fute magazine 343

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8 À LA UNE FAUT-IL NEGOCIER AVEC LES TERRORISTES ?

SOMMAIRE

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LA CHRONIQUE DE GUY MILLIERE

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POLITIQUE “SOUMETS-TOI ET TU AURAS LA PAIX”

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DROIT MÉDICAL OPTIMISER VOS DROITS MÉDICAUX

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:

édition 343

34 À RETENIR L'ÂGE LÉGAL DE DÉPART À LA RETRAITE ?

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L’EDITO

NÉGATION ET NÉGOCIATION AVEC LA TERREUR : LA MORT AVANT LA SOUMISSION !

La dernière négociation avec nos ennemis a exigé des sacrifices inacceptables de la part de notre gouvernement. La libération de criminels notoires, qualifiés de « d’otages palestiniens détenus par Israël » par des médias comme France Info et BFM TV, est une insulte à notre intelligence. Qu'ils s'excusent pour cette "erreur" n'y change rien : cela révèle une incroyable négligence, presque une trahison. Si l'erreur est humaine, cette fois, elle est purement inhumaine. L'injustice crasse qui alimente nos ennemis s'étale sur les ondes des médias français. Tout, absolument tout, est une manipulation, une perversion des faits. La constance de cette campagne médiatique contre nous frôle le ridicule, frôle la tartufferie. Les médias français s'étonnent de l'attitude de la RTBF, mais ils sont eux-mêmes les architectes de cette farce ! Ils choisissent de tourner le dos à la vérité, se faisant complices d'une propagande qui vise à déshumaniser notre lutte pour la survie. Soyons sans équivoque : le sacrifice que nous consentons pour la libération de nos enfants est un acte de dignité, mais qu'on ne nous prenne pas pour des naïfs ! Cela ne doit pas être interprété comme un suicide collectif. Nous lutterons contre ces barbares sans relâche, jusqu'à leur anéantissement complet. Il n'y a pas d'autre choix ! Chaque fois que nous cédons, nous leur offrons une victoire. Chaque rançon versée, chaque concession faite, ne sont qu'une validation de leur violence et de leur chantage. Nous ne pouvons plus nous permettre d'être des victimes passives. Le 27 janvier dernier, lors des cérémonies du 80ème anniversaire de la libération du camp d'extermination d'Auschwitz, où plus d'un million de Juifs ont été sauvagement exterminés, nous avons entendu les mêmes discours hypocrites, vu les mêmes larmes de crocodile. M. Netanyahou, le chef d'État élu démocratiquement du seul État juif de la planète, n'a pas pu s'y rendre sans risquer une arrestation par les soi-disant amis polonais, suite à des poursuites de la CPI pour « crimes de guerre ». Qui en a été réellement surpris ? Tous avaient le crime de guerre sous les yeux, mais se comportent comme des serpents, jouant un double jeu ignoble. Je comprends maintenant pourquoi, dans notre texte sacré, ils sont condamnés à ramper sur le sol et à se nourrir de cendres. Jamais l'image de ces clowns tristes n'a été aussi vivante. La vérité des Nations est-elle au fond qu'un projet de mensonge ? Dans la tragédie que nous subissons encore une fois, je clame haut et fort : « Négocier avec les terroristes ? PLUS JAMAIS ! » Il est temps de briser le silence complice. Nous ne devons pas seulement dénoncer ces atrocités, mais les combattre avec une force inébranlable. Chaque jour, nous observons des actes de terreur perpétrés par des groupes qui se moquent de la vie humaine, qui prennent plaisir à voir le sang couler. Ils ne sont pas des interlocuteurs, mais des prédateurs. Nous ne devons pas hésiter à les traiter comme tels. La communauté internationale, qui prétend défendre les droits de l'homme, doit être confrontée à son hypocrisie. Pourquoi ces mêmes voix qui pleurent pour les droits des terroristes ignorent-elles les souffrances infligées à notre peuple ? Pourquoi sont-ils si prompts à condamner nos actions tout en fermant les yeux sur les atrocités commises contre nous ? Leur silence est une complicité qui nous met en colère et nous pousse à agir. Nous ne pouvons pas nous permettre d'être divisés. C'est le moment de l'unité, de la résilience. Chaque citoyen doit se lever, prêt à défendre notre existence. La lutte pour la vérité doit être menée sur tous les fronts : médiatique, politique, et dans nos cœurs. Nous ne sommes pas seuls dans cette bataille, nous avons l'histoire, la justice et la moralité de notre côté. La paix ne sera jamais atteinte par la soumission. Elle ne viendra que par la force de notre volonté et la détermination à ne jamais laisser nos ennemis dicter les termes de notre existence. Chaque jour, chaque acte de résistance, est un pas vers la liberté. Alors, levons-nous et disons ensemble : « Négocier avec les terroristes ? Jamais ! Nous ne céderons jamais ! »

* PDG Fondateur FUTÉ MAGAZINE

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FAUT-IL NEGOCIER AVEC

LES TERRORISTES

?

Rabbi Méïr – Le Maharam de Rothenburg (1220 – 19 Iyar 1293)

Le Maharam de Rothenburg est né vers 1220 à Worms en Allemagne, ville dont son père était le Rav, mais son nom est ensuite attaché à la ville de Rothenburg en Bavière, située au sud de Würzburg, puisqu’il en est devenu lui-même le Rav et y tenait une Yeshiva. Il était alors considéré comme l’une des plus importantes personnalités rabbiniques de ce pays. À un âge avancé, le Maharam de Rothenburg subit la dégradation des conditions pour les Juifs en Allemagne sous l'empereur Rodolphe Ier de Habsbourg, élu en 1273. Il leur était cependant interdit de quitter le territoire. Il semble bien que le Maharam fut même impliqué dans l’organisation de la fuite de nombreux Juifs, et lui-même avait déjà réussi à quitter le pays en direction d’Erets Israël en 1286, quand, au passage des Alpes, il fut fait captif à la suite de la dénonciation d’un Juif renégat. Il fut alors jeté en prison, dans la tour de la ville alsacienne d’Ensisheim. Une énorme rançon fut demandée pour accorder sa libération, mais le Maharam refusa qu’on la paie, craignant qu’à l’avenir, le pouvoir ne saisisse d’autres Grands du peuple juif, pour obtenir les mêmes gains. C’est l’enseignement d’une Michna dans Guittin (4,6 – cf. Yam chel Chelomo ad loc.) qui se fait l’écho de cette conduite du Maharam. Et ce, même si son absence priva le public tout entier de ses enseignements. Au début, le Maharam fut dépossédé de tout moyen d’étude, mais une personnalité politique eut pitié de lui, et obtint les autorisations

nécessaires pour que plusieurs disciples puissent venir l’assister durant ses années d’incarcération. Au bout de 7 années, le Maharam décéda dans sa prison, mais les autorités civiles refusèrent de rendre son corps ! Ce n’est que sept années plus tard qu’un Juif du nom de Alexander Wifman vendit une partie de ses biens pour récupérer ses restes funéraires et le fit enterrer dans le cimetière de Worms – luimême mérita d’être inhumé à ses côtés.

L’essentiel de l’œuvre du Maharam nous est surtout transmis par ses disciples, mais l’on possède un commentaire sur Yoma, et sur quelques traités de Taharoth, signé par lui, ainsi que des responsa qui lui sont propres (on en trouve d’autres dans les écrits de divers élèves). Une de ses réponses concerne le fait de frapper sa femme : « En ce qui concerne une personne qui frappe sa femme, j’ai reçu [de mes Maîtres] qu’il faut être plus sévère que dans le cas de coups donnés à un homme… C’est une conduite qui n’est pas digne de notre peuple, et celui qui agirait ainsi doit être excommunié et mis au ban de la société… » (responsa 81).

D’un autre côté, il a instauré qu’une femme ne pouvait pas être sandaq (prendre l’enfant sur les genoux pour la circoncision), ce qui, visiblement, était pratiqué auparavant.

Je n’ai pas l’habitude de commencer mes articles par une référence historique, mais l’histoire du Maharam de Rothenbourg est tout à fait édifiante, il donne l’ordre à sa communauté de ne pas payer la rançon pour ne pas que d’autres soient pris « en otage » par des

crapules. Hors Mitsva de Pidion Chevouïm (rachat des captifs). La Guemara dans Baba Bathra (8) enseigne d’après le verset que le rachat des captifs est la plus grande Mitsva qui existe dans ce domaine. Donc il s’agit d’un commandement qui incombe à tout à chacun de faire le maximum pour libérer les prisonniers lorsqu’ils ne sont coupables d’aucun délit (otages). C’est la plus grande des Tsedakoth qui puisse exister. Si on n’a pas le choix, on devra même vendre le Séfer Thora de la communauté pour racheter le captif. Le Choul’han ‘Aroukh (Yoré Dé’a 252,2) stipule que celui qui a la possibilité de libérer un otage et s’en empêche pour une raison ou une autre, transgresse un interdit de la Thora : « Lo ta’amod ‘al dam réékha / ne sois pas insensible au sang versé de ton ami » en plus d’autres Mitsvoth. Il semble que nous soyons devant une contradiction majeure. Mais l’enseignement du Maitre est bien plus profond et vient interpeller notre actualité. Oui, il faut négocier pour libérer un otage, Mais attention en négociant de ne pas risquer d’encourager des crapules qui risquent de voir là une faiblesse et se trouver encouragés à prendre d’autres otages.

moyen de pression pour garantir l'application intégrale de l'accord de cessez-le-feu avec le Hamas. Cohen a demandé à Khan de collaborer avec le gouvernement israélien pour mettre fin à la guerre à Gaza et veiller à ce que l'accord de cessez-lefeu ne soit pas interrompu avant la libération de tous les otages encore en captivité. Nimrod Cohen devrait être libéré lors de la deuxième phase de l'accord, dont la première phase a débuté récemment et durera 42 jours. Cohen a également évoqué le refus du gouvernement israélien de former une commission d'enquête sur le massacre du 7 octobre et la guerre qui a suivi, ainsi que les tentatives récentes de relancer un programme controversé de refonte du système judiciaire. Khan a déclaré qu'il pensait qu'Israël n'avait fait aucun effort réel pour enquêter sur les accusations de crimes de guerre.

Chaque concession est une victoire pour la barbarie, et nous ne pouvons plus nous permettre d'être des victimes passives !

Le Maitre accepte de mourir en captivité dans les conditions terribles qu’il n’est pas difficile d’imaginer pour ne pas céder, pour ne pas compromettre encore et encore l’avenir du peuple juif. Je suis certain que ce pauvre Gilad Shalit n’aurait jamais accepté sa libération s’il avait imaginé qu’il serait échangé avec Yahya Sinouar et tous les autres 999 criminels au passage. Quoi qu’il en soit il apparait presque systématiquement qu’une négociation aboutissant à un accord avec des terroristes nous place à plus ou moins brève échéance, devant un conflit plus meurtrier et plus dramatique. Il est pourtant légitime, pour les familles d’otages de tout entreprendre pour les faire libérer. Tout, en êtes-vous sûr ? Yehuda Cohen, père de Nimrod Cohen, un soldat israélo-américain enlevé par le Hamas le 7 octobre 2023. Yehuda Cohen a rencontré le procureur général de la Cour pénale internationale (CPI), Karim Khan, pour discuter de l'utilisation d'un mandat d'arrêt contre le Premier ministre Benyamin Netanyahou comme

Je pense que ce père agit de manière ignoble, quel que soit son désir légitime de voir son fils libéré, il ne peut y avoir de compromis avec un homme qui n’a eu de cesse d’être un défenseur des terroristes. Il me reste à penser qu’il a agit dans l’émotion et sans réflexion, je vous laisse juge. La souffrance, le chagrin, l’injustice de voir l’innocent captif, la lutte, le combat ne trouvent aucune légitimité lorsqu’elle pactise avec mon ennemi. Il me reste à essayer de conclure, et je ne vois qu’une dernière possibilité. Avec les crapules pour libérer nos enfants la seule possibilité est de mentir. C’est le plus grand menteur des deux qui sortira gagnant. Toute autre alternative n’est qu’une attitude morale de stupidité. Nous sommes et chacun l’a bien compris, devant des ennemis redoutables avec qui aucune concession n’est permise. Il en va de notre devenir, je sais qu’il est difficile de sortir de son émotion, de son amour pour ses proches, que le devoir de notre peuple est d’accorder comme priorité absolue la défense de chaque vie, mais au-delà de défendre chaque vie il faut défendre LA VIE. Et c’est bien celle de toutes et de tous dont je parle. Celle de nos proches et de tout notre peuple aujourd’hui. Celle de nos enfants et petits enfants et de toutes les générations à venir. Il nous faut regarder plus loin que le présent pour vivre notre avenir.

FAUT-IL NÉGOCIER AVEC

HYMNE À LA VIE

LES TERRORISTES POUR SAUVER DES OTAGES ?

Cher lecteur, cette question nous interpelle profondément, surtout après le 7 octobre. La Torah, source d’inspiration inépuisable, éclaire ce dilemme moral et stratégique.

Le Talmud met en garde contre le rachat excessif des captifs : « On ne rachète pas les captifs pour plus que leur valeur, à cause du tikoun haolam (le bien-être du monde). » Les sages expliquent que céder à des exigences extrêmes encourage de nouvelles prises d’otages. L’affaire Gilad Shalit, échangé contre plus de 1000 prisonniers, dont Sinouar, en est un exemple : beaucoup de terroristes libérés ont repris leurs activités meurtrières.

élevées. Yaakov cherche à apaiser Essav avec des présents, et Moïse négocie avec Pharaon (Chémot). Ces exemples montrent que dialoguer avec un ennemi, même impitoyable, peut être une voie légitime. Négocier comporte des risques, mais la valeur de la vie humaine reste un fondement du judaïsme. Une vie juive n’a pas seulement une valeur physique : c’est une vie tournée vers la Torah et la proximité avec Hachem pour lui et toute sa descendance.

La Torah condamne la légitimation du mal : « Celui qui justifie le méchant et celui qui condamne le juste sont tous deux une abomination pour Hachem. » Négocier avec des terroristes leur accorde du pouvoir et place une nation entière sous le joug de la peur.

La Halakha prend en compte l’intérêt public.

Le Talmud enseigne qu’un roi d’Israël ne doit pas être racheté s’il est capturé, car cela met en danger tout le peuple. Ce principe s’applique aux otages : leur libération ne doit pas compromettre la sécurité collective.

Cependant, la Torah place la préservation de la vie au-dessus de presque tous les commandements : « Vous observerez Mes lois et Mes jugements, car c'est en les mettant en pratique que l'homme vivra par eux. »

Ma conviction est que nous devons tout faire pour protéger la vie juive, tout en plaçant notre confiance en la Providence divine. Le traité Sanhédrin enseigne : « Quiconque préserve une seule âme d'Israël est considéré comme s'il avait préservé un monde entier. » Cette citation résonne particulièrement aujourd’hui. Les otages sont revenus grâce à un accord, mais surtout parce qu’Hachem l’a décidé, par le mérite des familles ayant pris sur elles des mitzvot, comme Shabbat ou l’offrande d’un Sefer Torah.

Négocier avec des terroristes leur accorde du pouvoir et place une nation entière sous le joug de la peur

Le Talmud précise : « et non qu’il meure par eux », soulignant que sauver une vie prime sur presque tout. En cas de danger de mort imminent, la négociation devient une obligation.

Le Pidyon Shevouyim (rachat des captifs) est une mitzva de la plus haute importance : « Il n'existe pas de plus grande mitzva que le rachat des captifs. » Historiquement, les communautés juives ont souvent payé des rançons

Rien ne se fait sans l’aide divine. Préserver une vie juive n’a pas de prix. La libération de prisonniers palestiniens n’est peut-être pas une menace en soi : dehors, ils ont une épée de Damoclès au-dessus de leur tête. Comme dans l’histoire de Rabbi Shimon ben Shatah, qui ne pouvait condamner un meurtrier faute de preuves, jusqu’à ce qu’un serpent vienne le tuer, ils seront jugés par la justice humaine ou divine. Alors, faut-il négocier avec des terroristes ? La réponse n’est ni simple ni univoque. Mais une chose est certaine : nous devons garder espoir et croire en la force de nos prières. Aux familles des captifs, j’adresse mes pensées les plus sincères. Que vous trouviez la force de renforcer votre confiance en Hachem, car Hachem écoute chaque supplication.

LE TERRORISME ANTI-ISRAÉLIEN DOIT ÊTRE ÉLIMINÉ. IL LE SERA

L’atroce massacre du 7 octobre 2023 a montré l’inhumanité répugnante et absolue des membres du Hamas et a conduit à la volonté politique légitime du gouvernement israélien d’éliminer totalement le Hamas, ce qui est fait à 90 pour cent.

Le massacre, cela dit, s’est aussi accompagné de la capture de deux cent cinquante otages, et la volonté légitime de sauver la vie de ceux qui ont été capturés est venue s’ajouter. Elle a conduit Israël à mener les actions de destruction du Hamas avec davantage de précaution, et les otages sont devenus des boucliers humains pour les membres du Hamas, mais aussi un moyen de tenter d’extorquer à Israël des cessez-le feu, voire une fin des combats permettant au Hamas de survivre. Le mouvement des familles d’otages, qui a maintenu une légitime mobilisation, a été rapidement pris en main par la gauche israélienne qui, sous prétexte de compassion, a elle-même utilisé les otages pour tenter d’obtenir une capitulation d’Israël et pour accuser Binyamin Netanyahou de meurtre et de cruauté. L’attitude de l’administration Biden, qui n’a cessé de tenter de freiner l’action de l’armée israélienne, et a refusé de livrer certaines armes et munitions à Israël, n’a strictement rien arrangé, bien au contraire. Et il a fallu toute l’opiniâtreté de Binyamin Netanyahu pour ne pas céder et pour continuer une action militaire difficile, mais néanmoins essentielle pour la survie d’Israël et pour que des massacres d’Israéliens n’aient plus jamais lieu. La guerre de destruction du Hamas s’est poursuivie jusqu’à la veille de l’arrivée officielle au pouvoir de Donald Trump, réélu président des Etats-Unis le 5 novembre 2024, et après avoir promis l’enfer sur terre aux preneurs d’otages s’ils ne libéraient pas ceux qu’il gardait prisonniers, Donald Trump s’est efforcé d’arracher un accord au Hamas, et a fortement poussé Binyamin Netanyahou à accepter l’accord, ce qu’il a fait. Des voix se sont élevées pour accuser Binyamin Netanyahou d’avoir cédé. Il a été ajouté parfois que Donald Trump avait trahi Israël. La réalité est plus complexe, et bien moins négative. Donald Trump a regardé la situation. Il

a vu que le Hamas avait été très largement détruit. Il a vu aussi que le nombre des otages encore vivants était très faible, et se situait vraisemblablement, hélas, alentour de 30 a 35 personnes. Il a compris que la possibilité de libérer les otages survivants par une action militaire était quasiment nulle. Il a constaté que de nombreux Israéliens (selon les sondages plus de la moitié de la population israélienne) accordait désormais la priorité à la vie des otages. Il a fait savoir au Hamas qu’il lui épargnerait l’enfer sur terre si les otages étaient libérés. Et il a accepté la demande du Hamas qui voulait que la libération de chaque otage soit accompagnée par la libération de terroristes arabes emprisonnés en Israël. Ce qui a dicté sa décision a été la volonté de sauver autant d’otages vivants que possible.

Cela ne signifie pas du tout que Trump entend épargner ce qui reste du Hamas, et les propos de ceux qu’il a choisis pour s’occuper de sa politique étrangère sont clairs sur ce point. Pete Hegseth, Secrétaire à la défense, a dit que les membres du Hamas devaient tous être éliminés, sans exception. Marco Rubio, Secrétaire d’état a tenu des propos similaires. Mike Waltz, Conseiller national de sécurité, a dit que le Hamas ne serait plus jamais au pouvoir dans la bande de Gaza. Ces propos doivent être pris au sérieux. Steve Witkoff, envoyé de Trump au Proche-Orient a tenu des propos plus feutrés :

c’était et cela reste nécessaire. Tenir au Hamas des propos plus durs n’aurait pas permis la moindre libération.

Binyamin Netanyahou, c’est établi, n’aurait pas accepté l’accord s’il impliquait que le Hamas reste au pouvoir : il n’entend pas finir sa carrière politique en trahissant Israël. Le gouvernement israélien reste en place Itamar Ben Gvir est le seul ministre à avoir démissionné. Les prochaines étapes vont venir assez vite et permettre de voir que ce qui va prendre forme sera l’élimination du terrorisme anti-israélien au Proche-Orient. Elles incluent un retrait de l’armée israélienne de la bande de Gaza. Au vu des destructions subies par le Hamas, ce ne sera en soi pas très grave. Achever le Hamas en quelques jours restera possible. Le point délicat concernera la frontière Gaza-Égypte. Elle devrait rester hermétique pour que ce qui reste du Hamas ne se réarme pas. Mais même si Israël devait quitter la frontière Gaza-Égypte, cela n’empêcherait pas l’élimination totale du Hamas : un Hamas sans otages vivants pourrait être détruit plus aisément. Ce qui sera plus difficile sera de concevoir le futur de la bande de Gaza, car la population arabe de la bande de Gaza est aussi immonde et criminelle que le Hamas. Aucun pays arabe ne veut d’elle sur son sol. Israël ne peut la gérer dans la durée. Israël peut s’en protéger et devra s’en protéger plus efficacement, ce qui passera par le maintien ou le rétablissement d’une frontière Gaz-Égypte hermétique, mais aussi par l’élargissement de la zone de sécurité au sein de la bande de Gaza qui longe la frontière d’Israël, et par la gestion future de la bande de Gaza elle-même. Celle-ci ne peut être confiée à l’Autorité Palestinienne qui est elle aussi une organisation terroriste. Les Émirats Arabes Unis, qui sont en paix avec Israël, se sont proposés de gérer la bande de Gaza, et ce serait sans doute la moins mauvaise solution. Cela ne ferait pas de la bande de Gaza une zone sans haine, mais une zone où le retour du terrorisme serait jugulé. Il resterait ce qui permettrait pleinement l’élimination plus large du terrorisme anti-israélien dans la région : l’élargissement et l’approfondissement des accords d’Abraham. Et le but stratégique de Trump et de Netanyahou est effectivement cet élargissement et cet approfondissement. Cela passera par une paix réelle

avec l’Arabie Saoudite et, depuis là, par une paix réelle avec tout le monde sunnite. L’Arabie Saoudite demandera que soit tracée la perspective d’un État palestinien. Mais tout comme Binyamin Netanyahou et la grande majorité des Israéliens, Mohammed ben Salman ne veut pas d’un État palestinien, car il ne veut pas d’un État terroriste au Proche-Orient. Tracer une perspective ne coûte rien tant que la perspective ne se concrétise pas, et elle ne se concrétisera pas : tout dirigeant « palestinien » qui signerait un véritable accord de paix avec Israël passerait pour un traitre auprès des populations « palestiniennes ».

Le Hamas doit être anéanti sans pitié, car chaque jour de survie pour ses membres est un affront à l’humanité !

L’élargissement et l’approfondissement des accords d’Abraham impliqueraient que le régime iranien des mollahs soit mis hors d’état de nuire, et le régime iranien des mollahs sera mis hors d’état de nuire, d’une manière ou d’une autre, et ne pourra accéder à l’arme atomique (diverses options sont à l’étude), ce qui privera le terrorisme anti-israélien de sa principale source de financement.

L’élargissement et l’approfondissement des accords d’Abraham impliqueront aussi que l’Autorité Palestinienne soit marginalisée, et cette marginalisation aura lieu. Elle faisait partie intégrante des accords d’Abraham version 2020. Les territoires de Judée-Samarie occupés par l’Autorité Palestinienne ayant une population arabe aussi immonde et criminelle que la population arabe de la bande de Gaza, Israël devra maintenir fermement la barrière de sécurité et prendre des mesures très strictes pour éviter toute intrusion d’Arabes sous la coupe de l’Autorité Palestinienne marginalisée sur son territoire.

Un régime iranien des mollahs hors d’état de nuire fera que ce qui reste du Hezbollah sera aussi hors d’état de nuire. Le régime Erdogan en Turquie tient désormais la Syrie, et Erdogan prononce des propos guerriers envers Israël, mais ne passe pas aux actes et ne pourrait rester à l’écart des accords d’Abraham : Erdogan sait quelles limites il ne doit pas dépasser s’il veut rester dans l’OTAN, et il tient à rester dans l’OTAN.

L’élimination du terrorisme anti-israélien est possible. Trump le sait, et le veut. Netanyahou le sait et le veut aussi. L’élimination du terrorisme anti-israélien aura sans doute lieu pendant le second mandat de Donald Trump.

"ASLIM TASLAM"

"SOUMETS-TOI ET TU

Quid de ceux qui refusèrent ? Décapités, gorges tranchées, démembrés. L’islam est imprégné de paix disent, encore, certains ; l’injonction de Mahomet et de ses fidèles lors des razzias, n’avait rien de pacifique. 3 proclamations de la Charte du Hamas (1988) : Préambule : « Israël existera et continuera à exister jusqu'à ce que l'islam l'efface, comme il a effacé ce qui était avant lui »

Article 13 : « les initiatives, propositions et conférences de paix sont une perte de temps et un exercice futile »

Leitmotiv : « Il n’y aura de solution à la cause palestinienne que par le jihad »

« La mémoire est un acte de résistance. Pardonner aux assassins, c’est effacer la mémoire »

La question est déchirante : peut-on négocier avec des individus qui prônent l'extermination des Juifs ? Les revendications, de ceux qui se font appeler palestiniens depuis 1960 et de tous leurs « amis », nos autres voisins, dépassent les simples différends territoriaux ou politiques. Elles puisent leurs racines dans une haine viscérale et ancienne, souvent justifiée par des croyances ou idéologies politiques extrêmes tels les frères musulmans qui sont à l’origine de la création de Hamas. Ces organisations ne recherchent pas seulement la reconnaissance d’un État ou la souveraineté sur des territoires disputés ; leur vision, exprimée dans des manifestes ou en public, englobe une finalité totalitaire et génocidaire. L'idée même de négocier avec des terroristes, pose un défi moral fondamental : peut-on dialoguer avec ceux qui renient l'humanité d'une partie de l'humanité ?

AURAS LA PAIX"

perpétrés il y a 1400 ans quand celui qui se disait l’Ultime Al-Aqib chevauchait pour soumettre ou tuer de la même manière qu’à Hébron en 1929 et dans nos kibboutzim en 2023 ! Etranger à la vie, Hamas est en totale rupture avec l’humanité. Levinas évoque souvent le concept de "déshumanisation" comme étant le plus grand danger pour l’éthique. En tuant des civils, dont des enfants dans leurs lits, et en semant la terreur, ces dénaturés incarnent cette rupture, cette aliénation morale, et le refus de reconnaître l’Autre dans sa vulnérabilité, sa liberté et sa condition humaine. Tandis que nous, juifs, priorisons la dignité humaine en rappelant sans cesse Tselem Elohim, l’Homme créé à l’image de D., Quiconque détruit une vie c’est comme s’il détruisait l’humanité entière et quiconque préserve une vie c’est comme s’il préservait un monde entier (Sanhedrin 37a).

Comment envisager un accord avec la bête immonde, cet abîme de barbarie qui a engendré des monstres sans âme, qui ont planifié avec méthode de violer, tuer, kidnapper ?

Comment s’agenouiller devant cette infâme incarnation du mal absolu qui a reçu salaire pour le sang juif ?

Le rachat des otages, est un acte capital nous dit le Talmud Baba Batra 8b mais aux limites fixées dans le Traité Guitin 45a afin de ne pas encourager l’ennemi vers toujours plus d’enlèvements car les juifs font tout pour retrouver les leurs.

Hypothèse : un missile menace une tour avec des centaines de personnes, et la seule option pour les sauver est de le dévier vers une maison avec une famille, que faire ? Ne rien faire entraîne la mort des habitants de la tour mais intervenir implique une responsabilité dans la mort de la famille. Dans ce cas, dévier le missile est un acte de protection justifié et préférable.

Les horreurs sanglantes des massacres de la razzia du 7 octobre sont semblables à ceux

Rabbins, politiques, Tsahal, tous d’accord : « Sauvons nos otages, même au prix très

élevé de libérer des terroristes ».

La guerre fait partie de l’histoire humaine. Le peuple d'Israël, exilé pendant 20 siècles, n’a mené que des guerres d’ordre théologique, auxquelles se sont ajoutées, depuis 1948, des guerres militaires souvent inévitables, qu’il n’a ni désirées ni initiées.

En 2025, notre existence et nos frontières sont encore remises en question, notre souveraineté n’est pas à débattre mais à affirmer !

L'aspect juridique de la guerre est minutieusement surveillé ; chaque unité de Tsahal est dotée de « gardiens » des lois, notamment celles de la Convention de Genève, qui fixent des limites à la violence de la guerre. L'armée israélienne a aussi une « haie » de rabbins vérifiant la conformité halakhique des opérations militaires.

La Convention de Genève impose des restrictions dans les conflits, mais ces règles ne semblent s'appliquer qu'à Israël, Hamas, Hezbollah, Houthis, en sont-ils dispensés ?

La base de données DIH en action collecte les informations liées au respect du Droit International Humanitaire et parmi les rares institutions qui collaborent à ce programme il y a l’université Reichman d’Herzliya. Israël est choisi comme référent en matière d’éthique de guerre, mais l’antisémitisme provoque une cécité qui inverse la vérité et attribue au Hamas la palme de la victime !

La stabilité fondamentale d’Israël se trouve à travers son indissociable triptyque : Spirituel, Politique, Militaire dont la couronne est l’Ethique.

Clausewitz voyait la guerre comme un phénomène politique et stratégique en constante évolution. Il disait :

« La politique est la matrice de la guerre ». Le terrorisme, mutation de la guerre tradition-

nelle, se joue dans l’ombre et brise les règles établies, échappant aux conventions internationales pour semer la terreur de manière asymétrique.

« Dans un temps de tromperie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire »

George ORWELL

J’espère que, lorsque nous aurons Tous nos otages, notre gouvernement sera inflexible et châtiera radicalement les sauvages qui éduquent leurs enfants avec l’esprit d’Ahmad

Yousef Abu Halabyia (membre de l’institut de droit musulman) qui disait à la tv il y a une vingtaine d’années : « les juifs sont les juifs qu'ils soient travaillistes ou Likoud, il faut les égorger, les tuer comme l'ordonne Allah... Combattez-les ! Partout où vous les rencontrez, tuez-les ! N'ayez pas pitié des juifs. Tuez-les partout ! »*

Ou encore l’iranien l’Ayatollah Sadeq Khalkhadi qui a dit : « Le prophète a tellement tué de ses propres mains, que les sages chiites en ont établi un concept : ceux qui sont contre le meurtre n'ont pas de place dans l'islam... » *

Ne laissons pas nos ennemis se cacher dans un tunnel. Ils devront choisir entre expulsion ou désintégration par notre armée de l’air. Pas de dilemme devant le monstre ignoble à la rhétorique de mort.

La vigilance morale reste capitale : céder face à des demandes impliquant la destruction d’un peuple c’est trahir des valeurs universelles.

*Ephraïm Herrera, le Djihad de la théorie aux actes

LE PRIX D'UNE FAUSSE PAIX

A toutes ces nations qui veulent nous imposer une guerre déguisée en costume de paix qui hissent les drapeaux de nos pires ennemis, qui piétinent le nôtre en toute ignominie.

Ils nous traitent d'imposteurs, d'occupants illégaux, responsables sur la terre du moindre de leurs maux, nous accusant du pire même jusqu'à l'apartheid, nous qui courrons le monde pour apporter notre aide.

Nous pouvons leur donner des leçons de courage car nous sommes sur le pont pour tous les sauvetages, aux quatre coins du globe où des hommes en danger vous implorent de leurs cris sans jamais vous trouver.

Vous êtes méprisables, votre langue est perfide car le sens de vos mots n'a pas pris une ride, la haine pour les Juifs est votre seul moteur, mais a depuis longtemps cessé de nous faire peur.

Nous sommes bien plus que vous amoureux de la paix, mais pas des suicidaires prêts à abandonner cette terre ressuscitée des mains de nos pionniers dont des usurpateurs veulent nous déposséder.

Ils réclament un état, non pour s'y épanouir et donner aux enfants un espoir d'avenir, les livres de leurs écoles enseignent aux tous petits comment nous égorger et sonner l'hallali...

Ils touchent des milliards d'une aide humanitaire destinée à combattre les causes de la misère, mais enrichit leurs chefs qui vivent dans des palais et auxquels vous donnez une légitimité.

Le peuple doit se soumettre obligé de se taire aux ordres de leurs factions, aux pouvoirs sanguinaires et vivent dans la peur de tous ces tortionnaires qui bannissent la paix et fomentent des guerres.

A vous les défenseurs des peuples opprimés, que faites-vous pour aider les indiens expulsés des terres d'Amérique où ils vivaient heureux, chassés de leur réserve aux bruits des armes à feu.

Qu'en est-il des souffrances des moines du Tibet que la Chine assassine sans que vous évoquiez leurs droits de vivre libre dans les cîmes enneigées, d'une contrée stratégique ô combien onvoitée !

Et tous ces disparus au Chili ou ailleurs, où règnent des monarques qui jouent de la terreur, mais que vous soutenez en leur tendant la main oubliant la souffrance de tous leurs citoyens.

Mais votre seul combat est celui millénaire repris à chaque époque en slogans similaires, par la haine du juif caché derrière un mot, celui d'antisionisme qui sonne toujours faux.

Mais aucun d'entre vous ne pourra nous atteindre, la foi qui nous fait vivre ne pourra pas s'éteindre, nous méritons enfin de pouvoir vivre en paix après toutes ses guerres et tous les faux traités.

SAVEZ-VOUS CE QU’EST « LE PRÊT INVERSÉ »

HYPOTHÉCAIRE

?

Le prêt inversé hypothécaire constitue une solution financière innovante, permettant aux personnes âgées de 60 ans et plus de convertir la valeur nette de leur maison en liquidités, tout en continuant à en occuper les lieux. En termes simples, ce mécanisme financier permet au propriétaire de la maison de recevoir des fonds (sous forme d'une somme forfaitaire ou de versements mensuels) sans obligation de remboursement immédiat. Le remboursement du prêt ne s'effectue qu'à la suite du départ du propriétaire, soit en raison d'une incapacité à maintenir le logement, soit en cas de décès.

Avantages du Prêt Inversé :

1. Liquidités sans Vente de la Propriété : L'un des principaux atouts du prêt inversé est qu'il offre aux retraités la possibilité d'accéder à des liquidités nécessaires à leur quotidien

sans avoir à céder leur bien immobilier. Cette option apparaît particulièrement avantageuse pour ceux dont les revenus à la retraite sont insuffisants, tout en leur permettant de conserver leur résidence.

2. Absence de Remboursement Mensuel : Contrairement à un prêt traditionnel, le prêt inversé ne requiert aucun remboursement mensuel du capital ou des intérêts. Le remboursement n'intervient qu'une fois que les propriétaires quittent leur domicile, que ce soit en raison d'un décès ou d'un déménagement en établissement spécialisé.

3. Conservation de la Propriété : Un autre avantage significatif réside dans le fait que le propriétaire peut continuer à vivre dans son logement tant qu'il est en mesure d'en assurer l'entretien. Le prêteur ne peut en aucun cas forcer la vente de la maison tant que le propriétaire y réside.

4. Remboursement Adapté : Lorsqu'un propriétaire décède ou déménage, la dette est remboursée par la vente de la maison ou à partir d'autres ressources financières des héritiers. Il est primordial de souligner que le montant du prêt ne peut en aucun cas excéder la valeur de la propriété. Ainsi, en cas de baisse du marché immobilier, le prêteur ne pourra pas demander de paiement supplémentaire au-delà de la valeur de la maison.

5. Accès Rapide et Facile : L'acquisition d'un prêt inversé s'effectue généralement dans un processus simplifié, sans

exigence de revenus élevés ni de garanties additionnelles. Cette rapidité est particulièrement appréciable pour les personnes nécessitant une assistance financière immédiate.

6. Utilisations Diversifiées des Fonds : Les liquidités obtenues peuvent être affectées à divers besoins, qu'il s'agisse d'améliorer la qualité de vie, de financer des soins médicaux, de soutenir financièrement des enfants ou petits-enfants, ou d'investir dans des projets personnels.

OPTIONS DE VERSEMENT DU PRÊT INVERSÉ

:

• Versement sous forme de Rente Mensuelle : Certains emprunteurs optent pour des versements mensuels fixes (rente), assurant ainsi une sécurité financière à long terme et une prévisibilité quant aux revenus mensuels.

• Versement en Montant Forfaitaire : D'autres préfèrent recevoir une somme forfaitaire, leur permettant d'effectuer des dépenses immédiates, telles que des réparations domiciliaires ou des frais médicaux.

- Combinaison des Deux : Il est également possible de combiner un versement forfaitaire avec une rente mensuelle, offrant ainsi une flexibilité accrue dans la gestion des finances personnelles.

- Plans de Croissance ou de Réduction : Certaines structures de prêt permettent de commencer avec une rente faible qui peut être augmentée progressivement, ou à l'inverse, de commencer avec un montant élevé qui diminuera au fil du temps, en fonction des besoins spécifiques de l'emprunteur.

Points Importants à Considérer :

- Taux d'Intérêt Relativement Élevé :

Un inconvénient notable du prêt inversé est le taux d'intérêt, souvent plus élevé que celui d'un prêt classique. Ce taux peut s'accumuler au fil du temps, se traduisant par un montant total significatif.

- Impact sur l'Héritage :

Un prêt inversé conséquent peut réduire l'héritage destiné aux héritiers, la dette étant prioritaire sur les actifs transférés.

- Limites sur le Montant du Prêt : Le montant qui peut être obtenu par le biais d'un prêt inversé dépend de plusieurs facteurs, notamment la valeur du bien, l'âge de l'emprunteur et son état de santé. Plus l'emprunteur est âgé, plus le montant du prêt peut être conséquent, mais il est soumis à des critères spécifiques.

Conclusion :

En résumé, le prêt inversé hypothécaire représente une solution financière unique, permettant aux retraités de transformer la valeur de leur maison en liquidités tout en conservant le droit d'y vivre. Il s'agit d'une option attractive pour ceux qui souhaitent éviter la vente de leur bien, bénéficier d'un revenu régulier et améliorer leur qualité de vie à la retraite. Toutefois, il est crucial de prendre en compte les implications financières, notamment le taux d'intérêt et l'impact potentiel sur l'héritage.

Pour tout renseignements supplémentaires, contactez nos conseillers CA-PITALL aux :

Isr : 555 005 005

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LE PEUPLE JUIF ECRIT UN NOUVEAU CHAPITRE DE SON

HISTOIRE –

CETTE FOIS, L'UNITÉ JOUE UN RÔLE CRUCIAL

Nous avons traversé des catastrophes et des victoires, affronté des ennemis de l'intérieur et de l'extérieur, mais nous avons toujours su nous relever et nous battre pour notre avenir. Aujourd’hui, plus que jamais, nous devons nous souvenir : nous avons une obligation historique – non seulement de survivre, mais aussi de triompher.

Le devoir moral de libérer nos otages

Il n'existe pas d'obligation morale plus élevée que celle de ramener nos fils et nos filles à la maison. Ce n'est pas seulement un devoir national, c'est une valeur juive fondamentale –celle de la solidarité. Pourtant, même dans l'obscurité la plus profonde, il nous reste un devoir primordial : ne laisser personne derrière. La libération des otages est un objectif suprême, mais elle ne se suffit pas à ellemême

Le mensonge selon lequel « le même accord aurait pu être conclu en mai »*

Certains tentent de réécrire la réalité et prétendent qu’Israël aurait pu parvenir au même accord dès mai 2024. Ce n’est pas seulement une erreur – c’est une déformation complète de la vérité. Depuis mai, le tableau de la guerre a complètement changé : Le Hezbollah a subi un coup dur qui l’a fait reculer de plusieurs décennies. L'organisation, qui menaçait autrefois toute la frontière nord,

est aujourd'hui sur la défensive, sans commandants de niveau intermédiaire qui ont été blessés lors de l'opération Beeper.

La Syrie a complètement changé. Ses capacités militaires ont été anéanties. Il n’y a plus d’armée syrienne capable de menacer Israël comme elle le faisait par le passé.

L’Iran a perdu sa défense aérienne. Le sens est clair : Israël dispose d’une totale liberté d’action pour opérer en profondeur dans le territoire ennemi sans craindre un système de défense efficace.

L’accord qui a été signé l’a été à partir d’une position de force – et non par capitulation. Quiconque prétend le contraire sert le récit de nos ennemis.

Ne pas oublier les sevices des otages

S’il y a un moment qui devrait être gravé dans notre mémoire nationale, c’est celui où Arbel Yehud a été libéré de Gaza – non pas en tant que simple survivant, mais en tant que symbole de la force juive face à une brutalité inimaginable.

Autour d’elle se tenaient des monstres humains, des hommes et des femmes, des personnes âgées et des enfants, célébrant les abus qu’elle subissait simplement en raison de son appartenance au judaïsme. Ce ne sont pas des ennemis ordinaires. Ce ne sont pas des guerriers, ce sont des haineux. C’est de la haine de la pire espèce, la haine nazie dans l’édition 2025, retransmise en direct dans le monde entier.

Notre responsabilité envers l'histoire

Le peuple juif n’observe pas les processus historiques de manière marginale : il les crée. Nous ne sommes pas un peuple qui accepte passivement son sort. Nous choisissons, nous luttons, nous changeons. Nous avons choisi d’être forts, unis et d’influencer la direction

dans laquelle l’histoire juive se déroulera. Ce n’est pas un moment d’hésitation, c’est un moment de décision. Le pouvoir de l’unité – Notre devoir de nous unir malgré nos différences. Nous ne pouvons pas vaincre nos ennemis si nous continuons à nous battre les uns contre les autres. Nous pouvons discuter, nous pouvons penser différemment, mais au final, nous sommes un seul peuple et notre destin est un. L’unité ne signifie pas que tout le monde pense la même chose. L’unité signifie que nous avons un objectif commun : assurer l’avenir du peuple juif, protéger nos fils et nos filles et ne permettre à aucune force externe ou interne de saper notre résilience. Nous devons nous en souvenir : nos ennemis ne font pas de distinction entre les opinions politiques, entre les visions du monde, entre le laïc et le religieux. Ils nous voient tous comme des Juifs – et nous devons donc nous voir de la même manière. Nous traversons une période cruciale dans l’histoire de notre peuple. Avec l’aide de Dieu, nous devons rester unis et nous rappeler que notre destin est plus grand que nos divisions internes – aucune force ne pourra nous arrêter. Parce que le peuple d’Israël, à la grâce de D., lorsqu’il est uni, est invincible.

NÉGOCIER AVEC DES TERRORISTES : QUAND LE BUDGET FAMILIAL DEVIENT UN OTAGE

L'acte terroriste frappe au cœur des familles, laissant derrière lui des blessures profondes et un vide immense. Mais au-delà du deuil et du traumatisme, les familles des victimes se retrouvent confrontées à un dilemme déchirant : négocier avec les terroristes pour libérer un proche, quitte à sacrifi er l'équilibre financier familial.

L’inquiétude des enfants face à la situation actuelle

Un choix impossible doit se faire : l'amour contre la raison

Un choix impossible doit se faire : l'amour contre la raison. Lorsque la rançon exigée représente des années d'économies, voire la totalité du patrimoine familial, comment prendre une décision ? Comment choisir entre l'amour d'un proche et la sécurité financière de sa famille ? Faut-il s'endetter sur plusieurs générations, hypothéquer sa maison, plonger dans la précarité pour tenter de sauver une vie ?

Face à ce choix impossible, les familles se sentent souvent abandonnées. L'État, en refusant souvent de payer les rançons, les laisse seules face à leur désespoir et à des décisions aux conséquences potentiellement désastreuses. En Israël, nous voyons depuis un an et demi les efforts déployés par le gouvernement pour libérer tous nos otages - les vivants comme les morts - au prix de lourds sacrifices.

Outre les difficultés financières, les familles qui choisissent de payer la rançon peuvent être confrontées à un sentiment de culpabilité. Ont-elles fait le bon choix ? Ont-elles cédé à un chantage odieux ? Ont-elles mis en danger la vie d'autres personnes en finançant le terrorisme ?

Face à ce drame humain et financier, il est crucial de proposer un accompagnement renforcé aux familles. Un soutien psychologique pour surmonter le traumatisme, mais aussi une aide financière et juridique pour les aider à gérer les conséquences de leurs choix.

Toutes ces questions sont souvent posées dans de nombreux débats à la télévision, entre collègues, entre amis ou tout simplement en famille. En tant que psychopédagogue, plus d’une fois des enfants inquiets me posent des questions sur la situation actuelle et sur notre devoir moral en tant que peuple. Devons-nous céder au chantage ? Devons-nous continuer la guerre aux dépens de nombreuses vies ?

La terreur physique et psychologique que nos ennemis s’appliquent à véhiculer de façon ignoble dans différents réseaux sociaux les tourmente, et notre devoir en tant que parents ou thérapeutes est de les rassurer et d’expliquer la situation avec des mots simples et adaptés à leur âge, sans leur cacher la vérité mais en évitant les détails choquants. Voici quelques conseils supplémentaires :

1. Créer un espace de dialogue sécurisant : écouter attentivement leurs peurs et leurs inquiétudes sans les minimiser.

Il est également nécessaire de questionner le rôle de l'État dans ces situations. Faut-il maintenir le refus systématique de payer les rançons ? Et si un accord est signé, à quel prix ? Comment mieux protéger les familles et les aider à faire face aux conséquences financières du terrorisme ?

2. Insister sur le fait que des adultes (parents, enseignants, forces de l'ordre) font tout leur possible pour assurer leur sécurité et celle des autres.

3. Maintenir une routine rassurante : même en période de crise, essayer de maintenir autant que possible une routine quotidienne normale avec des horaires réguliers pour les repas, le coucher, les jeux, etc.

4. Encourager les activités qui leur procurent du plaisir et de la détente, comme la lecture, le dessin, les jeux de société, les moments en famille.

5. Limiter l'exposition aux informations anxiogènes : contrôler l'accès aux médias, évitant ainsi de laisser les enfants regarder en continu les chaînes d'information ou d'être exposés à des images violentes.

En espérant que tous nos otages soient libérés très prochainement et qu’Israël retrouve un peu de sérénité et de stabilité dans cette période sombre !

QUE DEVONS-NOUS FAIRE AFIN D’ÉLIMINER LE TERRORISME ?

Lorsque les enfants d'Israël sont rentrés en Israël avec à leur tête Yehoshoua ben Noun, Hachem leur demanda trois choses : détruire Amalek, nommer un roi et construire le Beth Hamikdash. La première injonction était donc de détruire Amalek. Bien que nous ayons apparemment aujourd’hui la force militaire de l’accomplir, nous ne disposons pas de la force spirituelle pour réussir à détruire ces forces du mal, et tout un tas de causes extérieures nous empêchent toujours de mettre en œuvre ce commandement divin. En effet, Rabbi Nahman nous apprend dans la Torah 6 du Likoutey Moharan comment acquérir la force spirituelle afin d’anéantir Amalek. Pour mener à bien cette noble tâche, nous devons tout d’abord détruire l’« Amalek » qui se trouve dans notre cœur, c'est-à-dire principalement notre orgueil. Il faut que chacun des membres du Peuple juif travaille afin de diminuer sa recherche des honneurs et ainsi faire grandir l’honneur divin. Rabbi Nahman nous donne la méthode unique pour cela. Lorsqu’une personne nous fait un affront, il faut se taire, chacun à son niveau, avec sa bouche et également dans son cœur. Cet affront subi avec silence nettoie la partie gauche de notre cœur, où se logent nos mauvaises pulsions. Ce sang qui sort de notre cœur monte vers notre tête ; c’est pourquoi, lorsqu’une honte nous envahit, nous rougissons. Ainsi, chaque ponction de mauvais sang expulsée de la partie gauche de notre cœur nous rend à chaque fois plus humbles et révèle ainsi l’hon-

Anéantir Amalek, restaurer l'honneur divin, puissance spirituelle nécessaire

neur de D.ieu. Hachem, retrouvant son honneur, fait disparaître les Amalécites qui veulent faire du mal à son Peuple. Cette modestie nous permettra également de retrouver notre pouvoir divin aux yeux des autres peuples, qui ne s’immisceront plus dans nos décisions et, au contraire, dans certains cas, nous aideront à les appliquer. Nous pourrons ainsi ne jamais rendre un mètre de territoire conquis dans une guerre contre nos ennemis sans l’assurance d’un désarmement total de leurs milices terroristes. Ne jamais laisser en vie un terroriste dans nos prisons, en le tuant quoi qu’il arrive lors de son arrestation. En effet, celui qui vient pour te tuer, lève-toi et tue-le d'abord, comme nous l’enseignent nos Sages. Le Talmud (Sanhédrine 72a) explique que cela signifie que même un cambrioleur entrant par effraction doit être présumé prêt à tuer s'il rencontre une résistance, et donc il est permis de le tuer en légitime défense. Alors que dire d’un terroriste dont le but principal n’est pas de voler, mais de tuer même des femmes et des enfants que D.ieu préserve.

Pour retrouver notre véritable puissance spirituelle et restaurer notre honneur divin, cessons d’entretenir l’illusion que la guerre contre Amalek peut être remportée sans l’intervention divine. Redevenons humbles, reconnaissons que toute gloire Lui revient. Alors seulement, Amalek sera anéanti, le Machia’h pourra être accueilli, et le Troisième Temple s’élèvera à nouveau sur le mont Sion de Jérusalem !

COMPRENDRE ET OPTIMISER VOS DROITS MÉDICAUX AU BITUAH LEUMI : LE GUIDE PRATIQUE

Le Bituah Leumi ou Caisse d’Assurance Nationale en Israël, joue un rôle crucial dans la protection sociale des citoyens. Que vous soyez victime d’un accident de travail, en situation de handicap, ou que vous ayez besoin de prestations pour une personne dépendante, comprendre vos droits et les démarches à suivre peut vous aider à obtenir le soutien auquel vous avez droit. Ce guide vous offre un aperçu des principales prestations disponibles et vous explique comment maximiser vos chances d’obtenir une aide efficace.

Enfants invalides : Importance du suivi médical et des traitements

Pour les enfants invalides, le Bituah Leumi offre des allocations qui peuvent aider à couvrir les coûts des soins et des traitements. Il est important de noter que non seulement les handicaps physiques, mais aussi les traitements médicaux, tels que ceux pour le trouble de l'attention avec hyperactivité (TAH) traités par Ritaline, sont pris en charge par le Bituah Leumi. Assurer un suivi médical rigoureux et fournir une documentation complète peut faire la différence dans le montant des allocations accordées. Les parents doivent être conscients que tout traitement suivi par l'enfant peut influencer l'évaluation du droit à ces allocations.

conscientes de ce droit supplémentaire. Un examen approfondi de votre dossier de handicap peut révéler votre éligibilité à ces services, augmentant ainsi votre niveau de soutien et améliorant votre qualité de vie.

Pour les seniors : Prestation de soins (Metapelet) , ne négligez pas votre assurance

La prestation de soins longue durée est destinée aux personnes âgées qui ont besoin d'assistance dans les activités de la vie quotidienne. L'évaluation du nombre d'heures accordées pour l'aide à domicile peut grandement varier selon la qualité de votre dossier. Un examen approfondi avant soumission peut donc faire toute la différence, augmentant le nombre d'heures de soins allouées. Par ailleurs, il est important de vérifier si vous avez souscrit une assurance privée à travers votre Koupat Holim (Caisse maladie). Beaucoup de personnes ignorent qu'elles peuvent être éligibles à une allocation complémentaire qui peut atteindre jusqu'à 5 000 shekels par mois, en plus des prestations du Bituah Leumi. Ne laissez pas cette opportunité passer; une vérification minutieuse de vos assurances peut vous offrir un soutien financier supplémentaire non négligeable.

Pour les adultes : Allocation d'assistance, une aide méconnue mais substantielle

Les personnes reconnues comme handicapées (תלילכ תוכנ) par le Bituah Leumi peuvent être éligibles à un autre type de prestation qui offre une assistance financière supplémentaire pouvant atteindre jusqu'à 8 000 shekels par mois. Ce soutien est destiné à ceux qui ont besoin d'aide pour accomplir les tâches quotidiennes comme se laver, s'habiller, ou se déplacer. Cependant, beaucoup de personnes ne sont pas

Chez Easy Zechuyot, nous comprenons à quel point il peut être difficile de naviguer dans le système du Bituah Leumi. Nous offrons des consultations gratuites pour évaluer vos droits et vous accompagner tout au long du processus. Il existe divers types de démarches et prestations auxquels vous pourriez avoir droit.

N’hésitez pas à nous contacter pour discuter de votre situation spécifique. Nous nous engageons à vous aider à obtenir les prestations maximales auxquelles vous êtes éligible. Votre soutien est notre priorité !

QU'EST-CE QUE L'ÂGE LÉGAL DE DÉPART À LA RETRAITE ?

C’est l’âge minimum théorique auquel un salarié peut légalement cesser son activité professionnelle et bénéficier de ses droits à la retraite. Établi à 60 ans en 1983, il a progressivement évolué depuis 2011 pour atteindre 62 ans pour les assurés nés à partir de 1955. Des dérogations peuvent autoriser un départ anticipé dans certains cas.

Pour un salarié du secteur privé :

• s’il peut se prévaloir d’une carrière longue (sous réserve qu’il ait cumulé 41 ans et 9 mois d’activité pour les salariés nés avant 1973 et 43 ans pour ceux nés après 1973) ;

• s’il a été reconnu comme travailleur handi-

capé (dégradation d’au moins une fonction physique, mentale ou psychique) ;

• s’il peut faire reconnaître une pénibilité liée à une activité professionnelle ayant conduit à une incapacité permanente ou s’il a cumulé un nombre minimal de points sur un compte professionnel de prévention (C2P).

Pour un salarié du secteur public :

• s’il appartient à une catégorie professionnelle réclamant des aptitudes physiques particulières ;

• s’il est un fonctionnaire "actif" dont le métier présente "un risque particulier ou des fatigues exceptionnelles" (policiers, surveillants de prison, pompiers, égoutiers, aides-soignants, certaines infirmières ou encore certains éducateurs spécialisés) ;

• s’il est un agent d’un secteur soumis à des régimes spéciaux (RATP, SNCF…) selon les fonctions occupées, la durée d’exercice de ces fonctions et la durée de cotisation.

Décote, surcote, taux plein, de quoi s'agit-il ?

Le taux plein est le taux maximum de calcul d'une pension de retraite. Pour prétendre à une pension à taux plein, il faut remplir les conditions d'âge (partir à la retraite à l'âge légal) et de durée d'assurance.

Une décote est appliquée en cas de départ à la retraite avant d'atteindre l'âge légal ou avant

d'avoir cotisé un nombre suffisant de trimestres. Il s'agit d'un coefficient de minoration appliqué au taux plein. Plus le nombre de trimestres cotisés est important, moins la décote est importante. Dans la plupart des régimes, il est possible de bénéficier d'une retraite à taux plein quel que soit le nombre de trimestres validés à l’âge de 67 ans. L'âge du taux plein est aujourd'hui fixé à 67 ans. La décote peut donc intervenir entre l’âge de 62 ans et 67 ans. Elle s’applique aux assurés qui ont cotisé moins de 172 trimestres, soit quarante-trois ans, pour les personnes nées après 1973 (166 pour les personnes nées en 1955). À l'inverse, les actifs qui remplissent toutes les conditions pour percevoir une pension à taux plein et qui continuent à travailler bénéficient d'une surcote (une majoration) pour leur future pension de retraite.

Qu'est-ce que l'âge pivot ?

Cette expression désigne un âge avant lequel un départ à la retraite entraîne un malus (décote) sur le montant de la pension de retraite et après lequel un départ à la retraite entraîne un bonus (surcote) sur le montant de la pension.

Que désigne le taux de remplacement ?

Le taux de remplacement représente le pourcentage conservé du revenu d’activité au moment de la liquidation de la pension retraite. Cet indicateur permet d'apprécier l'évolution des revenus entre la période active et la retraite.

Les études statistiques montrent une diminution du taux de remplacement au fil des générations. Par exemple, entre les générations 1936 et 1946, le taux de remplacement médian baisse car les pensions augmentent moins que les salaires de fin de carrière. Plus généralement, le taux de remplacement médian décroît plus fortement pour les personnes qui ont terminé leur carrière dans le public.

Qu'est-ce que la pénibilité ?

La pénibilité est l'exposition du salarié à un ou plusieurs facteurs de risques professionnels pouvant affecter durablement sa santé. Ces facteurs de pénibilité englobent des contraintes physiques, des environnements agressifs, des rythmes de travail. Ils sont évalués en fonction de seuils mesurés selon des critères d’intensité (décibels, kilogrammes, degrés) et des critères de temporalité (durée

d’exposition en heures, en fréquences).

Des dix facteurs de pénibilité définis lors de la réforme des retraites de 2014, l’ordonnance du 22 septembre 2017 en a retiré 4 : postures pénibles, manutentions manuelles de charges, vibrations mécaniques, agents chimiques dangereux. Restent donc six facteurs de pénibilité : travail de nuit, travail en équipes successives alternantes, travail répétitif, travail en milieu hyperbare, exposition au bruit, températures extrêmes.

Mis en place en 2017, le compte professionnel de prévention (C2P) attribue des points de pénibilité aux salariés du secteur privé qui permettent de bénéficier d’avantages comme des formations, une diminution du temps de travail en fin de carrière, un départ en retraite anticipée.

Que sont les avantages familiaux de retraite ?

Les avantages familiaux sont des mécanismes de solidarité visant à corriger les inégalités face à la retraite.

Actuellement, il existe quatre dispositifs principaux :

• la majoration de pension pour enfant, attribuée aux parents de trois enfants et plus ; elle est de 10 % dans le régime général ;

• l’assurance vieillesse des parents au foyer (AVPF), destinée, sous conditions, aux personnes ayant réduit ou interrompu leur activité professionnelle pour élever leurs enfants ou s’occuper d’un proche handicapé ;

• la majoration de durée d’assurance (MDA). Il s’agit de trimestres d’assurance supplémentaires accordés au titre de la maladie, du handicap ou de l’invalidité ou au titre de la naissance ou de l’éducation des enfants. Le régime général attribue quatre trimestres par enfant aux mères d’enfants nés après 2010, et quatre autres trimestres par enfant à répartir entre le père et la mère. Dans la fonction publique, les mères d’enfants nés après 2004 ont droit à deux trimestres par enfant ;

• la pension de réversion, versée sous conditions à l’époux (et/ou ex-époux) survivant. Elle est égale à 54 % de la retraite du défunt s’il travaillait dans le privé, et à 50 % s’il était fonctionnaire. Réservée aux couples mariés, elle peut être attribuée à compter de 55 ans.

Pour tous renseignements complémentaires, merci de nous contacter au : 050 38 70 315

NOUVEAUX IMMIGRANTS ET RÉSIDENTS DE RETOUR : VOUS SEREZ BIENTÔT OBLIGÉS DE DÉCLARER EN ISRAËL TOUS VOS REVENUS DE L'ÉTRANGER

Suite à cet amendement très important prévu , Nous avons interviewé Me Tangy avocat fiscaliste et Notaire afin de nous éclaircir la situation. En raison des pressions internationales, le ministère des Finances a publié un protocole de loi annulant l’exemption accordée aux nouveaux immigrants et aux résidents de retour de déclarer leurs revenus et leurs avoirs à l’étranger pendant 1 période de 10 ans. Après de nombreuses années au cours desquelles les responsables de l'administration fiscale israélienne ont tenté de mettre fin à cette exemption, l'OCDE (l'organisation de coopération et de développement économique) est intervenue et a contraint Israël à le faire. Maître Tangy est là pour répondre à nos questions sur cette nouvelle loi qui pourrait considérablement modifier le paysage économique en Israël.

Bonjour Maître. Dans un premier temps, pouvez-vous nous en dire plus sur cette nouvelle disposition ?

A.H.T : Le ministère des Finances a publié il y a quelques semaines un projet de loi visant à abolir l'exemption de déclaration des revenus et avoirs à l'étranger après que l'OCDE ait averti qu'Israël figurerait sur la "liste noire" des pays ne respectant pas les normes de

transparence internationales et serait exposé à des sanctions économiques s'il ne cessait pas de fournir des "refuges fiscaux" aux nouveaux immigrants et aux résidents de retour.

Qu'est-ce que la loi prévoyait avant l'intervention du ministère des finances?

A.H.T : Depuis la publication de la réforme en septembre 2008, les nouveaux immigrants étaient dispensés pendant 10 ans de toute déclaration à l’administration israélienne et bénéficiaient d’une exonération totale de toute fiscalité pour les revenus perçus et générés à l’étranger. Cette réforme a entrainé une vague d'augmentation des investissements et de la alya.

Quel sera son impact, devrons-nous tout déclarer ?

A.H.T : Les deux amendements récemment ajoutés à la législation fiscale visent à aligner la politique israélienne sur les normes internationales de l'OCDE. Le premier exige la déclaration et la communication d'informations sur les bénéficiaires effectifs des entreprises et fiducies. Le deuxième impose la déclaration d'informations sur l'ensemble des biens et revenus dans le monde détenu par une personne. Il est important de noter que

l'exonération fiscale ne sera pas annulée suite à cette loi. Ainsi, pour répondre plus précisément à votre question tous vos biens et revenus à l'étranger devront être déclarés mais ne seront pas imposés en Israël pour une durée de 10 ans.

Pouvons-nous prévoir les conséquences de cette loi ?

A.H.T : Beaucoup d'avis divergent. Certains experts fiscaux affirment que cette loi n'aura pas de conséquences si l'individu respecte la loi car il n'aura rien à cacher. Egalement, de plus en plus d'accords existent déjà entre les pays et le partage d'informations est d'ordre à ce sujet. Aujourd'hui, il n'est pas possible d'ouvrir un compte bancaire ou de procéder à des transferts financiers sans fournir des informations sur les bénéficiaires effectifs et la provenance des fonds. Ainsi, les informations concernant les résidents israéliens et les rapatriés sont déjà entre les mains des banques israéliennes et exposées aux autorités fiscales. Cependant, cette obligation de déclaration pourrait s'avérer être un processus fastidieux.

Prenons l'exemple d'un français qui émigre en Israël à l'âge de 55 ans et qui possède des fonds et des biens à l'étranger. L'administration fiscale lui demandera l'historique de tous ses biens et fonds afin de retracer les sources et les revenus de cette personne, jusqu'à ce qu'elle conclut qu'il n'a pas d'obligation fiscale en Israël. La préoccupation principale demeure dans le fait que l'administration fiscale utilisera les déclarations pour augmenter les exigences fiscales des immigrants et des résidents de retour.

Votre conclusion: à première vue, dans l'ère de la transparence internationale et des régimes anti-blanchiment d'argent qui exigent la divulgation de toutes les sources de fonds dans le monde pour effectuer des transactions bancaires, l'abolition de l'exonération de déclaration ne devrait pas entraîner de changement radical. Cependant, cela pourrait dissuader les étrangers de devenir résident fiscale israélien et il est possible qu'ils réévaluent à présent leur décision d'Alya.

SANTÉ DU CORPS ET DE L'ESPRIT

Le lien entre le corps et l’esprit : une approche physiologique et énergétique

Il faut savoir que la santé du corps repose sur la santé du deuxième cerveau, le ventre, qui comprend le microbiote, les intestins et tout le système digestif. Dans mon premier livre, je traite de la santé du deuxième cerveau, ce qui nous permet de ne pas fabriquer de la cellulite et de grossir ou maigrir selon notre souhait. Le fait d'améliorer l'état de notre santé physique améliore également notre santé mentale, et l'inverse est aussi vrai. Il faut savoir qu'une personne en bonne santé physique et mentale n'a aucune raison d'avoir des problèmes de poids et de cellulite.

Le lien entre notre corps physique, c'est-à-dire nos organes, et notre mental, notre premier cerveau, est double :

Un lien physiologique grâce au nerf vague

Un lien énergétique grâce aux méridiens et à l'état vibratoire des organes, ce que l'on appelle improprement « la médecine quantique ».

lution. Cela explique la croissance exponentielle des cas de dépression !

Un lien ÉNERGÉTIQUE

Un lien physiologique grâce au nerf vague

C'est le nerf le plus long qui sort du cerveau et irrigue tous les organes avant de remonter au cerveau. Cela explique l'influence de l'état d'esprit sur la santé de notre corps. Nous connaissons tous les maux de ventre provoqués par le stress avant un examen ou une fuite urinaire causée par une très grande peur. L'expression populaire « jaune de colère » traduit bien que la colère touche le foie et peut provoquer ce que l'on appelle une jaunisse (hépatite). De même, un microbiote en mauvais état peut conduire à la dépression. Ce n'est pas moi qui le dis, mais les chercheurs de l'Institut Pasteur, de l'Inserm et du CNRS. Ils expliquent qu'un déséquilibre de la flore intestinale provoque une diminution importante de certains métabolites, ce qui conduit à un état dépressif. Les principales causes de la destruction du microbiote sont d'une part la malbouffe, notamment les aliments industriels et le sucre. D'autre part, un mode de vie malsain, marqué par une vie citadine, le stress et la pol-

1. Les MÉRIDIENS selon la médecine chinoise sont des trajets énergétiques invisibles qui traversent notre corps. Lorsque l'énergie circule correctement, cela se traduit par un bien-être général et un bon fonctionnement de tous les organes. En revanche, un blocage énergétique entraîne des douleurs et un affaiblissement des organes, qui finissent par tomber malades s'ils ne sont pas rééquilibrés énergétiquement grâce à l'acupuncture, la digitopuncture ou la mixopuncture. Personnellement, pour ramener ces personnes à un bon état de santé, je leur apprends, de manière adaptée à chacun, à mieux s'hydrater, à mieux s'alimenter, mais aussi à modifier leur état émotionnel grâce aux méthodes que j'ai développées depuis 13 ans.

2. L'état vibratoire des organes et les phénomènes quantiques

Ma méthode repose sur des phénomènes quantiques, mais bien que nous les utilisions au quotidien, ils restent difficiles à comprendre car se pose la physique classique. Vous ne vous êtes jamais demandé comment fonctionne votre smartphone ? Ou comment Shazam reconnaît une chanson et vous en donne instantanément le titre et la photo de la pochette ?

J’utilise personnellement un appareil quantique qui mesure l’état vibratoire de vos organes et me permet de les rééquilibrer grâce aux vibrations de certains aliments, compléments alimentaires, phytothérapie et produits quantiques comme l'homéopathie moderne.

Ma conclusion

Pour être en bonne santé physique et mentale, il faut que notre premier et notre deuxième cerveau soient unis par l'amour et la joie, afin de réaliser ce que D. attend de nous, que nous devenions un vrai peuple élu, uni par l'amour gratuit et la joie.

LE SECRET POUR ÉLIMINER LA RÉTENTION

D'EAU ET RÉÉQUILIBRER VOTRE SYSTÈME RÉNAL

Comprendre la rétention d'eau :

La rétention d'eau est un problème courant qui se caractérise par une accumulation excessive de liquide dans les tissus corporels. Elle peut être causée par divers facteurs, tels que des déséquilibres hormonaux, une mauvaise alimentation, un mode de vie sédentaire ou certaines conditions médicales. La rétention d'eau peut entraîner des gonflements, des douleurs articulaires et une sensation de lourdeur. Heureusement, la réflexologie plantaire peut vous aider à éliminer l'excès de liquide et à rétablir l'équilibre dans votre corps.

Les bienfaits de la réflexologie plantaire sur le système rénal

La réflexologie plantaire est basée sur le principe selon lequel certaines zones des pieds sont connectées à des organes et des systèmes spécifiques du corps. En stimulant ces zones réflexes, nous pouvons influencer positivement le fonctionnement de nos organes internes, y compris les reins et la vessie. Voici quelques-unes des zones réflexes clés à cibler lors d'une séance de réflexologie pour renforcer le système rénal :

1. Zone réflexe des reins : Située sur la partie interne de la voûte plantaire, cette zone est associée au bon fonctionnement des reins. En appliquant une pression douce sur cette zone, nous pouvons favoriser le drainage des toxines et des liquides accumulés dans les reins.

2. Zone réflexe de la vessie : Située sur la partie extérieure du talon, cette zone est liée à la vessie. En la stimulant, nous pouvons encourager l'élimination des liquides en excès et soulager les problèmes de rétention d'eau. Conseils pour éviter la rétention d'eau :

Voici quelques conseils essentiels :

1. Hydratez-vous suffisamment : Boire une quantité adéquate d'eau chaque jour aide à éliminer les toxines et à maintenir une bonne hydratation, réduisant ainsi le risque de rétention d'eau.

2. Limitez votre consommation de sel : Une alimentation riche en sel peut favoriser la rétention d'eau. Essayez de réduire votre consommation de sel et optez plutôt pour des épices et des herbes aromatiques pour rehausser la saveur de vos plats.

3. Favorisez les aliments diurétiques : Certains aliments comme le concombre, le céleri, les asperges, le melon d'eau et le thé vert ont des propriétés diurétiques naturelles qui aident à éliminer les excès de liquide du corps.

4. Pratiquez une activité physique régulière : L'exercice physique stimule la circulation sanguine et lymphatique, favorisant ainsi l'élimination des toxines et des liquides en excès.

5. Évitez les vêtements trop serrés : Les vêtements serrés peuvent entraver la circulation sanguine et lymphatique, contribuant ainsi à la rétention d'eau. Optez pour des vêtements amples et confortables. La réflexologie plantaire est une pratique merveilleuse pour rééquilibrer votre système rénal et prévenir la rétention d'eau. En stimulant les zones réflexes spécifiques des pieds, vous pouvez favoriser le drainage du corps et renforcer les reins et la vessie. N'oubliez pas de boire suffisamment d'eau pendant cette période de réduire votre consommation de sel et de privilégier les aliments diurétiques pour maintenir un équilibre sain.

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