CHARLES LECLERC

Asso del volante, predestinato, enfant prodige. Chi è davvero Charles Leclerc? il volto nuovo della Formula Uno e della Ferrari sembra davvero entusiasmare chiunque, grazie alle emozioni che è capace di trasmettere. La straordinaria pole position conquistata nel 2022 nel Gran Premio di Monte Carlo (la sua ottava in Formula Uno) ha convinto l’artista italiano Emìr a dedicargli una delle sue iconiche tele: anche a dispetto dell’impossibilità, per Leclerc, di partecipare a quella gara, a causa di un problema meccanico.

Questo non ha però fermato il prezioso lavoro del pittore, in una tela che rapisce sin dalla prima occhiata: nel consueto stile pop dell’artista, in un patchwork composto da lampi fluorescenti e asimmetriche gocce di colore, si staglia la figura di Leclerc in una doppia veste. Il viso angelico e sereno, di un ragazzo che esprime con estrema naturalezza i suoi sentimenti, e il pilota dal sangue freddo e dal talento sopraffino, pronto a entrare nell’olimpo dei grandi.

Emìr ha scelto così di omaggiarlo nella sua duplice anima, rappresentata anche da un abbigliamento borghese e dalla classica tuta rossa marchiata Ferrari. In fondo, non è stato proprio Leclerc il vincitore morale del Gran Premio di Monte Carlo, con una pole straordinaria? Non a caso il quadro lo celebra in ogni dettaglio, con i toni del rosso e oro a far da sfondo ai particolari: il circuito di Monte Carlo, con la sua curiosa forma tratta dal centro cittadino, sembra quasi una fionda, pronta a lanciare il pilota verso grandi traguardi. E uno dei simboli del grande artista Banksy - il classico topolino abbinato al simbolo della pace - rende più umana la figura di Leclerc, tra umiltà e buon senso.

Non sapremo mai se il pilota avrebbe vinto il Gran Premio di casa. Ma Charles Leclerc è pronto a sfrecciare ancora, più veloce che mai. Come suggeriscono le gocce di colore di Emìr, simbolo di un perpetuo movimento attorno alla figura del giovane campione: tanto che questa tela è adesso esposta nel più esclusivo club del Principato di Monaco, il Thirty Nine di Monte Carlo.

As du volant, prédestiné, enfant prodige. Qui est vraiment Charles Leclerc ? Le nouveau visage de la Formule 1 et de Ferrari semble vraiment enthousiasmer tout le monde, grâce aux émotions qu’il est capable de transmettre. Son extraordinaire pole position au Grand Prix de Monaco en 2022 (sa huitième en Formule 1) a convaincu l’artiste italien

Emìr de lui dédier l’une de ses toiles emblématiques : même si Leclerc n’a pas pu participer à cette course en raison d’un problème mécanique.

Cela n’a pas empêché le peintre de réaliser un travail précieux, dans une toile qui séduit dès le premier regard : dans le style pop habituel de l’artiste, dans un patchwork d’éclairs fluorescents et de gouttes de couleur asymétriques, la figure de Leclerc se détache sous un double aspect. Le visage angélique et serein, d’un garçon qui exprime ses sentiments avec un naturel extrême, et le pilote au sang-froid et au talent exceptionnel, prêt à entrer dans l’Olympe des grands.

Emìr a donc choisi de lui rendre hommage dans sa double âme, également représentée par sa tenue bourgeoise et le costume rouge classique de la marque Ferrari. Après tout, Charles Leclerc n’a-t-il pas été le vainqueur moral du Grand Prix de Monaco, avec une pole extraordinaire ? Ce n’est pas un hasard si le tableau le célèbre dans les moindres détails, avec des tons rouges et or qui servent de toile de fond aux détails : le circuit de Monte-Carlo, avec sa forme curieuse empruntée au centre-ville, ressemble presque à une fronde, prête à lancer le pilote vers de grands objectifs. Et l’un des symboles du grand artiste Banksy - la souris classique combinée au symbole de la paix - rend la figure de Leclerc plus humaine, entre humilité et bon sens.

Nous ne saurons jamais si le pilote aurait gagné son Grand Prix national. Mais Charles Leclerc est prêt à courir à nouveau, plus vite que jamais. Comme le suggèrent les gouttes de couleur d’Emìr, symbole d’un mouvement perpétuel autour de la figure du jeune champion : à tel point que cette toile est aujourd’hui exposée au Thirty-Nine, le club de sport le plus exclusif de la Principauté de Monaco.