doit êtr·e comtp1lètement et définitive- çdn de voir se !propage avec la plus ment abandonné. Cest le moy·en ·le gr ande facilité. Nous sommes frondeurs pius simjp'lislte, Cher aux maitres en mal par tempérament, et nous nous pla. de mauv.aise 'humeUir, p·our se déljar- çons tout naturellement du côté de ceux .r a'SiSer des êlèves g1ênanlls .à quel ti- qui critiquent. Si la 1PlU!Part d'entrt tre que oe soit. Envisagé ·de cette ma- nous ne sont rpas dUJPeS de cette atti. nière, d c'est ainsi qu'H l'est trop sou- tude, d'autres, moins expérimentés, !Vent, i·l devient exact-ement Je contre- moins attachés à leurs f9nction$, 'Peu. !Pied die toute v:raie bonne édUJCaJtion. vent la prendre au sérieux, ce qui est 1m ·est dès 1ors facile de comprendre fâcheux à tous égaros. Enfin, cho~~t au moins aussi regrettahle, nos propOs ORGANE DE LA rpotll'quoi l'on n'en doit plu5 voUJloir. tombent presque toujours dans l'oreil. Un inspecteur. le d'un !PUblic trop fadlement porté à SOCIETE VALA.ISA.lfB'E = ttott= nous dénigrer, et c'est en définitive la COllPOration entière, c'est l'é<:ole elleUn peu plus d'optimisme D':BDUCA. TIOlf m'ème qui en soœf.frent! Neuf fois sur dix, 1poUr ne pas dire 'ce~sons donc de nous croire phu davanta·g.e, plusieurs personnes arppar- mauvais ou plus malheureux que ten ant à la même profession ne peu- ne sommes. 'Prenons des verres SION, Juin 1923 vent s'aborder sans ~entretenir de sombres pour observer notre milieu el leurs lravaux communs et, tout natu- sans nous interdire toute critique, sans reHement, sans en médire. aq:>'l)lautlir à tout ce qui se fa~t! effor. Pensée des et 'd'ans ,l•equel il pourra donner •E<:héliPIPons-nous à ce travers? Je çons-nous de discerner, au m1heu des 1 son renldlement. !Plus l'en:fan' t sentim qu'il s'instrui.t et s'en· ne crois pas ·être démenti en affirmant difficuHés de toute nature .qui nous as. ndblit !"âme a• v ec son maître, plus il l'aime· saillent. le «rayon de solei~ ,. qui Je contraire. • H ·est .p·rowvé que 1sur cent .personra, l'institu.teur sena pour lui le génie d~ la nes exerçant un métier ou une prOifes'Etendue des programmes et diffi- dra faciliter notre tâche et raison et de la bonté. sion quekonque, .d'eux environ l'exerculté des examens, !Paresse des élèves, nos efforts. Ayons foi en notre SPUVIO P6LLICO. cent de façon remat1q:ualble, une vingin.différence des parents, insuffisance et soyons résolument optimistes. taine de :taçon moy·enne, mais que toudes tr.aitements sont autant de thèmes nous ·t·r.aitera peu't.!êltr·e Ide naïfs, faciles ausujet desquels s'exerce notre en y réfléchissant bien, on tes .J.es autres auraient mi·eux fiait de Avant de choisir son métier Clho·isir une .autre voie. Une orientation verve satirique dès que nous rencon- que nous avons raison. 1rons quelqu'un « du bâtiment». =ttott= Nous .cflétaJohooo d'un ouvrage ains'i ~ationnehle Ile poun.ait-elle donner de 'S'il fallait prendre à la lettre tout variétés intitulë, à l'intention ·des mem'bres de moms médi<Jcres résultats? ce qui se dit à ce sujet - et miême * Tu. ;.s eu ,Je ;prix d'ariilhméli<iue, l'ensei,g-n.ement, un certain nomlbre ·de * Etud1ez bien vos enfan~s. ~pre.. . tout ce ·qui s'écrit - notre condition _ Oui mon .oncle. - ·Bon. si je te d sages et utHes consei·liS .oho·isis rparmi nez~Ieu·r à se ·connaî·flr·e. serait loin d'être enviab1e et notre or- 12 IPorr~mes et que tu en n~anges 3. beaUJcotljJ)' ·d'autres q,ui sont non moins Elf.forœz-<vous de les aiguiller vers ganisation scolaire bien imparfaite! en aur:>.JS-tu? - 12. - 'Mats non, 9. bien in$ irés. On les méditera et on un métier bien en ra!P!Po.rt avec leurs · Ce n'est qu'une a·ttitulde, me direz- du tou.t : 3 en dedans, 9 en <kihors, ça fait les r~antdra .avec profit; on devra sur- fuculltés. un métier atllq:uel Lis .pourron\ vous, et tel, qui dame à tous les échos * Les lpetiis protits Ide 1'in1Stituteur tout s'eJfforœ r d'e Jles suiwe. consaJOrer toutes leurs ~orees, toute leur son mécontentement, est au fond un çais: intelH1genœ, toute leur âme. Vous teur L' institu,teur. Mea en~anls, la nrnrna""" • Pour relever un pays, il est très eX!cellent homme, dévoué à sa tâche, aur·ez ainsi !1élvélé le secret du bonheur. hs, •.;e vous ierai d'eJqpérienœ de 1'œul important die mettre en v. a leur ses cl:ilfconsciencieux, resrpectueux envers ses ColiOrtlb: ·dhaiOllill de vous férentes ridhesses ; mais cela ne sutflfit * L'expérience .a démontré que le chefs, et m.lême, en définitive, satisfa.it Chri.stQphe tera .un œuf. (Atprès rêmexion). Ceu'X qui oas. quart des en:fants demantdent des méde son sort. J'en suis conv.ain<:u, mais raient pas d!œu~ powrront aworter un !Ll faut su!ftout. et avant tout, tirer le tiers qui .paraiss.ent 'bien leur conje m'exq:>Hque d'autant moins cette at- de .Jivre de benre ,; A l 'écOle. _ .o. Qu'es>t-.oe c;ue .la meûJ.leur parti des quahtés. ode sa ta1ce, venir, ia m<>itié en dhoisissent qui ne titude! en orientant .dhatq.ue enfant vers Le mé- 1eu!f .cofllviennent point, Je tdlernier quart :Par contre. j'en vois fort bien ·les in- sance? _ ,C'est un m~n$onge qui n'e?t · tier ·q.ui <;oiWient le mieux à ses ,a!Ptitu- est fo.rmé p•a r les ind~ci~. convénients les plus sérieux. Cette fa- vrai, mad~mois~ne.
' ECOLE tl~
-·
PRIMAIRE