Extraits du livre
TABLE DES MATIERES
Planches I et II Avant-propos Table des Figures du Dossier Trinité Dossier de la Très Sainte Trinité L’Amour est bi-polaire Qui est Dieu ? Une écriture Divino-humaine Nécessité de la cohérence Les finales achevées Le domaine des particules La cohérence interne « C’est de nous deux » Dimensions-direction Conséquences du Tao Les méta-physiciens La double Spiration Les deux mains et les deux ailes La cybernétique Table des Figures du Dossier Père Dossier du Père Le Père Céleste La révélation reste ouverte On ne me connaît pas Qui donc est Mère Eugénia ? La folie de l’Amour Les désirs du Père L’humilité du Père Première insistance de Notre Père Voici le vrai but de Ma Venue La pré-destination L’intervention de Joseph La double identité du Père Le retour du Grand Rabbin Le Règne numéral
Table des Figures du Dossier Fils Dossier du Fils La Troisième Dimension Les pièces à conviction L’unique but de la Science La descente de Croix Le Rouleau de la Grâce Le Saint Suaire L’exégèse profanatrice Le mystère de l’Ame de Jésus La Parole Les paroles intérieures La Parole était Dieu Table des Figures du Dossier Marie Dossier Marie Le repentir De la Vie et de la Mort Vivante et Vraie La Vierge de Guadalupe Découverte de l’œil vivant La double maternité Annexes I, II, III Les nombres triangulaires Le nombre des Elus La Jérusalem céleste L’Epouse de l’Agneau Il vit et Il crut (Jean 20,8)
AVANT-PROPOS L’INFORMATIQUE CONSISTE EN LA TRANSMISSION – PAR L’ INTERMEDIAIRE DES NOMBRES – DE TOUTE INFORMATION.
Cette méthode existe depuis des millénaires. Elle a été supérieurement mise au point – sous l’action de l’Esprit – par le scribe ESDRAS, au Vè siècle avant Jésus-Christ. Ceci selon le codage le plus simple, le plus unitaire possible (1). Mais lorsque l’on prononce le mot « codage », il évoque malencontreusement l’idée d’un secret à dissimuler. Le codage le plus sophistiqué est, en effet, le rêve des services d’espionnage, comme celui des banquiers actuels, face à la piraterie électronique. Dans les groupes ésotériques et kabbalistiques, des codages occultes ont consisté en l’attribution – la plus arbitraire possible – de chiffres à des lettres. Telles furent la « Gématrie » alexandrine et la « Numérologie » pythagoricienne. En tous cas il s’agissait de dissimuler des prétendus secrets au profit de quelques initiés supérieurs (2). Le codage esdraïque de la Thora (H Th W R H, en hébreu) a pour but divin, lui, de fournir à tous une exégèse universelle, un balisage contrôlable par les plus humbles. Elle est, stricto sensu, l’ EXEGESE DES HUMBLES. On ne peut donc parler d’ésotérisme chrétien, mais d’exotérisme hébréo-chrétien. Les principes simples du codage esdraïque ont été perdus (officiellement) à la mort du dernier Traditionnaire, Siméon-le-Juste (en 270 avant J.-C.). Ils pouvaient être facilement retrouvés, n’étant basés sur aucune clef secrète, aucun codage subjectif. Le principe des Ecritures esdraïques consiste, non pas en l’attribution de chiffres d’une part, à des lettres de l’autre ; mais en l’unité de chaque lettre-nombre. (Voyez tableaux I et II). Point de codage arbitraire ou subjectif possible. Chaque lettre reçoit, objectivement pour nombre cardinal, le nombre ordinal même de sa position dans l’alphabet esdraïque de 27 lettres-nombres. Le Noun, par exemple, étant la 14è des lettres de l’alphabet esdraïque – définitivement fixées par les « Psaumes alphabétiques » - reçoit le nombre cardinal : 14. Ainsi peut s’effectuer tout simplement la pagination d’un cahier d’écolier. Tout mot étant composé de lettres agglutinées, aura pour nombre total propre, la somme de ses lettres-nombres internes (3). Ainsi le mot : Amour (hA H B H), composé des 1ère, 5è, 2è et 5è lettres, nombrera : 1 + 5 + 2 + 5 = 13. De son côté, le célèbre Tétragramme : Y H W H, nombrera, lui : 10 + 5 + 6 + 5 = 26, etc. Nous avons donné plus haut le mot « la Thora » = H Th W R H. Sa coordonnée de l’Esprit est 58, soit : 5 + 22 + 6 + 20 + 5 = 58.
L’utilisation des lettres-nombres réclame une fidélité absolue au Rouleau initial d’Esdras. « Pas un Yod ne peut manquer » (Mat. 5,18). Aussi les précautions les plus strictes ont-elles été prises par les scribes ; contrôlant et recontrôlant. Trois fautes en une colonne et l’on jetait le rouleau à la Geniza…aux ordures. Aussi les archéologues risquent-ils de déterrer, précisément, ces copies fautives, et de les utiliser à tort. En notre espace physique, tout point de tout objet est défini par ses 3 coordonnées euclidiennes. Dans l’espace spirituel qu’exprime l’écriture esdraïque, tout mot composé de lettres, est défini par ses 3 coordonnées trinitaires qui se rapportent donc : au Père, au Fils et à l’Esprit-Saint. Pour mieux attirer votre attention, nous les présentons dans l’ordre remontant de l’Esprit au Père. De même – pour faciliter la lecture – nous avons transcrit les mots hébreux avec nos lettres romaines, et ceci dans l’ordre occidental. L’hébreu esdraïque, lui, s’écrit de droite à gauche. D’où les deux tableaux I et II précités. Par exemple, la coordonné spirituelle de Y H W H, le « Tétragramme », est donc la somme de ses lettres-nombres, soit 26, comme nous venons de le calculer. La coordonnée du Père, elle, est bien connue sous le nom de « racine ». La racine de 26 est 2 + 6 = 8 (addition que tout écolier utilise pour la « preuve par 9 (4) »). Le contrôle est permis grâce au système décimal, devenu universel. Reste la coordonnée du Fils, souvent ignorée. Elle est la somme, non point des lettres-nombres (comme dans le cas de l’Esprit) mais la somme des racines de chaque lettre composant le mot, soit : Yod = 10 = 1
H=5
W=6
H=5
Total : 17
(trois des lettres du mot, appartenant au premier dénaire, sont donc, elles-mêmes racines).
Nous dirons que 8 est la coordonnée « principielle » du Père ; 17 la coordonnée « médiane » du Fils ; 26 celle de l’Esprit. Ce sont des coordonnées numériques, non géométriques ; les nombres étant antérieurs à l’Espace Trine.