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Une invention née de l’urgence
Ma première voiture était une DKW Junior de 1962, dont le moteur 3 cylindres 2 temps de 900 cm3 délivrait environ 30 ch. Un jour, lors d’une sortie en montagne où tout s’était bien passé à la montée, les choses se sont gâtées à la descente. En l’absence de frein moteur sur une route pentue et étroite, les freins se sont mis à chauffer et à dégager de la fumée. Ni une ni deux, j’ai attaché au pare-chocs arrière de la voiture, au moyen d’une corde, un gros bloc de bois qui traînait par là. Cela a fait office de frein et m’a permis d’arriver sain et sauf dans la vallée! Cet événement remonte à 56 ans, mais j’en souris toujours! Theo Clausen




L’Allemagne en Austin A8
Ma première voiture était une Austin A8 modèle 1946, payée 600 francs en 1963. Mon premier grand voyage avec cette voiture, en compagnie d’un ami, nous a conduits à Munich, Ulm, Heidelberg, Karlsruhe et Fribourg-en-Brisgau. Nous passions la nuit sous tente, dans des campings simples comme celui de Heidelberg, au bord du Neckar. Le voyage s’est déroulé sans problème, hormis une crevaison. Mais il a fallu gonfler la roue de secours avec une pompe qui faisait heureusement partie de l’équipement de bord. Peter Wittwer Voyage en Norvège
Voici une photo de mon premier voyage en Norvège, en 1977, avec ma première Renault 4 reçue en cadeau alors qu’elle avait environ 80 000 km au compteur. Autour des 108 000 km, à Trondheim, nous avons dû interrompre notre périple tellement la voiture était rouillée. Le retour s’est fait en train. Le TCS a rapatrié la 4L en Suisse, même si ça ne valait plus le coup de la réparer. En juillet 2019, je me suis rendu au Cap Nord pour la deuxième fois de ma vie. En 1979, j’avais acheté une deuxième Renault 4 en version GTL. Le premier voyage m’avait conduit dans le sud de la Norvège. Ludwig Binkert-Stebler
Souvernirs, souvenirs…
Au volant de leur première voiture, les membres TCS ont vécu de cocasses péripéties, dont voici une sélection. Une série spécial souvenirs à consommer sans modération.
Une moto pour une thèse
Condor, cube 350, un cylindre, année 1933, prix d’achat: cent francs. Photo 1952, sujet: Doris Zimmermann, une camarade scout. J’ai roulé avec cette moto pendant trois ans à Tujetsch (alors que je faisais le travail de terrain pour ma thèse) dans toutes les vallées latérales, sur les chemins des vaches. Particularité: par temps chaud, je devais dévisser la culasse et insérer des segments de piston plus grands pour garder une compression suffisante. A savoir qu’à cette époque, les motos devaient encore avoir une plaque d’immatriculation sur le garde-boue avant. Peter Eckardt


Souvenirs, souvenirs…
Au volant de leur première voiture, les membres TCS ont vécu de cocasses péripéties, dont voici une sélection. Une série dédiée aux souvenirs qui vaut le détour. Une Fiat pour l’Italie


Juin 1951, en route pour l’Italie par le col du Grand St-Bernard pour Bergame (La Roncola) et la vallée du Pô pour Venise, Lido, etc… au volant d’une Fiat 1100 cm³, de 1938, 4 portes, sans chauffage. Retour par le col du Simplon.
André Currit
Voiture de rêve
En 1963, j’ai échangé ma Fiat 1100 contre une Porsche 356. On les achetait pour une bouchée de pain à l’époque, car la 911 allait arriver sur le marché. La 356 était la voiture de mes rêves. Avec ma petite amie de l’époque, devenue par la suite ma femme, nous avons fait beaucoup de belles vacances et d’excursions. Mais la «voiture de rêve» connut aussi quelques problèmes. Par exemple, une rupture du câble d’embrayage lors d’un voyage vers l’Italie, dans la montée du Saint-Gothard. Heureusement, nous avons pu atteindre le col sans nous arrêter et redescendre jusqu’à Rivera (TI). Mais comme je n’étais pas encore membre du TCS en ce temps-là, j’ai dû me débrouiller, un samedi après-midi. L’agence Porsche de Bellinzone nous avait promis la livraison de la pièce pour le lundi. Et le hasard a voulu qu’il y ait, tout près de là, un hôtel qui a pu nous héberger jusqu’au lundi. Le câble de rechange a été livré comme promis, je l’ai monté moi-même et nous avons pu poursuivre notre périple à destination de l’Italie.
Avant notre mariage, j’ai vendu cette Porsche pour la somme de 400 fr.! Aujourd’hui encore, il nous arrive parfois de rêver de notre «voiture de rêve». Melchior Lanz Mieux que le train
J’ai acheté ma première voiture – une MG Midget Mark II – en 1964. Elle m’avait coûté 7711,50 fr., y compris un supplément de 590 fr. pour un hardtop qui ne fut jamais livré. Domicilié et travaillant à Baden, je suivais les cours du soir du Technicum à Zurich depuis deux semestres. Les allers-retours en train et à vélo me prenaient beaucoup de temps, au détriment des heures de sommeil. C’est ce qui me décida à acheter cette voiture, avec l’argent économisé lors d’une première mission technique au Nigeria. Au printemps 1968, à l’instar de 29 autres jeunes courageux, je me voyais remettre mon diplôme à la Wasserkirche de Zurich. Ma vénérable MG y avait contribué de manière décisive, été comme hiver. Au prix de quelques réparations et amendes de stationnement autour de la Sihlpost. Ce roadster me permit aussi de faire quelques virées au Tessin, par le col du Gothard et les virolets de la Tremola, ou alors en chargeant la voiture sur le train entre Göschenen et Airolo. Pour des raisons familiales, j’ai acheté une Fiat 125 en 1969. Mais aujourd’hui encore, je me souviens de ma MG avec nostalgie. La nostalgie d’une époque où il y avait moins de monde sur les routes et où conduire était encore un véritable plaisir. Renato Ramazzina

