88 lvez des démangeaisons lorsque vous voyez 'un bonhomme se g:ra tter swr ·]es a!JfiGhes du !Savon Cadum, de ~me ça vous fait mal tlans le rein dans le foie ou da.ns l'estomac !si vn!IS a~~z à comHtître, même d'une façon didactique, les effets c;ue produit une ITésion du rein, de l'estomac ou dru foie. 1 Attraper des maJ.adies dans les Hvr~s. ce ~'est encore rien . .Mais ça devient dangereuoc lorsque, les ayant a·ttrapés VO'UIS vou'ez vous guérir. Vous en venez à essayer des tas de !l'Mlèdes. n y en a beaucoup à la 4mt> page [des journaux.
Pour bien vous porter, soi.gnez les gens qui sont plus malades que VOUJS. C'est le ·même remède qu'on awlique, lorsque, dans une course de montagne, on ~rrive à n'en .plus poUJVoir. A œ moment précis, on n'a qu'à · favor iser la marche de 1(-~eJlqu'un qui est p1us fa,tîigué que soi. On oulblie ~a peine en soulageant oeJlae des aurtres. ..
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(Extra:tes des lettres et écrits • de la B. ~œur 11lrerèse de l'Enfant Jésus) Jésuls! Je vouP!ra.iiS' fant 1'airner! L'aimer comme :amais iJ n'a été airmlé. · ·
ttt lit n'y a qu'une sewle ohose à fa ire !ci-bas: aimer JésuiS, lU<i sauver des âmes pou·r qu 'ut soit aimé. Soyoos jaJ~ouses li.es moindres oc· casions de nouiS sacrifie r, ne lu! refu·sons rien. Il a tant besoin d 'amour!
tU Vous le savez, ô mon Dieu,, je n'ai ja,mais désiré que vous :cimer un!quement, je n'am· bitioone pas d'' autre g.fo.ire. Votre amour m'a prévenue dès mon enlfaru)e, il a gn1tndi avec moi, et maintenant c'est un ahîme dont je 11e puis sonder la profondeur.
t t t Pour awrocher de Jésus, il faut être si petit! Oh! qu ï rl y a peu d'âmes qui as;p~rent à être peti·tes et intconnu.es!
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§'!pplém_ent du JY:!_ de
,l'~cole,'_f1!)23)
Variétés Mois du Sacré-Cœur UN MOY.EIN PIRAT.IQUE ET BCONOIMJ. QUE DE CONSfEiR:ViAT.ION DES VIANDES On sait l'impor.tanœ du problème de 1a consenvation de ·la viande, en vue de la constitution de &toolw. Jusqu'ici, la seuile solu· tioo est -l'emploi du fu-oid, qui donne d'exce'llents J:ésl]1lt:ats, mais qui exige une in$!af.. l·a tion considéralll1e et coûteuse. llll1 entretien onéreux des madhines, un personnel b'en au courant, un .stock de charbon, huiJes de gTaissage et agents ohimiques pour la pr.odudioo du froid. On a d&oUJVert un ~n de· con5el1Ver la viande et di'autres prold'uits a1imentaires, indé'liinillnent et sans tous [es inconvénients qu"ent!l"aînent l'oolploi et la prodludion du froid: il consi.ste si!llP1ement à mettre li viand.e fraid!ement tuée dans 1e su.cre !Il !{)Oudre. ile sucre, par- sa na ture et ses moyeas d'oibrention, est parilllitemen.t exerr!jpt de bat· téries nwi.sibtes; ji} a Ira prOjpriélé d'O!pém 11111e sD'r!e de tan~ 'des chairs~ sous son inlllueniœ les vianides se dm'cissent et COD· serwent tourtes leur-s propriétés. Pendlan~ les· trois ou qwatr'e premier.s ;ours, le sucre absorbe l'eau de la viande et se d· dUJi1 à l'état de sirop. qu'lill est possilJie de conJCeD•trer powr refaire cristarutiser; Je sirop décante ajprès ce telTljP.s, on reCOU!Vre la vian· l'le avec une ,partie de sucre en poudre; il se ,produit .u ne albsonption profond'e de 11eau contenue dans li V'ill4tde, 1res tê:émen-ts !hl saltlg y resiant œjpellldanrt: c'est ooe sorle de dessiœtion en tmme temps que de l'anfi· septie. On ;peut enlever fadlement le goût suai de ·]13. viande ainsi consel"Vée par s.imp'e im· mersion dans l'eau avant ruissoo. IDe cette façon, la viande peut être conser· vée indéi!iniment sans q.uli[ soit besoin d'au· Cllitle opération coûteuse de matériel oo d'ins· tarma tion pa.rti cu~ière.
Grâ1ce à Dieu, 1le üWLte du S<lcrét 'œu,r ·de jrésus se OOv cllCIPJpe ·de !p/''us en 1}!U~& :dans les fa:mi•llle s. et le-3 pJrorss;es
r.e notre !dio.cèse.
NO•UIS ne IP0ll!VOU1..S. q.ur: r•éjou:r vivement de ce pro ~rès, rr:isq1tte ceHe dév.o•tio.n nous fera mieux c-~ ŒIP·rendre la pl!'o·fondeur de l'amour diu Ohlfirst. Car le Sacré-Cœur 'de j ésws ·es'l le centre de toute :la religion cal1ho·Ihq u.~. S. jean •Fa dit: <<Dieu est •Charité, Olen es1t amourr. » Or 1a !Charité s'est in.carn.ée d ams la ;personne dre Jiél5!uo-Christ. Jésus, ,c'·eSit 1d:onc 1a Oharire rfaite homrue ; et le sv1111boJe, 11'or!gane Ide œtte ch a rité, c~est ille Cœur de fiésus, par Je•1Uel r]) é1SS~ tout l'amour de Dieu. De ée oœur e~t sortie IP'ôgrlise. l'EJ}OLtse imma.ou!IJée de J' A1gne•au C'est ce .cœu.r encore rq:ui nous a do.n'lé les sacrements, en !J)articwlier ll'Etveihanislie. En lisant :I'EvangiJ;e ayons to'l.tjours Je regm1d 'de -I10'1Jœ âme fixé su.r le di· vin Cœur! Nou~~ 'le verr:o:n:s s'a ttendrir !t la vue de nos misères phy•si·ques e~ mo.ra:les, à la vue de. la douJeur de la veuve 1d·e Naïrm., .qui I!Jileure ;près d:u cadtwre rde son fiils u.!:J.irq.ue. Nous le sentirons frémir .p rès •diU <tombeau d:e :Pn ami Lazare. Erf- ·b )!Jtitié de œ divin C œU!r n'es•t l))a:s slflériiJ.e ·comme l a n.Mre: ell~e rend :à ,!la •v·euve so:rr fûl<s, elUe fait JS:Odir -Lazalfe dkt tomib-eau. Now3 ·devineron•s ·Sia ·terudre:sse pour l'âme .inn.olcetllte. en ·Le •voyant •car~sser les !Petits enfants de OaWée. No,us sou1pçonnemns l'étenldlue ldle sa mi:s érico:rd•e ,en l'entendant IP'all1donner à Mrade-leine. A la ·dernière Cène, ·le di.vin Oœur nous apparaîtra comme un Jlrasier qui ne 1peut ipil1us ccontenir l'a.rdeur de sa filamme. m{'ll vient, lpiar U!ll excès .d'amollir, .à doni!]er aux ho·mmes son .co•l)PIS à manger et son sang- à
norus
boir,e. Ou1, c'eo.;t .dans le cœur de jé·sUJs qu' irl faut lire ;}'Evan,gil.e, si o·n veui: le ·oon](prendre : Jé~us. c'est avant tout ·le Sacflé~œur. Qu'il soit donc ,pom no·ws 1e d~vi:n Ami., 1'Ami bien réel av.ec leq ue,l on s'·entretient journaL :{~me1 t. D'abot;d .pou r l';udor.e r : c'est le Cœur d~un Dieu; .c'es.t U:Il ·sanc:iu:ai rc in,fin:!n nt s.a int e.t nous somrrne'S ré, dheU!:'S . .Puris rdisons Lui .que noÜ·3 croyons ;1 s on amoUJr: il est 1' Ami •tou-. i aurs hdètle, J'Ami qui se .fai.t 1pilus aimani· aux jours !PéniWes. PEurcih'aris!ie .r•t l.a Croix sont t:Jujo·uŒ là pour u:ou:s ·dine: A&tu· tr.b·uvé un atrhre cœur po11r i'aimer da:vanta;,!!e? Lui s:eul peU!t dlire: <<Venez à moi, vo!Uis rtous q!ui pein:éz et qui p;J,iez 'So-us 1le fardlea11 el j:e vo·urs consol.e ra i. »
Histoire d'une âme Oh! que nous verrons de mry:s·tère·s JÙIS ta rd! Comll:ù.n de hs ai-je .pensé que ;e devais peu~-être toutes les grâ.œs dont j rai été comblée aux .instaruces d'une petite âme c;.ue je ne cmmaitrai qu 'au ciel. C est la •volonté du lbon :Dieu qu'en cc monde les âllTies se communiquen t entre ei· le.s les .d ons célestes par la pr'ère, afin que, rendues dans ,leu.r patrie. elles puissenJt s' aimer d'un ooTJour de reconna.iss.an>ee , d 'une ai11l'ection bien plus grande encore ·c;,ue ce<!le de la famille la .plus idéale de la terre. 'Lià, nous ne rencontrerons· rpas de regards indi.fi!érents, parce que tous ~es sa ' nts s ·ell· !redevront quelque dhose. Nous ne verrons p lus de regards envieux ; d aWeurs le bonheur de chacun des élus sera celui de tous. Avec les martyrs no u'> ·ressemblerons aux martyrs; avec ies docteurs nous serons C0i1111me les d.octeurs; avec les v.ierges, comme les vierges; e[ de mème ctue les membres d 'une même tami>IJle sont fiers les uns des autres, ainsi le serons-nous