


Si vous consultez ce catalogue sur mobile, basculez en paysage

Summer Time



La plage de Saint-Médard, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 90 x 90 cm


Avec Summer Time, Didier Terme troque la précision de ses figures léchées pour un geste plus libre, plus direct.
Sur carton, support modeste, il ne cherche plus à représenter, mais à retenir ce qui passe. Les contours se relâchent, la composition s’allège, la lumière devient lancinante. Ce qui compte, c’est la trace.
Il n’est pas question de retranscrire la réalité, mais de convoquer le souvenir. Exercice difficile : se détacher du détail pour ne garder que la forme, l’objet, la couleur — la simplicité des vacances, ce temps que nous imaginons fugace.
Didier Terme peint des moments suspendus, des objets posés là sans y penser, des corps au repos.
Un parasol, une chaise, un ciel saturé de chaleur suffisent à convoquer l’enfance de l’été — celle que le temps n’efface pas.
Il s’agit de retrouver ces moments (drôlement beaux), où tout est calme, plein, lumineux.
La peinture ne raconte pas : elle persiste.
Et ce qu’elle retient, c’est ce que nous croyons anodin.
- Lucie Braconnier

With Summer Time, Didier Terme moves away from the polished precision of his earlier figures and embraces a freer, more spontaneous gesture.
Working on cardboard — a modest material — he no longer tries to depict, but to capture what slips through. Lines soften, compositions lighten, and the light becomes slow and lingering. What matters now is the trace.
It’s not about portraying reality, but about summoning memory. A delicate exercise: letting go of detail to hold on to shape, object, color — the simplicity of summer, that fleeting time we long for.
Didier Terme paints suspended moments, objects left behind without a thought, bodies at rest.
A parasol, a chair, a sky thick with heat are enough to bring back the summers of childhood — the kind time doesn’t erase.
It’s about returning to those strangely beautiful moments when everything is calm, full, and bathed in light.
The painting doesn’t tell a story; it endures. And what it holds onto is what we once thought was unimportant.
- Lucie Braconnier


Hortense, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 90 x 90 cm

BIOGRAPHIE
Didier Terme, né en 1952, est un peintre autodidacte. Après des débuts marqués par le pointillisme, il développe dans les années 1990 une peinture décorative autour de la montagne, avant de se tourner vers une recherche plus intime sur la lumière et la couleur.
En 2008, il abandonne toute autre activité pour se consacrer pleinement à la peinture. Sous le pseudonyme Douda, il explore la transparence du plexiglas.
En 2023, il présente chez Partage une série de griffonnages imprimés sur papier, une forme de pointillisme 2.0, où des baigneuses se révèlent sur papier grâce à des motifs entrelacés.
Avec Summer Time, il revient à la peinture directe. Sur carton, il saisit des instants fugaces : un parasol, une chaise, un ciel saturé. Non pour représenter, mais pour retenir la sensation, garder la trace.
Peindre devient ici une forme de mémoire.
BIOGRAPHY
Didier Terme, born in 1952, is a self-taught painter. After beginnings marked by pointillism, he developed in the 1990s a decorative painting style focused on mountain landscapes, before turning to a more intimate exploration of light and color.
In 2008, he gave up all other professional activity to devote himself fully to painting. Under the pseudonym Douda, he explored the transparency of plexiglass.
In 2023, he exhibited at Partage a series of digital drawings printed on paper — a form of pointillism 2.0 — where bathers emerge through interlaced patterns.
With Summer Time, he returns to direct painting. On cardboard, he captures fleeting moments: a parasol, a chair, a heat-drenched sky. Not to represent, but to retain a sensation, to hold on to a trace. Painting here becomes a form of memory.


Chill and love, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 90 x 90 cm




L'embarcadère, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 40 x 40 cm




fauteuil,


Arrivée plage, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 40 x 40 cm




Baignades, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 40 x 40 cm





Bodyboard, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 40 x 40 cm

Retour de vague, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 40 x 40 cm




Été sans bouger, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 40 x 40 cm



L a balustrade, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 40 x 40 cm

L es deux parasols, acrylique sur carton, acrylic on cardboard, 40 x 40 cm







EXPOSITIONS PERSONNELLES
2025
Summer Time, Galerie Partage, Lyon.
2024
Les Baigneuses, Galerie Partage, Lyon. 2023
Mélies, Saint-Étienne.
Le Loft, Lyon. 2021
Baak, Lyon.
2020
Jane Griffiths, Val d'Isère.
2019
L'Art Demeure, Saint-Étienne.
2018
Promenart, Saint-Martin-en-Ré.
Création 57, Lyon.
L'Art Demeure, Saint-Étienne.
2017
L'Esprit du Cap, le Cap Ferret.
2016
L'Esprit du Cap, le Cap Ferret.
2015
L'Esprit du Cap, le Cap Ferret.
Maison de Village, Argentière.
2014
L'Esprit du Cap, le Cap Ferret.
Aallard, Megève.
Nunc Galerie, Grenoble.
2013
Isabelle Poly Galerie, Saint-Étienne.
Skandy, Méribel.
Catherine Navarro, Megève.
2012
Catherine Navarro, Megève.
Dominique Lemaire, Saint-Étienne.
2011
Office du Tourisme, Méribel.
Office du Tourisme, Méribel.
AAllard, Megève.
2010
Pavillon de la Francophonie, Shangaï.
Galerie Flo, Saint-Tropez.
EXPOSITIONS COLLECTIVES
L'Art Demeure, Saint-Étienne.
Vallat, Courchevel.
Galerie Harmattan, Megève.
Bear Galerie, Uzès.
Flux Libre, Saint-Just-Saint-Rambert.
Galerie Loïs Lucas, Chamonix.
RÉSIDENCES
depuis 2022
Promenart, L'Isle-sur-la-Sorgue.
depuis 2019
Promenart, La Baule.
depuis 2018
Promenart, Saint-Martin-en-Ré.
2017-2023
L'Art Demeure, Saint-Étienne. 2016-2023
Jane Griffiths, Val d'Isère.
depuis 2015
Formes et Utopie, Megève.
2012 à 2014
Lillie Store, Courchevel.
2009 à 2016
Seccotine, Val d'Isère.


Didier Terme peint des moments suspendus, des objets posés là sans y penser, des corps au repos. Un parasol, une chaise, un ciel saturé de chaleur suffisent à convoquer l’enfance de l’été — celle que le temps n’efface pas. Il s’agit de retrouver ces moments (drôlement beaux), où tout est calme, plein, lumineux. La peinture ne raconte pas : elle persiste. Et ce qu’elle retient, c’est ce que nous croyons anodin.Lucie Braconnier
Exercice difficile : se détacher du détail pour ne garder que la forme, l’objet, la couleur — la simplicité des vacances, ce temps que nous imaginons fugace.
Avec Summer Time , Didier Terme troque la précision de ses figures léchées pour un geste plus libre, plus direct. Sur carton, support modeste, il ne cherche plus à représenter, mais à retenir ce qui passe. Les contours se relâchent, la composition s’allège, la lumière devient lancinante. Ce qui compte, c’est la trace. Il n’est pas question de retranscrire la réalité, mais de convoquer le souvenir.

Vernissage en présence de l’artiste le jeudi 19 juin à la galerie - jusqu’au 31 juillet




Exemplaire n° … /100


