La Coop, Seegmuller, l’Aubette, Le Campus Esplanade, La Laiterie… depuis bientôt vingt ans, L’Ososphère réagit donc en temps réel à son époque et à l’état des choses et crée, invente, fabrique ou décrète des « Machines à Ville ». Ces constructions artistiques et festives éphémères activent Strasbourg, accompagnent les mutations urbaines et affirment par l’action la place de la culture et des artistes dans la fabrique de la ville en programmant des nuits électroniques, expositions in situ, parcours artistiques dans l’espace urbain ou lieux remarquables, projections, concerts, croisières sonores, workshops, conversations, radio, etc. L’Ososphère est donc d’avantage qu’un festival, c’est une action artistique en mouvement qui entre cette année dans une nouvelle période de son parcours. Ouverte notamment par cette série de 5 Nuits Electroniques à La Laiterie et se concluant par un événement grand format au mois d’avril (dates en cours de validation), la prochaine édition de L’Ososphère se déroulera à travers la saison, par temps successifs, comme autant de Machines à Ville de divers formats et nature. Intervention visuelle : AV Exciters et Data Projekt Matière graphique Ososphère : SA*M*AEL