SAS News No 138

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LE BILAN DU CC GENEVOIS

SAS CUPS

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Chers lecteurs,

Alors que les sommets retrouvent leur calme estival, il est temps de jeter un regard en arrière sur une fin de saison riche en émotions, en exploits et en souvenirs partagés.

Si vous avez manqué nos événements emblématiques tels que la Züri Cup, la Bäre Cup, l’AICC, le Closing ou le Pentathlon, vous pourrez en avoir un aperçu dans ce numéro. Du côté du ski nordique, l’un des temps forts de cette saison fut sans conteste les championnats du monde de Trondheim, que nos athlètes vous retraçent. Dans l’ombre des projecteurs, nous mettons en lumière les techniciens de service et leur travail essentiel pour les performances de nos athlètes.

Nous célébrons également nos athlètes du mois, mis en lumière dans chaque édition, ainsi que notre portrait du mois, qui vous feront mieux découvrir certains de nos membres. Dans ce numéro, une mention spéciale est accordée aux soeurs Zubbrigen dont l’engagement et la bonne humeur marquent les esprits. Cap par ailleurs sur la Grèce avec la TK, pour une perspective originale sur le ski vu d’ailleurs.

Enfin, ne manquez pas le petit retour sur l’apéro de fin d’année à Bergün, un moment chaleureux de retrouvailles et de remerciements.

Nous vous souhaitons une agréable lecture et vous donnons rendez-vous fin juin à Fribourg pour clôturer en beauté cette saison et le mandat du Comité central genevois qui procède dans cette édition à la rétrospective de ses trois ans à la tête du SAS.

Liebe Leserinnen und Leser,

Während auf den Gipfeln die Sommerruhe einkehrt, ist es an der Zeit, auf ein Saisonende voller Emotionen, Heldentaten und gemeinsamer Erinnerungen zurückzublicken.

Wer unsere ikonischen Veranstaltungen wie den Züri Cup, den Bäre Cup, das AICC, das Closing oder den Pentathlon verpasst hat, kann sich in dieser Ausgabe einen Überblick verschaffen.

Auf Seiten des nordischen Skisports war einer der Höhepunkte dieser Saison zweifelsohne die Weltmeisterschaft in Trondheim, die unsere Athleten nachzeichnen. Im Schatten des Scheinwerferlichts beleuchten wir die Servicetechniker und ihre Arbeit, die für die Leistung unserer Athleten von entscheidender Bedeutung ist.

Wir feiern auch unsere Athleten des Monats, die in jeder Ausgabe hervorgehoben werden, sowie unser Porträt des Monats, um einige unserer Mitglieder besser vorzustellen. Außerdem erwähnen wir in dieser Ausgabe besonders die Zurbriggen-Schwestern, deren Engagement und gute Laune einen bleibenden Eindruck hinterlassen. Schliesslich geht es mit der TK nach Griechenland, wo wir einen Blick auf den Skisport aus einer anderen Perspektive werfen.

Und schliesslich ein kurzer Rückblick auf den Jahresend-Apéro in Bergün, ein herzlicher Moment des Wiedersehens und des Dankes.

Wir wünschen eine angenehme Lektüre und freuen uns auf ein Wiedersehen Ende Juni in Freiburg, um diese Saison und die Amtszeit des Genfer Zentralvorstands gebührend abzuschliessen.

Alexandra, Elina et Ségolène | L’équipe rédactionnelle Das Redaktionsteam

SOMMAIRE

IMPRESSUM

Le SAS News, organe officiel du Ski-Club Académique Suisse SAS, paraît quatre fois par an, avec un tirage contrôlé (WEMF/ REMP) de 1’700 exemplaires. Il est envoyé individuellement à tous les membres du SAS.

SAS News erscheint viermal jährlich in einer Auflage von 1700 Exemplaren (WEMF/REMP). Es ist an allen SASMitgliedern versandt und ist das offizielle Organ des Schweizerischen Akademischen Skiclubs SAS. www.sas-ski.ch

Editeur | Herausgeber

SAS Ski-Club Académique Suisse

c/o PIM Sportsguide SA Av. de Choiseul 23 | 1290 Versoix

Rédaction | Redaktion

Alexandra Yeterian, Elina Neyroud et Ségolène Brunisholz sasmagazin@sas-ski.ch

Publicité | Inserate

Lorenzo Frei | sponsoring@sas-ski.ch

Impression | Druckerei

Atar Roto Presse SA | 1242 Satigny

Production | Produktion

Patrick Favre

PIM Sportsguide SA | 1290 Versoix +41 22 774 32 21 | info@pim-sa.ch www.pim-sa.ch

Changements d’adresse | Adressmutationen

Elina Neyroud admin@sas-ski.ch

Alle Rechte vorbehalten. Nachdruck ohne Genehmigung verboten. Tous droits réservés. Reproduction, même partielle, interdite sans l'autorisation des éditeurs.

CONSTRUIRE, OSER, SE RÉINVENTER !

En refermant ce mandat de trois années à la présidence du SAS, je souhaite avant tout orienter le regard vers l’avenir. Notre club, riche d’un siècle d’histoire, ne peut se contenter de préserver son héritage: il doit sans cesse réinterroger ses structures et affirmer sa pertinence dans un environnement sportif et académique en mutation.

Le prochain grand chantier, déjà amorcé, sera celui de l’adaptation de nos statuts. En tant qu’association régionale affiliée à Swiss-Ski et, indirectement, à Swiss Olympic, nous devons nous conformer à des exigences croissantes en matière d’éthique, de gouvernance, d’inclusion et de transparence. Cela implique non seulement une mise à jour formelle de nos textes, mais une réflexion de fond sur la manière dont nous voulons gérer notre club à l’avenir: comment équilibrer agilité et stabilité ? Quelle place accorder à la parole des jeunes, aux initiatives locales ou aux nouveaux formats d’engagement bénévole ?

Au-delà des aspects réglementaires, il me semble crucial que le SAS se dote d’une vision stratégique à long terme. J’imagine un plan SAS 2030, articulé autour de quelques piliers clairs:

• remettre au centre les étudiants et leurs besoins en matière de ski de compétition;

• renforcer le lien entre universités, centres de formation et sections locales;

• inscrire durablement de nouvelles disciplines comme le ski-alpinisme;

• encourager les échanges interuniversitaires et internationaux, au travers des compétitions FISU, mais aussi sans doute de courses Masters ou estudiantines internationales non associées à la FIS;

• renforcer notre présence sur les réseaux sociaux pour rester attractifs aux yeux des jeunes générations;

• enfin, trancher collectivement le débat entre une gestion purement associative et la professionnalisation progressive des responsabilités qui nous incombent.

Notre gouvernance a gagné en maturité ces dernières années. La taille du comité central, la complexité croissante des attentes de nos membres, ou encore la gestion de projets majeurs comme le Centenaire ont révélé combien la structuration et la clarté des rôles étaient devenues essentielles. Le SAS d’aujourd’hui ne fonctionne plus comme celui d’hier, et c’est une richesse si nous savons en faire une force collective.

En somme, ce que je souhaite transmettre au prochain comité, ce n’est pas uniquement un bilan, c’est une invitation à construire, à oser, à se réinventer. Tenir tous ensemble cette ligne fine entre tradition et transformation, exigence et passion, mémoire et vision. Le SAS doit continuer à rassembler, à inspirer. Et à tracer sa propre trace, encore longtemps, sur la neige comme dans les esprits.

Am Ende meines dreijährigen Mandats als Präsidentin des SAS richte ich den Blick bewusst nach vorne. Unser Club, gegründet vor über hundert Jahren, darf sich nicht allein auf sein Erbe verlassen. In einer sich wandelnden sportlichen und akademischen Landschaft muss er seine Strukturen stetig hinterfragen - und seine Relevanz immer wieder neu begründen.

Das nächste grosse Vorhaben ist bereits in Angriff genommen: Die Anpassung unserer Statuten. Als regionale Vereinigung von Swiss-Ski und damit indirekt Swiss Olympic angeschlossen, müssen wir den wachsenden Anforderungen in den Bereichen Ethik, Governance, Inklusion und Transparenz gerecht werden. Das bedeutet nicht nur eine formale Überarbeitung der Texte, sondern auch eine tiefgehende Auseinandersetzung mit der Frage, wie wir unseren Club in Zukunft führen wollen: Wie finden wir das Gleichgewicht zwischen Agilität und Stabilität? Welchen Platz geben wir der Stimme der Jugend, den lokalen Initiativen, den neuen Formen freiwilligen Engagements?

Doch über das Reglementarische hinaus braucht der SAS eine strategische Langzeit-Vision. Ich denke an einen Plan SAS 2030, aufgebaut auf klaren Grundpfeilern:

• Die Studierenden und ihre Bedürfnisse im Wettkampfskisport wieder ins Zentrum stellen.

• Die Verbindung zwischen Universitäten, Ausbildungszentren und lokalen Sektionen stärken.

• Neue Disziplinen wie das Skibergsteigen dauerhaft verankern.

• Den interuniversitären und internationalen Austausch fördern – über FISU-Wettkämpfe, aber auch über Master- und studentische Rennen ausserhalb der FIS.

• Unsere Sichtbarkeit in den sozialen Medien erhöhen, um für kommende Generationen attraktiv zu bleiben.

• Und schliesslich gemeinsam entscheiden, wie wir zwischen einem ehrenamtlich geführten Verein und einer schrittweisen Professionalisierung unserer Verantwortlichkeiten navigieren wollen. Unsere Governance hat in den letzten Jahren an Reife gewonnen. Die Grösse des Zentralkomitees, die steigenden Erwartungen unserer Mitglieder, aber auch die Organisation von Grossprojekten wie der Feier «100 Jahre SAS» zeigen, wie wichtig klare Rollenverteilung und strukturierte Prozesse geworden sind.

Der SAS von heute funktioniert nicht mehr wie jener von gestern - und genau darin liegt seine Stärke, wenn wir ihn gemeinsam weiterentwickeln. Was ich dem nächsten Komitee mitgeben möchte, ist nicht nur ein Rückblick, sondern eine Einladung: Den SAS mutig weiterzudenken, ihn neu zu erfinden, ohne seine Seele zu verlieren. Die feine Linie zwischen Tradition und Transformation gemeinsam zu halten - mit Anspruch und Leidenschaft, mit Erinnerung und Weitblick. Der SAS soll weiter verbinden, weiter inspirieren – und noch lange seine Spur ziehen: im Schnee wie in den Köpfen.

Plan SAS 2030 –Eckpfeiler einer strategischen Zukunft

• Studierende stärken: Fokus auf ihre sportlichen und akademischen Bedürfnisse

• Brücken bauen: zwischen Hochschulen, Swiss-Ski-Zentren und Sektionen

• Disziplinen öffnen: Skibergsteigen und andere neue Formate fördern

• International denken: durch FISU, Masterrennen, akademische Events

• Digital sichtbar bleiben: Präsenz auf Social Media ausbauen

• Führung neu denken: zwischen Ehrenamt und Professionalität klar navigieren

BILAN DU COMITÉ CENTRAL GENEVOIS 2022–2025

Renforcer les fondations d’un club centenaire et faire vivre son avenir

En juin 2022, notre comité central prenait ses fonctions avec, pour ambition, de préserver l’héritage du Ski Académique Suisse (SAS) tout en l’inscrivant résolument dans les réalités contemporaines du sport, de la société et du bénévolat. Trois ans plus tard, alors que s’achève notre mandat, c’est avec gratitude, lucidité et humilité que nous souhaitons dresser un bilan de ce chemin parcouru ensemble.

1. Soutenir les talents suisses entre ski d’élite et parcours académique

Dès le début de notre mandat, nous avons souhaité renforcer le lien entre les pôles nationaux de formation (Brig, Davos, Engelberg), les universités suisses et le SAS, et ce afin d’offrir une trajectoire réaliste et inspirante aux jeunes skieurs de haut niveau souhaitant poursuivre leurs études. Cela s’est concrétisé grâce à l’engagement de nos nouveaux chefs alpin (Nicola Niemeyer) et nordique (Matthias Leibundgut) qui ont su assurer un recrutement de qualité SASlerienne au cours des deux dernières années.

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Aujourd’hui, nous sommes fiers de compter cinq athlètes membres du SAS dans les cadres de Swiss-Ski, dont certains ont rejoint les cadres A, preuve que l’idée portée depuis bientôt dix ans par les anciens présidents – commencée par Sandro Jelmini et poursuivie par Christoph Nater – a porté ses fruits. Leur travail de fond a permis d’ouvrir des portes, de crédibiliser notre engagement et de créer un espace où ambition sportive et projet académique ne sont plus mutuellement exclusifs.

Le SAS a également su trouver une solution constructive avec Swiss-Ski concernant la problématique des licences de ces athlètes. Nombre d’entre eux sont peu enclins à quitter leurs associations régionales d’origine, qui font partie intégrante de leurs parcours. Désormais, il est possible pour les athlètes de mentionner deux associations régionales sur les listes de sélection, ce qui permet au SAS de valoriser son rôle unique dans la double formation ski et universitaire.

2. Une vision élargie du ski: accueillir le ski-alpinisme

Sensibles à l’évolution des pratiques et aux attentes de la jeune génération, nous avons lancé une initiative pour inclure le ski-alpinisme dans les activités phare du SAS. Une première courserelais, organisée à Wengen pendant la semaine du Centenaire par le SAS Zürich, a réuni 107 participants. Le succès de cette édition pilote témoigne de l’attrait de cette discipline et du potentiel qu’elle représente pour élargir la communauté SAS. Nous espérons vivement que le comité central bernois inscrira cette course au programme de manière récurrente.

3. Des engagements pour un SAS plus durable

Le souci de la durabilité a été un fil rouge de notre mandat. Nous avons intégré cette préoccupation dans le choix des prestataires pour le SAS Shop, dans l’organisation de nos déplacements (promotion du train, encouragement au covoiturage) et dans nos partenariats. La Summit Foundation a notamment été invitée lors du Centenaire à Wengen pour sensibiliser nos membres à l’impact

environnemental des sports de neige et proposer des gestes concrets. L’article paru dans le SAS News à ce sujet a suscité de nombreux retours positifs, preuve que notre communauté est prête à conjuguer passion de la montagne et responsabilité environnementale.

Toutefois, l’avenir des sports de neige dépend de l’évolution climatique. Un travail de fond est en cours avec Swiss-Ski sur cette problématique. La fédération doit revenir vers les associations régionales concernant les travaux entrepris ces deux dernières années. L’implémentation d’approches concrètes – tant sur le plan social qu’environnemental – sera déterminante pour l’avenir de notre sport.

4. Des moments forts pour célébrer l’histoire… et en écrire les pages suivantes

Notre mandat aura aussi été marqué par un événement majeur: le Centenaire du SAS, célébré à Wengen en mars 2024, qui a rassemblé plus de 500 personnes. Cette semaine de fête, de sport et de tradition a réuni plusieurs générations de SASlers. Courses, soirées, conférences, moments d’émotion: l’esprit du SAS y a brillamment montré sa capacité à allier excellence et convivialité.

Quelques mois plus tard, l’Assemblée des Délégués de Swiss-Ski a été organisée à Berne, suivie d’une Fête Centrale mémorable au Kursaal, qui a réuni plus de 400 personnes. Cet événement a permis de faire rayonner notre club auprès de la famille du ski suisse, de fédérer nos sections, et d’offrir une visibilité institutionnelle rare à notre action.

5. Les défis d’un club en mutation Mais ces années n’ont pas été sans tensions. La gouvernance d’un club intergénérationnel, multilingue et profondément enraciné dans ses traditions nous a parfois confronté à des fractures.

Certains débats internes ont mis en lumière les défis d’un monde qui évolue rapidement. Quelle place accorder aux symboles du passé ? Jusqu’où faut-il s’adapter sans renier nos

racines? Trouver le juste équilibre entre continuité et changement s’est révélé parfois délicat, notamment lorsqu’il s’agissait de répondre à des membres d’honneur ou figures historiques ne partageant pas toujours notre manière de gérer le club ou d’aborder certains sujets sensibles.

Ces moments ont nécessité du courage, du dialogue et, parfois, la pose de limites claires. Ils ont aussi souligné l’importance d’une gouvernance éthique, bienveillante mais ferme, adaptée aux attentes et besoins de nos membres actifs.

Conclusion: une aventure humaine et collective Ces trois années furent un temps d’apprentissage, d’engagement et de passion. Le SAS, c’est plus qu’un club, c’est une famille, une communauté qui partage l’amour du ski, le goût de la compétition et l’esprit académique.

Je remercie chaleureusement tous les membres du comité central, les comités de sections, les membres de la ComCom et de la TK et, bien sûr, les athlètes qui incarnent le SAS sur les pistes comme dans les amphithéâtres. Merci pour votre confiance, vos critiques constructives, vos idées généreuses. Merci aux anciens présidents, qui ont tracé le chemin, et à la relève qui le poursuivra.

Un merci particulier également à nos conjointes et conjoints qui ont accepté que nous consacrions au SAS un temps non négligeable – souvent les soirs, parfois les week-ends – et qui ont soutenu cet engagement avec bienveillance. Malgré un rythme intense et dix naissances au sein du comité en trois ans, notre équipe a su avancer, tenir ses engagements et porter haut les couleurs du club. Cela témoigne d’un engagement collectif remarquable et d’une grande solidarité entre nous.

Je laisse ma fonction avec reconnaissance et confiance. Le SAS est entre de bonnes mains, prêt à poursuivre son histoire avec audace et intégrité.

Pour le comité central genevois 2022-2025

MIT EXOTEN AN DER LANGLAUF-WM

Die WM im norwegischen Trondheim war ein Volksfest. Fast zu erwarten, wenn der Langlaufsport in seinem Mutterland gastiert. Der SAS war ebenfalls vertreten: Mehrere Betreuer und Athleten kämpften für kleinere Nationen um eine Teilnahme an den Olympischen Spielen in Mailand 2026.

Leider waren in der Schweizer Delegation keine SAS-Farben vertreten - nur denkbar knapp hatte Lea Fischer (SAS Norge, B-Kader Swiss-Ski) eine Qualifikation verpasst. Nichtsdestotrotz gibt es vieles zu berichten. Damit meine ich nicht die Rekordserie von Johannes Høsflot Klæbo, der mit seinen sechs Siegen (= Gold in allen WMDisziplinen) für Historisches sorgte. Sondern die Geschichten etwas abseits der Kameras. Da wäre einerseits Sophia Velicer (SAS Lausanne), die für das Heimatland ihrer Mutter, Taiwan, startete. Mit ihren Leistungen erreichte

sie als erste Taiwanesin die OlympiaQualifikation im Langlaufsport. Die Qualifikationskriterien für Olympia sind etwas komplex – kurz gesagt sind für Athleten kleinerer Länder ohne Quotenplätze die Resultate an der WM matchentscheidend. Sophia erreichte die Kriterien mit ihrem Rennen über 10 km klassisch (38. Rang) und setzte mit ihrem 29. Rang über 50 km auch noch ein sportliches Ausrufezeichen. Gecoacht und unterstützt wurde sie dabei durch Jonathan Engdahl, den schwedischen Trainer des SAS Nordisch Teams (seit 2023).

Nigeria sowie Trinidad & Tobago

In den Servicezonen rund um den Kurs konnte man weitere SASler beobachten: Zum Beispiel Ragnar Andresen (SAS Norge), den man dank seiner Statur gut sehen und dank dem Anfeuern seiner tschechischen und portugiesischen Athleten auch gut hören konnte. Schliesslich fand ich mich selbst dort vor und konnte erste Erfahrungen an einem Grossanlass sammeln: Seit einem Jahr unterstütze und betreue ich einen irischen Athleten, Dylan Longridge, bei seinem Weg in Richtung Olympische Spiele in Milano-Cortina 2026. Auch er trainiert regelmässig mit dem SAS Nordisch Team. Ebenfalls Vertreter von «small nations» sind Samuel Ikpefan (Nigeria) und Nick Lau (Trinidad und Tobago), die gelegentlich mit dem SAS unterwegs waren. Reaktionen auf die «Ski-Exoten» fallen unterschiedlich aus: Einige belächeln die Sportler,

• Atemberaubende Atmosphäre während dem 50km der Männer (Foto: Sarah Nicollier)

die scheinbar nur durch «Passglück» einen Startplatz beim grössten Winter-Sportanlass der Welt erhalten. Andere schätzen die oft inspirierenden Geschichten der Langläufer, die einen etwas anderen Lebenslauf aufzeigen als der «durchschnittliche» Spitzenathlet. Mich selbst beeindruckt die Leidenschaft für den Sport und für Herausforderungen, sowie die Bewältigung des Spitzensportes neben dem Studium oder der Arbeit. Es stellt sich heraus, dass die Kontakte, die auf dem Weg geknüpft werden, häufig ebenso wertvoll sind wie das sportliche Ziel. Dies erinnert mich an die Werte des SAS. Auch lässt sich eine Verbindung zum Olympischen Gedanken herstellen: Neben dem Motto «citius, altius, fortius» gilt auch der Spruch «Dabei sein ist alles». Oder um es mit dem Originalzitat von Pierre de Coubertin 1908 zu sagen:

The important thing in the Olympic Games is not winning but taking part, for the essential thing in life is not conquering but fighting well.

1 Dylan Longridge (IRL), Sophia Velicer (TPE) und Jonathan Engdahl (SWE): Internationale SASler & friends.

2 Das irische Team nach dem SprintProlog: Betreuer Philippe Nicollier (links, SAS Zürich) und Dylan Longridge.

ZWISCHEN WACHS, WELTKLASSE UND

WETTKAMPFFIEBER – ZWEI

WINTER ALS SERVICEMANN BEI SWISS-SKI

Wenn die meisten noch tief schlafen, beginnt für mich der Arbeitstag. Nicht auf der Piste, sondern im Wachscontainer in der Nähe der Rennstrecke. Als Ski-Servicetechniker für Swiss-Ski sind Konzentration,

körperliche Belastbarkeit und Leidenschaft für den Schneesport Pflicht. Was es bedeutet, Athleten den entscheidenden Materialvorteil zu verschaffen.

Die Saison 2023/24 führte mich mit dem Biathlon-Team auf die IBU-CupTour. Diese Wettkampfserie, gleich hinter dem Weltcup angesiedelt, ist nicht nur Sprungbrett für junge Talente, sondern auch Tummelfeld ambitionierter Athleten, die den Schritt in den Weltcup machen wollen. Unsere Stationen reichten von ganz Skandinavien bis in die Slowakei - mit Wind, eisigen Temperaturen und starkem Regen zu nassem Frühjahrsschnee. Als Servicetechniker ist man in solchen Momenten weit mehr als nur WachsExperte – man wird zum Strategen, Meteorologen, Psychologen und Logistiker zugleich. Man wächst als Servicemann eng mit den Athletinnen und Athleten zusammen, diskutiert Taktiken, analysiert Zwischenzeiten und freut sich über jedes gelungene Rennen fast so sehr wie sie selbst.

Besonders eindrücklich war für mich der Umgang mit wechselnden Schneebedingungen. Innerhalb eines Wochenendes können sich Temperatur, Feuchtigkeit und Schneekorn drastisch verändern – und mit ihnen die Anforderungen an Schliff, Wachs und Struktur. Dutzende Tests und Varianten rund um das Wachs und die Handstruktur am Morgen entscheiden anschliessend um wertvolle Sekunden. Diese Nähe zur Entscheidung, im Extremfall zwischen Podest und Platz 15, ist unglaublich faszinierend. Und der Moment, wenn ein Athlet nach dem Rennen zurückkommt und sagt: „Der Ski war top!“ – unbezahlbar. In dieser Saison habe ich gelernt, dass kein Rennen dem anderen gleicht – und dass man mit einem guten Ski vielleicht keine Scheiben trifft, aber immerhin schneller zur nächsten kommt.

Vom Biathlon zum Langlauf

Im Winter 2024/25 wechselte ich innerhalb von Swiss-Ski ins Langlaufteam, in die kontinentale Rennserie der Alpenländer (FESAAlpencup). Das Niveau ist auch da top, die Rennen international, und auch hier geht’s um den Sprung nach ganz oben. Ich fühlte mich sofort wieder wie zu Hause, da ich selbst vom Langlauf komme und diese Rennserie früher auch gelaufen bin. Die Dynamik ist anders aber super: kein Schiessen, keine Strafrunden – dafür purer Fokus auf Technik, Kondition und Material. Und auch hier entscheiden winzige Skidetails über die Platzierungen.

Die Einsätze des Alpencups umfassten in der vergangenen Saison Wettkämpfe in Italien (3x), Österreich, Deutschland, Slowenien und Frankreich. Dabei resultierten rund ein Duzend Podestplätze im Alpencup sowie mehrere Top-10 Ergebnisse und eine Medaille an den

Junioren-/U23-Weltmeisterschaften. Ein besonderer Höhepunkt war mein Hilfs-Einsatz beim WeltcupWochenende in Falun, Schweden. Die Dimensionen sind dort nochmals ganz andere: ein Heer an Skitechnikern aus aller Welt, strikt koordinierte Abläufe, grosse Medienpräsenz und die weltbesten Athleten. Als Techniker ist man mittendrin und spürt die Verantwortung, die auf einem lastet. Es geht nicht nur ums Wachsen, sondern auch ums Timing, um Kommunikation, um Vertrauen. Für mich ein Meilenstein – nicht nur wegen der Herausforderung, in diesem Umfeld auf den Punkt abliefern zu müssen, sondern auch, weil das dezimierte Schweizer Team sehr positive Resultate erreichte. Neben persönlichen Bestplatzierungen glänzten wir vor allem mit dem 8. Platz von Nadja Kälin im 20 km Massenstartrennen und dem 2. Platz von Nadine Fähndrich im Klassisch-Sprint.

Fazit

Was bleibt nach zwei intensiven Wintern? Vor allem die Erkenntnis, dass der Leistungssport weit mehr ist als das, was man im Fernsehen sieht. Hinter jeder starken Leistung stehen unzählige Stunden unsichtbarer Arbeit – auf und neben der Spur. Ich bin stolz, Teil dieses Systems zu sein, das Athletinnen und Athleten auf dem Weg an die Weltspitze begleitet. Und ich bin dankbar, dass ich meine Leidenschaft für den Schneesport so unmittelbar leben darf.

1 Schnee-Analyse am frühen Morgen.

2 Ski- und Wachstest bei eisigen Temperaturen

3 Wie die Wachskabine oft aussieht

DIE ZURBRIGGENSCHWESTERN

Die beiden Schwestern vom SASBasel Anina und Elena Zurbriggen teilen ihre Leidenschaft für den Skisport. Ihre Ziele verfolgen sie jedoch auf unterschiedlichen Wegen.

Anina & Elena Zurbriggen | SAS Basel

Wir sind in Saas-Almagell aufgewachsen. Am Wochenende standen wir immer gemeinsam auf den Skis – und konnten die Freude an diesem Sport miteinander teilen. Aufgrund unseres Altersunterschieds bestritten wir in der Mini-JO nicht dieselben Wettkämpfe. Doch so oft es möglich war, unterstützten wir uns gegenseitig mit Tipps und Ratschlägen – als Zuschauerin am Pistenrand oder aus der Ferne. Neben dem Skisport verbindet uns auch die Freude an der Musik: Wir haben beide Querflöte gelernt und zu Hause oft gemeinsam Duette gespielt.

Die JO-Jahre vergingen für Anina wie im Flug – mit vielen Siegen, Podestplätzen und ständiger Verbesserung von Jahr zu Jahr. Für Elena hingegen waren diese Jahre geprägt von Verletzungen: ein Beinbruch, ein Armbruch und später ein Kreuzbandriss. In dieser Zeit bewies sie Geduld und Durchhaltewillen. Auch dank ihrer Schwester meisterte sie diese Phase, denn wann immer sich eine Möglichkeit ergab, stellten sie in Saas-Almagell einen Slalom-Torlauf auf und trainierten zusammen.

Nationalteam Bulgarien

Mit dem Eintritt in die FIS-Jahre trennten sich unsere Wege: Anina stieg direkt ins NLZ-Kader ein und verbrachte dort vier Jahre. In dieser Zeit fuhr sie ihre ersten FIS-Rennen, Siege und Podestplätze ein und sammelte erste Erfahrungen im Europa-Cup. Elena hingegen musste ihre erste FIS-Saison für Rehabilitation und Wiederaufbau nutzen.

Später entschied sich Anina für das Heimatland unserer Mutter –Bulgarien – zu starten. Ihre Karriere kommt langsam in Fahrt: Rang 21 bei der Junioren-WM, das WeltcupDebüt in Jasná sowie FIS-Siege und Podestplätze, zuletzt einen 33. Rang bei der Weltmeisterschaft in Saalbach.

Elena konnte nach einer intensiven Sommer-Vorbereitung mit einer Privatmannschaft ihr erstes FISRennen gewinnen und weitere Podestplätze erzielen – ein Erfolg, der all die investierten Trainingsstunden belohnt hat. Leider konnte sie aufgrund eines weiteren Sturzes die Saison nicht wie gewünscht abschliessen.

Anina baut aktuell ein Projekt auf, das ihren hohen Ambitionen gerecht wird: ein Team, das sich mit der Weltspitze messen kann und ihr optimale Voraussetzungen für die Vorbereitung auf die Olympischen Spiele 2026 bietet. Ein solches Engagement erfordert nicht nur Energie und Disziplin, sondern ist auch dauerhaft auf Unterstützung angewiesen.

Auch wenn wir heute nicht mehr so oft gemeinsam auf den Skis stehen, unterstützen wir uns weiterhin per Telefon und motivieren uns gegenseitig im Sommertraining. Dank dem SAS Basel haben wir wieder eine gemeinsame Struktur gefunden und können dank deren Unterstützung unseren Weg weiterhin gemeinsam gehen.

SOPHIA VELICER, SAS LAUSANNE

1. Beschreibe deinen perfekten Trainingstag (Ort, Personen, ….)

Im Winter liebe ich lange Tage draussen unter blauem Himmel, beim Langlaufen auf perfektem Schnee mit guten Freunden. Eine Tour ins Sertig enttäuscht eigentlich nie. Im Sommer fahre ich gerne in die Berge, campe über Nacht und verbringe den ganzen Tag auf den Trails mit Freunden. Ein schneller Sprung in einen kalten See und danach ein Kebab – besser kann man den Tag nicht abschliessen. Ich habe auch eine Schwäche für sogenannte "Type 2 Fun"-Einheiten – also die, bei denen alles schiefzugehen scheint. Es ist ein tolles Gefühl, sich durch schlechtes Wetter zu kämpfen und über das gemeinsame Leiden zusammenzuwachsen.

2. Warum hast du dich für deine Sportart entschieden?

Ich habe diesen Sport nicht so sehr gewählt – er hat mich nach und nach in seinen Bann gezogen. Ich habe in der Highschool mit dem Langlaufen angefangen, um Zeit mit Freunden zu verbringen und im Winter für das Schwimmen zu trainieren. Dann habe ich es einfach immer häufiger gemacht, bis ich schliesslich als Skilehrerin in Neuseeland gearbeitet habe. Dort bin ich auch meine ersten FIS-Rennen gelaufen. Danach bekam ich die Möglichkeit, für Taiwan zu starten, was mich motivierte, den Schritt vom Hobbysport zur Leistungssportlerin zu machen. Ich liebe alles am Langlauf – den Rhythmus der Bewegung, die körperliche Herausforderung und vor allem die offene, herzliche Kultur, die den Sport umgibt.

3. Was beneidest du am Leben der Nordischen/Alpinen? Schwerkraft und Skilifte.

4. Beschreibe deinen ersten SAS Event Mein erstes SAS-Event war ein Trainingslager in Prad am Stilfserjoch im Jahr 2021. Es war eine überwältigende, aber gleichzeitig spannende Erfahrung. Ich hatte zuvor noch nie an einem Trainingslager teilgenommen. Ausserdem war es lange her, dass ich regelmässig Deutsch gesprochen hatte – das war eine weitere Herausforderung ausserhalb meiner Komfortzone. Aber die Atmosphäre war extrem einladend, es fühlte sich sofort wie eine Gemeinschaft an. Es war ein grossartiger Einstieg – bis einige von uns, mich eingeschlossen, eine Lebensmittelvergiftung durch ein paar fragwürdige Knödel bekamen.

5. Was macht den SAS für dich speziell?

Der SAS ist ein ganz besonderer Club, weil wir gemeinsam richtig viel Spass haben, aber den Sport trotzdem ernst genug nehmen, um uns weiterzuentwickeln. Die Atmosphäre ist sehr herzlich – wir sind wie eine grosse Familie. Es gibt Platz für alle, nicht nur für Top-Athlet:innen, und es werden auch Leuten sinnvolle Chancen gegeben, die vielleicht (noch) nicht ganz so gut sind. Ich habe 2021 angefangen, ernsthaft zu trainieren, und ohne den SAS hätte ich nie die Möglichkeit gehabt, mich so zu entwickeln und es bis zum Weltcup zu schaffen. Ich schätze auch die Grundwerte des Vereins sehr – Studierende auf ihrem Weg sowohl im Sport als auch im Studium zu unterstützen. So ein Umfeld ist selten und unglaublich motivierend.

6. Was motiviert dich Sport und Studium zu kombinieren?

Ich schätze es sehr, dass Sport und Studium mich auf ganz unterschiedliche Weise fordern und gleichzeitig ausgleichen. Das eine gibt mir eine Pause vom anderen und hilft mir, mit beiden Beinen auf dem Boden zu bleiben. Ich war mein ganzes Leben lang Leistungssportlerin in verschiedenen Sportarten, und ich glaube nicht, dass ich den Sport heute so geniessen könnte, wenn ich mein Studium nicht gehabt hätte. Letztendlich habe ich einfach grosse Leidenschaft für beides – Sport und Wissenschaft –also mache ich im Grunde einfach das, was mir Freude bereitet: Spitzenlanglauf und Forschung in der degenerativen Neurowissenschaft.

7. Wovon träumst du?

Ich träume davon, Taiwan nächstes Jahr bei den Olympischen Spielen zu vertreten – als erste taiwanesische Frau im Langlauf. Darüber hinaus möchte ich mich in jeder Saison weiterentwickeln, lernen, verbessern und meine Grenzen verschieben. Ich hoffe, dass ich mit Starts bei Olympischen Spielen und im Weltcup junge Langläufer:innen in Taiwan inspirieren kann, ihre eigenen Träume zu verfolgen – und ihnen den Weg ein wenig leichter zu machen, als er für mich war.

Murith

LIAN VON GRÜNIGEN, SAS BERN

STUDENT FERNUNI SCHWEIZ (WIRTSCHAFT)

1. Beschreibe deinen perfekten Trainingstag (Ort, Personen, ….)

Weil ich nur 5 Minuten vom Skigebiet Gstaad entfernt wohne, trainiere ich auch am liebsten dort. Hier kann ich zwischen verschiedenen Pisten auswählen, dabei ist mir auslaufende mittlere Steilheit am liebsten, weil ich finde, dass dies den besten Trainingsreiz mit sich bringt. Wenn es dann noch eisige Bedingungen sind, kann der Trainingstag schon

fast nicht mehr schiefgehen. Wichtig für mich sind auch Videos und Zeitmessungen, so kann ich anhand der Zwischenzeiten nach einem Lauf direkt sehen in welchen Abschnitten ich schneller oder langsamer war und kann dies mithilfe der Videos analysieren, damit ich es schon im nächsten Lauf besser machen kann. Dies braucht Zeit, darum mache ich pro Trainingstag relativ wenig Läufe, oft nur vier.

2. Warum hast du dich für deine Sportart entschieden?

Da mein Vater bereits leistungssportmässig Ski fuhr, war mir dieser Sport schon immer vertraut. So stand ich bereits mit eineinhalb Jahren das erste Mal auf den Skiern und war von Anfang an hellauf begeistert davon.

3. Was beneidest du am Leben der Nordischen/Alpinen?

Die Langlaufskier sind ein bisschen leichter zum Tragen.

4. Beschreibe deinen ersten SAS Event

Der erste grössere Event war gerade das 100-Jahr-Jubiläum des Zentralfestes. Hier konnte ich viele schöne Eindrücke gewinnen und beim Nachtessen einen wunderschönen Abend geniessen.

5. Was macht den SAS für dich speziell?

Der SAS ermöglicht es mir, Studium und Skisport miteinander zu verbinden und unterstützt mich dabei aktiv – das ist für mich sehr wertvoll.

6. Was motiviert dich Sport und Studium zu kombinieren?

Für mich ist es wichtig, neben dem Sport eine alternative Perspektive zu haben, die mir weitere Möglichkeiten für die Zukunft eröffnet. Ausserdem geniesse ich die Abwechslung, mich gelegentlich mit anderen Themen als dem Skisport auseinanderzusetzen.

7. Wovon träumst du?

Von einem erfüllten Leben.

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GASTLICHKEIT IN BERGÜN SEIT ÜBER

50 JAHREN…

Seit vielen Jahren zirkulieren die Jahresend-Apéros der Sektion Zürich zwischen Bergün, Davos und Lenzerheide. Am 29. Dezember 2024 fand wieder einmal dieser Event bei der Familie Gattiker in Bergün statt. Die grosszügige Gastfreundschaft des GattikerClans in ihrem wunderschönen Bündnerhaus Juvalta hat aber schon eine Tradition seit über 50 Jahren.

Ivan Wagner | SAS Zürich

Grosszügige Gastfreundschaften haben im SAS bei allen Sektionen grosse Tradition. Da werden generationsübergreifend Freundschaften geschlossen, aktuelle SAS-Themen diskutiert und der SAS-Geist gepflegt. Immer wieder nehmen daran auch SASler anderer Sektionen teil, was dem gesamtschweizerischen Zusammenhalt des SAS zugute kommt. Und jetzt werde ich etwas persönlich…

1 Gruppen-Bild vor der Chesa Juvalta (altes Adelsgeschlecht Graubündens seit dem 12. Jahrhundert).

2 v.l.n.r.: Guolf Gattiker, Christina Wagner, Edith Gattiker, Ivan Wagner.

3 v.l.n.r.: Jojo Stutzer, Robert Käppeli, Samantha und Ernst Pfenninger, Gastgeber Guolf.

Schon früh nach meiner Aufnahme in den SAS habe ich bei den verschiedenen Regionalrennen und den Dienstags-Stämmen die Gattiker-Brüder kennengelernt: Guolf (genannt Gufy) und seinen leider zu früh verstobenen Bruder Gian-Fadri (genannt Fludi). Wir haben damals wenige SAS-Events ausgelassen und auch schon an den tollen SchlittedaEvents bei der Familie Gattiker-Juvalta in Bergün gefeiert. Gemeinsam mit Gufy und anderen haben wir am Engadiner Marathon teilgenommen, an der Uetliberg-Schanze Skispringen trainiert und auch den Mönch und Finsteraarhorn bestiegen. Bei derselben Grossbank gearbeitet, in einem SAS-Zentralvorstand gedient und den Int. SAS-Pentathlon gemeinsam gegründet und zusammen die vernachlässigten Beziehungen zum SC18 in Cortina reaktiviert. Und so ist eine sehr schöne, lebenslange SAS-Freundschaft entstanden, wofür ich ausserordentlich dankbar bin.

Es ist mir nun ein grosses Bedürfnis, und ich hoffe, dass ich hier im Namen vieler Zürcher SASler sprechen darf, der gesamten Familie Gattiker aber ganz besonders Gufy, für die wiederkehrende grosszügige Gastfreundschaft bei den Jahresend-Apéros in Bergün unseren herzlichsten Dank aussprechen darf.

PREMIÈRE IN ROUGEMONT

Zum ersten Mal wurde der Bäre-Cup am 14./15. Februar in Rougemont durchgeführt, einer charmanten Nachbarortschaft von Saanen. Die neue Location bot ideale Bedingungen für ein sportliches Wochenende voller Spannung, Gemeinschaft und unvergesslicher Momente.

Lars Ackermann l SAS Bern

Der Samstag stand im Zeichen des alpinen Skisports. Bei strahlendem Winterwetter und perfekten Pistenverhältnissen wurden zwei Slalomrennen durchgeführt. Die bestens präparierte Strecke erwies sich als anspruchsvoll, aber fair – genau die richtige Herausforderung für die motivierten Teilnehmer. Technisch anspruchsvolle Passagen und ein flüssiger Streckenverlauf verlangten den Rennläufern alles ab. Besonders erfreulich war die hohe Beteiligung: Zahlreiche Athleten sowie Vertreter der verschiedenen Sektionen waren vor Ort.

Parallel-Slalom unter Flutlicht

Am Abend verwandelte sich die Rennpiste in eine Bühne für das Highlight des Wochenendes: den Parallel-Slalom unter Flutlicht. In packenden Duellen traten jeweils zwei Fahrerinnen oder Fahrer gleichzeitig gegeneinander an – ein Format, das für hohe Spannung und beste Unterhaltung sorgte. Die Zuschauer feuerten begeistert an, während sich die Teilnehmer mit höchster Präzision und Geschwindigkeit durch die Tore manövrierten. Es gab zahlreiche enge Entscheidungen, spektakuläre Aufholjagden und beeindruckende Technik zu bestaunen. Dieser abendliche Wettkampf liess echtes Weltcup-Feeling aufkommen.

Rückwärts auf den Langlauf-Skis

Unsere Festwirtschaft versorgte Teilnehmende wie Zuschauer mit warmen Speisen, Snacks und Getränken. Die gemütliche Atmosphäre im Zielbereich lud zum Verweilen ein und bot Gelegenheit für angeregte Gespräche und das Knüpfen neuer Kontakte. Nach dem letzten Rennen liessen wir den Tag in geselliger Runde ausklingen – mit Musik, Lachen und dem einen oder anderen wohlverdienten Getränk. Es wurde gemeinsam auf ein gelungenes Event angestossen, das einmal mehr den Geist der SAS-Gemeinschaft widerspiegelte: sportlich, kameradschaftlich und voller Freude.

Am Sonntag dann der Disziplinenwechsel: Auf einem eigens angelegten LanglaufRundkurs galt es nicht nur, Ausdauer und Technik unter Beweis zu stellen, sondern auch Kreativität und Geschicklichkeit. Die Strecke beinhaltete eine RückwärtsfahrPassage, die für manchen Lacher und unerwartete Wendungen sorgte.

ZÜRI CUP 2025 AUF DER LENZERHEIDE

Bei frühlingshaften Temperaturen fand am 22. und 23. Februar der Züri Cup 2025 auf der Lenzerheide statt.

Fiona Zoller l Kandidatin SAS Zürich

Bereits am Freitag arbeiteten die Helfer mit vollem Einsatz daran, die Piste vorzubereiten und Sicherheitsnetze aufzustellen. Zudem ermöglichte Hans ein Training auf der Rennstrecke, um den Teilnehmenden den Feinschliff für das bevorstehende Rennen zu geben.

Am Samstag ging es früh am Morgen los - Treffpunkt war bereits um 07:15 Uhr an der Talstation. Trotz der warmen Temperaturen die der Piste zusetzten, herrschten faire Bedingungen für alle Athleten. Von jung bis alt zeigten die Fahrer des SAS-Teams starke Leistungen. Im zweiten Rennen des Tages präsentierte sich die Piste in bester Verfassung und pünktlich zum Showdown in der Züri Cup- sowie Open-Race-Wertung kam auch die Sonne zum Vorschein. Als Tagessieger taten sich Nadine Langenegger und Gianni Hehli hervor.

Toneatti und Ott/Binkert/Almer

Vor dem Start des legendären "Sie & Er"-Rennen wurde eifrig das Startnummern-Tauschen trainiert. Nicht bei allen ging die Taktik wunschgemäss auf, doch am schnellsten meisterten die frischverheirateten Toneattis die Herausforderung. Den krönenden Abschluss des ersten Wettkampftages war das gemeinsame Abendessen im Restaurant Avant Clavo. Bei der Tombola zwischen Hauptgang und Dessert wurden tolle Preise unserer Sponsoren verlost. Am Sonntag kämpften Dreier-Teams um den Sieg im Langlauf. Das schnellste Team, bestehend aus Marcel Ott sowie Oliver Binkert und Thomas Almer, bewältigte die Strecke in weniger als neun Minuten und sicherte sich den Tagessieg. Ein herzliches Dankeschön dem Organisationskomitee, den Sponsoren und den zahlreichen Helfern, die den Event möglich gemacht haben.

UNE SEMAINE

MÉMORABLE !

Du 5 au 9 mars, les membres de SAS se sont réunis à Engelberg pour la clôture annuelle et la semaine SAS. Comme toujours, la semaine a été rythmée par du ski exceptionnel, des festivités ainsi que de bons repas.

Hélène Bron et Ariana Forelli l Candidates SAS Lausanne

Le week-end a commencé dès le jeudi avec une journée de ski libre sous un ciel bleu et une neige excellente. La journée s’est terminée en beauté avec un «Flying Dinner» au BänkliAlp, puis quelques bières dans un pub irlandais du coin. Après quelques pas de danse, les candidats ont eu l’occasion de faire un bon plongeon régénérant dans le lac. Mateo a tellement aimé qu’il a accompli une belle et longue nage…

Vendredi, une autre journée de ski libre a été suivie d’un déjeuner ensoleillé à la Skihütte Stand L’après-midi s’est conclu par un après-ski au Chalet. Le soir, le weekend a été officiellement lancé par un délicieux dîner au Spannort, accompagné de rires et de bon vin.

Le samedi matin, les jeux ont commencé ! Nous nous sommes retrouvés sur la piste ensoleillée de Jochstock pour deux manches de slalom géant. Un grand nombre de participants, toutes générations confondues, ont pris part à l’événement. Pami eux, relevons notamment notre membre vétéran Philippe Guyot et nos deux skieurs de Coupe du Monde, Arnaud Boisset et Yannick Chabloz ! La neige était exceptionnelle, et les courses se sont déroulées sans accroc.

Après les deux manches de slalom géant, place au légendaire Sie & Er. Malheureusement, les vainqueurs 2024, Baptiste & Alice, n’ont pas réussi à conserver leur titre, et c’est Juliette & John-John qui ont eu l’honneur de porter l’arche dorée toute la soirée. Félicitations à eux !

Après un déjeuner copieux (et un après-ski pas très sobre), nous nous sommes rendus à l’hôtel Bellevue Terminus pour le dîner de gala. Skieurs, enfants et spectateurs ont dégusté un excellent repas. Le dîner a été animé, ponctué de pauses pour la remise des prix. Les trophées traditionnels ont été remis, et les perdants du Sie & Er ont également été «récompensés». La soirée s’est terminée en musique sur une piste de danse surchauffée, suivie d’une fête au Gletscherspalte

Nous avons vécu un bel événement, dont nous garderons tous de beaux souvenirs. Nous voulons terminer cet article en vous disant «Au nom du père, du fils et du sain Calice, vive le SAS !»

THE LOCAL EDITION

Every March, Grindelwald and the enthusiastic local team of the organizing committee welcome competitors for the SAS International Pentathlon. With participants trickling into town ahead of Friday evening’s opening address, weeks of preparation are almost at their end. While competitors have been spending the last months with exercise, building strength and fitness ahead of the weekend’s competition, in Grindelwald the preparation shows a very different form.

The Grindelwald team’s planning and anticipation for the event had begun weeks in advance, with contingency plans already in place in case of uncooperative weather and snow conditions. With three snow-based disciplines (Giant Slalom, Ski Jump and Cross Country), conditions are constantly being monitored and locations scouted. Analysis of the winter’s snowpack impacts decisions on where events will take place, and with winters becoming increasingly warm and dry, the

cross-country phase of the event has been required to move to higher ground the last few years. For almost 30 years, the local organisation team was led by skiing legend Hans Schlunegger. After his retirement, the post has been filled by Stefan Zurbuchen, who has been coordinating and leading the continuously growing local team now for the last decade.

In the later years, Matthias Schenk and Chris Almer have joined the team, supporting Saturday’s snow-based events (giant slalom and ski jump). Hans’ son Urs joined for the first time this year, together with Patrick Boissier from the Grindelwald First SOS team, who helps oversee all events on First to ensure optimal locations, conditions and competitor safety. With such a dedicated team, the Pentathlon is always in good hands.

1 Stefan Zurbuchen.
2 Stefan and Matthias proudly present the SAS Pentathlon Logo on their jackets.

Full of camaraderie

Despite the complex setup, multiple locations and various moving parts involved in getting an event of this scale running smoothly, the atmosphere at the SAS Pentathlon always remains upbeat and full of camaraderie. The days before the competition are filled with final decisions and event setup. On Friday, a team comprised of the local Grindelwald committee and SAS officials, headed to First to prepare the Giant Slalom and Ski Jump. We were fortunate this year to have consistent cold conditions despite a relatively thin snow base, so conditions were ideal for both the GS and the Ski Jump. With everything in place apart from the finishing touches to be finalised on the day of competition, the Pentathlon was ready to go ahead.

Early Saturday morning saw the Grindelwald team and dedicated SAS members taking the first gondolas up to First to complete the setup. Flags and fences were set, timing calibrated, and before long the first competitors were lining up at the start. The snow was hard, with good visibility – and the standard of racer was, as always, high. Arne Ackermann, from Team Halbliterpause, posted the fastest time of 54:29, though Jenny Müller from The Penguins took the individual

lead once handicap points were calculated. After all competitors had made their way through the course, team Drei Schwöstra mit Wedegeente (Linda Frische, Dario Schio and Samuel Kind) took the lead. After the race finished, racers, supporters and organisers teamed up to dismantle the course and allow the piste to be opened again to the public. Matthias and Chris, positioned near the finish line during the competition, were amazed to find the deconstruction of the course all but completed by the time they reached it – a testament to the hard work and enthusiasm of the competitors who stepped up to help.

Two impressive jumps

The sun shone and wind blew as the final touches were put on the ski jump, led and directed by Stefan and the discipline head, Christian Erichsen. To ensure safe landings, the landing area was flattened and salted, and the competitors gradually gathered. The mandatory test jumps were soon underway, with Stefan manning the landing zone, and communicating with the starting officials further up the hill. This communication proved itself invaluable, with thick clouds sporadically blowing through the jump area, obscuring any visibility and necessitating brief pauses in

3 The local team of the Organizing Committee, left to right Stefan Zurbuchen, Urs Schlunegger, Hans Schlunegger, Matthias Schenk and Chris Almer. The president of the organizing committee snuck into the center of the picture.
4 Our honorary guest, Bruno Kernen, with the latest issue of our Schneehase-book.

competition. Fortunately, though, all competitors were able to undertake their test and competition jumps safely, despite the short intermissions to wait for clouds to pass and visibility to improve. Team Schnitzelbänggler managed the highest team score for this discipline, and Christian Erichsen of Getting Piste! managed two impressive jumps of 24.5m to take the individual lead.

With Saturday’s on-mountain events concluded, it was time for the competitors to return to Grindelwald to prepare for the curling – and for the team from the Firstbahn, it was time to finalise the plans for the following morning’s cross country. With snow scarce on the ground at Grindelwald Grund, the decision had been made again to relocate the cross-country up

Thanks Anna

There is another member of the local team: Anna Bolton. She can be counted on to be ready at the racecourses, ski-jump and curling rinks well before the first competitors arrive to document the event with her camera, and this year and the past, also with her pen.

to First. The last two years, the course had been set near the site of the ski jump, above Schreckfeld station. This year, however, a new location had been found – allowing for a longer, flatter course. While the Pentathletes were curling down in the Sportzentrum, the pistenbully was making its final turns on the cross-country track. Team Heming took a comfortable lead with three solid performances, with Jean-Marc Lüthi (Team Maglia Rosa) blitzing the individual results with a staggering 66 points high score.

A particular highlight this year was the presence of Bruno Kernen as honorary guest and speaker. The former Swiss Ski Racer regaled the Pentathletes with tales of his past, and anecdotes about his recent career move to Managing Director of Toko. With clouds rolling in outside, inside the Sunstar, the atmosphere was warm and light as competitors and supporters chatted, ate and drank into the evening.

Poor visibility but high spirits

Sunday dawned cool and cloudy, with visibility severely restricted. Firstbahn SOS member Patrick Boissier helped shuttle competitors, crew and materials from Schreckfeld to the location of the cross-country – through the impenetrable cloud that had settled on the mountain. Despite the poor visibility, spirits were high, and with only a slight delay to the start of the race and a reduction of the required laps due to the conditions, the fourth discipline was soon underway. Sheer determination seemed to be fuelling most of the athletes as they wound their way through the course. Supporters and earlier finishers provided enthusiastic encouragement as racers made the gruelling final climb to the finish line. Team Blizzard Squad aptly took first place, while Simon Hammer from the Après Ski All-Stars showed his skills by completing the fastest individual time.

Only one discipline remained – swimming. The Dengg brothers took to this final event, back down in the Grindelwald Sportzentrum, like fish to water –literally – and claimed the team victory. In individual results, Dario Schio completed the fastest time, and Thomas Steinebrunner took the individual lead.

All too soon, the SAS Pentathlon had concluded for another year. Prizes were awarded to celebrate the various achievements, not only the highest-scoring teams and individuals across the 5 disciplines. Team Heming took the team trophy after exceptional performances across all disciplines, and Jan Frederik Rosenberg skied, swam and jumped into a runaway individual victory, showing his prowess across the board.

5 Patrick Boissier on his snowmobile, accompanied by Henry Kretschmer and Magnus Bergaplass of the Organising Committee.

6 The winning team Heming, Michael Rudin, Jan Fredrik Rosenberg and Thomas Steinebrunner, flanked by the organizing committee’s Consti Schrafl and Rolf Ringdal.

7 The individual winner Jan Fredrik Rosenberg.

8 Anna Bolton in action with her camera.

The hard work and dedication put in by the SAS Organising Committee is recognised and appreciated by the members of the team in Grindelwald responsible for getting the event areas ready for competition. Despite some challenges with weather and snow conditions, this year was once again a smooth success, with a contagious positivity resonating through everyone involved.

Invaluable contacts and warm friendships have emerged across the local- and the SAS-teams of the SAS International Pentathlon Organizing Committee. With frequent interactions and activities, the work of the committee never stops. After the Pentathlon is before the Pentathlon!

We are already looking forward to 2026! Reserve the date now: 13.-15. March.

AUF JEDEM PODEST

EIN SASLER

40 SASler drückten den AICC vom Skiclub Mardens in Davos/Klosters den Stempel unseres Clubs auf.

Madlaina Muntwyler l SAS Bern

Das Rennprogramm startete traditionsgemäss am Freitag mit zwei Riesenslaloms am Jakobshorn. Leider blieb der erste Renntag nicht ohne Zwischenfälle: Thomas Pool verletzte sich schwer. Wir wünschen ihm von Herzen eine gute und vollständige Genesung. Trotz der unglücklichen Ereignisse durften die über 200 Athletinnen und Athleten bei guten Bedingungen einen gelungenen Renntag geniessen. Im Anschluss ging es direkt zum Après-Ski ins Fuxengufer, wo bereits ausgelassene Stimmung herrschte.

Gut gemischte Teams

Am Abend standen zwei gemeinsame Abendessen auf dem Programm: ein gemütliches Fondueessen im Bolgen Plaza sowie ein zweites auf dem Berg im Fuxengufer, bei dem vor allem die jüngeren Teilnehmenden vertreten waren. Der Austausch mit Mitgliedern anderer Clubs kam dabei nicht zu kurz. Die Gondel brachte alle sicher zurück nach Davos. Am Samstag fanden in Madrisa ein Super-G sowie Parallel-Riesenslalom statt. Die Teams wurden clubübergreifend zusammengestellt, wodurch sich die Teilnehmenden aus allen Skiclubs gut durchmischten.

Den festlichen Abschluss bildete das traditionelle Galadinner am Samstagabend unter dem Motto «Hollywood on the Rocks». Fast ebenso zur Tradition geworden sind die Erfolge des SAS am AICC: Unsere Teams zeigten durchwegs starke Leistungen und sicherten sich in jeder gestarteten Kategorie einen Podestplatz.

DOMINATION DU SAS

Le bilan du SAS est impressionnant: cette année encore, nos athlètes ont décroché à Davos/ Klosters bien plus que des podiums dans presque toutes les catégories où ils se sont alignés.

Eleonora Cerutti l SAS Fribourg

Ce qui a particulièrement marqué, c'est la forte présence de notre club, le SAS ayant présenté l'une des plus grandes délégations de l'ensemble des participants. Ces dernières années, le SAS a marqué de son empreinte l'histoire de l'AICC comme aucun autre club. La combinaison de l'excellence sportive et de la large participation – surtout dans les catégories plus jeunes – a conduit à des résultats exceptionnels. Que cela suscite des regards sceptiques et des ambitions renouvelées dans d'autres clubs de ski n'a rien de surprenant.

Questions ouvertes pour l'avenir

Cependant, malgré tous ces succès, de nouveaux défis se dessinent: combien d'équipes le SAS pourra-t-il encore engager à l'avenir ? Pour l'AICC 2026 à Lech, en Autriche – organisé par le SC Arlberg sous la direction de Simon Scrivener –, les premiers indices laissent à penser que le nombre d'équipes par club pourrait être limité. Des voix au sein du comité d'organisation évoquent une réduction à un maximum de huit formations par événement. Si cette règle venait à être mise en place, cela

constituerait un changement majeur, surtout pour un club comme le SAS, traditionnellement connu pour ses nombreuses équipes motivées.

La question centrale est donc la suivante: comment le SAS réagirat-il face à cette possible limitation ? Et qui réussira à se qualifier pour le voyage à Lech ? Ce qui est certain, c'est que les attentes envers le SAS restent élevées. Tout comme la motivation au sein du club.

Peu importe le nombre de places disponibles, le SAS mettra tout en œuvre pour aligner en 2026 une équipe forte, engagée et passionnée avec un esprit de compétition, un vrai sens du collectif et une amitié vivante. Fidèle à l'esprit de notre club.

DER SAS TK TZATZIKI

Ein griechisches Ski-Abenteuer erleben

die Mitglieder der SAS TK Nicola Niemeyer, Julien Hermann und Lukas

Brawand an den Griechischen SkiMeisterschaften in Parnassos.

Luky Brawand l Technische Kommission (TK)

Was kommt dabei heraus, wenn drei leidenschaftliche SAS-Skifahrer, ein Hauch Improvisation und ein griechischer Slalomstar aufeinandertreffen? Richtig – ein unvergessliches Ski-Abenteuer unter südlicher Sonne. Unsere drei „TK-Freunde“ Nick, Julien und Luky haben sich aufgemacht, die griechischen Meisterschaften in Parnassos (GRE) zu bestreiten – ein Trip, der mehr als nur sportliche Höhen und Tiefen bereithielt.

Anreise mit Abenteuerbonus

Während Julien bereits frühzeitig anreiste und den Riesenslalom souverän absolvierte, entschieden sich Nick und Luky für die Expressvariante: Nachtflug nach Athen, Mietauto geschnappt, 2.5 Stunden Fahrt nach Arachova – Ankunft weit nach Mitternacht. Julien hatte das Zimmer bereits vorbereitet und nach einer kurzen Nacht ging es frühmorgens weiter Richtung Parnassos Mountain.

Doch der Wettkampfauftakt fiel sprichwörtlich ins Wasser –oder besser gesagt: in Nebel und eingefrorene Technik. Der erste Slalom musste nämlich nicht wegen den schlechten Sichtverhältnissen, sondern aufgrund des eingefrorenen Zeitmessungskabel abgesagt werden. Wir waren zwar alle drei bereit, nahmen aber die unerwartete Pause sportlich: ein kurzer Abstecher ans Meer, Sonnenstrahlen tanken, griechische Gelassenheit inhalieren.

Slalom, Sonne und Slivovitz

Am Abend dann ein echter Insider-Moment: In der lokalen Bar eines Jugendfreunds von Nick, mittlerweile wird er als griechischer Slalom-Star gefeiert, trafen sich die Top-Athleten des Rennens. Es wurde gefachsimpelt, gelacht – und eifrig Rubellose freigerubbelt. Der griechische Tourismus wird sich gefreut haben – wir jedenfalls hatten unseren Spass.

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Am Sonntag, dem 30. März, wurde es ernst – und das gleich doppelt. Denn zur allgemeinen Überraschung standen gleich zwei Slalom-Rennen an einem Tag auf dem Programm. Das erste verlief allerdings nicht ganz nach Wunsch: Alle drei schieden aus – zu viel Risiko, zu wenig Rhythmus. Nick und Luky bezahlten für den vollen Einsatz in der allerletzten Vertikale vor dem Ziel, Julien erwischte es bereits früh im zweiten Lauf. Frust? Kurz. Kampfgeist? Gross.

Dann die Nachricht: Das am Vortag abgesagte Rennen wird doch noch durchgeführt – Start: 14:00 Uhr. Und siehe da: Alle drei schafften es in die Top 15. Ein starkes Zeichen der Routine und Anpassungsfähigkeit unter schwierigen Bedingungen. Und so eröffnet das SAS-Trio fast geschlossen den zweiten Lauf – und das mit Stil. Hopp Schwiiz am Parnassos Mountain!

Ein Schweizer Dreifach-Coup

Das Ergebnis kann sich sehen lassen:

• Nick Niemeyer – Rang 11

• Lukas Brawand – Rang 12

• Julien Hermann – Rang 13

Ein bemerkenswertes Teamresultat der TK, gerade in einem Teilnehmerfeld mit Weltcup- und Olympia-Starter. Chapeau!

Fazit: Tzatziki, Teamgeist und Technik

Neben sportlichem Ehrgeiz blieb genügend Zeit, um Athen zu erkunden, die griechische Gastfreundschaft zu geniessen und als SAS-Freunde eine weitere, unvergessliche Erinnerung

zu schaffen. Der Ausflug nach Griechenland war nicht nur sportlich lohnenswert, sondern auch ein echtes Erlebnis für Herz, Seele – und Gaumen.

Wir können die Griechischen Meisterschaften in Parnassos jedem ambitionierten Mitglied der SASMannschaft wärmstens empfehlen. Wir bleiben dran und versuchen als „Old-Guns“ unsere ,,YoungGuns“ auch nächstes Jahr wieder zu fordern und zu pushen. Wer Fragen hat oder beim nächsten Mal dabei sein will, meldet sich einfach beim Alpine-Chef unseres Vertrauens: Nick Niemeyer. Vive le SAS!

CHARLES-HENRY ROCHAT RÉPOND AU QUESTIONNAIRE DE PROUST

Tu es SASler parce que…

Du bist im SAS, weil… Comme étudiant, j’aimais les courses de ski et l’amitié.

Quelle est ta station de prédilection ?

Dein liebstes Skigebiet ?

Zermatt, car j’y ai connu mon épouse Isabel et y ai même remplacé un médecin généraliste.

Quel est ton plat préféré dans un restaurant sur les pistes ?

Dein Lieblingsessen im Pistenrestaurant?

Rösti mit Ei!

Quel est ton meilleur souvenir au SAS ?

Dein schönstes Erlebnis im SAS?

Notre challenge Sie & Er au centième anniversaire à Wengen (bon, d’accord, ce n’était celui pour la victoire…).

Quelle est ta préparation avant une course SAS ?

Wie bereitest du dich auf ein SAS-Rennen vor?

Vérifier si j’ai bien mis mes chaussures de ski dans le coffre de la voiture (il m’est déjà arrivé de les oublier !).

Tu es coincée dans une télécabine. Que/ qui veux-tu avoir avec toi ?

Du steckst in einer Seilbahn fest. Wen oder was möchtest du bei dir haben?

Ma chienne Iska si c’est à la descente.

THE QUIZZ

Slalom ou géant ?

Slalom oder Riesenslalom ? Géant.

Abricotine ou Ovomaltine ? Schnaps oder Ovomaltine? Abricotine.

Après-ski ou Spa ? After-ski oder Spa ? Spa.

Cabane ou Palace ? La cabane.

Didier Cuche ou Marco Odermatt ?

Didier Cuche oder Marco Odermatt?

Marco Odermatt.

Cervin ou Jungfrau? Matterhorn oder Jungfrau?

Le Cervin, naturellement !

CARNET ROSE

La famille du SAS s’agrandit !

Susanne Maréchal, née le 16 janvier 2025, fille de Laurine Rochat (SAS Genève) et Damien Maréchal

Hector Adler

né le 4 février 2025, fils de Rhoxane Adler-Gros (SAS Fribourg) et d’Olivier Adler

Alexis Marxer

né le 11 avril 2025, fils de Sabine Leuenberger et de Frédéric Marxer (SAS Genève)

Carnet Noir

Hommage

Jacques Python (SAS Fribourg), né en 1943, nous a quittés le 2 avril dernier. Repose en paix Cher SASler. Vincent Losinger (Ehrenmitglied, SAS Bern), geboren 1953, ist am 20. Juni verstorben. Ruhe in Frieden, lieber SASler.

CALENDRIER SAS 2025-26

Le calendrier complet est régulièrement mis à jour sur sas-ski.ch.

11-14 Décembre 2025 | Zermatt

WE SAS CUP 1 – OPENING & Kids Cup

31 Janvier 2026 | Hoch Ybrig

WE SAS CUP 2 – BEBBI CUP (BS) & Kids Cup

7-8 Février 2026 | TBD

WE SAS CUP 3 – SAS CUP (GE/FR)

28 Février-1er Mars 2026 | Davos

WE SAS CUP 4 – BÄRE-LEUE CUP (BE) & Kids Cup

13-15 Mars 2026 | Grindelwald

Pentathlon

16-22 Mars 2026 | Lech Zürs (AUT) AICC

27-29 Mars 2026 | La Tzoumaz

WE SAS CUP 5 – CLOSING (LA) & Kids Cup

AMIS GOLFEURS

PIM Sportsguide, qui produit votre magazine préféré depuis plus de 10 ans, a récemment sorti un tout nouveau website recensant les clubs de golf helvétiques.

Découvrez-le dès à présent !

www.swiss-golf-courses.ch

Vous avez des nouvelles à communiquer, des articles que vous souhaitez publier ? sasmagazin@sas-ski.ch

NR. 139 14 Août 2025

Automne | Herbst 2025

NR. 140 14 Novembre 2025

Hiver | Winter 2025-26

NR. 141 14 Février 2026

Printemps | Frühling 2026

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