
1 minute read
D'une jeunesse viellissante!
D’une jeunesse vieillissante !
Cet appel à l’autre. Cet autre qui appelle… D’un temps à l’autre. D’un autre temps!
Advertisement
La vieillesse me serre les fesses. Elle est ce qu’elle n’est pas. Toujours, de tout temps, elle fesse. Elle surmonte le temps pas à pas.
Pourquoi, oui, pourquoi ce temps? Comme si l’on pouvait couper le temps! Le scinder en deux temps, plus de mouvement! Pourquoi cet appel à la coupure du temps?
D’une jeunesse, d’une vieillesse, tu seras peut-être? D’une solitude entourée, d’un entourage solitaire, peut-être seras-tu? Est-ce la vieillesse, est-ce la jeunesse, qui se bouscule en ton être? Peut-être les deux, peut-être l’une et l’autre, tour à tour, en seras-tu?
D’un temps à l’autre, d’un autre temps, je t’appelle! Ce temps, d’un autre temps, te fait signe! J’étais de ce temps où tu es en ce temps d’où je t’interpelle. Auras-tu ce temps qui comble ma solitude cherchant de ta part un signe?
De temps à autre, je suis las d’attendre ce temps. Merci d’être dans ce temps oui, merci d’être de ce temps.