

NOTRE LIBÉRATION : Gaza EXPULSÉE,
Judée-Samarie ENRACINÉE





10
À LA UNE NOTRE LIBÉRATION : GAZA EXPULSÉE, JUDÉE-SAMARIE ENRACINÉE
SOMMAIRE

26 POLITIQUE NOTRE LIBÉRATION !

22
LA CHRONIQUE DE GUY MILLIERE
32
ACCÉDER A LA PROPRIÉTÉ OPTIMISER
Pour nous contacter רשק
édition 344

8
INTERVIEW EXCLUSIVE DÉPUTÉ DAN ILLOUZ

: Publicité םוסרפ : FUTÉ MAGAZINE et RADIO FUTÉE Chmouel : 054-22 46 222
Secrétariat תוריכזמ : mediastarsproduction@gmail. com
Directeur général : Chmouel Charles BENGUIGUI
Rédacteur en chef : Avy MSELLATI
Design : William ARFI
Réalisations graphiques : Rachel DESAGES
Crédit photo : freepick, shutterstock, 123rf, dreuz. info


L’EDITO
DE CHMOUEL CHARLES BENGUIGUI*
NOTRE LIBÉRATION : Gaza CHASSÉE, Judée-Samarie IMPLANTÉE
Un matin, un homme m'a lancé : « Est-ce que la Judée, la Samarie et Gaza vous appartiennent ? » J'ai répondu sans l'ombre d'un doute : « Non, bien sûr, elles appartiennent à D, le Créateur du ciel et de la terre. C'est Lui qui décide à qui Il confie cette terre, et Il nous l’a donnée. » Nous ne pouvons plus rester les bras croisés ! La terre qui nous appartient doit être défendue avec la force de notre conviction et la passion de notre héritage. Vous avez reconnu le premier commentaire de Rachi. C'est un appel à la foi. Si tu crois en D, alors cette terre est incontestablement à nous. Si tu ne crois pas, je la prends, et je n'ai aucun compte à rendre. Tous les pays du monde ont été forgés par la conquête, par la force. Les peuples s'y sont enracinés, inscrivant leur identité dans la terre. Ce que l’on appelle « droit international » n'est qu'une farce, un miroir déformant de la légitimité d'un moment. Demain, ce qui est considéré comme légitime pourrait être balayé.

Mais je ne veux pas débattre de politique, d'histoire ou de géographie. J'habite ici, en Judée-Samarie, et chaque pierre, chaque parcelle de cette terre sacrée nous rappelle notre histoire, notre lutte et notre promesse qui résonne avec mon âme.
J'imagine Abraham découvrant ces paysages, ses émotions, ses craintes et ses espoirs pour ses enfants. J'entends les chants des Yéchivot, le cri d'Isaac dans son sacrifice et ses prières. C'est le berger David qui me berce de sa harpe, le poète et le combattant qui a lutté pour notre liberté. Tous les géants de notre peuple m’ont confié cet héritage sacré. L’air que je respire nourrit mes poumons et mon cœur, un souffle vital qui alimente ma passion.
Nous sommes des milliers à reconstruire ces terres abandonnées pendant des millénaires, qui renaissent grâce à notre présence, au beau milieu de ces loups affamés qui n'attendent qu'une occasion pour nous dévorer. Ces barbares qui m'ont attaqué directement dans mon véhicule, ce jour où la Providence divine était avec moi. Nous sommes ici, pleins de fierté, comme mes ancêtres, ces Hébreux qui sortent enfin de l’esclavage. Personne ne peut comprendre cette passion, cet amour, cette joie, ce bonheur d’être juif s’il n’a jamais foulé cette terre. C’est toute mon histoire qui me fixe du regard, c’est mon identité qui s’affirme. C’est la géographie qui retrouve son histoire, l’espérance d'une délivrance finale. Oui, je me moque des droits que vous prétendez « justes » mais qui ne sont pas les miens. C’est un rire cinglant qui s’élève vers le ciel. Et je vous le dis, le Royaume d’Hachem est déjà le Royaume d’HACHEM, unissons-nous pour bâtir un avenir solide, pour que la JudéeSamarie soit un phare d'espoir, de force et de résilience. Nous sommes les héritiers d'une promesse divine, et rien ni personne ne peut nous en priver ! Bonne fête de Pessah et la délivrance de tous nos otages.
* PDG Fondateur FUTÉ MAGAZINE
Les articles et publicités n’engagent que la responsabilité de leurs auteurs et non celle du magazine. Toute reproduction même partielle ou toute utilisation sans accord écrit de FUTÉ Magazine est strictement interdite.



DAN ILLOUZ : « ISRAËL DOIT ÉCRASER SES
ENNEMIS ET IMPOSER SA PUISSANCE – SANS COMPROMIS »
Dan Illouz, député du Likoud, s’impose comme un leader de la droite israélienne. Francophone d’origine canadienne, il a fait son aliyah par sionisme. En deux ans à la Knesset, il a marqué les esprits avec des lois majeures, notamment la fermeture d’UNRWA en Israël et l’ancrage de Jérusalem comme capitale indivisible. Il incarne une droite forte, claire et sans compromis.

Futé Magazine: Après la pause humanitaire, Israël doit-il reprendre la guerre ?
Dan Illouz : Tant que le Hamas existe, nous devons frapper sans relâche pour imposer un nouvel ordre à Gaza. L’histoire est claire: ceux qui n’achèvent pas leurs guerres sont condamnés à les revivre.
F.M : Israël est confronté à des menaces bien plus larges que le Hamas. Comment doit-il y faire face ?
D.I : Nous sommes dans une période où chaque frontière est une ligne de front. Le Hezbollah tente déjà de reconstruire sa force. En Syrie, la Turquie pousse un axe sunnite radical. En Jordanie, l’Iran cherche à semer le chaos pour élargir son emprise sur la région. Au cœur de tout cela, l’Iran continue d’avancer vers l’arme nucléaire, un danger existentiel pour Israël. Face à cette réalité, il est clair qu’Israël ne peut pas se permettre la moindre faiblesse. Nous devons être proactifs et ne pas attendre que la menace frappe à notre porte.
F.M : Le monde exerce des pressions sur Israël pour qu’il limite son action. Que doit faire Jérusalem ?
D.I : Ignorer ces pressions et agir exclusivement selon nos intérêts. Israël est un État sou-
verain, pas une marionnette diplomatique. Nous avons appris une chose: Seule notre force garantit notre sécurité. Plus nous serons déterminés et intransigeants, plus nos ennemis reculeront et plus nos alliés nous respecteront.
F.M : Malgré ces défis, Israël a aussi des opportunités stratégiques majeures. Comment peut-il en tirer profit ?
D.I : Nous sommes à un tournant: soit nous montrons de la faiblesse et nous aurons un autre 7 octobre, soit nous imposons notre force et nous renforcerons les Accords d’Abraham. Avec le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, une politique pro-israélienne beaucoup plus claire se profile. L’Arabie saoudite avance vers la normalisation avec Israël, ce qui peut redéfinir le Moyen-Orient. Ces avancées ne seront possibles que si Israël démontre qu’il est une puissance inébranlable. Personne ne veut s’allier avec un pays faible. Si nous voulons plus d’alliés, nous devons d’abord être redoutés par nos ennemis.
F.M : La communauté francophone d’Israël at-elle un rôle particulier à jouer ?
D.I : Les olim francophones portent en eux les valeurs dont Israël a besoin aujourd’hui: un attachement profond à la tradition juive, une vision politique claire et assumée, une aversion pour la division communautaire et un amour inébranlable pour Israël. Plus la communauté francophone sera active dans tous les domaines, plus Israël sera fort. Mon engagement est clair: faire entendre cette voix à la Knesset et m’assurer que ces valeurs guident l’avenir du pays.
Bonne délivrance à tout le peuple juif pour ces fêtes de Pessah



NOTRE LIBÉRATION : GAZA EXPULSÉE, JUDÉE-SAMARIE ENRACINÉE
Le monde désigne cette région sous les appellations de Cisjordanie, territoires occupés ou disputés. Les Palestiniens revendiquent leur propriété et ambitionnent d'en faire le territoire de leur futur État. Les médias la décrivent comme une poudrière et un théâtre de tous les conflits. Quant aux gouvernements étrangers, ils pointent inlassablement du doigt les implantations israéliennes, tenant les « colons » juifs pour seuls responsables du blocage des négociations de paix entre Jérusalem et Ramallah. Aujourd'hui, cette bande de terre est au centre du litige foncier le plus important au monde. Le terme Cisjordanie, relativement récent, est apparu il y a moins de 70 ans. Auparavant, la région était universellement connue sous le nom de Judée-Samarie. Ce n'est qu'en 1948, au cours de la guerre d'Indépendance, que les Jordaniens ont envahi puis annexé la région, la rebaptisant « Cisjordanie » (West Bank en anglais, en opposition à la rive Est du Jourdain).
Apparemment, peu d'éléments justifient l'intérêt international pour cette région. Ce territoire rocailleux et longtemps stérile s'étend sur moins de 6 000 km², des rives de la mer Morte à celles du Jourdain, et s'avance sur quelques kilomètres à l'intérieur des terres en direction de la Méditerranée. Environ 2 780 000 Palestiniens habitent les grandes villes telles que Bethléem, Djénine et Jéricho, tandis que 350 000 à 400 000 Juifs considèrent les localités de Kiriat Arba, Beit El, Shiloh et autres comme leur domicile. Bien avant l'occupation de ce territoire par les armées jordaniennes, des siècles avant que les Palestiniens ne cherchent à inscrire leur histoire sur cette terre sans traces de leur passage, et des millénaires avant qu'elle ne devienne un sujet de discorde pour les instances internationales, cette région était reconnue comme le cœur biblique de la nation d'Israël. Le nom de Yehouda VeShomron, comme cette région est appelée en hébreu, est tout à fait approprié. Cette région constitue le cadre de 80 % des événements relatés dans la Torah. Ses ruines, villages, collines et vallées ont été
arpentés et vénérés par les patriarches, ont servi de patrie aux prophètes, de champs de bataille aux juges bibliques et de sièges aux trônes des puissants rois d’Israël. Chaque pierre et chaque sillon de cette région portent les empreintes de l’histoire biblique du peuple juif. De nos jours, le monde reste enfermé

dans une rhétorique monolithique sur ce sujet et demeure fermé à tout débat concernant le récit, la propriété et même le nom de ce cœur biblique d’Israël. Cependant, si l’on met de côté les discours de victimisation palestinienne encouragés par le mouvement BDS et les médias internationaux, l’histoire de la Judée-Samarie se révèle relativement simple. Lorsqu’on considère les événements, les lieux et les personnages ayant contribué à cette histoire, cette parcelle foncière, bien que l'une des plus controversées au monde, devient incontestée.


L’histoire entremêle de manière indissociable les récits de la Judée-Samarie et ceux de l’ancien Israël. La première fournit le cadre où se déroule l'histoire du second. Ainsi, la Bible nous présente la région en même temps qu'elle évoque celui destiné à devenir le père du peuple juif. Il y a 4 000 ans, Dieu fit appel à Abraham, originaire d’Ur en Chaldée, pour fonder une nation. Toutefois, cette promesse était assortie d’une condition : il devait rassembler ses affaires et s’installer là où Dieu lui indiquerait. « L’Éternel dit à Abraham : “Quitte ton pays, ta patrie, et la maison de ton père, pour le pays que je te montrerai” (Genèse).

Abraham obéit à l'injonction divine et quitte sa maison pour la terre de Sa promesse. L’histoire poursuit : « Ils arrivèrent en terre de Canaan. Abraham parcourut le pays jusqu’au lieu appelé Sichem, jusqu'au chêne de Moré. » Plus de quatre millénaires après qu'Abraham ait foulé la Terre promise, les lieux mentionnés dans ce verset font partie intégrante de l'Israël moderne – et plus précisément de la Judée-Samarie. Elon Moreh (le chêne de Moré) est une colonie contemporaine de Samarie qui abrite environ 2 000 personnes, située sur le mont
Kabir, à l'est de Shechem (Naplouse). Cet endroit précis est celui où Abraham a installé son camp pour passer ses premières nuits en Terre promise. C'est également à Elon Moreh que le père du peuple juif a entendu le Tout-Puissant lui dire : « Je donnerai cette terre à tes descendants » (Genèse XII, 15). De nombreuses personnes ne réalisent tout simplement pas le lien entre l'histoire et les lieux mentionnés dans la Bible et les événements et endroits rapportés dans les journaux. C'est cette méconnaissance du contexte spécifique de la région qui empêche le monde de saisir ce que cette dernière représente et ce qui s'y passe. Il est crucial que les gens visitent la Judée-Samarie afin de confronter ce que décrivent les médias, les politiciens, les organisations pour la paix et les Palestiniens, avec le récit biblique.
Pendant la majeure partie de leurs vies, Abraham, Isaac et Jacob ont habité en JudéeSamarie. Hébron, située dans les montagnes de Judée, est le lieu de repos des patriarches et des matriarches ; c’est dans les plaines de Shechem que les frères de Joseph l’ont vendu en esclavage ; et c’est là que Josué a conduit la nation naissante, tout juste sortie de l’esclavage. Plus tard, sur les pentes rocheuses de Samarie, à Shiloh, le peuple d’Israël s’est rassemblé pour y établir le Tabernacle, où il demeura durant 369 ans. C’est également là que Dieu a entendu la prière silencieuse de Hanna et a créé un siège pour son fils Samuel, d’où il a dirigé la nation. C’est aussi dans les champs près de Bethléem que Boaz a remarqué pour la première fois une jeune femme de Moav qu’il a ensuite épousée ; Ruth est devenue l’arrièregrand-mère du souverain d’Israël le plus célèbre, le roi David, qui faisait paître ses troupeaux dans les pâturages de Judée avant que Samuel, au nom de Dieu, annonce que le jeune garçon roux serait le prochain dirigeant de la nation. David a régné à partir de Hébron avant de transférer la capitale d’Israël à Jérusalem. Les prophètes Isaïe et Jérémie, depuis la Judée, ont également annoncé la guerre et la destruction. Lorsque leurs prophéties se sont réalisées, le peuple de Judée a été exilé à Babylone et n'est revenu que 70 ans plus tard. « Si les chrétiens connaissent ces événements à travers la Bible, pour le peuple juif, il s'agit des chroniques authentiques de son passé. La Judée-Samarie représente le noyau central de notre histoire. Malgré un exil de 2 000 ans, le


désir de retour n'a jamais faibli. Pour comprendre la transition de la JudéeSamarie à la Cisjordanie, il est nécessaire de revenir dans le passé. Lorsque les Romains réprimèrent la dernière résistance armée en Israël en l'an 135 de notre ère, le peuple juif fut de nouveau exilé, cette fois pour plus de 2 000 ans. Dans une tentative d'effacer toute trace de l'histoire juive de la région, l'empereur romain Hadrien décida de renommer Jérusalem en Aelia Capitolina, et la Judée-Samarie en Syria Palaestina, un nom choisi spécifiquement pour rappeler à Israël ses ennemis anciens, les Philistins. La Terre promise devint alors une terre de désolation, comme Dieu l'avait promis dans le Deutéronome (XXIX, 23) : « Et la terre entière n’est que soufre, sel, et se consume ; ni semence, ni produit, ni herbe ne croîtront… » Plusieurs armées étrangères, occupants et gouverneurs s'y succédèrent, puis partirent. En 1514, le puissant Empire ottoman entama sa conquête du Moyen-Orient. Les nations de la région tombèrent les unes après les autres aux mains des Turcs ottomans, qui unifièrent finalement toute la région – y compris la Terre promise – d'une main de fer. Le règne ottoman au Moyen-Orient prit fin des siècles plus tard, après la défaite des Turcs lors de la Première Guerre mondiale. Toutes les terres sous contrôle de l'empire passèrent alors sous commandement britannique, tandis que les Anglais et les Français se virent confier la responsabilité de diviser le vaste territoire en nations. En novembre 1917, les Britanniques publièrent la Déclaration Balfour, affirmant leur soutien à la renaissance d'un État juif sur ses terres ancestrales.
Sous le Mandat britannique et français, des pays arabes comme la Syrie, le Liban, l’Irak et la Jordanie voient le jour. Le peuple juif hérite finalement de poches de territoire situées entre la Méditerranée et la rivière du Jourdain, à la suite du plan de partition des Nations unies de 1947, recommandant la division du territoire en deux États indépendants, l’un juif et l’autre arabe. Les Juifs acceptent cette proposition et l'État d'Israël est proclamé le 14 mai 1948, un jour avant l'expiration du Mandat britannique sur la Palestine. Les Arabes, quant à eux, déclinent l’offre et choisissent de lancer une guerre contre les Juifs, bien que ceux-ci soient en sous-nombre et désarmés. Contre toute attente, le jeune État parvient à repousser les armées de cinq pays arabes et remporte la victoire. Bien que la guerre
d’Indépendance ait cimenté la résurgence d’Israël sur la scène internationale, l'État juif y perd son cœur, la Judée-Samarie. En effet, l’armée jordanienne traverse le Jourdain et s'empare du territoire dans l’espoir de l’annexer. C'est ainsi que le terme "Cisjordanie" apparaît pour la première fois. Les Jordaniens exerceront une occupation illégale du territoire pendant 19 ans. En dehors de la Grande-Bretagne et du Pakistan, aucun pays n’a jamais reconnu à la Jordanie de souveraineté sur la JudéeSamarie. En 1967, Israël est entraîné dans une nouvelle guerre par ses ennemis. Après plusieurs jours de combats acharnés, l’État hébreu remporte une victoire décisive : l’armée jordanienne est repoussée de l’autre côté du Jourdain et le peuple juif retrouve ses terres ancestrales de Judée-Samarie.
La légitimité de la présence juive en JudéeSamarie repose sur trois principaux arguments :
1. Religieux : La Bible affirme que Dieu a donné cette terre au peuple juif, où les Patriarches ont vécu, fondé leurs familles et sont enterrés.
2. Historique : Des documents historiques, y compris des sources grecques et romaines, témoignent de la présence millénaire des Juifs dans cette région. La Déclaration Balfour de 1917 et les accords de San Remo de 1920 reconnaissent ces liens historiques.
3. Militaire : Israël n'a jamais choisi de faire la guerre ; les conflits, y compris la guerre d'Indépendance, la guerre des Six Jours et celle de Kippour, étaient défensifs. En 1967, Israël a récupéré un territoire qui lui appartenait et qui avait été volé.
Ces arguments soulignent le lien profond et indissoluble entre le peuple juif et la région de Judée-Samarie.
La cité de Gaza possède une histoire vieille de 5 000 ans, mais en raison de sa position stratégique sur la route de passage entre différents empires, elle a été soumise à de nombreuses dominations successives.
L'histoire de Gaza commence à l'ère du Bronze ancien avec l'établissement de la cité de Tell elAjjul, partiellement fouillée par les Britanniques dans les années 1930 et rasée par le Hamas en 2017. Vers 1500 avant notre ère, le pharaon Thoutmôsis III conquiert Canaan. La divinité de Gaza, Dagon, est associée à la chance et à la fortune.
Après la conquête de Canaan, Josué attribue Gaza à la tribu de Juda, bien que les Philistins,

un peuple venu de la mer Égée, y habitent déjà et forment une alliance de cinq cités : Gaza, Ashdod, Ashkelon, Gath et Ékron. Le terme "Philistin", d'où dérive "Palestine", signifie "invasion" en hébreu. Ces envahisseurs se mêlent à la population locale cananéenne, mais massacrent les Avvim, les habitants de Gaza, et prennent leur place.
Au Xe siècle avant notre ère, le royaume israélite se scinde entre Jéroboam et Roboam, plaçant Gaza dans le territoire du royaume du Nord. Le prophète Amos prophétisa contre Gaza en disant : « Ainsi parle l’Éternel : 'À cause du triple, du quadruple crime de Gaza, je ne révoquerai pas [mon décret]' » (Amos 1:6).
Pourquoi le texte mentionne-t-il un triple puis un quadruple crime ? Est-ce pour situer les trois crimes dans les temps bibliques et un quatrième dans les temps futurs ?
Après cette prophétie, Gaza subit trois punitions : par les Assyriens avec Téglath-Phalasar, par les Judéens avec le roi Ézéchias (2 Rois 18:8), et par le pharaon Nékao (Jérémie 47:1-2) qui l'éradiqua. Plus tard, le Perse Cambyse II reconstruisit une forteresse à Gaza, nommée Kadytis. Elle fut la seule forteresse du Levant à s'opposer à Alexandre le Grand, nécessitant un siège de cinq mois pour être conquise. Avec l'ère hellénistique, une paix relative s'installa dans un vaste empire homogène. Les nomades nabatéens, dont la capitale était Pétra, se sont établis sur les ruines de Gaza pour y construire un port de commerce maritime des épices. En parallèle, le royaume hasmonéen fut fondé et s'étendit considérablement sous le règne d'Alexandre Jannée. Lui aussi conquit Gaza nabatéenne après un long siège, mais ne la détruisit pas, son objectif étant de s'approprier son commerce lucratif. Il nomma Antipater gouverneur d'Idumée, incluant Gaza dans son domaine. Cette famille, originaire de Marésha en Basse-Judée, avait fait fortune dans l'élevage de colombes. Les visiteurs de ce site archéologique ne doivent pas manquer de découvrir ses vastes colombiers souterrains. Antipater sut tirer parti des dissensions entre les héritiers hasmonéens. Lorsque le général Pompée plaça la Judée sous tutelle romaine en 63 avant notre ère, Antipater s'allia à Rome. En récompense, il obtint la reconstruction de Gaza et la nomination de son fils Hérode en tant que Roi des Juifs. Après la mort d'Hérode, Gaza prospéra comme cité romaine. La ville était administrée par un conseil de 500 membres comprenant des Grecs, des Romains, des
Judéens et d'autres. Sous l'empereur Hadrien, un nouveau temple dédié au culte de Marnas, signifiant Seigneur en araméen, fut érigé, devenant le principal culte de la cité.
Le christianisme se répandit dans la région à partir de 250. L'évêque de Gaza, Porphyre, parvint à convaincre l'empereur byzantin de détruire les temples païens de la ville. Cela fut accompli en 402, et une basilique dédiée à l'impératrice Eudoxie fut construite à la place du temple de Marnas.
Les Juifs de Gaza construisirent également une synagogue unique en son genre, comportant cinq nefs. Cette synagogue, orientée est-ouest comme le Temple de Jérusalem, mesurait 30 mètres sur 26. Les fouilles archéologiques effectuées après la guerre des Six Jours y ont révélé de magnifiques mosaïques, dont une célèbre représentant David jouant de la lyre, avec son nom inscrit en hébreu (« דויד »). Autour de lui sont représentés un lion (symbole de Juda), un serpent (symbole des temps messianiques) et une girafe (symbole de grâce et de sagesse). La mosaïque du sol comporte des médaillons avec des animaux, similaires à ceux de la synagogue de Ma'on, découverte près de Gaza. Les Byzantins tolérèrent la présence des Juifs jusqu'à un certain point. Leur présence à Gaza déclina après l'incendie de leur belle synagogue. Peu de traces de leur présence subsistent durant les siècles suivants, jusqu'au règne des Mamelouks, lorsque les Juifs furent autorisés à revenir s'installer. Nous avons le témoignage de Meshullam de Volterra, un voyageur juif italien de 1481, pour en attester : « On y trouve du pain et du bon vin ». Sous les Mamelouks, relativement tolérants, la communauté juive de Gaza devint la troisième en importance après celles de Jérusalem et de Safed.
Gaza refit parler d'elle en 1917 lorsque l'armée britannique affronta l'armée turque. En novembre, la ville finit par tomber aux mains des Britanniques, et le général Allenby fit une entrée triomphale à Jérusalem lors de la fête de Hanouca en décembre 1917. Au XXe siècle, Gaza fit partie de la Palestine mandataire et, après la guerre de 1948, accueillit des camps de réfugiés arabes. Depuis 2007, Gaza est sous le contrôle du Hamas.
La conclusion de tout ce que nous venons d’évoquer n’a jamais été aussi simple. Que ce soit la Judée-Samarie ou Gaza, il n’y a aucune légitimité.



LA BANQUE SUR MESURE : LA SUCCURSALE DE BANQUE PRIVÉE À NETANYA S’ADAPTE À LA LANGUE DU CLIENT
La succursale IPB (International Private Banking) NETANYA de la Banque Mizrahi Tefahot, située dans le complexe SOHO à l'entrée sud de Netanya, offre un service VIP dédié aux clients internationaux, avec une équipe francophone experte dans l'accompagnement financier complet incluant les dépôts et le marché des capitaux. « Fort de notre expérience professionnelle, nous sommes en mesure d'apporter une réelle valeur ajoutée à nos clients en les accompagnant selon les exigences réglementaires du marché local », déclare Tsionna Berros, directrice de la succursale. La succursale de Banque Privée de Mizrahi Tefahot s'est affirmée comme un centre financier au service de la communauté multiculturelle de la région. La combinaison d'un emplacement accessible et d'une équipe professionnelle bilingue en français et en anglais, permet à la succursale de fournir une réponse complète à ses clients. « Notre équipe est experte dans l'adaptation des services bancaires en fonction des besoins spécifiques de chaque client », explique Tsionna. « Nous sommes capables de fournir une réponse professionnelle qui relie les exigences locales aux normes bancaires internationales. »
Banque Privée sur mesure dans un cadre cosmopolite
La succursale offre des services bancaires complets aux clients privés et professionnels, en particulier aux francophones et anglophones. Une grande partie de nos clients sont des résidents étrangers, des nouveaux immigrants ou anciens qui vivent en Israël depuis de nombreuses années,et qui préfèrent gérer leurs affaires financières directement en français ou en anglais, leur langue maternelle », explique Tsionna, qui elle-même a fait son alya de France il y a environ 11 ans. Selon elle, en plus des services bancaires et financiers, la succursale se spécialise dans deux domaines principaux : les dépôts de comptes à terme et les investissements sur le marché des capitaux. En tant que Française, Tsionna comprend bien l'importance d'un service personnel et direct, dans la langue qui leur est familière. « Je crois que chaque client doit se sentir à l'aise et compris lorsqu'il s'adresse à son banquier, surtout lorsqu'il s'agit de la gestion financière de ses avoirs, qui sont parfois l'économie de toute une vie», décrit-elle, ajoutant que la connaissance de son équipe des cultures, de la langue et des coutumes permettent de combler les lacunes et d'offrir un service de meilleure qualité.
Une gamme de services personnalisés
L'avantage principal de la succursale réside dans l'expertise et le professionnalisme de son personnel. Tsionna elle-même, par exemple, expert-comptable en France avant son alya, souligne: « nous savons comprendre les documents financiers étrangers et mettre l'accent sur les points clefs lors de l'analyse des rapports financiers. Notre expertise nous permet d'offrir des solutions avancées même aux entreprises à capitaux étrangers. » Selon elle, la particularité de la banque Mizrahi Tefahot se manifeste non seulement dans les conditions de services adaptées à chaque client, mais aussi dans l'opportunité que la banque offre aux olim de s'intégrer dans l'organisation. «Travailler et rejoindre la banque après mon Alya a été un veritable changement pour moi », raconte Tsionna. « La banque m'a donnée la chance de grandir au sein du système et aujourd'hui, après moins d'une décennie, je dirige une agence de quatre employés apportant chacun son savoir-faire et son expérience. J'apprécie beaucoup l'opportunité que la Banque Mizrahi Tefahot m'a offerte. »
Se sentir chez soi – un service qui va vers vous
En plus du service professionnel, la succursale boutique bénéficie d'une atmosphère familiale et informelle, permettant à chaque client de se sentir en confiance. « Nous sommes une équipe qui travaille ensemble depuis longtemps, nous connaissons personnellement la plupart des clients et nous nous assurons de comprendre les besoins de chacun », explique Tsionna. En effet, la bonne réputation que la succursale a acquise au fil des années a conduit à l'arrivée de nouveaux clients sur la base de recommandations personnelles et à la création de relations de confiance. « Nous accompagnons les clients dans tous les domaines financiers ainsi que, ponctuellement, dans des questions qui ne relèvent pas uniquement du service bancaire », conclut-elle, « car au final, nous voulons tous ressentir de la sécurité, de la confiance et savoir que nous sommes entre de bonnes mains. »

Succursale de Banque Privée Netanya : 5 rue Meffi, Complexe SOHO, Rez-de-chaussée Téléphone : 076-804-1410
Email : mt.541@umtb.co.il
Mizrahi Tefahot





senior adviser au Gatestone Institute, New York, senior fellow à l’American Freedom alliance à Los Angeles
LA RÉVOLUTION TRUMP POUR LE PROCHE-ORIENT NE FAIT QUE COMMENCER
Les propositions du président américain Donald Trump pour la bande de Gaza énoncées le 4 février dernier à la Maison Blanche, au côté du Premier ministre israélien Binyamin Netanyahou, ont suscité un choc dans le monde entier, et le choc a été suivi d’un flot ininterrompu de réactions négatives et insultantes venues de la gauche américaine et des principaux dirigeants européens. Trump a été accusé de ne rien comprendre au Proche-Orient, de vouloir annihiler le « peuple palestinien », de vouloir procéder à une « épuration ethnique ». Les pays du monde arabe ont immédiatement rejeté ce que Trump a proposé. Quelques trop rares commentateurs ont dit que Trump proposait une nouvelle voie susceptible de permettre de résoudre un problème sans solution depuis des décennies. Ces commentateurs ont eu raison. La solution à deux États n’a jamais été une solution et les très délétères accords d’Oslo sont morts depuis longtemps. Quiconque ne substitue pas la propagande anti-israélienne à la réalité des faits sait que le monde arabe n’a pas accepté la création d’Israël pour des motifs islamiques, qui stipulent qu’une terre conquise par l’islam doit rester musulmane pour l’éternité, et une première guerre de destruction a été lancée contre Israël par les pays arabes dès 1948. Israël a gagné. Une deuxième guerre de destruction a été enclenchée contre Israël par les mêmes pays arabes en 1967. Israël a gagné,

de manière plus éclatante encore. Une troisième guerre de destruction a été lancée contre Israël par les mêmes pays encore en 1973. La guerre a été plus âpre, mais Israël a gagné pour la troisième fois. En 1964, l’Union soviétique a suggéré aux dirigeants arabes de cacher leur volonté de détruire Israël derrière une « lutte de libération nationale », et a inventé la « cause palestinienne ». Trois années plus tard, la notion de « peuple palestinien » a fait son apparition. Les Arabes qui avaient quitté la terre d’Israël en 1948 et avaient été maintenus par le monde arabe dans des camps de réfugiés ont appris qu’ils étaient le « peuple palestinien » et qu’ils devaient mener une « lutte de libération nationale » contre Israël par le terrorisme. Leur cerveau a été lessivé, et ils ont fini par dire qu’ils étaient le « peuple palestinien », ce qui ne change rien à la réalité : le « peuple palestinien » a été inventé en même temps que la « cause palestinienne ». Le monde arabe a soutenu la « cause palestinienne », comme l’Union soviétique le lui avait suggéré. Les pays du monde occidental se sont laissés contaminer par la propagande et ont fini par soutenir la « cause palestinienne » eux aussi. Des dirigeants israéliens ont cédé et, en 1983, ont signé les accords d’Oslo. Il est vite devenu flagrant que les dirigeants « palestiniens » ne voulaient pas d’un État et étaient programmés pour vouloir la destruction d’Israël, et des attentats PAR GUY MILLIERE Ecrivain, géopolitologue,

atroces ont suivi. Des dirigeants israéliens ont voulu céder encore, et n’ont rien obtenu sinon davantage d’attentats. L’Autorité Palestinienne a été dès sa naissance une entité terroriste abjecte. La bande de Gaza abandonnée par Ariel Sharon aux terroristes en 2005 est passée en 2007 aux mains d’un groupe terroriste plus abject encore que l’Autorité Palestinienne, le Hamas. Confronté aux injonctions internationales, Israël a tenté de s’accommoder de la situation. Jusqu’au moment où un président américain ami d’Israël a voulu faire avancer la paix au Proche-Orient sans rien céder à la « cause palestinienne », Donald Trump : et cela a conduit aux accords d’Abraham, qui ont permis la paix entre quatre pays arabes et Israël. Ce président a été remplacé, suite à une élection très litigieuse, par un homme, Joe Biden, qui s’est conduit, comme Barack Obama avant lui, en ennemi résolu d’Israël et en ami du pire ennemi d’Israël, la République islamique d’Iran, à laquelle il a permis de toucher plus de cent milliards de dollars, aussitôt utilisés pour financer le Hezbollah et le Hamas, et cela a conduit à l’atroce attaque génocidaire du 7 octobre 2023. Binyamin Netanyahou a compris que le moment était venu de ne plus céder aux injonctions internationales, et il a mené la guerre pour la destruction du Hamas, puis pour celle du Hezbollah. Il a répliqué aux attaques par missiles de l’Iran contre Israël en détruisant les systèmes de défense anti-aérienne du pays. Il n’a pu détruire entièrement le Hamas en raison du fait que celui-ci détient encore des otages, mais aussi parce que l’administration Biden a freiné les livraisons d’armes à Israël. Le retour au pouvoir de Donald Trump a changé radicalement la situation.

Seul le Hamas a des projets d’épuration ethnique !

Les propositions de Donald Trump ne proposent pas seulement une nouvelle voie. Elles sont révolutionnaires et pourraient permettre d’en finir avec la monstrueuse « cause palestinienne ». Trump veut la destruction du Hamas, par la force, ou par le départ de tous ses membres, et il veut donc ce que veut Israël. Il ne veut pas que la bande de Gaza soit administrée par l’Autorité Palestinienne, car il sait ce qu’est l’Autorité Palestinienne et sait que lui confier la bande de Gaza conduirait au retour du Hamas au pouvoir (les Arabes appelés « palestiniens » soutiennent massivement le Hamas et ses projets génocidaires). Il veut le départ des Arabes de la bande de Gaza, et non, ce ne serait pas
une « épuration ethnique » : les Arabes de Gaza ne constituent pas une ethnie et ne sont pas un peuple. Ce sont des Arabes fanatisés et imprégnés de haine anti-juive par le Hamas, et ils n’ont aucune racine dans la bande de Gaza ou sur le territoire d’Israël. Ce sont les descendants d’Arabes qui ont quitté Israël en 1948-49 et venaient, pour l’essentiel, d’Égypte. Seul le Hamas a des projets d’épuration ethnique ! Trump ne veut aucun mal aux Arabes de Gaza, bien qu’ils soient pour la plupart d’entre eux complices des crimes du Hamas. Il veut qu’ils vivent ailleurs. Les pays du monde arabe veulent, eux, qu’ils continuent à vivre dans les décombres et sous le joug du Hamas parce qu’ils veulent sauver la « cause palestinienne » et parce qu’ils veulent que la guerre contre Israël continue. La gauche américaine et les principaux dirigeants européens veulent eux aussi que les Arabes de Gaza continuent à vivre dans les décombres et sous le joug du Hamas parce qu’ils veulent eux aussi sauver la « cause palestinienne », et parce qu’ils veulent eux aussi que la guerre contre Israël continue. Trump sait que la reconstruction de la bande de Gaza est impossible tant que le Hamas y sera et tant que deux millions de personnes y vivront dans des conditions insalubres (presque tous les immeubles de Gaza sont détruits en raison de la politique du Hamas). Il veut que la guerre cesse, que la paix s’installe et que les accords d’Abraham s’élargissent et s’approfondissent. Il lui a fallu quatre ans pour que les accords d’Abraham soient signés. Il lui faudra peut-être autant de temps pour que ses propositions concernant Gaza avancent. Il ne renoncera pas. Il veut une bande de Gaza sans terroristes et sans menaces pour Israël, reconstruite sous l’égide des États-Unis, et, à terme, restituée à Israël, pour un motif légitime : la bande de Gaza faisait partie du territoire défini comme devant être le foyer national juif à la conférence de San Remo en 1920. Il veut une paix régionale sans « État palestinien » et avec une « cause palestinienne » conduite vers l’obsolescence. Il veut une Judée-Samarie israélienne, et la JudéeSamarie faisait aussi partie du territoire défini comme devant être le foyer national juif à San Remo. La question des Arabes vivant sur les terres de Judée-Samarie occupées par l’Autorité Palestinienne restera à régler. Elle le sera. La révolution Trump pour le Proche-Orient ne fait que commencer.




L’INDÉFECTIBLE LIEN, UNE TERRE : ISRAËL, POUR UN SEUL PEUPLE : ISRAËL
Avant même de recevoir la Torah, le peuple juif appartenait déjà à la terre d’Israël. « Nous sommes venus sur cette terre pour la construire et être construits par elle ».
sentielle du destin juif. Il précise même, dans son Mishné Torah, Hilkhot Melakhim 6:1, les règles concernant la guerre et l'expulsion d'ennemis dangereux pour le pays d'Israël.
Ce chant des Haloutzim (pionniers) des années 1920/30 fait écho à l’esprit de la Torah et du peuple qui la garde.
Nous aspirons a la paix, mais nous sommes assaillis par des attaques impitoyables et incessantes. Chaque main tendue a ete trahie par des attentats aveugles, frappant sans distinction ceux qui n'ont pour seul « tort » que d'aimer la vie. Notre quotidien est devenu une cible permanente, nous ne tolérerons plus cette menace qui pèse sur notre existence.
L'ennemi, ancré dans une idéologie d'élimination du sionisme, ne laisse guère d'espoir pour un futur pacifique. L’article 15 de leur charte de 1968 appelle l’ensemble de la nation arabe, peuples et gouvernements, à considérer la libération de la Palestine comme un devoir national. Il exhorte à mobiliser toutes les ressources militaires, humaines, morales et spirituelles pour soutenir activement le peuple palestinien dans sa lutte armée, jusqu'à l'élimination du sionisme en Palestine et la libération complète de la patrie. Un complément en 1974 : « purifier la Palestine de la présence sioniste »
Sous les règnes de David et Salomon (XIe - Xe siècle av. J.C), le royaume unifié d’Israël était prospère, avec Jérusalem comme capitale et centre spirituel. Mais dès le VIIIe siècle av. J.C, les invasions assyriennes, babyloniennes, perses, grecques et romaines commencent à remettre en cause la souveraineté juive. Les Juifs furent contraints à l’exil, tandis que leur terre a vu s’installer des puissances étrangères. La souveraineté juive, bien qu'interrompue, n'a jamais totalement disparu.

Notre droit ancestral et millénaire sur la terre d'Israël, est inaliénable et éternel et toute remise en question doit être éradiquée !
Les sages mettent en lumière nos textes qui soulignent sans équivoque notre obligation d'expulser les occupants de notre terre pour préserver notre identité et notre sécurité.
Aujourd’hui, nous faisons face à un enjeu majeur : le retour des Juifs sur leur terre historique, la Judée-Samarie, ainsi qu'à une hypothèse fondée concernant le déplacement d’une population de diverses nationalités depuis la bande de Gaza.
Le retour en Judée-Samarie occupée en 1948 puis annexée en 1949 par la Transjordanie, est une réappropriation juste de notre histoire, de notre mémoire collective.
Seuls les naïfs peuvent penser que nous pourrions envisager une coexistence !
Les juifs, font progresser l’humanité dans tous les domaines, quand « d’autres » condamnent leurs peuples à la régression ! Le sionisme va au-delà du nationalisme et n’est pas une simple idéologie politique ; il incarne une exigence éthique et un profond engagement spirituel, reliant le peuple juif à sa terre, à sa foi. Maïmonide, connu pour sa philosophie rationnelle et sa codification de la loi juive, évoque la Terre d’Israël comme une composante es-
A l’inverse, la migration tardive de populations originaires d’Égypte, de Jordanie, d’Arabie, du Yémen, de Syrie et du Liban souvent encouragées par l’Empire ottoman et les Britanniques au XXe siècle pour des raisons économiques et politiques, soulève une question fondamentale : leur légitimité a occuper une terre ou elles ne sont établies que depuis moins d’un siècle.
L’histoire humaine est marquée par les mouvements de populations, tels : -1962 Accords d’Evian, 1 million de français contraints de quitter l’Algérie dont 130 000 juifs.
-de 1940 à 1970, 850 000 à 1 million de Juifs quittent les pays musulmans sous la pression de violences antijuives et des conflits liés à la création de l'État d'Israël en 1948 et des guerres de 1956 & 1967. Depuis le retrait israélien de 2005, Gaza est sous le contrôle du Hamas, transformée en un foyer d’hostilité permanente contre Israël et avec le soutien des gazaouis. Le 7 octobre a marqué un point de non-retour : Israël ne peut plus tolérer un sanctuaire terroriste sur son « palier ».

Seuls les naïfs peuvent penser que nous pourrions envisager une coexistence !

Dans Netzah' Israël "L'Éternité d'Israël", le Maharal aborde l'historiosophie du peuple juif, soulignant que les épreuves de l'exil et les délivrances, comme Pessah, sont liées a la promesse divine de la Terre d'Israël. Pour lui, la véritable complétude du peuple juif ne peut être atteinte qu'en revenant et en s'établissant sur cette terre, faisant de Pessah un symbole de libération et de cheminement vers la réalisation de la destinée juive.
L’échec des accords d’Oslo et l’illusion d’une solution à deux États révèlent des réalités plus profondes où l'identité et l'histoire priment. L’Occident, avec sa vision séculière, a voulu imposer une solution artificielle basée sur le compromis. Au Proche-Orient, la force et les logiques spirituelles dicteront les changements.
La volonté des Palestiniens de détruire l’état d’Israël, s’accompagne d’une manne financière, qui soutient leurs objectifs. Depuis 1994, des milliards leurs ont été alloués : l’Europe, environ 7 milliards d’€, les Etats-Unis, 6 milliards de $, Pays arabes, l'Arabie saoudite, les Émirats et le Qatar, plusieurs milliards de $. Organisations internationales : UNRWA et autres agences de l'ONU assurent une aide continue, avec un budget annuel de centaines de millions de $
Le défi du XXIe siècle pour Israël est d’allier sécurité et identité nationale. Le reenracinement juif repose sur l’affirmation claire des droits historiques, religieux et politiques du peuple juif sur sa terre. Nos textes les plus anciens anticipaient déjà ces réalités géopolitiques.
De son côté, Manitou enseigne que Pessah représente non seulement cette libération, mais aussi le passage d'une existence subie a une destinée assumée, ou la sortie d'Egypte devient la 1 ère étape d'un processus de reconstruction nationale et spirituelle menant a la souveraineté sur la terre. En 2025, son enseignement résonne face aux questions sécuritaires et aux débats sur l'identité d'Israël, rappelant que la présence juive en Israël dépasse la politique pour s'inscrire dans une mission spirituelle et Historique.
Réduire la population de Gaza et accroitre celle de Judee-Samarie marque un basculement profond qui dépasse les seuls enjeux militaires et diplomatiques. Ce mouvement s’inscrit dans une dynamique métahistorique ou identité, Histoire et foi convergent pour façonner le destin des nations.
Pessah nous appelle a repenser notre responsabilité collective et a embrasser la diversité du peuple juif, afin de préserver notre souveraineté, notre terre et notre Torah, qui sont les piliers de notre héritage commun.



NOTRE LIBÉRATION : ENTRE MÉMOIRE ET ESPOIR
La fête de Pessah approche, portant en elle la symbolique puissante de la libération, du passage de l’oppression à la liberté. Chaque année, nous nous rassemblons pour commémorer la sortie d’Égypte, ce moment fondateur où notre peuple a conquis son indépendance après des années d’asservissement au service de Pharaon. Mais cette année, cette notion de libération prend une résonance toute particulière. Depuis le 7 octobre, Israël traverse l’un des chapitres les plus éprouvants de son histoire récente. L’opération militaire en cours à Gaza a marqué un tournant décisif. Une réalité qui cristallise à la fois notre combat pour la sécurité et notre attachement indéfectible à notre terre.
Une libération à plusieurs visages
La libération que nous célébrons à Pessah ne se limite pas à un événement du passé. Elle est un processus en perpétuel renouvellement, un défi que nous devons relever à chaque génération. Cette année, elle s’incarne dans plusieurs dimensions :
• La libération physique : celle qui nous permet de garantir un avenir plus sûr pour nos familles, en éradiquant la menace terroriste et en restaurant un sentiment de sécurité dans chaque maison israélienne.


nons, nous participons à cette dynamique de libération, non pas seulement militaire ou politique, mais aussi sociale et culturelle. Car être libre, c’est aussi avoir les moyens de s’épanouir, de se sentir chez soi et d’avoir confiance en l’avenir.
Pessah 5785 : Une promesse renouvelée
La libération ne se décrète pas, elle se construit
• La libération spirituelle et nationale : en renforçant l'identité juive sur notre terre ancestrale.
Netanya, une ville enracinée dans l’unité
En tant que conseillère municipale à Netanya, je vois chaque jour à quel point notre ville est le reflet de cette libération en marche. Netanya est un modèle de résilience, d’intégration et d’unité. Nos efforts pour accueillir les Olim Hadashim, pour renforcer les liens entre les différentes communautés et pour assurer une vie digne à chacun sont autant de preuves de notre engagement à bâtir un Israël fort et enraciné.
À travers les projets municipaux que nous me-

À l’approche de Pessah, je veux adresser un message d’espoir et de détermination. La libération ne se décrète pas, elle se construit. Elle est l’héritage que nous portons depuis des millénaires, mais aussi la responsabilité que nous devons assumer aujourd’hui. Nous avons traversé des épreuves. Nous avons pleuré nos disparus. Nous avons ressenti l’angoisse de l’incertitude. Mais nous avons aussi prouvé que nous sommes un peuple uni, debout, prêt à défendre sa terre et ses valeurs.
Que cette fête de Pessah soit un symbole de renouveau, de force et de foi en notre avenir. Que notre libération, en tant qu’individus et en tant que nation, continue de guider nos pas vers un Israël toujours plus enraciné, libre et souverain.
À vous tous, chers lecteurs, ainsi qu'à vos familles et à vos proches, je souhaite un Pessah Cacher vé Sameach !



ISRAËL, PAYS DE L'ÉVÉNEMENT PERPÉTUEL
Nous voici à l'approche de Pessah, la fête de la liberté. Ce que les peuples n'arrivent pas à comprendre, c'est que le peuple d'Israël ne peut être dompté que par un seul : D.ieu, car c'est Son peuple. Toutes les forces du mal peuvent nous toucher, mais pas nous anéantir. Pour preuve, où sont les grands empires ? Tous ont disparu.
Commençons par le début et ce qui est actuel : Gaza
Gaza est citée quelques 22 fois dans la Bible, dans différents événements. Mais celui qui est le plus marquant, évidemment, est l'épisode où Shimshon (Samson) emporte les Philistins dans sa mort. Très important : les Philistins d'antan ne sont pas les Palestiniens d'aujourd'hui. Les Philistins ont disparu comme de nombreux autres peuples. Ils n'ont aucun rapport. Pour dire vrai, cette ré-

gion n'a jamais cherché à vivre en paix.
Comment s'est remplie Gaza ?
Gaza a toujours été considérée par les pays arabes comme un ex-territoire, et les tribus qui posaient problème étaient expédiées làbas. C'est comme cela que Gaza a été remplie. Il n'y a pas de peuple "gazaoui". C'est un amalgame de tribus qui n'ont en commun que l'Islam et aucune histoire commune ancestrale. Ceux qui étaient responsables de Gaza étaient les Égyptiens, qui eux-mêmes avaient souffert de ces troubles-fêtes. Mais eux savaient les mater, sans devoir rendre des comptes à qui que ce soit.
Si nos frères n'étaient pas pris en otages, Gaza aurait disparu totalement sous les bombes

A la guerre des Six Jours, Israël s'empare du Sinaï et de la bande de Gaza. Lors des accords avec l'Égypte, celleci refuse de reprendre le pouvoir à Gaza, laissant la responsabilité à Israël. Gaza était sous l'autorité militaire israé-


lienne jusqu’à la création de l'Autorité palestinienne, qui en a pris la direction. Cependant, Israël avait créé des villages (Goush Katif) florissants qui défendaient le sud d'Israël. Malheureusement, Arik Sharon a retourné sa veste et, avec l'aide massive de la presse et de députés de "droite" (sans ossature idéologique), a démantelé tous les villages, créant une déchirure irréversible dans la société israélienne.
Aujourd'hui, nous voyons que Gaza, sous la coupe du Hamas (mis au pouvoir par un vote massif en sa faveur), qui pensait priver Israël de liberté, s'est vue pratiquement détruite. Et si nos frères n’étaient pas pris en otages, Gaza aurait disparu totalement sous les bombes.
Pessah
Yom Haatsmaout et Pessah sont deux fêtes qui me sont très proches, car toutes deux envoient un message fort : LA LIBERTÉ.
Le passage qui parle des rabbins réunis toute la nuit à Bnei Brak jusqu’à ce que leurs disciples leur disent qu'il était temps de faire la prière du matin (Shaharit) est significatif. Certains commentateurs expliquent qu'ils ne parlaient pas seulement de Torah, mais surtout de comment se soulever et combattre l'ennemi pour retrouver la LIBERTÉ.
Cette notion de liberté est tellement ancrée dans notre peuple que personne n'imagine une situation de soumission. Et pour preuve, ces dizaines de milliers de jeunes et de moins jeunes qui ont combattu à Gaza et sur les autres fronts pour garantir une seule chose : HEROUT (liberté).
Souhaitons que nos otages retrouvent leurs familles très rapidement, que les milliers de blessés retrouvent leur santé et que tous nos soldats reviennent sains et saufs.
Amen


FUSION DE PRÊTS DANS
L'HYPOTHÈQUE : VERS UNE LIBERTÉ
ÉCONOMIQUE À L'APPROCHE DE PESSAH
Al'approche de Pessah, la fête de la liberté, il est opportun de réfléchir à la notion de liberté économique. Tout comme le peuple d'Israël a quitté l'Égypte pour obtenir sa liberté, de nombreuses personnes cherchent des moyens d'atteindre leur propre autonomie financière dans le monde moderne. Parmi les solutions envisageables pour accéder à cette liberté, la fusion des prêts dans l'hypothèque se présente comme une option intéressante.
Qu'est-ce que la fusion des prêts dans l'hypothèque ?
La fusion des prêts est un processus par lequel plusieurs emprunts sont regroupés en un seul. Cela s'applique généralement lorsque qu'une personne détient plusieurs prêts personnels,
prêts à la consommation ou cartes de crédit. Plutôt que de rembourser chaque prêt séparément, il est possible de les combiner au sein d'un unique prêt hypothécaire. Cette démarche se traduit par un paiement mensuel unique, souvent assorti d'un taux d'intérêt plus favorable et, dans certains cas, d'une période de remboursement prolongée.
Liberté financière et gestion optimisée des finances
La célébration de Pessah, qui symbolise notre sortie de l'esclavage vers la liberté, nous rappelle également l'importance de la liberté financière. Ce concept fait référence à la capacité de gérer sa situation économique de manière autonome, sans être accablé par des dettes pesantes. La fusion des prêts dans l'hy-


pothèque peut constituer une étape significative vers la réalisation de cette liberté.
Transitionner d'une situation financière désordonnée à une gestion plus efficace des finances peut être la clé pour se libérer des dettes. En regroupant les prêts, il est possible de diminuer la pression des paiements mensuels, de réduire le stress et d'optimiser son budget. Cela représente un véritable pas en avant vers la liberté économique.

prêts n'est pas nécessairement la solution idéale pour tout le monde. Elle dépend du montant des emprunts, de la capacité de remboursement et de la situation financière globale de l'individu. Néanmoins, pour ceux qui éprouvent des difficultés à gérer leurs dettes, la fusion des prêts pourrait représenter une solution efficace pour reprendre le contrôle de leurs finances.
Pessah : un moment propice pour envisager la libération financière
Comment la fusion des prêts favorise-t-elle la liberté financière ?
1. Réduction des taux d'intérêt et des paiements mensuels : La fusion des prêts peut permettre d'obtenir un taux d'intérêt moins élevé, notamment si l'on opte pour une hypothèque sur un bien immobilier, ce qui réduit les paiements mensuels.
2. Réorganisation des dettes : Au lieu de gérer plusieurs paiements distincts, l'emprunteur effectue un seul versement, ce qui simplifie la gestion financière.
3. Simplicité : La multiplication des prêts peut engendrer un sentiment de désordre. Avec la fusion, la situation financière devient plus limpide et plus facile à gérer.
Quand envisager la fusion de prêts dans l'hypothèque ?
Il est important de noter que la fusion des
Pessah est une occasion privilégiée pour faire une pause et réfléchir à notre vie, tout en nous interrogeant sur la possibilité de nous libérer des fardeaux financiers. Tout comme nous aspirons à nous affranchir de l'esclavage dans nos vies personnelles, nous devons également chercher à atteindre la liberté financière et à rendre ce domaine plus accessible et agréable. La signification de Pessah, en tant que fête de la liberté, dépasse la simple libération de l'esclavage physique ; elle évoque également la nécessité de se libérer des chaînes économiques qui peuvent nous entraver. Grâce à des outils financiers adaptés, tels que la fusion des prêts, chacun peut envisager des moyens d'améliorer sa situation financière et d'atteindre une véritable autonomie économique.
HAG SAMEAH et que nous puissions tous connaître une véritable liberté financière ! AMEN



CHANGEMENT DE DOMICILE FISCAL, PLUS-VALUES LATENTES ET « EXIT-TAX »
Lors du changement de domicile fiscal hors de France et sous certaines conditions le contribuable est soumis à l’exigibilité d’une taxe portant sur les plus-values latentes des valeurs mobilières et titres détenus par le foyer fiscal : l’exit-tax. Cette mesure avait été prise dans le but de contrecarrer l’exil fiscal de contribuables qui entendaient échapper à la taxe sur les plus-values en cas de vente de droits sociaux et titres en transposant leur domicile fiscal vers des pays n’appliquant pas cette taxe.
QUELLE EST LA DEFINITION DE L’EXIT- TAX ?
qui souhaitent quitter le territoire français et transférer leur domicile fiscal à l’étranger.
QUELLES VONT ETRE LES CONDITIONS DE L’APPLICATION D’UNE TELLE TAXE ?

L’exit-tax est l’impôt sur le revenu et les prélèvements sociaux qui sont immédiatement exigibles sur les plus-values latentes des droits sociaux, valeurs, titres ou droits des personnes
Depuis le 03 Mars 2011 sont soumis à l’exit-tax les contribuables qui transfèrent leur domicile fiscal à l’étranger, cette loi a été modifiée par une loi rectificative en 2013 plus restrictive visant à augmenter le nombre de contribuables soumis à l’exit-tax. En plus d’avoir été fiscalement domicilié en France depuis au moins 6 des 10 années précédant le transfert de leur domicile fiscal.
-Les personnes qui détiennent à la date du départ directement ou indirectement avec les membres de leur foyer fiscal 50% des bénéfices d’une société.

-Les personnes qui possèdent un patrimoine en valeurs mobilières, droits sociaux et titres excédant 800.000 Euros et non plus seulement des droits détenus dans des sociétés. Restent exclues du domaine de l’exit-tax les SICAV.
QUELLES VONT ETRE LES LIMITES DE L’EXIGIBILITE DE L’EXIT-TAX ?
Lors de sa création il a été décidé que l’exit-tax ne serait le plus souvent exigée qu’au moment où les gains seraient effectifs c’est-à-dire au moment de la vente. Le contribuable peut donc bénéficier d’un sursis au paiement qui sera automatique s’il déménage dans un pays de l’union Européenne ou un pays signataire d’une convention allant dans le même sens. Dans les autres cas le contribuable est imposé immédiatement et doit déclarer ses plus- values et créances. Il doit remplir un formulaire et désigner un représentant fiscal et constituer des garanties préalablement au transfert hors de France.
Le sursis expirait et l’impôt était supprimé au bout de 8 ans si aucune vente n’était intervenue dans ce laps de temps. En 2013 ce sursis a été repoussé à 15 ans. Avant ce délai s’il y a
cession à titre onéreux l’impôt devient immédiatement exigible.
En contrepartie le contribuable se voit dégrevé ou remboursé de l’impôt payé.
• S’il revient en France pour s’y domicilier avant le délai de 15 ans, ce dégrèvement portera sur la portion des titres qui à la date de son retour demeurent encore dans son patrimoine. Le contribuable se trouve replacé dans la situation où il était au moment de son départ.
• S’il fait une donation des titres et créances.
• Par son décès.
Cette mesure trouve ses limites par le fait que l’impôt est supprimé au bout de 15 ans, qu’en vue d’optimiser les avantages fiscaux les contribuables détenant autour de 50% des parts sociales de société sont tentés de diminuer leur nombre de parts tout en adoptant des statuts leur permettant de conserver la gestion effective de la société.
C’est une gestion lourde pour le contribuable et les services fiscaux qui doivent actualiser la position fiscale tous les ans.
** Cet article ne peut être assimilé à une consultation et ne doit être entendu que comme une source d’information générale.



CONFLIT, FINANCES ET FAMILLES : GAZA, JUDÉE-SAMARIE ET LA VIE QUOTIDIENNE
Le conflit israélo-palestinien, avec ses épicentres à Gaza et en Judée-Samarie, n'est pas seulement une affaire de territoire et de politique. Il a des ramifications financières profondes, qui se répercutent directement sur la vie des familles. A Gaza, le blocus et les conflits armés récurrents ont dévasté l'économie. Les infrastructures sont en ruines, et l'aide internationale, bien que cruciale, peine à compenser les pertes économiques. Le stress et l'insécurité liés à la guerre pèsent lourdement sur le bien-être mental des familles en Israël.

En Judée-Samarie, la situation est différente, mais tout aussi complexe. L'incertitude politique et la prolongation de la guerre entravent le développement économique du pays. L'instabilité politique et les tensions au sein du peuple affectent les moyens de subsistance des familles. L'Autorité palestinienne, quant à elle, dépendante de l'aide internationale, se renforce de jour en jour, contrairement aux promesses du gouvernement censées anéantir le Hamas complètement.
bilité régionale peut dissuader les investissements étrangers et affecter le tourisme, ce qui a un impact direct sur l'emploi et les revenus. Les deux côtés du conflit dépendent de l'aide internationale. Les donateurs fournissent dans les territoires des fonds pour les besoins humanitaires, tandis que les États-Unis fournissent à Israël des armes.
Le conflit actuel a un impact dévastateur sur les finances nationales et le bien-être des familles israéliennes !

Au niveau familial, les conséquences économiques du conflit sont multiples. Les familles doivent adapter leurs budgets en fonction des fluctuations économiques, faire des choix difficiles en matière de dépenses et s'inquiéter pour l'avenir. L'instabilité économique engendre du stress et de l'anxiété, ce qui peut avoir des répercussions sur la santé mentale des membres de la famille.
Pour Israël, ce conflit engendre des coûts de sécurité considérables. Les dépenses militaires absorbent une part importante du budget national, ce qui peut limiter les investissements dans d'autres secteurs. Bien que l'économie israélienne soit considérée comme forte, les familles israéliennes ne sont pas à l'abri des conséquences économiques du conflit. L'insta-
En tant que conseillère financière, de plus en plus de familles me contactent pour les aider à gérer leur budget, car elles n’arrivent plus à « joindre les deux bouts ». D'où l’importance de savoir trier les dépenses importantes mais obligatoires et celles qui sont superflues et dont on peut se passer.
En fin de compte, le conflit actuel a un impact dévastateur sur les finances nationales et le bien-être des familles israéliennes. Il est crucial de s’adapter tant bien que mal à la situation actuelle, permettant ainsi aux familles de vivre dans la dignité et la sécurité. C’est ce qu’on appelle la résilience.



PESSA’H : COMMENT DÉLIVRER NOTRE PAYS DES CHAÎNES DU TERRORISME ?
Rabbi Nahman nous enseigne que trois fondements sacrés soutiennent l’édifice spirituel du Peuple juif : le Shabbat, la Terre d'Israël et le Tsadik. Ces trois notions sont interdépendantes et chacun, au fil de son chemin, est invité à s’y attacher et à s’y inclure. Car c’est en elles que réside l’essence même de notre être et la clé de notre élévation.
Le jour du Shabbat constitue la plus grande protection de notre Peuple, un sanctuaire de lumière et de paix au cœur du tumulte du monde. Celui qui veille sur le Shabbat, D.ieu veille sur lui. Plus un Juif s’y consacre avec ferveur — en élevant sa prière, en parant sa table de mets savoureux, en revêtant ses plus beaux habits et en chantant dans la joie — plus il s’imprègne de la sainteté de ce jour béni, dont seul le Peuple juif a été gracié.
La Terre d’Israël est empreinte d’une sainteté qui se dévoile à ceux qui la chérissent. Plus nous l’aimons et la respectons, plus elle se révèle à nous dans toute sa splendeur spirituelle. Sa fertilité est liée à la présence de ses enfants. Plus nous serons nombreux à y habiter, plus elle offrira avec générosité les fruits de sa bénédiction. Toutes les mitsvot réalisées en Israël ont une portée et une force spirituelle bien plus grandes que celles accomplies en dehors de notre Terre. Concernant le Tsadik, il constitue le canal par lequel nous recevons le flux divin. Ce dernier filtre la lumière d’Hachem et la rend accessible à sa génération. Ainsi, Moshé Rabbénou nous a transmis la Torah, Rabbi Chimon bar Yo’haï a ré-

vélé les mystères du Zohar, le Ari zal a dévoilé les profondeurs de la Kabbale, et le Baal Chem Tov a fait briller la vitalité de la ‘Hassidout. Chacun, à son époque, a été un phare guidant Israël à travers l’obscurité. Aujourd’hui, Rabbi Nahman nous offre les clés pour triompher du mal qui ronge notre époque, ce fléau qui étouffe l’âme sous le poids de la mélancolie et du désespoir.
Pour que le Peuple juif trouve le bon conseil, Rabbi Nahman nous enseigne qu’il faut d’abord passer par l’amertume. Comme à Pessa’h, où l’on mange le Maror avant la Matsa, qui signifie également « trouver » en hébreu.
L’amertume que traverse actuellement le Peuple juif sur sa Terre le dirige progressivement vers le bon conseil
L’amertume que traverse actuellement le Peuple juif sur sa Terre le dirige progressivement vers le bon conseil, celui qui tient compte du Tsadik, du Shabbat et du respect de notre Terre. Cela nous permet de bénéficier de la largeur d’esprit et de cœur nécessaires pour nous rapprocher définitivement de notre Créateur. Puisse D.ieu éveiller en nous la conscience des trois trésors qu’Il nous a accordés, afin que nous sachions les chérir à leur juste valeur. Car notre Terre, le Shabbat et le Tsadik sont bien plus que des dons précieux. Ils sont la clé de notre délivrance !

Que nous puissions, à Pessa’h, être libérés des chaînes des nations grâce à notre attachement aux Tsadikim. Alors, dans la paix et la sérénité, nous allumerons les bougies du saint Shabbat sur notre Terre, désormais illuminée et libérée de ceux qui l’obscurcissaient !




LE MICROBIOTE
Base de l’AMAIGRISSEMENT durable en BONNE SANTÉ PHYSIQUE et MENTALE
Souvent, avec gêne, on me pose la question : "C'est quoi le microbiote ?"
Les milliards de micro-organismes qu'abrite notre intestin forment le microbiote. Ces micro-organismes influencent notre santé ! Le microbiote intestinal joue un rôle crucial dans la digestion, le métabolisme, le système immunitaire et même notre humeur.
Des études menées il y a une dizaine d’années ont mis en évidence son impact sur la guérison de certaines maladies, ouvrant ainsi la voie à des solutions thérapeutiques révolutionnaires comme la TRANSPLANTATION FÉCALE.
Lors d'une conférence que je donnais il y a 8 ans, j’ai posé la question :
"Pourquoi ne pas utiliser la transplantation fécale dans le domaine de l’amaigrissement plutôt que ces opérations mutilantes devenues à la mode ?
Pourquoi ne pas pratiquer une transplantation fécale d’une personne mince et en bonne santé sur une personne obèse à la santé défaillante ?"
Comment se fait la connexion entre nos bactéries intestinales et notre bien-être ?

1 - Le MICROBIOTE et la GUÉRISON de certaines MALADIES
Un déséquilibre de la flore intestinale peut être à l'origine de nombreuses maladies.
En plus de provoquer une résistance à l'insuline (obésité, diabète), un microbiote déséquilibré accentue les poussées inflammatoires de l’intestin (maladie de Crohn), ainsi que les troubles digestifs (ballonnements, constipation, syndrome de l’intestin irritable).
Les solutions pour restaurer un microbiote endommagé :
- Réduire les aliments "pro-inflammatoires" : sucre, alcool, additifs.
- Intégrer des prébiotiques (aliments qui nourrissent les bonnes bactéries appelées probiotiques).
- Adopter un mode de vie sain : sommeil de qualité, activité physique régulière, gestion du stress.

- (Consulter mon livre : "Maigrir, perdre sa cellulite, grossir en bonne santé", vous y trouverez des explications pour ne pas interrompre la digestion des aliments, le rôle du nerf vague et sur le stress).
Un microbiote en bonne santé renforce le système immunitaire et nous protège des maladies.
2 - Le MICROBIOTE et l’AMAIGRISSEMENT
Votre microbiote pourrait bien être en cause ! Des chercheurs ont découvert que certaines bactéries favorisent le stockage des graisses et la sensation de faim, tandis que d’autres aident à brûler la graisse. Une alimentation déséquilibrée, riche en sucres raffinés et produits industriels, favorise les mauvaises bactéries, ralentissant ainsi la perte de poids.
Comment optimiser son microbiote pour maigrir ?
- Privilégier les fibres (fruits, légumes, céréales complètes), qui nourrissent les bonnes bactéries.
- Consommer des probiotiques (yaourts, kéfir, choucroute) pour enrichir la flore intestinale.
- Diminuer au maximum le sucre et les aliments ultra-transformés, qui favorisent l’inflammation et le déséquilibre du microbiote.
Un microbiote équilibré permet de mieux métaboliser les nutriments et de limiter la prise de poids, rendant ainsi l’AMAIGRISSEMENT plus EFFICACE et DURABLE !
3 - La TRANSPLANTATION FÉCALE : une RÉVOLUTION MÉDICALE
Lorsqu’un microbiote est gravement déséquilibré, une simple modification alimentaire ne suffit pas. C’est là qu’intervient une technique étonnante : la transplantation fécale. Cette méthode consiste à transférer le microbiote intestinal d’une personne en bonne santé à un patient souffrant d’une maladie liée à un microbiote déficient.
Concrètement, cela signifie injecter dans l’intestin du patient une solution contenant les selles d’un donneur sain, riche en bonnes bactéries.
On l’utilise notamment pour traiter les infections à Clostridium et les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin.
Les recherches sur cette technique sont en cours, notamment pour réduire l’inflammation, l’obésité et le diabète.
Les résultats prometteurs de cette méthode encore en développement pourraient, je l’espère, devenir la médecine de demain et permettre de guérir des maladies comme l'obésité !
PRENDRE SOIN de son MICROBIOTE, c’est investir dans sa santé sur le long terme !
NB : J’accompagne ceux qui souhaitent réaliser "la détox du printemps" tout en renforçant leur microbiote.


PAR DAVID GALLULA Ecrivain, Penseur Juive, Mohel
QUAND VIENDRA LE TEMPS DE NOTRE LIBÉRATION ?
Cher lecteur, la Terre d’Israël occupe une place centrale dans nos textes sacrés, et plusieurs de ses villes sont mentionnées à travers les récits historiques et prophétiques. Gaza, la Judée-Samarie, Hébron et Jéricho sont autant de lieux chargés de sens, témoins des promesses divines et des conflits récurrents qui jalonnent l’histoire du peuple juif.
C’est, par exemple, à Gaza que le juge Samson, connu pour sa force extraordinaire, fut capturé. Cette force lui venait du vœu de Naziréat, qui lui interdisait de se couper les cheveux et de boire du vin. Trompé par les Philistins, ceux-ci envoyèrent Dalila pour le séduire et lui soutirer le secret de sa puissance. Capturé à Gaza, Samson fut aveuglé par ses ennemis. Mais dans un dernier acte de foi, il implora Hachem de lui redonner sa force une ultime fois. Exauçant sa prière, il fit s’effondrer le temple philistin, périssant avec ses bourreaux dans un acte héroïque, accompagné de son célèbre appel : « Souviens-toi de moi et sauve-moi, venge-moi des Philistins. »

Par ailleurs, le prophète Amos évoque la destruction de Gaza en raison des crimes commis contre Israël. Ces crimes ressemblent étrangement à ceux du pogrom du 7 octobre : "À cause de trois crimes de Gaza, même de quatre, je ne révoquerai pas son
À LA VIE
arrêt, parce qu’ils ont emmené captifs des populations entières pour les livrer à Édom. J’enverrai le feu dans les murs de Gaza, et il en dévorera les palais." (Amos 1:6-7)

Concernant Jéricho, cette ville fut conquise par Josué au prix de ruse et de courage, suivant les instructions divines. Enfin, Hébron et Bethléem sont, elles aussi, des symboles fondamentaux du judaïsme. Hébron abrite le Caveau des Patriarches, où reposent Avraham, Its’hak et Yaakov, ainsi que Sarah, Rivka et Léa. Bethléem, quant à elle, est le lieu du tombeau de Rachel, tandis que Sichem (Naplouse) abrite celui de Yossef. En somme, même si les nations du monde cherchent à nier le lien indéfectible entre la Terre d’Israël et le peuple juif, elles ne pourront jamais nous retirer notre foi et notre espoir en Hachem. Un jour viendra où tous ces lieux saints reviendront pleinement entre les mains du peuple juif.
Un jour viendra où tous ces lieux saints reviendront pleinement entre les mains du peuple juif

La semaine à venir, nous célébrerons Pessa’h, la fête qui symbolise la victoire éclatante d’Israël sur ses ennemis. Ceux qui tentent d’effacer Israël de la carte échoueront, car tant que nous placerons notre confiance en Hachem, le peuple juif subsistera. Alors, nous pourrons dignement fêter le temps de notre libération complète. HYMNE




