Magazine Prestige | Mars 2023

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Salon International de l’Auto de Québec

Du 7 au 12 mars 2023

Restauration

Accompagnement comptable

Finance corporative

Évaluation d’entreprises

Marketing, études et stratégies

Gestion stratégique des ressources humaines

Acquisition et intégration de talents

Redressement d’entreprise

Réseau Mallette

Immigration

Juricomptabilité

Gestion des risques, processus financiers, systèmes d’information et contrôle interne

Riche en expertises

NOS PROFILS D’AFFAIRES

34 CELSIUS SOLUTIONS D’AFFAIRES

10 CLINIQUE D’IMPLANTOLOGIE BATTAH & FERRARI ART DENTAIRE

37 CLINIQUE DR FRÉDÉRIC SIMARD

30 EYE AM SOINS OCULAIRES

42 MALLETTE 40 NOVO SST

38 PRODUCTIONS OPTIMALES 45 RESTAURANT TUSCANOS

NOS PROFILS IMMOBILIERS

51 GROUPE BRIVIA

48 SOCIÉTÉ IMMOBILIÈRE ARBOIS

54 SOTHEBY’S – GROUPE MARTIN DOSTIE

NOS CHRONIQUES

44 ENTREPRENEURIAT

SANTÉ VISUELLE

NOS SECTIONS

VILLES & QUARTIERS

VOYAGE

D r Jason Battah , D.M.D., et Christian Ferrari , T.P.A.D.Q.
© Marc-Éric Baillargeon, Les Festifs

Nourrir le feu

France Bélanger

La transaction est maintenant complétée : depuis le 1 er  janvier 2023, le magazine Prestige est la propriété de L’Antidote Médias. Voyez-vous un changement, une transformation ? Moi, oui. Si la mission du magazine demeure fidèle à elle-même, il semble tout à coup y avoir un regain d’intérêt et, j’oserais même affirmer, un regain d’amour pour la publication. Cent pages de contenu : je ne me rappelle même pas la dernière fois que Prestige a offert autant à ses lecteurs en un seule publication. C’était à une autre époque.

Suis-je étonnée du succès remporté par cette première édition distribuée par le nouveau propriétaire ? Oui et non. Oui, parce qu’à force de se faire répéter que l’imprimé est en perdition, on finit par y croire. Et quand on est dans le milieu de l’édition depuis un certain nombre d’années, on a vu bien des magazines tomber au combat et disparaître de la circulation; ce qui renforce la perception que ça ne va pas bien. Je ne vous mentirai pas : les dernières années ont été passablement difficiles, en partie à cause de la pandémie, mais aussi parce qu’il fallait « ramer » dur avec peu de « pagayeurs ». Mais le constat est indéniable : le magazine a survécu MALGRÉ la pandémie, ce qui prouve qu’une marque forte et appréciée de son lectorat peut survivre à bien des épreuves, et poursuivre son chemin contre vents et marées. Ajoutez-y une équipe bonifiée et

passionnée, qui se dévoue corps et âme pour mettre en valeur les gens d’affaires et les entreprises de la grande région de Québec, et vous venez de redonner vie à un magazine qui ne demandait qu’à retrouver la place qui lui est due. C’est ce qui s’est produit. Et ce n’est que le début de cette nouvelle ère.

Premier geste posé par le nouveau propriétaire : sonder les lecteurs par l’entremise d’un sondage Léger. Les résultats le prouvent maintenant hors de tout doute : la notoriété du magazine est extrêmement bien établie. Plus de 85 % des lecteurs qui reçoivent le magazine le consultent en partie ou au complet. La section Affaires suscite le plus haut niveau d’intérêt, suivie par les sections Habitation, Immobilier, Voyage et Luxe. Autre fait important : la grande majorité des répondants (73 %) connaissent le site Web du magazine. En d’autres mots, Prestige est là pour rester ! À l’instar du feu, il suffit maintenant de souffler sur la braise et de l’alimenter pour le garder bien en vie.

C’est avec plaisir et satisfaction que nous vous offrons donc cette première édition de l’année 2023. Bonne lecture ! Et envoyez-nous vos commentaires à info@magazineprestige.com

Marie-Josée

MARS 2023

Vol. 27, no 7, 233e parution

Publié par :

L'Antidote Médias

RÉDACTRICE EN CHEF

Marie-Josée Turcotte

DIRECTION DES VENTES

France Bélanger

RÉDACTION

Ariane Arpin-Delorme

Jean-Pierre Bouchard

Marilyn Bouchain

Annie Bourque

Nathalie Clark

La Pièce

Jean-Marie Lebel

Gilles Levasseur

Johanne Martin

CORRECTION ET RÉVISION

Gilles Levasseur

PRODUCTION, GRAPHISME

Atelier 480

PHOTO PAGE COUVERTURE

Marc-Éric Baillargeon, Les Festifs

PHOTOGRAPHIES

Marc-Éric Baillargeon

Nadia Bélanger

Marjorie Roy

IMPRESSION

Solisco

DISTRIBUTION RÉSIDENTIELLE ET COMMERCIALE

Postes Canada

Dépôt légal Bibliothèque nationale du Canada ISSN-1205-6707

Dépôt légal Bibliothèque nationale du Québec

Magazine Prestige 6500, boul. Pierre-Bertrand, Suite 200 Québec (Québec) G2J 1R4

Téléphone : 418 683-5333 www.magazineprestige.com

Rédaction et production : redaction@magazineprestige.com

Publicité : france.belanger@lantidote.com 418 998-1333

Cette édition est distribuée à 25 000 exemplaires.

Les opinions émises dans les articles publiés par le magazine Prestige n’engagent que leur auteur.

Une publication de

, v.-p. ventes; Micaël Minguy-Bédard, directeur général; Pierre Paul-Hus, ancien propriétaire; Marie-Josée Turcotte, rédactrice en chef; et Maxime Godbout-L’Hébreux, directeur des ventes.
© Nadia Bélanger

NOTRE EXPERTISE : PRENDRE TOUT LE TEMPS QU’IL FAUT.

Parce

que chacun mérite un service à la clientèle d’exception !

Que vous ayez une prescription simple ou complexe, nous vous offrons un ajustement hors pair atteignant nos hauts standards de qualité. Une qualité de vision que nous sommes fiers d’offrir et qui se reflète dans la satisfaction de notre clientèle, et ce, depuis près de 39 ans.

À la Lunetterie Verret, vous trouverez des produits et des équipements à l’avant-garde, des verres ophtalmiques et des lentilles cornéennes à la fine pointe de la technologie, et surtout, une équipe dévouée et professionnelle.

ajustement

Les lentilles Hoya sont fabriquées minutieusement avec une technologie de verres offrant une vision sans effort et stable dans le monde dynamique et numérique d’aujourd’hui.

L’harmonisation binoculaire qu’offrent les lentilles progressives Mystyle, Lifestyle 3 et Array 2 de Hoya optimisera votre vision au maximum.

Dr René Verret

Optométriste, fondateur de la lunetterie

Dre Marie-Pier Verret

Optométriste propriétaire

Marie-Justine Talbot

Opticienne propriétaire

Guillaume Verret

Opticien propriétaire

Passion QC.

CONJONCTURE 2023 :

LES GENS DE LA RÉGION DE QUÉBEC, D’INÉBRANLABLES OPTIMISTES ?

Fidèle à la tradition, Québec

International s’est associé à la Chambre de commerce et d’industrie du Grand Lévis et à la Jeune Chambre de commerce de Québec pour sonder l’indice de confiance de 270 gestionnaires et dirigeants d’entreprise des régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches quant aux perspectives économiques de la prochaine année. Réalisé en novembre dernier par Léger, le sondage révèle que l’optimisme a un peu fléchi par rapport à l’année précédente pour faire place à la prudence. Toutefois, en comparaison, le degré d’optimisme reste plus élevé au Québec qu’au Canada, aux États-Unis et dans le reste du monde. Pour consulter le sondage complet, rendez-vous sur quebecinternational.ca

Soulignons l’excellence

UN PRIX INTERNATIONAL POUR UN FILM TOURNÉ EN PARTIE À QUÉBEC

Une merveilleuse nouvelle pour l’autrice-scénariste India

Desjardins, qui a vu son film 23 décembre récompensé à l’occasion du 26e Festival international du film de comédie de l’Alpe d’Huez. Tourné en partie à Québec, le long-métrage a en effet obtenu le prix « Coup de cœur du Jury ». Outre le talent des comédiens et des artisans, le décor naturel du film a sans aucun doute contribué à son succès.

India

La comédienne Virginie Fortin , l’autrice-scénariste

Desjardins , la réalisatrice

Miryam Bouchard et le comédien

François Arnaud .

LÉVIS ET QUÉBEC :

DANS LE TOP 10 DES MEILLEURES VILLES OÙ EMMÉNAGER AU CANADA

Spécialisée en déménagements, l’entreprise MovingWaldo a dressé un palmarès des meilleures villes canadiennes où emménager en se basant sur des facteurs comme la sécurité des villes, le coût des maisons et l’accès à des installations de plein air. Résultats : la ville de Lévis occupe le 3 e rang et Québec, la 6e position. Et qui arrive en tête de liste au Canada ? La ville d’Edmundston au Nouveau-Brunswick. Pour en savoir davantage : movingwaldo.com

Vue sur Québec de la terrasse de Lévis

Nominations

ET LE NOUVEAU DIRECTEUR MUSICAL DE L’ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE QUÉBEC EST…

Au terme d’un rigoureux processus de recrutement, Maestro Clemens Schuldt succédera à Fabien Gabel (2012-2020) en tant que 12e directeur musical, et ce, pour les quatre prochaines années. Né à Brême, au nord-ouest de l’Allemagne, M. Schuldt possède une feuille de route des plus impressionnantes. C’est toutefois son charisme indéniable qui a fait l’unanimité chez les musiciens et qui parviendra assurément à séduire le public de Québec.

LA FONDATION

QUÉBEC PHILANTHROPE

A UNE NOUVELLE PDG Source : facebook.com/QuebecPhilanthrope

Depuis la mi-janvier, la Fondation Québec

Philanthrope a une nouvelle présidentedirectrice générale, Valérie Beaudoin. Gestionnaire aguerrie possédant une vaste expérience dans le milieu de la philanthropie, elle occupait jusqu’à tout récemment le poste de directrice générale de la Fondation du Centre jeunesse de Québec. Elle a aussi œuvré pour la Fondation CERVO et la YWCA Québec. Mme Beaudoin aura pour mandat de gérer de façon optimale l’ensemble des activités de la Fondation, le développement des affaires philanthropiques, de la notoriété et de son rayonnement. Elle remplace M. André Roy. Bon succès !

L’UN DES NOUVEAUX DÉFIS DE JULIE BÉDARD

En octobre 2022, Francis Lessard, président de Graph Synergie (notre vedette en page couverture de l’édition septembre 2021) lançait l’entreprise RealVuu Technologies en collaboration avec Charles-Hubert Déry et Samuel Rousseau-Boissonneault. Synergie, c’est désormais trois entreprises complémentairesGraph Synergie, Synergie Immobilière et RealVuu - proposant une offre globale et différenciée au marché de l’immobilier, incluant les services conseils et le marketing intégré jusqu’aux solutions technologiques. Afin de soutenir cette vision stratégique, une nouvelle structure organisationnelle a donc été mise en place, et c’est Julie Bédard qui assurera la présidence du groupe en mettant à contribution ses 20 ans d’expérience comme gestionnaire. Quand on dit que l’union fait la force…

Francis Lessard

Julie Bédard et
© Stéphane Audet, Audet photo
Valérie Beaudoin
© Marco Borggreve
Clemens Schuldt

FOUR SEASONS PRIVATE ISLAND MALDIVES AT VAOVAH

Un paradis insulaire juste pour vous

Rêver les yeux grands ouverts ! Cette photo n’a nullement besoin de description supplémentaire.

L’arrivée au paradis terrestre se fait en hydravion privé. La confidentialité se poursuit sur le site avec une sécurité et des patrouilles 24 heures sur 24, des caméras de vidéosurveillance et de vision nocturne.

Que feriez-vous sur une île paradisiaQue juste pour vous ? v ous retrouver sur une île privée en plein milieu de l’océan i ndien où vous pouvez rêver les yeux grands ouverts vous interpelle ? l e temps d’une escapade en couple, en famille ou entre amis, cet éden tropical vous appartient. vous êtes les rois et maîtres au pays des merveilles où tout est possible. a vouez Q ue c’est le summum du luxe !

Ce paradis, c’est le Four Seasons Private Island Maldives at Vaovah, qui se trouve au cœur de l’atoll de Baa, une réserve naturelle classée par l’UNESCO en raison de son importante concentration de coraux et de son incroyable biodiversité. Cet établissement ultra-luxueux et privé s’étend sur deux hectares de plages immaculées, d’eaux cristallines et d’infrastructures de rêve.

© Seet, Ken
© Seet, Ken
© Seet, Ken

Les villas surplombant l’océan disposent de piscines privées à débordement et d’une vaste terrasse qui invite à la contemplation.

DOUCEUR DE VIVRE

L’île peut accueillir 22 invités qui arrivent en hydravion privé. Les clients fortunés sont pris en charge par l’équipe du personnel composée de 25 personnes. Ils sont logés dans un établissement qui compte sept chambres et ont aussi accès à deux villas en bordure de mer ainsi que deux suites directement sur la plage ou sur pilotis dans un décor paradisiaque ceinturé d’un lagon aux multiples poissons tropicaux.

Les joyeux naufragés ont accès à un yacht de 19 mètres pour explorer l’un des récifs coralliens les plus riches au monde, qui abrite une faune marine des plus diversifiées. Cette sortie en mer cristalline vous offre la possibilité de nager avec des requins, tortues et raies mantas, d’observer les dauphins, de savourer un pique-nique gastronomique sur un banc de sable blanc, ou encore d’admirer un coucher de soleil en savourant les meilleurs bulles et caviars.

Soins sur mesure au spa The Ocean of Consciousness. Yoga, méditation et pranayama sur votre vaste plage déserte.

À VOTRE SERVICE

Le personnel, discret et attentionné, est là pour exaucer tous vos souhaits. Vous préférez un chef ou un type de cuisine en particulier ? Besoin d'instructeurs de plongée ou de sports nautiques supplémentaires pour une aventure océanique maximale ? Avec des thérapeutes intuitifs et des gourous de l'observation des étoiles, des super nounous et des spécialistes de la culture locale, vous vivrez des expériences sur mesure inédites, magiques et personnalisées.

« Je considère que mon rôle de chef d'île est de veiller à ce que chaque rêve devienne réalité, précise Areef Ali. Une partie de cela consiste à diriger l'équipe avec une attitude positive, et une autre, à aider chaque invité à exploiter le pur potentiel offert par l'intimité, la beauté et l'aventure de Vaovah. »

Un séjour au Four Seasons Private Island Maldives at Vaovah invite à l’abandon des limites et à la déconnexion totale. La course du temps est suspendue dans ce paradis insulaire, paroxysme de luxe et d’émerveillement tropical.

Certaines villas sont situées directement sur la plage et offrent une vue optimale sur le décor édénique.

© Seet, Ken
© Seet, Ken
© Seet, Ken © Seet, Ken
© Marc-Éric Baillargeon, Les Festifs
Dr Jason Battah, D.M.D., propriétaire de la Clinique d'implantologue Battah. Christian Ferrari, T.P.A.D.Q., propriétaire de Ferrari Art Dentaire.

Synergie d'art dentaire

Clinique d'implantologie Battah & Ferrari Art Dentaire

au-delà de leur profession, les deux hommes sont des artistes. jason battah est un musicien/chanteur depuis son jeune âge et christian ferrari se passionne pour la photographie. réunis sous le même toit depuis 2019, le dentiste et le céramiste dentaire de renom vivent une synergie leur permettant, dans la plus pure tradition, de repousser les limites de l’art dentaire pour offrir à leur clientèle ce Qui se rapproche le plus des dents naturelles. pour amateurs d’ Œ uvres d’art avertis. aux yeux du tandem, le sourire Q ui accompagne le résultat représente la plus belle récompense.

Telle une maison, que vaudrait une prothèse de porcelaine sans l’implant qui constitue sa fondation ? Or, la plupart du temps, les professionnels qui contribuent au résultat final travaillent dans des espaces distincts. Ce clivage entre cliniques et laboratoires, le dentiste Jason Battah le considérait depuis longtemps comme un obstacle à la pleine expression du volet prothétique de sa profession. Il avait d’ailleurs déjà partagé ses locaux montréalais avec une prothésiste à l’époque où il pratiquait à la fois dans la métropole et la capitale. Toutefois, en 2019, alors qu’il concentre ses activités à Québec et s’apprête à emménager dans sa nouvelle clinique de Saint-Nicolas, il apprend que le céramiste de réputation internationale Christian Ferrari, à l’académie duquel il avait déjà voulu suivre une formation en Europe, vit maintenant au Québec. Son rêve de réunir en un seul lieu les deux facettes de la médaille de l’art dentaire se concrétise enfin.

© Christian Ferrari

Céramiste dentaire de réputation internationale, Christian Ferrari travaille en synergie avec le D r  Jason Battah afin de repousser les limites de l’art dentaire.

MAÎTRE CÉRAMISTE

En effet, Christian Ferrari n’est pas le premier venu, ayant à son actif trois décennies de savoir-faire. Après des études à Aix-en-Provence, il passe 10 ans à Bâle, en Suisse, à peaufiner son métier. Il ouvre par la suite son labo, qui prend vite de l’ampleur, mais le succès l’éloigne de sa fibre artistique. Parallèlement, il s’inscrit pour son plaisir à un cours de photographie, ce qui l’amènera à publier un « image book » grâce auquel il prendra contact avec des entreprises pour lesquelles il développera une gamme complète de céramiques, l’une portant même son nom. Conférencier recherché, il formera des prothésistes à sa technique au sein de son académie, fondée en 2007, « des prothartistes », se plaît-il à les qualifier. « Notre référence, c’est la nature, explique M. Ferrari. Et on s’en inspire pour s’en approcher le plus possible, mais elle a encore une longueur d’avance tellement elle est complexe et magnifique. Notre idéal est de mettre en bouche des dents qui ne se voient plus tellement elles sont naturelles et s’intègrent à la personne. En réalité, c’est de l’art, comme celui d’un verrier par exemple. » De son côté, le Dr Battah reconnaît la chance qu’il a d’offrir à sa clientèle — et à celle des dentistes avec lesquels il collabore — ce niveau de savoirfaire hors du commun, d’autant plus que la présence d’un prothésiste à même la clinique facilite énormément le processus de traitement pour les patients.

« notre référence, c’est la nature. et on s’en inspire pour s’en approcher le plus possible, mais elle a encore une longueur d’avance tellement elle est complexe et magnifi Q ue. n otre idéal est de mettre en bouche des dents Q ui ne se voient plus tellement elles sont naturelles et s’intègrent à la personne. »

− Christian Ferrari, T.P.A.D.Q., céramiste.

© Marc-Éric Baillargeon, Les Festifs

PRENDRE LE TEMPS…

La technique mise au point et patiemment développée par Christian Ferrari s’inspire davantage des méthodes artisanales traditionnelles, résolument à contrecourant de la tendance à la modélisation numérique plus expéditive. Le travail débute sur une base en zircon, matériau dont la grande résistance lui a permis de remplacer majoritairement les structures de prothèses en alliages métalliques. Il s’agit ensuite, par un procédé appelé stratification, de bâtir la dent en couches successives, en y ajoutant différentes teintes au pinceau au fur et à mesure afin de répliquer les effets de réflexion de lumière dont les dents naturelles ont le secret. « L’objectif est de reproduire les couleurs, la vitalité et la transparence de ce que crée la nature, d’imiter une ligne de fêlure dentaire ou des taches de fluorescence par exemple, explique le Dr Battah. Christian a tellement pris le temps d’étudier l’anatomie dentaire, de la photographier et de la dessiner qu’il l’a vraiment intériorisée, ce qui nous permet de réaliser en équipe des soins prothétiques incroyables se distinguant par un fort degré de réalisme. Bien sûr, cela requiert plus de temps et de compétences, mais le résultat est vraiment différent au regard. En effet, il est le fruit d’un savoir-faire représentant l’œuvre d’une vie. »

DEUX MONDES QUI SE COMPRENNENT ENFIN

Durant sa carrière, Christian Ferrari a toujours déploré lui aussi cette distance entre le monde clinique et les labos. « Travailler sur une prothèse dentaire sans avoir rencontré la personne qui la portera est monnaie courante, explique-t-il. On crée une pièce, mais sans son contexte qui revêt pourtant une importance capitale, car la forme du visage, les éléments masculins ou féminins, ainsi que la personnalité jouent sur l’anatomie des dents. Maintenant que je vis la communication entre les deux univers, je me demande comment j’ai fait pour m’en priver ! Ici, l’approche est complètement différente : on rencontre le patient pour discuter de son cas, on procède à des essayages en cire que le praticien corrige. Mieux encore, Jason s’implique souvent au labo en réalisant lui-même des maquettes qu’on valide en bouche ensemble, ce qui nous permet de nous imprégner de l’humain. Bref, le bonheur du sur-mesure ! C’est ma plus grande motivation, car après 30 ans de carrière et de perfectionnement, j’étais mûr pour aller au-delà du connu. Au point où j’en suis, si je ne faisais que de la production, je pense que je songerais à la retraite. »

« un sourire reflète beaucoup la personnalité. croire Qu’on peut tomber pile sans rien connaître de la personne Qu’on traite éQuivaut à un coup de dés. »

Le Dr Battah abonde dans le même sens : « Un sourire reflète beaucoup la personnalité. Croire qu’on peut tomber pile sans rien connaître de la personne qu’on traite équivaut à un coup de dés… Cela dit, j’éprouve autant de plaisir à m’asseoir au labo qu’à pratiquer la dentisterie, car les deux expériences se complètent et forment un tout, comme l’implant et sa couronne, elles correspondent à des aspects différents de ma personnalité. L’expression artistique au labo me libère des tensions découlant de la gestion du travail clinique, et j’y trouve un équilibre. Peut-être un jour aurai-je plus de temps pour explorer la céramique elle-même ? Ça m’attire et ça m’anime ! C’est formidable que chacun de nous comprenne parfaitement ce que l’autre fait. Au bout du compte, le patient en sort gagnant. Mener à terme les cas ensemble est pour nous la véritable satisfaction; chaque fois que nous procédons à la mise en bouche d’un pont fixe sur implants pour réhabiliter un patient ayant vécu le trauma de multiples extractions et le port d’une prothèse amovible, et que celui-ci voit ainsi s’effacer des décennies de mésaventures dentaires, que demander de plus ? »

INFORMATION

809, route des Rivières, local 205, Lévis | 418 658-2000 | info@ battahimplant. com | battahimplant.com

© Marc-Éric Baillargeon, Les Festifs

Les 100 ans de la Corporation Mobilis : que d’évolution !

l ’histoire de l’automobile à Québec est passionnante ! et Que dire de celle de tous ces artisans Qui y ont contribué depuis l’association des marchands d’automobiles de Québec fondée en 1923 jusQu’à l’actuelle corporation mobilis. brève rétrospective des grandes étapes Qui ont marQué son évolution.

Le tout premier véhicule automobile à Québec, acquis en 1897 par le D r Henri Casgrain.

Source : Guy Thibault

Secteur des concessionnaires automobiles, boulevard Charest.

Source : Ville de Québec.

À Québec, le tout premier véhicule automobile est acquis en 1897 par le Dr Henri Casgrain. Trois roues, un moteur de deux chevaux, et une vitesse maximale de 30 km/h ! Fabuleuse invention qui suscite l’indifférence au début, voire méfiance et crainte, car le bruit des moteurs effraie notamment les chevaux. Néanmoins, le nombre d’utilisateurs s’accroîtra par la suite, mais les chemins de terre battue font obstacle; il faudra entretenir les voies carrossables. Le concept du marchand spécialisé dans l’automobile apparaît vers 1910. Les commerçants vendent alors plusieurs marques, et l’absence de parcs de stationnement les oblige à garer les véhicules dans les rues et à les immatriculer.

Le bruit des moteurs effrayait les chevaux.

Source : Guy Thibault

En raison de la proximité du chemin de fer, les concessions se concentrent dans le Vieux-Québec et la Basse-Ville. Le 2 février 1923, l’Association des marchands d’automobiles de Québec voit le jour à l’initiative de messieurs Joseph De Varennes, Alfred Wade, Léo Légaré et Maurice Lavigueur.

Le krach boursier de 1929 stoppe net la croissance de l’automobile; l’industrie réduit sa production. Plusieurs concessionnaires de la ville ferment boutique. L’industrie repart toutefois de plus belle en 1940 : près d’un citoyen sur 10 possède une voiture. En 1953, un comité de recrutement est mis sur pied au sein de l’association; des concessionnaires de plusieurs régions répondent à l’appel, triplant ainsi le nombre de membres, une augmentation qui se poursuivra par la suite. Puis on assistera aux bouleversements dus à la crise du pétrole au début de la décennie suivante ainsi que l’entrée en scène de fabricants japonais et coréens. En 1981, l’association change de nom et devient la Corporation des concessionnaires automobiles de la régionale de Québec (CCARQ). Celle-ci s’implique notamment dans la formation des apprentis pour assurer une relève de qualité dans l’industrie.

À la suite d’une pause due au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, le Salon de l’auto renaît en 1982 et connaît un franc succès. Cet événement privé aura lieu à deux reprises avant que la Corporation ne le rapatrie trois ans plus tard, attirant un nombre record de visiteurs. En partie grâce à cette annuelle, la crédibilité de la Corporation ne cessera de grandir. Début 1990, les concessionnaires de camions lourds se joignent à la Corporation tandis que les membres continueront de développer un esprit d’appartenance au groupe. Une première campagne publicitaire est lancée en  1996 pour mettre le secteur automobile en valeur. Puis le Salon de l’auto emménage en 1998 dans le nouveau Centre de foires, bénéficiant de beaucoup plus d’espace qu’au PEPS.

C’est en 2009 que la Corporation crée la Fondation Mobilis afin de venir en aide aux personnes, familles et associations ayant des besoins liés à la mobilité. En 2013, la CCARQ modifie son image et devient la Corporation Mobilis. Un tout nouveau site Internet voit le jour dans la foulée, et le nouveau directeur général met en priorité les relations avec les partenaires de l’industrie. De nouveaux services sont organisés, dont un dédié aux ressources humaines en 2016 afin de répondre aux besoins de l’industrie en matière de main-d’œuvre. Par la suite, le Salon international de l’auto de Québec s’affirmera comme étant l’événement familial de la Relâche, le plus couru des salons de l’auto au pays au prorata de sa population. Annulé à deux reprises durant la pandémie, l’événement s’est virtualisé en devenant le Mois du Salon de l’auto.

La Corporation Mobilis est désormais le promoteur unique du Salon du véhicule électrique de Québec.

Dans la dernière décennie, la Corporation Mobilis n’a cessé de se renouveler, en ajoutant notamment à ses initiatives l’organisation des salons du camion lourd et du véhicule électrique. Elle est également gestionnaire de l’Association des commerçants de VR du Québec, organisant les salons de véhicules récréatifs de Québec et de Montréal. « L'industrie automobile, forte d’un chiffre d’affaires de plus de 5 milliards de dollars et de près de 6 500 employés, représente un apport économique indéniable. Les concessionnaires de la grande région de Québec contribuent à la collectivité en retournant près de 330 000 millions de dollars via les différents paliers gouvernementaux. De plus, conclut le chef de la direction de la Corporation Mobilis, Charles Drouin, être présent alors que notre organisation atteint un siècle d’existence est pour moi un réel privilège. »

Le Salon de l’Auto de Québec en 1985.
/ Gilles Levasseur
© J. Rodier

De Sept-Îles… à Porsche Québec

l’année 2023 marQue trois dates importantes pour l’actuel président de la corporation mobilis, louis desmeules, directeur général de porsche Québec. i l célèbre en effet non seulement ses 25  ans de carrière dans le monde de l’automobile, mais il préside également une organisation Q ui fête son centenaire ainsi Q u’un s alon international de l’auto Qui en est à sa 40e édition. « pas si mal pour le trippeux de chars de sept-îles, admet-il, lui-même étonné par la tournure des événements. je ne peux Qu’être pleinement honoré de participer à ces deux anniversaires et de me retrouver, dans l’albumsouvenir, en compagnie de ceux et celles Q ui ont marQué l’évolution de la corporation depuis 1923. »

Natif de Sept-îles, Louis Desmeules a toutefois grandi à Montréal avant de revenir dans sa ville natale à l’adolescence. Après un DEP en vente à Québec, il décroche, deux semaines avant ses 18 ans, un emploi de conseiller aux ventes chez Sept-Îles Plymouth Chrysler, puis dans un concessionnaire Toyota. Il retourne alors dans la métropole pour y occuper différents postes dans l’industrie, après quoi il expérimentera le domaine de la formation pendant trois ans avant de s’établir à Québec en 2011 comme directeur des ventes chez Qué-Bourg Auto. Il assumera ensuite les mêmes fonctions chez Porsche Québec, avant de se voir offrir le fauteuil de directeur général, une promotion conditionnelle à un cours universitaire à Toronto. Puis, au début de 2022, il contribue activement, sur JulesVerne, à l’ouverture de la toute première concession mondiale de 5e génération pour le fabricant. « Chez Porsche, nous faisons littéralement vivre la marque à nos clients, notamment en organisant de nombreux événements chaque année, explique M. Desmeules. Cette vision correspond parfaitement à la passion que je ressens depuis toujours pour l’automobile et me permet d’inclure l’émotion à mon travail de gestionnaire. »

Comme président de la Corporation Mobilis, Louis Desmeules s’était fixé deux défis : assurer d’une part la pérennité du Salon international de l’auto de Québec après la pause pandémique de deux printemps, et travailler d’autre part à faire connaître les nombreux services de la Corporation, non seulement auprès des concessionnaires, mais plus particulièrement de leurs directeurs, qui sont aux premières loges du quotidien. À cet égard, la nomination de Mathieu Asselin comme directeur du développement des affaires à la corporation contribuera à l’atteinte de cet objectif. « Bref, conclut M. Desmeules, je suis exactement là où je n’aurais jamais rêvé me retrouver ! »

Louis Desmeules , président de la Corporation Mobilis et directeur général de Porsche Québec.
© Marjorie
Roy, Optique
Photo

CORPORATION MOBILIS

Les ressources humaines à l’avant-plan

d urant la dernière décennie, la c orporation m obilis a connu une profonde transformation visant à bonifier les services Q u’elle rend aux concessionnaires de son territoire depuis un siècle. s on éQuipe a gagné en profondeur et les ressources humaines sont devenues une priorité afin de contribuer à la santé et au développement de l’industrie automobile.

Depuis 2016, la Corporation offre un service de ressources humaines reflétant la mission qu’elle poursuit auprès de ses membres et de la population. En effet, l’équipe a pour mandat de représenter le pôle central entre les concessionnaires d’automobiles et de camions lourds et les chercheurs d’emploi afin d’assurer une relève de qualité. « En sept ans, notre service de dotation a permis l’affichage de quelque 1 500 postes , un

résultat très impressionnant, affirme non sans fierté le chef de la direction, Charles Drouin. Par ailleurs, près de 16 000 CV ont été reçus, parmi lesquels la moitié étaient des candidatures pertinentes acheminées aux concessionnaires. Il s’agit d’un service gratuit que quiconque — chercheur d’emploi ou étudiant — souhaitant faire carrière dans l’industrie automobile peut utiliser. Il suffit de nous contacter. »

Les concessionnaires disposent d’une banque de candidats préalablement sélectionnés tout en profitant d’une présence média qui accroit la visibilité. Ils bénéficient aussi d’une foule d’outils de gestion des ressources humaines ainsi que des conseils de spécialistes dans le domaine. Pour leur part, les chercheurs d’emploi ont un accès direct à près de 140 employeurs potentiels dans la grande région de Québec. Quant aux étudiants, ils profitent de l’étroite collaboration entre la corporation et les centres de formation professionnelle ainsi que d’un certificat d’employabilité facilitant leur entrée sur le marché du travail. Selon Cloé Gauvin, conseillère en ressources humaines, « il s’agit d’emplois stimulants de qualité et bien rémunérés dans un secteur économique attrayant représentant quelque 6 500 travailleurs »

Pour en savoir davantage : corporationmobilis.com

Louis Desmeules, président du Salon International de l'auto de Québec et directeur général du Centre Porsche Québec; Roxane Boisjoly, coordonnatrice aux opérations; Louise Marier, comptable; Charles Drouin, chef de la direction; Cloé Gauvin, conseillère en ressources humaines; Olivia Tremblay, responsable des communications et du marketing; et Mathieu Asselin, directeur du développement des affaires. Absentes sur la photo : Gabrielle Maheux, conseillère en relations de travail; et Mélanie Des Ormeaux, coordonnatrice aux opérations et adjointe à la direction.

/ Gilles Levasseur
© Marjorie Roy, Optique Photo

40e SALON INTERNATIONAL DE L’AUTO DE QUÉBEC

Le Salon de l’auto présentant le plus de marques au Canada

l es organisateurs de la 40 e  édition du s alon i nternational de l’auto de Québec n’allaient certes pas man Q uer de souligner ce bel anniversaire avec la complicité des concessionnaires. de retour après une longue pause pandémiQue de deux ans, l’événement par excellence de la relâche en met plein la vue avec le plus grand nombre de marQues de véhicules parmi les salons canadiens. c ette diversité s’expli Q ue par l’originale formule hybride adoptée cette année Qui présentera des kiosQues de manufacturiers et de concessionnaires membres de la corporation mobilis.

Une Audi en présentation dans la Zone tuning Exclusiv Automotiv

« Nos membres accordent beaucoup d’importance à cet évènement, affirme d’entrée de jeu Charles Drouin, directeur général du Salon et chef de la direction de la Corporation Mobilis. Québec étant une ville de passionnés de l’automobile, ils avaient à cœur de présenter une 40e édition répondant aux attentes des visiteurs les plus enthousiastes, d’où le slogan De retour… et rechargé !  » Les concessionnaires savent mieux que quiconque qu’à l’aube de chaque printemps, le Salon lance la nouvelle saison de ventes. D’ailleurs, un sondage effectué l’an dernier auprès de 2 500 répondants le démontre clairement : trois personnes sur quatre affirment que ce rendez-vous annuel a influencé leur décision d’acheter un véhicule tandis que la presque totalité disent que cela leur permet de comparer les modèles et de se renseigner dans une ambiance conviviale et familiale. « Même si le magasinage en ligne est en hausse, les gens auront toujours envie de voir, de sentir, de toucher les véhicules, de s’installer au volant, assure M. Drouin. D’autant plus qu’au Centre de foires, les visiteurs peuvent déambuler comme bon leur semble, au gré de leur curiosité. Cela dit, l’apport économique est indéniable avec près de 5 millions de dollars en retombées pour la ville, incluant un apport touristique, et quelque 1 000 nuitées dans les hôtels pour uniquement héberger les représentants des constructeurs. »

DES ZONES THÉMATIQUES POUR TOUS LES GOÛTS

Cette année encore, il y en aura pour tous les goûts avec les nombreuses zones thématiques au menu de la visite, dont l’incontournable Zone familiale Toyota , une collaboration Mille-Pattes amusements, qui offre aux enfants 10 000 pi2 d’attractions, des jeux gonflables et d’adresse, du maquillage, etc. D’autre part, les adeptes des voitures de grand luxe ne manqueront pas la Zone Automobiles Etc., qui fera écarquiller les yeux avec sa collection de voitures exotiques dont la valeur atteint les 30 millions de dollars

Parmi la dizaine de modèles exotiques, les amateurs pourront voir une Bugatti Chiron Pur sport et une Rolls Royce Zenith. Les fidèles de J.K. Rowling ne seront pas en reste en visitant la Zone Harry Potter, pour admirer une Ford Anglia bleu poudre identique à celle du film La Chambre des Secrets

Les fervents de tuning se précipiteront à la Zone Exclusiv Automotiv qui présente pas moins de 10 véhicules ultra modifiés, dont deux Audi (A7 et R8), une Mercedes GT63s AMG et une Camaro SS.

Dans la Zone Harry Potter, vous pourrez admirer une Ford Anglia bleu poudre identique à celle du film La Chambre des Secrets

Étant donné la 40e édition, une Zone Années 1980 a été préparée. Quelques modèles se partagent la vedette, dont une Toyota Supra 1984 et une Oldsmobile Cutlass Hurst édition spéciale 1984. Gracieuseté du Club les Belles Autos d’hier. Que de souvenirs pour les moins jeunes ! Non loin de là, la Zone Corvette présente cinq générations de cette marque mythique qui tient la route à travers les décennies. D’autre part, les inconditionnels du camping ne voudront pas rater la Zone Westfalia, où trois modèles du célèbre véhicule sont exposés.

Le Salon propose également une Zone Premiers répondants, avec camion à incendie et voiture de police. Lamborghini est bien sûr de retour avec des voitures à faire rêver, ainsi que CAA-Québec pour les essais de modèles électriques sur un parcours de cinq kilomètres, une activité dont la popularité ne se dément pas, au contraire ! Comme toujours, premiers arrivés, premiers servis ! On note aussi la Zone Arcade Vox, où les amateurs de jeux vidéo s’en donneront à cœur joie. Et comme le Salon fait rayonner ce secteur économique et promeut les emplois attrayants qu’il propose, la Zone Carrières attend les personnes intéressées à occuper un emploi dans l’automobile, qui pourront se renseigner sur les différents programmes de formation et laisser leur CV.

JOURNÉE FAMILIALE BENNY & CO. ET NOMBREUX CONCOURS

Que les jeunes se rassurent : la Journée familiale est au rendez-vous ! Journée Benny & Co. cette année, de 10 h à 15 h le dimanche Admission gratuite pour tous les enfants accompagnés d’adultes. Clowns, maquilleurs-euses, tatouages et ballons. De plus, des cornets de bonbons seront offerts aux 100 premiers enfants visiteurs. Nouveauté pour cette 40e édition, héritage des deux Mois du Salon de l’auto virtuels de 2021 et 2022 : Zone concours sur le site Internet du Salon (salondelautodequebec.com), avec tout plein de prix à gagner. Plusieurs concours auront lieu chez tous les médias partenaires du Salon. Un indice du jour sera notamment dévoilé pendant deux semaines dans le bulletin météo du TVA 18 h en vue de tirages. Parmi les concours, on procédera au tirage d’une Toyota Prius pour deux ans, une collaboration de l’Association des concessionnaires Toyota du Québec.

Une Ferrari à admirer dans la Zone Automobiles Etc.

QUÉBEC EN TÊTE DE LISTE EN TERMES DE POPULARITÉ

Situation sans précédent cette année, les salons de Vancouver, Calgary et Edmonton n’ont pas lieu, laissant toute la place à ceux de Montréal (janvier), Toronto (février) et Québec, qui clôt la trilogie en mars. « Rappelons que notre salon est numéro un au pays pour son achalandage au prorata de sa population, explique Charles Drouin. Un citoyen sur 10 se rend au Centre de foires durant la Relâche, une semaine évidemment fort propice aux activités et sorties. Et sur les quelque 70 000 visiteurs qui ont franchi les tourniquets lors des dernières éditions, le tiers étaient des touristes. C’est donc extrêmement positif pour la capitale tout en étant la bougie d’allumage de l’industrie, deuxième en importance après celle de la construction au Québec. »

Cela dit, conclut le président de la Corporation, Louis Desmeules, « notre conseil d’administration a unanimement réitéré, lors de notre dernière assemblée générale annuelle tenue l’automne dernier, notre engagement à assurer la pérennité de cet événement ». À bien y penser, lorsqu’on songe à cette édition anniversaire, ne dit-on pas que la vie commence à 40 ans ?

« notre salon est numéro un au pays pour son achalandage au prorata de sa population. u n citoyen sur 10  se rend au c entre de foires durant la relâche. »

− Charles Drouin, directeur général du Salon.

Une trentaire de marques présentes

Alfa Roméo, Aston Martin, Audi, BMW, Bugatti, Buick, Cadillac, Chevrolet, Chrysler, Dodge, Ferrari, Genesis, GMC, Hyundai, Infiniti, Jeep, Kia, Lamborghini, Lexus, Maserati, Mercedes, Mini, Mitsubishi, Nissan, Porsche, RAM, Rolls Royce, Volvo, Tesla et Toyota.

La Zone premiers répondants avec camion de pompier et voiture de police

Véhicules électriques disponibles pour essais routiers

Cadillac Lyric, Hyundai IONIQ 5 (2), Hyundai Kona, Kia Niro, Nissan Arya, Kia EV6, Chevrolet Bolt EUV, Chevrolet Bolt EV, Porsche Taycan (à confirmer) et Toyota BZ4X (à confirmer).

©
Marjorie Roy, Optique Photo / Corvette 70e anniversaire

Grand happening du monde automobile pour la bonne cause

l ’un des deux événements annuels visant à amasser des fonds pour la f ondation m obilis, la s oirée- b énéfice avant- p remière du s alon de l’auto, est l’occasion idéale pour l’ensemble des partenaires reliés au monde de l’automobile de se rassembler dans une ambiance festive pour une bonne cause. la dernière édition avait réuni un millier de convives, et une somme record de 160 000 $ avait été recueillie auprès des généreux donateurs.

Propriétaires et gestionnaires de concessions d’automobiles et de camions lourds, fabricants automobiles, gens d'affaires, médias, partenaires et fournisseurs se donnent rendez-vous au Centre de foires de Québec dès 17 h 30 le lundi 6 mars pour participer à ce prestigieux événement. En plus d’avoir le privilège de visiter en primeur la 40e édition du Salon, les participants auront droit à des spectacles mettant en vedette acrobates et musiciens, en plus de profiter de stations gastronomiques. « Appuyé par un cercle de gouverneurs dévoués, ce happening tant attendu marque l’ouverture de l’évènement automobile le plus couru à l’est du pays, indique le chef de la direction de la Corporation Mobilis, Charles Drouin. Bref, tout pour vivre une soirée vraiment exceptionnelle.

De son côté, le président de la Corporation et de la 40 e  édition, Louis Desmeules,

souligne l’ampleur d’un tel évènement dans la communauté. « Depuis 2009, la Fondation a eu un impact majeur sur le bien-être des personnes éprouvant des besoins en lien avec la mobilité. Nous sommes très choyés de pouvoir compter sur le soutien constant de partenaires remarquables et engagés à notre cause.  » Charles Drouin abonde dans le même sens : « J’en ai vu des dons qui ont fait une grande différence dans la vie de nos bénéficiaires au fil des ans, se réjouit-il, nous sommes toujours heureux de constater l’impact qu’a notre Fondation ! »

Depuis les débuts, incluant les dons amassés lors du tournoi de golf annuel, la Fondation a récolté la somme de 1,6 million de dollars pour venir en aide à ses bénéficiaires. Ce montant s’ajoute au million de dollars que redonnent chaque année à la collectivité l’ensemble des concessionnaires membres.

6 mars dès 17 h 30 | ExpoCité | Prix : 250 $ (incluant un don de 125 $)

Achat de billet en ligne : salondelautodequebec.com /activites/soiree-benefice

Les Gouverneurs de la soirée-bénéfice

Avant-Première 2023

PRÉSIDENTE DU CERCLE

DES GOUVERNEURS

Isabelle Blackburn

Présidente et cheffe de l’exploitation iA Assurance auto et habitation et Prysm

GOUVERNEURS

Réjean April

Planificateur financier

Groupe Puissance Dix inc.

Guy Barbeau

Vice-Président

AGA Services Automobiles

Mario Bédard

Associé

Président du C.A.

Mallette s.e.n.c.r.l.

Marc Bonenfant

Courtier immobilier agréé et président

Équipe Marc Bonenfant

Sylvie Gagnon

Directrice des ventes pour le Québec

Templeton Marsh

Alain Henry

Vice-président national, financement automobile

Banque Scotia

François Jacques

Président

Summum Construction et imperméabilisation

Simon Jourdain

Copropriétaire

Groupe ESSA

Nathalie Langevin

Directrice générale et ventes

TVA Québec, Directrice générale des ventes Le Journal de Québec

Jacques Maheux

Directeur réseau des garages recommandés CAA-Québec

Frédéric Poulin

DAR

Yvon Poulin & Associés

Experts Immobiliers

Martin Roy et Marie-Ève Tanguay

Conseillers en placement

CIBC Wood Gundy

Équipe Roy Tanguay

Souvenir de la soirée-bénéfice Avant-Première en 2019.

ALFA ROMEO TONALE PHEV 2024

La marque italienne accueille le Tonale. Cet hybride rechargeable combine un moteur turbocompressé de 1,3 L et un moteur électrique de 90 kW alimenté par une batterie lithium-ion de 15,5 kWh. En mode électrique, il est possible de parcourir une cinquantaine de kilomètres. L’ensemble fournit une puissance combinée de 285 chevaux, soit 29 de plus que le modèle équipé seulement du moteur turbocompressé de 2,0 L (256 chevaux). À partir de 57 190 $.

BMW XM 2023

BMW présente le XM, un VUS de haute performance hybride rechargeable. En jumelant leurs efforts, le V8 de 483 chevaux et le moteur électrique de 194 chevaux fournissent 644 chevaux, permettant au véhicule de passer de 0 à 100 km/h en 4,3 secondes, selon la firme bavaroise. En mode électrique, le nouvel utilitaire européen peut rouler jusqu’à 50 kilomètres. À partir de 245 000 $.

CADILLAC LYRIQ 2023

La Lyriq annonce l’orientation future de Cadillac en matière de design et d’électrification. Premier VUS électrique de la gamme, il peut parcourir jusqu’à 502 km, et à peine moins avec le modèle équipé de la transmission intégrale. La technologie de pointe utilisée par Cadillac fournit une puissance de 340 chevaux (modèle à propulsion) ou de 500 chevaux pour le modèle à transmission intégrale. L’habitacle se démarque par son écran LED de 33 po de diagonale qui permet d’accéder aux systèmes de navigation et d'infodivertissement. À partir de 70 597 $.

2023 , une année riche en nouveautés

cette année, nombre de nouveautés débarQuent dans les salles d’exposition des concessionnaires du Québec. l a plupart des constructeurs, toutes origines confondues, proposent un ou plusieurs modèles. les véhicules hybrides, hybrides rechargeables ou entièrement électriQues ont la cote. tour d’horizon.

CHEVROLET TRAX 2024

Offrant davantage d’espace que par le passé, le TRAX devrait plaire à une clientèle intéressée par un petit VUS polyvalent. À l’instar de rivaux, tels que le Honda HR-V ou le Toyota Corolla Cross, il est proposé en modèle à traction ou à transmission intégrale. À partir de 24 498 $.

CHEVROLET SILVERADO EV 2024

Afin de concurrencer le Ford Lightning, Chevrolet proposera, un peu plus tard cette année, une camionnette entièrement électrique dont l’autonomie devrait atteindre jusqu’à 640 km. Conçue pour trimer dur, la camionnette sera en mesure de tracter des charges allant jusqu’à 4 534 kg (10 000 lb) selon le modèle. Le prix n’a pas encore été annoncé. À titre de comparaison, le Ford Lightning XLT équipé d’une batterie à grande autonomie est offert à partir de 97 195 $.

CHEVROLET EQUINOX EV 2024

Offert à un prix de départ de moins de 40 000 $, ce VUS compact électrique dont l’arrivée est prévue cet automne devrait attirer l’attention. Selon le modèle choisi, son autonomie pourra aller jusqu’à 480 km. Le système de batterie utilisé pour le modèle à traction permet de délivrer 210 chevaux, alors que celui doté de la transmission intégrale électrique, en option, en développe 290. La traction avant est livrée de série, tandis qu’une transmission intégrale est disponible moyennant supplément sur la plupart des versions.

DODGE HORNET 2023

Reposant sur la même architecture que l’Alfa Romeo Tonale, et en partageant plusieurs composantes, le Hornet montre clairement son tempérament sportif. Assemblé à Naples, en Italie, le VUS loge sous son capot un quatre cylindres turbocompressé de 2 L (268 chevaux et 295 lb-pi de couple), que les concepteurs ont jumelé à une boîte de vitesses automatique à neuf rapports. À partir de 40 190 $.

GENESIS GV70 ÉLECTRIQUE 2023

Après le GV60 100 % électrique lancé l’an passé, c’est au tour du GV70 électrique de faire son apparition. Ce VUS de luxe, qui comporte une liste étoffée de caractéristiques de série, concurrence des véhicules comme le nouvel Alfa Romeo Tonale. Sur la route, il tire son épingle du jeu au moyen d’une motorisation électrique assurant des performances soutenues. Doté d’une batterie de 394 kW, l’utilitaire coréen procure une autonomie de 383 kilomètres.

GENESIS G80 ÉLECTRIQUE 2023

L’élégante G80 s’enrichit d’une motorisation entièrement électrique. Utilisant une batterie de 307 kW, cette berline à transmission intégrale possède une autonomie de 454 kilomètres, en plus d’offrir un raffinement qui n’a rien à envier aux grandes berlines européennes. À partir de 105 150 $.

HYUNDAI IONIQ 6 2023

Après l’Ioniq 5, c’est au tour de l’Ioniq 6 de faire son apparition. La berline aux courbes aérodynamiques profite d’une motorisation électrique lui permettant de parcourir 509 km (modèle à transmission intégrale) ou 581 km (modèle à grande autonomie à propulsion). À l’instar de l’Ioniq 5, elle possède la fonction V2L qui permet d’apporter en camping, par exemple, de petits appareils électriques.

KIA NIRO EV 2023

Le constructeur a amorcé le virage électrique en proposant des véhicules intéressants au cours des dernières années, dont la récente Kia EV6. Cette fois, le Niro EV de nouvelle génération se joint à la partie. Sa motorisation électrique lui permet de développer une puissance de 201 chevaux, alors que la batterie de 64,8 kWh assure une autonomie de 407 km. Deux autres modèles seront également proposés, soit hybride et hybride rechargeable. À partir de 47 859 $ (EV).

LEXUS RZ450E 2023

La marque nippone accueille son premier véhicule entièrement électrique. Puisant son énergie d’une batterie de 71,4 kWh, le RZ 450e peut rouler 354 kilomètres avant de nécessiter une recharge. Parmi les caractéristiques de série figure un système de traction intégrale nommé DIRECT4 qui gère la force motrice pour assurer une meilleure efficacité sur la route. À partir de 64 950 $.

MERCEDES EQE ET AMG EQE 2023

Le constructeur allemand propose cette année l’EQE 350 4MATIC et l’EQE 500 4MATIC, deux berlines bénéficiant d’une technologie électrique de pointe. Leur autonomie atteint 418 km. De son côté, la MercedesAMG EQE 4MATIC+ offre une puissance de 617 chevaux et un couple de 701 lb-pi. En mode Démarrage de course, la puissance et le couple atteignent momentanément 677 chevaux et 738 lb-pi. À partir de 85 600 $.

LA DIffÉRENCE GENESIS

Chez Genesis, nous pensons qu’il faut offrir l’incomparable tant sur la route que dans la vie quotidienne. L’expérience d’achat et l’expérience propriétaire de Genesis surpassent les attentes à chaque instant afin de rendre l’arrivée de votre Genesis dans votre vie tout aussi agréable que sa conduite.

MITSUBISHI OUTLANDER PHEV 2023

Après avoir remanié son Outlander l’an dernier, Mitsubishi renouvelle cette année son modèle hybride rechargeable. L’utilisation d’un bloc-batterie lithium-ion plus puissant lui a permis de gagner 40 % d’autonomie électrique, soit 61 km. En combinant le moteur à essence et la motorisation électrique, le VUS peut rouler jusqu’à 687 km avant de nécessiter un plein d’essence et une recharge. À partir de 46 538 $.

NISSAN ARIYA 2023

Deuxième véhicule électrique de Nissan après la Leaf, l’ARIYA rivalisera, par exemple, avec les Hyundai Ioniq 5 et Kia EV6. Ce VUS aux allures d’un coupé octroie, selon le modèle, jusqu’à 458 km d’autonomie au conducteur. En plus de la traction, il peut être livré avec une transmission intégrale. Au choix, une batterie à autonomie standard (63 kWh) ou à longue autonomie (87 kWh). À partir de 52 998 $.

NISSAN Z 2023

L’emblématique coupé sport Z traverse le temps depuis 1969. Cette septième génération gagne en fluidité et en performances. Toutes les versions sont propulsées par un moteur V6 biturbo de 3,0 L plus puissant (400 chevaux et 350 lb-pi de couple entre 1 600 et 5 600 tr/min), et profitent de nouveaux réglages pour le châssis, la suspension et la direction pour améliorer l’expérience de conduite. À partir de 46 498 $.

TOYOTA PRIUS PRIME ET PRIUS 2023

En plus d’un habillage renouvelé et de dimensions plus généreuses, les Prius Prime (hybride rechargeable) et Prius (hybride) profitent de diverses améliorations technologiques. La Prius Prime reçoit une plus grosse batterie lithium-ion lui permettant de passer à 60 km d’autonomie, un gain de 50 %. La Prius n’est pas en reste, car elle bénéficie d’un système hybride 60 % plus puissant et d’une transmission intégrale de série. La voiture affiche une consommation moyenne de 4,8 l/100 km.

TOYOTA COROLLA CROSS HYBRIDE 2023

La Corolla Cross s’amène cette année équipée d’une motorisation hybride. Dotée de série de la transmission intégrale, elle devrait offrir une consommation moyenne de 6,4 l/100 km.

TOYOTA GRAND HIGHLANDER 2024

Fraîchement dévoilé, le Grand Highlander propose trois groupes propulseurs, dont un hybride de 362 chevaux. Toyota en estime la consommation moyenne de carburant à 6,9 l/100 km. Ce concurrent du nouveau Mazda CX-90 possède trois rangées de sièges, ainsi qu’un espace de chargement généreux permettant d’y placer sept valises à main derrière la troisième rangée.

/ Mitsubishi Outlander

Eye Am soins oculaires

PLUS QUE JAMAIS UNE VISION TOUT-EN-UN

d epuis ses tout débuts, l’é Q uipe de e ye a m soins oculaires a toujours été soucieuse de combler l’ensemble des besoins de sa clientèle en matière de santé visuelle. cette vision stratégiQue a pris davantage tout son sens en 2022 alors Que la gamme de services a atteint un haut niveau de diversification. l a clini Q ue compte maintenant un ophtalmologiste et une infirmière, car les technologies se sont raffinées pour traiter un nombre sans précédent de conditions. t our d’horizon de ce tout-en-un plutôt uniQue dans le monde de l’optométrie.

« Les optométristes sont des professionnels de première ligne un peu comme les médecins généralistes : ils analysent l’ensemble de la condition visuelle. Notre rôle consiste à établir un bilan après avoir observé les structures oculaires afin d’identifier les problèmes et proposer les solutions appropriées. Chez Eye Am, nous traitons le plus de conditions possible en recourant notamment aux technologies les plus innovantes, et mieux encore, en ciblant davantage les causes plutôt que d’amoindrir les symptômes. » L’optométriste Lucie Laurin, cofondatrice des cliniques Eye Am, est une passionnée de la vision. Depuis 37 ans, elle explore les possibilités de l’optométrie afin de mieux servir et informer les gens dans ce domaine. À Québec, la clinique compte maintenant cinq opticiennes, les optométristes François Piuze et la nouvelle venue Marie-Ève Croteau en plus de Mme Laurin, ainsi qu’un ophtalmologiste et une infirmière, dont la présence est requise pour des soins particuliers relevant davantage d’actes médicaux en lien

avec la sécheresse oculaire et la dermatologie du visage. « Ils nous assistent depuis plus d’un an, précise Lucie Laurin. L’infirmière est sur place à temps plein tandis que notre médecin se présente régulièrement chaque mois et selon la demande. La sécheresse oculaire est notre spécialité depuis 2013, et la technologie a beaucoup évolué. »

LUMIÈRE PULSÉE, RADIOFRÉQUENCE ET DERMATO-ESTHÉTIQUE

Eye Am a récemment fait l’acquisition de deux appareils de pointe pour traiter à la fois la sécheresse des yeux et certains problèmes dermatologiques, notamment la rosacée oculaire, qui peut aussi toucher le visage. Ces deux affections sont traitées par le premier appareil, qui génère de la lumière pulsée intense (Intense Pulsed Light ou IPL). La clinique dispose également d’un générateur de lumière de basse intensité (photobiomodulation pour traiter orgelets, chalazions et blépharites) ainsi que le Lipiflow® et le ILux®, qui concerne les cas plus fréquents de sécheresse oculaire. « Pour les autres, nous utilisons la radiofréquence, qui produit de la chaleur contrôlée, explique Lucie Laurin; nous avons constaté que lorsque les glandes de Meibomius sont ainsi stimulées, le traitement régénère en même temps le collagène autour des yeux. De là à raffermir par la même occasion la peau du visage il n’y avait qu’un pas. Bémol ? Seul un médecin peut prescrire des soins dermatologiques, d’où la présence de l’ophtalmologiste qui s’est ajouté à l’équipe, ainsi que l’infirmière responsable d’exécuter les traitements. Nous nous limitons toutefois au visage. »

L’équipe d’optométristes : Dr François Piuze, copropriétaire, Dre Marie-Ève Croteau, et Dre Lucie Laurin, copropriétaire.

/ Gilles Levasseur
© Marjorie Roy, Optique Photo

LE PLASMA RICHE EN PLAQUETTES

Toute dernière nouveauté chez Eye Am : le PRP, ou plasma riche en plaquettes, produit sur place à l’aide d’une centrifugeuse à partir d’un échantillon sanguin prélevé sur le patient. Cette technique est déjà utilisée pour traiter la peau, les articulations et le cuir chevelu. « Depuis octobre 2022, Eye Am est la seule clinique d’optométrie au Québec à utiliser le plasma enrichi sous forme de gouttes oculaires pour régénérer les cellules épithéliales et nerveuses afin de favoriser la guérison, poursuit Mme Laurin. Vos yeux vous font mal à la suite d’une chirurgie de la cataracte ou au laser (lasik), ou encore vous souhaitez mettre toutes les chances de votre côté en vue d’une telle intervention ?

Vous avez une condition de glaucome, mais vos gouttes vous causent des effets secondaires très désagréables ? Vous souffrez d’une sécheresse oculaire sévère qui vous gâche la vie ? Le PRP peut vous aider de manière significative. » Le produit est offert en micro-dosettes à répartir en deux à quatre applications quotidiennes, et l’approvisionnement dure environ trois mois, ce qui permet au patient de se traiter à domicile en conservant le produit au congélateur. L’avantage réside dans le fait que bien souvent, le traitement n’est pas continu, mais administré seulement au besoin. Les gouttes peuvent même être insérées dans des lentilles sclérales, ce qui permet au produit de traiter l’œil pendant tout le temps où la personne les porte.

Olivier Rochette , responsable des cliniques de sécheresse oculaire et de dermato-esthétique, et Nikolina Tomic , infirmière spécialisée en sécheresse oculaire et dermatologie du visage.

NEUROLENS

Eye Am soins oculaires est aussi dépositaire de la technologie Neurolens dans les cas de désalignement des yeux. Selon les spécialistes, plus de deux personnes sur trois en souffrent, et ce nombre serait en croissance étant donné l’augmentation du télétravail et de l’usage accru des appareils électroniques. Cette condition peut causer des maux de tête, de la fatigue oculaire, une sensation d’avoir les yeux secs, des douleurs cervicales, des étourdissements et le mal des transports. Selon Lucie Laurin, « ces symptômes seraient causés par la tension qu’un problème de convergence exerce sur le nerf trijumeau, qui est relié aux yeux et à la mâchoire. Nous nous servons donc d’un appareil qui mesure ces insuffisances à un niveau extrêmement précis. Lorsque requis, il est possible de prescrire des lentilles contenant un prisme profilé, qui diffère de ceux normalement intégrés dans toute la surface de la lentille. Ce procédé, qui s’apparente à celui des foyers progressifs, permet de s’ajuster au fait que les yeux peuvent être désalignés à des profondeurs de champ différentes. Ces verres corrigent donc seulement la convergence déficiente sans affecter la netteté de la vision. Même la plus minime correction de prisme peut apporter un immense soulagement. »

PRÉ CONSULTATION TÉLÉPHONIQUE

Chez Eye Am, Olivier Rochette est responsable de recevoir et d’acheminer aux ressources appropriées les appels concernant des services non standards et à propos desquels il représente la porte d’entrée. Son rôle consiste à renseigner le mieux possible les personnes qui demandent de l’information. « Nous voulions ainsi éviter que des gens se déplacent inutilement en se rendant compte, une fois sur place, que le traitement souhaité ne leur convient pas, indique Mme Laurin. Nos opticiennes s’occupent du volet produits, lunettes, verres de contact, lunettes de sport ou autres.  » Entre autres exemples de soins peu connus du public, Eye Am traite les infections des paupières causées par des bactéries ou de petits

Dr Danny Dreige, ophtalmologiste.
© Marjorie Roy, Optique Photo
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© Marjorie Roy, Optique Photo

acariens appelés Demodex, qui s’installent à la base des cils et dont les déjections causent des démangeaisons et autres symptômes d’irritation. « Nous procédons à l’exfoliation des paupières à l’aide d’un produit spécifique. Cette affection est surtout observée chez les aînés, chez qui la peau se desquame davantage, car ces micro-organismes se nourrissent de ces débris épidermiques. »

L’UNION FAIT LA FORCE

La force de l’équipe fait aussi partie des avantages qu’on trouve chez Eye Am. En travaillant en collégialité dans la solution des problèmes, les diagnostics et les prises en charge sont plus rapides, et les technologies innovantes permettent des résultats plus curatifs que palliatifs, résume Lucie Laurin. « Nous augmentons ainsi la qualité de vie de nos patients tout en leur évitant une médicamentation plus importante au fil du temps. Et ceux-ci n’ont pas le désavantage des dossiers éparpillés un peu partout. »

UNE OFFRE COMPLÈTE

Eye Am se démarque aussi par le type de produits offerts. « Nous privilégions les montures signées par des créateurs, des passionnés de la lunetterie qui fabriquent des pièces uniques et innovantes, de grande qualité et en quantités limitées. Bref, conclut Mme Laurin, notre objectif est de proposer ce qui se fait de mieux dans l’industrie en termes de produits et de services, car nous sommes autant à la fine pointe de la technologie pour ce qui est des examens que des traitements. Nous ne référons à l’extérieur que les cas qui requièrent des interventions chirurgicales. À Québec, notre clinique est la seule dont l’offre soit aussi complète dans le domaine de l’optométrie. »

«  c hez e ye a m, nous traitons le plus de conditions possible en recourant notamment aux technologies les plus innovantes, et mieux encore, en ciblant les causes, pas seulement les symptômes. »

− Dre Lucie Laurin, optométriste.

INFORMATION

1020, rue Bouvier, Québec 418 380-2734

Autres succursales : Montréal, Dorval et Boucherville

eye-am.ca

L’équipe d’opticiennes d’ordonnances : Cynthia Drouin, Isabelle Jutras, Olivia Cloutier, Samantha Arbour Lachance et Anne-Chantal Auger

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Marjorie
Roy, Optique
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Celsius Solutions Ventes

DES SOLUTIONS POUR FAIRE GRIMPER LA CHALEUR… DES VENTES !

Rodolphe Meynier, président de Celsius Solutions Ventes, division de Halifax Amérique du Nord
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il y a 12 ans, en plein exercice de réflexion pour doter la nouvelle filiale du groupe dancause d’un nom évocateur, un constat se dégageait : le monde de la vente devait être renforcé. il fallait faire monter la température ! c elsius s olutions v entes voyait donc le jour. e n 2023 , alors Q ue l’entreprise devient une division de h alifax a méri Q ue du n ord, la chaleur grimpe encore.

Les organisations ont souvent le réflexe de miser d’abord et avant tout sur l’optimisation de leurs processus opérationnels et la gestion des coûts. Peu d’entre elles ont fait évoluer leur structure et processus de leur département des ventes au fil du temps. Trop souvent réduite à la performance des personnes qui y sont affectées, la fonction « vente  » s’avère généralement la moins bien structurée. C’est pourtant elle qui permet d’atteindre le premier objectif stratégique : le chiffre d’affaires et, par conséquent, la marge de profit. Détenteur d’un baccalauréat en génie mécanique et productique décroché en France, le président de Celsius Solutions Ventes, Rodolphe Meynier, a appris à mettre en place des processus et à les mesurer. « Mon baccalauréat en marketing finance et mon MBA en gestion internationale m’ont permis d’avoir une vision holistique de l’entreprise, explique-t-il. Cette vision m’a amené à être consultant en stratégie d’affaires au Groupe Dancause pendant cinq ans et à faire de la mise en œuvre pour mes clients. J’ai pu développer des approches, basées sur les meilleures pratiques, pour que les organisations puissent renforcer et optimiser leur département des ventes. »

RÉPONDRE À L’ENSEMBLE DES BESOINS

Fruit de très nombreuses lectures et de l’expérimentation des meilleures pratiques en développement d’un département des ventes structuré et aligné à la stratégie, Celsius Solutions Ventes est donc créée en 2011. Avec Réjean Dancause, dont il rachètera les parts quelques années plus tard, M. Meynier déploie une offre novatrice. En associant leur méthode à une démarche d’amélioration des compétences des vendeurs élaborée par une firme française, Halifax Consulting, voilà qu’ils couvrent à la fois les deux axes : la structure et les habiletés.

« En 2015, nous avons écrit Les meilleures pratiques en gestion des ventes pour le Ministère de l’économie et de l’innovation, ce qui nous a permis, de Blanc-Sablon jusqu’en Abitibi, de contribuer à augmenter l'efficience des entreprises québécoises en formant des milliers de personnes. En 2016, nous avons créé Venturi Sales, qui développe une plateforme SAAS permettant de soutenir les gestionnaires des ventes dans la mise en place des meilleures pratiques. Avec l’arrivée d’Halifax Consulting, on peut maintenant couvrir tous les besoins de la fonction vente de nos clients », exprime le président de Celsius Solutions Ventes.

Rodolphe Meynier entouré de son équipe.

UN PARTENARIAT GAGNANT

Celsius Solutions Ventes, devenue une véritable figure de proue dans son domaine au Québec, cherchait cependant à bonifier ses outils de formation. La multinationale française Halifax Consulting, spécialisée dans le développement des compétences de vendeurs et de gestionnaires des ventes à l’emploi de grandes organisations, était pour sa part à la recherche d’un partenaire nord-américain.

« En mars dernier, le président de ce géant mondial a proposé d’investir dans la compagnie pour que nous soyons leur filiale en Amérique du Nord, rapporte Rodolphe Meynier. En ce qui a trait aux formations, nous profitons désormais d’outils pédagogiques extrêmement modernes. Nous sommes en mesure d’offrir de l’apprentissage multimodal en présentiel ou à distance avec 160 modules en e-learning, le tout en plus de 15 langues; une belle complémentarité à nos services, surtout axés sur toute la dimension structure. »

« dans notre approche, nous formons aux meilleures pratiQues de plusieurs façons. et si nous parvenons à modifier les réflexes, nous arrivons à avoir un impact positif sur les résultats des ventes. »

− Rodolphe Meynier, président de Celsius Solutions Ventes.

DES OUTILS ACCESSIBLES AUX PME QUÉBÉCOISES

En janvier, par exemple, grâce à l’intelligence artificielle, une formation en négociation très poussée d’un point de vue technologique a été lancée. Le vendeur communique ainsi avec un acheteur virtuel et ce dernier s’adapte en fonction des propositions, émet certains arguments; bref, il compose avec les compétences de la personne et la spécificité de chaque cas. Ce qui est accessible aux organisations d’envergure le devient pour la PME du Québec.

« Avant le 1er novembre dernier, date de la transaction avec Halifax, notre marché naturel était la PME québécoise. Dans les faits, il le restera parce que c’est notre ADN et que nous croyons que la PME d’ici doit pouvoir bénéficier des outils auxquels ont accès les plus grands sur la planète, confirme le président de Celsius Solutions Ventes. Hors du marché du Québec, au Canada et aux États-Unis, la marque Celsius adopte le nom d’Halifax Amérique du Nord. »

PLUS QU’UN OBJECTIF, UNE OBSESSION

Rodolphe Meynier admet poursuivre un seul objectif, qui s’avère même une obsession : « Un vendeur doit optimiser ses 40 heures par semaine pour apporter de la valeur à la fois à son client, à son organisation et à lui-même. L’approche qu’on a conçue est fondée sur l’idée de s’assurer que le temps utilisé par le vendeur est appliqué à servir des clients payants à court, moyen et long terme. C’est là justement qu’interviennent nos meilleures pratiques et le développement des habiletés de vente et de négociation. C’est aussi avec cette vision que nous recrutons et formons les futurs vendeurs chez nos clients. »

Celsius Solutions Ventes insiste sur l’importance, pour une organisation, d’avoir la capacité d’investir dans son avenir. « On a souvent des forces de vente qui travaillent très fort auprès de petits clients qui génèrent peu de revenus, ce qui fait qu’elles manquent de temps pour faire de la prospection, pour croître avec leurs clients lucratifs en leur amenant encore plus de valeur », fait valoir le président.

MAXIMISER

CHAQUE HEURE

En réduisant l’énergie consacrée aux clients qui apportent les derniers 5 % des revenus, on libère de 15 à 20 % du temps de l’équipe des ventes. Par la suite, il s’agit de faire en sorte que chacune des heures soit maximisée grâce à des orientations claires, des processus performants et de nouvelles compétences en vente. Même dans la formation nous utilisons la technologie qui nous permet de diminuer le temps affecté à la formation et d’augmenter le niveau de rétention. Plus encore, Celsius Solutions Ventes ne se limite pas à former, mais également à changer les réflexes.

« Dans notre approche, nous formons aux meilleures pratiques de plusieurs façons. Et si nous parvenons à modifier les réflexes, nous arrivons à avoir un impact positif sur les résultats des ventes et sur les marges, affirme M. Meynier. Le choix de l’apprentissage en ligne et adaptatif rend l’intégration plus efficace. Aussi, la personne peut se connecter quand elle le souhaite. Nous revenons ensuite en groupe avec des simulations, des travaux individuels, des jeux de rôle, et nous finissons par une simulation pour mesurer les apprentissages. »

PAS DE RECETTE, MAIS DES INGRÉDIENTS PERFORMANTS

La clé du succès ? Arrimer le processus avec la réalité et les projets de chaque organisation. « Ajoutons à cela le fait qu’avec Halifax, grâce aux 80 consultants répartis partout dans le monde, nous pouvons accompagner nos clients dans plus de 35 cultures. Notre force, c’est de ne pas avoir de recette, car chaque entreprise est différente. Nous travaillons plutôt avec des ingrédients très performants, et c’est avec chaque client que nous créons la bonne recette pour lui », conclut Rodolphe Meynier.

INFORMATION

Celsius Solutions Ventes Une division de Halifax Amérique du Nord

600, avenue Belvédère, bureau C-101, Québec

1 855 501-3579 | celsiussolutions.com

Affaires / Profil / Gilles Levasseur

Clinique D r Frédéric Simard, soins médico-esthétiques

UNE PRISE EN CHARGE GLOBALE

POUR MIEUX RALENTIR LE TEMPS

depuis maintenant plus de 10 ans, la c lini Q ue d r f rédéric s imard offre le professionnalisme d’une é Q uipe de spécialistes ayant à c Œ ur le mieuxêtre de sa clientèle en matière de soins médico-esthétiQues. savoir-faire de haut niveau, confidentialité, synergie, écoute et dévouement sont réunis afin de prolonger la jeunesse et l’éclat de la peau du visage.

Le Dr Frédéric Simard et la Dre Maude Lebel

INFORMATION

24, boul. René-Lévesque Est, 1er étage, Québec

418 522-5335 (disponible aussi par texto au même numéro)

Autres succursales : Montréal, Saint-Lambert et Rimouski

cliniquedrfredericsimard.com

Conférencier et maître de stage dans son domaine professionnel, le D r  Frédéric Simard a toujours grandement encouragé le partage des connaissances pour une pratique hautement sécuritaire de la médecine esthétique en raison de ses formations en anatomie et de ses participations à des séminaire, congrès et ateliers. Le praticien est spécialisé dans les soins injectables, tels que les relaxants musculaires et les agents de comblement, qui raffermissent et redonnent du volume à la peau du visage de manière non invasive. « C’est vraiment l’union des compétences de chaque membre de notre équipe qui fait toute la différence, explique le médecin, car nous touchons ainsi à toutes les facettes des soins médicoesthétiques. Améliorer d’une part la structure de la peau et d’autre part lui redonner son éclat. Nous visons avant tout l’harmonisation globale des traits du visage, dans le respect du caractère unique de chaque personne et en tenant compte de tout ce qui fait partie de la vie d'une personne. Nous prenons vraiment le temps de connaître le mieux possible les gens qui nous consultent afin de les guider adéquatement vers les soins les plus appropriés pour des résultats naturels à la hauteur de leurs attentes. » La clinique traite également le cou et le décolleté, le menton et le corps (fonte graisseuse) ainsi que la perte capillaire (plasma riche en plaquettes).

UNE ÉQUIPE UNIE PAR UNE MÊME VISION

Pour l’assister dans sa pratique, le Dr Simard a recruté et formé la Dre Maude Lebel, omnipraticienne, qui progigue des soins médico-esthétiques depuis l'automne 2022. Les deux médecins vivent une belle complicité professionnelle, et l’approche délicate de la nouvelle venue est très bien accueillie par la clientèle. Par ailleurs, la clinique compte depuis plus d’un an sur la longue expérience de Sylvie Lachance, esthéticienne et technicienne en laser depuis plus de 20 ans dans le domaine de l’esthétique médicale, qui est responsable de l’équipe des techniciennes laser. Quant à Mélanie Faucher, elle assure la coordination des services cliniques et le suivi des patients. Finalement, pour voir à la bonne marche de la clinique, Audrai-Anne Hudon en est la directrice générale depuis une décennie. « Ce qui caractérise notre équipe, explique-t-elle, c’est le fait que chacun d’entre nous partage cette vision globale des traitements visant à ralentir le vieillissement. Notre clientèle apprécie la grande diversité de soins que nous lui proposons au même endroit et recherche de plus en plus des résultats naturels. Les attentes irréalistes que j’observais à mes débuts ont fait place à l’importance de rester soi-même, tout en étant bien dans sa peau. Donner un coup de pouce à la confiance en soi, n’est-ce pas passionnant ? »

/ Lifting par fils tenseurs

/ Prévention du vieillissement

/ Volume et définition des lèvres

/ Définition de la structure du visage

/ Atténuation des traits de fatigue

/ Soins correctifs et volumétriques

/ Resserrement cutané

/ Ralentissement de l’ossification du visage

/ Prévention de l’affaissement du visage

/ Diminution des graisses sous-mentonnières

/ Rehaussement de l’éclat du visage

Affaires / Profil / Gilles Levasseur

Productions Optimales

Passion : vidéo

de la créativité avec un grand c ! une éQuipe de passionnés carburant aux défis vidéo aussi emballants Qu’originaux visant à optimiser la visibilité et la profitabilité des organisations, des plus modestes jusQu’aux grandes multinationales. toujours en croissance, productions optimales compte sur des éQuipements de pointe et utilise tous les miracles technologiQues pour repousser sans cesse ses limites. « créer, innover et faire rayonner les entreprises du Québec avec notre meilleur savoir-faire, la production vidéo, telle est notre mission », affirme son président et fondateur, marc-andré leclerc.

Marc-André Leclerc, président et fondateur de Productions Optimales.

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Retour en 2004. Fraîchement diplômé en communication publique de l’Université Laval, le jeune homme se lance en affaires « avec une caméra, un trépied, des micros et un petit kit d’éclairage, sans le sou, mais la tête pleine d’idées et ce qu’il fallait pour les réaliser  » , raconte-t-il, car il s’était familiarisé avec ce domaine pendant ses études en travaillant dans une petite boîte de production. L’étincelle remonte à son enfance; alors qu’il n’a que sept ans, son oncle Dieudonné lui confie la captation vidéo d’une fête pascale. « Il fallait oser pour mettre une grosse caméra Betacam sur l’épaule d’un garçon, se souvient MarcAndré. Mon intérêt ne s’est jamais démenti par la suite. Pendant des années, j’ai touché à toutes les facettes de la production, de sorte que même si je suis maintenant davantage producteur que réalisateur, je comprends très bien le rôle de mes collaborateurs, ce qui accroît la synergie au sein de notre équipe. »

UN IMPRESSIONNANT PORTFOLIO

Sa petite entreprise a évolué au fil du temps, explorant une foule de secteurs d’activité, et s’affirme aujourd’hui comme un joueur majeur et une plaque tournante en production vidéo. Son premier studio était sur la rue des Rocailles, et depuis 2018, elle occupe sur le boulevard Pierre-Bertrand des locaux abritant une grande salle de tournage avec cyclo et porte de garage, ainsi que quatre salles de montage vidéo. Parmi les nombreuses entreprises ayant jusqu’ici bénéficié de ses services, mentionnons Prevost et Nova Bus (Volvo), iA Groupe financier, Creaform, Desjardins, Québec International et la compagnie minière Stornoway. Productions Optimales signe aussi notamment l’émission Bête de chasse, diffusée à RDS. Son portfolio compte à ce jour plus de 2 500 productions. Il suffit d’en visionner quelques-unes sur le site Internet de l’entreprise, notamment celle dévoilant le dernier-né de la flotte d’autocars de Prevost, pour saisir toute la portée de l’expression « haut de gamme  » si chère à ces mordus de création de grande qualité. Pas étonnant que la boîte ait raflé un prix Fidéides de la Chambre de commerce de Québec en 2019. Les mots-clés : honnêteté, travail d’équipe, loyauté, créativité et… plaisir !

Productions Optimales abrite un vaste studio multifonctionnel ainsi que quatre salles de montage vidéo.

UN STUDIO SUR MESURE

L’emplacement actuel représentait l’immense intérêt d’être un entrepôt vide, page blanche permettant un aménagement parfaitement adapté à la production vidéo, où tout a été pensé et conçu jusqu’à la moindre prise de courant. « Nous disposons en outre de suffisamment d’espace pour envisager un éventuel agrandissement afin de répondre à la demande croissante, précise Marc-André. Nous avons aussi l’avantage d’être propriétaires de nos équipements, de sorte que nous pouvons réagir très rapidement le cas échéant. C’est un véritable guichet unique photovidéo. Récemment, nous avions sept équipes en activité simultanément. Nous nous distinguons aussi en offrant la location de notre studio à de multiples fins, et même à certains concurrents, qui sont devenus des partenaires. En effet, je me vois davantage comme un rassembleur qui rêve de faire progresser le domaine de la production vidéo dans la capitale, et pourquoi pas des installations cinématographiques, alors que Québec est l’une des plus belles villes au monde. »

PARTOUT SUR LA PLANÈTE

C’est un contrat avec l’Université Laval dans les années 2000, celui portant sur les grands diplômés, qui a procuré à Productions Optimales un rayonnement planétaire avec des tournages partout dans le monde. « Nous avons appris à embaucher des équipes et à les former à distance par l’entremise du virtuel, explique M. Leclerc. Nous avions donc une longueur d’avance lorsque la pandémie a frappé, car Internet n’a pas de frontière géographique, nous pouvons tourner et diffuser partout. Dernièrement, nous avons eu des tournages à Vancouver, à New York et en Floride. À la base, la clé de la réussite, conclut-il, c’est vibrer intensément pour ce que l’on fait afin d’amener nos fidèles clients à atteindre de nouveaux sommets. »

909, boul. Pierre-Bertrand, local 240, Québec 418 624-5252

maleclerc@productionsoptimales.ca productionsoptimales.ca

Affaires / Profil

Novo SST

LA PRÉVENTION AVANT TOUT

René Boivin , fondateur et PDG de Novo SST (au centre), en séance de travail avec quelques membres de son équipe.

si novo sst célèbre 10 ans d’existence, l’expérience en santé et sécurité du travail (sst) de son fondateur et pdg, rené boivin, couvre trois décennies, dont un Q uart de siècle dans le domaine des mutuelles de prévention. triple anniversaire en 2023 ! chef de file au Québec, l’entreprise compte aujourd’hui 190 employés et gère tout ce Q ui touche à la prévention pour QuelQue 8 000 entreprises Québécoises et 150 000  travailleurs dans divers secteurs de l’économie.

Une mutuelle de prévention est un regroupement d’employeurs qui unissent leurs forces afin de minimiser les accidents en milieu de travail dans le but de réduire leurs cotisations à la CNESST. « Novo SST a mis sur pied ses propres mutuelles selon différents créneaux de performance afin de mieux coller à la réalité de chaque secteur, explique René Boivin. Elles sont les plus rentables sur le marché, car elles génèrent des économies sur les cotisations pouvant atteindre 60 %, permettant ainsi aux employeurs de réinvestir dans la prévention. Ce résultat est attribuable à l’expérience de notre équipe, ainsi qu’à la mise en place d’une gamme complète de services connexes et distinctifs, voire uniques, visant à évaluer, soutenir et encourager l’excellence en matière de prévention. Tout le monde y gagne. » Les entreprises sont réparties en trois régimes au Québec en fonction de leur taille : le taux de l’unité pour la plus modeste, le régime personnalisé pour celles de taille moyenne, et le rétrospectif, réservé aux grandes organisations.

PIONNIER EN SANTÉ ET SÉCURITÉ DU TRAVAIL

René Boivin fonde le Groupe prévention Progesst en 1992 après quelques années chez Price Waterhouse comme spécialiste en SST. « L’exemple de mon père entrepreneur a certainement joué », dit-il. Son premier client, un détaillant de camions lourds, lance l’entreprise, qui ne cessera de croître par la suite. En janvier 1998, M. Boivin est l’un des premiers gestionnaires à s’impliquer

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au moment de l’implantation des mutuelles de prévention par la CSST (maintenant CNESST). Puis son entreprise passe en 2001 dans le giron de la multinationale AON, où il sera responsable du dossier de santé et sécurité. Un retour aux sources s’effectuera 12 ans plus tard lorsqu’il participe au rachat de la division des mutuelles délaissée par AON-Hewitt pour créer Novo SST . Depuis 2013, l’équipe s’est développée et réunit les experts nécessaires à la réalisation de sa mission, qui consiste à protéger les employés et réduire le nombre d’accidents afin d’améliorer la performance globale des organisations. La compagnie acquiert Juno Services conseils en 2019, et ouvre l’année suivante, sous la direction d’Éric Latulippe, sa division Novo Avocats, qui offre des services juridiques en droit du travail. Et plus récemment, en 2022 un service conseil en ressources humaines a été mis sur pied afin de compléter l’offre de services à la clientèle. Cela dit, la vision de M. Boivin se poursuivra en 2023, car il a déjà amorcé un processus de passation des pouvoirs vers M. Latulippe, avec qui il collabore depuis 20 ans.

DES OUTILS DE PRÉVENTION UNIQUES

Le fondateur songeait depuis longtemps aux outils actuellement en place pour optimiser la prévention dans les milieux de travail, mais la technologie ne le permettait pas. « Aujourd’hui, grâce aux avancées informatiques, nous pouvons rivaliser d’inventivité pour promouvoir l’acquisition de pratiques optimales en santé et sécurité du travail. » C’est ainsi qu’est née Novo Studio en 2018, une application de formation en ligne unique en santé, sécurité et mieux-être à laquelle plus de 80 000 travailleurs québécois ont accès en temps réel et ce, 24 heures par jour. Au moment d’écrire ces lignes, 77 formations et capsules animées avaient été élaborées. Par exemple, pour le seul mois de janvier 2023, plus de 5 000 heures de formation ont été dispensées. L’objectif est de maintenir à un haut niveau l’intérêt par des messages brefs et très ciblés, comportant des tests visant à s’assurer que la formation a été suivie et réussie.

Autre outil de motivation sans précédent, l’application mobile « Être en santé » détaille les habitudes contribuant à une bonne santé chez les employés, un important facteur de sécurité au travail. Ceux-ci accumulent des « Santé dollars » en inscrivant leurs efforts en ligne. Les employeurs échangent ces « dollars » contre des biens, organisent des tirages ou les remettent à des œuvres caritatives.

Novo SST n’était pas à court d’innovation puisque depuis février 2023, les employeurs-membres peuvent déclarer en ligne tout accident de travail en utilisant la nouvelle plateforme OPIA (Optimisation des Processus par l’Intelligence Artificielle), elle aussi tout à fait unique. Sans intervention humaine, le système émettra des recommandations en matière de prévention. « Ce sera révolutionnaire, prévoit M. Boivin, car OPIA pourra éventuellement prédire, donc prévenir, les accidents de travail en se basant sur un ensemble de facteurs de risque. Et cette technologie sera exportable partout pour contribuer à relever le défi mondial de la prévention. »

/ Gilles Levasseur

Éric Latulippe, vice-président exécutif et René Boivin, fondateur et PDG de Novo SST.

«  n ovo sst a mis sur pied ses propres mutuelles selon différents créneaux de performance afin de mieux coller à la réalité de chaQue secteur. elles sont les plus rentables sur le marché, car elles génèrent des économies pouvant atteindre 60 % sur les cotisations, permettant ainsi aux employeurs de réinvestir dans la prévention. »

− René Boivin, fondateur et PDG de Novo SST.

INFORMATION

Siège social : 1020, rue Bouvier, bureau 600, Québec

418 687-2772

Sans frais : 1 844 238-NOVO (6686)

Novo Avocats :

418 647-9216

Sans frais : 1 888 647-3218

Autres succursales : Longueuil et Laval novosst.com

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LES SERVICES CLÉS EN MAIN DE MALLETTE

Le succès pour recruter des travailleurs à l’étranger

et si le recrutement de travailleurs à l’étranger était une solution pour les entreprises d’ici ?

m allette offre un accompagnement clés en main permettant aux employeurs de concentrer leurs efforts sur la sélection finale de leurs travailleurs plutôt Q ue de s’attarder au processus parfois complexe pour y arriver. s’appuyant sur un processus rigoureux de double Qualification des candidats, mallette s’assure de maximiser la Qualité des candidats finaux retenus pour des entrevues. l’accompagnement stratégiQue et juridiQue à toutes les étapes du processus contribue également à minimiser de manière significative les délais d’obtention des permis de travail.

À l’écoute de ses clients, Mallette a élargi sa gamme de services dans le but de solutionner leurs enjeux de rareté de main-d’œuvre et de les supporter dans une démarche durable d’embauche à l’international. Bien ancrée dans sa communauté, la firme a su répondre à de nombreuses demandes juridiques en immigration. « Depuis quelques années déjà, Mallette proposait à sa clientèle des services juridiques en immigration autant pour les demandes de résidence temporaire et de permis de travail que pour la résidence permanente, et c’est dans ce contexte qu’on a décidé d’accompagner les entreprises dans le recrutement à l’étranger. On a donc travaillé sur une offre de services clés en main adaptée à la situation de l’employeur, allant de la promotion des postes affichés jusqu’à l’obtention des permis de travail  » , explique d’entrée de jeu Catherine Bergeron, coordonnatrice aux missions de recrutement de travailleurs étrangers.

Catherine Bergeron, coordonnatrice aux missions de recrutement de travailleurs étrangers.

MISER SUR LA DOUBLE QUALIFICATION

L’objectif ? Dénicher des travailleurs étrangers informés des réalités régionales se démarquant par des profils favorisant leur intégration dans l’entreprise. Mallette table ainsi sur une gestion en amont du processus de recrutement. L’exercice de double qualification couvre d’abord une vérification technique incluant notamment les antécédents, l’expérience de travail, les équivalences scolaires et les compétences recherchées par l’employeur. Le deuxième volet, plus culturel, permet de valider les attentes du travailleur et de l’informer des réalités de son nouveau milieu de travail et des particularités de sa région d’accueil.

« Actuellement, nous avons des partenaires en Tunisie avec qui des ententes ont été conclues pour amorcer la qualification, précise Luc Guillot, associé en services-conseils chez Mallette. Au moins le double de travailleurs du nombre de postes à pourvoir sont rencontrés par les employeurs à la suite des qualifications. Lors des missions auxquelles prennent part les entreprises, nous leur proposons également d’observer et d’évaluer les candidats au moyen de tests pratiques se déroulant dans des écoles techniques partenaires. »

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VIVRE UNE MISSION À L’ÉTRANGER

Mallette prend en charge l’organisation complète des missions en présentiel d’une durée de cinq jours. Le ou les représentants de l’entreprise y participent principalement pour la réalisation des entrevues finales avec les candidats qualifiés. Mallette les accompagne dans cette rencontre interculturelle, leur permettant notamment de rencontrer la famille et de s’immerger dans la culture d’origine du travailleur pour mieux saisir leur réalité. Un incitatif pour établir un lien de confiance de part et d’autre, facilitant par le fait même l’intégration des travailleurs.

Prochainement, Mallette ira en mission en compagnie d’entreprises principalement à la recherche de travailleurs spécialisés dans un large éventail de secteurs d’activité. La mission se déroulera à Tunis, en Tunisie. De plus, une autre mission sera annoncée en vue d’un départ l’automne prochain. Par ailleurs, dans le cas où un client voudrait recruter 15 travailleurs ou plus, une mission spécifique à ce dernier peut être planifiée. Cette possibilité permet une exclusivité du secteur et du type de poste ciblé selon des dates préétablies par l’entreprise participante. Mallette poursuit ses démarches de développement dans d’autres pays afin d’y prévoir de futures missions.

Me Laura-Li Verreault-Laliberté, avocate en immigration.

BÉNÉFICIER D’UN ACCOMPAGNEMENT JURIDIQUE : AGIR TÔT POUR OPTIMISER L’EFFICACITÉ ET RÉDUIRE LES DÉLAIS

Les avocats sont impliqués dès le début dans le processus de recrutement et d’immigration. Ils accompagnent chaque entreprise dans la préparation de sa stratégie de recrutement et dans la validation du type de permis de travail. Ils passent notamment en revue la question des salaires, des avantages sociaux et de certaines obligations à respecter.

« Lorsque nous travaillons avec l’entreprise dès le recrutement et que la préparation est bien faite, nous sommes en mesure, à l’embauche du candidat, de déposer rapidement la demande de permis de travail. En immigration, les délais gouvernementaux sont très longs, on parle de plusieurs mois, et donc, le fait de préparer la demande en amont permet une arrivée plus rapide des travailleurs au Canada. Nous offrons aussi le suivi des travailleurs pour le renouvellement de leur permis de travail » , commente Me Laura-Li Verreault-Laliberté, avocate en immigration.

Luc Guillot, associé en

DESSERVIR LES ENTREPRISES D’ICI

Bien implantée à l’échelle provinciale, l’entreprise possède près de 40 bureaux et compte plus de 1 300 employés. Les entreprises s’adjoignent un partenaire de confiance au fait des réalités régionales. « Nous sommes bien placés dans les différents marchés et conscients que l’intégration, pour un travailleur étranger, est différente selon la région. Assurer une intégration réussie fait partie intégrante de notre service. », termine Luc Guillot. Complétez votre équipe, optimisez votre production, répondez à la demande de vos clients : recrutez vos travailleurs à l’étranger avec Mallette.

Mallette S.E.N.C.R.L.

3075, chemin des Quatre-Bourgeois, bureau 200, Québec

Pour en savoir davantage sur le recrutement international : recrutement.international@mallette.ca 418 653-4455, poste 2892 | mallette.ca/immigration

© Marjorie
Roy, Optique Photo
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Télétravail :

une question d’équilibre

voilà, nous en sommes déjà au troisième anniversaire du début du branle-bas de combat pandémi Q ue planétaire. j e me répète, mais celle Q ue j’étais auparavant n’a jamais réapparu tellement la prise de conscience a été majeure. et je suis loin d’être seule à faire ce constat. u ne nouvelle « moi » a émergé pendant ce point de rupture sans précédent, et je m’en suis fait une fidèle amie ! revenir comme c’était en 2019 appartient définitivement au passé en ce Qui me concerne. ce Qui m’amène à vous jaser de télétravail.

J’ai le vertige rien qu’à penser qu’il y a trois ans, je passais l’essentiel de ma semaine professionnelle en rencontres en tous genres au bureau et ailleurs dans l’univers des affaires, agrémentées de longues heures derrière le volant. Ici et maintenant, exit le trafic, et je vois deux fois plus de clients grâce à Teams qu’auparavant en personne. Efficacité et rentabilité accrues donc ! De plus, travailler seule « habillée en mou » dans le calme de mon chez-moi, j’adore ! L’autre soir, je participais à l’un de mes rares soupers avec des amies pour constater que la majorité d’entre elles partagent ma nouvelle vision des choses. Tendance bien présente, de toute évidence. Sauf que… N’y aurait-il pas un certain risque à trop apprécier cette mise en retrait de la vie sociale ? Un proverbe ne dit-il pas « Moins t’en as, moins t’en veux » ?

En même temps, je comprends les gens qui s’ennuient de leur ancienne vie au bureau. En revanche, je remarque qu’ils semblent davantage en sevrage qu’autre chose. On connaît toutes et tous des gens qui se disent incapables de travailler en solitaire. Bref, tout ce remue-ménage intérieur suscite une profonde réflexion sur qui nous sommes réellement et ce que nous « désirons » vivre par rapport à ce dont nous avons « besoin ». Là est toute la question selon moi.

En m’observant, je m’aperçois en effet que je ne ressens plus le besoin de côtoyer des gens à tout prix. Si l’occasion se présente, j’apprécie ce contact, mais sinon, je me sens tout à fait à l’aise. Cela dit, comment ne pas ressentir un soupçon de culpabilité sur ce chemin moins fréquenté ?

Or, la culpabilité est mauvaise conseillère sur la voie de l’harmonie en soi. Ne serais-je pas sur une sorte de pente glissante menant presque à une vie d’ermite à mon insu ?

Aurais-je donné outre mesure dans le social par le passé, ce qui m’amènerait à prendre une pause dans une sorte de retour du pendule ?

Au cœur de cette réflexion, et consciente que nous vivons en société, je me suggère quelques compromis pour en arriver à un mode hybride, avec davantage de présences dans le monde, mais sans perdre de vue mon propre équilibre. Je ne veux pas me forcer, mais maintenir un certain… je-ne-sais-quoi, j’y réfléchis encore… À vous qui me lisez, j’aimerais vous transmettre que ce que nous avons vécu dans les trois dernières années a mis en lumière l’existence de nombreuses catégories de personnes qui ont compris qu’elles ne répondaient plus forcément à un moule unique. Et que l’objectif, en maintenant un équilibre entre le monde et soi, consiste à découvrir et s’installer sans culpabilité dans sa zone de confort.

C’est la zone que je vous souhaite !

Annie Fortin Focus TDL

Restaurant Tuscanos

20 ANS DE COMPLICITÉ

a près 35  années passées à m ontréal, d emetre t riantafyllou s’installe à Québec pour y ouvrir le t uscanos en 2003 c ette année, il souligne le 20e anniversaire du restaurant italien de l'avenue j ules- v erne.

Dans le hall d’entrée du restaurant, prix et distinctions tapissent un mur. Rapidement, les yeux se posent sur les copieux desserts. Des parfums de pâtes, de pizzas et de veau - les valeurs sûres - se mêlent aux rires d’un groupe attablé près de la fenêtre. Affable, le restaurateur d’origine grecque n’est jamais loin.

L’homme d’affaires, qui a pratiqué tous les métiers de la restauration, se souvient des premières semaines qui ont suivi l’ouverture de son restaurant de 250 places, le 10 mars 2003 : « Les gens vont-ils venir ? », s’est-il demandé. Six mois plus tard, ils sont nombreux au rendez-vous. S’amorce alors une longue relation de confiance entre la clientèle et son équipe composée maintenant de quelque 50 personnes dont il est très fier. Depuis, l’atmosphère familiale qui règne au Tuscanos est devenue la signature de la maison. « Le plus beau cadeau, c’est de grandir avec mes clients. Aujourd’hui, leurs enfants viennent manger à mon restaurant », dit-il. Les gens d’affaires fréquentent aussi le commerce situé au carrefour des grands axes routiers, tout comme les touristes qui logent dans les hôtels environnants.

PANDÉMIE : DES EFFETS TANGIBLES

Si les grands groupes d’employés de bureau qui venaient célébrer des événements spéciaux le midi se montrent plus discrets, les petits groupes d’amis, eux, le sont toutefois moins. Optimiste, ce fils d’une mère amoureuse de la cuisine italienne croit que les gens apprécieront toujours l’expérience en salle à manger. « Ils aiment le service à la table et l’approche personnalisée », explique-t-il, saluant au passage un client fidèle venu lui mettre la main sur l’épaule avant de quitter son établissement.

Et la main-d’œuvre ? « Les gens choisissent une vie différente. Ils ont besoin de flexibilité  » , explique le restaurateur d’expérience. Entouré d’une équipe cumulant en moyenne 10 ans d’ancienneté, M. Triantafyllou se sent tout de même privilégié. Certaines personnes y travaillent depuis presque les débuts. Cette réussite, il l’attribue à la communication et à l’esprit de famille qu’il s’applique à maintenir par sa présence régulière au restaurant.

ENGAGÉ

Le restaurateur s’investit dans plusieurs causes dont le Club Lions, le Club Rotary, Le Piolet, le Resto Love, Moisson Québec, Opération Enfant Soleil et le Carnaval de Québec. « C’est une façon pour moi de faire partie de la vie sociale des gens et d’amasser des fonds pour aider les autres » , explique le membre honoraire du Carnaval de Québec. Fort d’une expérience longue de 55 ans en restauration, M. Triantafyllou croit que la réussite dans ce domaine repose sur trois piliers : « Aimer les gens, être présent et penser au succès à long terme », conclut-il.

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Demetre Triantafyllou, propriétaire du restaurant Tuscanos.

Stratégies de décaissement : mieux vaut éviter les règles de pouce

s ’il est possible d’ajouter de la valeur en sélectionnant les bons comptes dans lesQuels épargner pendant sa vie active, on peut également le faire en optimisant l’ordre de décaissement de ses placements une fois à la retraite. cela nécessite de faire des projections pour évaluer les nombreuses stratégies envisageables, mais pourrait représenter, pour vous et votre famille, des dizaines, voire des centaines de milliers de dollars en plus.

L’IMPORTANCE DE LA FISCALITÉ ET DE LA VALEUR TEMPORELLE DE L’ARGENT

Selon une croyance répandue, on doit simplement vider – dans cet ordre – les comptes non enregistrés, les CELI, les fonds enregistrés de revenu de retraite (FERR) et leurs équivalents comme les fonds de revenu viager (FRV), puis les sociétés de gestion. Il ne s’agit toutefois que d’un conseil générique, fondé sur l’idée fausse qu’il faut à tout prix reporter l’imposition le plus tard possible. Mais la situation de chaque investisseur est unique et il peut être intéressant de payer de l’impôt aujourd’hui pour profiter de taux plus bas.

Pour l’illustrer, imaginez les cas de deux investisseurs disposant de larges sommes enregistrées : l’un au début de la retraite et n’ayant que peu de revenus de rentes, et l’autre dont le décès entraînera des revenus fiscaux élevés en raison de la disposition présumée des actifs. Dans les deux situations, il pourrait être intéressant de décaisser des sommes enregistrées plus rapidement si le taux d’imposition du retrait était plus faible que le taux futur. Il faudrait toutefois s’assurer que la valeur présente des impôts économisés surpasse celle des rendements supplémentaires qui auraient été gagnés grâce au report de l’imposition et à l’effet des rendements composés.

Plusieurs éléments doivent donc être considérés dans l’analyse, tels que le profil d’investisseur et l’espérance de rendement, la manière dont les rendements seront générés, les autres revenus et l’âge de décès visé. Évidemment, cela nécessite un outil de projection poussé qui tient compte de la fiscalité dans tous ses détails : impôts et crédits sociofiscaux, stratégies de fractionnement de revenus, régimes d’épargne et comptes fiscaux, etc.

POUR LES ENTREPRENEURS ET LES PROFESSIONNELS INCORPORÉS

En présence d’une société, l’analyse doit inclure la fiscalité qui lui est propre. Sans aller dans les détails, il est alors nécessaire de comprendre que la plupart des revenus de placement sont davantage imposés lorsqu’on considère les deux niveaux

d’imposition – corporatif et personnel – que s’ils avaient été gagnés directement par l’actionnaire. Pour éviter cette surimposition, il est donc souvent intéressant de décaisser progressivement la société, et particulièrement lorsque cela peut être fait sans impôts, comme pour les dividendes en capital. Les situations où des impôts ont été « payés d’avance » – comme dans les cas de l’impôt en main remboursable au titre de dividendes (dans la société) et de l’impôt minimum de remplacement (au niveau personnel) – favorisent également l’option d’un décaissement imposable plus rapide.

Une mise en garde s’impose cependant : avant d’aller de l’avant, il faut tenir compte des honoraires comptables et légaux liés à la société – qui pourraient par exemple justifier le fait d’attendre d’accumuler un montant plus important avant de vider le compte de dividendes en capital – et songer à la façon dont on disposera de celleci. En effet, la facture d’impôt ne sera pas la même dans le cas d’une liquidation que dans celui d’une vente, et certaines stratégies pourraient être mises en place afin de la réduire (par exemple, utilisation de la déduction pour gains en capital, fractionnement de revenus ou stratégie du pipeline), ce qui pourrait mener à des conclusions différentes.

ATTENTION AU RISQUE DE SURVIE

Globalement, cet exercice pourrait vous permettre de dépenser plus à la retraite, d’accroître votre patrimoine successoral ou de repousser dans le temps l’épuisement de votre capital. Ce dernier point est particulièrement important lorsqu’on réalise qu’avec l’espérance de vie qui augmente et les régimes de retraite à prestations déterminées qui se font rares, les investisseurs dépendent de l’épargne personnelle plus longtemps et dans une proportion grandissante. Une mauvaise stratégie de décaissement peut ainsi compromettre la retraite de beaucoup de gens.

Olivier B . Ampleman

CFA, CAIA, M. Fisc., Pl. Fin., conseiller en gestion de patrimoine et gestionnaire de portefeuille

Équipe Ampleman

Financière Banque Nationale Gestion de patrimoine

À ce titre, une autre croyance malheureusement répandue veut qu’il faille demander le début du versement des rentes publiques (Régime de rentes du Québec et pension de la Sécurité de la vieillesse) le plus tôt possible pour ne pas laisser d’argent sur la table en cas de décès prématuré. Or, lorsqu’on effectue des projections avec des hypothèses conservatrices telles que celles suggérées par l’Institut québécois de planification financière (IQPF), on constate que les investisseurs s’en retrouvent souvent perdants en ne profitant pas des bonifications des prestations accordées en contrepartie des reports.

Il est donc important d’obtenir des projections pour analyser sa situation individuelle, en utilisant un âge de décès plus avancé que notre espérance de vie (à laquelle on a environ 50 % de chances de survivre), et en considérant que même si on perd de l’argent en cas de décès prématuré, l’alternative – se serrer la ceinture si on vit plus vieux, ou même, survivre à son capital – pourrait être bien pire.

LA STRATÉGIE OPTIMALE

Avant de rencontrer votre conseiller pour faire des projections, prenez le temps de réfléchir à votre retraite, au coût de vie que vous voudrez maintenir, et aux dépenses importantes que vous souhaitez effectuer (achat d’un chalet, rénovations, etc.). La stratégie optimale n’est pas identifiable, a priori, mais planifier vos besoins de manière sérieuse ajoutera de la fiabilité aux projections en diminuant le risque que vous deviez faire des retraits improvisés, et en bout de ligne, que vous ne profitiez pas au maximum de votre épargne.

Pour en savoir davantage : fbngp.ca | equipeampleman.ca

Société immobilière Arbois

DEUX PROJETS IMMOBILIERS

D’ENVERGURE, UN 45e ANNIVERSAIRE

CÉLÉBRÉ EN GRAND

f ondée en 1978  par j ean- p ierre b eaudoin et r ichard lalonde, la société immobilière arbois célèbre en grand ses 45 années d’existence en signant à titre de maître d’Œuvre deux projets d’envergure à Québec. le solstice sur les p laines accueillera ses premiers occupants dès juillet et est situé à l’angle de la g rande a llée et de la rue des jardins-mérici tandis Que la livraison du second est prévue dès juin dans la portion sud-est de l’arrondissement c harlesbourg. d eux secteurs différents, mais toujours ce même désir d’assurer le bien-être et la tran Q uillité d’esprit des résidents.

Lorsqu’on découvre les coulisses de la création de la Société immobilière Arbois, force est d’admettre que les fondateurs semblaient destinés à travailler ensemble. Chacun détenteur d’un MBA, les deux hommes se sont connus au début des années 1970 à la Société canadienne d’hypothèque et de logement, à Montréal. Un lien d’amitié naît entre eux, mais ils se perdent de vue un an et demi plus tard lorsque Richard est muté à Québec. Or, un soir de tempête hivernale, ils se croisent fortuitement à l’aéroport Jean-Lesage, Richard offrant à Jean-Pierre, devant la rareté des taxis, de le raccompagner. Il faudra une autre rencontre inopinée dans un restaurant de la capitale pour les rapprocher davantage, car Jean-Pierre s’est établi lui aussi à Québec. L’immobilier les intéresse, mais

chacun hésite à se lancer en solitaire. Le duo s’entendra peu de temps après à l’occasion d’un match des Nordiques, au Colisée. Quatre décennies et demie plus tard et l’intégration de trois associés assurant la relève, soit Karl-Patrick Guérard, Bernard Leclerc et Bruno Lépine, la société est une organisation de gens d’affaires et de gestionnaires immobiliers aguerris. Œuvrant dans un cadre multidisciplinaire, son équipe administre plus de 2 500 unités de logement et quelque 400 000 pi2 d’espace commercial, de bureaux et d’industriel à Québec, où la firme s’est concentrée principalement au fil des ans après avoir été présente dans plusieurs régions de la province. Si Arbois avait innové en 2003 dans le secteur de Sainte-Foy en concrétisant à titre de promoteur La Volière, un ambitieux projet précurseur comptant 320 unités, l’entreprise ajoute cette année deux autres importantes réalisations immobilières : Le Solstice sur les Plaines, à deux pas des plaines d’Abraham, et Le 4165 Place de la Capitale, totalisant 301 unités d’habitation.

Le Solstice sur les Plaines

LE SOLSTICE SUR LES PLAINES

Lorsqu’ils couperont l’été prochain le ruban du Solstice, les associés d’Arbois pousseront un soupir de soulagement et de fierté d’avoir persévéré malgré les embûches et les reports successifs à travers le labyrinthe des règlements et programmes d’urbanisme municipaux. En effet, 14 longues années se seront écoulées entre la conception du projet et sa livraison. En 2005, Arbois s’était portée acquéreur d’un immeuble à bureaux anciennement occupé par la Sun Life, devant les Jardins-Mérici. C’est sur le vaste terrain entourant la bâtisse que se dresse aujourd’hui l’édifice de dix étages. « Malgré tous les obstacles qui se sont dressés face à ce projet d’envergure, nous les avons tous surmontés et nous sommes très heureux d’offrir à la population cet immeuble dont le nom fait écho à la définition de solstice, soit les deux points culminants des quatre saisons pendant lesquelles on peut profiter des magnifiques plaines d’Abraham, situées à deux pas du Solstice. Une localisation vraiment incomparable et un projet de prestige qui respecte les objectifs de densification du quartier Montcalm. »

Bien sûr, une visite sur le site Internet ( lesolstice.ca ) fournit l’ensemble des avantages que propose Le Solstice, notamment tout ce qu’on peut retrouver dans un immeuble haut de gamme (gym, salon privé, piscine intérieure, salle de réception, grands jardins extérieurs, stationnements intérieurs). En plus d’espaces à bureaux et de quelques commerces de proximité au rez-de-chaussée, le projet propose 198 condos locatifs spacieux comportant une salle de bain complète et une salle d’eau (4 ½ et 5 ½). La généreuse fenestration permet une grande luminosité des aires habitables ainsi que des aires de vie communes confortables et raffinées, où tout a été pensé et conçu avec un grand souci du détail et une qualité supérieure des matériaux. Entre autres atouts, les occupants pourront bénéficier d’un parc qui occupera la majeure partie du terrain entourant l’édifice en plus de jardins dans la cour intérieure, illustrant ainsi le soin méticuleux qu’Arbois porte aux espaces verts. Notons que nombre d’appartements offrent une vue sur le fleuve. Le slogan du projet est éloquent : Flirtez avec la ville, épousez la nature… En plein cœur d’un quartier riche en histoire et en culture.

/ Occupation : dès juillet 2023

/ Bureau de location : 871, Grande-Allée Ouest, bureau 205, Québec

Ouvert en semaine de 9 h à 18 h et en fin de semaine de 10 h à 16 h

Avec ou sans rendez-vous, visitez la salle de montre.

Pour en savoir davantage : 418 614-2420 | location@lesolstice.ca | lesolstice.ca

LE 4165  PLACE DE LA CAPITALE

Situé dans un complexe résidentiel comprenant déjà trois immeubles acquis par Arbois dans les années 1990, Le 4165 Place de la Capitale se trouve à l’intersection du boulevard Henri-Bourassa et de la 41e Rue Est, près de grands axes routiers et le long de la piste cyclable qui traverse la ville. Livré en juin 2023, le nouvel immeuble de 10 étages abritera 103 condos locatifs spacieux et dotés d’aires ouvertes permettant une grande luminosité. Avec ses grands jardins aux arbres matures ainsi que ses vues imprenables sur la ville et sur les Laurentides, le projet est bien illustré par les trois feuilles vertes du logo. Le site comprend 250 000 pi2 d’espaces verts, de jardins ou d'agrément. Les concepteurs ont particulièrement mis l’accent sur l’insonorisation des fenêtres et portes-fenêtres, comportant toutes des verres thermos doubles de quatre millimètres. Tous les services sont accessibles à proximité, notamment l’hôpital de l’Enfant-JésusCHU, situé à seulement deux kilomètres de distance.

Les cinq associés de la Société immobilière Arbois : Richard Lalonde, cofondateur, Bruno Lépine, Jean-Pierre Beaudoin, cofondateur, Bernard Leclerc et Karl-Patrick Guérard

Comme au Solstice, les appartements du 4165 vont du studio aux penthouses des étages supérieurs en passant par les 3 ½, 4 ½ et 5 ½ (ces deux dernières superficies comprenant une salle de bain complète et une salle d’eau) d’appréciables dimensions avec beaucoup d’espaces de rangement. La construction entièrement bétonnée assure une tranquillité optimale. Les stationnements intérieurs des deux immeubles sont chauffés et comportent chacun une station lave-auto. Évidemment, des bornes de recharge sont disponibles pour les véhicules électriques. Tous les détails et avantages sont disponibles sur le site Internet du projet.

/ Occupation : dès juin 2023

/ Bureau de location : 4155, 6e Avenue Est, Québec

Pour en savoir davantage ou pour visiter les logements modèles : 418 623-4125 | location@le4165. ca | le4165.ca

« Nous avons toujours beaucoup insisté sur la qualité des services que nous offrons aux occupants de nos immeubles en plus de nous assurer qu’ils vivent dans un environnement agréable, conclut Jean-Pierre Beaudoin, notamment en mettant à leur disposition d’efficaces et courtoises équipes de conciergerie. Quelqu’un a déjà dit que la réussite repose sur l’attention prêtée aux détails. Voilà probablement pourquoi nous sommes présents dans le marché immobilier depuis près de 45 ans. »

INFORMATION

Société immobilière Arbois 418 683-8102 | arbois.ca

Le 4165 Place de la Capitale
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Les condos locatifs LB9

VIVRE SANS LIMITES

situés dans le populaire Quartier lebourgneuf, les condos locatifs lb9 offrent une Qualité de vie sans égale Qui invite à profiter de chaQue moment grâce à toutes les commodités offertes dans l’immeuble ainsi Qu’aux alentours.

UNE SITUATION GÉOGRAPHIQUE IDÉALE

Vous souhaitez partir à l'aventure, explorer la nature, visiter vos lieux culturels préférés, déguster la gastronomie québécoise, pratiquer votre sport favori ? Habiter dans les condos locatifs du LB9, c'est avoir accès à tout cela à proximité, et plus encore ! Pourquoi vous en priver ?

LES APPARTEMENTS LUMINEUX DE LA PHASE 2

L'immeuble de la phase 2 du LB9 abrite 218 condos locatifs répartis sur 15 étages. Du studio au penthouse avec trois chambres, en passant par les appartements comprenant une ou deux chambres, les espaces de vie varient de 474 à 2 200 pieds carrés. Chacun a été conçu pour optimiser la lumière naturelle. Quant au design soigné d’allure contemporaine, il donne fière allure aux différentes pièces.

DES ESPACES COMMUNS POUR UNE VIE ACTIVE

Également aménagés avec grand soin, les espaces communs du LB9 ont été pensés de manière à répondre aux exigences d'une communauté active et dynamique. Ainsi, les locataires ont accès à une piscine intérieure chauffée et vitrée; le lieu parfait pour oublier les rigueurs de l’hiver. Une salle d'entraînement à la fine pointe de la technologie permet d’autre part de garder la forme. Enfin, un lounge multifonctionnel équipé d'un foyer mural et d’une grande terrasse extérieure avec barbecue invite à partager de beaux moments en bonne compagnie et à cuisiner en toute simplicité.

DES CONDOS « TOUT INCLUS »

Tous les condos locatifs LB9 sont équipés de cinq électroménagers : un réfrigérateur, une cuisinière, un lavevaisselle, une laveuse et une sécheuse. Les mensualités comprennent également le service Internet, l'eau chaude, l'électricité, le chauffage et la climatisation, un stationnement intérieur ainsi qu’un espace de rangement. Idéal pour une première « demeure » ou pour retrouver la liberté de vivre sans limites en se dégageant de certaines responsabilités.

/ Occupation : dès le printemps 2023

Visitez le pavillon de location situé au 7615, rue des Métis pour découvrir l'unité modèle.

Pour en savoir davantage : condoslb9.ca

La majestueuse

L’anecdote est savoureuse : parue il y a environ 10 ans dans les pages du magazine Prestige, cette maison a tout de suite charmé le propriétaire actuel des lieux.

« En apercevant les photos de la cour arrière, ce fut le coup de foudre, admet Pierre. Ma conjointe et moi aimons recevoir durant la belle saison. L’immense piscine, la cuisine extérieure, le salon, la salle à manger, les vestiaires avec salle de bain et douche accessibles dans un bâtiment indépendant : tout a été bien pensé et bien conçu. Ajoutez à cette grande terrasse une vue exceptionnelle sur le fleuve Saint-Laurent et notre coin de paradis, nous l’avons trouvé ! »

Située sur un coin de rue et sans voisin en arrière, cette somptueuse et chaleureuse propriété comprend un garage 4 portes pouvant accueillir jusqu’à 6 voitures. L’immense cour arrière se distingue avec sa piscine creusée et chauffée, son salon et sa cuisine extérieurs avec un coin bar, son foyer au bois et son vestiaire avec salle de bain et douche.

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)

129, RUE DE LA GARNISON, BOISCHATEL

Prix : 2 498 000 $

L’intérieur de cette résidence est aussi majestueux que l’extérieur. On y trouve un salon avec plafond haut et superbe foyer en pierres, une cuisine lumineuse avec cuisinière au gaz et coin repas donnant sur la cour. Et que dire du cellier dans la salle à manger : une œuvre d’art !

Propriétaire de cette demeure exceptionnelle depuis 2013, Pierre nous confirme qu’elle a su répondre à tous ses besoins.

« Construite en 2003, elle est encore au goût du jour, mentionnet-il. Seul l’espace bureau a été revampé pour correspondre à mes besoins. J’aurais pu y vivre encore longtemps, mais un nouveau projet m’interpelle sur la Côte-de-Beaupré. Nul doute que cette résidence dans une catégorie à part saura séduire son prochain propriétaire… »

129, RUE DE LA GARNISON, BOISCHATEL

Prix : 2 498 000 $

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)

418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca

« Pourquoi j'ai choisi Martin Dostie pour vendre ma propriété ? Tout simplement parce qu’il est le meilleur à Québec pour vendre des résidences dans cette catégorie, admet Pierre. Il me l’a prouvé à deux reprises. C’est un gentleman, un professionnel jusqu’au bout des doigts. Il est tout simplement "sur la coche" ».

La résidence comprend 4 chambres (avec possibilité d’une 5 e), 5 salles de bain complètes et une salle d’eau. La chambre principale propose un coin salon, un foyer double face et un walk-in. Le sous-sol est complètement aménagé avec une grande salle familiale ainsi qu’une salle de jeux et un cinéma maison.

129, RUE DE LA GARNISON, BOISCHATEL

Prix : 2 498 000 $

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy) 418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca

Martin Dostie

Profession : courtier immobilier

418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca

Bien connu à Québec et au-delà, le nom de Martin Dostie est irrévocablement associé, depuis 2012, à la prestigieuse marque immobilière Sotheby’s International Realty Canada qui bénéficie d’une notoriété mondiale. Il est d’ailleurs l’unique courtier à posséder un bureau Sotheby’s dans la capitale nationale.

Marié depuis 22 ans et père de deux filles âgées de 18 et 20 ans, l’homme de famille est d’une stabilité que l’on peut qualifier de remarquable. Plutôt discret de nature, le courtier immobilier se trouve pourtant derrière la vente des deux propriétés les plus chères jamais vendues dans la grande région de Québec, l’une étant située en bordure du lac Saint-Joseph et l’autre à Lévis. Lui-même propriétaire d’une grande demeure à Québec, d’un chalet en nature et d’une résidence en Floride, il apprécie recevoir chez lui pour partager un bon repas et une bonne bouteille de vin avec des amis, mais a également besoin de solitude pour décompresser… pourvu que le Wi-Fi reste accessible ! Car Martin Dostie est aussi reconnu pour sa grande disponibilité envers sa clientèle. Il n’est pas rare qu’il réponde à des appels de ses clients internationaux au milieu de la nuit (décalage horaire oblige). Un peu intense ? Oui, admet sans ambages celui qui s’est bâti une réputation

Une équipe dévouée à votre service

enviable grâce à son accessibilité, son professionnalisme et son service hors pair. Ce n’est pas sans raison que le slogan de Groupe Martin Dostie est « L’art de réunir des propriétés extraordinaires et des gens d’exception ».

Après avoir vécu plusieurs années à Ottawa, Martin Dostie a déménagé à Québec alors qu’il ne connaissait qu’une seule personne, son père. Il est donc l’exemple éloquent d'un homme autodidacte qui a su se rendre au sommet en partant de zéro. Philanthrope, il remet chaque année plus de 25 000 $ à diverses œuvres, dont le Relais d’Espérance qui vient en aide aux personnes les plus démunies.

Le courtier immobilier aime suivre son propre chemin en faisant les choses à sa façon. C’est ce qui fait de lui une force tranquille et un exemple à suivre dans son domaine.

Groupe Martin Dostie, c’est une équipe réputée pour son professionnalisme, son écoute et son savoir-faire unique.

AMINA DURAND

Courtier immobilier* 418 932-2228

JAM AFIRI

Courtier immobilier* 819 580-0125

NADINE MALTAIS

Courtier immobilier** 418 580-8217

*Résidentiel | **Résidentiel et commercial | ***Résidentiel et hypothécaire

ARIANE COUTURE

Courtier immobilier** 418 929-9416

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)

418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca

CÉDRIC DETINNE

Courtier immobilier*** 418 575-6022

CHANTAL BEAUREGARD

Adjointe administrative 418 933-5510

Le condo « spacieux urbain »

Situé au 5 e étage de l’immeuble Le George V, ce grand condo généreusement fenestré et baigné d’une lumière naturelle offre une vue imprenable sur le fleuve et les plaines d'Abraham. Il dispose d'une aire de vie spacieuse et aménagée avec un réel souci du détail, de 2 chambres avec leur salle de bain et d’un espace bureau. Deux stationnements intérieurs sont inclus. Voisin du plus beau parc de la ville de Québec, ce lieu est l’endroit rêvé pour quiconque aime pratiquer la marche, le vélo, le ski de fond ou le patin. Endroit de prédilection afin de participer à la frénésie culturelle et événementielle de la ville, le condo est à deux pas d'une multitude de restaurants et de commerces.

650, AVENUE WILFRID-LAURIER, APPARTEMENT 504, QUÉBEC

Prix : 1 449 000 $

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)

La familiale

Dotée de 5 chambres, de 2 salles de bain complètes ainsi que de 2 salles d'eau, cette magnifique propriété est située sur l'une des plus belles rues de la ville de Québec. Tout près de l'avenue Maguire, cette résidence est parfaite pour accueillir une grande famille. Qui plus est, elle possède un très grand terrain intime aménagé avec une haie de cèdre et une piscine creusée. Enfin, elle est située à proximité des écoles, des grands axes routiers et de tous les services.

Le joyau du Vieux-Québec

2205, RUE BRULART, SAINTE-FOY-SILLERY

Prix : 975 000 $

Au cœur du Vieux-Québec, à proximité du célèbre Château Frontenac, cette propriété lumineuse située sur une rue tranquille possède un cachet antique et unique grâce à ses murs de pierres. Elle offre une vue directe sur les fortifications. Aménagée sur 3 niveaux, elle comprend 3 chambres, 3 salles de bain et 2 foyers. Deux stationnements privés sont inclus.

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)

6A, AVENUE SAINT-DENIS, VIEUX-QUÉBEC

Prix : 795 000 $

Un site d'exception à Sillery

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11 copropriétés en rangée à vendre

Si vous êtes à la recherche d’un site d’exception, vous le trouverez au Domaine de Sillery. Les 6 hectares de terrain exclusif aux 12 copropriétés et les aires communes exceptionnelles – piscine, spa, gym, sentiers pédestres, belvédères d'observation et jardins avec vue sur le fleuve –sauront plaire aux plus capricieux. Chaque copropriété est aménagée sur 3 niveaux et comprend 4 chambres, entre 2 et 3 salles de bain ainsi que beaucoup de rangement, une cour extérieure privée et un espace de stationnement intérieur. Un secteur très recherché, près de tous les services !

1471 À 1493, AVENUE ROGER-LEMELIN, SAINTE-FOY

Prix : À partir de 564 000 $ + taxes*

Promotion jusqu’au 1er juin 2023 : nous payons l’équivalent des taxes sur certains condos. Certaines conditions s’appliquent. * Le prix indiqué comprend la réduction.

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)

Un bijou voisin du Bois-de-Coulonge

Minutieusement entretenu et rénové au fil des années, ce magnifique plain-pied propose un espace de vie spacieux et lumineux. Il comprend 6 chambres, dont 4 au rez-de-chaussée, 3 salles de bain, 1 salle d'eau ainsi qu’une cave à vin. Atout non négligeable : la cour arrière superbement aménagée est voisine du tout aussi splendide parc du Bois-de-Coulonge. La quiétude en ville !

1051, AVENUE CHAUMONT, SAINTE-FOY-SILLERY

Prix : 1 449 000 $

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)

418 956-8687 | mdostie@sothebysrealty. ca martindostie. ca

La prestigieuse

Voilà une propriété de prestige qui ne passe pas inaperçue, autant pour son cachet extérieur haut de gamme que pour la qualité de sa finition intérieure, sans oublier l’aménagement de la cour, littéralement à couper le souffle ! La résidence comprend 6 chambres, dont 4 à l’étage, 2 salles de bain complètes (avec possibilité d'une 3 e au sous-sol), une immense cuisine avec coin repas ainsi qu’une salle à manger avec foyer et plafond de 14 pieds de hauteur. Sur le grand terrain de 33 238 pi2, on retrouve une attrayante piscine creusée chauffée et au sel, ainsi qu’un grand stationnement pouvant accueillir jusqu’à 9 voitures. Beauté et tranquillité ne font qu’un dans ce coin de paradis situé à Boischatel.

233, DES TURQUOISES, BOISCHATEL

Prix : 2 049 000 $

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)

Le charme de l'île d'Orléans

L’île d’Orléans n’a pas son pareil pour qui recherche un environnement paisible où se poser, mais à 15 minutes du centre-ville de Québec. Situé dans le village de Saint-Pierrede-l'Île-d'Orléans, ce magnifique condo de style industriel représente le pied-à-terre idéal. Il propose un espace de vie à aire ouverte avec une belle luminosité naturelle, et comprend 2 chambres, une salle de bain complète et une salle d’eau. Un espace de stationnement intérieur est inclus. Une immense terrasse avec vue sur la nature et le fleuve (en période hivernale) permet d’apprécier tous les charmes de la vie à la campagne.

Le montagnard

1365, CHEMIN ROYAL, APPARTEMENT 703, SAINT-PIERRE-DE-L'ÎLE-D'ORLÉANS

Prix : 539 000 $

Vendu avec la formule de location à court terme, ce magnifique condo entièrement meublé se trouve aux pieds des pentes de ski du Massif de Charlevoix, à PetiteRivière-Saint-François, dans l’immeuble Les Caches de la Grande Pointe. Il comprend 2 chambres avec possibilité pour 6 personnes d'y dormir confortablement, une salle de bain complète, un foyer dans le salon et une buanderie. Le refuge parfait pour les amateurs de plein air et les amoureux de Charlevoix, à seulement une heure de Québec et 20 minutes de Baie-Saint-Paul.

bureau privé : 2450, boul. Laurier, Québec (Place Ste-Foy)

1346, RUE PRINCIPALE, APPARTEMENT 302, PETITE-RIVIÈRE-SAINT-FRANÇOIS

Prix : 435 000 $ + taxes

Lac-Beauport ou le

rêve de la ville à la campagne

à moins de 20  minutes du centre-ville de Québec, la coQuette municipalité de l ac-beauport fait figure de saint-tropez septentrional. en effet, à l’image du petit port provençal français rendu célèbre par b rigitte bardot, lac-beauport, simple village perdu dans la forêt à sa création en 1853, devient, dès les années 1970, l’une des destinations de villégiature les plus prisées de la région de Québec grâce au boom des sports d’hiver de 1935

Le parc de la chute Simons

Le Sibéria Spa : la halte détente incontournable du secteur !

UNE MUNICIPALITÉ EN EXPANSION

Dotée de nombreux attraits naturels, la municipalité de Lac-Beauport s’est imposée comme le rendez-vous préféré des citadins en quête d’air pur ainsi que des touristes à la recherche de paysages « instagrammables » Néanmoins, amorcée depuis plusieurs années, la tendance actuelle à l’achat de propriétés en tant que résidences principales change peu à peu la physionomie de la population locale. Ce ne sont plus seulement les retraités qui élisent domicile dans ce lieu exceptionnel, mais également les familles, nombreuses à venir s'y s’installer de façon permanente. Pour preuve, les quelque six projets d’expansion résidentielle en cours de réalisation.

Le Club nautique de Lac-Beauport

UN BIJOU DANS UN ÉCRIN DE VERDURE

Gâtée par mère nature, cette charmante localité lovée au creux des bois se pare de nombreux atours : lacs clairs et cours d’eau vive, montagnes et forêts touffues… Un capital nature que la municipalité tient à préserver coûte que coûte. La majeure partie de sa richesse patrimoniale résidant dans ses points d’eau, une attention toute particulière leur est portée via un programme annuel de suivis de la qualité des eaux. De même, écocentre et recyclage font partie intégrante du quotidien des résidents tandis que la préservation du milieu naturel, à l’instar des boisés ou des berges, entraîne des restrictions de construction.

Si la qualité de vie doit beaucoup à l’environnement naturel, la vitalité et l’engagement de la municipalité viennent sans conteste bonifier l’attraction qu’exerce Lac-Beauport

Quartier Exalt

N’IMAGINEZ PLUS : VIVEZ !

Vous aviez un vœu, le Quartier Exalt l’a exaucé ! C’est au beau milieu d’un boisé que se niche ce quartier résidentiel ultramoderne, au style architectural néoscandinave pensé pour être en parfaite harmonie avec le cadre enchanteur, pourvu de toutes les commodités… et à moins de 20 minutes du centreville de Québec !

Initié depuis plusieurs années, le projet d’expansion résidentielle est rendu à sa phase 2A. Proposant une soixantaine de terrains prêts à construire, dont la moitié a déjà trouvé d’heureux acquéreurs, le site permet la concrétisation de toutes les envies, auto-construction ou projet clés en main. Tel un îlot secret serti par les arbres, il conjugue nature et total confort : à deux pas des commerces essentiels et des écoles, ses chanceux habitants peuvent profiter de l’ensemble des attraits de Lac-Beauport.

Mais trêve de bavardage : pourquoi ne pas tout simplement venir vous promener et visiter le Quartier Exalt ? Prenez le chemin du Boisé, passez le CPE au coin du chemin du Boisé et du chemin des Épinettes : bienvenue !

Pour en savoir davantage : 418 670-1634 | quartierexalt.com

sur tout résident ou visiteur. Des transports adaptés aux transports collectifs de La Jacques-Cartier circulant du matin au soir, des activités jeunesse à l’éventail de loisirs pour adultes, la volonté de pourvoir aux besoins de la population est manifeste.

Une vision qui séduit, surtout du côté des familles pour qui la dynamique sociale entre en ligne de compte : tranquillité, sécurité mais aussi convivialité. « Les familles veulent vivre une expérience communautaire tout en sauvegardant leur intimité et c’est ce que leur propose Lac-Beauport », explique Martin Dostie, courtier immobilier Sotheby's. Un lien social encouragé par de multiples activités allant de la soirée patinage disco à la glissade sur tube au club nautique en passant par la randonnée aux flambeaux.

/ Modèle de maison proposé par SMB Dallaire
/ Modèle de maison proposé par Terrain Dev
/ Modèle de maison proposé par SM Pro Construction

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Découvrez nos magnifiques terrains à vendre, situés à Lac-Beauport. Vous y trouverez un havre de paix idéal pour votre projet d’autoconstruction ou pour construire la maison de vos rêves avec le constructeur de votre choix.

BOUGER À LAC-BEAUPORT

Et puisqu’ici, le bien-être des familles est prioritaire, place est faite aux jeux nautiques plutôt qu’à la navigation. Nulle frustration pourtant, car les options de divertissements sur le lac foisonnent. L’été apporte son lot de courses de kayak et de pagayeurs tandis que l’hiver invite à chausser ses patins. La pourvoirie, quant à elle, offre entre autres activités balades en traineaux à chiens et en raquettes, ou encore, tir à l’arc et pêche.

Aux alentours, les sentiers de randonnée ne manquent pas, sillonnant parcs et forêts, et invitant à la marche contemplative. Du vélo de montagne au ski, il n’y a qu’un pas à franchir pour rejoindre le centre Le Relais et ses 33 pistes de jour, 28 pistes de nuit, son école de glisse et sa piste à bosses. De quoi convaincre certains que, ouf !, un week-end n’y suffira pas : il va décidément falloir venir vivre à Lac-Beauport !

UN CHARME IRRÉSISTIBLE

Sports mais aussi douceur et art de vivre avec une offre gastronomique reconnue pour sa qualité comme aime à le souligner le courtier immobilier Martin Dostie : « LacBeauport compte de très bons restaurants, à tel point que les gens n’hésitent pas à se déplacer de Québec jusqu’ici pour vivre une échappée gourmande  » . Aux plaisirs de la table viennent se conjuguer la détente et le bien-être qu’apporte l’expérience Sibéria : ce luxueux spa nordique sait parfaitement souffler le chaud et le froid. Sauna ou bains chauds auxquels succèdent bassins d’eau froide ou plongée vivifiante dans la rivière jaune vous promettent un moment unique de communion avec votre corps et la nature, sans parler du service complet de massothérapie.

On l’aura compris, Lac-Beauport a de quoi attirer, séduire et retenir. Et tout comme Martin Dostie, nous serions tentés de penser que « Tout ce dont on peut avoir besoin est à Lac-Beauport : on pourrait ne jamais en sortir ! »

Hôtel-resort

Entourage-sur-le-lac

PETIT-BONHEUR-SUR-LE-LAC

« Un séjour mémorable dans un endroit de rêve ! » « Superbe séjour ! Endroit parfait sur tous les points !  » Slogans émis par l’Office du tourisme de Lac-Beauport ? Pas du tout ! Voici les commentaires élogieux laissés sur Internet par les clients de l’hôtel-resort Entourage-sur-le-lac… Ne dit-on pas que le client a toujours raison ?

Et comme de fait, difficile de ne pas tomber sous le charme de ce magnifique établissement alors que vous ouvrez les yeux sur le superbe panorama qu’offre la vue de l’une des 166 chambres, suites ou penthouses au décor raffiné et minéral, après une nuit de repos absolu. Rejoignez ensuite l’îlot Repère gourmand et sa fine cuisine d’inspiration européenne afin d’y déguster un fabuleux brunch concocté par une brigade de chefs talentueux, avant d’aller profiter du large éventail d’activités sportives, ludiques ou de bien-être proposées sur les lieux ou à proximité, tout au long de la journée, en toutes saisons.

Impossible de résister au bonheur de vivre un séjour qui vous procurera un condensé de sensations toutes plus agréables les unes que les autres. Alors, Entourage-sur-le-lac, simplement un hôtel ? Bien plus que ça : un avant-goût de paradis !

Pour en savoir davantage ou pour réserver : entourageresort.com

Le lac Beauport, le lieu parfait pour pratiquer des sports d’hiver.

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Habitation / Tendances

TENDANCES 2023  EN AMÉNAGEMENT PAYSAGER

Une parcelle de campagne chez soi

Les grands formats de dallage sont toujours aussi présents, mais d’autres options s’offrent comme les nouvelles porcelaines extérieures et la pierre naturelle sciée qui procurent à l’aménagement un look unique et très tendance. Toutes les plantes et arbustes dans les teintes violacées seront également en vedette en 2023, telles que la lavande, le lilas, le Perovskias et l’Échinops. Pensez aussi aux bulbes printaniers pour agrémenter votre jardin, comme les jacinthes, les crocus et l’ail décoratif : des must pour créer une belle ambiance. Dans tous les cas, les plantes requérant peu d’entretien et les plantes indigènes gagnent de plus en plus d’adeptes.

en 2023, les styles industriel et Farm House font é Q uipe pour offrir un look brut et épuré, mais avec un côté campagnard.

/ Réalisation :

Les Artisans du Paysage

La pandémie avait déjà provoqué une augmentation du cocooning à la maison. En 2023, cette tendance se maintient et la réalisation d’espaces pour recevoir est en forte demande, tout comme les concepts durables et écologiques. Toutefois, les potagers sont en baisse alors que bien des gens ont constaté que l’entretien prenait beaucoup de temps et que les résultats étaient parfois aléatoires.

© Pierre Pelletier, Proaction
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© Pierre Pelletier, Proaction
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En 2023, vous verrez également de plus en plus de petits pavés de style européen, en chevrons ou en soldats contrastants. Ils sont de retour en force !

Pour gagner en intimité, la plantation d’une haie de cèdres ou l’installation d’une clôture sont le plus souvent privilégiés. Côté tendance, un écran décoratif spécial est désormais incorporé dans la clôture, souvent en bois ou en aluminium découpé au laser, ce qui apporte du relief et de l’originalité au design extérieur.

© Pierre Pelletier, Proaction
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© Pierre Pelletier, Proaction Photo

La cuisine : un espace apaisant en 2023

la douceur s’invite dans les cuisines en 2023 alors Que les tons naturels et les matérieux nobles les habillent avec élégance. l e style Farm House occupe également une place de choix dans les tendances.

/ Réalisations : Signature Cuisines A.C.

Parmi les tendances observées : les tablettes décoratives remplacent les armoires, ce qui permet de créer un design épuré. Les espaces de rangement se trouvent dans les armoires du bas. Une attention particulière est aussi apportée à l’éclairage. Ainsi, on remarque une plus grande utilisation des rubans DEL qui permettent de mettre en valeur certains éléments et, par le fait même, de créer diverses ambiances.

Le ton sur ton gagne aussi en popularité, se mêlant aux nuances de gris et de taupe. Côté rangement, le garde-manger walk-in se dissimule de plus en plus derrière un panneau d’armoire coulissant. Ni vu ni connu, tout comme le réfrigérateur qui fait profil bas grâce au même « stratagème »

Enfin, la robinetterie murale est de plus en plus demandée afin de rendre encore plus fonctionnelle la station de travail. Remplir un chaudron d’eau n’aura jamais été aussi facile !

Quelques tendances en plomberie décorative

l es rondeurs, les teintes dorées, les mélanges de styles et de couleurs… l’année 2023 s’annonce tout sauf banale dans l’univers de la plomberie décorative !

thalassa nous fait part de ses observations en matière de tendances.

Source : instagram.com/bungalow_on_seventh

Un bel exemple où les contrastes donnent toute leur personnalité à une pièce ! Ici, la robinetterie noire est l’un des éléments-clés. Remarquez aussi la rondeur de la baignoire.

/ Réalisation : Thalassa en collaboration avec Habitation Mica

En 2023, le mélange des styles et des couleurs est à l’honneur. Le classique et le contemporain se côtoient. On remarque ici une robinetterie travaillée mise en valeur sur fond blanc et en harmonie avec la teinte du meuble-lavabo.

/ Source : Brizo

Les rondeurs sont de retour cette année, de même que toutes les teintes dorées . Les décors épurés ont également la cote.

De plus en plus en demande, le ton sur ton fait partie des grandes tendances en 2023.

/ Source : Baril Design

INFLUENCES DESIGN PAR LA PIÈCE

Les arches sont de retour

s i les designs et les objets linéaires avaient la cote il y a QuelQues années, les courbes font leur retour dans les décors, et on les retrouve autant dans le mobilier Q ue dans les accessoires et les luminaires. combinées à des couleurs et des textures chaleureuses, elles apportent énormément de douceur et de cachet à l’espace. et parmi les types de courbes, ce sont les arches Qui se démarQuent.

En effet, depuis quelque temps, les arches sont littéralement partout et font même partie de l’architecture de la maison, ajoutant de la fluidité et un côté organique à l’aménagement : alcôves, portes, fenêtres, ouvertures dans les murs, accessoires… Ces arches permettent ainsi de casser l’effet rectiligne d’un espace.

/ Rénovation : Groupe Cartier / Design : Rosa Design

UNE PETITE TOUCHE RÉTRO

Vous avez l’impression que les arches ont déjà été présentes dans les décors ? C’est bien le cas. Elles étaient bien ancrées dans les intérieurs des années 1970. On les retrouve désormais dans les aménagements de style mid-century, boho et rétro.

/ MR Design intérieur & Co.

Pour d’autres idées inspirantes en habitation et en design, rendez-vous sur lapiece.ca

/ CMPG Design Construction

AMEUBLEMENT TENDANCE

Place aux matières et aux textures naturelles

le printemps sera bientôt à nos portes. et Qui dit printemps dit renouveau. vous êtes mûr pour changer votre ameublement ? voici QuelQues tendances inspirantes.

En 2023, les formes arrondies ou organiques se retrouvent dans toutes les pièces et dans tout le mobilier. Les tables de salon et de chevet, et même les accessoires n’y échappent pas. La décoration monochrome, où les nuances d’une seule couleur sont exploitées, habille également les espaces avec distinction.

L’ audace est aussi au rendez-vous cette année comme en témoigne cette table de salle à manger avec le dessus en placage de céramique et le piètement en métal architectural. Fidèles à Roche Bobois, des touches de couleur viennent personnaliser l’ensemble.

/ Offert chez Roche Bobois
/ Offert chez Roche Bobois
/ Offert chez Roche Bobois

On remarque aussi dans les tendances 2023 un heureux mélange de couleurs pâles et foncées . Le crème et le gris pâle côtoient le ton caramel et le beige foncé. Le cannage personnalise les lieux et, encore une fois, les formes organiques dominent.

Une autre tendance observée : l’ameublement se décline en différents matériaux. Par exemple, le bois avec le marbre, le métal ou encore, le tissu. On retrouve beaucoup ces mélanges dans les meubles accents (chaises, étagères, bibliothèques, etc.). Toujours et encore, les courbes volent la vedette.

/ Offert à la boutique Au Loft
/ Offert à la boutique Au Loft
/ Offert à la boutique Au Loft

B O U T I Q U E & B U R E A U D E S I G N B O U T I Q U E & B U R E A U D E S I G N

Habitation / Tendances / Marie-Josée Turcotte

SALON MAISON & OBJET À PARIS

Les produits italiens se démarquent

fidèle à ses habitudes, la designer et propriétaire de la bouti Q ue u n fauteuil p our d eux, n ancy ricard, s’est rendue au salon maison & objet à paris en janvier dernier. il s’agit d’un rendezvous incontournable pour les professionnels de la décoration Qui souhaitent s’imprégner des nouvelles tendances dans le monde du mobilier et du design. elle nous partage ici ses deux coups de cŒur… italiens !

Lors de son passage, Nancy Ricard est tombée follement amoureuse de ces créations italiennes fabriquées à la main en pur cachemire de la marque Alonpi. La douceur de ces jetés, coussins et linges de nuit donnent l’effet d’une seconde peau. Le luxe sans compromis !

Comment ne pas succomber, une fois de plus, au charme des produits de la grande marque italienne Saba, qui sait toujours allier confort, convivialité et innovation ? Cette table de salle à manger rappelle le drapé d’une robe de soirée; elle arbore fièrement son marbre impeccable d’un fini poli doux et soyeux.

Nancy Ricard, propriétaire et designer

Zoom sur l’escalier tendance en 2023

l es spécialistes dans le domaine s'entendent pour dire Qu'en 2023, l’escalier est surtout ouvert et il se déploie majoritairement dans des teintes de bois plus pâles. le leitmotiv demeure néanmoins inchangé : l’escalier doit toujours s’agencer parfaitement avec le style de la résidence.

/ Réalisations : Escaliers de la Chaudière

En parlant de style, le Farm House connaît ses heures de gloire. Cet escalier de bois pâle avec marches ouvertes et main courante assortie en est un bel exemple. La légèreté du décor est préservée par le choix des minces barreaux blancs qui servent de garde-corps.

L’escalier avec contremarche d’une couleur plus pâle est également en demande. Le jeu de contraste est par ailleurs rehaussé grâce à la balustrade en fer forgé noir qui apporte son caractère distinctif au décor. Autre tendance observée par les professionnels pour un supplément de caractère : le choix d’une essence de bois qui offre des variations de couleur et laisse transparaitre son veinage.

Élément architectural central, l’escalier peut se fondre dans le décor, mais il peut aussi devenir le point de mire qui donne toute sa personnalité et son originalité à une demeure, comme en témoigne cet escalier qui mélange les styles, les matériaux et les teintes : marches ouvertes avec limon central et garde-corps en verre sur un niveau, et marches fermées de style cubique avec paliers décoratifs sur un autre niveau. À noter que les marches podium sont en béton. Habitation / Tendances / Marie-Josée Turcotte

5 défis et tendances en restauration en 2023

Quelles sont les tendances en restauration en 2023 ? cinQ restaurateurs de Québec se prononcent.

01 / CONSERVER LA QUALITÉ MALGRÉ L’INFLATION

L’augmentation vertigineuse du prix des aliments pour les consommateurs à l’épicerie se répercute chez les propriétaires d’établissement de restauration. « Dans un récent sondage, 77 % des restaurateurs ont précisé que l’inflation est leur défi numéro un », précise Martin Vézina, vice-président des Affaires publiques et gouvernementales à l’Association Restauration Québec. Après la pandémie, les propriétaires de restaurants font face à l’augmentation des prix des matières premières, des coûts de transport et des salaires de la main-d’œuvre. En 2019, par exemple, un cuisinier gagnait 16 $ de l’heure. Aujourd’hui, son salaire est en hausse de 29 % pour atteindre 21 $ de l’heure. « L’inflation joue comme un couteau à deux tranchants en nous attaquant directement sur tous les fronts, témoignent Mathieu Rouillard et Tchad Khalil, associés du Bulle Bistro d’altitude, un restaurant gastronomique situé au 17e étage du complexe Jules-Dallaire. Pendant ce temps, nos marges bénéficiaires, elles, s’amenuisent.  » Même si l’inflation demeure l’épée de Damoclès en 2023, les chefs et propriétaires de restaurant restent fidèles à leurs convictions : offrir une assiette savoureuse et de qualité à leurs clients.

Restaurant quatre diamants, La Fenouillière offre une cuisine d’exception où les produits régionaux sont à l’honneur.

02 / LA GASTRONOMIE HAUT DE GAMME CONSERVE UNE PLACE DE CHOIX

Cependant, le phénomène inflationniste joue en faveur des établissements qui proposent un menu haut de gamme, distinctif et une expérience gustative hors du commun. « Au lieu de dépenser 30 $ pour un hamburger, une fois par semaine, les gens vont préférer dépenser une fois par mois dans un restaurant gastronomique et vivre une expérience, tout en célébrant un événement », observe Pierre-Olivier Pelletier, cochef et propriétaire du Kebec Club Privé sur la rue Saint-Joseph Est. Une opinion partagée par plusieurs chefs-propriétaires. En réalité, les consommateurs préfèrent rentabiliser leur argent dans un restaurant de fine cuisine plutôt que dans un plat facile à préparer dans le confort de son foyer.

Le Kebec Club Privé mise sur un concept original et intime : réunir les convives autour d’une unique table afin de partager un menu dégustation axé sur les produits locaux.

03 / UNE ASSIETTE VALORISANT SIMPLICITÉ ET PRODUITS LOCAUX

En 2023, exit la complexité ou les grands concepts en cuisine. « La gastronomie trop pimpante ou guindée ne passe pas : les gens veulent le meilleur dans leur assiette. Chez nous, les abats et la viande rouge sont à l’honneur » , explique Steeve Morin, propriétaire de deux restaurants de fine cuisine à Québec, La Fenouillière et Le Galopin, situés à la tête des ponts. « C’est fini de présenter 14 items dans une seule assiette, ajoute de son côté Pierre-Olivier Pelletier, de Kebec Club Privé. Il faut se rappeler que la base, en cuisine, c’est le goût, le souvenir de l’assiette qui reste imprégné. » Chez lui, dans son restaurant, une telle empreinte passe par l’excellence et la qualité de produits locaux, des fruits, légumes et viandes biologiques. « Moins il y a d’intermédiaire entre la nourriture et l’assiette, plus les

gens sont heureux », ajoute celui qui, en octobre dernier, a été sacré « meilleur jeune chef culinaire au Canada » lors de la finale canadienne du concours de l’Académie des jeunes chefs de San Pellegrino, à Toronto. En octobre 2023, il participera d’ailleurs à la grande finale, à Milan, en Italie, afin de devenir le meilleur jeune chef du monde.

« Les gens s’intéressent vraiment à la provenance des produits, insistent Mathieu Rouillard et Tchad Khalil de Bulle Bistro d'altitude. L’implication de notre équipe de cuisine avec celle du service est donc primordiale dans l’expérience véhiculée aux clients. Nos serveurs doivent savoir expliquer chacun des plats. »

Le Galopin mise sur son menu bistronomique et la qualité de son service.

MAINTENANT UN SEUL PROPRIÉTAIRE

avec près de 35 ans d’expérience en restauration

EXPÉRIENCES DISTINCTIVES, du déjeuner au souper, de l’entrée au dessert

RESTAURANT LA FENOUILLIÈRE

Une extraordinaire passion culinaire

3100, chemin Saint-Louis, Québec

418 653-3886 I fenouilliere.com

RESTAURANT GALOPIN

La table, les gens, la simplicité

3135, chemin Saint-Louis, Québec 418 652-0991 I restaurantgalopin.com

04 / ORIGINALITÉ ET SERVICE PERSONNALISÉ

Les restaurants qui se démarquent en 2023 savent aussi se distinguer par leur originalité. Au Kebec Club Privé, les propriétaires prennent le temps de cueillir pendant l’été, en forêt, des plantes, champignons, fleurs. « À la fin du repas, on en sert sous forme de tisane à nos clients. C’est très populaire », indique Pierre-Olivier Pelletier. Au restaurant Tuscanos, le propriétaire Demetre Triantafyllou se distingue en offrant des produits frais. « Jamais rien de congelé. Les gens aiment les pâtes, les plats apprêtés avec le veau » , raconte l’homme qui se fait un point d’honneur d’accueillir personnellement ses clients. « Après la pandémie, les gens tendent à réduire leurs sorties, mais désirent toutefois des établissements de qualité pouvant leur faire vivre une émotion différente  » , font pour leur part valoir Mathieu Rouillard et Tchad Khalil de Bulle Bistro d’altitude.

Même si la tendance est aux commandes en ligne, à la robotisation et aux fours intelligents, tous les chefs propriétaires estiment que le service personnalisé est gage de succès. « L’expérience au restaurant va rester pour toujours. Les gens y viennent en amis ou en famille pour le service. Ma plus grande fierté, c’est de les voir revenir avec leurs enfants et petits-enfants », confie M. Triantafyllou.

et fraîcheur

Le Bulle Bistro d’altitude offre une expérience gustative en « hauteur ».

05 / TENDANCE ZÉRO DÉCHET

Cette tendance écoresponsable est définitivement en hausse. « Si je compare à il y a une dizaine d’années, on a fait des miracles en matière de tendance zéro déchet, commente Steeve Morin, copropriétaire du Galopin et de La Fenouillière. Maintenant, on travaille avec le sous-vide, on récupère beaucoup d’aliments, et il n’y a plus grand-chose qui va aux vidanges. »

Ambiance familiale
sont au menu du Tuscanos .

Traitements médico-esthétiques : que nous réserve 2023  ?

chaQue début d’année nous revient avec son lot de nouvelles tendances. davantage évidentes lorsQu’il est Question de mode et de décoration, par exemple, celles-ci sont plus subtiles en matière de beauté et de santé de la peau. si les lèvres repulpées et les visages sculptés font toujours partie de l’actualité esthétiQue, plusieurs constatent un retour vers des interventions respectant davantage le caractère uniQue de chaQue personne.

Directrice générale de la Clinique D r  Frédéric Simard depuis plus de 10 ans, Audrai-Anne Hudon observe que de plus en plus de gens recherchent une offre globale à la même adresse en matière de soins médico-esthétiques afin de suivre l’évolution du vieillissement physiologique. « L’évolution rapide des techniques et leur diversification continuent de permettre en 2023 de traiter globalement les effets du temps sur le visage, explique-t-elle. L’époque une-ride-à-la-fois n’est plus qu’un souvenir alors que la combinaison de différents soins, qui constitue une tendance nette, donne lieu à des résultats plus cohérents. Restructurer le visage d’une part avec des solutions injectables tout en traitant d’autre part, grâce au laser notamment, les imperfections de l’épiderme. Aujourd’hui, peu de gens nous demandent de les faire ressembler à quelqu’un d’autre. »

Dans le monde de l’esthétique, de nouveaux traitements font leur apparition pour prévenir le relâchement de la peau en stimulant la fabrication d’élastine et de collagène grâce à la combinaison de radiofréquences et de champs électriques de haute intensité. La peau s’en voit raffermie et la structure musculaire sous-jacente fortifiée pour des traits mieux définis. Le laser occupe une place grandissante dans l’univers des soins, alors que l’amalgame de divers types de traitements permet de traiter différents problèmes

de peau en une seule séance. Et comme la santé de la peau va de pair avec celle du corps, les chercheurs travaillent déjà à l’élaboration de produits qui tiendront compte des deux côtés de la médaille, car la peau, principal organe du corps humain, reflète ce qui se passe à l’intérieur. On remarque également que même les plus jeunes sont de plus en plus sensibilisés aux soins du visage, désireux de prévenir avant qu’ils ne soient visibles les signes du temps. Et en cette ère de connectivité, nul ne s’étonnera de l’entrée en scène de cliniques dermatologiques virtuelles offrant un diagnostic individuel de la peau en ligne ainsi qu’un traitement approprié sous prescription. Deux types de consultation — dermatologique et esthétique — sont généralement proposés.

Par ailleurs, les fils tenseurs ont toujours la cote. Technique complémentaire à l’injection d’agents neuromodulateurs et volumisants, elle consiste en l’insertion de fils synthétiques biodégradables de qualité médicale permettant à la fois d’obtenir une traction mécanique — effet liftant — sur les tissus et de stimuler la production de collagène, ce qui améliore la texture, le tonus et l’élasticité de la peau. Une autre technique, le resserrement cutané chimique , s’effectue à l’aide d’une substance appelée acide polylactique appliquée sur le visage. Le resserrement obtenu dure en général entre un et deux ans. Le relâchement cutané peut aussi être réduit par la radiofréquence, une technique appelée l’ulthérapie. Il s’agit d’une intervention de lifting et de rajeunissement de la peau qui utilise des ultrasons concentrés afin de raffermir la peau du visage, du cou et du décolleté.

Bref, l’univers médico-esthétique ne cesse d’ajouter des cordes à son arc afin de mieux « cibler » le vieillissement. Tirée d’un poème de Rosemonde Gérard, l’expression consacrée Aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain en illustre bien l’évolution.

Voyage / Tendances

Les tendances voyage à suivre en 2023

depuis 2022, les voyageurs ont repris confiance, amenant dans la foulée une demande au maximum depuis le début de cette année. avec une concurrence QuelQue peu féroce pour les séjours de luxe et insolites, seuls ceux Q ui réservent longtemps à l'avance auront la garantie de profiter de ce Q u’ils souhaitent. o r, selon f orbes, une foule de nouveaux hébergements et concepts touristi Q ues seront officiellement lancés en 2023 Prestige vous livre les tendances voyage les plus intéressantes à surveiller.

Le palais d'eau de Tirta Gangga à Bali

DÉTOX NUMÉRIQUE

D’après une enquête réalisée par l’ACEI, près d’un Canadien sur cinq déclare ne jamais passer plus de huit heures sans se connecter au réseau Internet. La présence nouvelle de l’hyperconnectivité dans nos vies pousse de plus en plus de voyageurs à choisir des séjours qui excluent la technologie afin de privilégier le moment présent. Certes, des cures de « jeûne numérique » sont offertes dans des centres de thalassothérapie en Californie depuis plusieurs années.

L’archipel San Blas au Panama : l’endroit rêvé pour une détox numérique

Mais d’ici à ce que le projet de loi sur le droit à la déconnexion au travail soit complètement adopté au Québec, vous pourriez recharger vos batteries et reformater votre disque dur dans ce pur éden qu’est l’ archipel San Blas , entièrement géré par le peuple des Kunas, au Panama; plonger dans les îles de Palaos en Micronésie; trekker à la rencontre des gorilles des montagnes au Rwanda ou participer à des ateliers de développement personnel à Bali, afin de vous « désintoxiquer numériquement »

VOYAGE D’UNE VIE DANS LE PACIFIQUE SUD

En 2023, les gens souhaitent voyager plus longtemps, permettant aussi de partir plus loin. Ceux-ci ont pour mission de ne pas perdre une seconde de plus et de réaliser enfin ce voyage de rêve dont ils parlent depuis si longtemps, comme fouler le sol de la Polynésie française. Isolés du reste du monde, les nombreux atolls et îles volcaniques du Pacifique Sud se différencient les uns des autres : lagons aux eaux turquoise, fonds marins exceptionnels pour y plonger, pics rocheux denses d’une jungle luxuriante et plages de sable blanc parmi les plus belles au monde. La seule mention de ces endroits mythiques résonnera en vous : Polynésie française, Cook, Fiji, Nouvelle-Calédonie, Samoa , Tonga , Vanuatu et Nouvelle-Zélande , longtemps associés à la célébration de voyages de noces. Les voyageurs s’y aventurent maintenant pour beaucoup d’autres raisons, dont l’expérience de la diversité d’activités de plein air ainsi que la découverte des traditions d’origine polynésienne bien ancrées.

Bora Bora en voilier…
...ou en parachute ascensionnel !
© Emmanuel Bouvet, Tahiti Tourisme
© Ariane Arpin-Delorme

EXPLORATION DU MONDE ARCTIQUE

Vivez l’aventure du bout du monde dans l’ archipel du Svalbard (Norvège), en Arctique. Un paysage enchanteur de montagnes anciennes, semé d’impressionnantes formations glaciaires qui descendent dans les vallées, se répandent dans les fjords et s’éloignent en flottant sous la forme d’icebergs bleutés. En juillet, l’été est arrivé, le soleil de minuit règne ! On observe plus fréquemment dans les eaux les baleines bleues, à bosse et Minke. C’est la faune à son apogée : ours polaires, morses, renards de l’Arctique et oiseaux de toutes sortes. Par l’enseignement de la citizen science, les meilleurs biologistes marins et scientifiques avec qui vous voyagez vous encouragent à vous conscientiser à la nécessité de protéger l’environnement et de changer vos habitudes de consommation. Les expéditions au pôle Sud, en Antarctique, sont aussi en hausse. Mais priorisez un navire 100 % carboneutre !

LE PLAISIR AU PREMIER PLAN

L'effet que la pandémie a eu sur notre façon d'aborder le travail a été significatif. Les conseillers de l’agence Black Tomato interrogés par Forbes ont remarqué un changement de paradigme de la pensée traditionnelle bleisure – alors que les voyageurs avaient l'habitude d'aborder les voyages d'affaires en prenant quelques jours de vacances à la fin – vers un autre état d’esprit plus lisness. De plus en plus de voyageurs planifient des voyages de loisirs avec du temps pour le travail afin de mieux décompresser. Certaines destinations s’y prêtent mieux que d’autres selon les possibilités de logement en appartement/condo et une meilleure connexion Internet, telles que la Barbade, les Bermudes, le Costa Rica, le Chili… Le nomadisme numérique gagnait du terrain avant même que le travail à distance ne devienne monnaie courante. Mais en 2023, ce sont les voyages silencieux qui ont le potentiel d'être la nouvelle tendance. Les travailleurs à distance font leurs valises pendant une durée limitée, mais sans jamais le dire à leur employeur.

UN BAGAGE D’APPRENTISSAGES

Nous pouvons désormais nous attendre à ce que les voyageurs soient plus sélectifs, accordant une plus grande valeur aux expériences épanouissantes qui alimentent leur soif de connaissances, au lieu de visiter une destination et d'effleurer à peine la surface. En 2023, leurs voyages immersifs et éducatifs incluent l'acquisition d'une compréhension approfondie de l’architecture scandinave en passant du temps avec des architectes connus à Olso , Stockholm et Copenhague ; ou en se baladant à travers les marchés matinaux et les cuisines de restaurants de la région des Pouilles en Italie, en compagnie de grands chefs locaux; ou bien en prenant part à la lutte pour protéger le rare rhinocéros noir au Kenya avec un accès intérieur à une équipe de vétérinaires et gardes forestiers pour en savoir plus sur les efforts de conservation.

Il est intéressant de noter que le voyage écoresponsable n’est plus une niche ! Une enquête Virtuoso a révélé que les voyageurs veulent que leurs investissements profitent aux populations locales et sont prêts à payer davantage en conséquence. Les voyages protégeant l'environnement et la faune sont tout aussi importants : 70 % des personnes interrogées ont déclaré que voyager de façon durable améliore leur expérience.

Aventure du bout du monde dans l’archipel du Svalbard en Norvège.
© Ariane
Arpin-Delorme
© Magnus Danbolt

Désalignement visuel : le prisme profilé à la rescousse

l e corps humain s’adapte à tout… ou pres Q ue ! toutefois, ces changements ne s’effectuent pas du jour au lendemain, l’évolution peut s’étendre sur des générations. depuis la nuit des temps, l’humain regarde surtout au loin. c ependant, rien ne l’a préparé à l’explosion des écrans et à l’omniprésence d’une vision rapprochée Q ui en découle. i l en résulte un manQue de convergence Qui surstimule le trijumeau, l’un des nerfs les plus importants du corps.

Or celui-ci innerve notamment la zone orbitaire et la surface de l’œil. Une tension prolongée peut donc provoquer une série de symptômes tels que la sécheresse oculaire, la fatigue visuelle et des douleurs aux yeux. Mais d’autres signes paraissent moins évidents : étourdissements, douleurs à la nuque ou à l’épaule, mal des transports, etc. Bref, si les yeux sont habitués à bien s’aligner en vision éloignée, c’est de près que la convergence fait défaut.

LA SOLUTION NEUROLENS

Beaucoup plus répandu qu’on le croit, ce phénomène toucherait 90 % de la population à divers degrés, et deux tiers de ces personnes seraient symptomatiques. Nous utilisons d’abord un questionnaire pour effectuer un premier tri, après quoi nous proposons un test de mesure de quelques minutes pour déterminer de façon extrêmement précise les écarts de convergence entre les visions éloignée et rapprochée, ce qui était impossible auparavant avec les méthodes traditionnelles. Cet appareil est conçu par la compagnie Neurolens, qui propose également une solution : des verres à prisme profilé, un principe qui corrige surtout la vision de près sans affecter celle de loin, un peu comme le font les verres à foyer progressif. Cette percée technologique est révolutionnaire, car auparavant, les prismes qui s’étendaient sur l’entière surface des lentilles créaient une déficience de loin en corrigeant la vision rapprochée. Avec les prismes profilés, nul besoin d’avoir deux paires de lunettes, une seule suffit. L’expérience nous montre que 93 % des gens qui en portent rapportent une réduction de leurs symptômes. De plus, ces verres améliorent le confort et augmentent la capacité de lire longtemps à l’écran, et plus rapidement.

Dr François Piuze

Optométriste

Copropriétaire de Eye Am Soins oculaires

On s’étonne de voir à quel point même de microdésalignements peuvent avoir des conséquences significatives. Les personnes touchées ressentent des malaises vagues jamais soulagés et qu’ils n’attribuent pas nécessairement à un problème de vision. À cet égard, nous pensions qu’il fallait des écarts de 6-8 dioptries prismatiques (unités de mesure de la convergence) pour causer des malaises, mais on a constaté que des déviations aussi minimes que quelques décimales d’une dioptrie suffisent. Notons également qu’il existe des exercices visant à améliorer la convergence de près, comme rapprocher le bout d’un doigt des yeux jusqu’à la limite de convergence.

En réalité, étant donné des millénaires de prédominance de vision éloignée, notre système visuel affiche une meilleure efficacité à cette distance. Qui sait si, après plusieurs siècles d’usage intensif des écrans, la convergence de près ne serait-elle pas améliorée grâce à des mutations génétiques ? Mais d’ici là, les prismes profilés Neurolens que nous offrons chez Eye Am vous facilitent drôlement la vie… et la vue !

Pour en savoir davantage : eye-am.ca

Connaissez-vous bien le faubourg Saint-Jean-Baptiste ?

L'église Saint-Jean-Baptiste vers 1858

cela peut être fort agréable d’être touriste dans notre propre ville. t rop de gens ne connaissent du faubourg saint-jean-baptiste Que la rue saint-jean Qu’ils ont parcourue rapidement en automobile. pourtant, c’est un grand Quartier historiQue Qui prit forme peu à peu, à la fin de la nouvelle-france, au-delà de la porte saint-jean et du bourg fortifié.

C’est pourquoi on l’appela d’abord « faubourg Saint-Jean ». Avec la création de la paroisse SaintJean-Baptiste, on se mit au fil des ans à parler de « faubourg Saint-Jean-Baptiste ». Dans la plupart de ses rues, on croirait que le temps s’est arrêté dans les années 1890. Ce qui ne manque pas de charme, de pittoresque, de nostalgie. Ce furent dans ces années-là que l’on reconstruisit le faubourg après le terrible incendie de 1889. On ne connait bien une ville qu’en la parcourant à pied.

Les marches des trottoirs de la rue Claire-Fontaine

Tout en évitant de vous casser le cou, avez-vous déjà descendu les marches des trottoirs de la rue Claire-Fontaine ? La pente est tellement abrupte qu’une partie des trottoirs de cette rue sont de véritables escaliers avec leurs rampes. Tout le faubourg a été construit dans la pente du versant nord de ce que les géographes appellent « la colline de Québec ». Cela est souvent un rude défi pour les piétons. Tentez de monter la rue Sutherland sans être essoufflé !

Saviez-vous qu’il y a une rue Saint-Réal dans le faubourg ? Vous n’oublierez jamais votre étonnement de la première marche dans cette rue. Vous vous direz : « Pourquoi donc personne ne m’avait parlé de cette rue ? » La section de la rue, située à l’ouest de l’ascenseur du Faubourg, a les allures d’une terrasse dominant le quartier Saint-Roch. Les façades de ses vieilles maisons paisibles font face aux Laurentides. Il faut marcher jusqu’au bout de la rue Saint-Réal, c’est la « terrasse Dufferin du faubourg »

Source : Wikipédia, Jeangagnon
Source : Wikipédia, Jeangagnon
L’ascenseur du Faubourg
Source : Bibliothèque et Archives nationales du Québec

L’église Saint-Jean-Baptiste

Avez-vous déjà porté attention aux statues de l’imposante façade de l’église Saint-JeanBaptiste ? On y voit alignés les douze apôtres qui y affrontent les grands vents. Comme disait un jour un vieux passant : « Si les gens ne les voient pas, Dieu, lui, les voit. » Elles ont été réalisées dans l’atelier du statuaire Michele Rigali, jadis situé dans le faubourg et très renommé. La magnifique église fut l’œuvre d’un architecte du faubourg, Joseph-Ferdinand Peachy, résidant de la rue Saint-Jean.

Vous connaissez les deux tours Martello des plaines d’Abraham, mais avez-vous déjà vu celle qui se camoufle dans le faubourg ? On ne peut pourtant point la manquer lorsque l’on parcourt la rue Lavigueur ! En effet la tour Martello no 4 empiète de beaucoup sur la rue, et les piétons et les automobilistes doivent la contourner. Un jour, un camionneur inattentif l’a appris à ses dépens. Son camion fut grandement endommagé et la tour n’a pas bougé d’un iota… N’est-elle pas là pour faire la garde depuis deux siècles ?

Ne soyez pas surpris de voir à l’occasion des touristes britanniques devant la première pierre tombale à l’entrée du cimetière Saint-Matthew, rue Saint-Jean. Les inscriptions sur cette pierre nous apprennent que c’est là que fut inhumé en 1823 Thomas Scott, le frère de sir Walter Scott, le plus grand écrivain écossais, le créateur d’Ivanhoé et d’un Moyen Âge romantique. Endetté et poursuivi par des créanciers, le pauvre Thomas mourut en exil à Québec. Et la pierre nous révèle un autre drame : deux ans auparavant, Thomas avait eu la douleur de perdre sa fille Barbara, âgée de huit ans. Ce cimetière et la vieille église anglicane constituent un coin de la Vieille Angleterre à l’entrée de notre faubourg.

Avez-vous déjà rencontré « la petite liseuse » ? Si Copenhague a sa petite sirène, le faubourg a sa « petite liseuse  » . Pour l’apercevoir, il faut traverser l’entrée principale du cimetière Saint-Matthew. Située dans un recoin extérieur de la vieille église, la magnifique sculpture nous montre une jeune lectrice, coiffée d’une casquette et tellement absorbée par la lecture du livre déposé sur ses genoux qu’elle ne nous entend pas…

Source : Wikipédia, Izbael

La petite liseuse, une œuvre de Lewis Pagé, en hiver.

Vous êtes-vous déjà arrêté devant la maison de Joe Malone, le premier grand joueur de hockey de l’histoire de Québec ? Lorsque l’on descend la rue Philippe-Dorval, on aperçoit une épigraphe bleue identifiant cette maison. Lorsque l’on est devant la porte de cette maison, on a un étonnant et émouvant point de vue sur le Centre Vidéotron dans la percée visuelle de l’étroite rue qui domine la basse-ville. Et l’on se dit que si le fameux Phantom Joe sortait de sa maison, il apercevrait donc ce Centre Vidéotron où de grandes bannières rappellent ses deux conquêtes de la coupe Stanley en 1912 et 1913.

Source : Wikipédia, Jeangagnon

Vous êtes-vous déjà rendu compte que le maire François Langelier vous observe quand vous vous apprêtez à descendre l’escalier Sainte-Claire, souvent encore appelé « l’escalier du Soleil » ? La figure de ce maire, ornant les arches d’entrée de l’escalier, nous rappelle que les grands escaliers de fonte qui relient le faubourg au quartier Saint-Roch furent construits à son époque, dans les années 1880. Du belvédère de l’escalier Sainte-Claire, où il y a des bancs publics, on a une magnifique vue du jardin Jean-Paul-L’Allier.

Bonnes découvertes !

Source : Wikipédia, Yturgeon
La tour Martello no 4

Les causes de Prestige

23E SOIRÉE LES SAVEURS DU THÉÂTRE

Présentée par Québecor, en partenariat avec Lobe et Volvo de Québec, au profit de la Fondation Sourdine

Mercredi 10 mai à 18 h

Théâtre Capitole

Présidence d’honneur : M. Nicolas Audet-Renoux, vice-président régional, RBC Banque Royale.

Achat de billets : jedonneenligne.org/fondationsourdine/SDT2023

Information : sourdine.qc.ca | 418 263-5189, poste 236

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15E DÉFI SKI LEUCAN

En soutien aux enfants atteints de cancer et à leur famille

Samedi 25 mars, de 10 h à 20 h

Station touristique Stoneham

Information : laurie-anne.giguere@leucan.qc.ca ou 418 654-2136, poste 2228

Inscription en ligne ou don : defiski.com

Éric Bujold, BN Entreprises et Gestion privée 1859; Hugo Côté, Kaléido; Jean Quenneville, Rio Tinto; Donald Larose, JLL; Marc Villeneuve, Desjardins; Natacha Jean, Micro Logic; Jérôme Marcoux, Pomerleau; Britta Kröger, La Maison Simons; François Santerre, Englobe; Olivier Rochette, QSL; Mélanie Boucher, Fondation Jeunes en Tête; Marc-André Gravel, GBV Avocats; Denis Lefrançois, Groupe Theetge; Suzie Labbé, Sun Life; Myriam Robitaille, RBC; Carole Gherlenda, RBC; Serge Lebel, BCF Avocats d’affaires; Nancy Avoine, EY; Geneviève Fortier, Promutuel Assurances; et Bruno Marchand, maire de la Ville de Québec. Absents sur la photo : Jean Gagnon, BN Gestion privée 1859; Martin Lafrance, UEAT; France Rodrigue, Beneva; et Claude Tessier, iA.

UN SUCCÈS ÉCLATANT POUR

LE 11E BAL DU MAIRE

C’est le 2 décembre dernier qu’a eu lieu le 11 e  Bal du maire de Québec de la Fondation Jeunes en Tête. Pour l’occasion, près de 600 convives de la communauté des affaires se sont rassemblés au Fairmont Le Château Frontenac afin de soutenir la cause de la jeunesse.

La soirée a permis de récolter la somme nette de 650 000 $.

En compagnie
ses parents,
jeune porte-parole Annabelle Guay, 12 ans, atteinte d'une leucémie aiguë lymphoblastique.
Itinéraire. Cliffhanger. Archipel. Rays. Satori.

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