LE BULLETIN D’AMNESTY INTERNATIONAL LUXEMBOURG DER NEWSLETTER VON AMNESTY INTERNATIONAL LUXEMBURG
J U I L L E T 202 2 JULI 2022
AI-LUXEMBOURG NEWS Chères et chers membres, donateurs·trices et sympathisant·e·s,
Liebe Mitglieder, Spender*innen und Unterstützer*innen,
Au moment où vous recevez ce bulletin d’informations, nous sommes en passe de franchir le cap des 150 jours depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Un conflit où comme toujours les populations civiles sont en première ligne et paient un lourd tribut avec plusieurs milliers de morts et plus encore de victimes de violations des droits fondamentaux et d’exactions qui pourraient constituer des crimes de guerres ou contre l’humanité. L’utilisation avérée et répétée d’armes à sous-munitions et de mines dispersables, interdites par les traités internationaux, contribue à aggraver très lourdement ce triste bilan.
in dem Moment, in dem Sie diesen Newsletter erhalten, stehen wir kurz davor, die 150 Tage seit der russischen Invasion in der Ukraine zu überschreiten. Ein Konflikt, bei dem wie immer die Zivilbevölkerung einen hohen Preis zahlt – mit mehreren Tausend Toten und noch mehr Opfern von Menschenrechtsverletzungen und Übergriffen, die Kriegsverbrechen oder Verbrechen gegen die Menschlichkeit darstellen könnten. Der nachweisliche und wiederholte Einsatz von Streumunition und Streuminen, die durch internationale Verträge verboten sind, trägt dazu bei, diese traurige Bilanz noch sehr schwer zu verschärfen.
Cette agression entraîne également des conséquences pour les personnes qui, fuyant le conflit, sont confrontées aux difficultés et aux risques de violation de leurs droit liés à ce statut de réfugié·e·s. Enfin, elle engendre pareillement des conséquences pour la société civile russe, réprimée durement lorsqu’elle manifeste sa désapprobation. Depuis le début du conflit Amnesty International documente les violations liées à ce dernier et commises sur les territoires ukrainien et russe, aux frontières et dans les pays limitrophes.
Die Aggression hat auch Folgen für die Menschen, die vor dem Konflikt fliehen und mit den Schwierigkeiten und Risiken der Verletzung ihrer Rechte als Flüchtlinge konfrontiert sind. Schließlich hat sie auch Folgen für die russische Zivilgesellschaft, die rigoros unterdrückt wird, wenn sie ihre Missbilligung zum Ausdruck bringt. Seit Beginn des Konflikts dokumentiert Amnesty International die mit dem Konflikt verbundenen Menschenrechtsverletzungen, die auf ukrainischem und russischem Territorium, an den Grenzen und in den angrenzenden Ländern begangen wurden.
Renforcer la liberté d’expression et d’association, garantir le droit de réunion pacifique pour tou·te·s et protéger les droits des réfugié·e·s et migrant·e·s et des personnes en premières lignes lors des situations de crise : voilà, trois des sept thématiques prioritaires au niveau mondial pour le mouvement pour les années 2022-2030, sur lesquelles la section luxembourgeoise a choisi de s’engager fortement, en plus de la promotion de la justice de genre, intersectionnelle et raciale et des domaines de travail spécifiques comme la peine de mort.
Die Stärkung der Meinungs- und Vereinigungsfreiheit, die Gewährleistung des Rechts auf friedliche Versammlung für alle und der Schutz der Rechte von Flüchtlingen, Migrant*innen sowie von Menschen in Krisensituationen, sind drei der sieben globalen Schwerpunktthemen unserer Bewegung für die Jahre 2022-2030, in denen sich die luxemburgische Sektion für Geschlechter- und intersektionale Gerechtigkeit und gegen Rassismus sowie für spezifische Arbeitsbereiche wie insbesondere der Todesstrafe einsetzen will.
Avec vous nous pouvons éclairer le monde. Nous vous remercions de vous engager à nos côtés pour poursuivre notre combat pour un monde plus juste.
Mit Ihnen zusammen können wir die Welt ein Stück weit erhellen. Wir danken Ihnen für Ihr Engagement an unserer Seite, damit wir unseren Einsatz für eine gerechtere Welt fortsetzen können.
Olivier PIROT
Olivier PIROT
Directeur
Direktor Brian Castner, chercheur d’Amnesty et spécialiste des armes, mène une enquête sur le terrain en Ukraine. Amnesty-Forscher und Waffenermittler Brian Castner bei einer Feldstudie in der Ukraine. © Olga Ivashchenko/Amnesty International