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N°26 - OCTOBRE 2007

Qu’il fait bon vivre à Mazières...

Mazieres sensible à la qualité de l’environnement

L

es menaces qui pèsent sur notre planète sont nombreuses : pollution, effet de serre, déchets, déforestation… L’homme est souvent à l’origine et le principal responsable de ces menaces. Les activités humaines, contribuant à la croissance économique, ne sont pas nécessairement source d’amélioration des conditions de vie des populations, et de l’environnement. Et pourtant dès les années 70 l’environnement apparaît comme un patrimoine mondial essentiel à transmettre aux générations futures. Plus tard, en 1987, une définition d’un nouveau terme « développement durable » est proposée. C’est ainsi que la commission mondiale sur l’environnement définit un « développement qui répond aux besoins des générations présentes sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs ». Autrement dit, il s’agit, en s’appuyant sur des valeurs (responsabilité, participation et partage, débat, partenariat, innovation, pérennité, réversibilité, précaution et prévention, solidarité sociale, géographique et transgénérationnelle), d’affirmer que chacun a le même droit humain aux ressources de la terre et a le devoir d’en assurer la pérennité pour les générations à venir.

- Environnemental : compatibilité entre l’activité sociale de l’entreprise et le maintien de la biodiversité et des écosystèmes. Le développement durable est aussi associé à la notion de bonne gouvernance, autrement dit le moyen de bien gouverner, de bien gérer, tant au niveau supranational, qu’au niveau de chaque Etat ou de chaque collectivité locale. Le critère essentiel d'une bonne gouvernance est que les mécanismes de fonctionnement d’une institution soient organisés de façon à éviter que les intérêts des décideurs prennent le pas sur ceux des concitoyens, cela dans un esprit de démocratie. La gouvernance d’une organisation publique est donc de s’assurer que les objectifs sont atteints, que les risques sont gérés comme il faut et que les ressources sont utilisées dans un esprit responsable, dans le respect et les droits des citoyens. Une bonne gouvernance s’inscrit donc dans le respect du développement durable. C’est ainsi que le développement durable des territoires locaux s’apparente à ces notions plus universelles. Aussi au Sommet de

L’objectif du développement durable est de définir des schémas conciliant les trois aspects, économique, social, et environnemental des activités humaines. - Economique : capacité à contribuer au développement économique de la zone d’implantation d’une entreprise à tous les échelons. - Social : conséquences sociales de l’activité de l’entreprise au niveau des employés (conditions de travail, niveau de rémunération…), fournisseurs, clients, communautés locales et la société en général.

Schéma du développement durable : à la confluence de trois préoccupations, dites "les trois piliers du développement durable".


Rio de Janeiro en 1992, les réseaux des villes et communautés urbaines ont pu exprimer leurs besoins et trouver les solutions à mettre en œuvre dans le cadre défini lors des diverses conférences sur l’environnement et dans l’application d’une bonne gouvernance. Dans ce contexte-là, les collectivités territoriales ont pu obtenir de coopérer avec les entreprises, les universités (et les grandes écoles en France), les administrations publiques, ainsi qu’avec des centres de recherche, pour imaginer les solutions innovantes pour demain et respectueuses de l’environnement. Les divers domaines d’application concernant entre autres les collectivités territoriales sont : l’agriculture et la sylviculture, la construction et l’urbanisme, l’énergie, les transports, la gestion des ressources rares (l’eau par exemple), l’industrie et la construction ou plutôt l’écoconstruction, la technologie environnementale, les ressources naturelles avec une utilisation durable des sols… Autant de thèmes qui trouvent une illustration concrète dans notre commune.

Déviation de Mazières Prenons le domaine des transports avec le contournement de Mazières en Gâtine. De nombreuses mesures ont été prises au moment de la conception et la réalisation de la déviation afin de protéger l’environnement. Sans entrer dans les détails techniques des diverses mesures, notons que le tracé se justifie par un évitement maximal du bourg, et que

des écrans phoniques ont été prévus notamment sur l’ouvrage de la Chabirandière. Concernant la gestion des sols, des aménagements ont été réalisés afin de limiter l’abaissement des nappes phréatiques, et pour assurer d’une part la mise hors d’eau de l’ouvrage tout en préservant les zones humides (Niorteau, Naide). D’autre part des terrassements ont été prévus afin de mieux intégrer les remblais dans le paysage, et rendre ces terrains à l’agriculture. De même les déblais les plus argileux sont récupérés pour étancher les bassins. Enfin les eaux de chaussées sont recueillies dans des fossés spécifiques afin de les faire transiter dans trois doubles bassins de traitement. Les écoulements naturels des talwegs de Rochefollet, de la Guitonnière, du Niorteau et de la Chabirandière sont rétablis par des ouvrages hydrauliques dimensionnés pour des crues centenaires et aménagés afin de faciliter le passage de batraciens et de la petite faune locale. Dans un domaine assez proche, un bassin de régulation entre la Chabirandière et le bourg est créé afin d’atténuer les problèmes d’inondation récurrents sur la rue de la Fontaine, lors des fortes intempéries. Enfin, concernant l’amélioration du bien-être du promeneur, des chemins piétonniers sont prévus, de même, on peut citer une expérience innovante : la préservation des haies bocagères et arbres isolés, et la transplantation de gros troncs d’arbres creux et arbres têtards pour maintenir les populations de coléoptères patrimoniaux et autres insectes de nos régions. Enfin, les Mazièrois, n’auront plus à souffrir de nombreuses nuisances.

Ecran phonique de la déviation

Les Carrières Moreau D’ailleurs, à ce sujet, n’entendons nous pas ici et là qu’il y aura beaucoup moins de poussière dans le Bourg. Certes, la déviation va résoudre en partie ce problème mais paradoxalement d’un autre côté, les Carrières Moreau n’ont jamais été aussi actives ! Et pourtant ! Signataire de la charte environnementale des industries de carrière ISO 14.001, l’entreprise s’est engagée à identifier tous les problèmes pour trouver des solutions qui minimisent les nuisances.

Carrières de Mazières Pour le Directeur d’exploitation, il est nécessaire de concilier qualité de l’environnement avec la propreté des granulats, autrement dit, la nécessité de débourber, laver ou dépoussiérer et bien sûr maintenir la rentabilité de l’entreprise. L’accent a donc été mis sur un dispositif de limitation des émissions de poussière. Cela passe entre autre par une brumisation (les pistes et les camions sont arrosés), bâchage des camions et couverture des diverses installations. Actuellement, une entreprise locale construit des bassins permettant de recycler les eaux de lavage des granulats qui seront, par la suite décantées, de façon à pouvoir être réutilisées ou restituées propres. Par ailleurs, ces bassins bétonnés, étanches, permettront une gestion de l’eau parfaitement maîtrisée, libérant également un espace pour une meilleure circulation des engins. Enfin, notons que cette entreprise s’ouvre sur de nouvelles activités, puisque fin septembre, elle prendra en charge la construction du centre de traitement des boues de Mazières.


Mais de quoi s’agit-il et en quoi ce type d’opération s’inscrit-il, pour la commune, dans le cadre de l’environnement durable ?

Plate-forme de compostage des boues Ce troisième exemple d’aménagement réalisé pour sauvegarder l’environnement est la construction d’une plate-forme de compostage des boues à Mazières. En effet, le Pays de Gâtine, considéré comme le château d’eau du Poitou, a positionné son programme leader sur la thématique de l’eau. Le Syndicat des Eaux de Gâtine, sous l’impulsion de son Président Jean Cantet a souhaité conduire un projet destiné au traitement et à la valorisation des boues des stations d’épuration. Ces boues, issues du traitement des eaux usées, représentent un véritable problème qu’il faut traiter pour ne pas voir la qualité de l’eau s’altérer. De plus, face au refus de plus en plus systématique des agriculteurs de procéder à un épandage sur leurs terres des boues d’épuration, l’ensemble des adhérents du Syndicat des Eaux de Gâtine, ont dû se mobiliser pour trouver une solution, en l’occurrence la construction d’une telle plate-forme de compostage des boues. Ce projet qui s’inscrit dans le cadre de la charte de territoire de développement durable du Pays de Gâtine « environnement, agriculture et agro-alimentaire » remet l’activité de l’Homme au cœur du cycle de l’eau dans le respect de l’environnement. Cela permet non seulement de reconquérir la qualité de l’eau et assurer la permanence d’une quan-

tité suffisante mais aussi de revaloriser l’image de l’agriculture et du métier de l’agriculteur. Telles sont les raisons du recyclage des boues. C’est ainsi que la station d’épuration de Mazières sera complétée d’ici janvier prochain, d’une plateforme de compostage des boues d’épuration. Ce sera alors plusieurs tonnes de boues provenant des stations environnantes qui seront ainsi traitées. Une fois arrivées à Mazières, ces boues seront déshydratées puis mélangées à des écorces de bois et ventilées pour éviter tous risques de nuisances olfactives. Au bout du processus on obtient un compost de très grande qualité, ayant un pouvoir fertilisant très important, sans commune mesure avec les boues brutes. Ce procédé, dans le domaine du compostage, a fait ses preuves depuis plus de 10 ans. Il permet non seulement de récupérer des eaux claires qui repartent dans le milieu naturel, mais aussi d’obtenir un produit fini riche et non polluant. Cette technique est peu complexe, fiable, maîtrisée et bien adaptée aux petites collectivités. La construction de l’aménagement du site est simple et sécuritaire. La production d’un produit fini valorisable est garantie. Par ailleurs, en terme d’externalités positives, notons la maîtrise des odeurs et la bonne intégration paysagère au site. Enfin, les communes adhérentes au Syndicat pourront y trouver leur compte puisqu’elles bénéficieront gratuitement de ce compost pour enrichir plates-bandes et autres massifs fleuris. Puis dans un second temps, l’objectif sera d’obtenir l’agrément qui permettra de vendre à des particuliers ce produit

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Opérateur

attractif et à fort pouvoir fertilisant. Dès janvier prochain, le Syndicat des Eaux de Gâtine maîtrisera donc sa filière de A à Z, du moins pour l’assainissement collectif. Pour ce qui est de l’assainissement non collectif, la tâche est encore immense pour le Syndicat qui a décidé la réhabilitation de quelques 8000 stations et fosses individuelles qui se situent sur son territoire.

Golf du Petit Chêne Enfin, mais la liste est loin d’être exhaustive, nous pouvons citer une autre illustration du soucis de la préservation de l’environnement. A maintes reprises, nous sommes sans cesse sensibilisés à la protection de l’eau, source de vie sur la Terre. Alors qu’en France 100% de la population a accès à l’eau, ils ne sont plus que 34% au Tchad et 22% en Ethiopie. Plus d’une personne sur 6 dans le monde boit encore de l’eau provenant de sources non potables. 2 personnes sur 6 manquent d’installations sanitaires. Dès lors, on pourrait se demander légitimement pourquoi le Golf du Petit Chêne déroge à cette charte de la maîtrise de l’eau lorsque l’on voit ces immenses espaces toujours bien verts. Certes la Gâtine est un pays verdoyant ! Toutefois, si le Golf arrose ses 25 hectares de greens et fairways, c’est grâce à l’eau épurée de l’Union Laitière des Deux Sèvres (ULDS) à Champdeniers. Située entre la Plaine niortaise et le Bocage de Gâtine, cette première usine de séchage depuis la frontière espagnole, traite dans ses tours plus de 500 millions de litres (lactosérum, babeurre, lait concentré). Aussi, sous l’égide du Conseil Général des Deux-Sèvres, une convention pour épandage des eaux épurées est signée entre l’ULDS de Champdeniers et la Direction du Golf du Petit Chêne. L’acheminement des eaux épurées adopté par les deux parties et les administrations de tutelle DSV et DDASS, est composé de : 1 lagunage avec un stockage maximum de 35000 m3, de 6 km de canalisation et de 2 stations de pompage. Ce sont donc 60 000 m3 d’eau qui chaque année sont livrés dans un étang existant sur le parcours du Golf, le rendant ainsi totalement indépendant de la météorologie ainsi


Ainsi donc, l’ULDS et le Golf du Petit Chêne ont su concilier le respect de l’environnement et les impératifs économiques.

que des arrêtés préfectoraux sur le prélèvement des ressources naturelles en eau. Un suivi régulier des eaux est transmis aux services sanitaires tels que la DDASS.

On pourrait citer bien d’autres partenariats originaux et efficaces quant à la protection de l’environnement. Les divers exemples évoqués ici et qui illustrent combien la commune est sensible à la qualité de l’environnement pour ses concitoyens, tout en avançant toujours dans la voie de la croissance et du développement économique et social, ne constituent nullement une liste exhaustive. Cependant, outre la prise en charge du respect de l’environnement dans le cadre de la gouvernance territoriale, il est un devoir pour chacun d’entre nous, par de simples gestes, de préserver l’environnement. Dans la salle de bain, dans la cuisine, dans le salon, dans les transports aussi, chacun d’entre nous peut facilement économiser de l’eau ou de l’énergie : un bain

Le Syndicat Mixte des Eaux de la Gâtine a fêté son cinquantenaire le 12 juillet dernier puisque le Préfet des Deux-Sèvres avait pris l’arrêté de création du Syndicat le 12 juillet 1957, sous le thème de « cinquante ans au fil de l’eau ». Monsieur le Préfet des Deux-Sèvres, Monsieur le Président du Conseil Général, Madame la Sous Préfète ainsi que de nombreux élus ont assisté à cette manifestation. Catherine NOEL Directrice des services administratifs a retracé la longue marche du Syndicat. Elle l’a fait avec humour par de nombreuses anecdotes parfois croustillantes. Un film réalisé par Ciné-Média avec la participation d’un groupe d’enfants de l’école de Mazières-en-Gâtine a été projeté. Il retraçait l’histoire de l’eau à partir du puits, de la fontaine, pour arriver aujourd’hui au

par exemple consomme 5 fois plus d’eau qu’une douche. Le réglage de la température d’un réfrigérateur ou d’un congélateur est important car un degré de moins par rapport aux normes fait consommer 5% d’électricité en plus. Un téléviseur en veille pendant 21 heures consomme 315 watts. 25% des trajets sont inférieurs à un kilomètre, alors préférons la marche plutôt que la voiture. Les sacs plastiques pour faire les courses mettent des centaines d’années à disparaître et polluent la nature. Trier et jeter ses déchets dans des poubelles appropriées permet le recyclage de nombreuses matières. Ce sont là autant de gestes simples qui permettent à chacun d’entre nous de sauver la planète. Enfin, n’oublions pas de méditer cette citation que l’on doit à Antoine de Saint-Exupéry : « Nous n’héritons pas de la terre de nos ancêtres, nous l’empruntons à nos enfants ».

robinet. Il aura fallut 1 650 Km de canalisations pour alimenter les 15 000 abonnés de nos 57 communes. Pour compléter cette journée anniversaire une très belle exposition retraçait l’histoire du Syndicat. Aujourd’hui le Syndicat doit s’adapter à la nouvelle loi sur l’eau en ayant toujours une préoccupation sur l’incidence de l’augmentation de la redevance sur le prix de l’eau. Il nous faut accélérer la politique de renouvellement vu l’âge des canalisations, cela est aussi valable pour l’assainissement. Il nous faudra donc programmer les opérations de manière régulière et non pas au coup par coup, car prévoir une prestation permet de définir l’enveloppe budgétaire d’investissement correspondante déclinée par un plan de renouvellement année par année. Le Président, Jean Cantet


Une rentrée scolaire sous le soleil Après des vacances plutôt maussades, c’est le soleil qui a accompagné les enfants sur le chemin de l’école en ce lundi 27 août. C’est tout de même avec un peu de regrets qu’il a fallu échanger les seaux de plages contre les cartables et reprendre le rythme de la semaine des « quatre jours ». Heureusement pour nos bambins, l’été indien leur permet encore de profiter de belles journées et pourquoi pas de goûter le week-end, aux joies de la plage.

A Mazières, ce sont 110 élèves des tout petits de la maternelle, aux plus grands du primaire qui ont fait leur rentrée. Certains ont retrouvé leurs maîtresses : c’est le cas à la maternelle où Isabelle Cadu, continue d’assurer la direction et a la charge des enfants de grande section et une partie des enfants de moyenne section. Quant à Christine Baribaud, après trente années passées à Mazières, elle a pris une retraite bien méritée et a été remplacée par Annette Praud qui arrive de l’école Jacques Prévert de Parthenay. Elle prend en charge la petite section et l’autre moitié des enfants de moyenne section. Pour assister ces deux maîtresses, Nadège, Cécile et Sylvie sont toujours présentes. Du côté du primaire les enfants ont aussi pu faire connaissance avec de nouvelles maîtresses. Anne Ecotière (absente sur la photo) assure un quart

temps avec Véronique Gailledrat dans la classe de CE2-CM1. Quant à la Directrice Catherine Rivault, qui est partie rejoindre une autre école, elle est remplacée par Audrey Aubin. Outre la prise en charge de la classe des CM1-CM2, celle-ci assurera la direction de l’école primaire. Au collège, Maria Bardon, partie dans un collège de Charente-Maritime, a laissé la place au nouveau Principal de l’établissement, Frédéric Chappe, qui était auparavant Proviseur Adjoint au Lycée Professionnel des Grippeaux. En fonction depuis le 1er septembre, il se félicite lui aussi de cette rentrée qui s’est faite une semaine après celle de la maternelle et du primaire. Deux cent quatre collégiens, répartis sur 9 classes fréquentent, cette année, le collège. Du côté des enseignants, de

nouveaux professeurs retrouvent les « anciens » ce qui permet d’assurer une bonne stabilité de l’équipe pédagogique. En effet, fin juin, le collège a été marqué par la mutation, pour rap-

Le nouveau Principal du collège Frédéric Chappe prochement de conjoints, de Cécile Lebot, professeure de français, Elisabeth Kember, professeure d’anglais et d’Annie Moreau secrétaire depuis 26 ans au collège. Soulignons aussi le départ à la retraite de Jacqueline Guérin, agent municipal affecté au collège et Dominique Dewas professeure d’histoire géographie et instruction civique. Globalement la rentrée scolaire s’est donc bien passée, non seulement à Mazières-en-Gâtine mais pour l’ensemble des quelques 710 enfants scolarisés dans les écoles du réseau et au collège. Nous souhaitons donc, aux petits comme aux plus grands, aux anciens comme aux « petits nouveaux » un bon courage et tout plein de projets pour cette nouvelle année 2007-2008.

Bibliothèque C'est la rentrée ! Les lecteurs ont retrouvé le chemin de la bibliothèque. Deux bénévoles préparent une formation de lecture à haute voix. Dans le cadre de "Lire en fête" et suite à cette formation, une soirée lecture sera organisée le vendredi 9 novembre à 20 h 30 à la bibliothèque. Petit rappel la bibliothèque est ouverte à tous, gratuite jusqu'à 16 ans, adhésion de 6 € par an. Permanences : Lundi de 16 h 30 à 18 h - Mercredi de 10 h à 12 h - Samedi de 10 h 30 à 12 h Venez nous rendre visite, les bénévoles seront heureuses de vous accueillir.


n o i t a i v é d s a e L g a m i n e



Mazières en histoires

La Poste à Mazières en Gâtine

En 1926, le bureau a changé de receveuse, c’est Mme Lère Louise ( née en 1891 à Limoges) qui gère les lieux. Elle est secondée par son époux Lère Marcel ( né en 1897 à Saint Gaudens) commis de Poste. Gouband Madeleine ( née en 1904 à Verruyes) est aide PTT et travaille au Bureau. Les facteurs sont : Chaigne Marie (née en 1876 à Nanteuil), Rossard Victorin ( né en 1867 à Saint Georges de Noisné) et Léculeur Fernand ( né en 1890). Thomas Louis est toujours facteur à la gare . Ces personnes sont recensées à Mazières mais il y a d’autres facteurs qui habitent dans les communes environnantes. La fée électrique fait son apparition dans le bourg et le Conseil, sur la demande du Directeur des Postes, décide d’installer l’électricité dans le bureau et il en est question au cours de la réunion du 18 décembre 1927. Pour conclure, le Conseil propose d’augmenter de cent francs le loyer annuel du Bureau de Poste de Mazières à compter du premier janvier prochain, et prend l’engagement de faire installer , aux frais de la commune, neuf lampes distribuées de la façon suivante : 1 lampe dans la salle d’attente, 1 dans le Bureau, 1 dans le vestibule, 1 dans la cage d’escalier, 1 dans la cuisine, 1 dans la salle à manger et 1 dans chaque chambre au nombre de trois.

(5éme partie)

D’autre part, le conseil fait remarquer que la borne fontaine, voisine du Bureau de Postes, et destinée à l’alimenter, fournit une eau d’excellente qualité puisqu’elle est captée à la source même de Mazières. Et à l’avenir la quantité d’eau ne fera point défaut par suite de mesures prises au réservoir central du bourg. Il n’y a donc pas lieu d’envisager la construction d’un puits. Le progrès suit son cours et le téléphone s’implante petit à petit dans nos hameaux et lors de la réunion du 8 novembre 1936 : « Le Conseil est d’avis de faire installer le téléphone à l’Hirondelle et au Beugnon, à condition de trouver dans chacune de ces localités une personne qui s’engage à recevoir gratuitement le public. » Cette même année Lère Louise dirige toujours le bureau de Postes, Gouband Madeleine est dénommée postière. Les facteurs Nargeot Léon, Babin René et Guilbot Gaston (qui habite l’Oucherie) sont marqués comme facteurs auxiliaires. Il ne semble pas que la Municipalité ait obtenu gain de cause dans sa demande d’augmentation de loyer en 1933, car dans sa séance du 9 février 1941 :

Le facteur Nargeot lors de sa tournée dans le bourg

En 1931, le bureau est toujours dirigé par Mme Lère Louise , la receveuse. Au Bureau on trouve son époux, Lère Marcel et Gouband Madeleine. Deux facteurs sont recensés Chaigne Marie et Nargeot Léon. Le 22 janvier 1933 lors de sa réunion le conseil examine le bail de la Poste qui est à renouveler car il prend fin le 29 septembre 1933. Cet immeuble construit en 1923-1924 a coûté au total 42 764 F, chiffres relevés à la recette municipale, plus 1500 F environ pour l’installation de l’éclairage électrique soit 44264 F, sans compter 789 F de réparations récentes et diverses réparations éventuelles demandées par le service des Postes et estimées 2500F environ par M Burcier, Architecte départemental. M le Directeur des Postes, dans le projet qu’il vient de soumettre à la Commune, propose de conserver pour le nouveau loyer l’ancien chiffre de 1900F. Après avoir délibéré, le Conseil qui ne peut, ni ne veut changer l’affectation de cet immeuble, considérant que le nouvel Hôtel des Postes présente tout le confort et les commodités désirables, estime que la somme offerte par M le Directeur des Postes est bien au-dessous de la valeur réelle du loyer annuel et demande qu’à l’avenir ce loyer soit porté à la somme de 4000 F. Il semble qu’il existe quelques dissensions entre la receveuse et la commune en ce qui concerne l’alimentation en eau.

« M le Directeur des Postes demande qu’il soit procédé au renouvellement pour 9 ans du bail du Bureau de la localité et ce au prix du précédent bail soit 2400 F. Le Conseil considérant que les loyers d’il y a 9 ans ne correspondent plus au cours des loyers actuels, que la valeur de l’immeuble va se trouver d’ici peu augmentée par suite de l’installation prochaine d’une canalisation d’eau potable, que les réparations aux immeubles atteignent des prix de plus en plus élevés, décide de proposer une augmentation du loyer. » Il semble bien que la direction des Postes ne soit peu enclin à vouloir cette augmentation. A la réunion du 23 mars 1941, le Conseil se montre assez ferme : « Le Conseil municipal maintient ferme à 3500 F le loyer de la Poste .» Pourtant la Municipalité n’obtient pas gain de cause car dans sa réunion du 29 juin 1941 : « Le Conseil décide la


Mazières en histoires location du bureau de poste pour une somme annuelle de 2800F mais avec un bail de 9 ans renouvelable tous les 3 ans. » En 1942, le bail arrive à échéance et le Directeur des Postes offre la même somme soit 2800 F de loyer annuel et le Conseil dans sa séance du 28 juin 1942 rejette la proposition. Le loyer subira une légère augmentation passant à 3000 F que le Conseil finira par accepter. En 1946, le bureau est dirigé par une receveuse Mme Brisset Louise, trois facteurs sont recensés à Mazières dont une factrice auxiliaire : Mme Vve Roy Rachel. On trouve Caillon Victor et Guilbot Gaston qui était auxiliaire avant la guerre. Le bail de la Poste va être encore modifié et le Maire l’annonce le 21 février 1948 à son Conseil. « D’après l’article de la loi du 7 octobre 1946, l’ancien bail du Bureau de poste de Mazières devient caduc. En conséquence le Conseil accepte la proposition de M le Directeur des PTT et ramène le loyer de 3000 F à 2760 F à compter du 10 octobre 1946. » Le téléphone ne progresse que très lentement dans nos villages et le 4 février 1949, une demande est faite auprès du conseil : « M Pineau du Petit Chêne demande l’obtention d’une installation de téléphone avec poste service public, considérant que toute la partie sud de la commune n’ayant pas d’installation téléphonique, ce poste rendrait les plus grands services à la population. » Le conseil ne donnera pas son accord à M Pineau car dans sa séance du 8 décembre 1951, celui-ci adopte le principe de l’installation d’une cabine publique à l’Hirondelle. Dans sa séance du 18 octobre 1957, le conseil aborde, de nouveau, le projet de transfert du Bureau de Postes car celui-ci apparaît trop petit : « Monsieur le Maire rappelle qu’il a eu plusieurs entretiens avec M le Directeur départemental des PTT venu sur place visiter l’immeuble de la Poste et lui signaler l’insuffisance du local. En effet, les appareils du téléphone semi-automatique depuis les derniers aménagements occupent une bonne partie du bureau ; celui-ci est devenu de ce fait trop exigu pour permettre aux facteurs de faire facilement le triage du courrier. Une pièce supplémentaire est jugée indispensable. Trois solutions peuvent donc être envisagées : 1- construire une pièce supplémentaire. 2- construire un immeuble neuf pour la poste, le logement étant également exigu. 3- acquérir dans le bourg un immeuble disponible. La première solution exigerait une dépense moindre mais le bâtiment déjà mal disposé serait vraiment peu esthétique au carrefour où il est en vue. La construction ou l’achat d’un immeuble par la commune se heurterait à la difficulté qu’ont les collectivités à contracter des emprunts. M le Directeur des PTT ayant proposé que son administration en fît l’achat s’il en trouvait un disponible dans la localité sous réserve que la commune prenne en charge les dépenses de réinstallation. »

L’ancienne maison de M Jouneau- Poste depuis 1959

Le Conseil adopte le principe, sous condition d’un inventaire de la dépense lui incombant. Le maire souligne dans cette même séance : « un immeuble disponible

étant à vendre et M le Directeur des PTT l’ayant visité et l’ayant trouvé suffisant, le conseil adopte le principe du transfert du Bureau de Poste dans l’immeuble de M Jouneau si l’administration des PTT en fait l’acquisition. L’immeuble actuel pourrait être mis en vente pour financer les frais de réinstallation. Aussi la commune, n’aurait plus à sa charge l’entretien du Bureau de Poste dont le loyer n’arrive pas à équilibrer les dépenses. » Pourtant le 25 juillet 1958, les termes ne sont pas tout à fait les mêmes : « Plusieurs solutions ont tour à tour été envisagées- l’acquisition d’un immeuble soit par les PTT, soit par la commune. M le Directeur avait envisagé l’an dernier, l’achat d’une maison par son administration, mais ce projet a été abandonné par l’administration elle-même. Reste la solution de l’acquisition d’un immeuble par la commune. L’immeuble Jouneau est à vendre. Il serait trop important pour loger seulement la Poste. »Dans un extrait de la délibération du 27 octobre 1958, nous avons une description complète du bâtiment : « Une grande maison couverte en ardoise, ayant grande cave, cuisine et salle à manger au sous-sol, six pièces au rez-dechaussée, six pièces au premier étage et grenier sur le tout. La Municipalité décide donc l’achat de ce bâtiment au prix de trois millions cinq cent mille francs pour y installer la Poste, une cantine scolaire et un logement pour une adjointe de l’école de filles située juste en face. Dans le même temps, le bâtiment de la route de Champdeniers trouve acquéreur auprès de M Thimothée Charvy, hôtelier à Mazières, moyennant le prix de trois millions de francs. Le maire est donc chargé de poursuivre l’accomplissement des formalités pour parvenir à l’agrément de l’autorité de tutelle et lui donner dès maintenant tous les pouvoirs pour signer l’acte de vente qui sera reçu par Maître Bobin, notaire à Verruyes. Ce nouveau bureau de poste entrera en fonction à partir de 1959, après la réalisation des travaux. Le 15 novembre 1965, la Municipalité se trouve encore devant un nouveau problème à résoudre en raison de l’extension du service, elle doit faire un emprunt de 100 000 F auprès de la Société d’Assurance sur la vie du Bâ-


Mazières en histoires timent et des Travaux Publics à Paris, 30 000 F sont réservés pour l’aménagement du centre de triage postal. A cette période, le bureau de Poste de Mazières, sous l’impulsion de son Receveur M Grolleau, se transforme en centre de distribution et les facteurs des communes environnantes se voient rattachés à Mazières. Trois facteurs de Saint Pardoux : Rémy Couturier, Rémy Pacaud et Rémy Nivault, ceux de Verruyes : Daniel Démereau, Emile Baloge et celui de la Chapelle Bâton M Chasseuil complètent l’effectif avec André Giraudon, Marius Caillé et Jacques Baraton, préposés du Chef-lieu. Gisèle Pillac est porteuse de télégrammes. Dans les années suivantes Marius Caillé sera remplacé par Pierre Babin. En 1969, Louisette Maria remplacera momentanément Gisèle Pillac accidentée alors qu’elle effectuait son service de télégraphiste. Le 12 décembre 1974, le conseil constate encore une fois que le milieu rural est défavorisé. Les habitants du bourg sont raccordés au téléphone automatique alors que les lignes longues ne le seront qu’en 1975. Le Conseil « souhaite vivement que les agriculteurs soient desservis le plus rapidement possible car à notre époque, le téléphone est indispensable à leur profession. » En 1975 a lieu la réfection de la toiture du bâtiment de la Poste pour un montant de 35 894,60 F, par les établissements Puaud. Par la même, la charpente sera traitée pour la somme de 4993,97 F. En 1976, le bail de la Poste est porté à 6000F à l’année. Il faudra attendre l’année 1989 pour que l’on parle de

transformation, et dans sa séance du 3 novembre le Maire expose les doléances du service postal de la commune. « Le bâtiment abritant les services est beaucoup trop exigu. Dans un premier temps la municipalité a acquis un terrain jouxtant le bâtiment principal. Compte tenu des normes exigées par l’Administration, cet agrandissement comprendrait une salle de tri, un sas de sécurité, un local pour les boîtes postales, une cabine financière et un local pour les archives. Dans la salle de tri actuel, seraient réalisées des toilettes et une salle de repos. D’autre part ce projet aurait l’avantage de résoudre le problème de l’arrivée et du départ du courrier , avec la création du parking, car actuellement le camion stationne sur la voie principale et compte tenu du trafic, cela est extrêmement dangereux. »

Le Conseil accepte les transformations car en supplément l’Administration des Postes participera à la hauteur de 18% sur le montant hors taxe des travaux qui sont évalués à 700 000F. Une réévaluation du loyer sera demandée à l’achèvement des travaux qui vont bon train au cours de l’année 1990. L’inauguration officielle aura lieu le 1er septembre de cette même année à 15 heures en présence de M Jean de Gaulle, le député, du

Sous-Préfet et des membres de la Direction départementale des PTT. A cette occasion eut lieu un souvenir philatélique avec timbre à date.


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Parole aux associations

REPRISE DES ACTIVITES DU CLUB MUSICAL MAZIEROIS Vous ou vos enfants désirez jouer d’un instrument ? Venez nous rejoindre au CLUB MUSICAL MAZIEROIS Possibilité de s’inscrire tout au long du mois de septembre • Les cours sont ouverts aux enfants comme aux adultes sous forme de cours particulier pour les débutants ou en atelier musical pour les plus expérimentés. • Les enfants sont accueillis à partir de 5 ans (éveil musical) • L'accès aux instruments se fait dès le premier cours. • L'élève peut participer à des manifestations publiques encadrées (auditions, portes ouvertes, fête de la musique). Le club dispose de deux salles de cours équipées (piano, synthé, batterie…) Messieurs Alain BERNARDEAU, Pascal GEORGET, Vincent ROY et Sam AVDJIAN, professeurs diplômés, dispensent l’enseignement de l’accordéon, batterie, éveil musical, guitare (classique, folk, électrique et basse), piano et claviers.

Dans les cafés, les consommateurs consomment... ils consomment surtout des paroles. Les cafés sont des lieux où l'on parle. Les cafés sont des lieux inventés par les hommes pour rencontrer d'autres hommes"

Pour tout renseignement N’hésitez pas à nous contacter au 05.49.94.02.72 ou au 06.26.17.74.65

vendredi 5 octobre, 20 h 30 au Bar-Restaurant du Château du Petit Chêne (Golf) à Mazières en Gâtine.

CHORALE DE MAZIERES-EN-GATINE Le projet de constituer à nouveau une chorale sur Mazières-en-Gâtine est en cours avec un nouveau chef de chœur. Quelques personnes sont déjà partantes. Alors si vous avez envie de chanter, pourquoi ne pas nous rejoindre ? Messieurs, vos voix basses seront particulièrement appréciées. Une réunion d’information aura lieu courant septembre. Pour tout renseignement Veuillez contacter Mme Brigitte FABIEN : 05.49.05.28.94

C'est à une rencontre d'artiste que nous vous convions :

Nous parlerons de "L'esprit créatif : du loisir à la création artistique" avec Lucile Dupeyrat qui nous a fait partager son magnifique travail lors d'une exposition à St Marc la Lande. Vous avez aimé l'ambiance conviviale du 1er café-Gâtine à la "Hutte" de Verruyes, vous avez apprécié ce 1er cru, sur le thème " Rumeurs et légendes" venez nous rejoindre avec vos amis. Vous avez envie de découvrir "Café-Gâtine", toute l'équipe vous attend. Pour tous renseignements : - Marité RENOUX au 05 49 63 22 32 - Christian DE FONSECA au 05 49 69 14 26

LA CRACOTTE Responsable de la publication : Nicole Fortuné Comité de Rédaction : Nicole Fortuné, Murielle Girard, Jacques Largeau, Serge Pacaud, Dominique Guitton, Hervé Bonnanfant, Bernard de Litardière, Jean Cantet, Marie-Thérèse Ducreau. Imprimerie : TTI Services Mazières en Gâtine - 05 49 63 50 58 Tirage : 650 exemplaires


Bloc-Notes

Musical'Mandingue

Animations à la salle socio-éducative : • Loto de l’APE des écoles maternelle et primaire Dimanche 28 octobre

• Loto de l’A.F.N.

Vendredi 9 novembre

• Loto de S.G.M. T.C. Tennis Club Vendredi 16 novembre

• Soirée fruits de mer du FC Sud Gâtine L'association "Musical'Mandingue" a pour objet de promouvoir et valoriser la culture africaine dans sa globalité, par sa découverte et le développement d'activités. Pour cela, elle propose des cours et des stages de musique amateurs et professionnels. Les instruments utilisés sont le djembé, les dununs et le balafon, l'activité début le 3 octobre de 19 h à 20 h, à la MPT de Mazières. Renseignements : 06 69 09 19 51

Invitation à tous les habitants de la commune Marche découverte de la déviation commentée par un représentant du Conseil Général. Rendez-vous : Place des Marronniers, samedi 13 octobre à 9 h

Samedi 24 novembre Réservation : 05.49.63.32.22

• TELETHON 2007

Le 18ème Téléthon du canton de Mazières en Gâtine se déroulera les 7 et 8 décembre 2007 Au programme : Samedi 1er décembre à Mazières Loto animé par Quine Animations Vendredi 7 décembre au soir Soirée « Patatou » à St Pardoux Animé par la chanteuse Nina ROBIN Samedi 8 décembre Journée sportive - Départ des épreuves à Beaulieu - Déjeuner à La Boissière - Arrivée à St Marc La Lande pendant le marché de Noël, animation sous un Tivoli.

• Fête des écoles maternelle et primaire Samedi 8 décembre

• Loto du Secours Catholique

Nouveau à Mazières

Samedi 15 décembre

Besoin d’air, de partir en week-end, problème d’hospitalisation Qui va s’occuper des animaux ? Pas de panique, Sonia est là ! Résidant depuis plus d’un an à Mazières en Gâtine, je propose aujourd’hui un nouveau service dans la région : la garde d’animaux à votre domicile. Après une première rencontre avec l’animal afin de connaître ses habitudes, je suis ensuite à votre disposition pour venir le nourrir, le promener, jouer avec lui pour lui éviter tout stress, le soigner si nécessaire, etc… Je dispose en effet du certificat de capacité (obligatoire) pour ce type de services ainsi que l’agrément de transport pour les visites chez le vétérinaire ou le toiletteur et suis agréée par la Direction des Services Vétérinaires.

Le petit plus de mes services ? Pourquoi ne pas en profiter pour arroser vos plantes, relever le courrier, veiller aux coupures de courant en cas d’orage, etc… Mon activité entrant dans le cadre des services à domicile, la rémunération se fait tout simplement par chèque emploi service ou via AICM (association intermédiaire au 05 49 63 28 22).

Alors un souci ! Appelez-moi au 05 49 63 18 36 ou 06 31 08 83 44. Sonia PRAUD - Le Petit Niorteau - 79310 Mazières en Gâtine sonia.praud@orange.fr


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