ACTU QUAND LES LÉGUMES POUSSERONT SUR MARS
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a Nasa prévoit que l’homme pourra marcher sur Mars d’ici 15 ans. Mais que pourra-t-il donc y manger ? Un chercheur des Pays-Bas a décidé de cultiver des légumes dans une terre très proche des caractéristiques de la planète. La Nasa lui fournit des ersatz de terre rouge, acide et rocailleuse. Jusqu’à maintenant il a réussi à faire pousser cresson, radis et seigle. Une question demeure : ces légumes serontils propres à la consommation sur Mars ? Car la terre mar tienne contient des métaux lourds qui peuvent être des poisons mortels pour l’être humain. m
JOUER C’EST MANGER !
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râce à un « serious game » — jeu vidéo à portée pégagogique — ,le gouvernement américain a réussi à faire manger cinq fruits et légumes par jour à des enfants entre 8 et 10 ans. Dans Squies Quest II, tel est son nom, chaque joueur doit... manger équilibré, et, pour cela, collecter fruits et légumes, et les incorporer dans ses repas. Cette expérience virtuelle, a eu des répercussions bien réelles selon une étude scientifique américaine qui portait sur 400 écoliers. Non seulement ils ont amélioré leurs habitudes alimentaires pendant la période du jeu, mais six mois après, la portion de fruits et légumes avait fortement augmenté dans l’assiette de ces enfants. m
ALAIN DUCASSE, LE TROIS ÉTOILES SANS VIANDE
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ini le temps où la gastronomie française donnait aux légumes un simple rôle de faire-valoir des rôtis et pièces de bœuf. La tendance végétarienne, en progression en France, gagne même les plus grandes tables. Ainsi le chef Alain Ducasse, connu pour sa nouvelle cuisine dans les années 80, a décidé il y a un an de ne plus servir de viande dans son restaurant triplement étoilé du palace Plaza Athénée à Paris. Avec son menu 100 % végétal tout en « naturalité » , il souhaite faire prendre conscience du trop-plein de viande dans les pays occidentaux. m
51 LITRES
La consommation de lait par an et par personne en France. C’est 23 litres de moins qu’il y a vingt ans ! Le lait, aliment essentiel dans l’équilibre de l’alimentation, est consommé surtout au petit déjeuner. Mais, depuis quelques années, il souffre d’une mauvaise image, notamment pour des questions de tolérance et d’allergie.
POTAGER URBAIN, BON POUR LE LIEN
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’après des chercheurs de l’université John Hopkins, aux États-Unis, l’agriculture urbaine, en plein boom, ne pourra jamais nourrir tous les citadins. Mais elle crée et renforce les liens sociaux. Par contre, elle peut créer et renforcer des communautés urbaines. « Les avantages les plus significatifs de l’agriculture urbaine sont ses capacités à augmenter le capital social, le bien-être de la communauté et l’engagement civique autour du système alimentaire » , souligne le rapport des chercheurs. Ces potagers et fermes sur les toits, dans les espaces verts, dans les rues, deviennent de nouveaux lieux de sociabilité de la ville, comme les cafés ou les jardins publics. m
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