Cap’OPHTA
rue Angélique Du Coudray
56000 VANNES
Cap’OPHTA
rue Angélique Du Coudray
56000 VANNES
Dans un œil humain normal, les rayons lumineux passent à travers la cornée puis le cristallin avant de se focaliser en une image très précise sur la rétine.
Les récepteurs rétiniens transforment cette image en influx nerveux qui vont parvenir au cerveau via le nerf optique. Le cerveau va alors traduire ces influx en une image. Nos yeux fonctionnent comme un appareil photo et le développement se fait dans le cerveau.
Votre œil est myope si vous êtes gênés pour voir les objets lointains. Dans ce cas, votre œil est trop long et le point d’intersection des rayons se trouve en avant de la rétine. Les images perçues sont troubles.
Les personnes hypermétropes ont du mal à voir les objets proches ou à avoir des activités telle que la lecture. Leurs yeux sont trop courts et le point d’intersection des rayons se trouve en arrière de la rétine. Les objets ne peuvent être vus distinctement.
Les défauts de vision sont appelés amétropies.
Dans le cas d’un œil sans défaut de vision, la cornée et le cristallin font correspondre parfaitement la focalisation à la longueur de l’œil. Dans les autres cas, les rayons lumineux ne se focalisent pas sur la rétine.
Les défauts de vision sont classés en trois types :
Les yeux myopes ou hypermétropes peuvent également être astigmates. Dans ce cas, la cornée n’est pas parfaitement sphérique mais plutôt comme un ballon de rugby. Les rayons lumineux sont déviés de façon non régulière et forment une ligne au lieu d’un point. Les objets apparaissent déformés.
Le cristallin, grâce à ses variations de courbure, tel l’objectif d’un appareil photo, fait converger les rayons de la lumière sur la rétine, quelle que soit la distance à laquelle se trouvent les objets. C’est ce que l’on appelle l’accommodation : la possibilité de voir net de près comme de loin.
Avec l’âge, le cristallin perd peu à peu de son élasticité et la mise au point devient de plus en plus difficile à réaliser. C’est ce phénomène que l’on nomme « presbytie ».
Vers l’âge de 45 ans en moyenne, la vision de près commence à baisser et la vision des détails devient impossible sans une correction adaptée. Cette anomalie peut se cumuler avec les autres troubles de la vision comme l’hypermétropie, la myopie et l’astigmatisme.
Une alternative au port de ces lunettes est donc possible par la pose d’implants intraoculaires en remplaçant le cristallin.
PREMIER IMPLANT
intraoculaires posés
DÉVELOPPEMENT DES IMPLANTS pour corriger les défauts de vision.
Premier traitement de surface
PREMIERS IMPLANTS
MULTIFOCAUX
POSÉS À VANNES
PREMIERS IMPLANTS
DIFFRACTIFS
CHIRURGIE DE LA PRESBYTIE
du Dr Raffray
par le Dr Bertholom
AUJOURD’HUI
des millions d’implants ont été posés dans le monde
Développement des implants multifocaux
L’extraction du cristallin par phaco-émulsification, avec pose d’implant intraoculaire, est l’intervention Ia plus pratiquée en France. C’est aussi l’une des plus sûres.
Chaque année dans le monde, des millions de personnes en bénéficient dans le cadre de la chirurgie de la cataracte, ce qui a fait considérablement progresser la technique.
Les dernières avancées technologiques concernent les implants multifocaux (progressifs) que nous utilisons pour la correction de la presbytie.
Ces implants permettent également de corriger le trouble réfractif éventuellement associé (myopie, hypermétropie, astigmatisme).
Au-delà de l’exigence médicale qui a conduit à regrouper des spécialistes au sein d’un même centre d’ophtalmologie, la création de Cap’OPHTA vise à donner un nouvel élan à l’interdisciplinarité chirurgicale. L’ambition collective est d’associer compétence (sans laquelle l’interdisciplinarité perd sa raison d’être) et spécialisation.
Pionniers de la chirurgie réfractive, les médecins du centre exercent avec la même passion et accumulent une expérience incontournable.
En dehors des examens ophtalmologiques courants, comme l’acuité visuelle, la réfraction, le tonus oculaire, la pachymétrie ou l’O.C.T ; certains examens spécifiques à la chirurgie cristallinienne sont réalisés au sein même du centre comme la topographie cornéenne d’élévation et le comptage de l’endothélium avant la mise en place de votre implant intraoculaire.
Un biomètre de dernière génération (Argos, ALCON®), couplé à l’expertise de votre chirurgien, permettra de calculer la puissance de cet implant avant sa fabrication (l’implant est donc calculé et fabriqué en fonction de chaque œil).
Ce biomètre lui servira aussi de guidage chirurgical numérique.
L’anesthésie est locale et la durée de l’intervention est courte, en moyenne 20 minutes par œil, les deux yeux se faisant généralement à 15 jours d’intervalle.
A l’aide du laser Femtoseconde, le chirurgien effectue des micro-incisions dans l’œil, ce qui lui permet d’extraire le cristallin au moyen d’un appareil à ultrasons. Le cristallin sera alors remplacé par un implant intraoculaire qui assurera la même fonction qu’un cristallin sain.
ÉTAPE 1
Grâce au Laser Femtoseconde, les micro-incisions cornéennes et la fragmentation du cristallin sont réalisées.
APRÈS L’INTERVENTION ÉTAPE 2
Le cristallin est retiré. L’implant est introduit à la place du cristallin.
lmplant multifocal
Vous pourrez regagner votre domicile. Vous devrez vous reposer et éviter toute activité visuellement fatigante, pendant quelques heures.
Des collyres seront prescrits pour prévenir tout risque infectieux et favoriser la cicatrisation.
Cap’Ophta est équipé d’un phaco-émulsificateur (ALCON®) et d’un Laser Femtoseconde LenSx (ALCON®) de dernière génération.
Nous y effectuons la chirurgie réfractive au Lasik (myopie, hypermétropie, astigmatisme) et la chirurgie de la Presbytie avec implantation.
Le bloc opératoire répond à la norme ISO 7 (norme AFNOR NF S 90-351 de 2013).
L’organisation de ce bloc et les équipements sont comparables à celui de tout bloc pratiquant une chirurgie ophtalmologique de cataracte.
La zone du bloc opératoire possède une salle de préparation, un SAS d’entrée réservés aux patients, un SAS pour le personnel médical ainsi qu’une salle de réveil.
Avec plus de 20 années d’expérience et de développement continu de haut niveau, notre équipe mobilise toute son attention sur la sécurité.
Prendre les différents traitements prescrits :
3 Collyre hydratant : 15 jours avant l’intervention (Théalose® ou équivalent).
3 Collyre Antiseptique (Vitabact® ou équivalent) et anti-inflammatoires (Indocollyre®) :
5 jours avant l’intervention.
3 Tranquillisant (Atarax® ou équivalent) : 1 heure avant l’intervention.
3 Pour dilater la pupille de l’œil opéré Néosynéphrine® et Mydriaticum®.
Retirer les lentilles de contact 5 jours avant l’intervention.
3 Ne pas interrompre votre traitement habituel.
3 Ne pas venir à jeun.
3 Éviter les excitants (alcool, café, tabac...).
3 Ne pas se maquiller.
3 Ne porter aucun bijou (alliance, boucles d’oreilles ou piercing…).
3 Éviter les parfums le jour de l’intervention.
3 Venir avec un chauffeur.
3 Prévoir une heure sur place.
3 Prendre une douche le matin de votre intervention à la Bétadine® (ou équivalent).
Ceci est un soin aussi important que les autres traitements.
Si ces différentes consignes ne sont pas scrupuleusement respectées, l’intervention chirurgicale devra être reportée pour votre sécurité.
Comment prendre les douches pré-opératoires :
1. Mouillez-vous en entier y compris les cheveux.
2. Utilisez le produit en frottant jusqu’à l’obtention d’une mousse blanche.
3. Lavez d’abord les cheveux comme avec un shampoing.
4. Lavez ensuite le corps de haut en bas en insistant particulièrement au niveau des aisselles, du nombril, des organes génitaux, du pli inter-fessier ainsi qu’entre les orteils.
5. Rincez-vous abondamment pour éliminer la mousse.
6. Renouvelez la douche une deuxième fois avec le même produit, de haut en bas, en commençant par les cheveux.
7. Rincez-vous à nouveau très soigneusement.
8. Séchez-vous avec une serviette propre et mettez des sous-vêtements et des vêtements propres.
Evitez les projections du produit dans les yeux.
Les infections du site opératoire sont rares mais peuvent parfois compromettre sérieusement le résultat de la chirurgie.
Il est maintenant clairement établi qu’une proportion importante de ces infections est en rapport avec un microbe dont le patient était porteur avant l’intervention.
Pour limiter ce risque d’infection à partir d’un microbe de votre peau, des mesures d’hygiène cutanée simples sont indispensables dans votre intérêt et votre participation est pour cela fondamentale.
Le développement de moyens anesthésiques efficaces et peu invasifs nous a conduit à mettre au point des techniques d’anesthésies topiques (instillation de gouttes anesthésiantes d’OXYBUPROCAINE°) dans l’œil avec un protocole très rigoureux.
Protocole : ½ heure, puis ¼ d’heure et enfin au moment de l’intervention. Le procédé chirurgical est indolore.
Elle sera :
3 Rapide (environ 15 à 20 minutes).
3 Indolore (collyre anesthésiant).
NB : Le patient ne voit pas les instruments.
Il faut :
3 Ouvrir les 2 yeux en permanence.
3 Ne pas bouger.
3 Suivre les consignes de l’équipe chirurgicale sans bouger la tête.
3 Répondre aux questions posées par le chirurgien.
Il ne faut pas :
3 Croiser les jambes.
3 Faire des mouvements brusques.
3 Se toucher le visage une fois la désinfection réalisée (Bétadine®).
Après l’intervention, il est impératif de :
3 bien suivre les traitements prescrits par votre chirurgien pendant 30 jours :
- Antibiotiques et corticoïdes : Tobradex®.
- Anti-inflammatoires : Indocollyre®.
- Collyre hydratant : Théalose® ou équivalent.
3 Ne pas se maquiller pendant 15 jours (eyeliner et crayon pendant 1 mois).
3 Ne pas aller en piscine pendant ces 15 jours : en intérieur et extérieur des bassins.
Un contrôle systématique sera effectué au centre d’ophtalmologie dans les jours qui suivent l’intervention (cela vous sera précisé par le secrétariat).
Les risques spécifiques sont les suivants :
1. Infection – Extrêmement rare mais la prévention de ce risque est une préoccupation fondamentale.
2. Diminution de la sensibilité aux contrastes, plus particulièrement quand l’éclairage est faible.
3. Perception de halos ou de lignes rayonnantes autour de sources de lumière la nuit.
4. Œil sec – traité par les larmes artificielles.
Une correction complémentaire est parfois souhaitable dans la vision intermédiaire (entre 50 cm et 1 m : sur ordinateur ou à certains postes professionnels).
Votre ophtalmologiste répondra en toute honnêteté à toutes les questions que vous pourriez lui poser. Toutes les informations concernant la sécurité, les risques spécifiques aux équipements et à la méthode utilisés dans le centre vous seront donnés par le chirurgien.
Durant la consultation, vérifiez que vous avez bien parlé de tous les traitements médicamenteux que vous suivez. Alors seulement, votre ophtalmologiste pourra juger de la pertinence d’une intervention.
Le paramètre le plus important est la confiance que vous accordez à votre chirurgien.
Un ophtalmologiste spécialisé et expérimenté est la meilleure assurance pour vous d’obtenir un traitement sûr, efficace et définitif.
OPHTALMOLOGISTES
SECRÉTAIRES
ORTHOPTISTES
Responsable
INFIRMIÈRES
Secrétariat : 02 97 47 83 51 ou 06 49 53 92 65
Orthoptistes : 06 31 90 55 93
Site d’information : www.capophta.fr
Adresse de la consultation et du bloc opératoire :
Cap’Ophta - 6 rue Angélique du Coudray - 56000 VANNES
Les numéros de téléphones portables du Dr Bertholom et du Dr L’hirondel vous seront communiqués dans votre dossier opératoire.
Sur la nationale 165, sortir en direction de Pontivy - Saint-Brieuc. Suivre la direction Pontivy.
Au premier rond-point (Giratoire de Kerniol), entrez dans la zone du TENENIO.
Passez l’Hôpital Privé Océane (sur votre gauche), le centre se situe 100 m après.