,3 mil lions de Juifs vivent dans le monde, dont environ 46 % en Israël, soit environ 7 080 000 per sonnes (+ 2 % par rapport à l’an née précédente), tandis qu’envi
LORS DE CETTE PUBLICATION, le président de l’Agence juive, le général de division (à la retraite) Doron Almog, s’est joint aux fé licitations du président de l’État Itzhak Herzog, pour préciser
quelles seront les orientations de son action : « Je souhaite aux communautés juives du monde entier, aux dizaines de milliers d’immigrants qui ont été absorbés cette année avec l’aide de l’Agence Juive, et à tous les citoyens de l’État d’Israël une bonne année, une année de l’espoir, une année de rapprochement des cœurs. Les défis auxquels nous sommes confrontés en ce début d’année sont grands et importants. Nous travaillerons ensemble pour ren forcer la relation stratégique entre Israël et la communauté juive de la diaspora et pour renforcer la société israélienne dans son en semble, pour le bien de notre ave nir commun… »
PAR MYRIAM BENSIMHON, PSYCHOTHÉRAPEUTE ET THERAPEUTE DE COUPLE
ccomplir un rêve, une passion, est synonyme de réussite et d’accomplisse ment personnel. Mais il est important de préciser ce que nous voulons réellement. Il se peut que cela semble aller de soi, mais, souvent, le fait même de se poser la question peut nous dérouter. Nous voulons réaliser certaines choses, mais est-ce véritablement ce que nous souhaitons ?
Si nous nous posons la question : « quels sont mes objectifs » ? Il se peut que, là aussi, la réponse reste « floue » … et, cette ambiguïté peut en réalité être ce que nous voulons faire transparaitre aux yeux des autres ou à nous même.
L’inaptitude à atteindre nos rêves réside souvent dans le fait que nous ignorons qui nous sommes, et que nous ne savons pas réellement déterminer notre but.
Afin de définir avec précision ce que nous voulons vraiment il sera bien plus judicieux de se deman der : « quelle est la chose qui m’enthousiasme » ?
La réponse à cette question permet de chercher au plus profond de nous-même ce qui nous motive et nous passionne concrètement. Vivre sa « passion » c’est singulièrement émettre l’idée de ce qui nous « enthousiasme » et qui, selon moi, reflète le mieux l’idée du bonheur.
Mettre la réponse par l’écrit permet de matérialiser nos envies et de les rendre accessibles.
Comment donc créer son plus bel avenir : en réali sant ses rêves. Pour atteindre ce but éminemment
désirable, trois types de tâche doivent être accom plies.
LA PREMIÈRE ÉTAPE est d’agir sur notre intérieur en travaillant sur notre état d’esprit, c’est-à-dire dire programmer notre cerveau pour acquérir une men talité adaptée, celle qui rendra possible une action efficace et productive.
LA SECONDE ÉTAPE est de se fixer un programme, un plan d’action, c’est-à-dire planifier sa stratégie.
LA TROISIÈME ÉTAPE est d’agir conformément à ce plan dans le monde concret, autrement dit passer à l’action en appliquant sa stratégie avec force et motivation.
Ces trois étapes sont aussi cruciales les unes que les autres.
En effet, la première étape nécessite de réaliser un travail intérieur. Notam ment, afin de déceler cer taines croyances limitantes qui nous empêchent d’agir et peuvent même créer en nous un mécanisme d’auto-sabotage. Program mer son cerveau signifie aussi changer son mode de pensée en faisant un travail de psychologie po sitive afin d’augmenter la motivation et bien sur la confiance en soi.
La seconde étape est de déterminer sa stratégie. Et, pour élaborer un plan d’action, rien de tel que de s’armer d’un crayon et d’une feuille de papier. Il est nécessaire de déterminer un objectif clair et allouer un temps et une date limite pour chaque étape. Pour
La route qui mène au succès est une route montante et quelque peu caillouteuse
le mener à bien il faut aussi réunir les informations et inventorier les outils nécessaires pour y parvenir. La troisième étape consiste, vous l’avez compris, à passer à l’action. Il s’agit donc ici de mettre en ap plication la stratégie élaborer dans l’étape numéro deux. Il ne s’agit plus ici de réflexion, à savoir si telle ou telle décision prise auparavant est productive ou non (la rectification doit se faire en même temps que l’action), car elle pourrait avoir un impact néga tif sur les deux étapes précédentes. Le mot d’ordre et donc « agir pour produire ».
La route qui mène au succès est une route montante et quelque peu caillouteuse. On ne la gravit pas en restant au bord d’une piscine les orteils en éventail. Il ne s’agit donc pas de passer une ou deux fois à l’action, puis d’attendre les bras croisés que les fruits tombent tous seuls de l’arbre, mais de travailler avec persévérance, avec acharnement, à l’accomplisse ment de ses projets. Pour écrire l’avenir que vous avez choisi, il n’y pas de raccourci.
Voyons maintenant ce qui se passe lorsqu’on accom plit seulement deux des trois tâches nécessaires. Imaginons que Sarah programme consciencieuse ment son mental et, élabore un excellent plan d’ac tion, mais n’agit peu ou pas : elle n’est pas prête, ce n’est pas encore le moment, elle attend le déclic, la conjoncture n’est pas encore tout à fait favo rable, etc. Cinq ou dix ans plus tard, Sarah constate avec dépit que quelqu’un lui a piqué l’idée géniale qui devait la rendre heureuse, riche et célèbre et éprouve de cuisants regrets. Ou encore que d’autres
personnes aient progressées dans le domaine dans lequel elle souhaite tellement évoluer et ce dit : « Si seulement j’étais passé à l’action sans attendre le mo ment parfait… »
Supposons maintenant que Yaël élabore un pro gramme et passe à l’action. En revanche son in conscient à quelques blocages, quelques croyances limitatives héritées de son enfance ou un manque d’estime d’elle-même. Elle risque fortement de se décourager voire même d’abandonner à la moindre difficulté. Quand on agit sans avoir préalablement orienté son mental sur la bonne fréquence, celle de la réussite, on échoue parfois tout près du but en sa botant son œuvre à son insu, rattrapé par la phobie du succès, autrement dit par le besoin inconscient et compulsif d’échouer.
Enfin, supposons que Judith programme son subconscient et passe à l’action. Sans programme clair et précis, ses efforts s’éparpillent. Elle perd for tement en productivité et en efficacité. Résultat des courses, elle épuise rapidement toute son énergie et sa force, travaille beaucoup pour quasiment aucun résultat. De même, un paysan qui sèmerait dans tous les coins, même sur le toit de sa ferme, mais qui ne ferait rien de plus ne récolterait pas grandchose. C’est le fait de se fixer un plan précis et de s’y tenir qui rend nos efforts productifs en les canalisant dans une direction déterminée.
Les 3 étapes sont dans un ordre bien définis car, tout commence évidemment par un travail intérieur qui influencera les suivants. En revanche une interac tion de ces trois étapes produira un effet synergique qui vous entraînera dans un cercle vertueux sur la route du succès et de la réalisation de vos rêves.
D.merci, à la veille de notre fête des lu mières et des miracles de Hanouc ca, un gouvernement de droite se met en place et redonne espoir et force à la Nation.
Après cette période de ténèbres, le retour de Bibi éclaire à nouveau Israël. Et soudain, tous les projec teurs du monde sont dirigés vers notre pays. La guerre en Ukraine se rait-elle finie ?
Le monde entier se demande si Benyamin Netanyahou se dirige vers la constitution d’un état théocratique ou non ? Balivernes et billeve sées !
Se sont-ils inquiétés de savoir si on allait vers une anarchie totale et antisémite lorsque la gauche a bra qué le pouvoir ? Se sont-ils inquiétés de savoir si la gauche allait préserver le caractère juif du pays ? Cet homme qui est tant critiqué par ses détracteurs et quelques premiers Ministres de l’étranger, mérite toute notre attention et notre respect. Jamais un homme politique n’a pu afficher autant de victoires successives de façon aussi démocratique. Cet homme si charismatique, est en fait, un génie. Il ne faut pas être Bibiste pour se l’avouer, juste être honnête !
Que l’on soit du Likoud ou non, Monsieur Netanyahu fait la leçon aux plus grands de ce monde, tant par son habileté politique que par son talent de médiateur.
Il semblerait que sa nouvelle politique sera libérale économiquement, sioniste et religieuse. What else ? Nous allons durant ces quatre prochaines années as sister à un rééquilibrage afin que nous ne vivions plus jamais une période aussi désastreuse que celle que nous venons de vivre !
En dehors du travail à faire au niveau de la réduction du coût de la vie, des questions sociales, et de la sécu rité, il faut absolument que le nouveau gouvernement réussisse à séparer le législatif du juridique et par voie de conséquence réduire les prérogatives du Beith Ha mishpat Haélione (la Cour Suprême). Il est en effet im
pératif que ces dernières reviennent aux députés et ministres qui sont eux, élus par le peuple et non pas à une clique d’hommes et de femmes surpuissants qui se cooptent et se nomment entres eux. Les juges de cette institution annulent des lois et décisions capitales pour l’avenir d’Israël par ce droit de veto qu’ils se sont octroyé alors que notre pays était en mal de constitution ! Le gouvernement constitué, les défis ne manquent pas. Face à la guerre en Ukraine, qui entraîne une crise énergétique sans précédent sur l’Europe, Benyamin Netanyahou devra se positionner rapidement. Il devra également repenser à nos relations délicates et sensibles avec la Chine, future puissance mondiale, mais surtout avec notre allié de toujours, les Etats-Unis. L’oncle Joe est certes un démocrate comme nous en avons vu à la tête des États-Unis souvent ces 50 der nières années, mais ce parti est devenu au fil du temps le siège de la gauche radicale, profitable aux plus dé munis du pays certes, mais hélas, profondément an ti-israélienne. Sans parler du défi de l’Iran. Benya min Netanyahou a toujours été à la tête du combat contre la nucléarisation de ce pays, et pour cause, leur volonté de raser Israël de la carte du monde. Il devra certainement prendre des décisions extrêmement im portantes sur cette question. Décisions qui pèseront lourd, de façon inéluctable, sur notre belle nation.
Mais, au lendemain de la reprise de ces attentats aux colis piégés, qui ont coûté la vie à 2 israéliens et blessé près de 25 personnes, le ministre de la sécurité inté rieure, Monsieur Ben Gvir, doit remettre de l’ordre et rappeler à nos ennemis que nous sommes bien déci dés à punir les personnes qui ne marcheront pas dans les clous.
Heureusement, Hanouccah est là pour nous rappeler que les miracles existent et à l’instar des Maccabées, nous serons méritants de vivre des jours heureux et empreints de lumières en Eretz Israël.
Bonne fête des lumières à tous.
AM ISRAEL HAI.TEL HAI.
Nul n’est à l’abri d’un manque de liquidité en ce qui concerne une affaire commerciale. Ceci peut entraîner des défauts de paiements et des créanciers qui vous talonnent.
C’est la question à laquelle le tribunal a souhaité répondre dans le cadre de l’affaire ‘’banque Leumi Leisrael Ltd contre Avi David’’.
La loi sur les relations patrimoniales entre époux permet de s’accorder sur un arrangement différent pour la division des actifs immobiliers si les époux se sont mariés après le 1er janvier 1974. Dans cette affaire, l’époux, constructeur de maisons, a voulu protéger sa famille en cas d’imprévu et a accepté que le bien immobilier soit inscrit au nom de son épouse uniquement. Plusieurs années plus tard, l’époux rencontre des problèmes financiers. La banque lui réclame la totalité du montant prêté dans l’immédiat suite à plusieurs défauts de paiements.
Or, le seul bien immobilier pouvant recouvrir la dette envers la banque est la résidence principale du couple, inscrite au nom de l’épouse.
LA BANQUE LEUMI SAISIT LE TRIBUNAL pour que celui-ci déclare que l’époux est propriétaire au même titre que son épouse, bien que son
nom ne figure pas au cadastre. Cette requête est envisageable grâce à la loi de otsaa lapoal afin de démasquer des biens immobiliers inscrits fictivement au nom de tierces personnes.
LE TRIBUNAL REJETTE LA DEMANDE de la banque et déclare : « On ne peut retirer le droit aux conjoints de choisir à l’avance d’inscrire le bien immobilier au nom de l’épouse afin de se protéger d’un éventuel futur échec économique dans l’affaire de l’époux ». L’inscription au nom de l’épouse seule n’avait pas pour but de faire évader le bien immobilier, mais était bel et bien une action légitime pour faire blocage aux créanciers à qui l’épouse n’a aucun compte à rendre.
SI l’époux avait transféré la propriété au nom de son épouse alors qu’il était déjà en difficulté financière, le tribunal aurait pu déclarer l’acte de vente ou de donation comme étant un acte fictif et donc permettre la saisie du bien.
Maître Zaghdoun Jordan, Avocat spécialiste en effacement de dettes, recouvrement de créances (otsaa lapoal), protection face aux créanciers tels que les banques, compagnies de prêts non-bancaires ou particuliers.
2 Rue Hassoreg - Jérusalem | Tél : 077-3231-770
Les négociations prennent du temps, elles n’en finissent plus. On pourrait croire qu’elles n’aboutiront pas ou du moins, pas avec les alliés naturels. Bibi na pas l’habitu de que le monde sioniste religieux lui tienne tête très longtemps, il sait très vite tendre la main à d’autres partenaires, de gauche, afin de faire descendre tout le monde de l’arbre. Gantz n’attend plus que cela. Entre s’assoir avec Lapid sur les bancs de l’opposition, ou rester ministre de La Défense aux cotés de Bibi, le choix est vite fait. Cette fois-ci, malgré toutes les montagnes russes, on peut enfin parler de gouvernement de droite en Israël. Le plus à gauche de tous sera en fait le Premier ministre. Incroyable mais vrai.
POUR SON DERNIER MANDAT, Netanyahu se doit de laisser une empreinte indélébile. Redonner au pays le parfum du sionisme qui lui fait défaut depuis trop longtemps. Ce défi ne dépend que de trois mots : « construire, construire, et construire ».
La construction est la solution à tous les maux : à la crise de l’immobilier, à la venue de milliers de Juifs en Israël, au rêve de la souveraineté en Judée-Samarie, dans le Néguev et la Galilée, à l’avenir de nouvelles générations… et enfin bâtir des passerelles entrenous.
Va-t-il avoir le courage de cet ultime combat face à l’administration Biden, et à une Europe vacillante té tanisée par un Poutine incontrôlable ?
En s’alliant à Ben Gvir et Smotrich, notre Premier ministre, pour son quatrième mandat, doit saisir pour une fois cette opportunité : agir en homme de droite, sans loucher vers le centre. Il devra aussi rassurer toute une population qui n’a pas voté pour lui ni pour ses associés. Personne ne veut ici d’impositions religieuses ou d’obscurantisme. Netanyahu devient, aux yeux du monde moins prati quant du centre comme de la gauche, le dernier rem part. Ceux qui le détestent voient en lui leur dernier espoir ! Ne pas laisser le pays contrôlé par le monde religieux.
ENFIN, Benjamin peut enfin réaliser ce à quoi il a toujours aspiré sans oser agir. Neutraliser l’Iran et cesser de se sentir menacé de destruction. C’est maintenant ou jamais. Pour cela va-t-il devoir attendre le retour des républicains au pouvoir ? Lui seul le sait !
On peut dire que Binyamin Netanyahu nous donne une leçon de vie, en dépassant tous les records de longévité et de réussite politique. Il nous aura appris qu’il ne faut jamais baisser les bras, à nous battre même quand plus personne n’y croit, et à gagner, sans douter de ses capacités. Nous avons une chance unique de marquer un vé ritable tournant dans l’histoire de notre peuple sur sa terre. Vivre en direct un nouveau miracle de la di mension de la flamme de Hanouka. Redevenir enfin nous-même, libres et souverains, chez nous, en Is raël.
AZOULAY, Coaching personnel et d’entreprise
Le Premier ministre israélien de l’époque, Yitzhak Rabin a été assassiné le 4 novembre 1995, à 21h30, à la fin d’une manifestation pour la paix en sou tien aux accords d’Oslo, sur la place des Rois d’Israël (dénommée aujourd’hui Place Rabin), à Tel-Aviv, alors qu’il venait de descendre de scène. L’assassin est un partisan « ultra-na tionaliste » israélien nommé Yigal Amir, qui, selon des dires, voulait s’opposer à l’initiative de paix d’Yitzhak Rabin, et particulièrement à la signature des dits accords d’Oslo, signés le 13 septembre 1993 à la Maison-Blanche de Washington, qui prévoyaient de créer des zones d’autonomie palestinienne, et de diviser la Judée-Samarie en trois zones distinctes sous souveraineté arabe, israélienne, ou conjointe. Ce meurtre prémédité, a servi de support à des thèses considérées comme « complotistes », qui remettaient en cause le bien-fondé des accusations à l’égard d’Yigal Amir, et le déroulé des évènements ce soir-là, qui comportait de nombreuses zones d’ombre, à jamais revêtues du sceau du secret, incompatibles avec l’aura du premier mi nistre, devenu héros et hé raut d’une gauche en mal de leadership.
Il n’y a pas de complot, l’abominable meurtrier Yigal Amir a assassiné le Premier ministre Yitzhak Rabin
DERNIÈREMENT, lors d’une cérémonie à la Knesset, marquant le 27ème anniversaire de la mort d’Yitzhak Rabin, le dirigeant du parti « Sionisme religieux », qui
a récemment obtenu 14 mandats lors des dernières élections législatives israéliennes, Betsalel Smo trich, a jeté un pavé dans la mare, ce qui a eu pour conséquence de relancer une controverse datant de presque 30 années, qu’il a voulu cependant éteindre au plus vite.
RECUEILLI, face à toutes les autorités de l’État d’Is raël, à la famille du premier ministre disparu, dans un silence de mort, il s’est ainsi exprimé : « Je m’appelle Bezalel Smotrich, je suis un « colon », j’ai construit ma maison en Judée-Samarie, dans la colonie de Kedumim, je suis religieux, je porte une grande kippa tricotée, et je prononce ce discours de puis la scène de la Knesset en tant que président du parti religieux sioniste … »
IL A AINSI POURSUIVI : « …Dans un pays démocra
tique, nous avons le droit d’être en désaccord, nous avons le droit de crier, nous avons le droit de nous battre pour nos croyances et nos valeurs. Mais nous ne devons pas lever la main les uns contre les autres – et ceci doit être un signal d’alarme pour tous, l’assassinat d’un Premier ministre était une ligne qui a été franchie et qui ne doit plus jamais être franchie… »
Il a ensuite abordé la partie la plus polémique de son discours, et mis en accusation les services de sécurité (le Shin Beth) : « Ceux qui n’ont pas réussi à le protéger ne sont pas les gens de droite et les sionistes religieux, ni les colons, mais les services de sécurité qui non seule ment n’ont pas réussi à le protéger, mais ont également utilisé des manipulations irresponsables qui, à ce jour, n’ont pas été pleinement exposées, pour encourager l’assassin à exécuter son forfait ».
Cette prise de position a entrainé différentes réac tions, parfois enflammées, que Betsalel Smotrich a désiré désamorcer en précisant sur son compte Twit ter : « Il n’y a pas de complot, l’abominable meurtrier Yigal Amir a assassiné le Premier ministre Yitzhak Ra bin et nous sommes tous encore peinés et choqués par ce terrible meurtre ».
Il a ajouté : « Oui, il y a eu une défaillance majeure du département du Shin Bet, et oui, à ce jour, il refuse d’en assumer la responsabilité. Les médias en tant que tels sont une fois de plus désinformés et déformés ».
Le président du sionisme religieux, faisait référence dans ses propos à l’ancien agent du Shin Bet, Avi
shaï Raviv, qui prétendument était au courant de l’intention de Yigal Amir d’assassiner Rabin. Contre cet agent du Shin bet un acte d’accusation a d’ailleurs été déposé, pour non dénonciation de crime, et refus d’entraver l’assassinat du Premier ministre. Raviv, qui a refusé alors d’endosser la responsabilité du meurtre, avait indiqué que plusieurs membres de son agence étaient au courant des intentions d’Amir d’assassiner le Premier ministre, mais qu’ils avaient évité de si gnaler ce fait. Il convient cependant de rappeler que Raviv a finalement été acquitté à l’unanimité, de l’in fraction qui lui avait été imputée.
Des paroles indignées se sont élevées après le discours de Smotrich, dont celles de Tamar Zandberg, ministre de la Protection de l’environ nement, et du député Gilad Karib du Parti travailliste. Yaïr Lapid, Benjamin Ne tanyahou et Benny Gantz, s’étaient exprimé avant Bet salel Smotrich, et n’ont pu prendre part à ce débat qu’a posteriori.
Le chef d’état-major Aviv Kochavi a répondu à Bezalel Smotrich : « Rabin a été assassiné à cause d’une incitation sauvage, à cause d’une perte des valeurs et de la morale ». L’ancien chef du Shin Bet, Avi Dichter a également attaqué Smotrich dans une interview sur La chaine 2, qu’il a accusé de « jeter de la boue avec une grande am pleur sur le Shin Bet », précisant que « la conscience de l’échec de la sécurité de Rabin est très profonde », et niant toutes manipulations.
Provisoirement cette prise d’arme a pris fin, mais l’as sassinat de Rabin n’a pas fini de faire couler beaucoup d’encre, et d’alimenter des esprits gagnés par le res sentiment, et profondément blessés par cette tâche posée sur la jeune démocratie israélienne.
IL FAUDRA CEPENDANT, un jour ou l’autre, affronter le passé et ne pas en faire un écran, ce qui ne pourrait qu’ajouter de l’obscurité à l’obscurité, de la douleur à la douleur, et empêcherait la société israélienne de panser en profondeur ses blessures.
Rabin a été assassiné à cause d’une incitation sauvage, à cause d’une perte des valeurs et de la morale
huile est probable ment le plus incor rect de tous les liquides. Elle refuse carrément de compromettre son unicité.
SI L’HUILE ÉTAIT UNE PERSONNE elle aurait presque cer tainement été condamnée pour son refus obstiné à se fondre dans la masse. Elle choisit de rester à l’écart, séparée et distincte. Mé langez-la avec de l’eau, elle reste à part et maintient son identité propre.
Essayez autant de fois que vous le voudrez, l’huile restera toujours fi dèle à elle-même et ne se laissera tout simplement pas assimiler.
C’est peut-être pourquoi elle a mérité de devenir le symbole su prême du miracle de Hanoucca.
Quand nous célébrons la victoire des Maccabées sur les Grecs sy riens, nous devons nous rappeler ce qui était réellement en jeu dans cette immense confrontation. Ce ne fut une guerre pas comme les autres. Elle n’a pas été livrée pour conquérir plus de territoires, ni pour capturer plus de butin ou d’esclaves. Cette guerre fut essen tiellement un conflit entre deux manières totalement différentes de voir le monde.
L’HISTOIRE DE HANOUKA est avant tout un choc des cultures.
Les Grecs ne cherchaient pas à tuer les Juifs. Leur intention n’était pas le génocide d’un peuple. C’était plutôt une bataille contre ceux qui menaçaient leur enga gement envers l’hédonisme, leur engouement pour le corps, leur obsession pour les compétitions sportives pour prouver qu’ils va laient plus. C’est en cela qu’ils voyaient la beauté - et le sens même de la vie.
Keats a bien résumé l’idéal grec dans son magnifique Ode sur une urne grecque :
« La beauté est vérité, la vérité beauté. C’est tout ce que vous savez sur terre. Et c’est tout ce qu’il faut savoir ! »
C’est le conflit entre ces deux idées qui a défini la guerre des Maccabées. C’est triste, mais des Juifs avaient été séduits par les ruses et la séduction de la laïcité, et avaient abandonné leur patri moine spirituel. Ils avaient ven du leur bénédiction pour un plat
de lentilles. Ils avaient renoncé au message des prophètes pour la gloire des jeux. Ils ont choisi les récompenses mondaines du corps plutôt que la bénédiction éternelle de l’esprit. Ce sont les hellénistes. Ils ont été assimiléset on n’a plus jamais entendu par ler d’eux depuis.
La victoire des Maccabées repré sente le triomphe de ceux qui incarnaient la caractéristique unique de cette huile qui refuse de s’assimiler, de ceux qui choi sirent de rester fidèles à leur mis sion d’apporter au monde la vi sion morale du judaïsme.
C’est ce qui rend l’histoire des Maccabées tellement actuelle.
Aujourd’hui l’assimilation prend de nombreuses formes.
NOUS DEVENONS ASSIMILÉS quand nous ne cherchons qu’à faire la fête et ne jamais prier.
NOUS DEVENONS ASSIMILÉS quand nous nous soucions de notre aspect extérieur, et pas ce que nous nous ressentons à l’in térieur.
NOUS DEVENONS ASSIMILÉS quand notre principal objectif est la gloire et la fortune plutôt que de l’amour et l’étude.
NOUS DEVENONS ASSIMILÉS quand nous voulons plus que tout être envié par notre entourage au lieu d’être cher aux yeux de Dieu.
NOUS DEVENONS ASSIMILÉS quand notre principal objectif est d’accumuler sans cesse plus de biens plutôt que de simplement être bon.
NOUS DEVENONS ASSIMILÉS quand nous sommes plus intéres sés par un héritage que par notre héritage, par ce que nous tirons du passé plutôt que ce que nous pouvons donner à l’avenir.
NOUS DEVENONS ASSIMILÉS lorsque nous regardons nos en fants comme un fardeau plutôt qu’une bénédiction, et quand nous croyons que la meilleure des choses que nous puissions leur donner sont des objets de valeur plutôt que des valeurs.
Notre tradition nous enseigne à vé nérer la beauté de la sainteté. C’est pour cela que les Macchabées se sont battus en affrontant une culture étrangère qui faisait passer le corps avant l’âme, et le matériel avant le spirituel. Cela reste au jourd’hui encore notre défi.
Comme l’huile de l’histoire de Hanoucca, nous refusons de nous assimiler.
FLAMME DANS NOS MAISONS, nous affirmons notre conviction que nous réussi rons. Nous allons maintenir notre spécificité qui nous a permis non seulement de survivre, mais aussi d’être les porteurs du flambeau de la morale et de la civilisation pour l’humanité toute entière.
Remarque : on peut soit allumer le Chamach en premier, avant de réciter les bénédictions, soit l’allumer après avoir allumé toutes les autres bougies.
Avant l’allumage, on dira :
Baroukh atah ashem, elokeinou melekh ha’olam, acher qidechanou bemitsvotav, vetsivanou lehadliq ner ’hanoukah. Baroukh atah ashem, elokeinou melekh ha’olam, che’asah nisim laavoteinou bayamim hahem bazeman hazeh. Le premier soir, on ajoutera : Baroukh atah ashem, elokeinou melekh ha’olam, chehe’heyanou veqiyemanou vehigi’anou lazeman hazeh. Après avoir allumé la première bougie de la mitsvah, on poursuivra avec : Hanerot halalou ana’hnou madliqin, ’al hanisim ve’al hatechou’ot ve’al haniflaot, che’asita laavoteinou ’al yedei khohaneikha haqedochim. Vekhol chemonat yemei ’hanoukah, hanerot halalou qodech, veein lanou rechout lehichtamech bahem ela lir-otam bilvad, kedei lehodot lichmekha ’al niseikha venifleoteikha vichou’oteikha.
Et le Psaume 30 : Mizmor chir ’Hanoukat habayit, ledavid. Aromimkha, achem, ki dilitani, velo-sima’hta oyevay li. Achem elokay! Chiva’ti elekha vatirpaeni. Achem! He’elita min-cheol nafchi, ’hiyitani miyaredi vor. Zamerou laachem ’hasidav, vehodou lezekher qodcho. Ki rega’ beapo, ’hayim birtsono, ba’erev yalin bekhi, velaboqer - rinah. Vaani amarti vechalvi, bal-emot le’olam. Achem ! Birtsonekha he’emadtah lehareri ’oz, histarta fanekhahayiti nivhal. Elekha, ashem, eqra, veel-achem et’hanan. Mah-betsa’ bedami, beridti el cha’hat ? Hayodekha ’afar ? Hayagid amitekha ? Chema’-achem ve’honeni, achem, heyeh ’ozer li. Hafakhta mispedi lema’hol li, pita’hta saqi vateazereni sim’hah. Lema’an yezamerkha khavod velo yidom ; achem elokay, le’olam odeka.
Toute l’équipe de Trouver en Israël vous souhaite Hanouka Sameah
Une vieille femme juive prend un taxi. Sur une route de campagne, le taxi a un accident et se retourne. Les secours arrivent très vite. Les pompiers sont sur les lieux de l’accident, et entendent les cris de la vieille femme.
- Ahhhaaah
- Ne vous inquiétez pas madame, nous sommes là ! - Ahhhaaah
- Ne vous inquiétez pas madame, nous allons bientôt vous dégager. - Ahhhaaah
- Est ce que ca va ?
- Ahhhaaah, ahhhaaah.... Arrêtez le compteur !!!
Un curé interroge un rabbin :
- Pourquoi, vous les juifs, vous hâtez vous de marier vos filles des qu’elles sont en age de se marier ?
- Parce qu’il y a bien longtemps, une de nos filles, Marie, qu’on a tardé à marier, nous a causé bien des soucis...
Monsieur le directeur, puis je quitter le bureau deux heures avant pour faire du shopping avec ma femme ?
- Mais il en est pas question monsieur Cohen.
- Merci monsieur le directeur, je savais très bien que vous ne me laisserez pas tomber...
Au cours d’une croisière, une tempête fait rage. Sur le pont du bateau, un marin s’approche de madame Bensoussan, une dame d’un certain age, et lui dit : - Vous ne devriez pas rester là, madame, une vague pourrait vous emporter...
Un homme qui se trouve à coté se retourne et dit au marin : - Dites donc, occupez-vous de vos affaires, c’est ma belle-mère, pas la vôtre !
