leurs tables étoilées mais avec le décès d’Evelyne Charpiot, reine de l’accueil et du Cintra (qui ne s’est jamais remis de sa disparition), s’est éteinte l’une des plus grandes professionnelles de l’accueil. Dans notre société de convivialité iphonienne et d’anonymat facebookien,qu’ilestbond’êtreaccueilli et choyé dans nos refuges gourmands. Parmi les références féminines en la matière, citons Béatrice Denis qui officie encore, entre deux love trip, chez Carmelina ; Christine Di Litta qui se partage entre le Ness et le Lei, ou encore Florence Perret au Théodore (lire page 43). Pendant que leurs hommes assurent le show, Cécile Bertrand (L’Olympic) et Nicole Marguin (Marguin - Les Echets) font bouillir la marmite. Pascale Ponsonnet semble s’éclater dans sa nouvelle vie de muse de Jean-Louis Manoa aux Planches et chez Paul’O. Parmi les jeunes pousses à suivre : la belle Isabelle (Le Plato), la tropézienne Karine (Cabane Bambou), la ravissante Axelle (Temps libre), les infatigables Marlène (Rouge Tendance) et Marie (L’Est), la prometteuse Lauren (Caro de Lyon), les discrètes Michèle (L’Horloge) et Geneviève (Lyon Vert), la coquine Anne (Antonin), les punchy Béatrice (Clostan) et Nathalie (Maison de l’entrecôte), l’insaisissable Brigitte (La Plage), les brunettes Sandrine (aKGB) et Caroline (Docks 40). Mention spéciale au trio infernal du Café du Pond (Catherine, Edith et Chrystelle). A elles de perpétuer la délicieuse tradition de l’accueil à la lyonnaise. O
Les gardiennes de nos nuits agitées Nadine Chouraqui (photo) tient toujours le haut du pavé au Saint Louis (rue Mercière), tout comme Lola au Kopdo (quai Romain Rolland). Nouvelle venue, Sandrine Pouquine (Le Boudoir) qu’elle anime d’une main de fer dans un gant de velours. Après avoir connu les folles nuits du Marquis, Léa s’est assagie au Dialog (boulevard des Brotteaux). Quant aux apéros de Samy (Samy Café), ils apportent une touche féminine au quartier Mercière.
Les bonnes vivantes Impossible de consacrer un écho à la nuit lyonnaise sans parler des fêtardes qui ambiancent la ville. Elles ne se contentent pas – comme leurs ainées - de picorer les petits fours des cocktails qu’elles fréquentent avec assiduité. Dans les années 2000, elles arrivaient à ambiancer le glacial centre commercial de la Part Dieu (Ann et Guillemette). Certaines se sont rangées des voitures (Coralie D, Anne GV, Vérane V et Sylvie C.), d’autres sont montées se frotter à la jet set de Paname (Laetitia V). Elles savent encore monter et danser sur les tables megevanes (Béryl), se mettre sur le toit (Delphine), ou dévoiler leur généreuse poitrine, Christine et Martine (photo) devant leurs copines délurées (Karine). L’occasion d’adresser un petit clin d’œil à la grande Séverine, reine de la fête à la grande époque du Petit Paillet.
1 - Paulette Castaing L'Hostellerie Beau-Rivage à Condrieu 2 - Gisèle Crouzier La Croix-Blanche à Chaumont-sur-Tharonne 3 - La Léa, La Voûte à Lyon 4 & 5 - Marthe Allard et sa bru Fernande Allard à Paris 6 - Marie Bourgeois, La Mère Bourgeois à Priay 7 - Paulette Blanc, La Mère Blanc à Vonnas
8 - Françoise Fayolle, La Mère Filloux à Lyon 9 - Adrienne Biasin, Chez la Vieille à Paris 10 - Catarina-Elena Barale, A la Bouana Franquetta à Nice 11 - Eugénie Brazier, La Mère Brazier à Lyon 12 - Elisa Blanc, La Mère Blanc à Vonnas 13 - Annette Poulard, La Mère Poulard au Mont-Saint-Michel 14 - Virginie née en 1860 (mère d'Elisa Blanc)
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