carrières animées en continu par des compétitions, des animations, des démonstrations et des shows d’élevage
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5 jours de célébration du cheval
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Pôle Western. Rendezvous avec les meilleurs cavaliers européens d’équitation américaine
Pôle Santé piloté par des professionnels de la santé équine et humaine. Objectif : Bien-Être Équin 1
LONGINES EQUITA LYON, CONCOURS HIPPIQUE INTERNATIONAL
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étapes Coupe du monde FEI de Jumping, Dressage Attelage et Poneys.
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soirées sport et spectacle : jumping de haut niveau et spectacle équestre inédit.
INFORMATIONS PRATIQUES
Du mercredi 29 octobre au dimanche 2 novembre Lyon - Eurexpo Boulevard de l’Europe 69680 Chassieu
Horaires du salon :
Du mercredi 29 octobre au vendredi 31 octobre de 8h30* à 20h30
Nocturne • samedi 1er novembre de 8h30 * à 22h30
Dimanche 2 novembre de 8h30 * à 19h00
Horaires susceptibles d’être modifiés
*Accès à la tribune de la Carrière Internationale à partir de 8H00
L’APPLI EQUITA !
Une application dont les fonctionnalités vous permettront en quelques clics de sélectionner le programme des compétitions, des différentes animations ou de trouver rapidement l’emplacement des stands recherchés.
BILLETTERIE equitalyon.com
Points de vente habituels : Carrefour - Fnac - Géant - Magasins U Ou sur carrefourspectacles.com fnac.com - francebillet.com
INFORMATIONS PRATIQUES
INFORMATIONS BILLETTERIE
Village des startups Hippolia by Equita Lyon
PORSCHE APPROVED. L’OCCASION SIGNÉE PORSCHE.
Porsche Approved, c’est la promesse d’un contrôle rigoureux en 111 points, réalisé par des experts Porsche. Chaque pièce de rechange utilisée est exclusivement d’origine Porsche, garantissant une authenticité totale. À la clé, une garantie minimale de 12 mois, avec kilométrage illimité, pour rouler l’esprit libre.
Crédit photo : Simon Raveneau.
911 GT3 (08/01/2025) Valeurs WLTP : Consommation combinée de 13 l/100km. Plus d’informations sur le site www.porsche.com
Centre Porsche Lyon 4 Chemin des Anciennes Vignes 69410 Champagne-au-Mont-d’Or Tél. : 04 72 72 08 38 dealer.porsche.com/fr/lyon Pensez à covoiturer. #SeDéplacerMoinsPolluer
SACCAGE DE LA PRESQU'ÎLE LES COMMERCANTS RÉCLAMENT RÉPARATION
Devant l’absence de dialogue et le déni des écologistes de la Ville de Lyon et de la Métropole sur la situation économique et financière particulièrement préoccupante de nombreuses entreprises, le Collectif des Défenseurs de Lyon et du Grand Lyon lance une action juridique coordonnée d’ampleur pour obtenir l’indemnisation de ceux qui sont impactés par une baisse conséquente de leur chiffre d’affaires.
Après une étape de recensement confidentielle auprès des commerçants, artisans, entrepreneurs de Lyon touchés par les conséquences des travaux urbains gigantesques menés de manière simultanée, sans concertation et sans étude d’impact, sur tout le territoire pour restreindre l’accès des voitures à la ville, le Collectif des Défenseurs de Lyon et du Grand Lyon a désormais la certitude que les acteurs économiques de la ville sont touchés de manière significative et durable par la spécificité lyonnaise.
DES MILLIONS D'EUROS DE PERTES
Devant l’ampleur des pertes réelles qui affectent les entreprises, déjà estimées à plusieurs millions d’euros dans leur globalité, une action juridique coordonnée à grande échelle, est proposée à l’ensemble des personnes impactées.
Le Collectif invite tous ceux qui souhaitent rejoindre ce recours coordonné et en connaitre les conditions, à remplir le questionnaire en ligne, destiné à estimer si les conditions sont réunies, notamment concernant : la perte de chiffre d’affaires, la perte de valeur du fond, la durée et nature de l’impact et la zone géographique concernée. Les données sont confidentielles, anonymes et sans engagement.
Une fois le questionnaire renseigné, les personnes intéressées recevront un mail avec l’ensemble des informations pour participer au recours. A l’heure où nous bouclons ce magazine, plus de 250 commerçants ont participé à ce recensement inédit.
Marco Polisson
Rédacteur en chef
> Lien du formulaire : https://forms.gle/nan7vkeXrVBAbw349 et sur la page Facebook du Collectif des Défenseurs de Lyon
THE RIVIERA RESTAURANT CLUB
Du mercredi au dimanche midi & du mercredi au samedi soir Mercredi soir DJ résident Philippe Jacquet
Réservation au 04 72 27 82 91 contact@therivieracollonges.fr
JUILLET
56 PEOPLE SPORT CRITÉRIUM DU DAUPHINÉ LOU — RACING
61 PEOPLE EVENTS LES 17 ÉVÈNEMENTS QU’IL NE FALLAIT PAS
Lyonpeople.com n°262 - juillet/août 2025
Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler
Couverture : Jean-Claude Lavorel par Jean-Luc Mège
Directeur de la publication Nicolas Winckler - nw@lyonpeople.com
Directeur de la rédaction Marc Engelhard
Rédacteur en chef Marco Polisson - marco@lyonpeople.com
Rédacteur en chef adjoint Morgan Couturier - morgan@lyonpeople.com
Journalistes Margaux Nourry, Philippe Lecoq, Jocelyne Vidal
Directrice des annonces légales Sophie Bardol - sophie.bardol@lyonpeople.com - 06 29 66 41 04
Chef de publicité Flavie Laforêt - flavie@lyonpeople.com - 06 11 19 04 43
Assistante de direction Marie Bugnet - marie@lyonpeople.com
Assistante commerciale TOP 500 Camille Megido - camille@lyonpeople.com
Conseillère éditoriale Françoise Petit - francoise.petit@lyonpeople.com
Photographes Saby Maviel, Jean-Luc Mège, Alexandre Moulard, Bertrand Perret Ont collaboré à ce numéro Laurette, Jocelyne Vidal, Christian Mure, Jacques Bruyas, Fanny Suteau Diffusion (1200 points) Agence Coyote Diffusion
Ce magazine est disponible gracieusement en version numérique sur le site lyonpeople.com
Supplément de www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 177 160 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier. Dépôt légal à parution. ISSN : 1952-7772.
SÉMINAIRES
LANCEMENT DE PRODUITS
GROUPE EUROSONO LYON
Parc d’Yvours, bat. B9 2, rue d’Yvours - 69540 IRIGNY
GROUPE EUROSONO ANNECY 55, route de la filière - 74370 Charvonnex
Sous les applaudissements des commandants Marco Polisson, rédacteur en chef Lyon People, Nicolas Winckler, directeur du TOP 500 des Lyonnais et Laurent Abitbol, Pierre Oliver, Jean Michel-Aulas et Nicolas Sarkozy actent l'union sacrée pour Lyon
Devant 545 décideurs lyonnais réunis à l’Abbaye Paul Bocuse, autour de Laurent Abitbol, parrain du gala Top 500 des Lyonnais, organisé par Lyon People, Jean-Michel Aulas et Pierre Oliver ont acté leur rapprochement. Peut-être fallait-il un entremetteur de prestige pour tout orchestrer. Pour pousser à l’action et au rassemblement. Dans ce rôle, Nicolas Sarkozy a donc eu la formulation idoine. Une phrase simple mais diablement efficace, lorsqu’elle est formulée par un ancien chef de l’État. « On ne rate pas les rendez-vous de l’histoire », prononça-t-il à l’intention de Jean-Michel Aulas. Sa prestance et ses talents d’orateur avaient déjà fait le reste. La tête dans les mains, l’ancien... président de l’OL avait compris. Difficile de passer outre ce message subliminal. Il lui fallait répondre à l’invitation. Ou plutôt à cette suggestion de l’ancien maire de Neuilly, lequel l’enjoignait à rendre à « cette ville que tu aimes tant, beaucoup de ce qu’elle t’a donné ». Des mots forts, venant d’un ami, auquel JMA ne demeura donc pas longtemps insensible. « À chaque fois que j’avais une
décision importante à prendre, je me retournais vers Nicolas », avoua d’ailleurs le « frère » du regretté Bernard Lacombe, une fois sur scène, sous le regard bienveillant du président de la Région Auvergne RhôneAlpes, Fabrice Pannekoucke et de son homologue du Département, Christophe Guilloteau
Invité par Nico et Marco à les rejoindre, Pierre Oliver apparut dès lors, comme le compagnon de route idéal. Un concurrent qui deviendrait un allié. « Ce que Pierre réussit en politique, peu de gens à son âge, peuvent le réaliser avec autant de brio. Il fait partie des gens qui donnent du sens à cette ville », déclara Jean-Michel Aulas, à destination de son cadet. La machine lancée, le fondateur de la Cegid mit même le pied à l’étrier : « Si Pierre décidait de nous rejoindre, il serait évident que nous serions beaucoup plus forts pour gagner ». Réponse de l’intéressé : « Avec JeanMichel, on s’entend très bien. Vous l’avez tous compris, on a un objectif en commun, c’est sauver notre ville. Nous allons tout faire pour tourner la page de cette mauvaise expérience écologiste ».
> Reportage complet dans notre magazine de septembre 2025
9 • juillet 2025 • lyon people
“J’AI
DU MAL À MA VILLE”
LE COUP DE GUEULE D’ALAIN CHEVRETTE
« J’ai du mal à ma ville, et j’en souffre.
Qu’es-tu devenu, toi Lyon, ville marquée du sceau de la flamboyance rayonnante de beauté pour celles et ceux qui savent te regarder ?
Qu’es-tu devenu tombé entre les mains d’irresponsables orgueilleux mégalomanes, ayatollah de l’écologie ?
Quel est ce besoin absolu de vouloir occuper l’espace, place Bellecour défigurée, envahie de structures en bois ou sont accrochés des tissus ou je ne sais quoi, cassant la perspective, obstruant la vue sur la colline de Fourvière et sa basilique, de la statue Louis XIV et des immeubles l’entourant.
Une désolation, un massacre, ils n’ont rien compris. Bellecour est une place qui se traverse, elle n’est pas faite pour stationner.
Rue éventrées, pistes cyclables anxiogènes d’où surgissent des marées de vélos à droite à gauche, qui d’ailleurs n’empêchent pas certains de continuer à rouler sur les trottoirs où vous vous faites insulter avec un doigt d’honneur à vos remarques, bacs à compost ou épluchures, arêtes de poissons et autres déchets alimentaires le tout macérant dans un jus dégoulinant dans une odeur pestilentielle au bonheur des rats et autres animaux.
Toute cette transition s’est faite d’une façon tellement violente à l’image de notre société. Oui, j’ai du mal à ma ville et j’en souffre. »
Alain Chevrette, artiste peintre, le 28 juin 2025
Aberration Montée du chemin neuf
« Scandale pour tous les Lyonnais, le site le plus connu vire à l’aberration. Nous ne pouvons plus, de Fourvière, rejoindre en voiture le quartier Saint Jean où il y a tous les restaurants, les boutiques, car pour accéder dans le vieux Lyon la circulation nous impose soit de passer par Vaise ou par la descente de Choulans. Pourquoi faire simple, c’est tellement mieux de faire compliqué. Comment font les touristes et pas que les touristes nous aussi Lyonnais nous sommes privés de simplicité. Tout est devenu un non-sens, de moins en moins de stationnement, de plus en plus d’interdictions, les commerçants souffrent. Leur but : faire de notre belle ville une cité dortoir. »
Martine Rouby, le 17 mai 2025
Pollution
L'espièglerie de Jean-Marc Requien
« Salut mes Belins/Belines, Voilà 92 ans que je respire l’air du Lyonnais, et je n’ai jamais manqué autant d’air que depuis quelques années, et je leur en veux à tous ces c…. qui ont voté écolos. Vous savez, ces illuminés qui confondent aménager et détruire, ceux qui multiplient les travaux sans urgence, afin de multiplier les bouchons qui multiplient la pollution, et la boucle est bouclée, car ils ont ainsi tous les prétextes pour nous pourrir la vie. De la même façon nos technocrates qui prétendent que plus on roule vite, plus on pollue ont tort, c’est même le contraire, car en faisant rouler une voiture à 50kmh, elle va mettre 2h pour parcourir 100km, en consomment 5l, et la même voiture à 100kmh, va consommer 7 l, mais en ne polluant que pendant une heure. Là aussi on confond consommation et pollution, puisque plus on roule vite, et moins on pollue. Il faut renvoyer à l’école tous ces guignols… »
André Morel, sur lyonpeople.com, le 18 juin 2025
Photo Jean-Luc Mège
Une mobilité tournée vers le futur.
Nous sommes Audi.
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A 0g CO2/km
Consommation électrique combinée : 16,3–19,4 kWh/100km. Émissions de CO2 mixtes : 0 g/km.
Gamme Audi Q6 e-tron : consommation électrique en cycle mixte WLTP (kWh/100 km) : 16,3 - 19,4. Rejets de C02 en cycle mixte WLTP (g/km) : 0. Valeurs liées à la configuration du véhicule et susceptibles d’évolution. Valeurs au 27/03/25, susceptibles d’évolution. Depuis le 1er septembre 2018, les véhicules légers neufs sont réceptionnés en Europe sur la base de la procédure d’essai harmonisée pour les véhicules légers (WLTP), procédure d’essai permettant de mesurer la consommation de carburant et les émissions de CO2, plus réaliste que la procédure NEDC précédemment utilisée. Publicité diffusée par le concessionnaire CENTRAL AUTOS enregistré à l’Orias sous le n°7032704 en qualité d’intermédiaire en opération de banque à titre non exclusif de VOLKSWAGEN BANK. CENTRAL AUTOS - Société par Actions Simplifiaée au capital de 1 024 200,00€ - 49 bis boulevard Lucien Sampaix - 69190 Saint-Fons.
Lancée le 14 avril dernier, l’application web Libélaw vise à simplifier la vie des avocats. Créée par la Lyonnaise Victoire Bern et son frère Maxence, celleci tend à mettre en relation les hommes et femmes de loi pour faciliter les substitutions et éviter des trajets parfois très éloignés. Un « outil intuitif », prompt à ériger un véritable « cercle vertueux » C’est là toute la beauté du progrès, il vous interroge sur les errements du passé et met en lumière ses bienfaits sur le futur. Un mois à peine après son lancement, l’application Libélaw en est la récente illustration, celle-ci donnant raison à Sénèque, et sa définition du progrès, axée sur la « volonté de progresser ». La profession d’avocat ne dira pas le contraire, depuis que la plateforme initiée par la Lyonnaise Victoire Bern et son frère Maxence, se charge de révolutionner son quotidien. En effet, après six mois (dont 4 mois d’incubation à l’EM Lyon, ndlr) passés à rendre son application
« la plus intuitive possible », Libélaw a donc entrepris de changer les codes, simplifiant au gré d’une mise en relation, la vie de ces professionnels du droit, régulièrement amenés au fil des dossiers, à parcourir l’Hexagone.
UNE ÉCONOMIE DE TEMPS, D’ARGENT ET DE CO2
« Avant l’audience de plaidoirie, on a souvent plein de petites audiences de procédure où il doit y avoir un avocat, mais n’importe lequel. Dès lors, soit comme 55 000 de mes confrères qui font du contentieux, je vais à ces audiences sur tout le territoire, avec une grosse perte de temps et d’énergie, soit j’organise une substitution ou une postulation pour trouver un avocat qui va gérer à ma place, ces audiences de procédure », explique Victoire Bern, fondatrice du cabinet Boréal,
spécialisé en droit du travail et en droit pénal pour les entreprises. Un postulat singulier, dans lequel les déplacements s’accompagnent généralement de frais supplémentaires, à la charge du client. En effet, grâce à Libélaw, la simplification des substitutions devrait supprimer quelques dépenses inhérentes à ces missions, qu’il s’agisse de frais de transport ou de logement. « Avant, pour organiser ces substitutions, il fallait appeler le greffe, au secrétariat du tribunal, qui nous donnait une liste d’avocats, que l’on devait contacter un par un. C’était insupportable ! En moyenne, c’était 2h30 de monopolisées et qui ne sont pas rémunérées. Au cabinet, on s’est dit que ce n’était plus possible », poursuit-elle, forte de ses quinze années d’expérience.
UN ABONNEMENT POUR LES GRANDS CABINETS, UNE COMMISSION POUR LES PRESTATIONS À L’UNITÉ
Depuis, les temps ont changé. À l’instar de ces plateformes proposant de trouver le grand amour à travers différents profils, Libélaw promet en deux temps trois mouvements, de mettre en relation le demandeur et un « avocat ressource », selon la situation géographique de l’audience et le droit concerné. Mais aussi de ces étoiles, venant noter la prestation de ces hommes en noir. Un « match » gagnantgagnant, qui semble plaire, en atteste ce 1er prix Lyon Start-Up et French Tech, acquis fin 2024, au nez et à la barbe de 99 concurrents, mais aussi et surtout, ces quelque 250 utilisateurs ayant déjà adopté l’application. « On a gagné une crédibilité qui pour nous, était très importante, parce que l’on veut être l’acteur de référence de marché », souligne Maxence Bern, surpris par ce côté archaïque de la profession, qui empoisonnait la vie de sa cadette. « Il faut que ce soit hyper simple et que l’on puisse poster une mission en une minute. C’est essentiel ! Et c’est satisfaisant de voir qu’il y a désormais une réponse à ce problème rencontré depuis des années. D’autant qu’il y a une confiance en l’avocat ressource, parce qu’il est local et qu’il sait comment ça fonctionne sur son territoire », poursuit cet ancien expert en marketing chez Sanofi. « On vient créer une communauté et c’est ça qui est génial », complète sa sœur. D’autant que les clients peuvent être rassurés, leurs dossiers ont beau être partagés, ces derniers sont postés sur des serveurs français sécurisés. Une ultime attention pour une « garantie de succès ». Le tout résumé en un mot : liberté !
Contact : Sophie Bardol T. 06 29 66 41 04 sophie.bardol@lyonpeople.com
RÉGION DES LUMIÈRES
NOS VILLES VONT BRILLER DE MILLE FEUX
Le festival Région des Lumières signe son retour cet été. Les projecteurs sont braqués à tour de rôle sur huit sites qui font l’histoire de France... Cette 7e édition fera étape à Vienne, Roanne, Valence, SaintMartin-de-Belleville, Thonon-les-Bains, Firminy, le Puy-en-Velay puis Montluçon.
« Il s’agit d’une représentation de l’ensemble de notre territoire, des petites villes comme des grosses », présente Fabrice Pannekoucke, président de la Région. Ces spectacles de sons et lumières, initiés par son prédécesseur Laurent Wauquiez, comprennent d’ailleurs deux lectures qui promettent d’émerveiller.
Ils illuminent non seulement les façades des bâtiments historiques mais racontent également une histoire. « La Région des Lumières est l’occasion de parler de l’histoire et du patrimoine du lieu en support de projection pour se souvenir d’où nous venons », poursuit l’élu. Pour que l’illusion soit parfaite, « ce projet se trouve à la croisée entre le patrimoine et les nouvelles technologies de pointe », souligne Sophie Rotkopf, vice-présidente déléguée à la Culture. Afin de « sublimer notre patrimoine par l’art et la technique », selon le souhait du président de la Région, la collectivité a fait appel aux Allumeurs de Rêves de Gilbert Coudène (à découvrir page suivante). Ceuxlà même qui ont déjà émerveillé les visiteurs du Parc des Oiseaux autour du spectacle Les Nuits du Parc à l’instigation d’Emmanuel Visentin. L’idée de la Région est de faire un « cadeau » aux communes, à ses habitants. Car c’est bel et bien elle qui prend en charge l’entièreté du festival, à hauteur d’un peu plus de deux millions d’euros. Depuis six ans, le festival Région des Lumière, ce sont 57 spectacles dans 42 villes et plus de 3 millions de spectateurs. Et l’aventure promet d’être encore merveilleuse...
> Programme complet sur lyonpeople.com / Les spectacles
À LIVRES OUVERTS
“LES CAMBRIOLEURS”
de Fabio Viscogliosi
Une bande de copains égarés dans la vie mais soudés d'une affection mutuelle et d'une irresponsabilité collective n'acceptent pas une injustice faite à l'un des leurs, un affront et croix-roussiens d'un jour, croix-roussiens de toujours, ils se lancent dans une opération punitive qui les fait basculer soudainement de statut : de "branques" les voici "voleurs"...
L'auteur, lui, ne vole pas le lecteur, car musicien confirmé par plusieurs opus, auteur de BD, romancier et peintre, il sait entraîner ceux qui l’écoutent, le lisent ou adhèrent à son œuvre globale en un univers tout autant symbolique que réel. Une œuvre ! Éditions Actes Sud / 200 pages / 18,50 €
“BOEMELBURG”
de Gérard Chauvy et Philippe Valode
Personnage oublié, Karl Boemelburg, est un homme très expérimenté lorsqu'il prend la tête de la Gestapo à Paris à l'été 1940. Âgé de 55 ans, il dispose d'une large liberté d'action. S'appuyant sur ses relations établies avant-guerre avec la police française, il mène la lutte contre la Résistance communiste, gaulliste, indépendante. Dès 1942, après qu'il eut couvert le pays d'une vingtaine de KDS et asservi les spécialistes des renseignements de l'Armée (l'Abwehr), il parvient à arrêter les principaux chefs des résistances françaises : le général Aubert Frère (ORA), le général Charles Delestraint (Armée secrète) et Jean Moulin, le président du Comité national de la Résistance. Éditions Nouveau Monde / 398 pages / 24,90 €
“CAHIER
Texte : Margaux Nourry – Photo DR
Textes : Jacques Bruyas
DE VACANCES”
de Stéphane Bern
Cet été, alliez détente et culture avec votre nouveau cahier de vacances ! Stéphane Bern vous emmène à travers le temps et les savoirs pour une aventure captivante et divertissante. Découvrez l’Histoire, la mythologie grecque, les grands philosophes, Notre-Dame de Paris, la littérature ou les batailles célèbres... Plus de cent jeux variés – quiz, mots croisés, sudokus et anecdotes surprenantes. Suivez-le pour éveiller votre curiosité et apprendre en vous amusant. Mais un petit cahier de petits devoirs pour de courtes vacances si l'on en juge par l’épaisseur de l'ouvrage. "C'est un peu court jeune homme !" de qui est le début de cette fameuse tirade ?
Éditions Fayard/ 64 pages/ 9,90 €
“ARISTOTE MON PÈRE”
d’Annabel Lyon
Pythias, la fille d’Aristote, a été élevée à l’égal des hommes. C’est elle, et non son frère cadet, qui assiste Aristote dans ses travaux, provoquant les collègues de son père et se rêvant en philosophe, scientifique ou sage-femme. La mort d’Aristote disperse ses biens et sa famille à travers la Macédoine, laissant Pythias seule, en décalage avec cette société qui nie l’existence d’une conscience féminine et l’oblige à se confronter à la réalité d’un monde dont elle s’était toujours tenue écartée. Une belle plongée dans l'antiquité par une auteure canadienne savamment inspirée et délicatement stylée poussant l'élégance naturelle pour nous d'avoir pour patronyme le nom de notre ville. Éditions La Table Ronde / 320 pages / 8,90 €
DU 20 SEPTEMBRE AU 30 NOVEMBRE 2025
OUVERTURE PROCHAINEMENT
quand l’art réinvente le quotidien !
DU CENTRE D’ÉCHANGES DE LYON PERRACHE
Entrée par les escalators de la Place Carnot - Lyon 02
EXPOSITION IMMERSIVE
+ 40 ARTISTES BOUTIQUE
ATELIERS & RENCONTRES
FLASHS CUSTOM
avec le soutien
ALLUMEURS DE RÊVES
COMMENT GILBERT COUDÈNE ALLUME LE FEU DU FESTIVAL RÉGION DES LUMIÈRES
A la demande de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, et pour la septième année consécutive, Gilbert Coudène et ses équipes vont arpenter cet été encore des villes de la région avec des spectacles musiques et lumières gratuits donnés à la tombée de la nuit (lire page précédente). Huit sites et leur patrimoine remarquable ont été retenus pour ces rendez-vous magiques à destination de tous les publics, petits et grands. Attention, succès populaire assuré...
Car autant l’écrire tout de suite, le Festival Région des Lumières initié en 2019 par Laurent Wauquiez – précurseur au Puy-en-Velay – ce ne sont pas moins de 57 spectacles dans 42 villes différentes et plus de 3 millions de spectateurs partout en Auvergne-Rhône-Alpes. Dont le fabuleux « Fourvière en voix », projeté en décembre sur la façade de la basilique Notre-Dame de Fourvière, hommage aux femmes, qui a joué
deux années de suite rassemblant un million de spectateurs. Magnifique. Saisissant. Juste beau. Son successeur Fabrice Pannekoucke, président de la Région Auvergne-RhôneAlpes, lors de la présentation officielle de la saison 2025 : « Le Festival Région des Lumières représente bien la volonté que nous avons à la Région de réunir les habitants autour de ce qui cimente notre identité, à savoir notre culture et notre patrimoine. Pour que la féérie soit à
la portée de tous, un accent particulier est mis sur l’accessibilité pour le public en situation de handicap.(1) »
CHAQUE SPECTACLE EST UNE CRÉATION UNIQUE DE LA TEAM DES ALLUMEURS DE RÊVES
Cette équipe est dirigée par Gilbert Coudène avec Estelle Baudet à la production et à la direction musicale, création adaptée à la particularité des monuments et imaginée en lien avec les villes d’accueil. La création artistique s’inspire ainsi de la richesse du patrimoine culturel et historique du territoire, et le valorise grâce à toutes les techniques de mises en lumière spectaculaires, comme le vidéo-mapping, 2D, 3D, les effets spéciaux, l’animation ainsi que des arrangements musicaux. Toute l’ambition du Festival est
< De gauche à droite, Gilbert Coudène, Céline Linguagrossa, Barbara Coudène et Estelle Baudet
lyon
Vienne
d’offrir des spectacles monumentaux inédits et gratuits qui mettent à l’honneur l’histoire et le patrimoine exceptionnels de la région. Et justement, le terroir, le territoire et ses joyaux, sont la marque de fabrique de Gilbert Coudène dans le monde du mapping vidéo. C’est sa patte. Et son succès. Dans la région, comme à l’international. Chaque histoire que ce concepteur lumière lyonnais scénarise et met en scène est un hommage à un lieu, à ses habitants, à son histoire, et à ses secrets, qui font sa réputation... Et chacun s’y reconnait. Sophie Rotkopf, vice-présidente déléguée culture et patrimoine à la région, résume bien la philosophie du Festival Région des Lumières : « Bénéficiant tant aux villes qu’aux villages, il s’inscrit dans une démarche originale respectueuse de l’équité entre les territoires et la diversité des patrimoines et des époques ».
Une cinquantaine de professionnels s’investissent sur chaque projet : scénaristes, scénographes, illustrateurs, dessinateurs, maquettistes, animateurs, motion designer, spécialistes de la musique à l'image, design lumière, responsable individuel des photos et techniciens pour la projection... issus d’entreprises régionales comme Vendredi 4 ; Big Company ; Leslie Epsztein ; BK ; ou encore So Warp et Septième Sens... Une conclusion Gilbert ? « Notre credo, apporter du plaisir, des liens intergénérationnels, des sourires, des « wahouou », valoriser les traditions, les nouveautés, l’identité des territoires, créer de la fierté, donner des moments de bonheur aux spectateurs ».
(1) Des spectacles handi-accueillants
Demandez le programme été 2025 !
• Vienne (Isère) - Hôtel de Ville : du 20 juin au 13 juillet, de la nuit tombée à minuit.
• Roanne (Loire) - Jardin du musée Joseph-Déchelette : du 28 juin au 19 juillet, de la nuit tombée à 23 h 30
• Valence (Drôme) - Cathédrale Saint-Apollinaire : du 19 juillet au 22 août, de la nuit tombée à 23 h 30.
• Saint-Martin-de-Belleville (Savoie)Sanctuaire Notre-Dame-de-la-Vie : du 26 juillet au 17 août, de la nuit tombée à 23 h 30
• Thonon-les-Bains (Haute-Savoie) - Hôtel de Ville : du 2 au 24 août, de la nuit tombée à 23 h 30
• Le Puy-en-Velay (Haute-Loire) - Église des Carmes : du 9 au 31 août, de la nuit tombée à 23 h 30
• Firminy (Loire) - Château des Bruneaux : du 23 août au 14 septembre, de la nuit tombée à 23 h
• Montluçon (Allier) - Église Notre-Dame - MUPOP : du 30 août au 21 septembre, de la nuit tombée à 23 h 30.
Afin que tous les publics puissent profiter de ces spectacles musiques et lumières, un dispositif spécifique est prévu par le centre de recherches et d’innovations Swing le Lab dirigé par Barbara Coudène, pour les personnes en situation de handicap :
- Un accès facilité aux personnes à mobilité réduite (circulation pour accéder au site, stationnement, emplacement réservé pour voir le spectacle...)
- Une version en audiodescription de chaque spectacle (prochainement disponible)
- Un plancher vibrant installé sur certaines dates (soirée de lancement de chaque spectacle)
- Enfin, une captation de chaque spectacle permettra la diffusion aux personnes qui n’ont pas la possibilité de se déplacer (les résidents en EPHAD, notamment).
Roanne
Saint-Martin-de-Belleville
Vienne
CAP SUR LES BONNES ADRESSES DE L’ÉTÉ
Westfield La Part-Dieu DU SHOPPPING, DES RESTOS ET DES LOISIRS
!
Entre enseignes iconiques, concepts tendances et boutiques responsables, Westfield La Part-Dieu propose une sélection shopping à la hauteur des envies estivales.
Avec plus de 300 boutiques, dont une trentaine de restaurants, un rooftop panoramique, des activités de loisirs ouvertes 7j/7, Westfield La Part-Dieu s’impose comme la destination idéale pour profiter des beaux jours.
UNE SÉLECTION D’ENSEIGNES À LA POINTE DES TENDANCES
Envie de renouveler sa garde-robe pour les vacances ? Westfield La Part-Dieu dispose d’un large panel d’enseignes de mode pour préparer sa valise d’été. Les visiteurs peuvent composer leur look estival chez Uniqlo, Stradivarius ou Bershka. Côté accessoires, l'été ne serait pas complet sans la quête du maillot de bain parfait, à dénicher chez Victoria’s Secret ou Calzedonia. Pour les lunettes de soleil, direction Jimmy Fairly ou Grand Optical
Pour la beauté, l’enseigne Joo Beauty a récemment ouvert ses portes dans le centre au Niveau 0 dans l’allée des tendances au cœur de la Lanterne. Ce concept unique à Lyon spécialisé dans les cosmétiques coréennes permet de retrouver une sélection exclusive de produits et marques tout en bénéficiant de conseils personnalisés. En manque de soins ou d’après-soleil ? Des enseignes emblématiques comme Sephora et Nocibé vous attendent également à Westfield La Part-Dieu.
Avec plus de 300 enseignes déjà présentes, Westfield La Part-Dieu offre la plus grande sélection d’enseignes de la région. Le centre continue cependant de se renouveler pour mieux répondre aux attentes de ses visiteurs, avec de nombreuses nouvelles ouvertures prévues dans les semaines et mois à venir.
Les ouvertures à venir :
• Bel Chou’s : marque française proposant des chaussures en cuir de qualité à prix doux, s’installera dès juillet au niveau 1 du centre, à côté de C&A.
• Beauty Queen – ouverture en juillet 2025 : Cette enseigne, spécialiste de la beauté indienne, ouvrira prochainement ses portes au niveau 0, Entrée Garibaldi et proposera des soins du corps et du visage, de l’épilation et de la manucure.
• Mango Teen : marque du groupe Mango spécialisée dans les vêtements pour adolescents, s’installera pour la première fois à Lyon. Elle proposera des collections tendances, modernes et adaptées aux jeunes, alliant style, confort et accessibilité. Ouverture prévue au mois d’aout au Niveau 0 à côté d’Etam.
• Pop Mart : enseigne spécialisée dans la création et la vente de jouets de collection dits « designer toys », ouvrira ses portes en juillet au niveau 0, en face de Lolly’s. L’enseigne collabore régulièrement avec des artistes internationaux pour créer des personnages emblématiques tels que Labubu et Zimomo. Proposées dans des boîtes opaques, ces figurines surprennent et incitent les collectionneurs à compléter leur collection.
• Lacoste : après des travaux d’agrandissement, la boutique rouvrira en août dans un tout nouveau format, plus spacieux, au niveau 1, à côté des Galeries Lafayette.
UNE TRENTAINE D’ADRESSES GOURMANDES, UN ROOFTOP ET DES TERRASSES POUR SAVOURER L’ÉTÉ
Au niveau 3, « Les Tables » rassemblent une trentaine de concepts culinaires variés dans un cadre spacieux et contemporain, prolongé par un agréable toit-terrasse. On y retrouve aussi bien des enseignes incontournables comme Chikin Bang, Au Bureau, Sushi Way, que des adresses plus originales telles que Tropicool ou Panasia. Les terrasses de DS Café, IT Trattoria ou Temakinho invitent à profiter des beaux jours autour d’un déjeuner ensoleillé ou d’un dîner entre amis. Ouvert 7 jours sur 7, les Tables de Westfield La Part-Dieu répondent à toutes les envies, à toute heure de la journée.
les Nouveaux restaurants :
• Mezza bar : ouvrira en juillet et fera voyager les visiteurs au cœur de la cuisine libanaise.
• Le Paradis du Fruits ouvrira ses portes en août au niveau de l’espace « Les Tables » et proposera des boissons et snacks frais, colorés et gourmands, à base de fruits naturels, pour une expérience saine et vitaminée.
• La Belle Liégeoise ouvrira son pop-up au niveau 0, pour faire découvrir des gaufres authentiques, confectionnées selon la pure tradition belge.
DES LOISIRS POUR TOUTE LA FAMILLE, ACCESSIBLES DU LUNDI AU DIMANCHE !
À Westfield La Part-Dieu, les loisirs ne prennent jamais de pause : du lundi au dimanche, petits et grands peuvent profiter d’une offre variée pour se divertir en famille ou entre amis. Au programme : découverte du dernier film à l’affiche de l’UGC Ciné Cité Part-Dieu, une virée dans la salle d’arcade La Tête dans les Nuages pour un moment ludique sur plus de 2 100 m2 de jeux ou bien encore s’essayer à l’escalade ou l’accrobranche chez HAPIK, un univers de grimpe indoor et outdoor de plus de 700 m2, incluant un parcours d’accrobranche et un espace « première grimpe » dès 4 ans. Juste en dessous, un terrain de pétanque en libre accès permet à tous de s’initier à la discipline incontournable de l’été.
UNE PARENTHÈSE EN HAUTEUR : LE ROOFTOP EST OUVERT !
Situé sur le toit de la Lanterne (accès via le niveau 3, à proximité de HAPIK), le rooftop de Westfield La Part-Dieu est le spot idéal pour une pause en plein air. Vue panoramique à 360° sur Lyon et Fourvière, mobilier coloré, coins ombragés, tables de pique-nique... Tout est réuni pour savourer l’instant, du matin jusqu’au coucher du soleil.
ABEILLE ASSURANCES
D’OR
PAbeille Assurances Lyon Tête d’Or est là pour donner des ailes à votre avenir et vos projets.
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Abeille Assurances Lyon Tête d’Or apporte une solution à chaque situation. Cette nouvelle agence a ouvert ses portes en avril dernier dans le 6e arrondissement, à l’initiative de Tom Suc. Après neuf ans au Pôle assurance entreprise du Crédit Agricole, l’agent général a quitté le monde salarial pour se lancer à son compte
sous la bannière Abeille Assurances. Cette expérience professionnelle est aujourd’hui un atout pour Tom Suc et son équipe de collaborateurs. « Je dispose d’un réseau solide à Lyon et dans sa région. À moi de le mobiliser pour développer l’agence et m’imposer comme un acteur incontournable de l’assurance lyonnaise », affirme l’agent. Un positionnement qui pourrait bien distinguer son agence de la concurrence.
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Le contrat collectif d’assurance vie Afer Génération est souscrit par l’Afer auprès d’Abeille Vie et Abeille Epargne Retraite, entreprises régies par le Code des assurances. L’investissement sur un support en unités de compte présente un risque de perte en capital.
Abeille IARD & Santé : Société anonyme d’Assurances Incendie Accidents et Risques Divers au capital de 344 822 425 €. Entreprise régie par le Code des assurances.
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Rive gauche du Rhône, face au centre-ville barricadé, nous avons retrouvé dans le sixième arrondissement beaucoup plus accessible Thierry et Albert qui ont fait notre bonheur pendant vingt-trois ans chez Albert rue Fernand Rey derrière la place Sathonay. Ils avaient envie de changement et ont repris en mai 2022 Chez les Garçons avec vingtquatre couverts en terrasse et quarante à l'intérieur... Un restaurant de bric et de broc créé par Patrick Reverchon et Bruno Fougerat qui avaient connu leur heure de gloire à L'Assiette en Douce, rue Sainte Hélène : l'adresse la plus branchée de la ville où c'était vraiment la folie !
CHEZ LES GARCONS
BUFFET DE DESSERTS ET DÉCOR HORS DU TEMPS
LE PREMIER BONHEUR DU JOUR EST POUR TOUT
LE MONDE
Le café dès 7h15 du matin avec tous les habitués du quartier : avocats, architectes, notaires, immobilier, professions libérales... Chaque midi, comme au temps béni de L'Assiette en Douce dans les années 1980 avant les gilets jaunes, le Covid, la vache folle, la guerre en Ukraine, le chikungunya et les
khmers verts... on a le choix entre quatre plats du jour. Comme un délicieux kefta de bœuf à l'orientale sauce au yaourt, une entrecôte de bœuf sauce tartare, un filet de mostelle jus de Curaçao ou un suprême de volaille à la provençale.
Le plus étonnant reste le buffet de desserts – plutôt le billard de desserts – qui termine en beauté votre déjeuner : crumble, gâteau au marron, tarte praline, tarte citron, œufs à la neige, salade de fruits, crème caramel... Le temps n'a pas de prise sur eux : “Tout le monde est bien accueilli” est leur philosophie au bout de quarante-cinq ans d'un métier qu'ils adorent !
Enfin une bonne nouvelle et un rayon de soleil dans le ciel de la Presqu’île décidément bien sombre à l’heure de sa fermeture. L’ancien Bar américain – transformé en boudoir baroque par le décorateur Jacques Garcia pour le parisien Frank Delafon en 2012 – ne sera pas transformé en fast-food ou en supermarché. Et non plus en bar à
bière, comme on l’a entendu dire lors de son rachat en 2023 par les boss de la nuit Pépine (ex Imprévu) et son fils Mika. Père et fils ont donc passé la main deux ans plus tard à un jeune et nouvel entrepreneur lyonnais bien connu du côté du Groupama Stadium et de l’Olympique Lyonnais.
Thomas Belleteste (45 ans) vient de clôturer 20 saisons consécutives au sein de l’OL. Issu du centre de formation commerciale de Sportfive et poli à la rude école du coach Serge Bex, il a mouillé le maillot de notre club de cœur et grimpé les échelons, passant du statut de chef de publicité junior jusqu’au poste de Sponsorship Sales Manager, aux côtés de Virginie Adnet, Xavier Oddone et Cyrille Groll. Thomas n’arrive pas les mains dans les poches pour entamer ce nouveau défi professionnel dans cette institution lyonnaise qui a connu son heure de gloire sous la tutelle de Béatrice Denis, dont Monsieur Paul adorait les petits-déjeuners.
Le nouveau patron entend bien capitaliser sur cet historique avec ses associés. En l’occurrence les patrons du groupe familial Degenne (400 collaborateurs et 40 M€ de CA). Ce groupe de restauration est présent à Tours, Clermont-Ferrand, Nantes et au Mans (notamment avec les enseignes Madeleine et Maison Gloria).
À Lyon, c’est donc Thomas Belleteste qui a la responsabilité de remettre l’établissement sur de bons rails. Avec son équipe, ils viennent de prendre possession des lieux et vont s’acclimater pendant 6 mois à son environnement et à sa ZTL. Pour l’heure, ils mettent l’accent sur la qualité du service et des mets pour faire revenir les Lyonnais. Ensuite, il sera temps d’engager des transformations à l’horizon début 2026, tout en respectant l'âme de l'établissement.
PRESQU’ÎLE DE LYON Menaces sur le Café Perl
L’un des trois derniers grands cafés des Cordeliers a plié bagage. L’inquiétude est de mise quant à l’avenir de son local.
11h du matin, vendredi 13 juin 2026. Pas un chat sur les terrasses du Grand café des Négociants et du Café Perl, 2 place Francisque Regaud au cœur de la Presqu’île. Les deux établissements emblématiques de la rue Edouard Herriot subissent de plein fouet le vandalisme urbain des écologistes depuis la fermeture de la rue Grenette. Les marteaux piqueurs résonnent au milieu des camions et des engins de chantier qui obstruent la Presqu’île depuis plus d’un an.
À cet environnement délétère s’ajoute un différend qui oppose Joseph et Sébastien, les gérants et propriétaires du fonds de commerce depuis 1997, au propriétaire des murs. Ce dernier voulait tripler le loyer et, après avoir trouvé un « accord » a décidé de reprendre possession des lieux. Il entend, selon nos informations, faire table rase du bar existant et de sa terrasse. Cette éviction effective depuis le 30 juin 2025 a entraîné le licenciement économique des 15 salariés de l’établissement. Le dernier service était programmé pour le jeudi 26 juin. Que va devenir le local entièrement vidé de son mobilier –dont un magnifique bar signé Les Etains de Lyon ?
Dans un contexte de paupérisation galopante consécutive aux projets de piétonisation, commerçants et riverains sont inquiets, d’autant que la mairie écologiste a laissé le fast-food KFC s’installer au 12, rue de la République. À l’heure où nous publions, nous n’avons pas encore la réponse à cette question sensible.
ations, jeux… Cet été, nous avons tout prévu. Profitez ! tassinlademilune.fr
Du 27 juin au 9 août 2025 Spectacles, ateliers, anim
Photo
Yves Colas
UNE HISTOIRE BÂTIE SUR DES COUPS DE CŒUR
Jean-Claude Lavorel est un pur entrepreneur, au parcours atypique, qui a construit une véritable success story.
1989 : Jean-Claude Lavorel décide de créer sa propre entreprise et fonde le Groupe LVL Médical. Secteur de l’assistance médicale à domicile.
2008 : 1ère acquisition de l’hôtel La Potinière à Courchevel 1850, rénové en hôtel. Les Suites de la Potinière 5*
2012 : De l’hospitalier à l’hospitalité. Vente de LVL Médical, qui permet à l’entrepreneur de se consacrer à sa passion de l’hôtellerie.
2012 : Acquisition du prestigieux Château de Bagnols 5* dans le Beaujolais.
2014 : Rachat du Hilton Lyon à la Cité Internationale passé depuis janvier 2015 sous le pavillon Marriott (contrat de franchise).
2015 : Création de Lavorel Hotels
2017 : Acquisition de Lyon City Boat rebaptisé Les Bateaux Lyonnais.
2018 : Achat du Palace de Menthon 5* au bord du lac d’Annecy et du Chabichou 5* (restaurant 2 étoiles Michelin) à Courchevel 1850. Ouverture du 1er Kopster Hotel à Lyon.
2020 : Achat du Jules Verne 4* à Yvoire au bord du lac Léman.
Acquisition du Grand Hôtel Courchevel 5* à Courchevel 1850.
2021 : Acquisition du Château des Ravatys, domaine viticole au cœur du Beaujolais.
Acquisition de l’hôtel Hyatt Regency Chantilly, devenu Le Grand Pavillon Chantilly 4*
2023 : Ouverture du 2ème Kopster Hotels & Résidence Paris Ouest Colombes
2024 : Ouverture du 3ème Kopster Paris Porte de Versailles
LES 10 ANS DU Groupe
Lavorel Hotels
HISTOIRE
GROUPE LAVOREL HOTELS
LES 10 BOUGIES
Fondé en 2015 par Jean-Claude Lavorel, le groupe hôtelier lyonnais indépendant Lavorel Hotels se distingue par des destinations d’exception constituant sa Collection. Par leur architecture iconique, leur histoire, leur caractère unique, par leur patrimoine, cette volonté de défendre le beau, et de le faire bien, chacun des établissements Collection est un lieu écrin. JV
La marque Kopster constitue la touche urbaine et chic du portefeuille du groupe, tandis que les initiatives variées comme Les Bateaux Lyonnais et le Château des Ravatys montrent une volonté d’innovation continue.
Avec ses 12 établissements, le groupe refuse la standardisation de l’hospitalité, privilégiant une expérience client raffinée, singulière mais décomplexée.
DE L’HOSPITALIER À L’HOSPITALITÉ
Après une première carrière en tant que commercial, à la trentaine, Jean-Claude Lavorel se lance dans le domaine du médical pour prendre soin de son prochain, et pense une offre de prise en charge à domicile pour sortir le patient de l’hôpital, de sa monotonie stérile. Plus volontiers « take care » que « take cure », avec ses initiatives inventives, il pose déjà des tenants qui vont bien au-delà des business plans : apaiser, rassurer, faire
ressurgir l’enfant en chacun par les odeurs, les chansons, réinjecter de la joie, face aux seringues et aux traitements. Pendant trois décennies, son entreprise LVL Médical partage le goût de l’effort et du progrès. Sa revente de l’activité, en 2012, n’aurait su le convaincre de s’arrêter : démarrant avec Les Suites de la Potinière, l’autodidacte passe de l’hospitalier à l’hospitalité.
LA VISION D’UN LUXE DÉCOMPLEXÉ
Le groupe honore toujours sa promesse : contrer la standardisation de l’hospitalité, donner du panache aux adresses. Cette tendance à sortir du lot ne vient pas seulement des orientations stratégiques ; elle se consolide à chaque fois qu’un collaborateur suggère une piste d’amélioration, qu’il présente un projet pouvant dynamiser la valeur perçue ou dynamiter les préconçus. Ce management collaboratif se double d’une priorité donnée
aux promotions internes, ce système pulse dans tous les établissements ; il est câblé proposition et axé solutions. Ici, on favorise la discussion franche, on étudie la faisabilité, on tranche, puis on se retrousse les manches. Chez Lavorel Hotels, le fait qu’il n’y ait pas de route toute tracée permet d’accueillir toutes celles et ceux qui veulent déborder des cases, et faire valoir leur débrouillardise.
Quelques chiffres
1 136 clés dans le trousseau du Groupe Lavorel Hotels
650 collaborateurs
91M€ de chiffre d’affaires en 2024
34M€ de résultat brut d’exploitation en 2024
Acquis en 2012, le Château de Bagnols est le second hôtel acheté par Jean-Claude Lavorel
Le groupe possède aujourd’hui des établissements emblématiques, principalement situés dans des lieux d’exception en France, notamment en Rhône-Alpes et en Île-de-France. Avec une collection de 10 hôtels 4 et 5 étoiles, un domaine viticole et une compagnie fluviale, Lavorel Hotels incarne l’alliance parfaite entre raffinement, innovation et singularité. JV
Château de Bagnols
Vivez l’expérience du château à la française au cœur du Beaujolais, dans l’élégance de 27 suites, entre charme historique et design contemporain. Ce joyau architectural du XIIIe siècle, classé 5 étoiles, marie gastronomie d’exception avec son restaurant le 1217, et bienêtre absolu avec son spa Sothys niché au milieu des vignes. Un cadre enchanteur, idéal pour des réceptions inoubliables ou séminaires au vert.
Le Chabichou
Etablissement emblématique de Courchevel 1850, Le Chabichou incarne l’excellence sous toutes ses formes. Imaginez un chalet 5 étoiles abritant un restaurant doublement étoilé, orchestré par le Meilleur Ouvrier de France Stéphane Buron. Détendez-vous dans le plus grand spa de la station, en partenariat avec la marque Shiseido, et profitez d’un emplacement exceptionnel au pied des pistes. Le tout, depuis l’élégance raffinée de 41 chambres et suites d’exception.
Le Palace de Menthon
Offrant une vue panoramique sur le lac d’Annecy, ce joyau architectural 5 étoiles saura vous séduire avec le confort raffiné de ses 66 chambres, suites et de la villa privative, son restaurant et bar au style néo-classique et son spa Sothys. L’expérience se prolonge les pieds dans l’eau, avec une plage privée et son restaurant, ainsi que la possibilité d’accoster directement à l’hôtel en bateau. Un cadre idyllique également pensé pour accueillir des événements d’exception.
Hôtel 5 étoiles situé au cœur de la station et au pied des pistes du Domaine des Trois Vallées, Les Suites de la Potinière mêlent flocons et étoiles pour des nuits aussi belles que vos journées, dans 15 suites élégantes et un spectaculaire appartement duplex de 450 m2. Pour votre bien-être, un spa Shiseido et une piscine intérieure chauffée complètent cette parenthèse enchantée.
Le Grand Hôtel Courchevel 1850
Tradition savoyarde, confort et modernité se mêlent avec raffinement au cœur de Courchevel 1850 dans les 34 chambres et suites de cet hôtel 5 étoiles entièrement rénové. Situé sur les pistes, il offre une vue spectaculaire sur toute la vallée. Attablé au restaurant italien « Chic Nonna », savourez un panorama unique sur les sommets, avant de prolonger la soirée au coin du feu.
Marriott Lyon Cité Internationale
Situé entre les rives du Rhône et le Parc de la Tête d’Or, le luxueux hôtel 4 étoiles Marriott Lyon Cité Internationale offre un équilibre unique entre travail, détente et affaires. Avec ses 204 chambres et suites spacieuses, sa brasserie Zucca et sa terrasse donnant directement sur le parc, cet établissement est une escale de choix, parfaitement équipé pour accueillir des événements de grande ampleur dans ses 2 300 m2 d’espaces de réception.
Kopster Hotels, marque urbaine chic créée par le groupe, compte aujourd’hui des adresses à Lyon, Paris et Colombes. Ces hôtels 4 étoiles allient convivialité et originalité, offrant des lieux de vie uniques où ancien et moderne se rencontrent avec audace. On y retrouve des animaux, un peu partout, qui ajoutent une touche ludique à l’ambiance cosy et stylée. Objets vintage, touches tropicales et matériaux chaleureux créent un cadre à la fois chic et accueillant. Confort ultra cosy, esprit décalé — bienvenue chez Kopster, comme à la maison, mais en mieux.
Les Bateaux
Lyonnais
En parallèle de son offre d’hôtellerie, le groupe opère sur Les Bateaux Lyonnais, une flotte élégante de bateaux dédiés à la restauration et aux événements sur le Rhône et la Saône. Ces embarcations uniques allient charme authentique et convivialité, offrant un cadre exceptionnel pour vivre des moments inoubliables au fil de l’eau.
Le Grand Pavillon Chantilly
La renaissance moderne des anciennes blanchisseries du Château de Chantilly, à seulement 45 minutes de Paris. Ce resort 4 étoiles labellisé Clef Verte, niché dans un écrin de verdure de 17 hectares, propose 215 chambres et suites alliant charme historique et confort moderne. Il dispose de 2 restaurants, Le Carrousel et Le Craft, d’un bar convivial, ainsi que d’un spa Sothys de 1 200 m2 pour des moments de détente. Avec 1500 m2 d’espaces événementiels, il est idéal pour des séminaires et réceptions de grande envergure comme plus confidentiels. Un cadre bucolique et raffiné pour une escapade inoubliable.
Château des Ravatys
Ce magnifique domaine viticole dans le Beaujolais, au pied du Mont Brouilly, vient compléter le portefeuille du groupe. 36 hectares de vignoble jouissent d’une alchimie parfaite entre tous les éléments pour une production de Brouilly, Côte de Brouilly, Chardonnay et rosé, dans le respect du terroir. Ce lieu d’exception accueille mariages au cœur des vignes, réceptions privées et événements d’entreprise, alliant cadre bucolique, patrimoine et art de vivre.
“UN ESPRIT DE BIENVEILLANCE ET DE PERFECTIONNISME ANIME NOS ÉQUIPES”
Sa voix grave, teintée d’humour résonne dans les couloirs de son siège social perché au-dessus du Parc de la Tête d’Or, vaste cocon de verre baigné de lumière. Sur un mur, une photo insolite le montre en équilibre sur un chariot à bagages, clin d’œil espiègle face à un portrait classique signé Studio Harcourt. Tout est dit : Jean-Claude Lavorel incarne un luxe décomplexé, décliné à travers une collection d’hôtels 4 et 5 étoiles, aussi singuliers qu’exceptionnels. Loin des conventions, ce serial entrepreneur suit ses intuitions, animé par une énergie contagieuse et des projets « super excitants » pour la suite.
LP : Pouvez-vous nous raconter la genèse du groupe Lavorel Hotels et ce qui vous a inspiré au départ ?
JCL : J’avais déjà fait l’acquisition de deux hôtels en 2015, après la vente de mon précédent groupe, LVL Médical, et cela me paraissait évident de partir dans cette direction. Hospitalier et hospitalité partagent la même racine et surtout la même notion d’empathie. Dans la santé, où j’ai évolué plus de vingt ans, on prend soin des personnes. En hôtellerie, il s’agit de répondre aux attentes des clients — mais les qualités humaines restent les mêmes pour ces deux univers.
Parlez-nous de vos premiers coups de cœur hôteliers
Le premier fut La Sivolière à Courchevel 1850. Je cherchais un chalet quand je suis tombé sur cet hôtel plein de charme, posé sur les pistes, au milieu des sapins.
Les propriétaires n’étaient pas hôteliers et avaient agrandi cette maison familiale en aménageant des chambres petit à petit. Ici, pas de couloirs rectilignes ni d’architecture fonctionnelle : chaque espace racontait une histoire, avec ses escaliers, ses recoins mystérieux... Cette maison avait une vraie âme. Pour vous parler d’un autre véritable coup de cœur, en 2012, la presse régionale annonçait la mise en vente du Château de Bagnols, saisi par la banque Barclays après la faillite du groupe immobilier précédent, auquel l’avait vendu Lady Hamlyn. Je n’avais pas prévu de l’acheter, mais mon fils Benjamin m’a convaincu d’aller le visiter un jour entre midi et deux. Nous avons alors découvert ce château exceptionnel du XIIIe siècle, et j’ai fait une offre dès le début d’après-midi. Une heure plus tard, Barclays me rappelait : en à peine trois heures, la visite s’était transformée en achat !
Comment décririez-vous l’esprit Lavorel Hotels ?
Un esprit de bienveillance et de perfectionnisme anime nos équipes. Nos formations valorisent un management non directif, fondé sur l’empathie et la bonne humeur. L’esprit Lavorel Hotels, c’est avant tout une ambiance familiale, chaleureuse et authentique — jamais paternaliste — qui se ressent pleinement. Les clients le soulignent souvent, en particulier la gentillesse du personnel et ce premier sourire échangé dès l’arrivée.
Qui sont vos clients ?
Nos clients sont très divers selon les établissements. À Courchevel par exemple — notamment aux Suites de la Potinière, au Chabichou et au Grand Hôtel Courchevel — les particuliers sont majoritaires, avec 95 % d’étrangers. Le Palace de Menthon voit une fréquentation partagée entre Suisses et Français, tandis que les clients français, anglais et américains dominent au Château de Bagnols. Côté business, les organisateurs de séminaires restent majoritairement français, notamment au Marriott Lyon Cité Internationale, au Grand Pavillon Chantilly et dans les Kopster Hotels à Lyon et Paris Ouest Colombes.
Vous parlez souvent de « luxe décomplexé ».
Que cela signifie-t-il pour vous ? Pour moi, le luxe décomplexé, c’est avant tout une proximité vraie avec le client, un accueil chaleureux et sincère. Il ne s’agit pas d’être formel ou distant, mais au contraire d’instaurer une ambiance conviviale où chacun se sent chez soi, tout en respectant les codes du luxe. Fini le style guindé et ampoulé : ici, le luxe rime avec naturel, simplicité et confort, pour que chacun vive une expérience à la fois raffinée et décontractée.
En quoi Lavorel Hotels se distingue-t-il de ses concurrents ?
Chez Lavorel Hotels, je tiens à ce que nous nous démarquions des grandes chaînes
en refusant toute forme de banalité et d’uniformisation. Nous combattons la standardisation de l’hospitalité en donnant à chacun de nos établissements du caractère et de l’élégance. Depuis le début, j’ai toujours voulu que l’excellence rime avec chaleur humaine et perfectionnisme. Pour moi, chaque détail compte — un tableau de travers, un abat-jour mal placé, cela peut gâcher l’expérience. Être perfectionniste, c’est aussi anticiper et répondre immédiatement aux moindres attentes et besoins du client. La satisfaction de nos visiteurs est au cœur de tout ce que nous faisons, car c’est elle qui garantit la réussite des échanges humains. Nos équipes ne cessent d’innover, de créer, et de donner le meilleur d’elles-mêmes dans une ambiance familiale où chacun trouve sa place. Plus qu’un simple hôtel, je souhaite que nos clients se sentent chez eux, partout où ils viennent. C’est ça, pour moi, le luxe décomplexé, sans chichi ni prétention.
Kopster Hotels, marque que vous avez créée, a un concept unique et décalé. Quelles sont les clés de son succès ?
Le concept Kopster est né au Groupama Stadium. Plutôt que de prendre une franchise, j’ai choisi de créer ma propre marque. L’idée de construire un hôtel là où il n’y avait rien — seulement le stade et un immeuble de bureaux — m’a immédiatement séduit. Sept ans après l’ouverture, son succès dépasse largement nos espérances, grâce bien sûr, à une foule d’événements... Le taux de remplissage varie de 70 à 100% selon l’importance des matchs, des concerts – Indochine en octobre, Lady Gaga en novembre, Dua Lipa en mai. La clé du succès c’est aussi l’effet waouh d’une déco décalée, mêlant de vieux fauteuils club à des banquettes design, avec des sculptures animalières, des vases en barbotine et des tableaux hétéroclites chinés par nos équipes. Rien à voir avec les soi-disant hôtels lifestyle
aux murs jaunes et rouges. Là on est dans le style comme chez soi ! Aujourd’hui, nous comptons trois hôtels Kopster — à Lyon, Paris et Colombes — et ce n’est que le début !
“CE QUI ME PASSIONNE, C’EST CETTE ÉNERGIE CRÉATIVE CONSTANTE : IMAGINER UN NOM, UN LOGO, UN STORYTELLING”
Vous êtes également propriétaire du Château des Ravatys, domaine viticole dans le Beaujolais. Qu’est-ce qui a motivé ce choix ?
Je cherchais depuis longtemps un domaine viticole réunissant trois critères essentiels : une superficie suffisante pour produire son propre vin, des bâtiments de qualité, et une proximité raisonnable avec Lyon. Après de nombreuses visites, un article du Progrès annonçant la mise en vente du Château des Ravatys par l’Institut Pasteur a attiré mon attention. Le château, modeste mais à taille humaine, disposait d’une orangeraie et d’un magnifique parc peuplé de séquoias et cèdres géants. Séduit, j’ai rapidement fait une offre en exposant clairement mes ambitions, et en quelques semaines, nous avons été retenus. Alors que l’Institut Pasteur sous-traitait sa production, nous avons recruté Aurélie de Vermont comme maître de chai. Sous sa direction, notre Chardonnay a reçu une médaille d’argent au concours des meilleurs Chardonnay du Monde 2025. Notre Côte de Brouilly, quant à lui, a obtenu deux macarons au Guide Hachette des vins. Aujourd’hui, le groupe Lavorel Hotels est le principal client du Château des Ravatys, suivi du groupe Bertrand, ainsi que de nombreux restaurateurs en France et à Londres.
En février 2021, Jean-Claude et son fils Stanislas fêtent l’achat du Château des Ravatis en couverture de Lyon People
Le développement durable est devenu incontournable dans le secteur hôtelier : quelles initiatives écologiques avez-vous mis en place au sein de Lavorel Hotels ?
Le développement durable fait partie intégrante de notre vision. En 2020, nous avons lancé la Green Team Lavorel Hotels pour coordonner des actions concrètes dans chaque établissement : réduction des déchets, recyclage, économies d’énergie... Aujourd’hui, six de nos hôtels sont labellisés Clef Verte. Nous participons aussi à des initiatives comme Earth Hour ou des clean walks. Chez Lavorel Hotels, l’engagement écologique est collectif, pragmatique et sincère.
Vous avez récemment créé la Fondation Jean-Claude Lavorel. Quelles sont ses missions ?
J’ai créé la Fondation Jean-Claude Lavorel pour structurer et inscrire dans la durée un engagement qui m’est cher depuis toujours. Ses missions se concentrent sur deux causes qui me touchent profondément : la lutte contre le cancer et la protection de l’enfance. À travers cette fondation, nous soutenons des projets concrets, utiles et humains : la recherche médicale avec le Centre Léon Bérard, l’aide aux enfants en difficulté avec Ma Chance Moi Aussi, ou encore des actions solidaires comme le réveillon de Noël Ensemble au Marriott.
Quelles aventures nous réserve la prochaine décennie de Lavorel Hotels ?
La prochaine décennie s’annonce pleine de projets stimulants ! Avec la directrice générale
du groupe, Charline Bresse, nous cherchons actuellement un nouvel hôtel dans le Sud, idéalement situé près d’une grande ville comme Nice ou Cannes. D’autres ouvertures de Kopster Hotels sont également en projet, en France. Ce qui me passionne, c’est cette énergie créative constante : imaginer un nom, un logo, un storytelling... C’est un vrai terrain de jeu. Que l’on parte de zéro ou que l’on réinvente un lieu existant — comme à Bagnols, où nous avons transformé le cuvage en chambres et installé un dôme de verre —, chaque projet est une aventure unique.
Si vous décidiez comme certains artistes, de vivre à l’hôtel, lequel choisiriez-vous ?
Si je devais vivre à l’hôtel comme certains artistes, vous pensez sans doute à Bagnols ? Eh bien non, surprise ! Bagnols, c’est ma danseuse, mon coup de cœur éternel... mais en tant qu’animal aquatique, je choisirais sans hésiter Le Palace de Menthon. L’eau y est partout : une piscine intérieure splendide, une plage et un ponton avec accès direct au lac d'Annecy, et la montagne en toile de fond. C’est un véritable havre de paix, un lieu de villégiature qui me reconnecte à mes racines savoyardes — il y a même un lieu-dit « Les Lavorel » tout près d’Annecy !
La plage du Palace de Menthon
L'enseigne Kopster est présente à Lyon, Paris et Colombes
Après 40 ans de service au service des restaurateurs, le « chasseur de talents » a choisi de tirer sa révérence. Réputé pour sa qualité à dénicher, en un tour de main, du personnel et des extras, le fondateur de France Service Hôtellerie aura épaulé plus d’un établissement.
Il n’a de cesse de le répéter, même si la réalité n’a déjà de cesse de le démontrer. Guy Bardel est « un battant », que même deux AVC n’ont su rayer du paysage lyonnais. Mais voilà, le temps a fait son œuvre et les 78 printemps accrochés à son compteur, l’ont conforté de se ranger sur le bas-côté. De dire stop tout simplement. « Je mérite un peu de retraite », aime-til à dire, le regard fixé vers sa campagne auvergnate et les pensées tournées vers son histoire. Il faut dire que les valises ne seront pas faciles à fermer et à porter. Non pas que l’intéressé ne soit plus en mesure de le faire, sa fougue n’ayant rien perdu de sa superbe. La raison est à trouver ailleurs. Et donc à cet attachement viscéral pour Lyon, ses chefs et ses restaurants. Il suffit d’ailleurs de l’observer, regardant avec émotion le film consacré à son parcours professionnel, « Guy Bardel, ma vie, mon œuvre », pour comprendre que chaque hommage rendu par un restaurateur, a trouvé une place dans son cœur malmené. « J’ai eu une aventure extraordinaire », livre-t-il la voix serrée, ému ce jour, par un témoignage du chef Marc Veyrat, faisant dire que Guy Bardel « a marqué le monde de l’hôtellerie comme personne » « Mais les chefs se reposaient tous sur moi », rebondit d’ailleurs le septuagénaire, dont l’humilité autoproclamée en vient à s’effacer sous le coup de l’émotion. « J’ai eu un beau parcours hein ? », questionne-t-il pour se rassurer, heureux comme un enfant, à l’heure de voir ses années de travail trouver un énième écho médiatique. Et pour cause, rien ne le prédestinait à ces hommages, lui l’enfant de Vienne, né à « 22h45 », un soir de 1947, que son père obligea à se transporter à Lyon, huit ans plus tard, au jeu des offres d’emplois. Un déménagement salutaire pour Guy Bardel, qui, en dépit d’un paternel aux accès de colère souvent violents, tomba rapidement amoureux de la ville. De sa voisine et premier amour, Nicole, aussi, dont le béguin apparaît encore puissant, 70 ans après. Reste que les amours de jeunesse n’apportent ni bonnes notes, ni de quoi remplir le frigo, au grand dam de son père, bien décidé à le faire travailler expressément.
Guy Bardel
LE PARRAIN DE LA RESTAURATION LYONNAISE REND SON TABLIER
Photos
Guy Bardel photographié à son domicile en février 2025
DANS LES ANNÉES 90, IL RELANCE
LA COURSE DES GARÇONS DE CAFÉ SUR LA PLACE CARNOT
Hélas pour lui, Guy Bardel et le monde professionnel mirent un certain temps à s’acoquiner. Du moins jusqu’à la rencontre de Roland, son voisin suivant, gérant de bar, place des Jacobins. « Je me suis rendu dans son établissement, il m’a payé un jus d’orange et je me suis dit : ça c’est ma vocation. Alors en 1962, il me fait rentrer en apprentissage au casino de Charbonnières. On était une trentaine en salle. Après cela, toute ma vie a été consacrée au service en salle », raconte-til, les rétines scintillant à l’idée de conter un parcours clairsemé d’anecdotes savoureuses. D’établissements aussi, le Lyonnais s’étant essayé au service en wagons-lits, aux deux
étoiles Michelin du Chapon Fin à Thoissey, dans l’Ain, ou aux coulisses du Palais d’Hiver. « Sur place, pendant deux ans, j'apportais les consommations dans la loge des artistes », retrace-t-il aujourd’hui, photos de Johnny
Hallyday à l’appui. Le service ou rendre service, ainsi apparaît alors la vie de cet épicurien, pour qui le plaisir de la cuisine se conjugue rarement à la première personne. Car Guy Bardel aime partager. Combler les autres, à l’image du « Tonneau d’Or », son restaurant, acquis sur le quai Gailleton, en 1972. Un établissement ouvert jusqu’à tard, dont les plats préparés « au charbon et au bois », allaient jusqu’à rassasier l’appétit du maire Louis Pradel et des célébrités de passage, rameutées par l’inoubliable photographe, Mario Gurrieri. En leur compagnie, Guy Bardel eut longtemps « sourissé », avant de tirer le rideau en 1978, fatigué par le tempo de cette musique. Une autre partition l’attendait. Celle jouée pour le restant de sa vie. Ou de sa carrière, l’un n’allant jamais sans l’autre. « En 1980, je reprends du service et je crée SOS Réception, un réseau d’extras pour venir au secours des traiteurs en manque de personnel », témoigne celui qui occupa également le poste de responsable de l’Abbaye Paul Bocuse, de 1981 à 1982. Les louanges de Monsieur Paul ne furent pourtant jamais à la hauteur de cette
Guy Bardel devant son restaurant le Tonneau d’Or en 1974
Fan de Johnny Halliday qu’il sert au Palais d’hiver.
envie irrémédiable de rendre à l’hôtellerie, ce qu’elle lui avait déjà donné. Pour preuve, cette folle ambition de venir au secours du traiteur Gaston Lenôtre, retenu pour organiser les agapes du voyage inaugural du TGV en mai 1982.
DU PERSONNEL RECRUTÉ JUSQUE DANS LES CELLULES DE LA PRISON SAINT PAUL
« En 15 jours, il m’a fallu trouver 40 maîtres d’hôtel », se souvient-il. Défi relevé. Pari réussi. « Gaston Lenôtre m’a dit : bravo mon petit. C’est bien ce que l’on m’avait dit, Monsieur Bardel, c’est le meilleur à Lyon », rembobine le néo retraité. Une référence en devenir, jusqu’à l’éclosion, bâtie autour de la création de France Service Hôtellerie. Le tout, avec la complicité du PDG du groupe France
Service Formation, M. Lasseigne. « Lors de mon entretien d’embauche, en 1985, je lui ai proposé de créer une antenne dans l’hôtellerie. Il m’a dit banco, votre idée me plait, je vous donne un bureau. Le bonheur ! », évoque l’expert, depuis le fauteuil de son salon. Un bureau de circonstance pour celui qui finit par racheter l’enseigne en 1990, à la cessation des activités de son directeur. « À partir de là, tous les restaurants de la région lyonnaise m’appelaient pour du personnel », poursuit celui que le microcosme surnommait le « Zorro de la restauration », en raison de ses tenues noires. Une couleur sombre. Obscure même, lorsque Guy Bardel dut abandonner ces accoutrements pour la déprimante chemise de l’hôpital Henri Gabrielle de SaintGenis Laval. Un AVC par ci, un AVC par-là, le Lyonnais vit le couperet passer près en 2006 et en 2007, sans jamais lui ôter vraiment la vie. Mieux, avec la complicité de Lyon People, son cœur se remit rapidement à battre la chamade, stimulé par la tenue sexy de l’infirmière Eve Alors tant pis si l’intéressé s’octroya un peu de confort, en stoppant son activité de 2008
à 2010, rester inactif ne fut jamais dans ses habitudes. Ni dans son intérêt. « Je crée alors Rhône Service Hôtellerie », se souvient-il, animé jusqu’au bout, par cette idée d’aider ces chefs le surnommant « le pêcheur d’étoiles » La sienne brille toujours au-dessus de sa tête, mais après 40 ans de métier au service de l’hôtellerie, ferrer d’autres poissons est désormais devenu sa raison d’être. L’heure est venue de rendre le tablier. Une bonne fois pour toute. Le corps en Auvergne, mais le cœur toujours sur la main.
Remise d’un plateau en argent à Monsieur Paul, prix de l’excellence du deuxième millénaire en 2001 sur le stand France Service Hôtellerie au Sirha. À gauche, le chef Gérard Vignat (Auberge de Fond Rose)
Guy Bardel en interview avec Morgan Couturier
La course des garçons de café en 1993 place Carnot
Photo Mario Gurrieri
La plaquette de France Service Hôtellerie.
Guy Bardel enfant et sa sœur
L'ALBUM DE GUY BARDEL
1. GB avec les stars 70’s à l’abbaye Paul Bocuse. On reconnaît Claude François, Véronique Samson, Darry Cowl, Jacques Martin, Pierre Perret...
2. Le chef Guy Bardel devant son restaurant en 1974.
3. Félicitant le chef Régis Marcon, vainqueur du Bocuse d’Or 1995.
4. Monsieur Paul lui confie la gestion de son abbaye en 1981-1982.
5. Guy Bardel et Roger Jaloux félicitant la promo des chefs lyonnais MOF 1996. À leur gauche : Alain Le Cossec et Gérard Vignat. À leur droite : Christian Têtedoie, Guy Lassausaie et Williams Jacquier.
6. Guy Bardel avec Gaston Lenôtre au Sirha en 2001 (photo Mario Gurrieri)
7. Avec Christian Guzmann au Cube, boulevard Stalingrad. Le chef a été découvert par Guy Bardel.
8. Jérôme Bocuse et Guy Bardel.
9. Jacotte Brazier sur son stand lors du SIRHA 2001.
10. Guy Bardel entouré du pâtissier Gabriel Paillasson, créateur de la Coupe du monde de la pâtisserie et du chef Pierre Orsi.
11. Avec Eve Lopez autour de Fanny Anselme, Miss Rhône Alpes 2002, qu’il a découverte dans une pizzeria. Elle accèdera au titre de 3ème Dauphine de Miss France 2003.
Hautement magique
Lac Léman
Megève
QUOI DE NEUF SOUS LE SOLEIL ?
Voilà l’été et Megève s’ouvre de plus en plus à cette saison. Les nouveautés intriguent, les établissements et la nature attirent. Et cela tombe à point nommé : le programme concocté est prêt à répondre aux attentes.
Chaque année, il est attendu, tel est un souvenir lointain à l’hiver et une belle promesse au printemps, lui qui s’amuse à nous faire languir, en prolongeant les jours et en rehaussant légèrement la température. Qu’à cela ne tienne, la patience est souvent récompensée. L’été est donc là, prêt à frapper à nos portes, en murmurant à l’oreille qu’il est temps de boucler ses valises et de prendre le large. Pas nécessairement très loin. Mais sous d’autres cieux, car le dépaysement a du bon.
Il est bon le moral, comme nous l’a souvent soufflé la Compagnie Créole. Mais aussi et surtout pour l’esprit, que Megève et sa nature promettent de vider de toutes ses
contrariétés. De fait, la mer a beau être distante de nombreux kilomètres, la station a appris à user de ses charmes. À séduire sans flocon ni poudreuse, mais dans la simplicité d’une sortie équestre, d’une randonnée, d’une bonne assiette ou simplement d’un transat. La montagne vous gagne, ce n’est pas nouveau, mais le Palais Megève l’a déjà prouvé, tous ces paysages ne sont pas incompatibles avec une belle absorption de mélanine et un charmant teint halé.
Et pour cause, apprécier la trempette ou multiplier les longueurs n’est pas impossible en pareil lieu. À une différence près : Megève se propose d’ajouter le Mont Blanc en toile de fond, pour profiter au mieux de
cette parenthèse d’oisiveté. Il n’empêche, les habitués en savent quelque chose : la commune n’est pas très friande de cette activité. Au contraire, celle-ci se plaît à toujours se renouveler et à dessiner des journées sans ennui.
LA CAPITALE DE LA CUISINE DE MONTAGNE
Charge à chacun, bien sûr, d’y trouver son bonheur. Après tout, pour s’inspirer de l’athlète Wilma Rudolph, « quand le soleil brille, on peut tout faire. Aucune montagne
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n’est trop haute ». 1 113 mètres tout au plus, le temps de gagner le cœur du village, avec l’espoir de percer les secrets de cette nature environnante, d’apprécier la station et son sens du détail ou de vérifier simplement, si Megève n’a pas galvaudé son statut de « capitale de la cuisine de montagne »
EN FAISÉTÉ, CE QUI TE PLAÎT
On pourrait alors se laisser porter par le chuchotement du vent pour partager une table avec un hibou (Hibou Blanc, Amore Hibou et Hibou d’Arbois), laisser son estomac parler pour savourer les gourmandes pièces de viandes de la Maison Bello ou simplement se laisser surprendre par la brasserie de montagne, Face au Mont Blanc, reprise depuis peu.
Avant cela, on ne saurait trop conseiller de se dépenser, Megève regorgeant d’activités pour atténuer ces excès estivaux. On l’a dit, les propositions sont nombreuses, mais dans le lot, pourraient dépasser les dynamiques et ludiques chasses au trésor pour occuper les petits, un peu d’escalade ou de VTT pour faire bouger les ados ou encore les greens verdoyants du Golf du Domaine du Mont d’Arbois et la découverte de l’archery tag,
pour stimuler les plus grands. S’il conviendra lors de cette activité, de viser juste et sur la cible de ses adversaires, Megève semble déjà avoir tapé dans le mille.
D’autant que les indémontables n’ont pas disparu. Le public aura ainsi tout le loisir de retrouver quelques immanquables, du Megève Jazz Contest, du 12 au 14 juillet, au Megève Blues Festival, du 1er au 2 août, en passant par l’incontournable Jumping International de Megève, du 12 au 20 juillet. Sans oublier le rendez-vous des bonnes affaires, incarné par la braderie d’été, orchestrée les 29, 30 et 31 août. Mille et une activités qui font dire que prendre la route, en déviant un peu son trajet vers l’Est, n’a rien d’une mauvaise idée. Il faut oser passer le pas. Inspirer. À Megève, l’été se regarde, s’écoute et se respire. Eh oui, ça sent bon les vacances !
Le programme de l’été
14E JUMPING INTERNATIONAL DE MEGÈVE
Du samedi 12 au dimanche 20 juillet
Esplanade du Palais
247, route du Palais des Sports Accès libre
27E FESTIVAL BAROQUE DU PAYS DU MONT-BLANC
Du samedi 12 au dimanche 20 juillet 2025
Les Eglises du Pays du Mont Blanc 74700 Cordon 27€ le concert à l’unité
AQUA EVASION EN FAMILLE
Les jeudis 10 et 31 juillet et le jeudi 7 août à partir de 14h.
Le Palais – 247 route du Palais des Sports
MEGÈVE JAZZ CONTEST
Du samedi 12 au lundi 14 juillet
Rues du Village. Gratuit.
Cours de be-bop : 10€/1 cours, 28€/3 cours.
FÊTE NATIONALE
ET BAL DU 13 JUILLET
Dimanche 13 juillet à partir de 20h30 1, place de l’Eglise
POOL PARTY
Jeudi 17 juillet et jeudi 7 août de 20h à 22h.
Le Palais – 247, route du Palais des Sports
GENTLEMAN
PÉTANQUE DES LYONNAIS DE MEGÈVE
Samedi 19 juillet
Sur les terrains de la patinoire
ORCHESTRE D'HARMONIE EN CONCERT
Samedi 26 juillet à 21h
Amphithéâtre de Megève Tourisme 70, rue Monseigneur Conseil. Gratuit.
LE DÉFI DES FAMILLES À LA PISCINE
Jeudi 31 juillet de 17h30 à 19h
Le Palais – 247, route du Palais des Sports MEGÈVE BLUES FESTIVAL
Du vendredi 1er et samedi 2 août de 19h30 à 23h30
Esplanade du Palais
247, route du Palais des Sports Tarifs : 25€ / 12€ pour les 12-18 ans.
BRADERIE D'ÉTÉ
Du vendredi 22 au dimanche 24 août Rues du Village. Le vendredi de 14h à 19h et le samedi et le dimanche, de 10h à 19h.
LA HAUTE ROUTE
Du samedi 23 août au lundi 25 août
Esplanade du Palais
247, route du Palais des Sports Gratuit.
MEGÈVE MONT BLANC
Du vendredi 29 au dimanche 31 août de 8h à 19h
Le Palais – 247, route du Palais des Sports Tarifs : de 75 à 100 € (75€ jusqu'au 16 août 85€ du 17 août au 27 août 100€ à partir du 28 août et sur place.)
ici, des hotspotsmais sans wifi
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Saint-Tropez LE GUIDE ULTIME DE L’ÉTÉ 2025
Des yachts ancrés au port jusqu’aux plages de Pampelonne, Saint-Tropez reste la star incontestée de l’été.
Restaurants de renom, spots festifs et boutiques exclusives s’y disputent une clientèle exigeante venue du monde entier.
Pour ne rien rater de cette saison 2025, Lyon People vous livre son carnet d’adresses.
Réalisé en partenariat avec la page Facebook Saint-Tropez People, il est à tester sans modération.
Triplement étoilée, La Vague d’Or incarne le sommet de la gastronomie tropézienne. Niché dans l’hôtel Cheval Blanc, propriété du groupe LVMH, le restaurant est dirigé par le chef Arnaud Donckele. Il y propose une cuisine d’auteur inspirée de la Méditerranée, poétique et sensorielle. Chaque assiette est une ode aux produits du terroir, sublimés par des sauces signatures. Une expérience gastronomique rare dans un cadre luxueux face à la mer.
Plage de la Bouillabaisse, Saint-Tropez Tél. 04 94 55 91 00
La Voile
Perchée face à la Méditerranée, La Voile est le restaurant doublement étoilé de l’hôtel La Réserve Ramatuelle, propriété de Michel Reybier. Le chef Éric Canino y signe une cuisine légère, saine et inventive, à base de produits locaux et de saison. Les saveurs provençales y sont revisitées avec finesse. Le cadre, entre ciel et mer, offre une expérience sensorielle unique. Une adresse idéale pour savourer l’excellence les yeux dans le bleu.
Chemin de la Quessine, Ramatuelle Tél. 04 94 44 94 53
Colette
Situé au cœur de l’hôtel Sezz, dans un écrin de verdure en lisière de la presqu’île, le restaurant Colette est une étoile Michelin discrète et raffinée. Le chef Philippe Colinet y propose une cuisine contemporaine aux influences végétales, élaborée autour de produits locaux. Ouvert uniquement le soir, l’établissement invite à une parenthèse culinaire élégante, à la lueur des bougies, dans une ambiance chic et confidentielle, loin du tumulte tropézien. 151, Route des Salins, Saint-Tropez Tél .04 94 44 53 11
La Palmeraie
Dans un décor bucolique entre vignes et oliviers, La Palmeraie est la table étoilée du Château de Valmer, hôtel cinq étoiles à La Croix-Valmer. Le chef Alexandre Fabris y cultive une cuisine du Sud élégante, nourrie par le potager bio du domaine. L’expérience se veut authentique, locavore et intimiste. Le charme de la Provence, associé à l’excellence gastronomique, en fait une adresse précieuse pour les amateurs de nature et de raffinement.
81, Bd de Gigaro, La Croix-Valmer Tél. 04 94 55 15 15
La Petite Plage
Installée sur le sable, au bord de l’eau, La Petite Plage est une adresse incontournable de l’été tropézien. Dans un décor bohème chic, cette table festive, au menu élaboré par Éric Frechon, propose une cuisine méditerranéenne fraîche et savoureuse. Poissons grillés, légumes confits et cocktails signature rythment les soirées en bord de mer. L’ambiance est conviviale, musicale et élégante. Idéal pour un dîner les pieds dans le sable, au cœur de l’effervescence de Saint-Tropez.
Inspirée de Tulum, Casa Amor mêle ambiance bohème et esprit festif sur la plage de Pampelonne. Sa décoration naturelle, ses coussins colorés et ses palmiers créent une atmosphère décontractée. La cuisine, aux accents mexicains et méditerranéens, propose ceviches, tacos et grillades. Les DJ sets en fin de journée attirent une clientèle cosmopolite venue profiter du coucher de soleil dans une ambiance chic et décontractée.
Chemin de Matarane, plage de Pampelonne, Ramatuelle
Tél. 04 22 47 10 40
Gigi Ramatuelle
Gigi Ramatuelle offre une expérience italienne élégante sur la plage de Pampelonne. Dans un décor raffiné rappelant la dolce vita, on savoure une cuisine transalpine : antipasti, pasta fresca et grillades. Le lieu propose également un jardin, une piscine et un terrain de pétanque, créant une atmosphère conviviale. Les après-midis sont rythmés par des musiques ensoleillées, parfaites pour une escapade estivale.
1050, chemin des Barraques, Ramatuelle
Tél. 04 22 40 00 30
La Réserve à la Plage
Conçue par Philippe Starck pour l'hôtel La Réserve Ramatuelle, cette plage privée allie design épuré et confort. La cuisine méditerranéenne met à l'honneur poissons grillés, légumes de saison et spécialités locales. Les transats spacieux et le service attentionné offrent une expérience haut de gamme. Un lieu idéal pour une journée de détente face à la mer.
Chemin de l’Epi, Ramatuelle
Tél. 07 85 14 72 90
Byblos Beach
Extension balnéaire de l'emblématique hôtel Byblos, Byblos Beach propose une ambiance chic et décontractée sur la plage de Pampelonne. Le restaurant offre une cuisine méditerranéenne raffinée, mettant en avant produits locaux et fraîcheur. Le service soigné et l'atmosphère élégante en font une destination prisée des habitués. Une navette relie la plage à l'hôtel pour plus de confort.
42, boulevard Patch, Ramatuelle
Tél. 04 94 43 15 00
Jardin Tropézina
Située à l'entrée de Pampelonne, Jardin Tropézina est la plage privée du Château de la Messardière. Entourée de verdure, elle offre un cadre paisible et raffiné. La carte propose une cuisine méditerranéenne légère, élaborée par le chef Jean-François Piège, idéale pour un déjeuner en bord de mer. Les transats confortables et le service discret garantissent une expérience relaxante. Un havre de paix pour les amateurs de tranquillité.
4, route du Pinet, Ramatuelle
Tél. 04 94 97 36 78
Photo Grégoire Gardette
Photo Thibaud
Georges
Photo Romain Ricard
Photo
Renée Kemps
MODE/SHOPPING
Jacquemus
Jacquemus a inauguré en mai 2024 sa deuxième adresse physique en France, au cœur de Saint-Tropez. On y retrouve ses collections de prêt-à-porter et des pièces exclusives aux accents méditerranéens. La marque s’est également installée dans d'autres lieux emblématiques de Saint-Tropez. Elle a notamment redécoré le café La Renaissance, place des Lices, dans son style solaire avec des rayures jaunes et blanches, et a réinvesti la plage privée Indie Beach à Ramatuelle, avec des parasols rayés et du mobilier épuré, où elle y a aussi installé une mini-boutique.
3, avenue Foch, Saint-Tropez
Tél. 01 42 99 61 70
Maison Dior & Café Dior
Installée dans une bâtisse du XVIIIe siècle, la boutique propose les dernières collections de prêt-à-porter, maroquinerie et accessoires de la maison de couture. Chaque été, la boutique ouvre ses portes pour la saison estivale, accueillant les clients dans un décor méditerranéen élégant. En complément de la boutique, le restaurant éphémère Café Dior, aménagé dans les jardins, offre une expérience gastronomique unique. Ce restaurant propose une carte estivale inspirée de l'univers créatif de Dior, mêlant gastronomie et haute couture.
Dior Café
13, rue François Sibili, Saint-Tropez
Tél. 04 98 12 67 65
Atelier Rondini
Fondée en 1927, l’Atelier Rondini est l’adresse emblématique de la sandale tropézienne. Installée rue GeorgesClemenceau, la maison familiale perpétue un savoir-faire artisanal transmis sur trois générations. Chaque paire est fabriquée à la main, ajustée au pied du client, avec des cuirs français tannés à l’écorce de chêne. Des modèles iconiques comme la Bikini ou la SaintRaphaël incarnent l’élégance estivale. Une institution authentique, au cœur de Saint-Tropez.
18, rue Georges Clémenceau, Saint-Tropez Tél. 04 94 97 19 55
Lulli sur la Toile
Située rue Gambetta, la boutique Lulli sur la Toile est un concept store raffiné, adresse prisée des fashionistas. Elle propose plus de 250 marques de créateurs contemporains telles qu’Isabel Marant, Vanessa Bruno ou encore Golden Goose. Chaque saison, des exclusivités et collaborations enrichissent l'offre, mêlant prêt-à-porter, accessoires et objets lifestyle. L’espace offre une expérience shopping personnalisée. Lulli incarne le style tropézien moderne, alliant élégance décontractée et tendances actuelles.
52, rue Gambetta, Saint-Tropez Tél. 04 94 51 58 42By Marie
By Marie
By Marie, située place de la Garonne, est une boutique multimarques fondée par Marie Gas. Elle propose une sélection éclectique de créateurs internationaux et de pièces exclusives. L’univers de la boutique mêle mode, accessoires et objets de décoration, reflétant un art de vivre bohème et sophistiqué. By Marie est une destination incontournable pour les amateurs de mode à la recherche de pièces uniques.
Place de la Garonne, Saint-Tropez - Tél. 04 83 12 04 74
VIE NOCTURNE
Gaïo fusionne gastronomie asiatique et fête chic dans un décor baroque contemporain. C’est l'héritier du légendaire Papagayo, réinventé en un concept hybride mêlant restaurant et club. Le lieu propose une cuisine fusion, combinant saveurs japonaises et péruviennes, avec des plats tels que le ceviche de bar ou le tataki de thon. Après le dîner, l'ambiance se transforme avec des performances artistiques et des DJ sets, attirant une clientèle internationale jusqu'à l'aube.
4, rue du 11 Novembre, Saint-Tropez
Tél. 04 94 97 89 98
VIP Room
Véritable institution, le VIP Room incarne les nuits mythiques de Saint-Tropez. Créé par Jean-Roch en 1998, le club attire célébrités, DJ stars et noctambules du monde entier dans une atmosphère électrisante et une programmation musicale variée. Le VIP Room comprend également des espaces de restauration, tels que Gioia et OPA, offrant respectivement des spécialités italiennes et grecques. Spectacles, défilés improvisés et champagne qui coule à flot : tout y est glamour. Dress code exigeant et ambiance survoltée garantissent une nuit hors du commun.
Quai de l’Épi, Saint-Tropez
Tél. 06 77 07 77 07
Les Caves du Roy
Installées dans l'hôtel Byblos depuis 1967, Les Caves du Roy sont synonymes de glamour et de fêtes légendaires. Le club, décoré de palmiers illuminés et de dorures, a accueilli des icônes telles que Grace Kelly, Mick Jagger et Beyoncé. Avec une capacité de 540 personnes, il propose des soirées animées par des DJ, offrant une ambiance musicale allant de la house au hip-hop. Les Caves du Roy sont ouvertes tous les soirs en juillet et août, et les week-ends en basse saison. Un passage obligé pour tout amateur de nuits luxueuses et endiablées.
Situé quai Jean Jaurès, L'Opéra offre une expérience unique combinant gastronomie, performances artistiques et clubbing. Le restaurant propose une cuisine méditerranéenne raffinée, servie dans un décor chic blanc et or. Des shows de danse et des performances musicales animent la soirée, avant que le lieu ne se transforme en club jusqu'à 3h du matin.
La terrasse offre une vue imprenable sur le port de Saint-Tropez, ajoutant une touche magique à l'expérience.
Résidence du Port, Saint-Tropez Tél. 04 94 49 51 31
De jour comme de nuit, Saint-Tropez reste une promesse de démesure et d’élégance. Ce guide n’est qu’un aperçu des plaisirs à (re) découvrir sur la presqu’île la plus glamour de la Méditerranée. À vos lunettes de soleil, la saison est lancée !
Gaïo
Photo Philippe Shangti
Photo Adrien
Photo Adrien
GL BAL IP Gourmandes TOP DES ADRESSES by
CAISSE • VIDEO-SURVEILLANCE • TPE • BORNE GESTION MULTI-SITES ROBOTS DE SERVICE ET DE NETTOYAGE
Antonio Salvati (Chef)
Cuisine de tradition italienne méditerranéenne
Restaurant
Restaurant - BAR
LE CAFÉ DU MARCHÉ
Bénédicte
Cuisine du Marché au fil des saisons
Frédéric Berthod
Cuisine de Saison / Produits du Marché - Terrasse Estivale 33, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e T 04 37 45 45 45
Du mardi au samedi, déjeuner et dîner www.33cite.com 33 cité 33cite
Du mardi au vendredi midi - Du jeudi au samedi soir theriviera-collonges
Ouvert 7/7 midi, le soir sur réservation à partir de 40 pers. www.garconsboucherslyon.com
LE BRUNCH
Partouche Hôtel
LES BRUNCHS DU PAVILLON HôTEL***** & SPA
3, rue Georges Bassinet - Charbonnières-les-Bains
T 04 78 87 79 79
Ouvert le dimanche midi www.pavillon-rotonde.com pavillonhotelspa HOTEL
restaurant Gastronomique
Aude Andrillat & carte signée par Anthony Bonnet vue exceptionnelle, Suspendu à 150 m au-dessus du sol
Radisson Blu Hotel (32e étage) - 129, rue Servient - Lyon 3e
T 04 78 63 55 46
Mar-Sam : à partir de 19h, dernière commande 20h45 celest-bar-restaurant.com
Brasserie L’ AFFAIRE DU 6
Edith Rosay Cuisine traditionnelle (midi) et bar à tapas (soir)
63, cours Vitton - Lyon 6e T 04 78 89 49 24
Du lundi au vendredi service continu - Samedi midi Samedi soir uniquement sur réservation jusqu’à 20h
LES CUISINES BERNOLLIN INVITENT LA MAISON SIBILIA
L’été est si agréable qu’il en vient à nous surprendre. Il nous rend enjoués et nous fait chanter. Notre joie de vivre bien sûr, autant qu’il nous fait siffloter quelques sérénades bien connues. Alors forcément, lorsqu’on part de bon matin en direction des Cuisines Bernollin, on part aussi sur les chemins. À l’arrivée, comme Yves Montand, il y a quelques bons copains. À table, y avait Arnaud, y avait Gilles, y avait Bruno, y avait Olivier et puis Clémence (Bricon). Et comme Yves Montand, tous se sont sentis pousser des ailes, lorsque la Maison Sibilia invite à respecter les traditions. À honorer cette coutume lyonnaise, qu’est mâchonner. Un repas matinal, dont l’horaire n’altère jamais la bonne humeur. Il y a même un certain confort, à démarrer ces agapes au petit matin, lorsque la fraîcheur laisse place à plus de délectations.
À la gourmandise de l’instant aussi, lorsque Bruno Bluntzer et le chef Olivier Bourrat sortent de leur chapeau, quelques belles charcuteries maison. Bien sûr, si les bulles de Gilles Francez (Champagne Gosset) aident au rafraîchissement, ce mâchon lyonnais ne tarde guère à faire fi de ces objectifs estivaux, construits autour de silhouettes bien dessinées. Soit, le plaisir de l’instant est une bien meilleure réflexion. Un gage de satisfaction surtout, lorsque devant nos yeux, se dévoilent une brioche au lard, des salades de pieds de veau ou de museaux, une terrine d’andouillettes ou encore un pâté-croûte « veau, poulet et gelée à l’estragon », dixit le chef Olivier Bourrat, dont les années passées au sein des brasseries Bocuse, se ressentent dans l’excellence. De quoi faire chavirer Gilles Demange et Arnaud Bernollin, pourtant
Charcuterie Sibilia
rompus à l’exercice, avec le Championnat du Monde du Pâté-Croûte. Un délice parmi tant d’autres, la proximité avec l’atelier du 116 rue de Sèze participant à la prolifération des plats. À commencer par une somptueuse tourte poulet morilles et vin jaune. « Tout est fait maison », glisse le chef. Avant de préciser : « J’ai perdu du poids depuis que je suis ici », exprimant ainsi l’engagement de la maison Sibilia en faveur de la qualité. Au cœur de son atelier, la charcuterie traiteur a même décidé de pousser le vice, en aménageant une table d’hôtes (jusqu’à 8-10 personnes). « Le but est de plaire à un maximum de gens », complète Bruno Bluntzer. On serait alors presque tenté de remanger. Sur le chemin du bureau, quand le soleil à l’horizon, profilait sur tous les buissons, Yves Montand avait encore raison : on revient fourbus, contents !
L'Atelier - 116 rue de Sèze - Lyon 6e - Tél. 04 78 41 79 78
Halles de Lyon Paul Bocuse - 102, cours Lafayette - Lyon 3e - Tél. 04 78 62 36 28
CUISINES BERNOLLIN
198, allée Viadorée - Anse - Tél. 04 74 67 04 08
5, place Puvis de Chavannes - Lyon 6 - Tél. 04 78 93 00 61
et Mickaël Paccaud, conseiller régional délégué à l’excellence éducative, prêts à donner le départ de la 5e étape du Critérium du Dauphiné
LES STARS DU CRITÉRIUM DU DAUPHINÉ
FONT ÉTAPE À SAINT-PRIEST
Choisie pour accueillir le départ de la 5e étape du Critérium du Dauphiné, Saint-Priest a pu admirer les stars du vélo. Une belle fête du cyclisme, symbole d’une passion pour cette discipline, de plus en plus portée par la municipalité. La frustration est passée, à tel point que dans la chaleur de ce 12 juin 2025, les souvenirs du printemps dernier ont rapidement fondu, évacué par ce plaisir non feint d’accueillir une nouvelle étape du Critérium du Dauphiné (désormais rebaptisé Tour Auvergne-Rhône-Alpes). Finie donc, les arrivées fictives, freinées par
les chutes et les désespoirs de l’orage, « SaintPriest a pris sa revanche », comme l’a souligné le maire, Gilles Gascon. Les passionnés ont donc eu tout le loisir d’apprécier la caravane du criterium et ses célébrités. À plus forte raison, lorsque les idoles des jeunes prennent le temps de poser pied à terre sur l’avenue Jean Jaurès ou de parader sur le podium, place Ferdinand Buisson. Le spot idéal pour admirer les chouchous du peloton que sont Tadej Pogacar, Jonas Vingegaard, Mathieu van der Poel ou le maillot jaune du jour, Remco Evenepoel.
Présentation du maillot jaune par Gilles Gascon, maire de Saint-Priest, accompagné de ses adjoints, Doriane Corsale et Laurent Scheiwe, de Thomas Voeckler et de Bernard Thevenet, double vainqueur du Tour de France
Gilles Gascon, Maire de Saint-Priest entouré de Laurent Scheiwe, adjoint aux sports à la mairie de Saint Priest et Mickaël Paccaud, conseiller régional délégué à l’excellence éducative
L’équipe LIDL TREK, composée de Jonathan Milan, Julien Bernard, Simone Consonni, Amanuel Ghebreizabhier, Toms Skujins, Jasper Stuyven et Edward Theuns
La team UAE Emirates, composée de Tadej Pogacar, Jhonatan Manuel Narvaez, Domen Novak, Nils Politt, Pavel Sivakov, Marc Soler et Tim Wellens
Gilles Gascon, maire
Saint-Priest
La Team Picnic Postnl composée de Romain Bardet, Romain Combaud, Christopher Hamilton, Bjoern Koerdt, Enzo Leijnse, Guillermo Juan Martinez Huertas et Max David Poople
L’Auvergnat Romain Bardet (Team Picnic Postnl)
Alex Baudin (Team EF Education Easypost) au micro du speaker Marc Chavet
La révélation Paul Seixas, coureur de la team Decathlon AG2R
lyon people • juillet 2025 • 56
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Violaine Patet, le chef Claude Barbet, Véronique Barbet et Yvan Patet (EM2C)
Marc-Antoine Ginon, président du LOU Rugby, entouré de Stéphanie Pernod, vice-présidente de la Région AURA et de François-Noël Buffet, ministre auprès du ministre de l’Intérieur
Philippe Valentin, président CCI Lyon entouré du maire d’Écully Sébastien Michel et de Jérémie Bréaud, maire de Bron
Camille Leroy, directrice communication LOU Rugby et Luc Dubanchet, directeur du SIRHA Lyon
Fabien Bagnon, vice-président de la Métropole, Catherine Arbaud, Pascal Blanchard, vice-président de la Métropole et Julie Nublat Faure, adjointe aux sports
LOU RUGBY — RACING 92 LES TRIBUNES VIP
Démobilisé à la suite de sa défaite en finale de la Challenge Cup, le LOU Rugby a bouclé sa saison sur un ultime revers face au Racing (34-47). Pour autant, l’arrivée de Karim Ghezal a laissé entrevoir du mieux, au point d’espérer de meilleures ambitions l’an prochain. Tout ne peut se résumer en un match, mais à voir le LOU Rugby alterner entre les hauts et les bas, entre l’euphorie du beau jeu et la désillusion d’une défaite, on ne peut s’empêcher de repenser à cette saison aux émotions contraires. Jusqu’au bout, les Lyonnais auront pourtant porté l’espoir d’un final heureux, fait d’envolées rugbystiques et d’un succès que le score à la pause laissait espérer. Hélas, comme souvent cette saison, les Rouge et Noir se sont effondrés, jusqu’à gâcher la fête, en encaissant 33 points sur le seul deuxième acte. À la clé, une défaite assommante (34-47) et des adieux ratés pour les joueurs quittant le club. Mais aussi et surtout une bien triste 11e place au terminus d’une saison, dont le bilan est largement éloigné des ambitions initiales. En effet, le LOU Rugby rêvait de phases finales et de qualification pour la grande coupe d’Europe. Il n’en sera rien. Alors place aux vacances, avec une envie, un impératif : revenir plus fort !
Martin Page-Relo et Marc-Antoine Ginon, président du LOU Rugby
Marco Polisson (Lyon People) et le traiteur Baptiste Pignol (Maison Pignol)
Marie-Hélène Brin (Magner), Olivier Camps (Mercedes Groupe Chopard) et Killian Baujon (L’auberge à Toulouse)
Caroline Chaigne (ville de Vernaison), Julien Vuillemard, maire de Vernaison, Olivier Araujo, maire de Charly, Xavier Berujon, élu de Rillieuxla-Pape, et Frédéric Jean, élu de Saint-Priest
Laure-Marine Godet (Apave) entourée de Lionel Perrier (Opterm) et de Rémy Jomard (LOU Rugby Asso)
Le chef Mathieu Viannay (La Mère Brazier) et Luc Dubanchet, directeur du SIRHA Lyon
INAUGURATION PARKING À VÉLOS DU LOU
Parrainé par la Matmut, partenaire historique du Club, le match était placé sous le signe du « rugby responsable », avec la mise en place de nombreuses activations engagées pour sensibiliser le public. Parmi les temps forts : l’inauguration de deux parcs à vélos et une recyclerie responsable avant le match, puis un « clean stadium » du Virage Nord après la rencontre.
Francis Thomine, DG Groupama Rhône-Alpes Auvergne et Marco Polisson (Lyon People)
André Terrat, alias « Dédé » conducteur emblématique du bus des joueurs du LOU Rugby
Evelyne Haguenauer entourée de sa garde rapprochée, dont le général Denis Mistral, gouverneur militaire de Lyon, le général de Gendarmerie Thierry Renard, François Noël Buffet, ministre auprès du ministre de l’Intérieur
juillet
Les 17 Évènements
QU’IL NE FALLAIT PAS RATER !
CHRISTOPHE GUILLOTEAU
CHEVALIER DE LA LÉGION D’HONNEUR
Ancien député et président du Département du Rhône depuis 2015, Christophe Guilloteau a reçu les insignes de chevalier de la légion d’honneur, le 18 juin dernier.
Une date hautement symbolique pour ce gaulliste averti.
Homme d’action, dont la naissance un certain 18 juin aura dessiné les prémices de son engagement, Christophe Guilloteau a donc rejoint le panthéon de ces hommes qu’il admire, en recevant « cette décoration qui l’honore » : la légion d’honneur. Une reconnaissance remise par Fabienne Buccio, dans les salons d’honneur de l’Hôtel du Département du Rhône. Et
puisque l’ancien député du Rhône aime à s’inspirer des grands penseurs de l’histoire, il sut subtilement invoquer Malraux pour réaffirmer que ce que « l’Esprit voit, le cœur le ressent ». D’émotions, il y eut, en effet, tant le président du Département du Rhône a su s’entourer tout au long de son parcours de soutiens, de ses fidèles collaborateurs, Michel Thien et Laurent Ville, à ses proches, sa
compagne Sophie Cruz, ses enfants, sa mère, « venue de loin, malgré ces 93 printemps » et Myriam Malher
SES 5 HOMMES DE RÉFÉRENCE
Surtout, le président du Conseil national des Sapeurs-pompiers volontaires, a profité de cette décoration à 5 branches pour honorer ses cinq « hommes de référence » : Bonaparte, son inspiration, le général De Gaulle, Jacques Chirac, source de son engagement en 1981, l’ancien député Jean Besson et enfin son père, à qui il aurait aimé offrir cette Légion d’honneur. « Enfant du Rhône » qui aimait jouer dans les bacs à sable de « la cour et les jardins publics de la Préfecture », Christophe Guilloteau doit surtout cette distinction à son engagement pour la France, son poste de viceprésident de la commission de la Défense, lui ayant valu « de se déplacer sur de nombreux terrains de guerre ou de conflits ». Mais lorsque son âge est « celui de la constitution », on ne peut croire que cette Légion d’honneur est un aboutissement. Christophe Guilloteau a encore beaucoup à donner.
Gaucher, secrétaire général de la FNAIM du Rhône, Jean Chavot, ancien président de la FNAIM du Rhône, Pascal Pancrazio, président de la FNAIM du Rhône, Franck Morize, président de la CPME du Rhône et Emmanuel Chambat,
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE LA FNAIM
SUR LA TERRASSE DU MARRIOTT
Préalable aux vacances d’été, l’assemblée générale de la FNAIM 69 a levé le voile sur les actions de la fédération. Dans un contexte parfois morose, cette soirée d’été a surtout permis aux adhérents de se rassembler en toute décontraction.
L’électrocardiogramme n’est pas encore plat dit-on en coulisses. Il fut même très agité le temps d’une soirée passée sur la terrasse du Zucca. Là était d’ailleurs toute l’ambition de cette soirée d’été, où les bilans dressés lors de l’assemblée générale se confondent aisément avec des échanges enjoués.
Peut-être est-ce le fruit de la visite du président fédéral, Loïc Cantin et son secrétaire, Emmanuel Chambat, venus réaffirmer la légère reprise du marché de l’immobilier. Si leur visite fut aussi l’occasion d’illustrer toute l’importance de la chambre du Rhône aux yeux de la fédération nationale de l’immobilier, celle-ci a surtout apporté quelques nouvelles réjouissantes, à l’instar de la tant attendue augmentation des honoraires de location.
De quoi contrebalancer le « flou artistique » lié à la crise du logement. Mais en attendant de rouvrir à la rentrée, le dossier complexe du marché locatif, Pascal Pancrazio et ses adhérents ont bien mérité une parenthèse plus enjouée. Et ce, avant d’envisager une tout autre définition du taux de vacances. 100% approuvées celles-ci !
Jeorge Da Rocha, Dominique Pigato et Frédéric Nida (Bien’ici)
Franck Morize, président de la CPME du Rhône, Pascal Pancrazio, président de la FNAIM du Rhône et Marco Polisson (Lyon People)
Pierre-Yves
secrétaire
Karine Tisserand, Benjamin Laurent, Alice Gaudin et Aurélien Deplanche (Via Humanis Immobilier)
Maurine Rabut (Citya Barioz), Nicolas Perez (Citya Gallichet Lemaitre), Cécile Izquierdo (Citya Neuville) et Julien Germaneau (Citya Vendôme Lumière)
Adrien Pupier (GP Immobilier), Karine Ploton, Aurélia Faradji (Tassin Immobilier) et Loïc Grobost (agence de l’Opco des Entreprises de Proximité)
Véronique Gauthier (Neowi Beaujolais), Nicolas Derrien (NGI Conseils), Deanna Nociar (Transaction Immobilière), Martin Mégevand (Himosty)
Irène Dalmasso (Ares Groupe Barkene) et Michel Ruivo (Immokoda)
Olivier Venet (Immo 7), Maitre Jacques Berat (Chambre des Notaires du Rhône), Anne de Planchard (Cabinet Immocréation), Vincent Targe (Régie Vincent Targe) et Romain Biseau (Bizo Immo)
Jean-Philippe Guinet (Rochat Immobilier) et Charles Cléon (Cléréa Investissements & Transactions)
Marie-Cécile Frecon (Arilim Assurances) et Caroline Liby (Appart & Sens)
TROPHÉE DE GOLF EKLYA SCHOOL OF BUSINESS LE GRAND HUIT !
Soleil et chaleur au rendez-vous, toutes les conditions étaient réunies pour permettre à Eklya School of Business de signer une 8e édition mémorable. Avec près de 80 participants au départ du parcours des Sangliers, le traditionnel trophée de golf de l’école de commerce de la CCI Lyon Métropole Saint-Etienne Roanne a ainsi prouvé qu’il demeurait un évènement à ne pas manquer.
La réplique a beau être vieille comme le monde, la voici vérifiée : après la pluie, vient toujours le beau temps. L’occasion d’oublier les précipitations de l’an passé et de renouer, grâce au soleil, avec cette date mêlant convivialité, compétition et engagement solidaire.
Un triptyque gagnant pour Eklya School of Business et son directeur, Sébastien Arcos, cette 8e édition ayant réuni les éléments en faveur du beau jeu. Tout sauf une coïncidence, diront certains, l’opus 2025 ayant demandé
à... Louis Arcos et son comparse Baptiste Excoffier de piloter l’organisation de cette compétition, prise d’assaut aux beaux jours.
Il faut dire qu’avec les vertes pelouses du Golf Club de Lyon et de son directeur Damien de Breuvand, pour décor de jeu, les participants n’ont guère d’excuse à avancer pour se défiler. D’autant que l’école de commerce, de marketing et du luxe le sait, plus un événement est populaire, plus son niveau s’élève. La qualité des récompenses aussi.
Et ce, sans oublier ses retombées, alors que le trophée de golf est resté fidèle à l’association France Alzheimer Rhône de Christelle Bardet. Le tout, joué sous les yeux de Philippe Valentin, président de la CCI Lyon Métropole Saint-Etienne Roanne, prompt à motiver les quelque 80 participants. A les chauffer, s’il le fallait. Quoique !
En huit éditions, Eklya School of Business l’a prouvé, on peut compter sur elle pour faire le show !
Yoann Alarçon (Yalar Invest), Mathieu Vincent (ACE Solinvest), Nicolas Duval (Rydge Conseil) et Pierre-Olivier Paquet (Atelier du Quai)
Jacques Villien, Quentin Vieira (MDA Cuisines), Sébastien Germain (Henri Germain) et Pascal Aumonier
Bruno Mereu (BMC), Gérald Lemaire (GL Energie), Katia Laalevée (KLPG) et Richard Guglielmi
Corentin Chambon (MCD), Jean Mougin (Alteca et CCI), Charlie Wagemans (Signagolf) et Benoit Moreau (Groupe Altaï)
Thierry Gardon (Simon et Associés), Loic Cosnefroy, Clément Maguet (Tesla France) et Alexandre Nallet (Anahome Immobilier)
PALMARES
Résultats bruts :
1/ Christophe Dutel et Jérémy Dutel
2/ Arnaud-Pierre Malinvaud et Daniel Villareale
3/ Jean-Louis Combey et Frédéric Baudon
Résultats nets :
1/ Mathieu Vincent et Pierre-Olivier Paquet
2/ Damien Croux et Hugo Martin
3/ Pierre Antoine Lambert Alison et Gaël Forel
Concours d’approche : François Blanchet
Sébastien Arcos, directeur Eklya School of Business
Groupe Central Autos partenaire du Trophée
François Blanchet (Cabinet FBP), Christian Godet (Conseil et Formation, Eklya), Charles Clerc (SUNIC) et Bernard Denuziere
Daniel Villareale, président de la CPME Auvergne-Rhône-Alpes, Arnaud-Pierre Malinvaud (Axa France), Yohann Jaillet (Eklya) et Tomy Svitex (Eklya)
Jeremy Dutel, son papa Christophe Dutel (Crédit Agricole), Laurent Teoule-Dorey (Eklya) et Patrick Parat (Eklya, SMS Industrie)
Baptiste Excoffier et Louis Arcos, organisateurs du Trophée EKLYA
1er prix brut : Christophe et Jérémy Dutel en présence d'Anne-Fleur Guillermin (Arthus-Bertrand)
1er prix net en présence de Patrick Parat, président d’EKLYA et Sophie Cruz, conseillère régional Auvergne Rhône Alpes
INAUGURATION DE LA CLINIQUE NÉOVISION
Au mois de mai dernier, Lyon a accueilli la Clinique Néovision, un espace entièrement dédié à la chirurgie réfractive et aux solutions innovantes pour la santé visuelle. Installée au cœur du centre Louis Paufique, dirigé par Armelle Jacquin, cette nouvelle clinique incarne une approche moderne et exigeante de la correction de la vision et du confort oculaire.
Sous l’impulsion de Solène Thivent, directrice des centres Ophta Santé, et d’Anna Panczer, responsable de la Clinique Néovision, l’organisation a été pensée dans ses moindres détails pour offrir un accompagnement global et personnalisé.
Au 304 rue Garibaldi, les patients découvrent un univers conçu comme un cocon, où confort et qualité des soins vont de pair. Dotée d’équipements de dernière génération, la clinique s’est équipée des lasers Visumax 800
de chez Zeiss et Amaris de chez Schwind, à la pointe de la technologie. Ces dispositifs sont directement connectés aux appareils de mesure (OCT cornéen et biomètre), permettant l’envoi automatisé des données et une précision optimale des traitements. La clinique propose ainsi des solutions sur mesure pour corriger durablement la myopie, l’astigmatisme, l’hypermétropie ou la presbytie, ainsi que pour le traitement de la sécheresse oculaire.
« Nous avons voulu créer un lieu où chaque patient se sente pleinement accompagné, de la première consultation jusqu’au suivi postopératoire », souligne Solène Thivent. Une exigence d’excellence partagée par toute l’équipe, qui se résume en une promesse simple : « bye bye les lunettes, bonjour la vision nette ».
Sandra Cerdan Fayad, médecin esthétique et Christine Bouz
Docteur Alban Sam, son épouse Rana, architecte et Eiad Bouz, chirurgien ophtalmologiste
L’équipe Néovision au complet
Eiad Bouz, gérant du centre Ophta Santé et le docteur Pierre Volckmann
Docteur Yehia Eid et son épouse Claire
Eiad Bouz et Anna Panczer, responsable clinique Néovision accompagnés de la team Topcon Healthcare Roman Furnon, Dominique Laredina et Stéphane Favre
Laurent Mauclert, directeur des ventes ZEISS réfractive et Eiad Bouz, gérant du centre Ophta Santé, entourés d’Elodie Calas et de Marie Regnier, chirurgiennes ophtalmologues
Ahmed Rahmi, ophtalmologue échographe et Eiad Bouz, chirurgien ophtalmologiste
On le pensait engagé dans la construction d’un triplé, d’un énième succès qui viendrait asseoir le prestige de ses prouesses boules en main. Puis la surprise est tombée, Patrick Lozano a finalement décidé de se retirer, l’air du Sud devenant subitement plus attrayant qu’un nouveau trophée à exposer au-dessus de son bureau. Tant pis, un règne est voué à s’estomper. Dans la chaleur de la terrasse de O’Capot, ils furent même près de quatrevingts à briguer sa succession, l’ivresse de l’incertitude apportant un surplus de motivation à ce grisant rendez-vous. Et pour cause, le président de l’UNIS Lyon-Rhône eut beau s’échapper le temps d’une édition, la traditionnelle pétanque des professionnels de l’immobilier continue d’entretenir sa légende, faite d’une rude concurrence et d’une bonne dose de convivialité. La triplette de Vanex Propreté, Fanny Sapina, Baptiste Ferreol et Jorge Bastardo, peut en témoigner : s’emparer du trône est une chose, mais la vraie victoire est à trouver ailleurs : dans toute cette filière qui, entre deux lancers, retrouve le sourire.
Anne-Sophie Perrot, Jérôme Peret et Marie-Agnès Rocolle (Opéra Energie)
Jérémie Dumont (Bumper) et Sophie Truscello (Odealim)
Céline Paradol, présidente du pôle Auvergne-Rhône-Alpes de l’UNIS (Régie Molière), Maxence Lallemand (Afeo) et Shéhérazade Bensaber (Régie Gindre)
Marielle Esclatine, déléguée régionale de l’UNIS Lyon-Rhône entourée de Laurence et Jérôme Escudié et Florence Bugnet (Treizécinq)
L’équipe Ardi
Lionel Louis (Opéra Énergie), Corentin Boyau et Rémi Pégoud (Afeo)
Aurélien d’Export (La Toiture Rhôdanienne), Morgane Boukhriss et Gabriel d’Export (Les Cordistes Rhôdaniens)
Pierre Reginato, Gabrielle Fertoret et Charles Taithe (Régie Pedrini)
Jacques Pédrini (Régie Pédrini), Thomas Lery (Régie Lery) et Yann Sivignon (Odealim)
Anne-Christine Chagnon (Oralia Régie Opéra), Marielle Esclatine, déléguée régionale de l’UNIS Lyon-Rhône et Géraldine Bergerioux (Filhet-Allard)
67 • juillet 2025 • lyon people
Olivier Perez, Paul Lagarrigues et Enzo Mastronicola (Batisanté)
LA RÉGIE CARRON FÊTE SES 150 ANS
Depuis 1875, la Régie Carron a fait du patrimoine des Lyonnais sa priorité, affrontant les transformations du métier au profit de la bonne gestion des projets immobiliers. Une vision méticuleuse à l’heure de célébrer les 150 ans d’existence de cette institution familiale.
La machine à calculer Schubert, autrefois alliée des relevés de compte, a disparu depuis longtemps, mais la Régie Carron, elle, continue de prospérer, saluée pour sa dimension humaine, la qualité de ses relations professionnelles et la rigueur de son travail. Sans jamais se départir de son ancrage local, l’entité initiée par Claude Carron et sa femme, Marie Plantin, a donc affronté le progrès, suivant l’évolution du métier depuis 150 ans, dans l’univers de la vente immobilière, de la location, de la gestion
locative ou encore des syndics de copropriété. Une date symbolique, célébrée comme il se doit par la famille Carron, de la présidente, Cécile à son père, M. Carron - honoré de la médaille de la Ville - en passant par son frère et directeur général, Johan. Sans oublier les collaborateurs, indispensables soutiens à la longévité de la Régie. L’occasion de retracer la riche histoire familiale, le temps d’une soirée organisée à la Maison Vitton et de se projeter vers les années à avenir. Pour le plus grand plaisir des Lyonnais.
lyon
Monsieur Claude Carron et ses enfants, Cécile et Johan Carron (Régie Carron)
Claude Carron (Régie Carron) et Mehmet Meric (Cirem Meric)
Gaëtan Vacheron (Vacheron) et Johan Carron (Régie Carron)
Joseph Falceto, Cécile Carron, Maxime David, Johan Carron (Régie Carron)
Véronique Magrou (IK com) et Deborah Thomas-Merighi (Adecco)
Joseph Falceto (Régie Carron) et Sébastien Criner (Groupe Criner)
Marin Broquet (Cabinet Thomas Broquet), Tom Bonnardel (Club Gabriel) et Julia Zieleskiewicz (Galileo courtage)
Pascal Matera et Victoria Nerguisian (Régie Carron)
Jordan Sistac (Plazur) et Siam Peillon (Gentleview)
Discours de François Royer, adjoint au maire de Lyon 2e
Brice Briel, associé Delsol Avocats et Lisa Vieilly (Daylove event)
Jérémie Dumont (Bumper) et Boris Pilon (Leximpact)
Régis Ressicaud et Philippe Perrigot (PR établissement)
Alizé Gabai-Maillet (Gabai-Maillet & Rousset immobilier) et Marie-Azelie Cheze (Clerea)
Thibault Gachon (TGC développent) et Maxime Inigo (Ivoh)
Philippe Faugier (Le Dressing) et Stéphane Reynouard (SR capital)
Sophia et Émilien Jeannot (Entresport)
HIPPODROME DE PARILLY LA GARDEN-PARTY DU 60ÈME ANNIVERSAIRE
Jean-Claude Ravier, président de l’Association des courses lyonnaises entouré d’Etienne Blanc, sénateur du Rhône et Jérémie Bréaud, maire de Bron
François-Xavier Jay, président de l’Hippodrome de Saint Galmier, Claude Rouy, président de la société des courses de Aix-Les Bains et Pierre-André Jay, commissaire de la Fédération des courses pour la zone Centre-Est
Ambiance chic et ensoleillée pour cette belle journée du 60ème anniversaire de Parilly. Tout ce qui compte dans le monde des courses s'était déplacé pour soutenir le président Jean-Claude Ravier, le directeur Lionel Chosson et leur équipe, comme Philippe Bouchara, François Boulard, Henri Pouret, les enfants et petitsenfants du créateur de l'hippodrome André Baboin Beryl Nebon Carle évoquait la victoire du champion Missile en steeple il y soixante ans sous les couleurs jaunes pois bleus de son père Alain Nebon Carle. Également présents le maire de Bron Jérémie Bréaud, les sénateurs Etienne Blanc et Gilbert-Luc Devinaz, ainsi qu’Alexandre Vincendet, maire de Rillieux la Pape.
Le déjeuner avait été préparé par le talentueux restaurateur de la place des Célestins Florent Poulard (Monsieur P) qui nous a épatés avec son filet de bœuf mariné à l'huile d'olive et sa religieuse au cacao pralin de noisette et éclat de noisettes torréfiées...
Nicole Bargoin, ancienne élue de Lyon, Jean-Claude Ravier, président de l’association des courses de Lyon, Anne Vanbremeersch, fille d’Andrée Baboin, Anne Puvis de Chavanne (Comité Hippodrome de Parilly) et Bernard Vanbremeersch
Olivier Vidal, directeur régional PMU Auvergne-Rhône-Alpes et Alain Bellange (Porte des Alpes Entreprises)
Lionel Chosson, directeur général de l’Hippodrome de Parilly, Jean-Claude Ravier, président de l’Association des courses lyonnaises et Yann Souillet-Desert, service communication des
Philippe Perez, directeur général Radio Scoop, Muriel Risi et son époux Maxime Cesandri, entraîneur
Geneviève Michelli et Corinne Van Brabandt, épouses de commissaires de courses
Bernard Gachet, ancien commissaire de course, François Boullard, commissaire de courses, propriétaire et éleveur de chevaux et Christian Porte, propriétaire de chevaux
Hervé Thouvenel, président de Lugdunum Racing, Claudie Ravier et Sophie Ravier (SCL)
Henri Pouret, directeur général délégué de France Galop, Charlotte Camps et Tristan Huges (Afasec)
Martine Della-Torre et Beryl Maillard, consul de Saint-Domingue
Hippodromes de Lyon
Jean-Claude Ravier, président de l’Association des courses lyonnaises entouré de Christian Mure (Guide Lyon Gourmand) et Marco Polisson, rédacteur en chef Lyon People
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L’ÉCOLE PIGIER
CÉLÈBRE SES 175 ANS !
Jean-Francis Charrondière, directeur de Pigier Lyon et directeur national de Pigier
LEcole de commerce, réputée pour son modèle basé sur l’alternance, l’école Pigier a dignement fêté ses 175 ans d’existence. Une longévité impressionnante, célébrée sous les chapiteaux du Cirque Imagine.
e hasard a beau faire bien les choses, il n’a jamais eu sa place en pareil endroit. De fait, lorsque la « Business School de l’alternance » vient à honorer 175 années passées à « apprendre par l’action », les célébrations ne peuvent se faire ailleurs que dans un lieu animé, où l’innovation et l’excellence trouvent un écho semblable à la philosophie de l’école Pigier. Sous les chapiteaux du Cirque Imagine, les acrobaties ont donc été une parfaite métaphore de l’activité de cette institution, fondée par Gervais Pigier et dirigée aujourd’hui par JeanFrancis Charrondière. Il n’empêche, celle-ci ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Sa mission demeure la même : immerger les étudiants dans le monde professionnel dès le premier jour. Encore plus à Lyon, où l’école, implantée depuis 1911, ne cesse de prouver les bienfaits d’une formation tournée autour
de l’alternance, en attestent les quelque 87% d’élèves embauchés à la fin de leur cursus. D’autant que le campus de la Part-Dieu compte bien profiter des nouveautés de l’école, à savoir la création d’un bachelor en 3 ans, dispensé 100% en alternance ou d’une expérience immersive au sein d’une entreprise virtuelle. À la rentrée prochaine, Pigier formera ainsi 13 000 étudiants dans ses 31 écoles en France, de Bac à Bac+5. Et ce, avec succès, depuis 1850.
Yoann Houeix, responsable du réseau des franchisés Pigier, Vincent Dupuy, directeur général d’Eduservices, Aline Prince, directrice de TUNON Lyon et Patrick Vermay-Musset, directeur de groupe Pigier
de Pigier Lyon et Yoann Houeix, responsable du réseau des franchisés Pigier
Cruz-Guillot (CEGOS) et Eric Guillot (MSD France)
Gaëtan Borrel, chargé des relations entreprises de Pigier Lyon, Agathe Veyrard (Safran), Thomas Martinet, chef des ventes chez Célestins Matériaux et Thomas Dubois, chargé des relations entreprises de Pigier Lyon
Julie Frutoso (SIRAC Villeurbanne) et Jean-Francis Charrondiere, directeur de Pigier Lyon et directeur national de Pigier
Chloé Milazzo, responsable communication de Pigier Lyon, Quentin Heude (Pigier alumni) et Mathilde Fayol (Pigier Lyon)
Laura Chermette (GSF Mercure)
Amélie Rigano, Elodie Ramir, Valérie-Anne Bagrel, Estelle Duret, Anne Gollinucci-Escobar et Marlène Castanheira, formatrices chez Pigier Lyon
Margaux Lafarge, Sophie Delhumeau, Agnès Brunel, chargées de mission en ingénierie pédagogique chez Pigier et Yoann Houeix, responsable du réseau des franchisés Pigier
73 • juillet 2025 • lyon people
Maître Alban Pousset-Bougère, bâtonnier de Lyon, Florence Boachon, ancienne vice-présidente de la Chambre Interdépartementale des Notaires de la Cour d’Appel de Lyon et Damien Cartel, président de l’Ordre des ExpertsComptables Auvergne-Rhône-Alpes
SUMMER PARTY
AVOCATS, NOTAIRES ET EXPERTS-COMPTABLES FONT VIBRER LE F&K
Le succès des soirées de l’Association pour la Promotion de l’Interprofessionnalité (API) n’est plus à prouver. Jeunes avocats, notaires et experts-comptables se sont ainsi retrouvés au F&K, pour une summer party tout en musique. C’est le propre de ces soirées blindtest : un peu de compétition, beaucoup d’allégresse et des musiques iconiques, dont le titre n’échappe à personne. À ce jeu, la soirée « API Together » de l’Association pour la Promotion de l’Interprofessionnalité apparaît déjà comme un tube à succès, apprécié de ces avocats, notaires et autres expertscomptables, ravis de témoigner, en chansons, leur plaisir de se retrouver. Réunis sur la même scène, l’Ordre des Experts-Comptables Auvergne-Rhône-Alpes, le Barreau de Lyon et la Chambre Interdépartementale des Notaires de la Cour d’Appel de Lyon, accompagnés de leurs partenaires, Soprolib et Legal2digital, ont trouvé le bon tempo.
Maître Alban Pousset-Bougère, bâtonnier de Lyon, Florence Boachon, ancienne vice-présidente de la Chambre Interdépartementale des Notaires de la Cour d’Appel de Lyon, Laurent Lelievre, président de Soprolib, Thomas Peraldo (BP AURA et Soprolib), Sandrine Debade, responsable partenariats BP Aura et Damien Cartel, président de l'Ordre des Experts-Comptables Auvergne-Rhône-Alpes
Thomas Peraldo (BP AURA et Soprolib), Laurent Lelievre, président de Soprolib et Damien Cartel, président de l'Ordre des Experts-Comptables Auvergne-Rhône-Alpes
Lucie Canfin et Manon Duchesne, expert-comptable
Florence Boachon, ancienne vice-présidente de la Chambre Interdépartementale des Notaires de la Cour d’Appel de Lyon, le bâtonnier Alban Pousset-Bougère, Messa Gallet, directrice commerciale, Margot Desflammes, chargée de clientèle (Légal2Digital), Damien Cartel, président de l'Ordre des Experts-Comptables Auvergne-Rhône-Alpes et Hafsat Beliny, chargée de clientèle (Légal2Digital)
Maître Elise Balthazar et Maître Samantha Courtadon, avocats
INTERCONTINENTAL
RENCONTRES OFFICIELLES DES LYONNES
Ce samedi 28 juin, L’Équipe des Lyonnes a réuni plus de 150 participantes à l’Intercontinental Lyon HôtelDieu pour la 8ème édition de ses Rencontres Officielles, autour du thème « Prendre sa place sans demander la permission ». Un événement inspirant, célébrant la parole
féminine dans l’espace public, sans opposer les hommes et les femmes, et marquant les 4 ans de ce collectif de 3 400 membres, initié par Alexandra Carraz-Ceselli, et engagé pour l’égalité. Au programme, les interventions poignantes et instructives de Sadia Hessabi, cheffe franco-afghane,
Valérie Poinsot, administratrice, coach de dirigeants, et vice-présidente du Club des ETI, est venue partager ses conseils sur l’art de la prise de parole et a dévoilé ses « supers pouvoirs » qu’elle a compilé dans son livre « Yes Women »
des Lyonnes, le Prix Spécial « Les Rugissantes »
L’astrophysicienne lyonnaise Isabelle Vauglin a reçu le Prix spécial « Les Rugissantes », des mains de Celine Hadjar, vice-présidente
Anne Delaigle, vice-présidente de L’Equipe des Lyonnes, présente les premiers « BB Lyonnes » de l’aventure : Inès Delmotte et Anaïs Burnichon sont venues « pitcher » aux RDV de la Tribu, avant de lancer leur concept, "Les Épicurieuses » qui propose des parcours de découverte d’œnologie en région lyonnaise
Valérie Poinsot, dirigeante et vice-présidente du club AURA des ETI, Marie Goncalvès, avocate et championne de trail, Isabelle Vauglin, astrophysicienne et Guila Clara Kessous, artiste pour la paix à l’UNESCO et coach de dirigeantes.
En 4 ans, L’Equipe des Lyonnes s’est imposée comme le premier réseau d’influence de la place lyonnaise : + 3500 membres, +145 Cafés des Lyonnes 4 Livres blancs + 440 femmes mises en avant, valorisées ou accompagnées + 3000 participantes à l’un de nos évènements + 50 évènements organisés
Près de 300 professionnels mobilisés ou impliqués bénévolement. Et une présence chaque mois dans les colonnes de Lyon People, notre magazine lyonnais préféré, qui nous a fait confiance dès les premiers mois de l’aventure ! MERCI à toute l’équipe, et en particulier à Marco Polisson pour sa confiance et son soutien !
Mina Pouvesle, membre du Comex et franco-iranienne, a remis à Guila Clara Kessous, au nom de L’Equipe
SG AUVERGNE RHÔNE ALPES ACTEUR MAJEUR
DES DEMI-FINALES DE TOP 14
Partenaire majeur de la Ligue Nationale de Rugby depuis sa création en 1998, la SG Auvergne Rhône-Alpes ne pouvait évidemment manquer les demi-finales de Top 14. Organisées au Groupama Stadium, ces dernières furent l’occasion d’illustrer les valeurs de l’ovalie le temps d’un avant-match à l’hôtel Kopster.
On ne peut être au centre des débats, ses couleurs dessinées au beau milieu de la pelouse sans être au cœur du jeu. Au cœur des festivités aussi, alors que Lyon accueillait deux soirs de fête dédiés à l’Ovalie. Deux ans après avoir poussé derrière les Bleus, à l’occasion de la Coupe du Monde, SG Auvergne Rhône Alpes était donc de la partie, lors des demi-finales de Top 14, jouées dans l’enceinte du Groupama Stadium. Habituée à se positionner en première ligne, lorsque le ballon ovale est l’épicentre des festivités, SG Auvergne Rhône Alpes aura même eu un rôle crucial dans la promotion de ces rencontres. Et pour cause, la banque
fut un acteur de choix de cet événement, en prouvant une fois encore son « amour du rugby » lors d’avant-matchs engagés, organisés à l’hôtel Kopster.
L’occasion pour le directeur, Philippe Dewèvre, de délivrer ses premières passes décisives à destination de ses fidèles clients. Le tout, en les envoyant à l’essai, sous le regard de l’ancien sélectionneur de l’équipe de France, Philippe Saint-André. À la clé, de nombreux cadeaux et des places réservées dans les travées de l’enceinte décinoise. Une belle victoire collective, avant la grande finale, le 28 juin, au Stade de France !
lyon people • juillet 2025 • 76
Alberic Thord (Vitaprotech) et Eric Thord
Discours d’accueil de Philippe Dewèvre, directeur régional SG.
Philippe Saint André, ancien sélectionneur de l'équipe de France de Rugby
On peut travailler ses dossiers avec assiduité, mais force est de constater que certains classiques sont plus faciles à maîtriser et à retenir. Et pour cause, l’édition 2025 de la Nuit qui Compte conviait membres de l’Ordre des Experts-Comptables Auvergne Rhône-Alpes et professionnels des cabinets d’expertise comptable et d’audit à replonger avec enthousiasme dans les meilleurs tubes des années 80.
Du « début de soirée » de Nuits de folie et « jusqu’au bout de la nuit », la soirée aura une nouvelle fois permis à ses participants de profiter de l’été et de cet événement réunissant
plus de 600 collaborateurs et étudiants de la filière. L’occasion d’échanger, de s’imprégner de la profession ou encore d’aborder l’avenir et les chambardements de cette dernière, au détour d’un Madison.
Une recette gagnante alors que la Nuit qui Compte ne cesse de séduire d’année en année. Et ce, qu’importe la date. Le mois de juin a néanmoins ses avantages. En effet, le président Damien Cartel et l’Ordre des Experts-Comptables Auvergne Rhône-Alpes peuvent en profiter pour ouvrir le dossier David et Jonathan : « est-ce que tu viens pour les vacances » ?
Texte
Damien Cartel, président de l’Ordre des ExpertsComptables AURA, entouré de Morgane Saclier, Amélie Panier et Guillaume Paour, élus de l’Ordre des Experts-Comptables
Patrick Velay, président du Club Fiscal de l’Ordre des ExpertsComptables, Stéphanie Gresle, présidente de la commission déontologie de l’Ordre des Experts-Comptables et Damien Cartel, président de l’Ordre des Experts-Comptables AURA
Baptiste Touron (Cabinet Firex), Benjamin Barthelemy et Jean-François Mallen, président de la CRCC Lyon-Riom
Adèle, Sahara, Marine, Emma et Natacha (Arthaud & Associés)
Damien Cartel, président de l’Ordre des ExpertsComptables AURA, Romain Richaud (C-Conseils) et Paul Chabrillat, trésorier de l’Ordre des Experts-Comptables AURA
2025
Reli[AI]f by Nouveau Monde
Sylvain Levet, président d’Epsilon ingénierie, Denis Labouebe, directeur adjoint des Régions Multimétiers chez NGE et Laurent Ducasse, directeur industries du Groupe NGE
Denis Labouebe (NGE BTP), André Roibet (Groupe Tebior) et Nicolas Petreaux (Groupe Tebior)
Claire Linares (Groupe Tebior) et Martine Amsellam-Zaoui, notaire
Didier Petetin, directeur général délégué de Vicat et Serge Barge (Syse)
lyon people • juillet 2025 • 80
André Roibet, président du Groupe Tebior et Didier Petetin, directeur général délégué de Vicat
GROUPE TEBIOR
UNE SUCCESS-STORY FAMILIALE CONSTRUITE DEPUIS 30 ANS
Fondé en 1995, le Groupe Tebior est devenu en 30 ans l’un des acteurs majeurs du BTP. Symbole du succès de cette holding familiale, celle-ci s’apprête à investir de nouveaux locaux, conçus dans le respect des valeurs fondatrices du groupe.
Depuis ses débuts modestes dans de simples bungalows, Groupe Tebior a toujours veillé à associer développement économique et responsabilité environnementale. Sa vision –« un développement quotidien engagé vers le futur » – s’est traduite concrètement à travers la création de la Fondation Arboretum, véritable bras environnemental du groupe. À chaque projet, la Fondation veille à limiter l’empreinte écologique des travaux et à valoriser les sites : plantation de haies, préservation de la biodiversité, recyclage des matériaux issus de la déconstruction, compensation écologique... Depuis 1995, l’expert du BTP a également bâti sa croissance sur des acquisitions
réfléchies, témoins d'ambitions portées par « l’aménagement du territoire, la construction et l’environnement ». Une vraie réussite pour son fondateur, André Roibet, dont la vision et le sens de la fidélité ont rapidement été récompensés, en atteste le rachat, dès 2002 de MGB Travaux publics et de Routière Chambard en 2010, en compagnie de son ami Guy Mathiolon, président de Serfim. Aujourd’hui capable d’intervenir au gré de ses filiales sur des projets aussi variés que les infrastructures routières, l’aménagement urbain, le recyclage des matériaux du BTP ou l’édification d’espaces verts, Groupe Tebior s’est imposé comme une véritable référence du secteur.
Sylvain Levet, président d’Epsilon et Philippe Molin, DG de MGBTP
Christophe Jean (BGL) et Vincent Vaché (Ranc et Genevois construction)
Denis Treboz (Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté) et Carole Pichat (CIC lyonnaise de banque)
Julien Caron (PRD) et Régis Le Cour Grandmaison (Fondation PRD programme Athos)
André Roibet, président du Groupe Tebior
Nicolas Petreaux, directeur général de Groupe Tebior
Caroline Folliet, directrice de l’agence Sud-Est CDC Biodiversité
Christophe Jean, directeur général associé BGL et Damien Rogat, directeur de la société Vicat Sysnergie
Adrien Roibet, président de IXO
Pierre Priolet, agriculteur et auteur du livre « Les fruits de ma colère : Plaidoyer pour un monde paysan qu'on assassine »
Florence Beduneau Chassaing (Convention des Entreprises pour le Climat)
Jean-Claude Pietrocola (Trophée Ovalgreen), Guy Mathiolon, président de Serfim et Raymond Chambard
Christine Vidon, co-dirigeante de l’exploitation Christine & André
ALL IN COUNTRY CLUB
GREENWEEZ PADEL NIGHT SESSION
Associé au leader du e-commerce bio, Greenweez, le complexe ALL IN COUNTRY CLUB a de nouveau enchanté les fans de padel. À la clé, une soirée riche en échanges sportifs et amicaux pour les quelque 600 personnes présentes.
Situé à 100 mètres du Groupama Stadium, le ALL IN COUNTRY CLUB n’est plus à une démonstration près, il sait se surpasser, adapter son jeu en fonction des événements, pour tirer le meilleur de lui-même. Et ce, jusqu’à se transcender, son court central se muant même le temps d’une soirée, en un attrayant terrain de padel. Il faut dire que la première édition de sa Greenweez Padel Night Session avait donné le la, l’an passé, le complexe décinois cultive l’amour du beau jeu. De ces matchs d’exhibition où des champions français tels que les numéros 2 et 5 français, Johan Bergeron, Julien Seurin et les représentantes tricolores, Jessica Ginier et Carla Touly se livrent à des échanges de haut vol. La balle de match en fut d’ailleurs une parfaite illustration. Et ce, sans l’utilisation farfelue d’une raquette géante dévoilée par l’équipementier lyonnais Babolat. Autant de raisons d’apprécier le ALL IN COUNTRY CLUB et ses soirées. Mais aussi et surtout de se laisser séduire par ce sport en vogue, que le complexe dispense sur 7 pistes intérieures. Dès lors, le padel a beau se jouer en deux sets gagnants, le public en redemande. Alors jamais 2 sans 3 ?
Sammy Dancyger, directeur du ALL IN COUNTRY CLUB et Romain Roy (Greenweez)
Arnaud Favaron et Pierre Gadras (Babolat)
Pascal Porchet (multiservices et entretiens), Fabrice Ricci et l’ancien footballeur de l’OL, Maxime Gonalons
Johan Bergeron à la volée
Justine Bonhomme et Romain Duval (Fermob)
Rodolphe Di Rienzo (Chaudira) et Eva Di Rienzo (Gym Lyon Métropole)
Nicolas Barbarin et Anthony Scapotta, PDG d’Erea
Elsa Goton (Lustucru Frais) et Léa Cuong (Pharmacie de Toussieu)
Julia Roeskay (Decathlon), Camille Egea (Ceva logistics) et Lisa Ferreboeuf, juriste
Antoine Vernier (Fréquence) et Margaux Quensont (Sonova)
Pascal Dayot (China Group) et Cécile Sanchez (Barikell France)
Le meneur de jeu de l’ASVEL, Nando De Colo et Veronica Compañ
MELKART PROPRETÉ
LE PROPRE DE LA TRANSMISSION
Portée par le sens du travail, la réussite et la qualité de ses relations humaines, la société Melkart a dignement fêté la passation de pouvoir entre ses fondateurs historiques et leurs successeurs.
L’éclat d’une prestation n’est pas nécessairement à retrouver dans le reflet d’un miroir brillant de propreté, il est parfois à trouver ailleurs, loin de ces missions faisant d’ordinaire le bonheur des secteurs tertiaires, luxe, santé ou des collectivités.
Il est alors à retrouver sous une forme plus simple, incarnée par l’émotion d’une transmission. D’une passation de pouvoir en l’occurrence, alors que Melkart Propreté ouvre une nouvelle ère de son histoire, 35 ans après sa création.
Mais puisque la société basée au 116 Grande Rue de la Guillotière, à Lyon 7ème aime à s’inspirer de Spinoza, en répétant que « si vous voulez que la vie vous sourie, il faut d’abord lui apporter votre bonne humeur », celle-ci n’entend pas se départir des valeurs initiées par ses fondateurs frère et sœur, Rémy Appéré et Fabienne Appéré « On a fait de notre mieux pour s’épanouir dans le monde du travail tout en apportant de belles valeurs humaines », témoigna cette dernière en conséquence, les clés de la société rachetée par Anne-Sophie et Marie Jaber, ses deux filles ainées, après 10 années de participation au développement de l’entreprise. Un acte symbolique pour Melkart dont l’expertise fait déjà le bonheur de quelques institutions rhodaniennes telles qu’Euronews ou Calicéo. « Vous y avez mis votre cœur et fait preuve d’un engagement sans faille. Vous êtes des piliers pour nous tous », glissa en réponse Marie Jaber, à l’aube d’un « moment marquant dans l’histoire de l’entreprise ». Reste à dessiner demain, dans le sillage de plus de 70 collaborateurs. Surtout, Melkart entend affronter l’avenir avec brio, en tirant
profit de « l’énergie et de l’ambition » de ses nouvelles dirigeantes. Et ce, en se rappelant que Spinoza eut dit aussi qu’on « ne désire pas les choses parce qu’elles sont belles, mais c’est parce qu’on les désire qu’elles sont belles ».
Marie et Anne-Sophie Jaber, les nouvelles co-gérantes de Melkart
Jean-Marc Delon (Caliceo Lyon), Farouk Nasraoui (Nasstra Matériel de piscine), Julien Abreu (Hygie Propreté), Pierre Tenoux (Rotowash) et Eric Caporusso
Marie Jaber au micro, face à l’équipe Melkart dont Naurra Khellaf et Icrame Ghalleb
Anne-Sophie Jaber (Melkart) accompagnée de ses sous-traitants, Samir Chaib (cs propriété), Naser Musa (Naser Misa), Mentor Tahiri et Kamal Bouanem (idéal propreté)
Fabienne Appéré, entourée de son compagnon, Jean-Luc, et ses filles, Anne-Sophie, Marie et Clémence Jaber
Sébastien Gaymery (Melkart) et Damien Siduron (Melkart)
Anne-Sophie Jaber, cogérante de Melkart, entourée de ses salariées
La doyenne de la famille, Monique Appéré entourée de ces petites filles Anne-Sophie et Marie, et ses enfants Fabienne et Rémy Appéré
Justine Appéré (Nuages d’images), Rémy Apperé, cofondateur de Melkart, Morgane Appéré et Pascale Apperé (Century 21)
Marie Jaber (Melkart), Caroline Toufailli, cofondatrice du traiteur Aklé et Anne-Sophie Jaber (Melkart)
Marie et Anne-Sophie Jaber entourées de Pierre Tenoux (Rotowash), Mirela Burlacu (Promir) (Melkart), Laurent Ferrari (Aprohygiene), Jordan Ramon (Ajr distribution services) et Joël Ramon
5ÈME RALLYE DU CŒUR NOUVEAU RECORD DE GÉNÉROSITÉ
Encore une fois la magie a opéré.
La 5ème édition du Rallye du Cœur de Lyon a battu un nouveau record de générosité.
C’est sous un soleil éclatant que 320 véhicules de collection et supercars d’exception et leurs équipages ont investi le château de Salette (38). Pilotes et public se sont retrouvés autour d’animations, de balades et de surprises organisées pour offrir une journée hors norme aux enfants malades, en présence de Tony Parker et du parrain Dominique Chapatte. Depuis cinq ans, le Rallye du Cœur Lyon finance plusieurs programmes de recherche sur ces cancers à l’hôpital Lyon Sud. Les recettes de la journée, les dons des équipages associés à ceux des sponsors ont permis d’atteindre la somme incroyable de 718 000 euros qui seront affectés à la lutte contre le cancer pédiatrique.
de la balade pour les enfants. En tête, l’Audi RS6 R Abt pilotée par Alexandre Jeannerod
LE RECORD DE L’AN DERNIER (628 000 €) AVAIT VALEUR DE PLAFOND DE VERRE
Il semblait difficile voire impossible à transpercer. Membre du comité d’organisation, Florian Sermet n’en revient toujours pas. « Jamais je n'aurais cru que nous pourrions battre ce record et pourtant nous l'avons fait ! Plus de 2,5 millions d’euros récoltés en 5 ans !! c'est complètement fou ! » a réagi le
patron de l’agence de communication Adjectif lors de la proclamation des résultats. « Un Rallye du Cœur Lyon complètement dingue et un résultat incroyable. Le plein d’émotions avec des équipages magiques et des petits guerriers avec des étoiles plein les yeux ! » pour un immense défi relevé par Franck Denoyel, Henri Chevallier-Chantepie, Marie-Ange Denoyel, Véronique Perdrieu, Sébastien Frambourg, Julien Diemert, Nathalie Guerry, et Muriel Versini. Lyon People est fier de les accompagner médiatiquement dans cette aventure.
Baudoin Saint Olive, président du cercle de l’union au volant d’une Ferrari F12 tour de France, avec Nahé
Tony Parker (Infinity Nine Group), Marco Polisson (Lyon People) et Romeo Moulard
Départ
Rallye du cœur 69 : Florian Sermet, Henri Chevallier-Chantepie et Franck Denoyel
Natacha, représentante de la société Adjectif (Stratégie et Communication) partenaire principal du Rallye du Cœur et Florian Semet (Rallye du cœur 69)
Vincent Targe au volant d’une rarissime automobile Avions Voisin C11 de 1928
L’équipage Slusarek en Morgan Plus 8
Coraline Petit (NTB Ingénierie) et Paul Bellaton (Alpinementvotre)
Béatrice de Montille, conseillère municipale de Lyon et son mari Arnaud de Montille (Merci Maman)
L’équipe collector Cars Auction avec Jade et la Porsche de Johnny Hallyday
Yannick B au volant de sa Bugatti 37 de 1929
Le commissaire-priseur Christophe Belleville en Ferrari 308 GTS de 1983
Le performeur Raul Marchisio et sa Ferrari F40
Patrick Bergia en Mc Laren 720s de 2018
Jacques-Henri Laurent au volant d’une Cadillac Série 62, convertible 1959
Me Laetitia Jossier, nouvelle présidente de la chambre des notaires de Lyon
Les membres du Rolls Royce Bentley Club de Lyon
“UN
ÉVÉNEMENT HISTORIQUE
À PLUS D’UN TITRE”
Jérémie Breaud
LANCEMENT DE LYON PEOPLE
"Les secrets de Bron"
Après plus d’une année d’enquête, Lyon People a levé le voile sur son numéro spécial patrimoine dédié à la cité brondillante. Une soirée de lancement organisée sur la terrasse panoramique de l’hippodrome de Parilly, témoin des richesses souvent méconnues de la commune drivée par Jérémie Bréaud.
Le lieu cher à Jean-Claude Ravier, président de l’Association des Courses Lyonnaises, a beau inciter à l’exercice, peu auraient parié sur une telle enquête, sur ce choix audacieux d’investir Bron, à la conquête d’un patrimoine d’exception. Mais après un an d’investigations et de rencontres, force est de constater que la commune de l’Est Lyonnais est bien plus attrayante que sa réputation ne le laisse penser. Là était d’ailleurs toute l’ambition de Lyon People, à l’heure de consacrer 204 pages à « cette ex belle endormie ». Dans l’antre des paris équestres, au sommet de cet hippodrome où l’excitation berce souvent les courses, le comte Marc Engelhard a donc misé sur le bon cheval, à l’heure d’éditer son 10e numéro patrimoine dans lequel les lecteurs lyonnais et brondillants vont découvrir la riche histoire d’une cinquantaine de lieux emblématiques. Au premier rang de l’assistance, Pascal Charmot, maire de Tassin-la-Demi-Lune venu transmettre le flambeau de nos éditions
« patrimoine », un an après le succès de son magazine collector, sous les yeux de l’ancien député-maire de Bron Jean-Jack Queyranne (1989-1997), et son épouse Elisabeth, fille de Sigismond Brissy, maire de 1965 à 1971, tout comme Gérard Sousi, fils d’André Sousi, maire de 1971 à 1988.
4 FAMILLES DE PREMIER MAGISTRAT BRONDILLANT RÉUNIES, UNE GRANDE PREMIÈRE
Jérémie Bréaud, élu maire en 2020, a été séduit par « ce regard neuf sur notre ville qui fera date ». « Bron mérite ce coup de projecteur. Ce n’est pas une ville de passage, c’est une destination à part entière. Il était temps qu’un média mette en valeur notre commune. Ce numéro est un guide de notre patrimoine, une invitation à découvrir ou redécouvrir Bron. Il va rendre les Brondillants
fiers et porter un autre regard sur la ville », poursuivit l’édile. On dirait le Sud, se permit d’ailleurs de fredonner ce dernier. Alors si Bron ressemble à la Louisiane ou à l’Italie, Lyon People se réjouit de la réalisation de ce « long voyage patrimonial et romanesque qui devrait surprendre ». Du fort de Bron à l’hôpital du Vinatier, en passant par le centre-ville et le quartier des Essarts, nos lecteurs vont plonger dans cette enquête minutieuse dédiée à « des personnages de toutes conditions, aux destins étonnants » et à l’historique de ces villas années 30 qui font le charme de toute une ville. Une grosse cote certes, mais un succès assuré !
Ce numéro spécial est en vente à la Librairie de l’Hôtel de Ville (150, avenue Franklin Roosevelt à Bron - tél. 04 78 26 08 09). Si vous souhaitez le recevoir par courrier, merci de contacter Marie par téléphone au 04 72 82 97 78 ou par mail : marie@lyonpeople.com
« Pour la première fois, Lyon People, magazine patrimonial, qui a déjà mis à l’honneur Tassin, Écully, Caluire ou le 6e arrondissement de Lyon, s’aventure du côté de l’Est lyonnais. Et c’est un pari audacieux – certains diraient même un peu risqué – que nous saluons tous ici avec enthousiasme.
Oui, Bron mérite ce coup de projecteur. Trop souvent méconnue des Lyonnais et des Grands Lyonnais, notre ville regorge de trésors patrimoniaux, de récits singuliers, d’architectures précieuses et d’une énergie humaine formidable. Plus de 200 pages ! Un contenu dense, riche, passionnant. 50 lieux emblématiques sont mis à l’honneur : institutions, maisons, entreprises, restaurants… Ce magazine va rendre fiers les Brondillants mais aussi permettre à ceux qui ne connaissent pas ou mal Bron de porter un autre regard sur notre ville.
Alors encore une fois, merci à toutes celles et ceux qui ont rendu cela possible !
Jérémie Breaud, maire de Bron
Le cocktail préparé par la Maison Pignol en terrasse panoramique avec vue imprenable sur l’hippodrome
Le capitaine Guillaume Gnesutta, chef de la cellule rayonnement, Jérôme Lacroix, commandant en second (Ecoles Militaires de Santé Lyon-Bron) et Jérémie Bréaud, maire de Bron
Léo Di Pasquale, directeur de cabinet, Jérémie Breaud, maire de Bron et l’horloger Jean-Louis Maier
Jérôme Brugère, Marc Engelhard (Lyon People) et le docteur Christian Brugère, ancien député suppléant de Bron
Pascal Charmot, maire de Tassin la Demi-Lune, son épouse Hélène et Jean-Claude Ravier, président de l’hippodrome de Parilly
René Coiro (Coiro TP), Marc Engelhard, rédacteur en chef de Lyon People, Ludovic Scarpari (Arcole Développement) et Damien Gouy-Perret, directeur de la communication de Bron
Le chef Nicolas Vernay et Thierry Jandard (La Table de Guy)
L’historien Jean Etevenaux, Eric, Eliane et Jacques Bruyas, président de l’Union des Ecrivains Auvergne-Rhône-Alpes
Caroline Grotowski (Champagne Deutz et Maison Delas), le chef Christophe Marguin (Restaurant Le Président) et Laetitia Pepino (Avec Joie)
Ghislain et Isabelle Sentis
Crédit Mutuel de Bron : Sylvie, Didier, Nicolas, Pascal, Laure et Brice Sarron, directeur
Stéphane Genin, conseiller municipal de Bron, Isabelle Da Silva, adjointe au maire de Bron, Jean-Jack Queyranne, ancien député-maire de Bron et son épouse Elisabeth
Marc Engelhard (Lyon People) et Laure-Marine Godet (Apave)
Séverine Rohner et Anne Vinçond (Carrosserie des Lauriers)
Fabrice Expert, directeur, Sarah et Fabienne Pegaz présidente Agesca
Samsic Sud-Est : Andréa Dunas, directrice commerciale Sud-Est, Jérôme Bourbousson, directeur général adjoint et Manon de Ochandiano Thierry et Agnès Depoorter avec Philippe Cretin (AIPC2)
Le Comptoir de Bron : Sylvie et le chef Franck Lancinot, François et Sophie Coiro
Stéphanie Vella, conseillère municipale, Damien Gouy-Perret, directeur de la communication Ville de Bron et Grégory Brunet, adjoint aux sports
Véronique Goux et Monia Nivet, direction de la communication de la Ville de Bron
Luc et Daphné Letourneaux (Atria Conseil)
Stéphane Guilland, directeur de l’aménagement urbain de la Ville de Bron et Cyril de Gasquet (Korporate)
Jean-Claude Ravier, président de l’hippodrome de Parilly, Maître Sandrine Jacquemin-Van Gorp, Maitre Adeline Croizier, notaires (Etude Bremens) et Paul Lauriau (Coutot-Roehrig)
Lyon People : Sophie Bardol, directrice des annonces légales, Flavie Laforêt, chef de publicité et Sophia Jeannot (Entresport)
Christian Mure (Guide Lyon Gourmand) et son épouse Muriel
Alexis Creuseveau (IUT Lyon) et Chloé Guérin-Ordekoglu, directrice générale de Premium Sécurité Privée
Jean-Philippe Niewenglowski (JP& C Partners), Albert Dray, Myriam Magnenet, Jérémie Breaud, maire de Bron et Nicolas Winkler, directeur de Lyon People et du Top 500
Jean-Claude Ravier, président de l’hippodrome de Parilly, Marie Robert, Camille Ruckebusch, directeur Novotel Lyon Bron Meeting & Events
Nicolas Winckler, directeur Lyon People et Caroline Grotowski (Champagne Deutz)
Le docteur Christian Brugère, ancien député suppléant de Bron et Gérard Sousi, fils de l’ancien maire de Bron Gérard Souci (Fond de Dotation Gérard et Blanche Sousi)
Bron a retrouvé sa fierté
« Votre spécial Bron nous fait parcourir et parfois découvrir le patrimoine de notre ville de manière documentée et vivante. Les photos et illustrations nous invitent à porter un regard riche et émouvant sur un passé proche que nous avons connu et dont nous avons été aussi les acteurs à une certaine époque. Cela nous a beaucoup touchés. Félicitations à toute votre équipe pour avoir su recueillir autant de témoignages. Un pari audacieux et réussi, parler et faire parler une ville dont l'histoire jusque-là restait trop méconnue. Bron ne mérite pas l'appellation de banlieue qui renvoie à l'image d'une commune sans âme et sans atout. Vous lui avez donné toute sa fierté. La soirée à l'hippodrome était très réussie, elle a été pour nous l'occasion de belles retrouvailles et rencontres. Un grand merci à vous. Avec toutes nos amitiés. »
Élisabeth et Jean Jack Queyranne
Jean-Jack Queyranne a été maire de Bron de 1989 à 1997. À sa droite, la journaliste Françoise Petit.
L’historien Jean Etevenaux et son épouse Joëlle
Le journaliste Philippe Lecoq (Lyon People) et Clémence Bricon, directrice du Top 500
La journaliste Sophie Guivarch et la décoratrice Marion Stevenon (L’Effet Aouhhh)
Nathalie Bramet, adjointe au commerce à la Ville de Bron et Didier Faviet-Salomon, président de l’association Fort de Bron
Marie Carrier, adjointe au maire de Bron, Jean-Pierre et Geneviève Biosa
Pierre Jourdan, architecte DPLG, Marie-Catherine Charpentier, conseillère municipale de Tassin la Demi-Lune et Pascal Charmot, maire de Tassin la Demi-lune
Flavie Laforêt, chef de publicité de Lyon people entourée de Ilian Vasseur (Sotheby’s Lyon) et Romain Billard, conseiller municipal de Lyon (Sotheby’s Lyon)
Monique Chapelle (Fondation Berliet), Yves Mejat, président du Groupe de Recherches Historiques Tassin-la-Demi-Lune et Anne-Marie Penin
Cyrille Boulnois, directeur de l’aéroport de Bron, Maître Jean-Pierre Stouls, avocat et pilote privé d’hélicoptère et Isabelle Rousset (Aéroports de Lyon)
Lionel Chosson, directeur des Hippodromes de Lyon, Jean-Pierre Bornadel (Platinium Formation) et Jean-Claude Ravier, président de l’Association des Courses Lyonnaises
MARIAGES
30/05/2025 – Sara et Georges Blanc (1)
21/06/2025 – Marie Arnaud et Cyrille Bremens (2)
26/07/2025 – Alix Lafaye et Manfred Nida Hallberg
23/08/2025 – Albane Chalandon et Gabriel Piquet-Gauthier
DISPARITIONS
Dans nos intentions de prière, Monsieur Bernard Lacombe (3) , ancien joueur et dirigeant de l’Olympique Lyonnais ; Monsieur Louis Gutton, papa de Pierre, Blandine, Frédéric, Jérôme et Stéphanie ; Monsieur Michel Maillon, papa de Juliette et Antoine. Nous assurons leur famille et leurs proches de toute notre affection.
NOMINATIONS
BARREAU DE LYON
Deux nouveaux visages représenteront les avocats en janvier 2026. Hubert Morttemard de Boisse et Florence Wischer ont été élus Bâtonnier et vice-Bâtonnier du Barreau de Lyon pour le prochain mandat 2026-2027. Ils succèderont à Alban Pousset-Bougère et Sara Kebir.
CHAMBRE DE COMMERCE DE LYON
Directeur général des services du Département du Rhône depuis 6 ans, Jean-Marie Martino a été nommé directeur général de la CCI Lyon Métropole Saint-Etienne Roanne, à compter du 1er septembre 2026. Il succède à Nicolas Bonnet, nommé directeur général de CCI France.
OLYMPIQUE LYONNAIS
John Textor fragilisé au lendemain de l’annonce de la relégation du club en Ligue 2, les actionnaires de l’Olympique Lyonnais ont décidé de remplacer l’Américain par Michele Kang, propriétaire de l’OL Féminin. La direction générale du club est confiée à Michael Gerlinger
SMDIS
Le Contrôleur Général Stéphane Gouezec a été nommé
Directeur départemental des services d’incendie et de secours du Rhône à compter du 15 août 2025. Il succède au Contrôleur Général Emmanuel Clavaud, qui a rejoint l’État-Major de la sécurité civile et de la gestion des crises.
MARIE GUYON
CHEVALIER DE L’ORDRE NATIONAL DU MÉRITE
Pétillante, attachante et ultra active, Marie Guyon a reçu des mains d’Emmanuel Segretain les insignes de chevalier de l’ordre national du mérite à la Maison des Canuts, dont le directeur Philippe Varenne lui a adressé ce très pertinent mot de bienvenue. Il n’y a rien à rajouter, tout est dit. Merci Marie.
Texte : Marco Polisson – Photo DR
« Il y a comme une évidence à ce que cela se passe ici. Ce ne pouvait être à la Mairie, Marie aimant toutes les couleurs mais moins le vert, moins le paraître au faire, la rêverie à l’action, l’entre-soi à la solidarité, les compromissions à la fidélité, la filouterie à la droiture, la versatilité à l’engagement, la grimace au sourire.
Bref les traits de bien des canuts qui ont marqué l’histoire en particulier le canut Pierre Charnier fondateur de la première société de devoir mutuel et défenseur au-delà de ses convictions politiques, de toute les causes qui lui paraissaient justes. Très éclectique, il était tout à la fois canut, écrivain public, avocat, botaniste, à l’écoute de son monde et de ses congénères, doté d’un ton tout à fait personnel et s’appuyant sur de très fortes convictions : un vrai humaniste !
Voilà bien des points communs avec notre Marie avec deux différences de taille : elle a toujours habité à la Croix-Rousse et son éclectisme est quand même différent. Marie s’investit à la paroisse, Fourvière, l’Ugsel, La République des Canuts, la Mairie de la Croix-Rousse, sa famille politique et d’autres engagements discrets mais efficaces qu’elle assume toujours avec le sourire et son insatiable bagout avec en priorité absolue sa famille : ses enfants et ses petits-enfants !
Alors oui nous sommes heureux d’ouvrir cette Maison des Canuts qui est, comme nous aimons à le rappeler avec Virginie : une Maison c’est-à-dire un lieu certes ancré dans son territoire mais surtout ouvert à toutes celles et ceux qui aiment ou veulent connaître ce quartier et son histoire si intensément riche. Oui, nous sommes aussi heureux de l’ouvrir en cette occasion exceptionnelle pour une personne qui ne l’est pas moins ! »
