Mag habitat_printemps 2025_bd by Groupe Nord Littoral

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L’ARRIÈRE-CUISINE

EXTÉRIEUR PANNEAUX SOLAIRES REVIENT SUR LE DEVANT DE LA SCÈNE

QUEL BOIS

POUR MA TERRASSE ? MAXIMISER LEUR RENDEMENT

Supplément gratuit

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Ne pas jeter sur la voie publique.

Directeur de la publication : Éric Lepers

Conception : Groupe Nord Littoral

Rédaction : Libre Service Presse et Groupe Nord Littoral

Impression : SIB à Boulogne-sur-Mer Papier 65 g / m² brillant PEFC

Papier couverture 115 g / m² couché brillant

Régie publicitaire

IDS Régie publicitaire 06 82 31 14 88, bserbourdin@idsregie.fr

C’EST L’HEURE DE S’ACTIVER POUR PROFITER DE L’ÉTÉ

Avec le retour des beaux jours, tout nous pousse à passer du temps dehors pour profiter des délices du printemps. Les aménagements et les équipements extérieurs permettent de savourer de bons moments sous le soleil ou les étoiles. Terrasse et pergola vous offrent de nouvelles perspectives de passer agréablement du temps dehors. Le printemps donne le top départ à celles et ceux qui ont la chance de posséder un jardin pour choisir soigneusement quelles plantations faire pour l’embellir ou cultiver ses propres fruits et légumes. Si la météo est belle, on peut quand même redonner des couleurs à l’intérieur de son logement et découvrir les dernières tendances déco. Carnet d’adresses des pros de l’immo, conseils déco et bons plans font de ce « MAG Habitat » le compagnon idéal pour vos projets.

NOUVEAU

SUR L’AUDOMAROIS

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Réalisations, demande de devis et rendez-vous sur : 62219

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Réalisations, demande de devis et rendez-vous sur : www.facades-et-toitures.com

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Retrouvez l’ensemble des suppléments du groupe Nord Littoral

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AGENCEMENT

On mise sur le verre

AMÉNAGEMENT

La porte à galandage

SALLE DE BAINS

Mode d’emploi pour sa rénovation

MA PRIME RÉNOV’ Évolution en 2025

TENDANCE

Zoom sur la pergola bioclimatique

INSOLITE

Une yourte dans le jardin

On mise sur le verre

pour faire entrer la lumière

Sous forme de cloison ou de porte, le verre donne un cachet indéniable à votre intérieur qui passe alors de l’ombre… à la lumière.

La maison est un espace où l’on a besoin de se sentir bien et la lumière naturelle fait partie des principaux facteurs qui favorisent le bien-être dans les habitats.

Des cloisons en verre installées à des endroits stratégiques dans votre maison peuvent vous permettre de délimiter des espaces existants ou d’en créer, tout en préservant ou en renforçant la luminosité naturelle.

Le premier avantage du verre et qu’il s’intègre à tous les espaces : chambre, cuisine, salon, en passant par la salle de bains. La verrière fait entrer la lumière dans les pièces aveugles. Elle a aussi l’avantage d’ouvrir les perspectives au sein des petits espaces.

Esthétique et originale, la verrière est aujourd’hui bien plus qu’une tendance. Adossée aux bâtis d’antan, délimitant des pièces, cette solution de cloisonnement apporte du charme à tous les intérieurs, anciens ou contemporains.

Une installation fiable

La pose d’une cheminée à foyer fermé ne s’improvise pas ! Si vous souhaitez en placer une dans votre habitation, ne négligez pas votre sécurité et celle de votre entourage et faites appel à un spécialiste, qui procédera à une installation techniquement conforme : conduit estampillé NF, distance de sécurité, etc. Cela vous évitera bien des problèmes plus tard.

Un matériau ajustable et abordable

Le verre est un matériau résistant et que l’on peut personnaliser avec des couleurs, des formes, de la brillance et des degrés de transparence divers. Son épaisseur peut également varier de très mince (de l’ordre de 2 mm) à très épais (jusqu’à 25 mm). Quant à ses dimensions, elles sont ajustables, aussi bien en petits formats de carreaux qu’en grandes dimensions. Pour coller à tous les budgets, la verrière se décline en divers matériaux : le traditionnel acier pour un univers moderne et industriel, l’aluminium, ou le bois pour un look plus rustique. Et elle est personnalisable à l’envi. On peut notamment définir sa hauteur (mi-hauteur ou du sol au plafond), sa largeur, le nombre et le type de vitrages (vitrage phonique et feuilleté pour plus de sécurité, double ou triple pour une bonne isolation), lui ajouter un soubassement, la vouloir coulissante ; avec une ouverture. Choisir ses finitions : peinture laquée ou métallisée, effet brossé, ciré ou rouillé.

Autre avantage, elle est facile à poser très accessible aux bricoleurs amateurs. Il existe en effet des verrières en kit « prêtes à poser » dont il suffit d’assembler les vitrages. Ces modèles peuvent compter jusqu’à 6 modules sur 2 mètres de large.

© Lapeyre

Mais si vous souhaitez une composition du sol au plafond, optez pour une verrière sur-mesure. Ce système vous permettra de réaliser des cloisons vitrées, semi-vitrées, avec portes ou impostes.

Le retour des briques de verre

Très en lien avec l’architecture industrielle du début du XXe siècle, les briques de verre ont connu leurs heures de gloire auprès des architectes en bâtiment dans les années 1970, qu’elles ont sensiblement marqué. Les briques de verre bénéficient aujourd’hui d’un retour en grâce par l’action des designers haut de gamme.

Brevetées en 1886 par l’architecte suisse Gustave Falconnier, les briques de pavage sont des blocs de verre moulés qui ont un intérieur creux. Cette combinaison unique rend le matériau translucide et destiné à filtrer la lumière naturelle de manière douce et uniforme. Les murs en briques de verre ont une haute perméabilité à la lumière qui peut monter jusqu’à 79% dans le cas des briques transparentes. Elles sont fabriquées en différentes tailles standards. Pour le montage, il s’agit de les assembler les unes sur les autres, de la même manière qu’un mur de briques est assemblé et fixé, par exemple, avec du mortier et des tiges d’acier d’armature.

Aujourd’hui, les briques de verre sont à nouveau en vogue car elles allient fonctionnalité et esthétique. Leur coût, relativement bas, fait qu’elles sont (re)devenues une solution très prisée. Les récents progrès dans le domaine de la construction les ont également rendues encore plus efficaces sur

SAINT-MARTIN-LEZ-TATINGHEM

OPPORTUNITÉ !

le plan thermique. Les fabricants ont développé plusieurs types de briques de verre avec différentes densités d’isolation thermique, isolation acoustique, résistance au feu, etc. Bien qu’ils soient toujours translucides, ces blocs de verre peuvent adopter des nuances de couleur qui ont une influence sur la tonalité de la pièce. La couleur est obtenue en colorant directement le verre. Vous pouvez aussi trouver d’autres finitions sur le marché, des textures ondulées, avec des bulles, formant des motifs géométriques… Elles n’affectent pas la résistance du bloc, mais peuvent modifier ses caractéristiques translucides.

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Cuisine :

les poignées s’effacent

Toujours plus minimalistes et ergonomiques, les cuisines se débarrassent du superflu pour ne conserver que l’essentiel. La dernière tendance ? Les placards sans poignées pour gagner en confort et en esthétisme.

iStock / City Presse

La tendance des cuisines ouvertes à l’américaine a permis aux fabricants de revoir totalement le design de ces dernières. Puisqu’elles sont désormais décloisonnées et intégrées au salon ou à d’autres pièces de la maison, il a fallu épurer leur style tout en conservant le côté pratique et ergonomique.

Dans cette optique, les cuisines sans poignées sont désormais légion. Les portes de placards se dénudent et se font plus discrètes tout en restant très fonctionnelles.

Pour un design totalement épuré

Ouverte sur le séjour ou la salle à manger, la cuisine est désormais une pièce à vivre multifonctions, où les frontières entre les différents espaces se floutent. Pour accompagner cette modernité, les placards de rangement se font sobres et les poignées s’effacent. Résultat, le mobilier est en parfaite harmonie avec le reste de la décoration pour un ensemble cohérent et épuré.

Ces cuisines nouvelle génération apportent une touche de fraîcheur à nos intérieurs. Dotés d’un système poussoir ou d’une ouverture électrique, ces placards sans poignées permettent de ne pas encombrer le design de la cuisine et d’afficher des lignes pures. Un style minimaliste qui accompagne des surfaces lisses et se débarrasse du superflu.

Un système ergonomique

Outre ses atouts esthétiques, la cuisine sans poignées a aussi des qualités ergonomiques. En simplifiant l’ouverture et la fermeture du mobilier, elle apporte un confort optimal et un gain de temps appréciable pour ceux qui passent de nombreuses heures derrière les fourneaux. C’est aussi beaucoup plus hygiénique.

Pour actionner l’ouverture des placards, il existe deux systèmes : un « push-pull » qui s’actionne d’une simple pression

/ City Presse

sur la porte. Il s’agit d’un mécanisme invisible, inséré directement dans les tiroirs ou les armoires. Seul bémol : ici, les façades du mobilier seront particulièrement sensibles aux traces de doigts et nécessiteront un nettoyage régulier. Second système : l’ouverture électrique qui consiste à installer à l’intérieur du meuble un bras électrifié qui ouvre la porte à votre place. Une option très utile et pratique lorsqu’on a les mains prises ! Dans tous les cas, avant de vous lancer dans l’achat de ce type de mobilier, pensez à vérifier que la configuration de votre cuisine dispose d’assez de place…

L’arrière - cuisine revient

sur le devant de la scène

Cellier, garde-manger ou encore arrière-cuisine, qu’importe son appellation, cet espace est un allié de poids pour organiser commodément votre cuisine et éviter que les placards ne débordent ! Zoom sur un aménagement au top.

© Leroy Merlin

Les cuisines ouvertes séduisent de nombreuses familles grâce à leur aspect convivial obtenu en décloisonnant l’espace vers les pièces de vie. Sauf qu’en perdant des murs, on perd aussi des possibilités de rangement… Or, dans une telle configuration, il est d’autant plus important de conserver un plan de travail dégagé. Pour éviter de surcharger les placards, le cellier est alors un atout précieux !

Le retour d’un grand classique

Le garde-manger n’a rien d’une nouveauté. Bien au contraire, c’est une pièce typique de l’habitat depuis des siècles dans de nombreuses cultures. Son principe est simple mais d’une efficacité redoutable : garder à l’abri de la lumière, de la chaleur et des nuisibles toutes les denrées alimentaires pour les conserver le plus longtemps possible. C’est également un très bon moyen de stocker beaucoup de nourriture lorsqu’on est un habitué des grandes tablées festives. De nos jours, cet espace est idéal pour ranger les conserves, l’épicerie sèche, les softs divers mais aussi pourquoi pas une cave à vin, un congélateur et plus largement les réserves de produits non alimentaires pour la maison. Tout dépend de la place disponible et de vos besoins.

Réinvention moderne

Vous n’avez pas de pièce dédiée qui puisse accueillir votre cellier ? Pas de panique ! De nombreux aménagements malins permettent d’organiser un garde-manger dans un mini-

mum d’espace. La bonne idée peut être d’isoler une partie de votre cuisine en ajoutant une jolie porte coulissante derrière laquelle vous rangerez vos stocks.

C’est un moyen simple et efficace de transformer un recoin inutilisé ou même un pan de mur complet en véritable arrière-cuisine à moindre coût ! Cette solution fonctionne d’ailleurs quelle que soit la profondeur disponible, qu’il s’agisse de dissimuler un grand cellier en U ou un réduit étroit ou encore de simples étagères ouvertes. Les plus audacieux pourront même miser sur une cloison en verrière au look industriel pour mettre en valeur cet espace plutôt que de le tenir à l’abri des regards !

Si votre cuisine ne se prête pas à ce type d’agencement, vous pouvez également chercher de la place ailleurs, en veillant toutefois à rester à proximité de cette pièce pour des raisons pratiques. Il est ainsi possible de créer un garde-manger dans un cagibi, de l’aménager en utilisant la place disponible sous l’escalier ou encore de transformer un grand placard pour qu’il soit très fonctionnel.

Des rangements optimisés

Mais attention, que votre cellier soit petit ou grand, le désordre est son pire ennemi ! En effet, si cette réserve peutêtre un véritable atout au quotidien pour gérer les provisions de la maisonnée, elle peut tout aussi bien devenir une source d’immense gâchis alimentaire si elle n’est pas correctement pensée et utilisée.

© iStock / City

Presse

Pour ce faire, on mise donc sur de nombreuses étagères sur lesquelles on placera de jolis bocaux en verre soigneusement étiquetés pour tous les produits d’épicerie sèche (type pâtes, riz, farine, etc.) ou encore pour les stocks d’épices et de biscuits divers. Des paniers en osier peuvent aussi être utiles pour ranger tout ce qui a tendance à s’éparpiller et à prendre la poussière.

Chaque emplacement de produit doit également être choisi judicieusement : les consommables lourds, comme les pommes de terre, dans de gros paniers sur les étagères du bas, le vrac à portée de main à hauteur d’adulte, le petit électroménager qui ne sert qu’une fois par an tout en haut, etc. N’hésitez pas non plus à organiser votre rangement par zones, en séparant les aliments selon vos usages plus ou moins fréquents. Enfin, soignez l’éclairage pour que tout soit facilement identifiable. De cette façon, non seulement votre garde-manger sera optimisé, mais en plus il sera stylé !

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La porte à galandage,

l’astuce gain de place

Avec une pléthore de modèles et de possibilités esthétiques, la porte à galandage fait partie de ces ouvertures futées qui s’adaptent à toutes les contraintes et toutes les configurations.

Déjà utilisée au premier siècle de notre ère, dans les maisons romaines, la porte à galandage a cette merveilleuse capacité de se fondre dans le décor et de proposer des idées d’aménagement multiples. Appréciée pour sa praticité et son esthétisme toujours personnalisable, cette cloison coulissante permet non seulement de fluidifier la circulation entre les pièces mais aussi de gagner de la place. Bref, c’est une solution pleine de re sources !

Gagner de la place et cloisonner les espaces

La porte à galandage est une porte coulissante dont les battants disparaissent à l’intérieur des cloisons. Elle a donc pour particularité de devenir « invisible » lorsqu’elle est ouverte puisqu’on ne voit ni la poignée ni l’encoche servant à l’ouvrir. Mais c’est avant tout une astuce pour gagner de la place dans les espaces restreints.

En effet, contrairement aux portes battantes ou classiques, la porte à galandage ne nécessite pas de dégagement pour pouvoir l’ouvrir entièrement. Cela permet d’exploiter au maximum les petites pièces, de donner une impression d’espace épuré et d’optimiser la circulation. De même, cette cloison coulissante est tout aussi utile pour créer une pièce dans une autre, comme une buanderie dans la cuisine ou encore une salle de bains ou un dressing dans une chambre. Ce système permet de moduler l’espace et de séparer en douceur de lieux de vie différents.

La porte à galandage a également un autre avantage non

négligeable : les formes, motifs et matériaux sont très diversifiés, s’adaptant ainsi à tous les styles de décoration. On trouve désormais dans les catalogues des fabricants des portes en panneau alvéolaire, en MDF laqué ou en bois massif, avec des vitres simples ou décoratives etc.

Certains modèles sont aussi automatiques, à ouverture simultanée (pour ouvrir les deux vantaux d’une seule main) ou encore équipés d’un détecteur de mouvements. On l’aura compris, avec la porte à galandage, les possibilités sont presque infinies…

Arnaud LEFEBVRE

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Shutterstock / City Presse

Des contraintes techniques

Bien qu’astucieuse, la porte à galandage nécessite des travaux importants car son installation suppose un système de cloison double peau : la porte doit en effet s’escamoter à l’intérieur de la cloison, dans un châssis métallique, et plus précisément dans la zone de refoulement située derrière le mur.

Le coulissement de la porte, lui, est possible grâce à un rail fixé en partie haute, et souvent par un guide en partie basse qui permet d’éviter le déraillement des cloisons. Pour l’ouverture et la fermeture de la cloison, un stoppeur (une petite pièce métallique), qui bloque la porte, doit également être fixé. Vous l’aurez compris, l’installation d’une porte à galandage est complexe et n’a rien d’une partie de plaisir. Mieux vaut donc faire appel à un professionnel pour garantir une pose parfaite et un coulissement fluide.

Pour quel coût ?

Le tarif dépend avant tout du matériau dans lequel la porte à galandage est conçue. Comptez entre 200 et 800 € pour une porte en bois et tout son système de fixation et davantage si vous optez pour un verre dépoli ou un modèle bi-matière. Il faudra ensuite ajouter le prix de la pose.

Mode d’emploi,

pour bien rénover sa salle de bains

Vous allez rénover votre salle de bains ? Pensez à bien planifier vos travaux et à ne pas lésiner sur la qualité des matériaux pour que votre salle de bains soit aussi esthétique que parfaitement fonctionnelle.

Pour les sols, la pose d’un carrelage anti-dérapant reste l’idéal mais il existe d’autres alternatives : des revêtements de sol en PVC et aussi des essences de bois imputrescibles. Dans tous les cas, assurez-vous que le matériau choix soit bien étanche, antidérapant et ne lésinez pas sur la qualité des produits.

Des rangements pratiques

Concernant l’agencement des meubles, veillez à bien calculer les dimensions pour qu’ils s’adaptent parfaitement à l’espace qui leur est réservé dans la salle de bains. Posés, ils ne doivent pas entraver une bonne circulation dans la pièce. Pensez également à vous équiper de suffisamment de rangements ouverts et aussi fermés, pour les produits qui ré-

sistent moins bien à l’humidité. N’oubliez pas d’installer une VMC pour une bonne ventilation dans la pièce.

Douche ou baignoire ?

Le choix de la douche doit être adapté à la configuration de la salle d’eau et de la place disponible. Pour une douche ouverte par exemple qui peut être une bonne solution pour les personnes à mobilité réduite, il faudra veiller bien évidemment à ce que le sol de votre salle de bain soit bien étanche et prévoir une pente d’au moins 1% vers la bonde d’évacuation. Pour ceux qui ne sont pas prêts à renoncer à leur baignoire, le combiné baignoire douche sera le dispositif idéal. Un mur de briques en verre peut former la cloison idéale pour séparer un coin douche du reste de la salle de bains.

Ce matériau résistant et design offre l’avantage de laisser passer la lumière tout en préservant l’intimité. Vous pouvez le monter vous-même, c’est relativement facile. ça se construit comme un mur de briques, et c’est un matériau peu onéreux.

Un professionnel pour plus de sûreté

Vous pouvez bien-sûr rénover votre salle de bains vous même mais pour votre sécurité, il vaut mieux faire appel à des professionnels en ce qui concerne les travaux d’électricité et la plomberie qui demandent des normes très précises et dont aucun détail ne doit être laissé au hasard.

Pour le choix du plombier, n’hésitez pas à miser sur le bouche à oreille pour trouver le bon. Vérifiez qu’il a les certifications Qualibat et RGE principalement et surtout une assurance professionnelle et une garantie décennale.

N’oubliez pas que le devis est obligatoire à partir de 150 euros et qu’il doit comprendre le coût des matériaux, le coût de la main d’oeuvre et la durée de la garantie.

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Du mobilier contemporain

dans l’air du temps

Si la maison s’impose désormais comme un véritable refuge de bien-être, les designers ont bien compris que le mobilier contemporain devait avant tout apporter du confort et de la fonctionnalité.

Portée par le désir de douceur, de confort et par la nécessité de s’adapter aux évolutions des besoins de toute la famille, la maison se métamorphose en un cocon où chaque élément est pensé pour être utile et conforme aux attentes de ses occupants. Les tendances mobilier du moment répondent ainsi exactement à ces envies en proposant d’abord des assises grand format, molletonnées et tout en rondeurs, mais aussi des meubles deux en un dont le maître mot est la fonctionnalité, ainsi que du mobilier tubulaire tout en finesse pour des lignes très contemporaines. Focus sur les tendances qui vont meubler votre home sweet home….

De la rondeur pour les assises

Le besoin de confort se fait ressentir dans la maison et cela se traduit par un mobilier ergonomique mais surtout douillet. Impossible de passer à côté des canapés et fauteuils aux courbes arrondies et aux matières douces comme le velours. Le design contemporain mise sur les volumes et le bien-être pour se lover dans un pouf XXL ou s’abandonner dans un fauteuil en corolle très enveloppant. Les têtes deviennent réglables, les accoudoirs et les rebords se développent et les dossiers s’élargissent pour contraster avec l’assise. Bref, les assises se transforment en accessoires de bien-être absolu pour se détendre et buller après une harassante journée !

Modularité et fonctionnalité

Pour meubler les petits espaces ou optimiser au maximum les mètres carrés, les meubles se composent et se décomposent à l’infini. Le mobilier modulaire a en effet la cote pour s’adapter à toutes les habitations et tous les besoins. Le premier concerné par cette tendance, c’est bien évidemment le canapé : il évolue au fil de la journée et selon les moments grâce à des modules que l’on déplace à sa guise. Ils s’imbriquent pour former des grandes assises ou plusieurs petits fauteuils indépendants. La bibliothèque aussi s’articule de mille façons : les modèles modulables permettent de jouer sur la hauteur, la largeur et la profondeur des éléments tout en optant pour des parties fermées ou ouvertes. Un peu comme le jeu Tetris, on s’amuse à emboîter les blocs et à tester des assemblages différents. Mais pour gagner de la place et éviter le superflu, le mobilier contemporain multiplie également les fonctionnalités. On intègre des tables d’appoint au canapé, on privilégie les tables basses gigognes et certains meubles deviennent des éléments « à habiter ». Il s’agit tout simplement de meubles tout en un, capables de proposer plusieurs solutions en un seul bloc. Ainsi, une simple cloison se transforme tantôt en bureau, tantôt en lit. Les placards dissimulent l’électroménager de la maison, la télévision ou encore une petite bibliothèque.

Quant aux lits escamotables, ils cachent un secrétaire, une banquette ou une table à manger. Bref, ce sont des meubles « pochettes-surprises » qui permettent d’encombrer l’espace le moins possible.

Le tubulaire, c’est dans l’air !

Enfin, le mobilier tubulaire fait son grand retour ! Né à la fin des années 1920 sous la houlette de Marcel Breuer, il s’impose comme une véritable révolution design. Comme son nom l’indique, il inclut dans sa structure des tubes en métal (généralement de l’acier), un procédé révolutionnaire pour l’époque. Certains grands designers en font leur marque de fabrique, à l’instar de Le Corbusier, Charlotte Perriand et Pierre Jeanneret qui créent toute une série d’assises (LC1, LC2, LC3 et LC4) avec des structures en acier chromé brillant ou laqué noir mat.

Loin d’être démodé, le tubulaire fait un retour remarqué dans les collections actuelles. Il apporte une touche vintage et à la fois intemporelle aux décorations les plus léchées. On retrouve ces tubes en métal sur le cadre de lit, sur le piétement d’un bureau en bois, sur la table basse du salon, le meuble TV et, bien sûr, sur les pieds des fauteuils et des canapés.

Le lundi : 10h30 - 12h / 13h30 - 17h

Du mardi au vendredi : : 9h - 12h / 13h30 - 17h

Pourquoi le mobilier évolutif

a tout pour plaire ?

Gagner de la place, économiser sur le long terme et protéger la planète : le mobilier évolutif a tout pour plaire. Adapté aux besoins changeants, il allie praticité, durabilité et intelligence pour simplifier la vie, notamment avec les enfants !

Aujourd’hui, la tendance est à l’efficacité ! Découvrez pourquoi le mobilier évolutif fait l’unanimité (et nous fait craquer), surtout pour nos bouts de chou !

1. Adaptabilité, fonctionnalité, praticité

Le mobilier évolutif s’adapte aux besoins évolutifs, que ce soit pour un enfant qui grandit ou pour des espaces multifonctionnels.

En effet, il regroupe plusieurs usages dans un seul meuble, réduisant ainsi l’encombrement de la pièce grâce à ses fonctionnalités modulables.

2. Économie à long terme

Le mobilier évolutif est conçu pour grandir avec l’utilisateur. Il n’est donc pas nécessaire de racheter régulièrement des meubles adaptés aux différentes étapes de la vie d’un enfant, par exemple. Il est donc rentable à long terme. Votre portefeuille vous remerciera.

3. Durabilité et écologie

Le mobilier évolutif est conçu pour durer dans le temps puisqu’il doit « grandir » avec l’enfant. Les matériaux sont donc, souvent, de qualité.

Opter pour ce type de meuble permet également de réduire ses déchets. Là, c’est notre planète qui vous remerciera !

Un exemple concret

Coup de cœur pour ce lit combiné proposé par l’entreprise nordiste La Redoute, ancrée à Roubaix depuis 1837.

Un lit qui suivra votre petit jusqu’à l’enfance.

Les premiers mois, bébé pourra dormir dans ce lit de style « landau » et se faire changer grâce la table à langer tout à côté, qui est parée de multiples rangements.

Quand bébé grandira et se tiendra debout, le meuble se transformera en lit à barreaux. Enfin, quand votre petit sera plus âgé de quelques années, les barreaux disparaîtront pour laisser place à un lit junior d’une place.

La table à langer se transformera, elle, en jolie commode ou en espace de rangement.

© La Redoute Intérieurs évolutifs

MaPrimeRénov’

évolue à la marge en 2025

Après une année 2024 en dents de scie pour le dispositif phare d’aide à la rénovation énergétique, l’édition 2025 de MaPrimeRénov’ prolonge les assouplissements mis en place et subit quelques changements de plafonds de subvention. On vous dit tout sur cette nouvelle mouture.

Évoluant au gré des politiques publiques, les dispositifs d’aide comme MaPrimeRénov’ ont droit à un lifting plus ou moins important chaque année.

Mais après l’effondrement des demandes de travaux provoqué début 2024 par un tour de vis réglementaire, ce qui a finalement contraint le gouvernement à faire marche arrière quelques mois plus tard, l’édition 2025 se veut bien plus mesurée. On passe en revue les changements en vigueur cette année.

La souplesse du Parcours par geste préservée

Vous avez décidé de faire isoler vos combles ou d’installer un système de ventilation mécanique contrôlée (VMC) sans vous lancer dans d’autres travaux ? Bonne nouvelle, MaPrimeRénov’ Parcours par geste vous octroie toujours une aide financière pour réaliser une seule opération de rénovation énergétique à la fois, et ce, sans avoir besoin d’installer en complément un système de chauffage ou d’eau chaude sanitaire décarboné.

Rappelons que cette condition introduite en janvier 2024 a en effet été supprimée quatre mois plus tard. Et alors que cette souplesse devait prendre fin le 31 décembre, un décret l’a prolongée jusqu’à fin 2025.

De plus, vous pouvez bénéficier de cette subvention même si votre logement est classé « F » ou « G » sur le diagnostic de performance énergétique (DPE), sachant qu’il n’est pas non plus nécessaire de fournir un DPE de moins de 6 mois pour prétendre au dispositif.

Ainsi, ces deux autres modalités, elles aussi en sursis, ont également été prolongées d’un an.

Du côté des montants de prise en charge, pas de changement ici. En revanche, alors que les ménages « très modestes » pouvaient auparavant obtenir une avance de fonds correspondant à 70 % de l’aide estimée pour engager le chantier, elle passe à 50 % du montant prévisionnel..

Parcours accompagné : un cumul d’aides plus avantageux

Si le barème de prise en charge de MaPrimeRénov’ Parcours accompagné reste identique pour la majorité des bénéficiaires, les ménages les plus aisés sont de moins en moins soutenus. Précisons que cette catégorie de « revenus supérieurs » équivaut à un revenu fiscal de référence de 54 592 € ou plus pour un couple ayant un enfant en région, contre 71 060 € en Île-de-France. Alors que ces foyers pouvaient auparavant financer 30 % ou 35 % d’une rénovation d’ampleur grâce à ce dispositif, le niveau d’aide a chuté à 20 % lorsque le chantier vise à gagner 4 classes au DPE, à 15 % pour 3 classes et à 10 % pour 1 classe au 1er janvier 2025. Néanmoins, ceux qui ont la chance d’habiter dans une collectivité territoriale soutenant la rénovation énergétique pourraient avoir une bonne surprise.

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© iStock / City Presse

En effet, cette nouvelle version du Parcours accompagné laisse davantage de place aux aides locales puisque le plafond des subventions cumulées (on parle de taux d’écrêtement) a été augmenté.

Les foyers aux « revenus supérieurs » peuvent désormais obtenir 50 % de prise en charge totale (contre 40 % avant la réforme), tandis qu’elle grimpe de 60 % à 80 % pour les ménages aux « revenus intermédiaires » en s’alignant sur le taux d’écrêtement déjà en vigueur pour les particuliers aux ressources « modestes ». Quant aux foyers « très modestes », ils peuvent toujours financer à 100 % leur chantier d’ampleur grâce à cette règle de cumul des dispositifs. Mais encore faut-il que votre commune, département ou région vous aide… Pour un premier aperçu, consultez la carte des subventions locales disponible sur Anil.org, avant de vous renseigner auprès de votre collectivité.

Bon à savoir : un prochain décret est prévu pour porter le taux d’écrêtement à 90 % pour les ménages modestes..

MaPrimeRénov’ en chiffres

D’après les données de l’Agence nationale pour l’amélioration de l’habitat (Anah), en charge du dispositif, MaPrimeRénov’ a permis de rénover 2,44 millions de logements depuis son lancement en 2020. Mais si 569 243 habitations ont profité de ce programme en 2023, elles n’étaient plus que 340 801 en 2024 ! En cause : le frein temporaire des subventions pour les mono-gestes qui représentent la majorité des projets. Cela dit, la réforme qui a consisté à scinder MaPrimeRénov’, afin de créer le Parcours par geste et le Parcours accompagné, semble commencer à porter ses fruits puisque 91 374 rénovations d’ampleur ont été financées en 2024, contre 71 613 l’année précédente. L’objectif de l’État est en effet d’inciter les particuliers à réaliser des combinaisons de travaux, bien plus efficaces que des opérations isolées. Pour tout projet de rénovation énergétique, renseignez-vous auprès d’un conseiller France Rénov’ au 0 808 800 700 (non surtaxé) et sur France-renov.gouv.fr.

Quel bois

pour ma terrasse ?

Écologique, design et durable, le bois est un revêtement idéal pour habiller nos terrasses. On vous aide à faire votre choix parmi diverses essences en fonction de leurs qualités et de votre budget. © iStock/ City Presse

Lors de la saison estivale, nos espaces extérieurs se transforment en véritables lieux de vie et se conçoivent comme un prolongement de la maison. Leur aménagement revêt donc une importance capitale, et c’est pourquoi, après avoir longuement hésité, vous avez finalement opté pour une terrasse en bois plutôt qu’en pierre naturelle ou en carrelage. Très populaire depuis plusieurs années, ce matériau séduit tant pour son aspect chaleureux et son esthétique indéniable que pour sa facilité de pose et sa durabilité. Toutefois, il en existe de nombreux types différents, dont chacun possède ses caractéristiques propres. On vous guide pour déterminer quel plancher conviendra le mieux à votre projet.

Les bois résineux, amis des petits budgets Pin sylvestre ou maritime autoclave, mélèze, red cedar et douglas sont très prisés pour les terrasses, et pour cause : ils sont très abordables (à partir de 20 € le m2), respectueux de l’environnement grâce au label FSC et souvent issus de forêts françaises ou européennes. Ils pèchent en revanche par leur durée de vie, qui n’excède pas une quinzaine d’années, et par leurs nœuds qui peuvent être saillants.

Les bois exotiques, la touche déco chic

Élégants, denses, très stables, naturellement résistants en milieu humide et antidérapants, les bois exotiques comme le teck, l’ipé, le massanduraba, le cumaru, le padouk ou encore le tali cumulent toutes les qualités. D’un coloris brun foncé, l’ipé, originaire d’Amérique du Sud, est adapté aux decks de piscine, là où le massanduraba brésilien à la teinte brun

rouge séduira par son grain fin, très confortable au pied. Bois africain aux magnifiques reflets rubis, le padouk supporte sans problème l’eau salée, tandis que l’itauba doré offre des qualités mécaniques et une longévité incomparables. Si leur prix est relativement élevé (environ 60 € le m2), il est rentabilisé sur le long terme, car ces essences sont généralement garanties à vie et leur entretien est quasi nul. Seul bémol : leur impact environnemental.

Les bois feuillus, le choix éthique

Moins répandues que les bois résineux ou exotiques, les essences comme le chêne, le frêne, le châtaigner ou le peuplier offrent une alternative plus écologique, avec un bon rapport qualité-prix (aux alentours de 40 € le m2). Après avoir subi un processus de rétification, où ils sont chauffés à 200 °C afin d’en évacuer l’eau, ces bois locaux gagnent en stabilité et peuvent ainsi servir entre 20 et 30 ans.

Les bois composites vous facilitent la vie

Issus d’un mélange de sciure et de résines polymères, les bois composites sont plus faciles d’entretien que le bois massif (un coup d’éponge annuel suffit) et leur aspect ne change pas dans le temps. Imputrescibles, très résistants aux intempéries et aux coups, ils se déclinent dans une large palette de teintes et de finitions et se fixent simplement par clip, et non par vis.

Leur qualité peut considérablement varier selon que vous optiez pour des lames pleines ou alvéolaires, mais le haut de gamme peut atteindre les 90 € le m2.

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Comment entretenir sa terrasse ? À cause des intempéries et plus particulièrement des rayons UV, le bois a tendance à griser en extérieur. Afin qu’il conserve toute sa beauté et sa teinte originelles, il est nécessaire de le traiter. Tous les 6 mois à 1 an, appliquez un saturateur de la teinte souhaitée ou un produit dégriseur. Pour enlever les saletés incrustées dans les lames, utilisez un nettoyeur haute pression et misez sur le vinaigre blanc pour venir à bout des mousses. Afin de convenir à un usage en extérieur, le bois de votre terrasse devra être doté d’une classe d’emploi IV, qui garantit sa résistance à l’eau et aux champignons, voire d’une classe V si vous résidez en bord en mer.

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La pergola bioclimatique,

un ombrage de choix

Qu’il pleuve, qu’il vente… Ou que le soleil tape trop fort : vous voulez profiter de votre terrasse, et ce, quelles que soient les conditions météo ? Modulable et esthétique, une pergola bioclimatique pourrait vous aider à tirer parti de cet espace extérieur au fil des saisons.

Les étés sont de plus en plus chauds, les épisodes pluvieux s’intensifient… Compte tenu du réchauffement climatique, il devient difficile de prévoir de manière certaine les conditions météo. Outre les enjeux d’éco-responsabilité, l’architecture et le mobilier gagnent à devenir modulables, pour adapter au mieux les habitations à leur environnement. Tel est le principe de la pergola bioclimatique, un abri qui tire parti des ressources naturelles du climat. On vous dit tout sur cet ombrage de choix pour profiter pleinement de votre jardin ou de votre terrasse.

Une adaptabilité hors pair

Lorsqu’on bénéficie d’un espace extérieur, on veut pouvoir l’apprécier au fil des quatre saisons, et ce, plus encore depuis les épisodes de confinement sanitaire. À l’instar des pergolas classiques, la pergola bioclimatique protège ainsi du soleil, du vent et de la pluie. Mais cette structure modulable a un sérieux atout en plus puisqu’elle s’adapte aux conditions météorologiques grâce à ses lames inclinables, qui permettent également de réguler la température. Avec la bonne inclinaison, vous profiterez alors de légères brises lorsqu’il fait trop chaud, tandis qu’en hiver, une structure fixée contre la maison laissera entrer les rayons du soleil à l’intérieur. Et par temps pluvieux, il vous suffira de refermer ses lames pour que l’eau de pluie s’écoule par les gouttières prévues à cet effet ! Attention néanmoins à ne pas négliger l’étanchéité du mur auquel elle est adossée.

La pergola bioclimatique offre en outre une alternative économique à la construction d’une véranda, notamment dans les régions méridionales où il peut vite y faire trop chaud.

Un abri personnalisable

Adossée à la maison, une pergola bioclimatique peut tout à fait faire office d’entrée informelle, offrant un espace intermédiaire entre l’intérieur et l’extérieur. On peut sinon l’imaginer comme un recoin abrité au cœur du jardin en choisissant un modèle autoportant qui sera ancré dans le sol grâce à quatre poteaux ou plus, selon les dimensions souhaitées. Côté matériaux, l’aluminium brille par sa résistance, sa facilité d’entretien et son aspect moderne, quand le bois, légèrement plus onéreux, donne plutôt dans le registre du naturel et de l’authenticité.

De nombreux fabricants proposent également des options de personnalisation poussées : éclairage LED, couleurs, dimensions ou encore système automatisé avec capteurs de vent et de pluie, les finitions choisies achèveront de créer un abri sur mesure. Certains modèles sont aussi équipés de lames rétractables pour une ouverture totale, idéale pour les beaux jours, tandis qu’en région pluvieuse, on envisagera davantage un abri pourvu de vitres, fixes ou amovibles. Si votre structure est motorisée ou comprend des luminaires, n’oubliez pas de prévoir le raccord à l’électricité, ou mieux encore, pensez aux panneaux solaires pour une pergola autonome !

Installation : le guide pratique

Bien que certains modèles soient vendus en kit, l’installation d’une telle structure requiert souvent le concours d’un professionnel, la mise en place du système de lames mécaniques demandant un bon coup de main. Ce qui va inévitablement faire monter son prix : comptez environ 15 000 € pour une surface de 25 m2 et un modèle basique. Si la pergola bioclimatique reste un abri haut de gamme, elle permet de réaliser des économies en matière de climatisation et de chauffage lorsqu’elle est conçue en prolongement de la maison. Elle nécessite cependant un terrain plat et stabilisé, donc des travaux en amont si tel n’est pas le cas de votre jardin. Côté formalités, cette pergola adaptable demande les mêmes types de précautions juridiques que sa version classique : prenez connaissance du plan local d’urbanisme (PLU) pour connaître ses éventuelles restrictions et renseignez-vous auprès de votre mairie pour savoir s’il faut demander un permis de construire ou effectuer une déclaration préalable de travaux.

Panneaux solaires :

maximiser leur rendement

Si opter pour des panneaux photovoltaïques permet de faire de sacrées économies sur sa facture d’énergie à long terme, leur installation doit être minutieusement étudiée afin d’optimiser au mieux leurs performances.

Toujours plus plébiscités, les panneaux photovoltaïques n’en finissent pas de convaincre les Français qui souhaitent faire des économies d’énergie et privilégier un mode de production plus écologique. D’après les chiffres du ministère de la Transition écologique datant de septembre 2024, le parc photovoltaïque concerne désormais 1 080 557 installations, dont 611 107 de moins de 3 kWc (le format le plus fréquent pour les particuliers). Mais si se tourner vers le solaire est un choix judicieux, encore faut-il avoir les bons réflexes pour maximiser le rendement de ses panneaux. Suivez nos conseils.

Choisir les bons panneaux

Pour rentabiliser au plus vite votre installation photovoltaïque, il faut d’abord vous intéresser à son rendement. Celui-ci correspond à la quantité de lumière qu’un panneau peut transformer en électricité. Plus il sera élevé, plus votre système sera rentable.

Ainsi, le taux de rendement va dépendre de la technologie utilisée : il sera de 16 à 24 % pour des panneaux en silicium polycristallin, de 13 à 18 % pour les monocristallin et de 6 à 9 % pour la version dite amorphe.

Un emplacement optimal

Le rendement de votre installation solaire va également dépendre de son emplacement et de l’ensoleillement dont elle bénéficie. Mieux vaut ainsi disposer les panneaux sur un toit ou une surface bien orientée pour capter un maximum de soleil. Si vous habitez dans le nord de la France, il est recommandé de les placer au sud avec un angle d’inclinaison de 30°. Dans la région sud, une orientation sud-ouest ou sud-est pourra être envisagée. Aussi, il est crucial de s’assurer que

rien ne fasse d’ombre à vos panneaux : bâtiments voisins, végétation, cheminée, antennes… Ces obstacles peuvent en effet réduire drastiquement la production d’énergie.

Un entretien régulier

Si les panneaux photovoltaïques demandent généralement peu d’entretien, il peut être utile de les nettoyer une ou deux fois par an. En effet, la neige, les feuilles mortes, les salissures d’oiseaux, le pollen ou encore la suie projetée par une cheminée peuvent obstruer les cellules photovoltaïques et donc abaisser la production d’électricité, d’autant plus si la pente est faible et que la pluie ne suffit pas à lessiver naturellement la surface.

Consommer durant les heures de production

Enfin, pour que votre nouvelle installation électrique soit la plus rentable possible, il est conseillé de consommer une grande partie de l’énergie durant les heures de production, en l’occurrence en plein jour. Cela permet non seulement de tirer le meilleur parti de l’énergie solaire, mais aussi de réduire votre dépendance au réseau électrique pendant les périodes où la demande est élevée. Vous pouvez, par exemple, programmer l’utilisation des appareils les plus gourmands (lavelinge, chauffage et climatiseur, four…) pendant la journée. Vous pouvez également investir dans des batteries de stockage d’énergie qui vous permettront d’utiliser l’électricité produite aux moments où vous en avez besoin, notamment le soir. Il existe encore des applications qui vous aident à suivre votre production et à visualiser les performances de vos panneaux afin d’adapter votre consommation en conséquence.

Traitement et valorisation des déchets

Trier, c’est bon pour l’environnement

Horaires d'ouverture du lundi au samedi de 9h à 18h30, fermeture les jours fériés et horaires en place jusqu’au 4 octobre 2025 inclus.

• Les déchets doivent être triés avant votre arrivée en déchèterie, les sacs seront ouverts.

• Les meubles avec moteur électrique – séparation du moteur et du meuble.

• La benne d’encombrant n’est pas une benne de tout venant : ce qui rentre dans une poubelle d’ordures ménagères ne doit pas entrer en déchèterie.

Les agents ouvriront les sacs fermés avant dépôt en benne d’encombrant.

• Les déchets type peinture, diluants doivent être déposés en déchèterie alors que les produits d’entretien de maison non.

• Les aérosols communs : déodorants, laques, dépoussiérants doivent être déposés dans la poubelle des recyclables.

• Déposer les objets avec pile à la déchèterie et enlever les piles car très dangereux pour les installations de traitement.

• Les déchets électriques doivent être déposés en déchèterie quel qu’ils soient.

• Les déchets verts

• Les métaux - ferraille

• Le bois

• Les déchets d’équipement et d’ameublement

• Les déchets électriques et d’électroniques/ informatique

Les déchets autorisés sont :

• Les cartons

• Les jouets

• Les déchets liés au sport et aux loisirs

• Les déchets et équipements de jardinage

• Les déchets ménagers spéciaux (peinture,

diluant, produits de jardin, les acides...)

• Les radiographies

• Les huiles moteurs

• Les filtres à huile

• L’huile alimentaire

• Les piles

• Les batteries

• Les cartouches d'encre

• Les ampoules et néons

• Les pneus propres non coupés et déjantés (4/an/foyer).

Attention :

à Arques impossibilité d’y déposer pneus, laines minérales.

Vous souhaitez plus de renseignements, rendez-vous sur le site internet SMLA.fr

Donnez une seconde vie à vos objets, ayez le bon réflexe, déposez-les en benne de réemploi sur les sites de Longuenesse, Saint-Martin-lez-Tatinghem ou Dennebrœucq.

Je les réduis Je les valorise Je les dépose Je les trie

Potager, pelouse, arbres fruitiers :

que faire au printemps ?

Jardinier amateur ou expert, il est temps de préparer votre jardin pour le printemps ! Philippe Vanneufville, passionné de jardinage à l’ancienne, partage ses meilleurs conseils sur Youtube pour bien entretenir son petit coin de paradis !

Jardinier débutant ou curieux d’en savoir toujours plus, les conseils de Philippe Vanneufville sont faits pour vous. Depuis 2015, ce jardinier amateur de Gonnehem partage ses astuces sur le jardinage à l’ancienne sur sa chaîne YouTube « f1rcx », suivie par plus de 130 000 abonnés. Avec 21 millions de vues en 2023 et 19,5 millions en 2024, ses vidéos séduisent de nombreux fans. « J’aime apprendre des techniques aux amis sur ma petite chaîne », dit-il humblement. En ce début de printemps, on lui a demandé quoi faire au jardin.

Quand puis-je de nouveau tondre ma pelouse ?

On démarre en mars, quand l’herbe atteint 8 à 10 cm. Avant, on vient scarifier sa pelouse, c’est-à-dire enlever les mousses, pour l’aérer et pour une meilleure reprise. Au printemps, tondez court. L’été, laissez l’herbe plus haute pour qu’elle conserve son humidité. Pensez aussi à créer des parcelles de 1,50 m sur 6 m de prairies fleuries. Le but est d’attirer des insectes pollinisateurs dans le potager. Ça va également égayer votre jardin.

En parlant de potager, quels légumes planter au printemps ?

Après avoir planté de l’ail dans une terre enrichie en potasse, en février, et préparé ses semis de poivrons, de céleris-raves, de petits pois ou encore de pois mangetout à la maison ; en mars, on peut commencer à semer les premières laitues dans une mini serre et les premiers radis de 18 jours. Mi-mars, place aux premières tomates. Plantez aussi les premières échalotes sur butte, à cause de l’excès d’humidité que l’on a dans le Nord-Pas-de-Calais. En avril, on attaquera les semis de carottes, de betteraves et de salades, comme la Grosse blonde paresseuse. On attendra un peu que la terre se réchauffe pour planter les premières lignes de poireaux. Pour tous ceux qui vont démarrer des semis mi-mars à l’extérieur, je conseille d’utiliser des voiles de forçage qui permettent de protéger un peu du froid.

Si je n’ai qu’un balcon, puis-je créer un potager ? Oui, mais il faut impérativement avoir une exposition lumineuse de 5 à 6 heures par jour ! Optez pour de grands contenants, avec de gros volumes de terreau, pour éviter un dessèchement rapide. Dès le 15 mai, plantez un pied de tomate cerise, tuteurez-le et fertilisez-le tous les 15 jours avec du lombricompost. Vous pouvez aussi panacher différentes variétés de salades pour en récolter toute l’année. On peut également semer des radis dans un terreau léger et fertile, toujours avec du lombricompost. Les poivrons et piments apprécient aussi beaucoup le soleil sur le balcon. Pour les courgettes, semez d’abord les graines dans de petits pots à partir du 15 avril sur le rebord de votre fenêtre, et replan-

tez-les dans un grand contenant, bien enrichi en compost. Choisissez des variétés de courgettes non-coureuses. Pour le thym et le romarin, il faudra toujours les séparer dans une autre jardinière, accompagnés de terreau et de sable, car ils craignent les excès d’eau. Enfin, les fraisiers adorent le soleil. Il faudra choisir des variétés remontantes pour avoir plusieurs récoltes dans l’année !

Retournons au jardin : je souhaite planter des arbres fruitiers, comment m’y prendre et quand les planter ?

Début mars, il est encore temps de planter les petits fruitiers à racines nues : groseilliers, cassissiers, framboisiers et mûriers. Pour les fraisiers, plantez-les sur un terreau enrichi en compost. Sous notre climat, de nombreux arbres fruitiers poussent très bien comme les pommiers, les poiriers, les cerisiers, les noyers… Pour les planter, faites un trou d’environ 50 cm sur 50 cm sur 50 cm, placez-y un tuteur, puis votre arbre et ajoutez votre terre mélangée avec une bonne dose de compost, pour une terre très humide et collante. Ainsi, vous aurez un très bon contact avec les racines. Finir par bien tasser.

Quel entretien pour mes arbres fruitiers ?

Appliquez du blanc arboricole à base de lait de chaux pour protéger les troncs contre les mousses, les champignons et les parasites. Il s’applique au pinceau à l’automne jusqu’en avril. Quant à la taille des arbres fruitiers, il faudra le faire à la fin de l’hiver, avant l’arrivée des premiers bourgeons, pour réduire les risques d’infection.

© Groupe

Nord Littoral

Et si l’on installait

une yourte dans le jardin ?

Venu d’Asie centrale, ce type de logement trouve tout à fait sa place dans nos jardins nordistes en faisant office d’extension originale et pratique. Pourquoi se laisser tenter ?

La réglementation étant moins contraignante que celle d’une construction traditionnelle, la mise en œuvre et l’installation d’une yourte studio de jardin sont simples et rapides notamment grâce à des règles d’urbanisme allégées. Dans la majorité des cas, il n’y a pas lieu de demander un permis de construire. Non seulement la yourte se monte très rapidement (il faut compter entre 1 à 2 jours) et peut être livrée en 2 à 8 semaines, mais en plus, elle ne nécessite ni terrassement ni fondation. De plus, cette création nomade peut être démontable, et son coût reste abordable (à partir de 5000 euros en kit jusqu’à 20 000 euros clé en main incluant le chauffage).

Pour les loisirs, une activité secondaire… Pour permettre de bien dissocier dans l’espace l’activité professionnelle première de la secondaire, ou tout simplement pour s’adonner à son passe-temps préféré et s’enfermer dans sa bulle pour se reposer, créer, méditer, ou y créer un home-studio, une yourte de jardin semble être une solution adaptée, qui offre une sécurité certaine avec sa porte à fermeture 3 points et un confort à l’année puisqu’elle peut être chauffée et climatisée. Grâce à ses matériaux d’isolation et à sa forme, la yourte est naturellement efficace en matière de régulation thermique, ce qui permet d’éviter les surconsommations. Aussi, elle peut accueillir des équipements électriques et de la plomberie pour une utilisation quotidienne.

Des tailles variées

Les yourtes studios de jardins sont modulables et comprises entre 17 et 27 m2 et offrent une luminosité naturelle très appréciable grâce à leurs puits de lumière zénithaux apaisante et invitant à la création.

 Menuiserie PVC bois

Une fabrication française

Depuis 20 ans, La Yourte Française fabrique et installe partout en France des modèles entièrement fabriquées sur l’Hexagone à partir de « matériaux de haute qualité, alliant techniques traditionnelles et innovations modernes ». L’ensemble de ses fournisseurs se situe dans les Pays de la Loire. « Nous utilisons des matériaux et des techniques de construction respectueuses de l’environnement garantissant une faible empreinte carbone. Chaque yourte est conçue pour durer, avec une attention particulière portée à la solidité de la structure », précise Thierry Rouelle, le dirigeant de La Yourte Française. Dans la région, plusieurs yourtes ont déjà permis d’accueillir des écoliers, à Boëseghem, près d’Hazebrouck, et à Ostricourt non loin de Douai… Plus de 600 yourtes de cette entreprise ont déjà investi les jardins français.

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ÉTUDE

Quelle est la maison de rêve

des français ?

On a tous déjà pensé à sa maison de rêve. Pour le site SeLoger.com, une intelligence artificielle a imaginé celle des Français, à partir d’une étude réalisée sur 4 000 personnes. Le résultat est incroyable !

C’est le site immobilier SeLoger.com qui dévoile, grâce à une intelligence artificielle Midjourney, la maison de rêve des Français. Une étude Yougov a été réalisée auprès de plus de 4 000 adultes, représentatifs de la population nationale française, au mois de décembre 2022 et novembre 2023. À partir de ces données et des 18 critères qui leur ont été proposés, comme l’architecture, la surface, l’emplacement… une intelligence artificielle a créé des visuels.

On découvre ainsi une maison typique, de plain-pied, en bord de mer. Elle est à la fois lumineuse, accueillante, fonctionnelle et écologique. La déco est sobre, confortable et conviviale en format XXL, et les matériaux sont bruts.

Des statistiques à la clé

SeLoger révèle ainsi les résultats de son étude qui a permis de conclure à ce résultat. Ainsi :

– 37 % des Français préfèrent une maison en bord de mer;

– 47 % adoptent le plain-pied, contre 18 % pour une maison à étage ;

– 44 % souhaitent une maison en pierre ;

– 78 % souhaitent une maison lumineuse dont 65 % avec

des ouvertures par des fenêtres extra larges, 72 % avec une belle vue dégagée sur la nature, 91 % avec un intérieur qui communique avec l’extérieur par une baie vitrée, 68 % avec des pièces de vie spacieuses et ouvertes et 55 % avec une cuisine ouverte ; – 84 % voudraient que leur maison soit à caractère écologique et 81 % en autosuffisance ;

– 28 % des Français aimeraient une déco moderne ou contemporaine avec des matériaux bruts, sans papier peint pour 57 %, mais avec de la peinture dans les tons clairs, beige ou taupe pour 64 %, voire blanc pour 43 % ; – 79 % préfèrent du mobilier confortable, notamment lorsqu’il s’agit des canapés et des fauteuils, 58 % souhaitent une grande table à manger pour accueillir le maximum de personnes chez eux et 60 % rêvent d’une douche à l’italienne pour deux personnes ; – Enfin, 70 % souhaitent un extérieur garni par de la végétation (arbres et fleurs), 66 % aimeraient un coin détente, 61 % un espace barbecue et 56 % un espace potager. La piscine arrive ensuite, pour 54 % des sondés. Finalement, le top 3 des pièces favorites des Français est le dressing, l’espace bien-être comme un hammam ou un sauna et la bibliothèque.

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Témoignages

Lisa Tribouilloy de Lille :

Je rêve d’une maison à étages située en ville, près d’un cours d’eau. La façade serait en brique rouge ancienne et il y aurait de grandes fenêtres. Pour la décoration, j’opterais pour un mélange ancien et moderne, assez coloré, avec de belles fleurs dans chaque pièce et une grande cuisine. Il y aurait pas mal d’arbres dans le jardin et une terrasse en bois avec une pergola sur la façade. Il comporterait aussi un coin détente et un jardin-potager.

Alina André de Boulogne-sur-Mer :

Je rêve d’une maison à étages située en Amérique, au bord d’un lac. Elle serait de style américain, lumineuse, avec de grandes fenêtres et plusieurs toits pointus. Une allée nous ménerait jusqu’au porche de la maison. La décoration serait épurée, dans les tons beiges, blancs, avec un peu de vert sapin et de noirs. J’aimerais une cuisine avec îlot central et un grand séjour. Mes pièces préférées seraient le dressing, la bibliothèque et l’espace détente. Le jardin serait grand, avec piscine et transats, un coin barbecue, un coin de détente, un terrain de pétanque, une terrasse et des fleurs et des lumières devant la maison.

Éloïse Calon d’Étaples-sur-Mer :

Je rêve d’une maison de plain pied, en pierre, située à la campagne. Elle serait lumineuse, avec de grandes baies vitrées, une petite porte d’entrée et des fenêtres avec des volets en bois. La maison serait rectangulaire et pas très grande. Il n’y aurait pas de jardin mais une grande terrasse pouvant accueillir un coin détente et un coin repas. Les murs de la maison seraient colorés, dans les tons chauds, et j’opterais pour des meubles en bois, un canapé en tissu marron. La maison aurait de petites pièces chaleureuses, sans cloison.

Steacy Deschepper de Hazebrouck :

Je rêve d’une maison de plain pied, à la campagne. Elle serait rectangulaire et lumineuse. La décoration serait dans les tons chauds, avec du mobilier moderne. Il y aurait une salle de gaming, une salle de jeux pour les enfants, un salon, une salle à manger et une cuisine ouverte avec îlot central. Le jardin comporterait un coin détente, une terrasse, un petit bassin à poissons, un potager et un espace barbecue.