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GALA DE LA NUIT LYONNAISE Trophée remis à Manoo (Ambassade) par Alexandre Jeannerod (Eurosono) DE LA
2017
DJ RÉSIDENT
Manoo, du bal à l’Ambassade « La musique, c’est un voyage », aime-t-il raconter. Une formule imagée diablement efficace. Comme l’est Manoo une fois installé aux manettes de ses platines. Reconnu pour son style new-yorkais, aussi bien vestimentaire que musical, le DJ résident de l’Ambassade nous transporte au gré de ses sets à dominance house. Une passion née sur l’estrade de bals, où son père se charge lui aussi de l’animation. Pourtant, c’est au détour d’une rencontre avec un vendeur de disques que Manoo démarre véritablement sa carrière à l’Ambassade, dont il détient les clés depuis plus de 20 ans. Après avoir fait chavirer le directeur, ses sons s’exportent désormais sur quelques unes des plus belles scènes d’Europe. Où il ne manque jamais de diffuser ses propres mixs, privilège de producteur. Trophée remis à Sylvain Chérubin par Nicolas Cuny (Sirops Monin)
Trophée remis par François Gaillard, DG ONLY LYON Tourisme et Congrès
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RÉSEAUX SOCIAUX
Victoria Hall of fame
E
difié en 2005 par Edouard Keguny, le Victoria Hall a atteint l’âge de la maturité, sous la houlette de Ludovic et Samuel Campus, propulsés aux manettes de cette brasserie chic en 2010. Sans être trop guindée, la luxueuse demeure joue dans le haut de gamme, magnifiée par son association de parquet ancien et d’ameublements contemporains. Mais plus que la décoration et la terrasse de 800m2, les clients y recherchent l’approche conviviale que procure ce lieu cosy du septième arrondissement. Agrandi l’an passé, le Victoria Hall fait la part belle au savoir-vivre à la française. Au bar lounge à l’étage ou attablé au rez-de-chaussée, les convives ont, en toute tranquillité, le loisir de profiter du cadre. lyon people • avril 2017 • 48 •
Yes, le pub branché
L
e Pop mitoyen a procédé à une cure d’amincissement afin de faire place nette au dernier né, un pub branché et festif. Ajouté à cela, l’émergence du restaurant La Guingette et Sylvain Cherubin s’est doté d’un complexe à fort potentiel. Avec le Yes, le principal concerné profite d’une nouvelle clientèle, orientée « populaire plus ». Des habitués du monde de la nuit captivés par ce lieu chaleureux, idéal pour décompresser autour d’un flipper, d’un billard ou du déjà mythique taureau mécanique. Sept mois après son ouverture, ce « bar de copains », dixit le maître des lieux, s’est déjà affirmé comme le parfait compromis entre le pub et la discothèque.