16 octobre 2020 - N°334 - 4 € - Prochaine parution le 13 novembre 2020
NORMANDIE
Sologn’Pony : la passe de trois pour Marie Breney
(Page 12)
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Le Cheval
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PORTRAIT
Claudie Blandamour et ses Belmanière Claudie Blandamour entretient avec son frère Christophe l’héritage paternel « Belmanière » sur les terres de Néhou, canton de St-Sauveur-le-Vicomte dans la Manche. Une terre fertile en bons chevaux et bons éleveurs réunis au sein du groupement de SainteMère-Eglise, un lieu de convivialité et une force économique dont Claudie est une des chevilles ouvrières en plus de ses responsabilités au sein du conseil d’administration de Cheval Normandie. (Page 28)
Florie-Laure Etien aux manettes du Gonge Si certains affixes relèvent d’une longue réflexion, celui choisi par Michel Etien lors de la création de son élevage dans les années 80 allait de soi. Ce sera l’élevage du Gonge en référence au lieu-dit de sa propriété, nichée dans la montagne bourbonnaise entre Vichy (Allier) et Roanne (Loire). Quatre décennies plus tard, l’élevage du Gonge est conduit par une équipe dans laquelle chacun a sa place. A Florie-Laure, la fille cadette, de porter les couleurs de l’écurie en compétition. (Page 21 )
La Grande semaine des Rocuet « Que d’eau, que d’eau » (Mac Mahon). Drôle d’année, drôle de Grande semaine, drôle de Grand parquet. Comment peuton imaginer que ce joyau puisse tomber dans un tel état de bourbier ? Et nous ne parlons pas du parking ni des abords. La pelouse du Grand parquet était, elle, magnifique, verte, tondue, entretenue mais… impropre à la consommation. Magnifique de solitude et avec elle tous les espaces qui abritaient les stud-books et les régions. Désert. Pour le reste, rien à redire. L’organisation a parfaitement maîtrisé la crise et la SHF a fait preuve d’originalité dans le choix des son parc d’obstacles et de sa signalétique. La piste du petit parquet, très sollicitée a assuré. Equi-Plus a réalisé là, comme ailleurs, un excellent travail salué par tous les cavaliers et propriétaires. Chaque année quasiment, l’écurie de Bruno Rocuet est ici en évidence. 2020 sera pour elle l’année du carton plein. Margaux qui avait engagé quatre chevaux dans les 7 ans, les amène tous à la finale, gagne la partie avec le Breton Djibouti de Kérisac que son père a acheté à 4 ans et prend la deuxième place avec Dubaï du Cédre. Elle est à nouveau au classement avec Dora du Valon, la jument (Kannan-Quidam) de Jean-Pierre Herpin mais échoue dans la première manche de la finale avec New
Libero One d’Asschaut (van Gogh-For Pleasure). Une génération D qui réussit à Margaux puisqu’elle avait gagné les 5 ans avec Dana de Kerglenn et les 6 ans avec Dadja de Moricerie. Son défi était de gagner les 7 ans avec un autre D. C’est fait. Fée de Caryan, un autre pensionnaire de l’écurie bretonne s’est imposé dans les 5 ans avec Alexandre Bosc. Dans ce match des 7 ans, le Lorrain Doubleq’lic du Lavoir monté par Louis Bernast avait pris la tête dès la chasse. Ce fut ensuite autour de Dagada des Grevis avec Baptiste Borhen de mener la danse. Du commerce, il y en eut. D’ailleurs, 2020 année-covid apparaît comme une belle année pour la commercialisation. En témoigne le score de ventes de Fences. Comme d’habitude, cavaliers et marchands étrangers ont sillonné les allées boueuses et fait quelques emplettes. On y vit entre autres cavaliers, Niels Bruynseels acheter des chevaux. Il était là avec ses associés de Woodland’s pour la vente de service de dimanche avec vingt chevaux. Mais le temps fort de ce Fences
2020 restera la vente de la nièce foal d’Emerald à 94 000 euros. Elle grandira au pied du Saint Mont du côté de Bacilly dans la Manche. Etienne Robert
Et aussi
FFE
Jacob Legros candidat à la présidence Cavalier, chef d’entreprise (Haras de Whynehn aux portes de Montpellier) et président du CRE Occitanie, Jacob Legros a annoncé officiellement son intention de se porter candidat à la Présidence de la FFE. (Page 2) Hypothèse de l’Être, championne des femelles 3 ans après avoir été championne des 2 ans
Gino des Luthiers, champion des mâles 4 ans né dans les Vosges chez Jean-François Morizot (© ER)