Libération des mémoires cellulaires
Délestez-vous de vos blessures et blocages



Sources de création d’un engramme
Un traumatisme s’inscrit en nous et laisse des traces, des sortes de poids qui risquent de s’alourdir avec le temps. En tant qu’énergéticienne, je ressens ces traces, et je travaille avec mes consultants pour les faire disparaître. Lors de mes premières séances, j’ai tout de suite pensé que ces traces étaient des restes de vécu de la personne, comme une empreinte énergétique qui volait autour d’elle. Cela n’était pas faux, cependant ma réalité a été encore plus saisissante. Plus je pratiquais et plus je sentais que ces traces n’étaient pas qu’autour mais aussi dans la personne, enfoncées dans sa chair, dans ses os, et même plus profondément encore.
Et le terme « ADN » m’est venu. Certaines blessures, émotions, situations vécues, qu’elles soient positives ou négatives, s’inscrivent en nous. Dans notre ADN. J’en étais de plus en plus convaincue, mes lectures venaient corroborer mes ressentis, je commençais à y voir plus clair et j’ouvrais la porte d’un monde incroyablement fascinant. Un monde que j’avais toujours touché du bout des doigts, et que je prenais enfin à pleines mains.
Nous héritons des traits physiques de nos parents, grands-parents et même arrièregrands-parents. Nous pouvons hériter de maladies, de « dons », de taches de naissance, alors pourquoi pas également d’une forme de mémoire ? Si les traumatismes que nous vivons s’inscrivent en nous, nous transforment, nous font tomber malades, c’est que notre corps a été touché en profondeur d’une manière ou d’une autre. Pouvons-nous recevoir ces informations traumatiques engrammées dans les gènes de nos ancêtres ? Je suis convaincue que c’est le cas et la science nous le démontre aujourd’hui.
Ces liens transgénérationnels ont toujours été mis en avant par les médecines dites alternatives et, aujourd’hui, de plus en plus d’études témoignent de la transmission de traumatismes par nos parents sur plusieurs générations. C’est ce que nous appelons l’ épigénétique

Certaines blessures, émotions, situations vécues, qu’elles soient positives ou négatives, s’inscrivent en nous. Dans notre ADN.
Alors que la génétique correspond à l’étude des gènes, l’épigénétique s’intéresse à une « couche » d’informations complémentaires qui définit comment ces gènes vont être utilisés par une cellule… ou ne pas l’être. En d’autres termes, l’épigénétique correspond à l’étude des changements dans l’activité des gènes, n’impliquant pas de modification de la séquence d’ADN et pouvant être transmise lors des divisions cellulaires. Contrairement aux mutations qui affectent la séquence d’ADN, les modifications épigénétiques sont réversibles. Les modifications épigénétiques sont induites par l’environnement au sens large : la cellule reçoit en permanence toutes sortes de signaux […]. Ces signaux, y compris ceux liés à nos comportements (alimentation, tabagisme, stress…), peuvent conduire à des modifications dans l’expression de nos gènes, sans affecter leur séquence. Le phénomène peut être transitoire, mais il existe des modifications épigénétiques pérennes, qui persistent lorsque le signal qui les a induites disparaît […].
Les marques épigénétiques, bien que réversibles, sont transmissibles au cours des divisions cellulaires. Ce phénomène est particulièrement important au cours du développement embryonnaire.
EXTRAIT DU SITE DE L’INSERM

Des chercheurs de l’Unige (université de Genève) ont découvert que les abus laissent une trace biologique dans l’ADN des victimes. Un traumatisme psychologique dans l’enfance peut laisser une cicatrice génétique chez l’adulte.
[…] Le groupe de recherche du professeur Alain Malafosse, du département de psychiatrie de l’Unige, en collaboration avec le département de génétique et de développement, a ainsi démontré que l’association entre la maltraitance infantile et certaines pathologies adultes résultait d’une modification des mécanismes de régulation des gènes. […] En examinant l’ADN d’adultes ayant subi des maltraitances enfants, issu d’une simple prise de sang, les chercheurs ont observé des modifications épigénétiques, […] lien d’autant plus fort que plus la maltraitance a été sévère durant l’enfance, plus la modification est importante. Un engramme est « une trace laissée dans le cerveau par un événement du passé et qui constituerait le support de la mémoire ».
ÉTUDE SUISSE
Nous nous incarnons pour comprendre et assumer nos comportements passés et présents
En mémoire cellulaire, le terme « engramme » est largement utilisé et s’étend au-delà du cerveau. Myriam Brousse a basé ses travaux sur la création de ces engrammes. D’après elle, les engrammes se créent dès notre conception, à l’intérieur du ventre de notre mère. Les facteurs extérieurs, les tiers, les émotions de la mère, ses actions, ses pensées, les hormones sécrétées, toutes ces informations sont captées par le fœtus. Cela laisse une mémoire qui sera réveillée par une situation vécue, une émotion, une rencontre… Parfois, cette mémoire réactivée se libère seule. Parfois, il faut de l’aide et souvent une répétition importante pour prendre conscience de cet engramme. C’est ainsi que nous pouvons constater, au cours de notre vie, que nous vivons des schémas répétitifs dans tous les domaines.
À cela s’ajoute une autre dimension. Nous avons parlé du transgénérationnel et de notre vie actuelle. Pourtant, mon travail avec l’énergie et l’invisible m’a emmenée sur un troisième chemin : les vies antérieures. Concept de plus en plus répandu dans le monde occidental, les vies antérieures sont toutes les vies que notre âme a vécues. Nous pourrions même parler de vies multidimensionnelles
1 Instagram @doux.murmures.
ou parallèles, mais nous nous en tiendrons à une image linéaire du temps.
J’utiliserai donc le terme « vies antérieures » et le terme « mémoires » pour désigner plus globalement mémoires, croyances et émotions. Je ne développerai pas le concept de réincarnation ici. Pour cela, je vous invite à lire certains posts de mon compte1 ou à vous renseigner grâce à des livres traitant du sujet, néanmoins voici quelques notions importantes pour le travail de transmutation.
Nous convenons, avant notre réincarnation, de certaines missions à accomplir, de traumatismes sur lesquels revenir afin de les comprendre et de les transcender. Il faut savoir que nous sommes tous remplis de lumière et d’ombre. Nous avons tous été victimes et bourreaux. Le but de nos incarnations est de vivre des expériences sur Terre et de découvrir l’amour en soi. Les vies antérieures ne sont pas un outil pour se dédouaner, se victimiser, ni même se vanter. Connaître certaines de nos vies en lien avec les contrats que nous avons passés aujourd’hui est un cadeau qui nous aide à avancer vers soi, un soi de lumière, de sérénité et d’amour.

Chaque événement que nous attribuons au hasard est tissé de liens mémoriels subtils, invisibles, mais bien réels et qui existent en dehors du temps et de l’espace. [...] Les mémoires sont des reliquats d’une histoire déjà vécue, personnelle ou familiale, que l’on porte de manière plus ou moins consciente.
MYRIAM BROUSSE
Dans toutes les religions, le point commun est l’amour. Se lancer dans le développement de notre spiritualité, dans un travail de transmutation des mémoires, c’est faire de la place pour accueillir de l’amour en soi. Nous ne nous incarnons pas pour subir ou pour souffrir, nous sommes là pour comprendre et assumer nos comportements passés et présents.
Comprendre la responsabilité de nos actes et de nos pensées, c’est effectuer 80 % du travail de transmutation. Il est donc, selon moi, intéressant d’aller à la source de notre problématique pour en comprendre toute la portée et le sens. C’est devenir archéologue, c’est aller à la recherche de son soi profond, perdu mais pas disparu.
Il n’est pas nécessaire de croire en la réincarnation pour transmuter une mémoire, les vies antérieures ne parlent pas à tout le monde. Mais si vous avez commencé le chemin qui mène à votre VOUS, alors peut-être avez-vous déjà eu la sensation qu’une émotion ne vous appartenait pas directement, que vous avez déjà vécu telle situation… mais pas dans cette vie. Il n’est pas nécessaire d’être médium et de connaître tout ce qui s’est passé dans une ou plusieurs vies pour libérer vos mémoires. Le protocole que je vous propose s’adresse à tous, et permet de mettre en lumière les sources de mémoires importantes et bloquantes.
Selon Myriam Brousse 2 , nous pouvons émettre, dans une certaine mesure, l’hypothèse que nos maux, nos souffrances, nos schémas répétitifs, nos habitudes néfastes
2 Myriam Brousse, Le corps ne le sait pas encore, Quintessence Holoconcept, 2002.
peuvent trouver leur source au niveau des mémoires inscrites dans notre corps, au plus profond de nos cellules.
Pour résumer, nous avons donc trois grandes sources de mémoire : l’actuelle, la transgénérationnelle et la karmique. Toutes trois peuvent être présentes sur une même problématique.
Si vous lisez ce livre aujourd’hui, c’est qu’une part de vous est prête à faire ce chemin. J’ai souhaité mettre dans ces pages mes outils de travail, tout ce qui, à mes débuts, a pu me manquer. Tout ce que j’ai appris, et dont je suis sûre, vous aidera à vous comprendre et à développer votre pouvoir de guérison. C’est un travail personnel, une méthode que vous pouvez réaliser sur vous. Gardez à l’esprit que vous avez tout en vous pour réussir à vous libérer des mémoires de votre âme.
Tout ne se résout pas en un claquement de doigts, et les résultats seront parfois seulement visibles après plusieurs séances. Voyezvous comme un millefeuille géant. Pour atteindre les fondations, la dernière couche, il faut d’abord en enlever d’autres. Certaines sont plus épaisses que d’autres, certaines, plus fines, en cachent de plus grosses. Vous vous apprêtez à décortiquer vos mémoires qui se sont transmises sur une multitude de vies antérieures ou sur des générations. La magie s’opère par la confiance. Si je n’ai qu’un mot à vous dire avant de vous lancer, c’est : CONFIANCE
Les mémoires
Une mémoire est un événement que nous avons vécu, que cela soit dans notre vie actuelle, de la conception à la mort, ou dans nos vies antérieures. Nous avons fait l’expérience de ce que nous gardons en nous. Les mémoires façonnent notre être et notre ADN, comme nous avons pu le voir avec les traumatismes subis. Les mémoires développent en nous des émotions, des ressentis, ou des croyances qui parfois s’accumulent et s’imposent dans notre vie comme des poids.
Une mémoire ne s’oublie pas mais ce qui en découle peut-être apaisé afin de se sentir plus serein. Lorsque nous y repensons, notre cœur est alors plus léger et nous pouvons passer à autre chose.
Une émotion ne doit pas être subie
Nos cellules sont porteuses de mémoires personnelles, familiales, ancestrales. Ces mémoires qui sont des empreintes dans le corps vont résonner durant notre vie par des comportements répétitifs et nous faire subir ces schémas, à l’insu de notre mental.

MYRIAM BROUSSE
Les émotions
Nous savons tous ce que c’est, cependant nous ne sommes pas toujours capables de les gérer. Les exprimer, les retenir, les comprendre et même les identifier avec justesse peut être un sacré travail sur soi. Nous nous mélangeons souvent dans nos ressentis. Les nuances sont parfois très subtiles ! Mais comprendre sa juste émotion peut nous aider à changer de point de vue sur une situation et la voir tout autrement.
Une émotion ne doit pas être subie, c’est un état passager de l’être qui nous remet un message. Une fois ce message compris, l’émotion, entièrement vécue, disparaît. Les émotions sont importantes dans notre développement. Aussi, il n’est pas question de s’en débarrasser, mais plutôt de libérer leur impact et de les ressentir avec justesse, de pouvoir les exprimer en soi ou envers les autres de façon productive et constructive, de se sentir plus apaisé face à elles.
Les émotions que nous gardons en nous se cristallisent et forment de petits poids de plus en plus lourds, de plus en plus denses qui viennent se placer dans nos organes. Nous digérons mal, nous nous faisons de la bile ou du mauvais sang, nous nous étouffons… Les expressions courantes sont souvent riches de sens, et nous aiguillent sur l’origine de nos maux. C’est pourquoi, il me semble important d’aller chercher les émotions qui peuvent affaiblir notre corps jusqu’à le rendre malade. Un travail de transmutation cellulaire est un bon moyen de s’alléger et de retrouver un équilibre émotionnel.
Chaque émotion a sa propre vibration qui peut interférer avec notre vibration principale. Nous verrons ensemble comment prendre en main un pendule et apaiser les émotions parasites.
EXERCICE
À savoir avant de débuter avec le pendule
Avant toute connexion à votre pendule, je vous invite à faire un travail de recherche sur les émotions qui pourraient vous bloquer actuellement. Lors de mes Ateliers pendule, j’ai souvent la remarque suivante :
« J’ai peur que mon mental influence mon pendule, d’ailleurs je crois que c’est ce qu’il fait le plus souvent. »
Votre relation avec votre pendule dépend du degré de confiance que vous vous portez, mais aussi de vos émotions.
Votre pendule – qui est une extension de connexion à votre soi supérieur – peut réagir à vos émotions, et apporter ainsi des réponses faussées. Selon moi, nos émotions jouent un plus grand rôle sur la qualité des réponses que notre mental.
Les croyances
Les croyances sont des concepts que nous héritons de nos parents, de proches, d’expériences de vie, et que nous tenons pour vérités. Par exemple, enfant, vous entendiez vos parents dire que seul un travail dur, demandant beaucoup d’efforts et de sacrifices, rapporte de l’argent et a de la valeur. Vous engrammez cette information dans votre cerveau, dans vos cellules au plus profond de vous-même. Vous prenez petit à petit cette information pour acquise et vivez en fonction de cette croyance. Attention ! Parfois, l’inverse peut se produire. Votre âme peut être en total désaccord avec une croyance et ainsi la rejeter en bloc. Vous ferez alors tout dans votre vie pour ne pas coller à cette croyance.
Dans les deux cas, votre comportement sera biaisé. Vous ne vous comportez pas à votre manière mais à celle d’untel ou d’un autre. Vous suivrez les chemins imposés par cette croyance, sans vous demander si vous y adhérez pleinement, sans savoir s’ils sont bons pour vous ou en accord avec vos vraies valeurs. Travailler dur pour vous n’est peut-être pas si mal en soi, alors que pour une autre personne, cela va à
l’opposé de son être. Elle peut se couper de son abondance, elle peut se fatiguer à outrance sans obtenir le moindre résultat, mais elle ne saura pas comment faire autrement car elle aura engrammé cette croyance.
De la même manière, nous pouvons nousmêmes créer des croyances. Par exemple, en vivant une situation d’échec, nous nous accusons souvent nous-mêmes et par cette simple répétition d’une autoflagellation mentale –« Je n’y arriverai jamais », « Je suis nul », « Je suis incapable », « Personne ne m’aime »… –, nous créons des croyances. Celles-ci restent ancrées en nous tant que nous ne faisons rien pour les transcender.
Comme les mémoires, il n’y a pas que les soins énergétiques qui permettent de dépasser les croyances. Cela peut passer par une nouvelle expérience de vie, une remise en question, des rencontres, des prises de conscience… Le premier pas consiste à se rendre compte quand quelque chose ne nous convient pas et à choisir de passer à l’action.
Nos croyances biaisent nos comportements


Les pensées sont des choses – elles ont de la ténacité, de la cohérence et de la vie –, ce sont de véritables entités.
MAÎTRE KOOT HOOMI
Les formes-pensées ou entités-pensées
Notre pensée a une puissance de création qui va au-delà de notre simple monde imaginaire. Une forme-pensée est définie comme une entité qui a sa propre vie et sa propre réalité. Elle a été entièrement créée et alimentée par notre processus de pensée.
Les pensées sont le fruit d’une personne, elles sont formées d’énergie, d’émotions et de mental. Le plus souvent éphémères, de nature positive ou négative en fonction de ce dont nous les nourrissons, elles peuvent être libérées simplement. Parfois, nos pensées s’agglutinent, elles s’intensifient en fonction de ce que nous vivons et peuvent se transformer, passant d’un état positif à un état négatif. Elles peuvent se densifier et s’agréger pour former une entité plus puissante et plus tenace, les formes-pensées.
Une forme-pensée contient la totalité exacte de nos pensées, de nos émotions, et crée son propre rayonnement vibratoire. Elle peut ainsi devenir une véritable entité vivante indépendante, qui nous stimule vibratoirement. Elle peut aussi être perçue par d’autres personnes, notamment les magnétiseurs ou énergéticiens, car elle est généralement présente dans
le corps mental. Véritable sous-programme informatique, elle peut exécuter des tâches parallèles et prendre la main de temps en temps sur le programme principal, c’est-àdire nous.
C’est en ce sens que ces formes-pensées sont considérées comme des entités ou des égrégores individuels qui peuvent nous parasiter. Elles peuvent abaisser notre taux vibratoire, perturber nos corps énergétiques et physiques, et engluer notre mental.
Les formespensées peuvent engluer notre mental
Les blessures de l’âme
Pour évoquer les mémoires cellulaires, il me semble incontournable d’évoquer les blessures de l’âme. Peut-être avez-vous déjà lu le fameux best-seller de Lise Bourbeau3 traitant des cinq blessures de l’âme. Il a été la première pierre de mon chemin personnel. Quels sont les points importants et essentiels dans la libération de vos mémoires ? Pourquoi ces blessures s’éveillent-elles ? N’en existet-il que cinq et les avons-nous toutes ? Je me suis posé ces questions, et mes séances avec mes consultants m’ont apporté les réponses que je vous livre aujourd’hui.
Lise Bourbeau parle de blessures quasi originelles qui nous font porter un masque. Ces masques travestissent notre essence afin d’affronter la vie avec le moins de souffrance possible. Malheureusement, ces masques que nous portons tous nous font souffrir car ils nous transforment. Ces blessures qui se construisent à un stade précoce de notre vie sont le résultat d’expériences actuelles ou karmiques, mais aussi de poids ancestraux que nous pouvons porter.
Notre âme a fait des choix afin de vivre des
expériences pour apprendre la paix intérieure, l’amour véritable. Nous passons donc par toutes formes d’épreuves, de scenarii répétitifs ou uniques qui nous font traverser des hauts et des bas afin d’évoluer spirituellement. Notre âme grandit. Ces blessures s’activent en fonction de ce que nous vivons, certaines sont plus présentes que d’autres et toutes ne s’activent pas en même temps. Une blessure peut être activée par plusieurs facteurs différents, elle peut être en sommeil durant des années et se réveiller subitement.
Ces blessures nous conditionnent face à des situations de vie quotidienne. En nous soumettant à ces blessures et aux masques qu’elles nous font porter, nous ravivons des mémoires cellulaires. Ces mémoires affectent nos corps subtils et, petit à petit, notre corps physique qui réagit par des maux plus ou moins violents. Par exemple, une personne souffrant d’humiliation a tendance à se sentir honteuse, à dénigrer sa personne, son corps physique, et pourtant elle fait tout pour performer dans ce qu’elle entreprend. Elle peut facilement souffrir de surpoids à force de se dénigrer ou parce que son propre corps n’a
3 Les cinq blessures qui empêchent d’être soi-même, Paris, Pocket, 2013.
Lise Bourbeau met en avant :
Les cinq blessures l’abandon
● la trahison
● l’injustice
● le rejet
● l’humiliation
Les cinq masques la dépendance
● le contrôle
● la rigidité
● la fuite
● le masochisme
Nous portons quotidiennement des masques pour nous protéger. Les masques sont notre manière d’affronter une situation qui nous heurte.


Tout comme une blessure peut laisser des cicatrices, les événements positifs ou négatifs vécus, qu’ils soient transgénérationnels, de votre vie actuelle ou de vos vies antérieures, sont inscrits dans votre ADN : ce sont vos mémoires. Elles sont la source de maux physiques, de blessures de l’âme et de schémas répétitifs.
Prenez donc conscience que votre corps et votre âme ont des pouvoirs incroyables, et qu’en travaillant avec eux, sur vos chakras et avec un pendule, vous pouvez transmuter vos mémoires. Marine Falzon, médium et énergéticienne, vous initie à ces notions et vous propose un protocole simple de soins énergétiques pour identifier vos maux et vous en libérer.
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