Encore des exploits! Le livre des héros de la 5ème 5

Page 1

D'Achille à Wonder Woman: encore des exploits! Petit recueil pour découvrir des nouveaux exploits que des héros et héroïnes de l'Antiquité à nos jours auraient pu accomplir...

Recueil réalisé par les élèves de la 5ème 5 du collège Albert Camus de Thumeries, (sous la direction de Madame Sablon) Juin 2017



Avertissement

Chers lecteurs, Vous trouverez dans ce recueil pas comme les autres des récits écrits par les élèves de la 5ème 5, dans le cadre de leur EPI sur les héros et les héroïnes del'Antquité à nos jours. Cet EPI a été réalisé dans le cadre des cours d' Anglais, de Français et des Lettres et Cultures de l'Antiquité. Vous trouverez, pour chaque héros ou héroïne, le récit d'un nouvel exploit qu'il ou elle aurait pu accomplir. Ce recueil suit un ordre thématique et chronologique dont voici le sommaire. Vous pourrez vous repérer dans les types de héros grâce au code couleur des titres des récits.

Sommaire Les héros de l'Antiquité Les chevaliers du Moyen Âge Les héros modernes Les super-héros


Achille contre Agamemnon Quand Achille apprit qu'Agamemnon lui avait pris Briséis, hors de lui, il entra dans la tente d'Agamemnon pour récupérer la jeune femme. Malheureusement, le roi refusa de lui rendre l'esclave. Aussitôt le grand guerrier dégaina son épée. Le roi de Sparte eut un mouvement de recul, puis, à son tour, brandit son arme menaçante. Le vaillant Achille fonça alors sur lui, tel une vipère sur sa proie. On entendit le fracas des épées pendant un long moment. Puis la pointe de l'épée du courageux Achille trancha le bras d'Agamemnon ; le sang coula mais le combat enflammé ne s’arrêta pas. Le puissant roi s'acharna alors sur Achille, mais l'armure solide du guerrier rapide ne céda pas, les coups étaient à peine visibles. Les combattants, tous deux très courageux, commençaient pourtant à faiblir. Soudain, l'arme d'Agamemnon blessa Achille à la joue ; celui-ci, la joue trempée de sang, désarma le roi de Sparte et lui enfonça son arme dans la poitrine sous les yeux horrifiés de Ménélas et des autres hommes qui s'étaient rassemblés pour assister au combat. Des centaines de coups avaient été distribués et le combat avait duré des heures entières. Mais Ménélas voulut venger son frère. Il sortit son épée et fonça sur l'assassin d'Agamemnon. Celui-ci s'écarta et ne fut entaillé qu'au bras. De nouveau, de nombreux coups furent échangés. Le courageux Achille décapita alors son attaquant. Achille était fier de ses exploits, mais il se demandait ce qui allait lui arriver maintenant qu'il avait tué les deux plus puissants rois de Grèce. C'est alors qu'un de ses hommes le réveilla ; ce n'était qu'un rêve ! Caroline


La quête d'Achille pour retrouver Briséis Tout se passa pour le mieux pour Briséis et Achille, une fois que le héros eut récupéré sa bien-aimée des mains d’Agamemnon. Mais vint une nuit où un cyclope s'empara de Briséis et l'emmena loin. Achille la chercha partout dans la Grèce, mais il ne la trouva pas. Quand il revint à Sparte, il se dit tout de suite que c'étaient les Troyens qui avaient voulu la reprendre. Mais soudain, le cyclope, surgi de nulle part, fondit sur lui et lui dit : « Si tu veux reprendre ta chère Briséis, il faudra me combattre. - Eh bien alors je te tuerai même si tu essaies de m'en empêcher. » Le combat commença aussitôt. Le vaillant Achille se battait avec une telle hardiesse qu'on entendait les coups s'entrechoquer. Après qu'Achille fut passé en dessous de ses jambes, il planta son épée dans le dos du cyclope. Le cyclope trouva ce coup tellement brutal qu'il s’énerva et lança sa massue sur Achille. Achille l’esquiva et porta au monstre le coup fatal. Après une longue et rude bataille, le cyclope tomba enfin à terre, avec un tel tremblement qu'Achille pensait qu'il y avait eu un séisme. Mais il mourut sans pouvoir dire où il avait caché Briséis. Le glorieux Achille chercha partout sa bien aimée, mais en vain. Puis un jour il découvrit une tanière avec des ossement humains. Le courageux Achille y entra et découvrit Briséis, toujours vivante mais très faible. Il dénoua les liens de sa tendre Briséis. Ils retournèrent à Troie. Mais vint le jour où Achille devait repartir au combat et il mourut durant cette dernière bataille. Gautier


Hercule et les corbeaux Un soir, Hercule sortit ivre d'une auberge avec son ami Lucius.. Son compagnon, lui, avait été raisonnable. Mais sur le chemin du retour, il dut redoubler d'efforts pour porter Hercule et arriver le plus vite possible à la maison. A l'air frais, Hercule se réveilla et il marcha enfin seul, comme s'il n'avait rien bu. Lucius sourit et ils continuèrent leur route à deux. Tout à coup, une horde de corbeaux (ils étaient près de cinq cents) s'envola et fonça sur les deux amis. Ils se réfugièrent derrière un gros arbre, mais les oiseaux déchaînés et prêts à dévorer leurs victimes les poursuivirent. Hercule dit à Lucius : «tu m'as aidé à sortir de cette auberge, merci, je vais donc nous sortir de là.» Soudain, il eut une idée géniale : il fit un feu, y plongea un morceau de bois plein de poix pour en faire une torche et la donna à son compagnon. Puis il sortit son épée et combattit les corbeaux. Lucius l’admira avec un tel regard qu’on aurait dit un faucon regardant ses petits qui se démènent pour se sauver. Pour l’aider, Lucius en fit autant avec la torche car les corbeaux en avaient peur. Certains oiseaux s'envolèrent et leur nombre diminua, pour laisser place au ciel. Tout à coup, un homme vêtu de la tête aux pieds de noir arriva sur le chemin et les corbeaux commencèrent tous à s’enfuir. L’étranger cria : «Ceci est ma propriété ! Vous avez oser toucher à mes corbeaux ! Vous allez payer pour tous mes animaux morts ! » Hercule lança un morceau de bois et le maître des corbeaux l’évita. Puis Hercule saisit son épée et fonça sur lui ; ils commencèrent à se battre et des morceaux de chair et de peau s’envolèrent, arrachés aux corps des deux combattants. Certains oiseaux étaient encore là et en profitèrent pour en prendre des morceaux. Mais après plusieurs minutes, Hercule réussit à blesser à mort son adversaire puis il le tua. Alors les corbeaux partirent. De retour à la maison, Hercule et Lucius burent tous les deux un jus de fruit « pour ne pas redevenir saoul » dit Hercule. Mais du coup, quand les deux amis voient un corbeau, ils ne peuvent pas s'empêcher de penser à ce terrible combat. Hugo


Médée sauvée par Jason Un jour, un cyclope voulut récupérer la Toison d'or et décida d'aller affronter Jason, le détenteur de celle-ci. Mais il commença par une ruse. Le cyclope était armé d'une lance étincelante et d'une épée rigide. Il s'approcha de la femme de Jason par surprise et l'emmena, en manquant de la blesser. Puis il envoya un mot à Jason: "Si tu veux revoir Médée vivante, remets-moi la Toison d'or". Jason refusa. Il se mit en selle et partit aussitot à la poursuite du cyclope. Il rattrapa vite le géant et, muni de sa lance brillante, il frappa son adversaire et le fit tomber. Celui-ci était écrasé sur le sol. Jason lui dit : " Si tu ne me rends pas Médée, je vais te mettre en morceaux! " Le cyclope assomé à cause de sa chute ne renonça pas. Il se releva et poursuivit le combat. Son haubert se démaillait sous les coups. Bientot, n'arrivant plus à faire face, le cyclope céda du terrain et se protégea avec son bouclier comme il pouvait. Mais il dit à Jason : "Donne-moi la Toison d'or et je t'emmènerai à l'endroit, tout près d'ici où se trouve Médée". Jason, courageux, ne céda rien et promit de le trancher en rondelles s'il ne l'amenait pas à Médée. Finalement, le cyclope très affaibli et apeuré céda. Jason le suivit et ils allèrent tous deux vers l'antre où se trouvait Médée. Jason fut le grand vainqueur car il retrouva sa belle et garda la Toison d'or. Il abandonna le cyclope, le laissant gisant sur le sol . Mohamed


Thésée contre le monstre du désert Thésée, après toutes les épreuves qu'il avait traversées pour retourner à Athènes, arriva dans un désert au milieu de nulle part. Soudain, il vit d'étranges bosses sous le sable. Alors qu'il s'approchait de celles-ci, un clic retentit d'un coup, et un énorme monstre sortit du sable. Il ressemblait à un griffon mais avec une énorme tête de lion, le corps d'un aigle, des pattes de guépard qui lui permettaient d'aller très vite, et trois queues gigantesques avec, au bout, trois armes étincelantes : la première était une épée, la deuxième une lance, et la troisième un bouclier. Thésée, lui, n'avait que son épée, son bouclier et ses sandales. Alors qu'il n'était pas très rassuré, le monstre déploya ses ailes et une carapace recouvrit sa peau, ne laissant que deux endroits vulnérables : un petit point sur son dos, et les queues. Mais Thésée ne pouvait pas les approcher sans manquer de se faire toucher. Il devait donc réfléchir à la façon de désarmer la bête. C'est alors que le monstre bondit vers lui, mais le vaillant Thésée l'esquiva et se retrouva dos au griffon. Le courageux héros s’élança à son tour vers lui et réussit à lui couper la queue où se trouvait son bouclier. Le monstre rugit de douleur et, comme un taureau, s’élança de nouveau vers lui, mais, cette fois, Thésée n'eut pas le temps de l'éviter et fut projeté violemment en arrière. Le monstre s’arrêta quelques mètres plus loin. Thésée se releva et en profita pour lui couper la queue où était attachée la lance. Le monstre s'écroula par terre en hurlant. Puis la créature se releva, prête à se battre de nouveau. Thésée décida de l'attaquer par surprise pour couper sa dernière queue. Il courut et fit le tour de l'animal, mais la bête anticipa son mouvement et le fit tomber, le désarmant. Thésée se releva avec difficulté et, à court de solution, aperçut au loin les restes de la queue du monstre. Il courut rapidement récupérer la lance et le bouclier. Thésée, de nouveau confiant, envoya alors sa lance en visant la dernière queue de la créature. Celle-ci tomba dans un bruit sourd en même temps que le monstre, ce qui provoqua un terrible tremblement de terre qui le projeta à côté de son épée. Il la récupéra et monta sur le dos du monstre pour lui porter le coup de grâce : il plongea la pointe de son épée dans la peau épaisse de la bête juste à l'endroit vulnérable. Thésée sortit donc vainqueur de ce combat, en héros. Gaëtan


La vengeance des proches des compagnons d'Ulysse Peu après les retrouvailles avec sa femme et son fils, Ulysse dut affronter une nouvelle épreuve. En effet, pendant son long voyage, il avait perdu tous ses compagnons. Leurs familles était tristes, et folles de rage. Tous les proches décidèrent donc de se réunir pour parler de la situation : « Je trouve inadmissible qu'Ulysse soit couvert de gloire pour tout ce qu'il a fait ! Il n'a pas fait cela tout seul, il l'a fait avec l'aide de nos père, fils, frères, ou encore amis. Et ils ont tous péri ! Et cela a-t-il effleuré l'esprit de notre roi à un instant ? Non ! Je pense qu'il faut les venger !, déclara le père de l'un des plus valeureux compagnons d'Ulysse. - Tus as raison, répondit un vieillard, mon petit-fils était, lui aussi, l'un des ses compagnons. Il faut aller attaquer l'habile Ulysse, mais attention, il est plus fort et plus habile que nous, je pense qu'il est même plus rusé que Zeus ! Il faut rester sur nos gardes… » Ils décidèrent donc d'inventer une ruse : le vieillard se rendrait au palais le soir sans dévoiler son identité, et demanderait à voir le divin Ulysse afin de lui parler. Une fois devant lui, il lui parlerait de ses compagnons. Pendant ce temps, les autres prépareraient leurs armes et leur infraction. En pleine nuit, ils étaient tous prêts et attendaient la sorite du vieillard. Le roi d'Ithaque le raccompagna, et les autres, armés d'épées, de lances, de javelots ou d'arcs, accoururent vers lui pour lui faire peur et le menacèrent de leurs armes. Ulysse le rusé, surpris, voulut s’enfuir, mais il était encerclé. Apeuré, il appela au secours et ses gardes vinrent le protéger. Son fils Télémaque, réveillé par les cris de son père, comprit que celui-ci était en danger. Alors, puisqu'il était aussi rusé que son père, il lui apporta des armes. Mais bizarrement, celui-ci fit semblant de ne pas les avoir vues et se laissa emporter par ses adversaires, il savait qu'il était plus fort qu'eux et que la grande Athéna le protégeait. Ils arrivèrent à leur cachette avec leur otage. Ulysse au mille ruses se lamenta : « Ô chers amis, que me reprochez-vous ? Qu'ai-je fait ? N'ai-je pas assez souffert ? Poséidon n'a-t-il toujours pas fini sa vengeance ? Et vous, habitants de ma belle Ithaque, faites-vous une rébellion, dites-moi ? Parlez pour que je sache ce que j'ai fait de mal. - Tu oses demander ce que tu as fait de mal ? Eh bien, tu te reposes sur ta gloire ! Tous nos proches, tes compagnons, sont morts, et toi, tu ne les venges pas, tu ne parles même pas d'eux ! Retiens bien que sans eux, tu n'aurais rien fait, et tu aurais péri en pleine mer ! répliqua le vieillard. - C'est donc ça que vous me reprochez ! Sachez que je regrette vos proches, j'ai conscience qu'ils ont fait la plus grosse partie du travail, et je les ai priés, j'ai fait des sacrifices pour eux. J'ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour eux. Mais ils sont mort soit en héros, soit par punition des dieux. Si vous pensez les venger en me tuant, vous vous trompez totalement, eux qui étaient si braves, courageux, il n'étaient pas comme vous, ils étaient fidèles et dévoués. Dès l'instant où vous m'aurez assassiné, Athéna vous fera souffrir de terribles douleurs, et son père Zeus, roi des dieux, influencé par celle-ci fera de même. Et vous périrez, couverts de honte ! Maintenant c'est à vous de choisir. » Il dit, et ses ravisseurs le relâchèrent, de peur qu'Athéna et Zeus ne vengent Ulysse et ne les tuent. Julie


Une bataille épique : Lancelot contre Herminius Lancelot, un des chevaliers de la Table ronde, après une longue journée d’entraînement acharnée vit enfin, arriver l'heure du dîner. Il avait la faim d'un loup qui n'avait pas chassé depuis des semaines. Après son festin, le chevalier partit se coucher. Pendant ce temps, quelqu'un s'introduisit dans son château. Lancelot, réveillé par le bruit, se leva et vit une ombre au loin. Elle lui paraissait assez petite. Cela se reproduisit pendant quelques temps, et chaque nuit, il se faisait voler toutes sortes d'affaires : des armes, son armure... Il trouva même son or étalé un peut partout. Lancelot décida de réagir. Un soir, il se cacha, tendit un piège à la créature en étalant de l'or à terre. Quand la drôle de créature arriva, Lancelot bondit tel un félin sur elle puis la frappa jusqu’à ce qu'elle lui dise qui elle était et par qui elle était envoyée. La créature lui avoua : «Je suis au service du nouveau chevalier de la Table ronde. Il pratique aussi la magie. - Oh pendard, répondit Lancelot, on dirait que mon instinct a bien eu raison ! Je savais qu'il y avait quelque chose de louche. Dis-lui que j’arriverai au moment où il ne s'y attendra pas. - Cela sera fait », répondit la créature. Cette créature était un gobelin. Elle rentra dans sa grotte où se cachait le nouveau chevalier de la Table ronde, Herminius, qui attendait le résultat de son vol. Le gobelin arriva et lui dit : « Maître, Lancelot m'a tendu un piège et a bondi sur moi. Il m'a frappé jusqu’à ce que je lui avoue tout. Donc je lui ai dit que j'étais à votre service. - Quoi ! hurla Herminius, comment oses- tu, vaurien, révéler mon identité ? - Mais maître... il m'a aussi dit qu'il vous attaquera quand vous ne vous y attendrez pas. - Lui as-tu dit aussi où je me réfugiais ? Va-t-en ! Une semaine plus tard, Lancelot était devenu plus fort grâce à son entraînement. Il se mit donc à la recherche de Herminius. Après plusieurs jours de recherche, il le trouva. Vint enfin l'heure du combat. Lancelot arriva à la grotte et cria « Herminius, montre toi pendard ! » Herminus était plus grand que Lancelot. Il répondit « qui ose venir me déranger dans mon antre ? » Herminius et Lancelot avancèrent tout les deux en criant. Lancelot prit son javelot et le lança sur Herminius. Celui-ci le para avec son bouclier, puis il riposta avec sa dague secrète. Lancelot se fit toucher à la jambe. Très en colère, le noble chevalier prit son épée et la planta dans l'épaule de son adversaire. Herminius tomba par terre et cria si fort qu'il réveilla tous les gobelins de la grotte. Tous les gobelins arrivèrent aussitôt. Pendant ce temps là, Herminius prit la fuite. Lancelot ne pouvait pas se battre face aux gobelins car ils étaient plus d'une centaine. Il décida de prendre la fuite vers une falaise. Il sauta puis s'accrocha à une sorte de liane mais tous les gobelins qui le suivaient tombèrent de la falaise. Lancelot finit victorieux et on n'entendit plus jamais parler d'Herminius après ce jour. Kilian


Lancelot du lac et le nouveau venu Il y a avait un nouveau chevalier à la Table ronde. Il s'appelait Léorus et il était Breton comme Lancelot. Léorus aussi aimait Guenièvre et pour épouser la reine, il s'était mis en tête de tuer le roi Arthur, son mari. Lancelot apprit cette nouvelle par la Dame du lac ( que personne ne peut voir, à part lui et le roi Arthur). La nuit tombée, Lancelot décida d'envoyer une lettre au chevalier. Il lui écrivit « J'ai appris vos intentions contre le roi. Sachez que je le protégerai jusqu'à la mort. Mais je ne veux pas que quelqu'un soit au courant de ça. Je vous défie donc en combat singulier, Léorus. Je vous demanderai de venir dans la forêt de Broceliande, dans une semaine. » Lancelot n'avait pas signé la lettre au cas où Léorus la montrerait à un autre chevalier. Il savait que son combat allait être rude, car Léorus, selon les histoires contées sur lui, avait déjà battu sept chefs de clans. Il décida donc de s’entraîner sans relâche. Quand il trouva qu'il était assez fort pour le battre, il se reposa. Après s'être reposé, il alla s’entraîner avec d'autres chevaliers dans la cour. Il vit aussi Léorus qui se battait contre trois chevaliers; il les battit tous les trois. Lancelot comprit qu'il n'était pas assez puissant pour le battre. La nuit tombée, Lancelot décida d'aller dans la chambre du roi pour prendre son épée Excalibur. Le roi dormait. Lancelot prit Excalibur mais rien ne se passa : l'épée ne brillait pas, on aurait dit une épée tout à fait banale. Il se souvint que l'épée ne brillait que si celui qui la tenait avait une grande destinée. Il fut déçu et décida d'aller au combat à ses risques et périls. Il mit une capuche pour ne pas être reconnu et alla dans la forêt. Il ne vit personne. Tout à coup, une flèche se planta dans son épaule droite, comme un aigle plante ses serres dans sa cible. Heureusement qu'il avait une majestueuse armure dont il s'était équipé avant le combat ! Soudain, Léorus sortit de sa cachette, c'était lui qui avait tiré sur Lancelot. Léorus demanda : « Pourquoi te caches- tu sous une capuche ? As-tu honte ? » Lancelot ne répondit pas. Alors il lancèrent leurs javelot l'un sur l'autre, puis il chargèrent tout les deux comme des taureaux, l'épée à la main. Lancelot reçut un coup d'épée violent à la jambe. Léorus était si déchaîné qu'il essaya par tous les moyens de lui couper la tête. Enfin Léorus réussit à désarmer Lancelot, il pointa son arme sur sa gorge, et lui retira sa capuche. Il lui dit : « Lancelot ! Cela explique le mot sous la porte. As-tu des dernières paroles à prononcer avant de mourir ? » Mais soudain, on entendit un craquement de bois dans la forêt. Léorus eut un moment d'inattention et Lancelot en profita pour lui voler son arme. Léorus sortit alors un poignard, mais Lancelot lui donna tellement de coups que son armure se brisa en plusieurs morceaux. Puis Lancelot lui coupa la tête d'un coup sec. Il enterra le corps, retourna au château et dit au roi que Léorus était mort en sauvant des gens des griffes d'un dragon, qu'il avait été mangé et qu'il ne restait aucune trace de son corps. Léo


La rencontre inattendue entre Perceval et Yvain le chevalier au lion Perceval, ayant soif d'aventures, se promenait dans la forêt. Soudain, il entendit un bruit de branchages qui craquaient, il se retourna et vit un javelot à terre. Un chevalier inconnu sortit de la forêt pour arriver dans la clairière où se trouvait Perceval. Ce chevalier voulut créer un effet de surprise, mais il fut ébloui par la beauté de l'armure de Perceval. Perceval lui demanda alors : « Que faite-vous ici chevalier ?» - Je cherche l'aventure. - Eh bien, figurez vous que moi aussi, je cherche l'aventure. » Cela perturba Yvain (c'était lui, le chevalier inconnu) car il se dit que s'il y avait une aventure ici, ce serait peut-être Perceval qui allait la vivre et pas lui. Yvain répliqua alors : « Partez d'ici car j’étais le premier dans cette forêt et s'il y a une aventure, elle me revient donc de droit.. - Non! s'écria Perceval, je refuse. Si tu veux voir le reste de la forêt, tu devras me combattre ! » Les deux chevaliers, ignorant encore leur identité, se préparèrent donc au combat. Ils baissèrent leur lance et foncèrent l'un sur l'autre. Les deux chevaliers donnèrent un coup tellement fort que leur lance se plia en deux comme une feuille de papier. Les heaumes des deux hommes se cabossèrent également. Ils descendirent alors de cheval et le combat se finit à l'épée. Cela dura des heures car les chevaliers étaient de force égale. Mais au bout d'un moment, Perceval donna un coup tellement fort que le haubert d'Yvain se brisa, et celui-ci se retrouva par terre. N'ayant plus d'arme, il demanda grâce, et comme le veut le code des chevaliers, Perceval l'épargna. Ils se demandèrent alors leur nom. Après s'être reconnus, ils s’excusèrent car ils s'estimaient beaucoup l'un et l'autre. Mais à cause des lois des chevaliers, Yvain dut partir car ils avaient fait un marché et il avait perdu. Ilyes


Perceval et le dragon Le roi Arthur donna un ordre au vaillant chevalier Perceval : il devait trouver le dragon que traquait son père, le roi Pelinor. Il lui dit donc ceci : 《Preux chevalier, prouve moi, en me ramenant la tête de ce fameux dragon, que ton père n’est pas fou. Sinon, je l'enverrai au bûcher. 》 Le brave chevalier n'eut pas d’autre choix que d’accepter. Il partit donc pour le camp de son brave père. En arrivant sur place, il tomba nez à nez avec un soldat. L’homme lui dit : 《 Qui es- tu, jeune intrus? - Je cherche le roi Pelinor ! Je suis son fils ! - Le roi Pelinor dis- tu !? Ce vieux fou? Écoute petit, cela fait un an que nous sommes postés devant cette maudite grotte … Nous l’avons explorée des dizaines de fois ! Il n’y a jamais rien eu, mais ton père s’obstine toujours. 》 Perceval lui expliqua donc la raison de sa venue. Le soldat lui donna des armes et une monture plus fiable. L’homme, éprouvant de la pitié pour le jeune garçon, lui indiqua la grotte, où était censée se cacher la fameuse hydre à huit têtes qu'il n'avait jamais vue. Perceval y alla donc avec le soldat et il vit aussitôt le monstre ! Il eut un temps d’hésitation devant la bête endormie, car la bête n’avait qu’une malheureuse tête. Il la coupa donc. Mais l'hydre se réveilla ! Le soldat resta figé comme une statue de marbre, tétanisé par la peur. Mais soudain, malheur pour ce pauvre chevalier : deux immondes têtes poussèrent comme par magie du cou de l'hydre. Le chevalier se démena pour les couper, mais quatre autres têtes repoussèrent ! C’est à ce moment là que, entraîné dans sa rage,le merveilleux chevalier comprit. Il coupa de nouveau les têtes, non sans se blesser, et huit autres têtes plus effroyables les une que les autres repoussèrent. C’était le nombre maximal de têtes que l’hydre pouvait atteindre. Alors le merveilleux chevalier brandit de nouveau son épée et trancha toutes ces infâme têtes d'un seul coup. Puis il explora la grotte pour voir s'il ne restait plus d'autre monstre. Une fois son exploration terminée, épuisé, il s’écroula sur le sol, une tête de l'hydre dans une de ses mains, et, sur son corps, nombre de blessures béantes.

Le soldat, réalisant enfin la situation, appela ses plus valeureux collègues qui allèrent de ce pas prévenir le roi Arthur. Plus tard, le roi organisa un gigantesque banquet en l’honneur de son meilleur chevalier. Quant au père de Perceval, il était également convaincu que c’était la tête du dragon. Il arrêta donc ses recherches, et tous ses chevaliers et ses soldats purent enfin se reposer. Cathy


Yvain et le chevalier noir Un jour, le roi Arthur envoya Yvain dans la forêt parce qu'il avait remarqué qu'il y avait de moins en moins d'animaux dans sa forêt. Yvain partit donc dans la forêt sans son lion car il avait décidé de ne pas le prendre dans la forêt pour cette reconnaissance. Soudain, il vit plein d'ossements de lapins, de chevreuils et de sangliers. Il se demanda quelle bête pouvait faire un tel carnage. C'est alors qu'il vit un chevalier tout habillé de noir: son armure mate, son épée brillante et sa côte de mailles étaient noires. Il était en train de massacrer des animaux. En voyant Yvain, le chevalier commença à mettre son casque et prit son épée. Il fonça sur Yvain. D'abord, Yvain prit peur et retourna au château d'Arthur. Le chevalier noir le suivit. Alors Yvain se retourna. Le chevalier fonça sur lui et le fit tomber brusquement. Le choc fut fatal pour les deux hommes. Mais ils se relevèrent et le combat commença. Yvain attaqua en premier et lui donna un coup d'épée qui brisa son casque et le blessa à la tête. Mais le chevalier se releva et s'élança de nouveau sur Yvain. Alors Yvain l'acheva avec son épée, d'un dernier coup à la tête. Puis il rentra au château du roi Arthur et raconta toute son aventure.

Romain


Le combat d'Yvain contre « The Knight » Un jour de printemps, Yvain devait se battre contre The Knigt qui l'avait provoqué en duel. La veille du combat, Yvain se prépara avec beaucoup de soin. Le lendemain matin, il équipa son cheval, serra la sangle de sa selle et protégea les jambes de son destrier. Il s'arma d'une épée étincelante, d'une lance et d'un écu puis revêtit son armure rigide et brillante. Yvain se mit en selle ; il s'approcha au trot avec, derrière lui, son lion fidèle, prêt à l'aider au cas où Yvain aurait eu du mal. Quand Yvain arriva devant son adversaire, il s'écria: « tu es peut-être un très bon chevalier, mais je te combattrai et je gagnerai ». Son adversaire ne répondit rien. Les deux chevalier s’élancèrent au même moment avec leur cheval, armés de leurs lances. Yvain toucha fortement le corps de son adversaire ; le chevalier tomba.Yvain descendit de son cheval comme un chevalier loyal. Le combat se fit alors à l'épée.Tout les deux encaissèrent de nombreux coups. Yvain brisa l'armure du chevalier. Mais tout à coup, son adversaire se retourna et s'abattit sur Yvain, tel un aigle qui s'abat sur sa proie. Notre héros se protégea comme il pouvait, mais son armure était brisée. Le lion vint alors aider son ami, mais Yvain refusa l'aide de son compagnon. Yvain chargea tel un taureau sur le chevalier, et transperça la gorge de son adversaire. Le chevalier s'enfuit, blessé à mort. Yvain le rattrapa et il abrégea ses souffrances en lui enfonçant son épée dans le cœur. Yvain était un homme très courageux pour avoir tué le meilleur des chevaliers, malgré tous les coups encaissés ! Sullivan


La saga d'Harry Potter et de ses amis, Ron et Hermione suivie de la saga des super-hĂŠros


Hermione et le sauvetage du Poudlard Express Des années plus tard, Hermione Granger travaillait au ministère de la magie pour le ministre Pendolf qui s'occupait des affaires du monde extérieur. Un jour, le ministre s'arrêta devant le bureau d'Hermione puis il lui dit: « Hermione, peux-tu vérifier que cette information est bonne ? » - Quelle information ? - Tu n'as pas entendu la rumeur à propos du Poudlard Express ? demanda Pendolf d'un ton interrogatif. - Non ! enchaîna Hermione, inquiète. - Le train du Poudlard Express a déraillé et il est au bord d'une falaise, enchaîna Pendolf. - Quoi ? » s'exclama-t-elle d'un air terrifié. Soudain elle pensa à sa fille, Rose et à son fils, Hugo, qui étaient à ce moment même dans ce train. Elle se dirigea en courant vers la sortie du ministère. Elle sortit sa baguette magique et jeta un sort pour se rendre immédiatement sur les lieux où elle supposait qu'ils étaient. Elle connaissait par cœur la route que le Poudlard Express utilisait pour aller à Poudlard. Dès qu'elle arriva sur place, Hermione vit le train au bord du précipice. Elle remarqua des personnes terrifiées qui hurlaient : « à l'aide, à l'aide ! ». Elle s'avança de plus en plus, jusqu' au moment où elle ne pouvait plus avancer. Alors elle jeta un sort pour que le train remonte, mais rien n'y faisait : une force supérieure le maintenait au bord du gouffre. Elle jeta un deuxième sort. Elle hurla comme un lion en cage. Enfin, le train se souleva pour se remettre sur la terre ferme. Elle ordonna aux enfants de sortir du train. Puis elle jeta un nouveau sort, pour remettre le train sur les rails. Les enfants la regardaient avec des grands yeux admiratifs. Ils applaudirent tous Hermione en signe de reconnaissance. Soudain elle entendit : « Maman, Maman ! » Elle reconnut tout de suite la voix de ses enfants. Elle se retourna et les embrassa tendrement. Puis tous les élèves remontèrent calmement dans le train et ils firent tous un grand signe de la main pour dire au revoir à Hermione. Bérénice


Un nouveau combat pour Harry Potter Ce jour là, Harry Potter, Hermione et Ron, étaient allés au match de Quidditch. Ils passèrent la journée au stade. Après le match, Harry commença à jouer tout seul, et un entraîneur le remarqua aussitôt. Il le regarda jouer car il trouvait qu'il jouait bien. Il voulait l'entraîner plus pour faire des matchs. Quand le soir arriva, Harry, Hermione et Ron rentrèrent à l'école, ils mangèrent puis ils allèrent dans leur chambre. Le lendemain matin, ils se réveillèrent et allèrent en cours. Le midi, ils allèrent à la cantine scolaire. Alors un homme arriva et se présenta comme l'entraîneur de Quidditch. Il demanda à Harry de jouer dans l'équipe officielle de Quidditch. Harry ne savait pas trop quoi dire, il réfléchit et finit par dire oui. Le soir même, Harry commença l'entraînement de Quidditch avec l'équipe. Mais l'entraîneur, qui voulait en fait se débarrasser de lui, lui donna de mauvais conseils, qui mettaient Harry en danger. Hermione et Ron regardaient l'entraînement, et commencèrent à se poser des questions sur l'entraîneur: il avait l'air bizarre. Quelques jours plus tard, Hermione et Ron découvrirent que le vrai entraîneur de Quiddich avait disparu. Harry, Hermione et Ron partirent à sa recherche . Au bout de deux heures de recherche, ils finirent par le trouver enveloppé et ligoté. Soudain, ils entendirent du bruit. Ils se retournèrent et virent le faux entraîneur derrière eux. Harry et l'intrus commencèrent à se battre. Harry lui jeta un sort ; l'intrus l’évita et lui jeta un sort aussi. Harry tomba, il se releva et lui jeta un nouveau sort. Il sortit son balai pour essayer d’éviter les sorts de l'intrus. Hermione, très intelligente, commença à réfléchir pour se débarrasser de l'intrus. Hermione cria le sort à Harry. A son tour, il commença à le crier et dès que Harry eut fini son sort, l'intrus disparut. On ne le revit plus jamais dans l'école. Lana


Harry Potter contre Drago Malfoy Un jour, Hermione arriva dans la salle où Harry et Ron discutaient. Au même moment arriva Drago Malfoy : « Alors Harry, on joue toujours les malins ? lui dit-il, moqueur. - Mêle-toi de tes affaires Drago. - Et ta maman n'a toujours pas ressuscité ? » Harry se leva et le regarda : « Qu'est-ce que tu as dit ? Peux-tu arrêter de toujours tout faire pour que ça tourne mal ? S'il te plaît, arrête de te mêler des affaires des autres, ça ferait des vacances à tout le monde ! - Figure toi que je fais ce que je veux, quand je veux. Et moi je ne promets rien si je ne suis pas sûr de réussir. N'est-ce pas, avec tu sais qui ? - Si, je te promets de te vaincre un jour… - Alors rendez-vous ce soir 19h00 à côté de chez Hagrid. - OK. » Hermione intervint : « Mais tu es fou, Harry ! tu es à bout de forces ! - Ne t’inquiète pas, avec lui, ce sera du gâteau. » Le soir venu, Harry vit que Drago était déjà là quand il arriva. « Bonne chance Drago, lui cria Harry, et gare à toi ! - Ne t'inquiète pas. » Harry lança le sort d'ouverture : « Enervatum » pour énerver son ennemi. Drago arrêta le sort avec « Finite ». Tous deux, baguette à la main, se fixaient. Drago dit : « Alors, on ne sait pas viser ? - Haha, très drôle. » Alors Harry leva sa baguette et dit « silencio », ce qui fit perdre la parole à Drago. « On fait moins le fier comme ça ! » rit Harry. Il arrêta le sort, alors Drago jeta sa baguette en l’air et la rattrapa. « Bien joué !» dit-il, et juste après, il jeta le sort d’Avada Kevadra, le sort mortel ! Mais celui-ci, trop puissant pour lui, se retourna contre lui. Alors, il fut projeté en arrière. Harry se dit que même si ce n’était pas lui qui l’avait vaincu, Drago était maintenant hors d’état de nuire et donc, il avait tenu sa promesse. Estelle


Le combat entre Batman et Joker Batman arriva à Paris dans la nuit quand tout le monde dormait. Il était en train de rouler dans sa Batmobile quand il aperçut Joker. Celui-ci sortait d’une banque qu’il venait de cambrioler. Il avait dévalisé la plus grosse banque de la ville ! Quand Joker aperçut Batman venir à grande vitesse vers lui, il sortit de la banque et monta dans sa voiture. Il s'enfuit et accéléra à toute vitesse, mais Batman accéléra aussi encore plus fort. Il essaya de tirer sur la voiture de Joker, mais celui-ci esquiva la balle. Batman changea donc de stratégie pour l’arrêter. Il changea de route et essaya de lui barrer le passage, mais il arriva trop tard. Alors Batman essaya de tirer dans les pneus de Joker. Il réussit à faire exploser deux pneus de sa voiture. Joker dut s’arrêter et descendit de la voiture. Il essaya de tuer Batman avec son revolver, mais celui-ci esquiva la balle. Cependant, Batman n’avait pas dit son dernier mot ! Il sauta au-dessus des deux voitures et retomba sur Joker. Il lui passa aussitôt les menottes. Joker fut envoyé à la prison de Paris. La ville redevint normale puisque Joker était en prison, où il était bien surveillé. Maxime


La revanche de Batman contre Spider cochon Il y a quelques années, Batman s’était fait battre par Spider cochon. Celui-ci avait inventé une arme redoutable et pensait avoir gagné pour toujours. Mais quelques temps plus tard, Batman avait inventé des objets très sophistiqués et parfois invisibles : son armure, sa voiture transformable, .... Son seul point faible, c’était la boue. Un jour, il se promenait dans la rue quand il vit un immeuble qui allait s’écraser avec plein de personnes à l'intérieur. Il bondit tel une fusée qui décolle et réussit à sauver les personnes qui étaient dedans. Mais après avoir sauvé tous ces gens, il remarqua que ce n’était pas un accident : il y avait une marque sur la façade : une marque de boue. Il réfléchit : de qui pouvait venir cette trace? Il chercha encore et encore ; il ne trouvait pas. Le soir, comme il avait un rendez- vous, il se dit qu' il n’y aurait pas mieux pour oublier cette affaire. Il se rendit à son rendez-vous et il se souvint soudain de la façon dont Spider cochon l'avait vaincu : en l’aspergeant de boue ! Le lendemain matin, il apprit aux informations qu’il y avait une coulée de boue dans la ville. Il se rendit sur place et vit Spider cochon, le monstrueux cochon, qui répandait de la boue partout. Il se rendit vite à son laboratoire et demanda à son ingénieur de lui fabriquer une armure qui résiste à la boue. L’ingénieur fit son armure aussitôt. Batman se rendit alors à la coulée de boue et il vit l’horrible créature. Il lança la bataille. Ce fut la plus épique bataille de sa vie. Il prit son boomerang et le lança sur la tête de son ennemi. Le cochon tomba puis se releva et lança de la boue sur son armure. Mais l’armure tint le coup. Le cochon n’en revenait pas. Il resta bouche bée. Mais le monstre n’avait pas qu'un tour dans son sac. Il sortit un bazooka à cochons, lança des cochons sur Batman. Mais celui-ci les découpa tous et en fit des saucissons. Puis Batman, tel un aigle qui plonge sur sa proie, lui planta son couteau dans le cœur et le vainquit. Et pour célébrer sa victoire, il organisa un grand banquet. Noah


Captain America et Iron Man L'histoire commence quand Iron Man voulut commander l'équipe des Avengers. Captain America voulait aussi être leur chef. Alors les deux coéquipiers décidèrent de diviser l'équipe en deux camps. Un jour, les deux commandants eurent une dispute à propos de l'un de leurs terribles ennemis. Ils n'étaient pas d'accord, car ils avaient tous les deux un ordinateur pour repérer les ennemis, mais les deux machines repéraient le même ennemi mais à deux endroits différents. Alors ils ne s'entendaient pas. Ils partirent donc tous les deux aux endroits indiqués. Mais il n'y avait rien, même pas une petite crapule. Mais aux deux endroits, il y avait un écran d'ordinateur, sur lequel ils virent une personne disant qu'elle les avait piégés. Au même moment, ils furent capturés par un gang de personnages malfaisants qui les assommèrent. Quand ils se réveillèrent, ils se retrouvèrent ligotés. Mais les malfaiteurs avaient oublié la force immense de Captain America. Donc il se libéra facilement puis libéra tout le monde. Même Iron Man. Quand il eut fini de les libérer, il dit à toute l'équipe : « maintenant, on va se venger de ce qu'ils ont fait.» Ils partirent donc à la recherche de leurs ennemis, et quand ils les retrouvèrent, ils les combattirent violemment. Ensemble, ils remportèrent le combat. Rentrés chez eux, les deux chefs firent la paix. Et ils continuèrent à combattre ensemble sans se disputer. Alix


La colère de Captain America Captain America se promenait avec son ami quand Crâne Rouge l'attaqua avec son armée. Captain America vit soudain tous les soldats de Crâne Rouge se diriger vers son compagnon. Il courut vers lui pour le sauver mais trop tard, celui-ci reçut une balle dans la tête et mourut. Alors Captain America s'énerva et tua tous les soldats de Crâne Rouge. Celui-ci eut si peur qu'il s'enfuit en voiture. Captain America ne ne le laissa pas partir, il le poursuivit en moto et lança son bouclier sous la voiture pour en soulever une roue. Le véhicule fit un tonneau. Crâne Rouge était coincé. Il vit Captain America s'approcher et arracher la porte de la voiture. Crâne Rouge le supplia de ne le pas le tuer. Captain America le prit avec lui, le ramena à Shield et l'emprisonna dans une prison fortifiée. Mais un an plus tard, le Shield se fit attaquer par les soldats de Crâne Rouge. Celui-ci fut libéré par son armée et s'échappa de sa prison. Captain América essaya de le rattraper mais son ennemi était déjà reparti dans sa base en Allemagne. Alors notre héros le suivit jusqu'à sa base, mais il n'arriva pas à la retrouver. Soudain, il aperçut des chars et des véhicules détruits. Il suivit le chemin et retrouva la base. Mais la forteresse avait été renforcée. Il réussit cependant à y entrer. Il abattit tous les gardes et les soldats de Crâne Rouge. Puis il se mit à la recherche de son ennemi, le trouva et le tua avec son bouclier qu'il lança dans sa tête. Crâne Rouge était mort ; Captain America avait enfin vengé la mort de son ami. Samuel


Les cambriolages de Catwoman Un soir, alors qu'il commençait à faire noir, Catwoman sortit de chez elle et alla cambrioler une banque. Soudain, elle entendit l'alarme et tenta de se sauver mais la police était déjà là. Pour se défendre, elle sortit son fouet et fouetta les policiers qui criaient: « Arrêtez la, arrêtez la ! ». Ils durent reculer, et elle monta les escaliers pour aller au dessus du toit. Puis elle retourna chez elle, avec plein d'argent. Le lendemain soir, elle aperçut un homme qui revenait d'une fête et laissait sa voiture devant sa maison. Catwoman vola la voiture, la mit en route et la cacha dans son garage. Elle récupéra les phares et plein d'autres pièces … pour réparer sa propre voiture. Elle la répara puis redéposa l'épave sur le trottoir devant la maison. Le vendredi soir, Catwoman rentra dans un musée d'art moderne puis attendit que le musée ferme, essayant de se faire discrète pour ne pas de se faire voir. Elle se fit quand même voir car elle avait oublié d'éteindre une camera. Les policiers essayèrent de l’attraper pour la mettre en prison mais elle se bagarra, donna des coups-de-pied, utilisa son fouet et fouetta tous les policiers. Ils étaient tous à terre. Une fois encore, Catwoman rentra chez elle, avec plein d'objets de valeur. Camille


Le sauvetage de Holly Sélina Kyle était en train de revêtir son costume de Catwoman lorsque la sonnerie de son téléphone professionnel retentit. Son interlocuteur lui disait que sa meilleure amie, Holly Robinson, se faisait agresser par un groupe de malfaiteurs. Sélina s'empressa de se rendre sur les lieux ; c'était un endroit abandonné qui hébergeait autrefois des personnes malades dont la destinée était de mourir. Catwoman commença par repérer où étaient les agresseurs. Armée de son fouet, de ses shurikens et de ses longues griffes, elle attrapa un des malfaiteurs comme un chat attraperait une souris et elle l’étouffa. Lorsque ses coéquipiers se rendirent compte que l'homme avait disparu, ils se dispersèrent dans l’hôpital désaffecté pour le chercher, laissant Holly seule, évanouie. Catwoman la trouva immédiatement, la prit dans ses bras, la ranima et elles essayèrent de s'enfuir. Malheureusement, les malfaiteurs avaient verrouillé la porte. Sans le faire exprès, Catwoman laissa tomber un shuriken. Alors les criminels se rendirent compte que quelqu'un d'étranger à leur bande était présent dans l'établissement et que Holly avait disparu. Ils ramassèrent le shuriken et virent qu'il appartenait à Catwoman. Ils s’étaient déjà fait arrêter par les policiers et ils étaient déjà allés en prison à cause de cette ancienne criminelle. Alors ils voulurent se venger. Ils la cherchèrent partout pendant des heures mais en vain: elle s'était bien cachée. Vint l'aube, les criminels désespérés sortirent pour ne pas se faire découvrir. Quelques minutes plus tard, Catwoman réussit enfin à casser le cadenas et les deux jeunes femmes sortirent. Mais certains criminels les attendaient dehors et lorsqu'elles sortirent, ils les attaquèrent. Mais ils étaient mal armés et Catwoman les griffa et les assomma un par un. Enfin, Catwoman et Holly rentrèrent chez elles. Sélina se dévêtit et s'habilla avec des vêtements civils et Holly remercia son amie. Le lendemain, elles virent à la télévision un nouveau reportage : « La mystérieuse femme chat a encore frappé »… Clara


Spider man contre le fantôme 24 août 2020 : New York 17:27 Un braquage avait lieu à la banque principale de New York, mais personne ne s'en rendait compte. C'est sur les caméras que le vigile remarqua un détail bizarre: il y avait, au milieu des coffres, une sorte de fantôme. Le garde appela la police, mais quand celle-ci arriva sur place, le fantôme avait disparu, et l'argent aussi ! Ce jour là, Peter Parker n'était pas chez lui, il n'était même pas au courant du vol. C'est seulement après être rentré chez lui qu'il apprit la nouvelle. Le lendemain, le fantôme frappa de nouveau mais Spider man gardait à l’œil toutes les banques de la ville. Il se précipita donc dans la banque cambriolée et il fondit sur le voleur. Mais il passa à travers lui ! Alors il lui demanda qui il était. Le fantôme lui répondit : « Le fantôme … - Que viens tu faire ici ? - Je viens voler l'argent des banques, pour m'enrichir... - Ah oui, mais ce sera la dernière fois ! - Non, ne t'en fais pas . - Je t'arrêterai. - Quand ? - Maintenant ! - Ah ah ah, laisse moi rire ! Tu ne peux pas m'attraper, tu me traverses. » Spiderman abandonna, mais il partit dans son laboratoire pour fabriquer un gadget lui permettant d'atteindre le fantôme. Il lançait des ultra-ondes, ce qui lui permettrait de le voir. Il repartit aussitôt pour essayer de le retrouver. Heureusement le voleur était encore juste devant la banque. Arrivé tout pile, Spider man se lança derrière lui et activa son rayon d'ondes. Il put ainsi mieux le voir. Et juste après cet instant, un dur combat commença. Pendant de nombreuses minutes, les deux héros combattirent. Enfin Spider man prit le dessus en lui lançant de la toile sur les mains et sur les jambes. Puis les policiers arrivèrent et le placèrent dans une cellule à ondes, dans une prison ultra sécurisée. Spider man rentra sa reposer, fier de son nouvel exploit. Louis


Le combat final Un jour Spider-man se battit contre Batman. Ce fut un combat très violent. Ce soir-là, l'homme araignée croisa par hasard l'homme chauve-souris dans sa ville; il lui demanda ce qu'il faisait là et Batman lui répondit qu'il se promenait, tout simplement. Mais Spider-man ne le crut pas. L'homme chauve-souris lui retourna la question et l'homme araignée lui dit qu'il surveillait la ville. Soudain, Batman alla se cacher derrière un bâtiment. L'homme araignée le suivit, mais son adversaire se cacha derrière un mur et le surprit quand il passa devant lui. Spiderman lui lança une toile d'araignée en plein sur le visage, et Batman fit cinq pas en arrière pour se libérer de la toile. Alors Batman se transforma en chauve-souris et attaqua Spiderman de plein fouet. L'homme araignée essaya de lui lancer d'autres toiles d'araignée, mais l'homme chauve-souris, aussi rapide qu'un éclair, esquiva toutes ses toiles. Puis Batman appela des chauves-souris pour qu'elles attaquent Spider-man. Batman dit à son adversaire : « Tu peux toujours lancer des toiles d'araignées, cela ne nous fait rien ! » Sider-man, fou de rage, s'avança vers lui et recommença à le frapper. Batman avait des lames coupantes au bout de ses gants, alors il s'en servit pour essayer de tuer Spiderman. Mais celui-ci, aussi agile qu'une araignée, esquiva ses lames tranchantes et essaya de s'enfuir. Batman le suivit. Ils se poursuivaient comme deux chouettes en train de se battre.

Soudain, l'homme araignée descendit dans une sombre forêt où il faisait très froid. Batman le suivit mais Spider-man eut le temps de se cacher dans les arbres. L'homme chauve-souris se méfiait de cette sombre forêt où il faisait très froid. Tout à coup, Spider-man descendit très discrètement par l'une de ses toiles et attaqua Batman dans le dos. L'homme chauve-souris, surpris par le piège, se laissa enrouler de toiles d'araignées. Il fut coincé mais comme il avait des shuriken en forme de chauves-souris, il en prit un pour se libérer de la toile, puis s'en servit pour essayer de tuer Spider-man. Mais l'homme araignée arrêta son shuriken avec sa toile et lança une nouvelle toile d'araignée au cou de Batman. Il lui fit faire le tour de l'arbre pour étouffer son ennemi. Ce jour-là, Batman faillit mourir, mais Spiderman lui fit promettre de ne plus revenir dans sa ville et il le libéra. Plus tard Spider-man fut tranquille longtemps, sans ennemi à tuer pour défendre sa propre ville où il était né. Valentin


Superman contre Spider-man Superman était chez lui, tranquillement devant la télé quand il vit qu'il y avait une attaque dans la ville. Spider-man était devenu fou. D'après les journalistes, on lui avait injecté de la drogue mais celle-ci n'avait pas bon effet. Superman se changea, vola immédiatement au dessus du sol et arriva dans la ville. Il vit Spider-man en train de frapper des gens. Soudain, Spider-man souleva des grues qui tombèrent sur les passants. Superman vola vers Spider-man pour arrêter la catastrophe. Quand Spiderman le vit, il fondit sur lui et les deux héros se fracassèrent la tête comme deux taureaux qui se donnent des coups de corne. Spider-man tomba par terre car Superman était plus puissant que lui. Mais Spider-man se releva très vite et lança des toiles d'araignée pour essayer de ralentir Superman. Superman fut pris au piège mais il n'avait pas dit son dernier mot. Il déchira la toile d'araignée de Spider-man et lui lança des rayons-lasers qui sortaient de ses yeux. Spider-man, ébloui, était en train de souffrir. Il cria tel un homme qui mourait dans d'atroces souffrances. Superman arrêta de lancer ses rayons pour ne pas le tuer, mais juste lui remettre les idées en place. Mais Spider-man se releva, encore plus énervé qu'avant. Alors il donna un énorme coup dans la tête de Superman, comme un choc de titan. Superman tomba, puis se releva, plaqua l'homme-araignée et l'emporta dans le ciel. Spider-man, presque inconscient, était tenu par une seule main par Superman. Ce dernier lui dit : « Spider-man, as- tu repris tes esprits ? » Superman lui répondit : « Oui, je ne sais pas ce qui m'a pris, je pense qu'on m'a drogué». Ensuite, Superman et Spider-man retournèrent au sol et aidèrent les gens qui étaient blessés. Baptiste


Superman et le nouveau héros Un jour, Superman arriva dans une ville calme. Il aperçut une veille dame qui marchait sur le trottoir avec son sac. Tout à coup, un homme lança une bombe juste à côté de la vieille dame. Superman courut vers la dame, la prit dans ses bras, sauta et la déposa sur un toit. Puis il plongea pour désamorcer la bombe. Tout le monde l'applaudit et cria: «la bombe a été arrêtée par un héros ! Tu es notre héros, le héros de la ville ! » Superman répondit : «Je suis un héros, c'est mon travail, je vous aime.» Superman se sentait à l'aise, et il décida de sauver les gens qui étaient en danger. Depuis qu'il avait sauvé la vieille dame, il avait senti qu'il avait aussi sauvé plein de monde, parce que s'il n'était pas passé à ce moment là, la ville aurait était détruite. Une semaine plus tard, un autre héros arriva dans la ville et proposa de devenir le nouveau héros. On décida de faire un vote pour choisir lequel des deux serait le héros de la ville. Superman et l'autre héros firent chacun un discours devant le conseil municipal. Le nouveau dit : « Bonjour, je voudrais bien être votre héros car j'aime bien sauver des vies. Voilà, j'ai dit ce que j'avais à dire. » Superman répondit : « bonjour, c'est moi qui ai sauvé des vies il y a une semaine. Voila je n'ai plus rien à vous dire, juste que je sauverais autant de vies que je pourrais. »

Puis les deux héros regardèrent les votes: dix votes pour le héros et quinze votes pour Superman. Superman fut très fier d'être le héros de la ville, et il promit d'arrêter le plus possible de criminels. Quelques heures plus tard, il fut photographié dans tous les journaux. Tous les journalistes essayèrent d'avoir la meilleure photo de lui. Il fut très heureux et très content d'être très populaire, car c'était son rêve depuis qu'il était petit. Linda


Le combat de Wonder Woman pour sauver un enfant Un jour, un enfant de la tribu des Amazones fut enlevé. Diana, la princesse des Amazones, décida alors de se mettre à sa recherche. Elle colla des affiches avec le portrait de l'enfant dans toute la ville, demanda aux gens s'ils ne l'avaient pas aperçu et cela pendant plusieurs jours. Mais personne ne l'avait aperçu. Elle continua ses recherches désespérément. Elle décida d'aller sur les routes pour voir si le jeune enfant y était. Mais non, alors elle n'espéra plus le retrouver. Elle était totalement perdue, triste … Elle retourna dans la tribu. Mais un membre de la tribu lui demanda : « Pourquoi as-tu abandonné tes recherches ? » Elle répondit : « je n'ai plus d'espoir ». Finalement, honteuse de son abandon, elle repartit à la recherche de l'enfant. Mais cette fois, sous l'apparence de Wonder Woman. Elle alla dans la forêt, le dernier lieu possible. Au loin, elle vit un enfant et un homme bizarre. Elle s'approcha tout doucement, et remarqua que c'était l'enfant de la tribu, oui, c'était bien lui ! Elle menaça l'adulte qui avait enlevé le petit. Mais l'homme ne prit pas peur et garda l'enfant. Alors Wonder Woman le frappa au visage pour l'assommer, mais l'homme sortit un poignard et le lança sur elle. Wonder Woman ramassa une pierre, sauta dans les airs, et lui lança la pierre. L'homme reçut le coup à la tête et tomba par terre. Alors elle le ligota avec son lasso. Puis elle prit l'enfant et se sauva avec lui. Elle était tellement heureuse ! Ils rentrèrent à la tribu des Amazones tous les deux, et ils furent acclamés par toute la tribu ! Ophélie


Turn static files into dynamic content formats.

Create a flipbook
Issuu converts static files into: digital portfolios, online yearbooks, online catalogs, digital photo albums and more. Sign up and create your flipbook.