
1 minute read
Basta la bouillabaisse
Nous sommes toujours en plein film social de série « B »
C’est vendredi, le 5 à 7 s’achève et l’alcool délit la langue d’une femme qui joue avec le feu en taquinant un barman mafieux
Advertisement
Hey bébé, cesse de barber le barman du bistro, bien qu’il soit beau comme Bogart, je sais qu’il tabasse les blondes comme Babe Ruth au bâton quand on lui met les nerfs en boule. Blablabla, bas les brouilles, il est à la bonne avec Big Bobby Bibeau et sa bande de bandits. Alors, tiens-toi bien et baisse le ton ou mets le bouchon. Tu me fous les boules avec ton verbiage abusif des bas-fonds. Allez, j’ai le bide qui bat du tambourin, alors nis ton Bacardi à la banane, tu as assez badiné comme ça. Bon, laisse ton biberon et barrons-nous du bistro-bar bébé. Allez, j’veux pas briser l’ambiance, mais, allons boire et nous bourrer comme des Babas chez bibi avant de tomber sur la bande de Bouledogues balafrés. Bon yeu bébé, oublie ces bobards sinon c’est plus que mon Beretta ou la Bible que je devrai brandir, mais un bazooka… Allez, on est à la bourre. Bye Bye Barman ! Bizarre moi Babouska ? Bon, la bibine d’obsède bébé, c’est pas du bidon, le billard nous attend sinon on bivouac à Lisbonne et bonjour le business biaisé des biscuits aux barbituriques, autant se brosser les dents au bidet bordel. Allez, bisou et bécots à bidule ! Bon c’est bien, en n ! Alors, bondissons dans mon bolide et bientôt le bunker où tu pourras boire ta bibine au bidon en écoutant la Bite à Ti-Bi bébé. Bientôt le baldaquin et les bizous et Boum ! Je brûle de débloquer ton barrage par le biais de mon bistouri biscornu. Ton baratin avec ce boute-en-train m’ont braisé le biscuit ma biche et je bouille pour la baise…