Gabon Flash n°2_Janvier 2013

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Gabon Flash

No2

Janvier 2013

La lettre d’information d’Olam Gabon

EDITORIAL ACTUALITES

Nouveaux bureaux Tour de sites Réunion RSE

SUR LE TERRAIN

3 000 ha plantés à Awala CLIP obtenu pour l’hévéa La ZES en images Difficultés chez Olam Timber GFC : début du dragage Lutte contre le SIDA

COTE BUREAUX

Focus sur le département QHSE

NOS PARTENAIRES EN ACTION

Mise en place du logiciel SAGE HRM avec L&S

S’INVESTIR POUR LE GABON

Impacts socio-économiques du projet hévéa

NOUS SOMMES OLAM GABON ! Employés du mois Portrait de Samy Bivegue

L’EQUIPE S’AGRANDIT PHOTOS DU MOIS


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hers collaborateurs et partenaires,

En cette nouvelle année, je tiens à vous adresser mes vœux les plus sincères et à vous souhaiter un grand succès dans tout ce que vous entreprendrez.

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012 a été une année exceptionnelle pour Olam Gabon, jalonnée de réalisations et d’étapes importantes. Notre entreprise a désormais passé le cap des 3 000 employés et elle continue de se développer.

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Ce renforcement considérable des équipes a permis de développer les outils nécessaires pour initier et faire avancer nos projets, comme par exemple : - le lancement de notre pépinière d’hévéa près de Bitam ; - le démarrage de notre pépinière de palmiers à huile près de Mouila ; - les 3 000 hectares de palmiers à huile déjà plantés à Kango ; - les premières constructions d’usines à la Zone Economique Spéciale de Nkok et le démarrage de la préparation du terrain pour l’usine de GFC.

EDITORIAL

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e tiens particulièrement à remercier les équipes pour tout le travail effectué au sein d’Olam Gabon. Elles ont contribué à faire ce que l’entreprise est aujourd’hui. Nous sommes d’ailleurs très optimistes quant à la poursuite de cet élan en 2013, dont les plus grands défis seront : - d’accélérer le développement des filières palmier à huile et hévéa en fonction des coûts budgétés ; - d’achever la phase 1 de la ZES de Nkok ; - de définir et de stabiliser les processus et les politiques de l’entreprise ; - de compléter le processus de recrutement pour notre entreprise en pleine croissance.

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e nombreuses étapes restent à accomplir, et je suis convaincu que nous avons le potentiel d’en réaliser une grande partie en 2013, grâce à nos collaborateurs, mais également à nos partenaires ! Gagan Gupta,

Agenda à venir au premier trimestre 2013

Chiffres clés à fin janvier 2013

Fin de la mission APAVE

3 000

Plan quinquenal de formation

hectares de palmiers à huile plantés à Kango

4 000 hectares préparés à Kango

24 mars : journée contre la Tuberculose partenariat OMS 25 avril : journée contre la Malaria

GABON FLASH - Lettre trimestrielle d’Olam gabon Directeur de la publication : Gaëlle Dupuis - 06 00 52 00 Rédactrice : Lauriane Guillemin - 06 00 51 99 Version électronique disponible sur : www.insuu.com

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hectares d’hévéa plantés à Bitam

3 500 000 de graines de palmiers à huile plantés à Mouila


Actualités L’heure des cartons approche !

Bientôt, les nouveaux bureaux de Libreville, destinés à accueillir la grande famille Olam Gabon vont ouvrir. En effet, le premier bâtiment sera achevé pour février, le second pour avril… lam Gabon s’agrandit très vite : les projets sur nos sites avancent bien souvent à un rythme accéléré, les locaux du siège doivent donc s’adapter à cet accroissement d’activité. Pour cela, un vaste projet immobilier a été conçu pour répondre aux nouveaux besoin de l’entreprise. Deux bâtiments de six étages viendront compléter les bureaux de la galerie Tsika.

bureaux. Le mobilier, moderne et design, vient d’Italie et a été étudié pour répondre aux normes européennes d’ergonomie, de nombreux espaces de réunion, dont trois avec visio-conférence sont prévus ainsi que des salles d’archives et bien sûr un système de sécurité et d’alarme incendie efficace.

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Vue intérieure du premier bâtiment, en cours de finition.

e premier bâtiment, qui ouvrira ses portes en février, hébergera nos services informatique, finances, Palm, Rubber et GFC tandis que le second accueillera la direction générale, les ressources humaines, le juridique et la communication ainsi que la filière Timber.

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Projection des futurs open spaces. Le projet dans sa globalité est dirigé, pour Gabon Advance, par Mohit Agrawal, en partenariat avec Dellarovere pour la décoration intérieure et Remco pour la partie construction.

Nous avons tous hâte de poser nos premiers cartons dans ces nouveaux locaux !

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n plus de l’espace gagné, les employés pourront bénéficier d’une cafeteria, d’une salle de sport, d’une cuisine aménagée à chaque étage, d’un système de climatisation VRV (Volume de Réfrigérant Variable) qui permet d’utiliser de l’air frais – et non recyclé, ou encore de larges baies vitrées laissant entrer la lumière naturelle dans les

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ACTU MONDE Olam combat le SIDA à travers le monde A l’occasion de la journée mondiale contre le SIDA, le groupe Olam et ses partenaires ont multiplié les actions de sensibilisation ou de soins et conseils médicaux auprès de 234 000 personnes à travers toute l’Afrique. Ces actions font partie intégrante d’une démarche développée par Olam depuis cinq ans. Notamment, cette année, 468 000 de dollars US ont été investis par Olam et ses partenaires (comme GIZ, ENgenderHealth, Action Health Incorporated) et 26 événements traitant des questions relatives au SIDA (prévention, traitement ou test) ont pu avoir lieu. 3


Actualités Tour de sites...

Le 11 janvier dernier, Olam Gabon a organisé une journée de visite sur ses sites afin de permettre à ses principales parties prenantes d’observer de leurs propres yeux les progrès accomplis.

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Les ambassadeurs du Japon, d’Allemagne, des Etats-Unis d’Amérique, avec à leurs côtés les représentants du WWF, de l’ANPN, de la FAO, de l’AFD, de la Banque Mondiale, de Bechtel ou encore de l’Ambassade de France ont silloné le pays afin d’évaluer l’état d’avancement des projets d’Olam. L’observation des techniques de conservation et de protection de l’environnement utilisées a beaucoup marqué les esprits, ainsi que la capacité d’Olam à mener de front de si vastes projets. Les équipes sur place ont été ravies d’accueillir ces visiteurs et de les aider à laisser leur empreinte sur site. En effet, chaque invité a pu planter un arbre pour marquer l’occasion.

La délégation avec l’équipe de la plantation d’Awala

La RSE en action

Le 13 décembre dernier, la réunion interne sur la Responsabilité Sociale d’Entreprise a regroupé 18 personnes et a été l’occasion de faire le bilan sur nos diverses actions sociales à travers le pays et d’établir le plan d’action pour l’année à venir. es membres des équipes sociales ont apporté leur contribution aux discussions avec les équipes QHSE et gestion des risques. Leurs objectifs sont de communiquer sur les impacts des projets, de contribuer aux études socio-économiques (plan d’aménagement etc.), d’établir des cartographies participatives des zones utilisées par la population, de sensibiliser les villageois sur la gestion, la réglementation de la chasse et la pêche ou encore sur l’article 251 du code forestier, de mettre en place et d’assurer le suivi de comités de pilotage. De manière générale, les équipes sociales d’Olam Gabon réalisent le suivi des projets sociaux sur lesquels les populaLes équipes sociale, gestion des risques, QHSE en pleine séance de travail, le tions riveraines des sites et l’entreprise se sont engagées. 13 décembre 2012 à Libreville ©Olam

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ette réunion nous a permis de tirer un premier bilan des points forts de nos actions, et des points à améliorer. Parmi ces derniers, il a été identifié que le manque de consultation préalable des équipes sur le terrain, lesquelles font le lien entre les décideurs et les populations, peut avoir pour conséquence une non-adéquation entre les besoins et les actions proposées. Autre point d’amélioration évoqué : à ce jour, les actions sociales n’ont pas été déployées en même temps sur tous les sites, donnant une impression de déséquilibre. Ecoute et coordination seront donc les maîtres mots des objectifs de cette année 2013. Parmi les aspects positifs de nos actions sociales ont été évoqués un apaisement du climat social, une meilleure adhésion des populations à nos projets via une meilleure connaissance ou encore le constat d’une amélioration des conditions de vie dans les villages. 4


Sur le terrain PALM : une avalanche de chiffres ! 1 000 employés pour Mouila !

Awala : 3 000 hectares déjà plantés ! Les activités à la plantation d’Awala ont débuté en septembre 2011. Elle emploie aujourd’hui 950 employés et compte cultiver ©AfrikImage

7 300 ha d’ici à mi-2013...

Juste avant Noel, le site de Mouila a accueilli Francine Pendi Maroundou, sa millième employée ! Rappellons que la pépinière de Mouila couvre aujourd’hui 150 ha et que l’objectif 2013 est de cultiver 10 000 ha de palmier à huile.

Une centaine... C’est le nombre d’employés qui ont assisté samedi 12 janvier à la soirée du nouvel an organisée à Kango pour l’ensemble du personnel. Les traditionnels voeux du directeur ont été l’occasion d’effectuer une opération de sensibilisation au virus du SIDA et à l’importance du port du préservatif grâce à une comédie mise en scène par Achil Chakoula et Marie-Paule Nguema. La soirée s’est achevée sur un dîner joyeux, animé par le groupe MUMBEMBI du village Woubélé qui met en valeur les traditions gabonaises, et en particulier celles de l’un des villages concernés par le projet.

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Célébration du nouvel an entre les employés de la plantation d’Awala

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Sur le terrain De grandes avancées du côté de l’hévéa !

Le trimestre dernier, les équipes du projet hévéa ont reçu d’excellentes nouvelles : Etude d’Impacts Environnementaux et Sociaux validée, CLIP obtenu et premiers arbres plantés...

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ans le Woleu-Ntem, le projet d’hévéaculture d’OLAM Gabon avance dans le respect des étapes requises et dans les délais prévus.

loppement économique de la région. Dans le Woleu-Ntem, ce sont 25 864 hectares qui ont été couverts par le CLIP. 58 personnes, dont le préfet du Ntem, Boniface Founqgues, le préfet du Haut-Ntem, Michel Barry Melkou, ou encore les chefs de villages et de cantons étaient présents.

Les autorités compétentes avaient délivré l’autorisation de commencer la pépinière au printemps dernier, mais dorénavant, c’est l’Etude d’Impacts Sociaux et Environnementaux dans son intégralité qui a été validée pour 28 000 hectares de plantation. Le certificat de conformité a été signé et délivré le 9 novembre 2012 par la Direction générale de l’Environnement.

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Le processus d’obtention du Consentement Libre, Informé et Préalable (CLIP) mène à la signature d’un contrat social qui vise à conclure un accord entre l’en6

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in décembre, un autre accord a été conlu avec le reste des villages concernés par nos activités : Avelemang, Damako, Offos, Akok Mezala, Bikondom, Meyo Essambam I & II, Anama, Azombe, Bilbe Melen, Akokmeka, Zokloumou, Aida, Assok, Ngomane, Mevous 1 et Akoulzok.

--> La construction d’infrastructures : dispensaires, écoles, accès à l’eau potable, éclairage solaire…

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En parallèle, en octobre 2012, un premier contrat social avait été signé pour 4 300 hectares, soit pour le bloc à l’ouest de la rivière Nyé dont les villages concernés sont Okok, Toulouse, Edoum, Nyazang, Woumou, Eong Milang et Ogongon Bilbe Eba.

Le contrat social sur lequel OLAM Gabon et les populations se sont accordées comporte trois volets :

treprise et les communautés locales impactées par le projet de l’entreprise. Ce contrat est l’issue de plusieurs mois de consultation et de négociation entre les parties concernées, assurant aux communautés une garantie quant aux pratiques et à la volonté de l’entreprise de participer au déve-

--> La mise en place d’un programme d’appui aux activités génératrices de revenus, mené par les populations locales --> L’embauche prioritaire des actifs parmi les populations locales, à compétence égales avec d’autres candidats. La construction d’infrastructures, et notamment le forage de puits, la réhabilitation de pompes à eau manuelles et l’installation de lampadaires solaires, a déjà commencé depuis quelques mois, et la priorité d’embauche aux populations locales donnée dès les premiers recrutements sur place. La plantation a, quant à elle, commencé : les premiers arbres ont été plantés fin novembre, sur 30 hectares pour l’instant.


Sur le terrain Difficultés économiques et techniques de l’activité forestière Aujourd’hui, notre activité forestière se trouve affectée par différents éléments : - des forêts à faible densité sur la concession qui nous a été accordée, composé notamment de 40 % d’essence d’Okan dont, pour l’heure, le marché reste inexistant ; - du retard pris dans la construction de la route permettant de sécuriser notre exploitation selon les normes définies par le Ministère de Eaux et Forêts, dû aux pluies incessantes des derniers mois ; - du retard dans l’installation des équipements de modernisation, du fait d’un retard des fournisseurs dans la livraison du matériel.

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’ensemble du personnel, ses délégués ainsi que la direction font leur possible pour que ces difficultés soient passagères et trouvent une issue favorable. Ainsi, depuis plusieurs mois, les membres de l’équipe font des efforts intenses en ce sens et une nouvelle ligne de production, moderne, a été installée.

GFC : le dragage démarre

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La validation de l’Etude d’Impacts Environnementaux et Sociaux pour les 3 premières phases de construction de l’usine d’engrais sur l’Ile Mandji a permis aux équipes sur place de préparer le terrain avant de passer aux étapes suivantes.

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Nouvelle ligne de producion et équipe sur site

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ous avons ainsi pu démarrer la phase 2 en décembre 2012. Un contrat de dragage a été conclu afin d’élever le sol de 3,5 mètres sur 80 à 100 hectares de la zone F de la ZES, nécessaires pour démarrer la construction de l’usine. Deux grandes entreprises spécialisées ont ainsi été sélectionnées : Boskalis et Van Oord vont effectuer les travaux sur le terrain. Le projet devrait prendre 10 mois. Il inclut la mobilisation sur le terrain, l’activité de dragage, les travaux d’amélioration des sols, la mise en place de dispositifs de protection des talus et l’achèvement du projet. Cette opération devrait créer jusqu’à 50 emplois indirects.

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Sur le terrain Olam Timber se mobilise contre le SIDA

Le premier décembre dernier, l’équipe de Makokou a organisé une journée complète d’activités pour servir la lutte contre de virus du SIDA, en partenariat avec la Coordination provinciale de la lutte multi-sectorielle contre le VIH/SIDA et l’ONG Renans JS. Au programme de cette journée sportive : un match de football, un cross et une course auxquels une centaine de personnes ont participé. Un stand d’information a été mis en place et animé par l’équipe QHSE (Qualité, Hygiène, Sécurité, Environnement) d’Olam Timber accompagnée par les infirmières du site. Au cours de cette journée, 2 000 tests HIV ont été effectués, 15 000 préservatifs et 300 T-shirts ont été distribués. Le gouverneur de la province de l’Ogooué-Ivindo, Rufin Moutéssayigoué a, par ailleurs, assisté à l’événement.

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Tournoi de football local, sponsorisé dans le cadre de l’événement

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Equipe Timber

Stand de sensibilisation et d’information sur le virus du SIDA

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Cette opération a été réalisée dans le cadre de notre partenariat avec la Croix Rouge dont l’action essentielle nous permet de former et de sensibiliser. En effet, selon l’association qui développe depuis 2007 un programme au niveau national de lutte contre le VIH-SIDA, le Gabon a une séroprévalence VIH parmi les adultes de 8,2%. 52 000 personnes vivraient actuellement avec le virus, soit 4,5% de la population et 3 000 nouveaux cas sont enregistrés par an. C’est avec le concours financier de l’Agence Française de Développement que le Ministère de la Santé Stand de sensibilisation et d’information sur a confié à la Croix-Rouge française la mission de renforcer et de modé- le virus du SIDA liser le fonctionnement et l’offre de soins de l’ensemble des centres de traitement ambulatoire implantés dans le pays, contribuant à la décentralisation de la prise en charge du VIH dans le pays (source: site de la Croix Rouge française).


Sur le terrain

Nkok

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Entrée de la ZES, rond-point et réservoir d’eau

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Le guichet unique vu du ciel, l’usine de Resurgent Gabon, routes et bureaux, construction de l’usine SOFERGA

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La ZES de en images

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Côté bureaux Santé et sécurité avant tout OLAM Gabon insiste sur la mise en place de la politique du groupe en matière de Qualité, Hygiène, Sécurité & Environnement (QHSE) au travail. Cette politique repose sur des normes internationales et sur la législation gabonaise en matière de santé et sécurité. insi, nous avons instauré les règles de Tolérance Zéro pour prévenir les incidents et accidents sur le lieu du travail. Ce programme 1 – Etre en possession de l’autorisation de travailler sur certains comprend un ensemble de règles sites particuliers et mesures de sécurité à respecter 2 – Utiliser les équipements de protection individuelle adéquats et pour réduire le risque à la source. prévus pour la tâche à effectuer L’ensemble des employés, ainsi 3 – Respecter scrupuleusement le code de la route et la politique que les sous-traitants, doivent s’y interne en matière de lutte contre les accidents de la voie publique conformer et pour les y aider, les 4 – Vérifier l’isolation de l’alimentation électrique avant d’utiliser un responsables QHSE de l’entreprise équipement multiplient les sessions de forma5 – Etre en possession de l’autorisation de désactiver un dispositif tion avec eux, contribuant ainsi à de sécurité important avant de le faire l’amélioration des méthodes et 6 – Etre en possession de l’autorisation d’entrer dans des espaces pratiques quotidiennes au travail. confinés avant de le faire 7 – Se protéger des chutes lors de tâches exécutées en hauteur ’équipe QHSE est dirigée par leDr Pearl Comlan qui est 8 – Ne pas se placer ou stationner sous des charges suspendues spécialiste en médecine du tra9 – Ne pas faire entrer de matériaux inflammables sur une zone vail. Cette équipe est constituée d’opération sans y être autorisé de médecins, ingénieurs QHSE, 10 – Etre en possession de l’autorisation de faire une excavation ou infirmières et ambulanciers qui d’entrer dans une fosse / tranchée ont été affectés dans les diffé11 – Rapporter tous les accidents, incidents et quasi-accidents à rents sites de plantations ou de votre supérieur dans l’heure suivant leur survenue foresterie. Pour les urgences et 12 – Prendre des actions correctives rapides et/ou temporaires pour les actes médicaux nécessitant éviter la récidive et communiquer sur toute information QHSE une réanimation, le Dr Joachim Bekale, médecin réanimateur est disponible. SECURITE ROUTIERE : Ces personnes forment la cheville ouvrière TOUS RESPONSABLE ! de la prévention et de la lutte contre les dangers et les risques au travail. Les accidents, incidents et quasi-accidents sont relevés, enregistrés et analysés sur site. Ils font l’objet d’une surveillance régulière et d’un rapport hebdomadaire. Les maladies et les absences au travail sont aussi des indicateurs enregistrés et évalués. L’équipe QHSE s’implique aussi dans le conseil interpersonnel, les formations, les visites des lieux du travail et les visites d’aptitude. Des cellules de vigilance pour une démarche participative de prévention contre le risque sur le lieu de travail et dans le transport sont créés. De même, avec le développement des sites et l’accroissement du nombre de travailleurs, des Comités de Sécurité et de Santé au Travail sont mis en place.

A

12 REGLES

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Alcool Vitesse

Téléphone Fatigue

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Côté bureaux

Focus QHSE

15 sessions de formations réalisées les 6 derniers mois,

dont zero tolerance, Ebola, Malaria, harcèlement sexuel, cancer du col de l’utérus, temps de travail et blessures, hygiène personnelle et propreté domestique, SIDA, premiers secours conduire en sécurité, formation QHSE...

Temps de formation :

36 260

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heures

Nombre de participants :

photos : sessions à Kango et à Libreville, par Dr Comlan et Parabvir Singh, responsable des formations

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518 employés

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Nos partenaires en action Une référence sur le continent africain Le nouveau logiciel de paie et de gestion des ressources humaines en cours de mise en place chez Olam Gabon est le premier du genre en Afrique, à une telle échelle en tous cas. Retour sur une démarche visionnaire.

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n très peu d’années, Olam passera de 3 000 à 20 000 employés. Un des enjeux cruciaux d’un tel développement est la qualité de la gestion des ressources humaines et du système de paie. Pour répondre à ce besoin, une équipe projet a été nommée avec, à sa tête, Olivier Aveyra. Appuyé par Jacky Rivière, Directeur des Relations Industrielles, Vinod Jha, Directeur des Systèmes d’Information et Vikash Sinha, Directeur des Ressources Humaines, Olivier et son équipe ont conclu un partenariat avec SAGE France et une entreprise locale, L&S, représentant SAGE au Gabon, nous permettant de bénéficier du système le plus moderne

d’Afrique à une telle échelle. « Cette première expérience sur le continent africain en fait un modèle, ce projet est visionnaire », déclare Olivier, très fier du travail accompli.

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’autant plus qu’au lieu des 6 mois requis pour développer un projet d’une telle envergure, moins de 2 ont été nécessaires ici, ceci grâce à l’implication, à l’efficacité, aux compétences et au professionnalisme de notre partenaire local, L&S et de nos équipes dédiées. En effet, à partir de ce mois de janvier, le logiciel SAGE HRM fonctionnera pour l’ensemble d’Olam Gabon, depuis Libreville. Au cours des 3 prochains

mois, l’équipe RH sera au fur et à mesure décentralisée sur site, pour que le système fonctionne à un niveau local. D’ailleurs ce projet pourrait même avoir des répercussions locales indirectes, puisque au niveau des villes et villages autour de nos sites, le besoin d’un système bancaire fiable commence déjà à se faire sentir. C’est ainsi qu’une agence UGB vient tout juste d’ouvrir à Bitam, afin de satisfaire la demande du nombre croissant d’employés Olam. Félicitations donc à toute l’équipe et aux partenaires qui ont rendu possible cette grande première sur le continent !

Grâce à l’intervention de notre Direction Informatique, un système biométrique de pointage ultra moderne a été mis en place, à Libreville et à Kango pour l’instant, puis le sera peu à peu sur les autres sites.

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L&S est une entreprise gabonaise composée d’une trentaine de collaborateurs, qui accompagne les entreprises dans la mise en place de logiciel de gestion depuis 1997. Moussa Kone, son directeur, se déclare « fier d’avoir travaillé avec un si grande référence gérée localement ». Si ce type de logiciel est le produit phare de L&S, il aura tout de même fallu toute l’expertise de l’équipe, renforcée par celle d’Olam, pour venir à bout de ce projet en 2 mois seulement. Mais au-delà de la réussite technique du projet, Moussa Kone retient également l’expérience humaine que fut cette aventure : « nous avons passé deux mois ensemble et avons oeuvrer en symbiose, avec respect et chaleur, tant au niveau de l’équipe projet que de la direction générale ».

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Nos partenaires en action

De gauche à droite, à partie du haut : Olivier Aveyra, Alex Alekat, Dany (L&S), Léon (L&S), Aman (L&S) Diane Lanou, René Mengomé, Théodore Essoumba, Angelot Mouélé, Paul Francis, Amed (L&S), Nestor (l&S), Kensi (L&S), Nadège Bekale, Prescilia Inoungunany, Elisa Nsuré, Jewiti Rigondza En vignettes Vikash Sinah et Vinodanand Jha, également acteurs majeurs du projet

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fin que l’ensemble des équipes RH puissent utiliser ce nouveau logiciel, une formation a été conduite sur trois sessions qui se sont déroulées à Libreville, puisque la base de données y est centralisée. Des membres du personnel RH de tous les sites y ont participé. La première session s’est déroulé sur cinq jours, du 10 au 15 Décembre 2012, et portait sur la formation des Ressources Humaines par SAGE France. Cette première session comprenait différentes étapes : - une journée de formation des techniciens qui établiront les supports et qui assisteront les utilisateurs au quotidien ; - la formation des responsables et gestionnaires de paie sur deux jours ; - une journée de formation et de présentation du logiciel aux managers ; - une journée de paramétrage par SAGE France. La deuxième session, réalisée entre le 17 et le 31 décembre, a permis la validation de la mise en place du logiciel par le processus de la ”double paie”, c’est-à-dire une évaluation du paramétrage de SAGE HRM et l’ancien logiciel de paie, dans le but de comparer le nouveau logiciel avec les calculs de l’ancien. Une fois cette étape validée avec succès, le ”Go Live” permettant de lancer SAGE HRM comme seul logiciel de paie a été accordé. Le ”Go Live” désigne la 3e session de formation, du 23 au 26 janvier 2013. Elle encadre le premier usage exclusif de SAGE HRM pour faire la paie des agents d’OLAM au Gabon. 13


S’investir pour le Gabon Olam dans le Woleu-Ntem : des impacts socio-économiques déjà visibles A Bikondom et à Okok, où la plantation d’hévéa d’Olam se développe, les chefs des regroupements villageois s’accordent sur les effets positifs sur leurs populations respectives, du fait notamment de l’accroissement des échanges commerciaux, suscité par la forte hausse de la masse salariale.

L’arrivée d’Olam a changé de manière positive la donne socioéconomique pour les populations de Bitam et de ses souspréfectures. A présent plus de 1 000 personnes travaillent sur le site, en comptant les soustraitants. « La masse salariale créée du fait de l’implantation d’Olam à Bikondom a engendré une forte demande dans les secteurs de l’immobilier, de la restauration, de la menuiserie et autres petits commerces » explique le Directeur du site, Pascal Mathieu.

Pom Ebane Mba Daniel, le chef de regroupement de Bikondom

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Des hommes et des commerces

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Cette demande est très forte au niveau des logements et les habitants du village n’hésitent pas à louer une chambre ou deux selon la taille de leur maison. C’est par exemle le cas à Okok, un village né en 1952 et qui regroupe 450 personnes. Mbemki Zogo Abraham, chef de regroupement d’Okok déclare à propos des employés : « ils sont logés dans nos maisons, cela nous permet d’avoir un peu plus d’argent. Chaque villageois qui abrite un employé d’Olam peut percevoir en moyenne 10 000 FCFA par mois. Ils viennent des villes avoisinantes, d’Oyem, de Minvoul, de l’Ogooué Ivindo. Certains font venir leurs femmes et enfants ». Cependant, pour l’instant, les autorités locales disent avoir du mal à gérer cette forte croissance démographique et les chefs de regroupement ont demandé le soutien des plus hautes instances décisionnelles de leurs régions pour leur apporter un appui dans la gestion des populations, comme l’a fait Ebane Mba Daniel, chef de regroupement de Bikondom, village constitué d’un peu plus de 800 habitants.

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OLAM fait construire environ 3 000 logements à côté de la plantation pour les employés, dont 300 en 2013. Ci-contre : état des constructions en janvier 2013


S’investir pour le Gabon Des recettes journalières en forte augmentation A gauche des bureaux d’Olam à Bitam, se trouvent Mengue Elvine et ses clients. Sans distinction de genre, ni d’âge et de couleur, ces derniers font la queue pour acheter ses beignets ”bedoume”.

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Mengue Elvine en action devant son stand de gâteau

Elle s’estime privilégiée du fait de sa position stratégique en face du bureau d’Olam : « je gagnais déjà bien ma vie avant l’arrivée d’Olam à Bitam mais je dois avouer que mes ventes on substantiellement augmenter depuis. Avant je pouvais gagner entre 15 000 et 20 000 FCFA par jour mais aujourd’hui mes recettes peuvent atteindre 30 000 FCFA ».

Les conditions de vie s’améliorent

Une pompe à eau manuelle d’Okok dont la réhabilitation a été financée par OLAM Gabon

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Les activités d’Olam à Bitam ont également des répercussions positives sur les conditions de vies des populations locales avec la signature entre l’entreprise, les autorités locales et les populations de contrat sociaux qui sont l’illustration de « l’engagement d’Olam à intégrer et à développer un processus de gestion responsable des ressources naturelles dans la mise en place de sa plantation industrielle dans le Woleu-Ntem » a expliqué Pascal Mathieu, le Directeur du site. A travers ces contrats, les populations vont pouvoir bénéficier du soutien d’Olam pour la mise en place d’infrastructures de base (route, électrification, réhabilitation de dispensaires et d’écoles), de son appui au développement des activités génératrices de revenus et d’une garantie d’embauche prioritaire. Plusieurs villages ont déjà été dotés de lampadaires solaires et leurs pompes hydrauliques ont été réhabilitées. A Okok, les travaux de réhabilitation du dispensaire ont démarré et il sera ravitaillé en médicaments à leur terme. Interrogés sur ces contrats, le chef de regroupement de Bikondom s’est dit enchanté de la réhabilitation par Olam des pompes hydrauliques qui permettent de réduire substantiellement le temps parcouru pour aller chercher de l’eau. « Nous sommes très contents de recevoir ce que Olam nous apporte. Nous voulons le développement de Bikondom », explique Ebiane Mba Daniel. Mbemki Zogo Abraham, chef de regroupement d’Okok s’est, lui aussi, félicité des accords conclus avec Olam et attend avec impatience la poursuite des réhabilitations des pompes à eau manuelles afin de couvrir les besoins de l’ensemble de la population.

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Ils se sont distingués par la qualité de leur travail et leur investissement, et en ont été récompensés en janvier.

Les employés du mois !

Nous sommes Olam Gabon ! Michel NGUEMA, Département informatique, Libreville Michel a une attitude positive et montre une grande implication dans son travail. Il agit avec diligence et répond aux attentes des utilisateurs. Il gère avec efficacité les problèmes informatiques de Nkok et de Libreville et fait tout son possible pour accomplir ses tâches dans les meilleurs délais.

Hugues Arnaud MAGUENA, Ressouces Humaines, Palm Awala Hugues a pris en charge avec succès la gestion RH de 900 employés. Il entretient de bonnes relations avec eux, ainsi qu’avec les autorités locales de l’Inspection du Travail et démontre de grandes aptitudes dans la gestion des conflits.

Christophe Iton, Département administratif, Libreville Christophe a montré implication et dévouement depuis son arrivée chez Olam. Il est disponible à tout moment et prompt à résoudre les problèmes. Il est très motivé et toujours prêt à assumer de nouvelles responsabilités. Il s’assure que les bureaux soient ouverts et prêts avant l’arrivée de tous les agents et vice-versa. Il a une bonne maîtrise de l’anglais et du français, son attitude est appréciée de tous.

Mathew IYPE, Directeur de plantation, Rubber, Bitam Mathew est un très bon manager avec une grande expérience professionnelle. Il est toujours prêt à partager ses connaissances dans le domaine de l’hévéa. Il est très proche des agents, a beaucoup de respect pour eux. Sa forte détermination à affronter de nouveaux challenges les encourage d’ailleurs à se dépasser.

Michel ONDO ZUKUE, Chef de Plantation, Palm Mouila Il a planté 3,3 millions de plants, a apporté son aide dans l’ouverture des routes et le nettoyage des terres. Michel est très travailleur et supporte la pression au travail. Il est toujours prêt à partager ses idées pour l’amélioration des conditions de travail. Michel a une vision à long terme et ambitionne de devenir Directeur de plantation chez Olam.

Pour recevoir la lettre d’information d’Olam Gabon par voie électronique, ou pour tout renseignement sur la société, merci de nous écrire à l’adresse suivante : gaboncoms@olamnet.com 16


Nous sommes Olam Gabon ! Responsabilité, conformité et respect... les atouts de Samy Biveghe Ingénieur QHSE, Serge Samy Biveghe travaille chez Olam depuis sept mois et est basé à Bitam. Il est en charge de la qualité, de l’hygiène, de la sécurité et de l’environnement pour le projet hévéa. Rencontre avec un employé qui ne fait pas un pas sans se soucier de la conformité et le respect des normes. En quoi consiste le travail d’un ingénieur QHSE ? Respecter les normes Ce métier reste encore méconnu au de sécurité relève de la Gabon, à part dans l’industrie du péresponsabilité de tous trole. Du point de vue de la qualité, les employés, car il y va sur le site de Batouri et par rapport aux constructions qui se font, nous de l’image de marque veillons à ce que nos prestataires de l’entreprise. contractuels respectent les standards d’Olam. Par exemple, pour ceux qui travaillent sur la pépinière, notre rôle est de nous assurer qu’ils ont respecté les standards, c’est à dire la profondeur des jauges, le remplissage des sacs, les mélanges d’engrais... Nous formons également le personnel sur les thématiques liées à la qualité. La formation est un élément essentiel de notre travail qui concerne les gestes quotidiens des employés.

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Quels types de formations organisez-vous pour le personnel ? Nous avons déjà réalisé des formations pour les conducteurs d’engins, mais nous allons en organiser d’autres qui seront certifiées par des bureaux d’études et sanctionnées par des certificats d’aptitudes de conduites d’engin. Le risque dans ce type de métiers est principalement le manque de vigilance et nous mettons en place des procédures de sécurité pour y pallier. Nous faisons également des formations pour les employés qui manipulent des produits dangereux, comme des produits chimiques. Cette catégorie du personnel doit être informée de la toxicité de chaque produit. Nous avons donc l’obligation non seulement de former, d’informer mais aussi de donner des équipements de protection. Ainsi, lorsqu’il s’agit d’effectuer des mélanges, il faut nécessairement avoir des masques respiratoires, des gants, un mixeur pour ne pas le faire avec les mains. La formation sur les produits chimiques rentre dans le cadre de la problématique de la santé au travail. La sécurité et la santé au travail vont de paire. Nous avons un médecin d’entreprise qui vient nous consulter trois fois par semaine et nous avons déjà reçu une partie des médicaments qui sont destinés à l’infirmerie. Nous avons fait un bilan de santé auprès de tout le personnel. Que considérez-vous comme votre plus grande réussite ? L’organisation de la Journée contre le SIDA, à Okok. C’était la première fois que les villageois voyaient des gens entrer dans leur cuisine pour parler de SIDA. Ils se rendent compte qu’Olam est une entreprise soucieuse de la santé de ses employés, de leur famille, des habitants des villages. Et par rapport à mon travail, il y a beaucoup de choses que j’ai initié et qui sont déjà appliquées telle que l’organisation du transport, les limitations de vitesse. A ce sujet, malgré encore quelques accidents, les chauffeurs essaient de suivre nos recommandations. 17


Nous sommes Olam Gabon !

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Quels sont les grands défis que vous rencontrez dans l’exercice de votre travail ? Olam est une entreprise responsable, nous avons le souci de protéger l’environnement mais aussi la santé de notre personnel et de veiller à leur sécurité au travail. Mais nous sommes confrontés aux difficultés extérieures, comme par exemple la problématique du traitement des déchets au niveau de la province du Woleu Ntem, que ce soient les déchets industriels, les déchets organiques, biodégradables. Face à ce genre de défis, Olam essaye de trouver des solutions pour que nous soyons en conformité. En effet, le non-respect des normes peut avoir de graves conséquences. Nous devons donc assurer une gestion pointue de nos produits dangereux et veiller à ce que les déchets ne soient pas répandus dans la nature. Nous avons ainsi mis en place une fosse pour les déchets organiques. Pour les déchets industriels nous devons les sortir du site pour l’instant, en attendant que le bassin de rétention soit construit. Nous conduisons des audits internes pour voir à quel niveau nous nous trouvons. Par la suite nous ferons appel à un auditeur externe en vue de la certification. Prenons par exemple de la gestion des déchets, quand les auditeurs arrivent, ils nous demandent la traçabilité des déchets, et nous devons alors leurs présenter les bordereaux de suivi. Si nous avons un sous-traitant qui récupère nos déchets, nous ne devons pas nous limiter à lui remettre nos déchets. Nous devons nous assurer de l’issue finale réservée à ces déchets. Comment vous assurez-vous que la communication est effective au sein des équipes ? Notre travail est un travail de sensibilisation, de prévention pour mettre en place des garde-fous. Avant le début des activités sur le terrain, je m’organise pour sélectionner des agents parmi les différentes équipes pour véhiculer certains messages sur le respect de l’environnement. Il m’arrive aussi d’organiser des séances sur la vigilance collective afin que chacun veille à la sécurité de son propre collègue. Comment est perçu votre travail d’ingénieur QESH ? Je fais face à certaines difficultés. Notamment parce que faire de la sécurité vous amène à faire de la discipline. Je représente celui qui joue au gendarme. Le fait de dire à un employé qu’il est interdit de se promener dans un périmètre donné ou de prodiguer des conseils qui changent les habitudes n’est pas toujours le bienvenu. Certains me perçoivent comme un ”empêcheur de tourner en rond” et ne se rendent pas compte qu’il en va de leur propre sécurité et santé. Il est cependant gratifiant de voir les choses évoluer et les progrès s’accomplir au fur et à mesure de la mise en oeuvre de nos actions.

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L’équipe s’agrandit

Bienvenue !

Au cours des mois de décembre et janvier, 10 collaborateurs ont rejoint les équipes fonctionnelles et opérationnelles. Nilatpal CHAKRABARTY

Mav BADINGA-MOUANDA

Responsable Financier, GSEZ

Gestionnaire Administratif, GSEZ

Théodore ESSOUMBA

Venu GOPAL

Assistant du Responsable IT, Libreville

Ingénieur civil , GSEZ

Daniel MANIHURUK

Budi Heri WIBOWO

Contrôleur de gestion, Palm

Gestionnaire Financier, Palm

Salvador CAMINS

Kumar MOHAN

Responsable régional des plantations, Palm, Mouila

Responsable financier, Palm, Mouila

Fabrice EKOMIE

Gestionnaire Administratif, Palm, Mouila

Paul KOONA

Responsable RSPO/EI, Palm, Mouila

FELICITATIONS

à Walyde NGUEMA EMANE et à Olivier DESMET pour la naissance de leurs enfants respectifs !

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Photos du mois

Nos actions en images...

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Autour de la plantation d’hévéa d’Olam, actions sociales et nouvelles infrastructures commencent à bénéficier aux populations : allée de lampadaires solaires, pompes à eau, réhabilitation de dispensaires, logements pour les employés... comme illustré ci-contre.

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