Que faire en tant qu’architecte, mais surtout en tant qu’habitant d’un territoire auquel l’on est particulièrement attaché, quand tout nous pousse à partir ?
Quoi penser d’un système de protection couteux qui par son principe même détruits des qualités de vie qu’il tente par tout les moyens de protéger ?
Comment continuer à vivre sur un territoire plein de qualités, tout en acceptant que sur un temps très long le monde naturel prenne le dessus sur le monde « urbain » ?