Passage en revue Thierry Piet Edito 2 et la peau du poème les entrailles qui travaillent. Dans la double face de ma chair apeurée l’amour s’est trouvé un ermitage ensoleillé Du désir au plaisir il n’y a qu’un éclair et la montée de la bête défie la chute de l’ange. quand l’écorce du torse cache la fleur du cœur 3