Le Vétéran magazine numéro 01/ 2023 08 01

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Au pas vers la résilience

Nous sommes installés ici depuis un an,

Dans les moments où on ne sait plus quelle direction prendre, qu'on a l'impression de perdre le contrôle, qu'on se sent seul et découragé, que l'on perd notre équilibre intérieur Il ne faut pas hésiter à aller chercher de l'aide. Cette phase difficile n'est que passage, mais on a parfois besoin de l'œil et des paroles de quelqu'un d'autrepournoussoutenir

Je me sens choyée et privilégiée que toutes ces personnes se soient déplacées pour inaugurer notre projet Un projet auquel je pense depuis plus de 4 ans ! Un projet qui est passé de "en construction" à "en pause" à "on verra plus tard" à plusieurs reprises ! Un projet pour lequel j'ai fait de nombreuses recherches d'intervenants pour m'accompagner ! Des bons coups, mais aussi des déceptions !

De nature empathique et très à l’écoute, j’ai à cœur le bien­être de chacun de mes clients et je les accompagne à atteindre leur plein po­

fonctionnement pour accéder à un mieux­être par des prises de conscience et la mise en place de stratégies. J’ai le profond désir d’accompagner les anciens combattants pour leur permettre un rétablissement et accéder à un mieux­être afin de faciliter les différentes sphères de leur vie

tentiel en les soutenant dans leurs difficultés Ma grande curiosité me pousse à vouloir toujours en apprendre davantage sur l’humain et sur les meilleures pratiques d’intervention J’aime guider la personne à mieux comprendre son mode de

On veut aussi s’assurer que tous les soldats tombés en Afghanistan reçoivent un monument à leur nom dans leur village natal On va faire le tour de ceux qui sont oubliés ou encore mis de côté

de près d’une tonne huit­cent, sont prévus à divers endroits de la province. Quelques­uns sont déjà inaugurés dans différentes régions du Québec

58 monuments, tous identiques, soit un socle de pierre

Le 15 on va recevoir la pierre, ensuite le 1er septembre, on posera la pièce de métal et mi­septembre, la plaque commémorative sera apposée par Elisabeth, la Maman de Michel et sa sœur, Christine

Ça fait un an que nous sommes en action, en amassant des fonds. Nous sommes aussi en discussion avec Anciens combattants du Canada pour un soutien financier

En attendant, c’est nous qui payons

Ypres est abordée en pleine nuit. Les habitants ont fui sous le premier bombardement, la ville est complètement déserte, le quartier de la gare brûle, des lueurs d’incendies inondent le ciel jusqu’aux abords de la cathédrale, au­dessus de nos têtes sifflent, en passant, les obus

Ainsi vue, avec ses halles sinistrement éclairées, la célèbre place d’Ypres revêt, dans cette nuit d’horreur, un aspect d’une grandeur tragique et impressionnante, que n’ont jamais pu oublier ceux qui en furent les témoins Au grand jour seulement le 19ème BCP atteint Kruisstraathoek. Il y prend quelques heures de repos, puis, à midi, se remet en route, par Dickebusch, pour MilleKruis, il y passera la nuit du 9 au 10 novembre 1914

L’offensive ennemie du 10 novembre avait rejeté tous nos éléments de la rive droite, nous recevons mission de nous y rétablir, et, quand nous quitterons Steenstraat, le 29, la tête de pont face à Bixschoot sera reconstituée, avec quatre compagnies sur la rive droite

A cette époque toute la 42ème D.I. se porte vers Ypres, le 19ème BCP marchant par Elverdinghe, Poperinghe, puis Vlamertinghe Zillebeke –Dans les premiers jours de décembre, elle est en avant de Zillebeke, entre la route de Menin et celle d’Armentières Vie de secteur active, pénible, sans repos, avec des tranchées encore rudimentaires, profondes en première ligne, mais sans boyaux, sans abris, et de l’eau partout. Le bataillon est d’abord dans les bois à l’est de Zillebeke (Butte aux Anglais), les opérations s’y multiplient, visant principalement le fortin de la côte 60. Au cours de l’une d’elles, le 17 décembre, l’héroïque adjudant Bourgeois, de la 1ère compagnie, illustre glorieusement la belle devise du bataillon : il emmène sa section à l’assaut au cri de « En avant toujours ». Il tombera aussitôt, mortellement frappé, et il achèvera le Repos ailleur

Au Canada, il y a 650 bandes autochtones, dont Premières­Nations, Inuit, Métis. Donc au Canada, nous avons ''LE PREMIER'' stationnement vétérans autochtones Première­Nations Wendake

Actuellement nous sommes cinq, et peut­être un sixième va nous rejoindre prochainement. D’autres badges seront remis ultérieurement, aux autres membres

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