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Le vert, cette manne financière

Soutien, prime et aide de la région Pour un avenir plus vert, il est important de mettre toutes les chances de son côté, quitte à aller plus loin que les réglementations minimales en termes de RSE. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à consulter les organismes de soutien dans chaque région : www.environnement.brussels et www.environnement. wallonie.be
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Le piège du Greenwashing Aujourd’hui, communiquer de manière trompeuse pour tenter d’embellir l’image de sa société est un piège à éviter. Et pour cause, les nouvelles générations notamment sont passées maîtres dans l’art de déceler les informations trompeuses sur internet. Mieux vaut plutôt jouer sur la transparence et montrer le chemin qu’il reste encore à faire pour s’améliorer comme le fait Patagonia, marque pionnière en RSE. La confiance des consommateurs reste primordiale.

Le monde de l’entreprise plus vert ?
La lutte pour la protection de l’environnement est aujourd’hui sur toutes les lèvres. Dans celle-ci, les entreprises ont incontestablement un rôle à jouer. Comment peuvent-elles y prendre part durablement ? Voici quelques réponses.
Alors qu’un nouveau rapport alarmant du Giec (sorti en juin dernier) prévoit, si rien ne change, des conditions extrêmes pour l’humanité d’ici 2050, il est intéressant de faire le point sur la dynamique des entreprises dans cette grande lutte environnementale. «Car en plus d’avoir un impact majeur dans l’émission de CO² au niveau planétaire, elles peuvent évidemment modifier leur empreinte écologique et jouer un rôle d’exemple pour la société», assure Marek Hudon, professeur à la Solvay Brussels School of Economics.
Dire qu’aujourd’hui ce changement est encore loin d’avoir touché les esprits des managers serait mentir. «Pour simple exemple, de plus en plus d’organismes financiers et bancaires recherchent cet impact au sein des entreprises qu’ils financent», explique Julien Dumont, expert du département économie en transition chez Bruxelles Environnement. «Les nouvelles valeurs au centre de l’attention sont les PPP : people, planet & profit.» Sans compter que la pression des consommateurs (beaucoup plus attentifs et informés) et des gouvernements se fait de plus en plus prégnante, évitant ainsi qu’une entreprise ne se concentre uniquement sur son profit.
Dans cette optique, il est tout à fait logique que le management anticipe le durcissement progressif de la régulation internationale en matière de responsabilité sociétale des entreprises et de durabilité. «Ça permet de se positionner plus durablement sur le marché», évoque Julien Dumont en prenant l’exemple du secteur de la construction à Bruxelles. Avant 2015, le secteur souffrait beaucoup plus de concurrence déloyale avec des employés payés au rabais. «Il a alors anticipé la mise en place du PEB pour former des travailleurs et leur donner un avantage concurrentiel.» En cela, on peut dire que dans certains domaines (gestion des déchets, de l’habitat…), l’Union européenne a réussi à tirer les états membres vers le haut en matière de durabilité.
Pour cadrer ses objectifs et son business en matière de RSE, une entreprise peut s’attaquer à trois dimensions : son écogestion (son comportement de consommation et la manière dont elle impacte son territoire), son core business (manière de s’approvisionner et de mettre son produit sur le marché) et sa gouvernance. «Et il faut bien l’admettre aujourd’hui, le nœud du problème réside dans le core business des entreprises», avoue Julien Dumont. Pourtant qu’on se le dise : «On va définitivement vers un mieux! Il existe d’ailleurs une multiplicité d’organismes d’aide et de prime à la région», poursuit Marek Hudon. Enfin, il ne faut pas oublier qu’il existe des facilitateurs qui peuvent conseiller et accompagner gratuitement les entreprises sur une série de thématiques (gestion de flotte de véhicules, filières circuits courts…).
Le secteur de la construction a anticipé la mise en place du PEB pour former des travailleurs et leur donner un avantage concurrentiel.
— Julien Dumont



Godiva recherche : des amoureux du chocolat ayant l’esprit d’entreprise



Le chocolatier belge Godiva est un grand nom du monde du chocolat. L’entreprise recherche de nouveaux franchisés désireux de contribuer au développement de la marque. Sont visés tant celles et ceux qui ont la passion du chocolat que les entrepreneurs chevronnés qui ne redoutent pas les nouveaux défi s professionnels.
Godiva exploite actuellement deux boutiques en propre (à Bruxelles et à Koekelberg) et confi e l’exploitation de onze points de vente au détail européens à des franchisés établis dans notre pays, en Espagne et au Portugal. « Nous avons l’ambition d’étendre rapidement notre présence et souhaitons donc augmenter considérablement le nombre de franchisés », explique Leen Baeten, responsable pour l’Europe. « Nous ciblons actuellement surtout la Belgique, mais aussi la France et l’Allemagne. Ce sont des marchés importants pour le chocolat : c’est notre priorité. »
Pour son réseau de franchise actuel, Godiva collabore avec sept partenaires : des entrepreneurs avec lesquels l’entreprise travaille depuis dix voire vingt ans déjà. « Godiva est vraiment une marque fantastique », explique Leen. « Avec une très longue histoire ! Nous faisons partie du patrimoine culinaire belge depuis 95 ans déjà. C’est aussi une entreprise qui réunit énormément de passion et de savoir-faire, où la qualité et la satisfaction du client sont toujours une priorité. Beaucoup de gens ici sont vraiment fous de chocolat (rires). Et même si nous sommes une grande entreprise, avec des points de vente présents jusqu’en Chine, aux États-Unis et au Japon, l’ambiance qui règne est très familiale, celle d’une PME. »
En ce qui concerne les franchisés eux-mêmes, Godiva recherche en fait deux types de profi ls », explique Leen. « D’un côté, nous souhaitons travailler avec de vrais férus de chocolat, qui veulent s’impliquer dans le produit et transmettre leur passion et leur amour du chocolat aux clients. Il s’agit typiquement de gens qui souhaitent exploiter une ou deux de nos boutiques. D’autre part, nous recherchons également des entrepreneurs aguerris qui souhaitent se lancer dans une nouvelle aventure avec nous et placent la barre de leurs ambitions commerciales encore plus haut. Nous voulons marquer rapidement le marché européen de notre empreinte. Un défi diffi cile, mais particulièrement enthousiasmant ! Nous sommes totalement ouverts aux idées de personnes à même de nous aider dans cette transformation commerciale. »
Les franchisés peuvent bien sûr compter sur le plein soutien de Godiva, mais en fi n de compte, il leur appartient de concrétiser leurs ambitions. « Nous avons des consignes concernant différents aspects tels les produits, le marketing ou l’aménagement. Mais nos franchisés sont d’abord des partenaires : ce sont eux qui connaissent le mieux le marché local. Ils ne sont pas enfermés dans un carcan et bénéfi cient de beaucoup de liberté. Notre franchisé à Barcelone par exemple a lancé un service de commande qui a connu un succès fou. C’était son idée de A à Z, et c’est lui qui l’a mise en place. Pour le dire autrement : nous vous approvisionnons en excellents chocolats et pralines et nous comptons sur votre talent et vos compétences de franchisé pour les commercialiser. »
Godiva dispose d’un autre atout de poids à faire valoir : le marché du chocolat est certes mature, mais il est aussi très résistant aux crises. « Le marché du chocolat continue de croître », explique Leen. « D’accord, ce n’est peut-être plus une croissance à deux chiffres, mais c’est toujours plus que suffi sant pour y trouver de solides opportunités commerciales. C’est également un marché résilient : nous pouvons ressentir les fl uctuations de l’économie bien sûr, mais après chaque crise, nous retombons vite sur nos pattes. Le chocolat est un petit plaisir que les gens aiment offrir et s’offrir, même quand les choses ne vont pas bien. »
Pour conclure : de quel type d’effort fi nancier parle-t-on quand on évoque le cas d’un franchisé qui envisage d’ouvrir une boutique Godiva ? « Nous recherchons des gens qui vont quand même apporter une partie du capital nécessaire », explique Leen franchement. « Cela montre aussi que l’entrepreneur croit lui-même au concept et qu’il est disposé à endosser le risque pour une bonne partie. Comptez sur un investissement total d’environ 150 000 euros par boutique et nous tablons sur environ 50 000 euros en fonds propres. Attention : ces chiffres dépendent également du concept, de la propension au risque du franchisé et de ses ambitions. Il est également tout à fait possible de commencer à petite échelle et de passer à la vitesse supérieure ultérieurement. Il n’y a donc pas de formule unique et bien défi nie. »
Vous souhaitez en savoir plus au sujet du concept de franchise de Godiva ? Rendez-vous sur www.franchise.be/godiva-chocolatier. Vous êtes peut-être appelé(e) à devenir notre nouveau franchisé.
Hong Kong se profile comme un tremplin pour start-ups
Véritable porte d’entrée vers la Chine continentale, son marché intérieur et, par extension, vers l’ensemble du marché asiatique, Hong Kong s’érige en port d’attache pour les start-ups et les investisseurs étrangers. « Une région prometteuse, en plein développement », souligne Charles Ng, Associate Director General chez Invest Hong Kong.
Àtravers la Greater Bay Area (GBA), qui couvre le Delta de la rivière des perles, le gouvernement chinois cherche à interconnecter 11 métropoles économiques. Hong Kong, grand centre financier de l’Asie, en est le fer de lance. Mais les villes avoisinantes offrent également des avantages pour la métropole. « La Greater Bay Area compte au total 86 millions de personnes, toutes à moins d’une heure de Hong Kong », fait observer Ng. « En train à grande vitesse, les habitants de Shenzhen la rejoignent en quatorze minutes à peine. La zone comprend également un excellent réseau routier. » La question de la chaîne logistique a bien entendu été réfléchie. « Hong Kong héberge l’aéroport numéro 1 en matière de fret », poursuit Ng. « Ce n’est pas négligeable dans un monde où le e-commerce monte en puissance, face à des consommateurs souhaitant des livraisons à domicile en 24 ou 48h. » Un 2e aéroport cargo, en construction, devrait être opérationnel en 2024.
Hong Kong se distingue comme centre de distribution, capitale financière et plateforme d’innovation. Sa grande voisine Shenzhen se profile comme la capitale du hardware et Dongguan comme « l’usine de la Chine », spécialisée dans la robotique et le « smart manufacturing ». À Zhongshan, le tissu économique s’oriente vers le développement d’appareils médicaux. « Chaque ville a défini ainsi son propre avenir », explique Ng.
Plus de 3 300 start-ups se sont déjà implantées à Hong Kong. « Elles viennent ici pour croître. La Greater Bay Area est un terrain d’essai idéal pour tester la rentabilité d’un produit à grande échelle. C’est aussi un excellent tremplin pour conquérir les marchés chinois et asiatiques. » Le gouvernement met en place un environnement favorable pour les entrepreneurs, avec de grands fonds d’investissement et un régime fiscal attractif. « Sur les 200 000 premiers euros qu’une entreprise réalise comme bénéfice, elle ne paie que 8,25%. » Ensuite, le taux d’imposition des sociétés passe à 16,5%.
Les universités font office d’agent de liaison: « Hong Kong abrite 6 universités, qui sont autant de centres de recherches qui accélèrent le développement des entreprises, et fournissent une nouvelle génération de talents, des experts en data et ingénieurs informaticiens », explique Ng. « C’est d’une importance cruciale, dans le contexte de la chasse aux talents que l’on observe à l’échelle mondiale. » C’est en 1997 que le Royaume-Uni a cédé à la Chine sa souveraineté sur Hong Kong, moyennant le respect de quelques conditions. Ainsi, le Common Law System continue d’y être appliqué. « C’est le lieu où l’Occident et l’Orient se mélangent », souligne Ng. « Macau, qui fait également partie de la GBA, aisément accessible désormais grâce à un nouveau pont, est depuis longtemps surnommé le Las Vegas de l’Asie. Les personnes qui s’y installent bénéficient donc des deux cultures. »
Charles Ng
Associate Director General
Invest Hong Kong cherche à renforcer l’image de la ville comme étant le centre d’affaires international leader en Asie. La mission de ce département du gouvernement SAR de Hong Kong consiste à attirer et à conserver les investissements étrangers d’une importance stratégique pour le développement économique de la région. InvestHK vise ainsi différents secteurs de croissance, depuis les industries créatives jusqu’aux services financiers, à la fintech, au tourisme, au transport, etc.
BRAND REPORT • SOFINEX
Au-delà des frontières, toutes !
Rien ne refroidit une entreprise wallonne désirant étendre son périmètre sur l’échiquier international. Pas même une pandémie mondiale ! Qui, si elle a forcément ralenti les échanges commerciaux, n’a pas refroidi l’envie ni l’ardeur des entrepreneurs wallons désireux de passer au-delà de nos frontières.
Ces 18 derniers mois ont impacté les échanges commerciaux à l’échelle planétaire. « Les conséquences inédites de la crise sanitaire ont nécessité, de la part de la SOFINEX, le déploiement rapide et massif de mesures afin de soutenir les entreprises wallonnes exportatrices. Grâce notamment à ces mesures et à une forte résilience des exportations wallonnes au regard des autres régions/pays de la zone euro, nous avons observé que les entreprises de notre portefeuille ont continué à s’internationaliser », souligne Laurence Glautier, Directrice Générale de la Sofinex, l’organisme qui finance les investissements ou implantations des entreprises wallonnes à l’étranger. Les entreprises wallonnes ont besoin de l’international pour se développer, c’est indéniable. « Je ne vous apprendrai rien en vous disant que la Wallonie a la particularité d’être une Région de taille relativement modeste, dotée d’un marché intérieur restreint rendant les exportations capitales pour son développement économique. » Elle ajoute : « Il faut donc soutenir au mieux nos entreprises pour pénétrer de nouveaux marchés ! L’offre de produits financiers de la SOFINEX se veut adaptée à la typicité des projets d’internationalisation et évolue en fonction d’évènements importants comme récemment la pandémie ou le BREXIT ». L’internationalisation est donc poussée dans le dos par la taille du territoire, mais se révèle-t-elle vraiment efficace pour les entreprises qui franchissent le pas ? Laurence Glautier n’en doute pas, études à l’appui. « Plusieurs recherches en matière d’internationalisation confirment les avantages à se développer dans d’autres pays. Le réseau d’affaires et le maillage des contacts s’étendent forcément, ce qui impacte le volume d’activités de l’entreprise, mais également l’image de celle-ci. Son offre de produits ou de services et son savoir-faire tendent à s’étoffer. Les performances s’en ressentent à la hausse et les aspects d’innovation sont également plus développés. Bref, les indicateurs semblent être au vert pour tenter la grande aventure. D’autant plus que le tissu économique wallon regorge d’entreprises capables de réussir à l’international. « On pense souvent aux secteurs pharmaceutiques et biotech, mais le secteur technologique, avec par exemple des sociétés comme ODOO, I-CARE ou AMOOBI, a déjà démontré sa capacité à s’exporter. Il faut démystifier les difficultés que représente l’international, surtout pour les nouveaux exportateurs, car le soutien de l’internationalisation participera indéniablement à la relance des entreprises wallonnes post-covid.
Laurence Glautier
Directrice Générale
Mise sur pied en 2003, la Sofinex a pour mission de soutenir le développement des entreprises wallonnes à l’étranger en intervenant financièrement de trois manières. D’abord par le financement direct via tout type de prêts ou participations en capital, ensuite via la garantie sur crédit bancaire, et enfin par des dons/subventions des exportations vers des « Pays Émergents ».


Investir durablement n’est pas une question de promesses, mais d’action
Le monde de l’investissement, comme le monde lui-même, est en constante évolution : crises sanitaires, instabilité politique, économie numérique, évolutions démographiques et changements climatiques ont un impact profond sur notre façon de nous comporter, de travailler et d’investir. C’est pourquoi avoir une philosophie d’investissement axée sur une gestion responsable, active et de long terme est plus que jamais essentiel.
Dominique Frantzen est responsable du développement de l’activité marketing en Belgique et au Luxembourg chez AXA Investment Managers. Elle est catégorique : « investir responsable signifie mieux investir », des critères tels que l’environnement, la société et la bonne gouvernance en font désormais partie intégrante. C’est une évidence depuis le premier jour chez AXA IM, qui en a fait une priorité depuis vingt ans et est donc un pionnier de l’investissement vert, social et durable. « En tant que gestionnaire de patrimoine responsable, nous investissons activement sur le long terme pour promouvoir le bien-être des clients, des collaborateurs et de la société », explique-t-elle. « La symbiose entre l’investissement responsable, la gestion active et la vision à long terme oriente notre philosophie d’investissement. La façon dont nous gérons notre entreprise et les fondements des partenariats que nous engageons avec nos clients constituent une motivation qui incite nos collaborateurs à donner le meilleur d’eux-mêmes au quotidien. En résumé, cette approche responsable est ancrée dans l’ADN de notre entreprise, elle fait partie intégrante de notre façon de penser et d’agir en tant que gestionnaire et employeur. »
Progrès de l’économie mondiale
AXA Investment Managers fait partie du Groupe AXA. Affiliée à des organisations telles que le Global Compact, AXA IM adhère également aux Principes pour l’Investissement responsable des Nations unies, à l’initiative Caring for Climate et au Carbon Disclosure Project. « Nous voulons être non seulement le plus grand investisseur responsable du monde, mais aussi une entreprise qui fait des affaires et traite ses collaborateurs de manière responsable dans le monde entier », poursuit Dominique Frantzen. « Nous souhaitons optimiser les performances des investissements à long terme, tout en contribuant au progrès de l’économie mondiale, de la planète et des communautés dans lesquelles nous vivons. Nous voulons être à la hauteur des normes élevées que nous imposons aux autres. »
Zéro émission de gaz à effet de serre
C’est pourquoi AXA IM estime qu’il est important d’œuvrer pour une culture inclusive, dans un souci de diversité qui accroît le vivier de talents et dans le respect des convictions de ses collaborateurs. « L’inclusion et la diversité sont des exemples typiques de thèmes auxquels les investisseurs soucieux de la durabilité attachent de l’importance », ajoute Dominique Frantzen. « C’est pourquoi nous offrons notamment à ces clients un accès à une gamme de produits avec un impact environnemental et social mesurable. Ces produits ont chacun un objectif spécifique, comme les technologies propres ou le progrès social. Tous visent à atteindre au moins l’un des Objectifs de développement durable des Nations unies. »
« Mais l’approche responsable d’AXA IM va plus loin. L’entreprise s’engage à supprimer totalement ses émissions nettes de gaz à effet de serre à l’horizon 2050 pour l’ensemble de ses actifs. Afin de continuer à avoir un impact positif à long terme sur la société, AXA IM a également lancé une initiative philanthropique par laquelle 5 % des frais de gestion de ses fonds à impact sont utilisés pour financer des projets axés sur un impact social positif. »
« Je suis fière de travailler pour une entreprise qui s’engage pour une société et une planète meilleures et qui participe à faire la différence. Je trouve d’ailleurs très encourageant de voir qu’une telle approche est possible dans le monde financier. Alors que beaucoup de gens pensaient sans doute que c’était impossible jusqu’il y a peu, c’est devenu aujourd’hui une réalité irréfutable », conclut Dominique Frantzen.
Dominique Frantzen
Marketing & Communication Manager Belgique | Luxembourg
À propos de AXA Investment Managers
AXA IM est un gestionnaire d’actifs responsable, avec environ 866 milliards d’euros d’actifs sous gestion, dont 568 intègrent des critères liés à l’ESG, la durabilité ou l’impact. AXA IM est un leader sur le marché de l’investissement vert, social et durable. AXA Investment Managers souhaite ainsi apporter de la valeur à ses clients grâce à des solutions d’investissement responsables, tout en suscitant des changements significatifs pour la société et l’environnement. axa-im.be