IMMERSIONS PARTAGÉES, PARTICIPATIVES, ENGAGÉES PRIMEXIS#5.22

À la suite de notre rencontre, nous avons le plaisir de vous adresser trois pistes immersives qui résultent de nos entrevues.


À la suite de notre rencontre, nous avons le plaisir de vous adresser trois pistes immersives qui résultent de nos entrevues.
Primexis s'en remet à Partage pour...
Parce que vous avez choisi de mener votre activité dans un lieu d’exception, nous vous proposons d’en faire un théâtre d’émotion de rencontre et de partage...
Nous avons convaincu des artistes confirmés et émergents, des galeries hors pair, des collectionneurs passionnés et des musées privés, de partager leurs réserves, avec vous.
Cette première immersion de vos espaces communs, est une solution clé-en-main, de la curation, à l'installation des œuvres.
Essayez, on s'occupe du reste.
Face à l'acceuil, nous vous proposons une œuvre d'Aurélien Barrau. Il n'est ni peintre, ni sculpteur, ni plasticien... mais astrophysicien, spécialiste des trous de vers. Figure iconique du mouvement écologique, son œuvre signe une entrée engagée.
Vous pouvez essayer les œuvres en réalité augmentée en flashant les codes qui accompagnent cette présentation. Laissez-vous guider...
Vous avez manifesté votre envie de changer d'art.
La pause de cimaises au plafond sur l'ensemble du projet est la plus indiquée. Vous êtes libres de changer, sans avoir à tout rénover.
Les cimaises proposées mesurent deux mètres, nous les installons sur toute la longueur du mur lorsqu'elles sont visibles.
Si au terme de la location vous souhaitez garder l'œuvre, nous pourrons réaliser son installation définitive.
Rémanence, d'Aurélien Barrau Craie sur tableau noir encadré 80 x 200 cm, dès 39,99€/mois
À sa demande nous reversons les bénéfices de ses locations à l'ONG Life
Nils Thornander peint des polyptyques. Il assemble des toiles principalement monochromes, explore la dissonance cognitive, la transcendance.
Sans-titre, Kacem Noua Acrylique sur contreplaqué marine 128 x 150 cm, dès 89,99€/mois
Les œuvres de Kacem Noua sont plates. C'est la seule œuvre qui ne s'installe pas sur cimaises, sans perdre l'expérience du trompe l'œil. Le revêtement du mur est idéal pour la pause de clous. Il sera possible de les retirer sans laisser de trace. Pour autant, nous préconisons de prévoir l'achat et la pause d'une cimaise au plafond pour d'autres œuvres à venir...
Le lettrage adhésif, pour présenter la curation, avec sobriété et élégance.
Une expérience digitale. Isabelle Trichelieu vernit ses œuvres à la caséine. Elle invite les curieux à éfleurer la toile, pour apprécier sa douceur.
Il y a quelqu'un , Isabelle Trichelieu Huile sur toiles marouflées sur toile, cache-clou en bois clair 195 x 97 cm, dès 59,99€/mois
Claude Gazier peint des scènes de films iconiques des années 20 à 70. Sa technique singulière mixe son apprentissage de la maçonnerie et de l'architecture avec celle des beaux-arts, qu'il étudie à Rome. Il les transpose à l'acrylique et à la caséine, sur de multiples supports de construction, comme les silices, les granulats de marbre ou le béton.
Madrid, de Laurence Winter Huile sur métal 92 x 60 cm, dès 39,99€/mois
Amoureuse des scènes de genre, elle capture des instants volés au gré de ses voyages.
Laurence Winter travaille sur des châssis façonnés sur-mesures par un artisan métallier.
Elle les peint à l'huile, juxtapose les couches qu'elle ponce minutieusement pour conserver la transparence et la texture souhaitée.
Télephone, de Laurence Winter Huile sur métal 92 x 60 cm, dès 39,99€/mois
L'homme journal, de Laurence Winter
Huile sur métal, collage
145 x 92 cm, dès 59,99€/mois
Flags for future identities V , Nils Thornander Huile et acrylique sur toile 120 x 200 cm, dès 109,99€/mois
L'art naïf, est la spécialité d'Alina(lalala), réfugiée politique Roumaine depuis l'enfance. Derrière chacune de ses œuvres, une part de son histoire se cache.
Oups, d'Alina(lalala)
Acrylique sur toile libre
170 x 90 cm, dès 19,99€/mois
"3 secondes = 120 cm", de Nils Thornander Huile et acrylique sur toile 200 x 120 cm, dès 109,99€/mois
PARTAGE
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Genius, d'Alina(lalala)
Se souvenir des belles choses, de Big Ben Technique mixte sur bois, acrylique en spray, pochoir 130 x 81 cm, dès 39,99€/mois
The Road, de Blaise Adilon
Tirages sur papier Fine Art limités à 30 exemplaires
18 x 120 cm, dès 9,99€/mois, chacune
Blaise Adilon, photographe, imagine des lignes d'horizon. Il saisit les arbres, collines, roches, pour les recomposer en négatif.
Primexis consulte Partage pour...
Parce que vous souhaitez inscrire l'art dans vos valeurs, nous vous proposons d'engager vos collaborateurs dans cette démarche.
Témoignage de confiance, d'inclusivité, vous leur permettez de choisir l'œuvre qui entre dans leur espace de travail.
Cette immersion propose trois œuvres pour chaque bureau, dont les occupants décident de l'élue.
Un apprentissage mutuel, où le vote est de mise.
Choisissez, on s'occupe du reste.
Nous avons dénombré une trentaine d'espaces de travail, et de bureaux individuels.
Après avoir réalisé trois mises en situation par espace, nous les soumettons au vote de vos collaborateurs via un formulaire en ligne. Les résultats vous sont restitués au terme de la consultation, et nous procédons, avec votre accord, à l'exposition.
Primexis rencontre Partage pour...
Parce que vous souhaitez placer l'art au cœur de votre politique RSE, nous vous proposons un atelier de team building hybride.
Il s'opère sur une journée complète, dans la limite de vingt personnes par groupe.
Deux ateliers sont proposés. Le premier autour de mots qui définissent les valeurs de vos collaborateurs et de votre entreprise, le second avec une mise en exergue plastique de votre identité.
Faites en l'expérience, on s'occupe du reste.
Annexes...
1. Insertion de la cimaise dans les rigoles de jonction
2.
Cimaises de plafond en aluminium peint
3.
Perlons Ø 1mm support de 20kg par mètre linéaire
Afin de procéder à l’installation des oeuvres nous installerons des cimaises fixées au plafond, dissimulées dans les rigoles de jonction avec les murs.
Très discrètes, elle accueillent des câbles en perlon (câble synthétique transparent) qui peuvent supporter un poids de 20 kilos par mètre linéaire.
Astrophysicien, Aurélien Barrau s’est spécialisé en relativité générale, dans la recherche autour des trous noirs, des trous de vers, de la cosmologie et des particules élémentaires, ces rayons d’énergie qui parcourent le vide interstellaire.
Docteur en philosophie, poète, passionné de musique, de cinéma, de théâtre, il a pubié de nombreux ouvrages et participe aux revues poétiques et culturelles Hors-Sol et Diacritik.
Président d’honneur de Formes élémentaires, qui élabore des expositions d’art contemporain en dialogue avec les sciences.
C’est en 2017 qu’Aurélien Barrau crée l’équation de la Rémanence. Au sein d’un collectif composé de peintres, sculpteurs, écrivains et scientifiques, tous ont exploré le sens de la vision, la manière dont notre cerveau perçoit la réalité et traite les informations visuelles et scientifiques.
La science n’est pas une froide découverte du réel "en lui-même".
Elle est, avant tout, une manière de faire un monde.
Nils Thornander
Cartographe du chaos.
Je travaille sur la frontière des choses, là où se révèlent leurs conflictualités. Celles-ci sont porteuses de dissonances et de consonances qu’il m’appartient de conjuguer.
Né à Stockholm, Nils Thornander explore la porosité des frontières entre les domaines, les pratiques et les idées. Il poursuit la construction d’un Continuum fait de sons, d’images, de concepts, de matières et d’espaces. Ses créations prennent des formes variées, de la peinture à l’installation sonore en passant par le texte et la vidéo.
Ses thématiques abordent les notions de conflits, de territoires et d’identités. Son travail a été exposé à Stockholm, Barcelone, Paris, New York, Chicago, Bogota, Séoul etc. A Paris, les œuvres de Thornander-Simantov ont été vues et entendues au Musée Carnavalet , au Palais de Tokyo, aux Musées d’Art Moderne de Paris, Zadkine et Bourdelles,...
Cartographe du chaos, Nils Thornander organise à la fois le conflit et son éventuelle résolution. Cette guerre esthétique, c’est ce qu’il appelle dessiner.
Diplômé des Beaux-Arts, Kacem Noua s’est rapidement forgé son propre univers artistique.
Sa technique, son choix d’échapper à la toile, trompent le regard et nous privent de tout repère spatio-temporel.
Une œuvre aux confins de la peinture, la photographie et la sculpture, des “exercices de musculation oculaire”.
De retour de New York ans les années 19801990, Kacem Noua explore les volumes évoquant des volutes, des écumes en mouvement.
Il se consacre désormais sur une étude plus poussée de la matière picturale. L’artiste photographie une trace de peinture déposée sur une plaque de verre, puis réalise plusieurs esquisses préparatoires afin de choisir le détail qu’il reproduira en grand format, à l’identique.
Je peins quelque chose qui installe le doute quant à l’identité de ce que l’on regarde.
Isabelle Trichelieu
Expérimentation digitale.
Peintre, graveuse et illustratrice, Isabelle Trichelieu se consacre depuis trente ans au portrait. Visages connus ou inconnus, portraits de nuques ou silhouettes poétiques en osmose avec des décors abstraits, l’humain est le sujet de son travail. Dans toutes ses dimension : sociale, politique, économique, sensible, intime ; rien de ce qui concerne l’Homme ne la laisse indifférente.
« La ressemblance est importante mais il faut la dépasser, aller au-delà, le corps donne autant d’indications que le visage, l’air qu’il y a autour du modèle aussi. Faire un portrait c’est donner l’impression d’une personne ».
Passion pour la gravure, amour du dessin, le medium de prédilection d’Isabelle Trichelieu reste la peinture à l’huile. Préparation des fonds, richesse des pigments, consistance de la matière, autant d’outils pour découvrir ce qu’il y a de fondamental en l’homme.
L’idéal serait que lorsqu’on est face à un portrait on ne pense pas portrait mais tableau.
Son mémoire de diplôme d’architecte , Claude Gazier l’a consacré au trompel’œil, à la recherche de l’évocation de la troisième dimension. Comme dans l’Art Baroque italien, accélérations de perspectives et anamorphoses sont un outil majeur de la représentation picturale de l’espace et des techniques précieuses pour maîtriser l’illusion de la profondeur.
C’est la peinture d’Edward Hopper, très marquée par l’influence du Cinéma, qui le conduit à rechercher, dans l’histoire du septième art, l’évocation d’instants de vie, la possibilité de fixer durablement une émotion fugace.
L’utilisation d’une granulométrie minérale s’est imposée pour évoquer le grain de la pellicule, dans une sorte de pétrification de l’image. Son travail, depuis lors, explore la profondeur et le flou. Rugosité, matité, luminosité sont obtenus en utilisant, comme dans les fresques, la caséine.
Je peins pour fixer durablement les émotions fugaces qui restent gravées dans la mémoire de tous.
La mode, les voyages, pendant des années, Laurence Winter n’a eu de cesse que de pouvoir revenir à ses premières amours : le dessin et la peinture.
C’est en 2012, à l’occasion d’une exposition dans une carrière de pierres qu’elle trouve son support, sa technique. Après avoir exploré, la toile, le papier, le carton... le minéral du lieu la mène vers des châssis métalliques. "Je cherchais un écho, une résonance… quelque chose à la fois de très « brut » mais aussi de « doux » mais sans être « froid »…"
Le reflet prime sur le motif, l’absence est suggérée par la présence, ce qui n’est pas peint s’inscrit comme une évidence. Dans son travail, Laurence Winter se joue de la figuration et de l’abstraction. Son regard cherche à aller au delà du réel, mais l’œil peut encore se raccrocher à une réalité.
L’œuvre fera cavalier seul avec la complicité des yeux qui sauront la regarder…
L’univers d’alina(lalala) est à son image, drôle et épicé. Sarcastique et provoquant, son travail invite le spectateur à engager une discussion sur la modernité, la perception de la société, ou simplement à sourire. La dualité revient de manière récurrente dans ses œuvres. Cette interdépendance paradoxale, est nécessaire à la compréhension du monde, au développement de notre conscience, la manifestation de nos perceptions.
Ses oeuvres, numériques ou « réelles », peuvent être regardées avec légèreté ou/et profondeur, (dualité quand tu nous tiens), et leur esthétique désordonnée peut être perçue comme un journal intime où nous pouvons voir une partie de nous-mêmes.
Et comme un jeu (d’enfant), comme une histoire (drôle) de plus qui s’ajoute à celle de l’œuvre - comme un héritage ou une transmission - sur chacune de ses créations sa fille vient cacher son prénom : "Lili"...
Vague en vogue.
Formé à l’École Estienne, au département gravure, lithographie, graphisme, Jean Soyer mène dans la première partie de sa vie une carrière de concepteur, illustrateur et directeur artistique. Ce n’est qu’en 1987 qu’il se consacre entièrement à la peinture et cherche à exprimer l’énergie contenue dans toute forme de vie, dans chaque émotion.
Influencé par Nicolas de Staël, pour sa première période, Jean Soyer s’inspire ensuite des maîtres chinois de la calligraphie. La maitrise et la liberté de son geste traduisent le souffle, le lâcher prise. Le couteau est vigoureux, le pinceau apaisé. Tour à tour serein et impétueux, sa peinture expressive provoque un déluge d’émotions. Entre force et douceur, il réconcilie l’ombre et la lumière.
Jean Soyer ne donne aucun titre à ses tableaux pour ne pas enfermer et laisser libre cours à l’ imaginaire.
Je ne donne aucun titre à mes tableaux pour ne pas vous enfermer et laisser libre cours à votre imaginaire.Daniel Tillier
Je ne cherche pas à peindre quelque chose de beau mais quelque chose de juste, en espérant toutefois que ce qui me semble juste devienne beau.
Reçu au concours des Beaux-Arts de Lyon en 1978, Daniel Tillier opte en troisième année pour le département peinture.
Influencé par des artistes Tels que jasper John’s, Yves Klein, Richter, ou encore Bacon, il expose pour la première fois «personnage errant» en 1984.
Pourquoi peindre ? l’artiste répond : On pourrait peut être parler du courage des saumons, et de leur impérieuse nécessité à remonter le courant pour survivre,
Tour à tour figuratif ou abstrait, son travail est une narration philosophique et humaniste des épreuves de la vie, de la dépression, du choix de ne pas renoncer. Faire des malheurs du mondes, une œuvre d’art, Daniel Tillier n’a pas capitulé. « Il existe sûrement un paradis sur terre… À nous de le créer, sinon... »
Graffeur, pochoiriste, peintre, Big Ben a commencé à intervenir il y a 10 ans sur les murs de la ville de Lyon.
Influencé par Blek le rat et Banksy, il réalise des pochoirs, puis peint sur du papier qu’il colle ensuite dans la rue.
Détournement d’actualité, hommage aux artistes qu’il aime, corps amoureux ou dansant et parfois dénonciation politique, économique, écologique, technologique, Big Ben interpelle, fait sourire, cherche le cœur des passants.
Après l’invasion russe en Ukraine il a collé, Place de la Paix à Lyon, un Vladimir Poutine ensanglanté après avoir décapité une colombe.
L’artiste urbain a également réalisé plusieurs grandes fresques à la demande de Musées, d’associations, ou des bailleurs sociaux. Il décline désormais certaines de ses peintures murales sur des panneaux de bois de plus petite dimension.
Mes collages ne changeront pas l’actualité, mais ils permettent de créer du débat et de faire émerger des questions.
Formé par les photographes expérimentaux Claudine et Jean-Pierre Sudre, Blaise Adilon crée son premier atelier photographique et cinématographique en 1981.
Parallèlement à sa quête de la matière et de « l’au delà de l’image», il réalise des documentaires photographiques et cinématographiques traitant de grands évènements d’art contemporain, en France et en Europe.
L’année qu’il passe à Berlin en 19886 marque une révolution formelle de son travail. Il explore les actions du révélateur, la juxtaposition ou la superposition de négatifs et choisit de nouveaux formats.Sa photographie plasticienne, fait dialoguer plusieurs images, sous forme de séries. Cette nouvelle pratique concoure à décaler la photographie vers une expression quasi picturale.
L’image est une surface ambigüe, qui circule entre ses limites et un envers du décor immense qui rencontre mon imaginaire.
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7b, rue Sylvestre, 69100 Villeurbanne +33(0)6.75.54.08.96
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