

Cher/Chère sympathisant·e,
En pensant à l’année écoulée, mon cœur se remplit de gratitude devant votre soutien indéfectible. Votre engagement envers la protection de notre planète a été le moteur de nos progrès et de nos victoires en 2024. Ce rapport n’est qu’un aperçu de l’impact inestimable que nous avons eu ensemble.
L’un des moments forts de l’année a été l’accueil d’une délégation internationale d’activistes Greenpeace à Ottawa lors des négociations du traité mondial sur les plastiques des Nations Unies. En plus de préconiser la limitation de la production de plastique à l’échelle mondiale, nous avons également accompagné Ecojustice devant les tribunaux pour maintenir l’interdiction du plastique en vigueur au Canada. Nous avons continué à faire pression pour une action climatique ambitieuse, dénoncé les pratiques d’écoblanchiment des grandes pétrolières et exhorté le gouvernement à renforcer son nouveau projet de loi sur la responsabilité à l’égard de la nature.
Au niveau mondial, nous poursuivons notre campagne contre l’exploitation minière en eaux profondes et continuons à réclamer la protection des écosystèmes marins fragiles et des moyens de subsistance des populations côtières qui en dépendent. Nous avons également travaillé aux côtés de communautés parmi les plus durement touchées par les changements climatiques, en soutenant leurs efforts pour accroître leur résilience et exiger que les responsables de la dégradation de l’environnement rendent compte de leurs actes.
Naturellement, l’un des événements marquants de cette période pour moi a été la conclusion du procès intenté par Produits forestiers Résolu contre Greenpeace Canada, qui aura duré une décennie. Mais avec vous à nos côtés, nous avons tenu bon. Grâce à votre soutien, nous avons continué à enquêter et à dénoncer leur nouveau propriétaire, Paper Excellence, et nous avons même témoigné devant le Comité permanent des ressources naturelles de la Chambre des communes au sujet de leur accaparement des forêts canadiennes. La conclusion de cette affaire constitue une indication claire pour les autres industries que Greenpeace ne se laissera pas réduire au silence.
Je vous suis profondément reconnaissante de votre soutien continu et de votre confiance en notre travail. Ces témoignages de gratitude sont une célébration de ce que nous avons accompli ensemble et de tout ce que vous contribuez à notre mouvement.
Merci beaucoup,
CHRISTY FERGUSON
Directrice
générale,
Greenpeace Canada
Cette année, un poids énorme a été enlevé des épaules de Greenpeace Canada. Et cela grâce à votre soutien.
Pendant plus d’une décennie, le géant Produits forestiers Résolu a poursuivi Greenpeace Canada à hauteur de 7 millions de dollars pour avoir dénoncé ses pratiques d’exploitation forestière non durables. Cette action était une poursuite-bâillon – une attaque juridique sans fondement visant à intimider, saper les ressources financières et limiter les activités de plaidoyer de Greenpeace.
Face à cette offensive, notre organisation n’a jamais reculé : au cours des 11 dernières années, nous avons tenu bon pour nos forêts, nos collègues et nos sympathisant·es. L’affaire a pris fin en avril 2024. Le fait que ce procès soit maintenant terminé constitue une avancée importante pour de nombreuses raisons – notamment car cela montre aux autres grandes industries que nous ne nous laisserons pas museler.
Malgré cela, le réseau Greenpeace fait face à une vague de poursuites-bâillons à travers le monde. Greenpeace ÉtatsUnis et Greenpeace International sont conjointement poursuivies pour 300 millions de dollars américains par Energy Transfer (ET), l’entreprise pétrolière qui exploite le Dakota Access Pipeline (DAPL), objet des manifestations de Standing Rock en 2016.
Le mouvement #noDAPL, mené par les peuples autochtones, a mis en lumière les menaces que l’oléoduc posait pour la souveraineté autochtone et les droits relatifs à l’eau, et a inspiré une vague mondiale de résistance. Le procès intenté par ET tente de réécrire l’histoire du mouvement de contestation autochtone à Standing Rock en alléguant que Greenpeace a orchestré l’ensemble de la mobilisation. Cela pourrait avoir un effet dissuasif sur les organisations et les personnes prenant part à des
manifestations et à des rassemblements pacifiques.
La poursuite d’ET est un cas de plus où une grande entreprise a recours à l’intimidation juridique pour réprimer toute contestation afin de maintenir le pouvoir et la position de l’industrie des combustibles fossiles face à l’opposition croissante de l’opinion publique. De telles actions en justice sont, à bien des égards, un signe de désespoir et confirment que nous sommes en train de gagner.
Nous ne laisserons pas ces attaques nous empêcher de plaider en faveur d’un avenir juste, vert et pacifique. Au contraire, nous veillerons à ce qu’elles aient pour effet d’accroître le soutien apporté à des organisations comme Greenpeace et de renforcer le mouvement en faveur de la justice.
C’est grâce au soutien financier et à la solidarité de sympathisant·es comme vous que cela est possible. Merci de nous permettre de conserver notre indépendance et de dire la vérité au pouvoir.
Lors d’une semaine mondiale d’action en septembre, des activistes et sympathisant·es de Greenpeace à Taipei, Taïwan, ont rejoint — avec d’autres dans le monde entier du monde entier, dont la Suède, l’Espagne, le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et l’Indonésie ont fait preuve de force et de résistance contre les SLAPPS, avec des bannières sur lesquelles était inscrit We will not be silenced (« Notre mouvement ne sera pas réduit au silence »).
En janvier, huit résident·es de Bonaire, une île des Pays-Bas caribéens, ont rejoint Greenpeace Pays-Bas lors d’une conférence de presse pour annoncer leur décision de poursuivre l’État néerlandais pour atteinte aux droits de la personne en raison due a l’insuffisance des mesures prises pour lutter contre les changements climatiques. L’action en justice exige que les Pays-Bas réduisent leurs émissions de carbone afin de limiter le réchauffement à moins de 1,5 °C et mettent en œuvre des plans solides, élaborés avec les communautés de Bonaire, pour protéger la population de l’île des conséquences de la crise climatique et faire en sorte qu’elle puisse continuer à y vivre.
En février, des activistes de Greenpeace Canada ont installé une chouette tachetée gonflable de 20 pieds de haut devant la résidence officielle du premier ministre Trudeau, située sur les terrains de Rideau Hall à Ottawa, afin d’exhorter le gouvernement à adopter une nouvelle loi sur la nature cette année. La chouette tachetée du Nord connaît un déclin critique en raison de la perte de son habitat et constitue un symbole de la crise de la nature au Canada. Le public est très favorable à l’adoption d’une nouvelle loi sur la protection de la nature, et plus de 87 000 personnes ont signé une pétition de Greenpeace exhortant le gouvernement canadien à renforcer les mesures de protection de la nature et respecter la souveraineté des peuples autochtones.
En avril, des groupes environnementaux du monde entier ont convergé vers Ottawa, au Canada, à l’occasion du quatrième cycle de négociations des Nations Unies en vue d’un traité mondial sur les plastiques. Les activistes de Greenpeace Canada ont livré une « usine mondiale de plastique » longue de 20 pieds à la porte du Centre Shaw, où se tenaient les négociations. La délégation de Greenpeace, composée de plus de 20 activistes de partout au monde, a pris part aux négociations en tant qu’observateur officiel, organisant des conférences de presse et rencontrant les délégué·es à l’intérieur du centre de conférence pour les encourager à réduire la production de plastique.
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Des activistes de Greenpeace Canada ont installé une « usine mondiale de plastique » de 20 pieds de long à l’entrée du Centre Shaw, où ont eu lieu les négociations du traité mondial sur les plastiques de la CIN-4 à Ottawa, en 2024.
En juin, le navire Rainbow Warrior de Greenpeace s’est rendu en Thaïlande dans le cadre du projet Ocean Justice et a invité les gens de la région à monter à bord pour une visite. Cette initiative vise à collaborer avec les communautés locales et les groupes de la société civile afin de créer des aires marines protégées gérées par les communautés, qui permettront à la population de prospérer tout en assurant la sécurité et la protection de la biodiversité marine.
Pendant la vague de chaleur qui a touché Montréal au mois d’août, le personnel et les bénévoles de Greenpeace Canada ont servi gratuitement de la crème glacée végane dans la rue pour souligner le rôle de l’industrie des combustibles fossiles dans les changements climatiques et réclamer la création d’un fonds de réparation climatique. La quasi-totalité des provinces canadiennes et un territoire faisaient alors l’objet d’alertes de chaleur extrême, tandis que des villes comme Toronto étaient confrontées à de graves tempêtes et inondations. Greenpeace demande au gouvernement canadien de faire payer les entreprises de combustibles fossiles pour les dommages climatiques, et a profité de ces vagues de chaleur pour discuter avec le public du lien entre les combustibles fossiles et les phénomènes météorologiques extrêmes.
tDes activistes de Greenpeace ont offert de la crème glacée végane au public pour encourager les conversations sur le rôle de l’industrie des combustibles fossiles dans la crise climatique, à Montréal, en 2024.
En août, l’équipe de prévention des feux de forêt de Greenpeace a organisé une formation avec des bénévoles dans la province indonésienne de Sumatra du Sud. Chaque année, une brume dense s’abat sur l’Indonésie et ses voisins en raison du défrichement systématique et illégal des forêts tropicales et des tourbières, effectué pour permettre l’aménagement de plantations industrielles destinées à la production d’huile de palme et de pâte à papier. Constituée de bénévoles de différentes régions, l’équipe de prévention des feux de forêt collabore avec les communautés habitant les zones touchées pour cartographier et surveiller les points chauds et introduire des techniques de prévention des incendies.
tL’équipe de prévention des feux de forêt de Greenpeace a participé à une formation dans la province de Sumatra du Sud, en Indonésie, en 2024.
En août et en septembre, le navire Rainbow Warrior a mené une expédition de cinq semaines dans le Pacifique Nord afin de documenter les pratiques de pêche destructrices aux alentours des monts sous-marins de l’Empereur – un point chaud biologique – et mettre en lumière les conditions de travail sur les palangriers taïwanais. Nous avons surveillé 9 navires de pêche et recensé la capture de 84 requins dans des filets en l’espace de 25 heures seulement. Les personnes migrantes travaillant sur de tels bateaux endurent souvent des conditions difficiles et de labeur forcé. Greenpeace leur a apporté un soutien sous la forme de paquets de provisions et d’un accès Wi-Fi pour leur permettre de contacter leurs familles.
navire Rainbow Warrior, dans l’océan Pacifique Nord, affichant une bannière en filet indiquant « WI-FI GRATUIT ». Le
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En octobre, lors d’un voyage de recherche à Accra, une équipe de Greenpeace Afrique et de Greenpeace Allemagne a utilisé des scanners infrarouges pour examiner les vêtements jetés dans les décharges et en identifier les différentes fibres. Résultat : 89 % d’entre eux contiennent des fibres synthétiques fabriquées à partir de combustibles fossiles, qui se dégradent en microplastiques. Chaque année, 120 000 tonnes de vêtements usagés en provenance d’Asie, d’Amérique du Nord et d’Europe finissent au Ghana. Plus de la moitié sont des articles jetables et de piètre qualité sans aucune valeur de revente, et une grande partie d’entre eux sont faits de plastique.
Un activiste Greenpeace tient une bannière sur la côte de Jamestown dans la ville d’Accra, au Ghana, où les déchets textiles se retrouvent dans la mer, en 2023.
Greenpeace Canada est également reconnaissante pour le soutien qu’elle a reçu cette année du Fonds d’éducation Greenpeace Canada (FECG) et à l’ensemble des donateur·rices, chercheur·ses, partenaires de mise en œuvre et membres du conseil d’administration qui rendent possible le travail du FECG.
Lancé en 2020, le FECG s’engage à approfondir la compréhension du public sur les questions environnementales, climatiques et énergétiques par le biais de l’éducation et d’une recherche percutante qui incite à un changement transformateur au Canada et au-delà.
Le FEGC a mené plusieurs projets d’enquête qui ont eu un impact significatif sur la sensibilisation et la responsabilité environnementale :
Influence de l’industrie des combustibles fossiles :
Une recherche financée par le FEGC a permis de mettre en évidence la forte influence des entreprises de combustibles fossiles au Canada et la manière dont les banques contribuent aux changements climatiques en finançant l’industrie des combustibles fossiles.
des lacunes en matière d’éducation environnementale :
Le FEGC a commandé une évaluation approfondie afin d’explorer les lacunes en matière d’éducation à l’environnement, tant pour les élèves que pour le personnel enseignant. Cette recherche guidera de futures initiatives visant à combler ces lacunes et à renforcer les connaissances sur le climat au Canada.
Rapport sur l’impact climatique des cabinets juridiques canadiens :
Intitulé le Canadian Law Firm Climate Impact Report, ce rapport novateur financé par le FEGC a révélé le rôle de l’industrie juridique dans la crise climatique et identifié des pistes pour un changement positif. Ses conclusions ont suscité l’attention des cabinets juridiques, de leur clientèle et des étudiant·es en droit à travers le Canada.
Victoire dans la lutte contre
l’écoblanchiment :
Grâce au soutien résolu du FEGC et de ses alliés, nous avons remporté une grande victoire cette année lorsque le gouvernement fédéral a adopté le projet de loi C-59, qui est venu renforcer la législation la législation contre l’écoblanchiment en modifiant la Loi sur la concurrence. En vertu de ces amendements, les entreprises doivent désormais étayer leurs déclarations environnementales, ce qui assure une plus grande responsabilisation. La nouvelle réglementation a entraîné des changements importants, notamment le retrait par l’Alliance nouvelles voies (le plus grand groupe de pression pétrolier au Canada) des déclarations environnementales non vérifiées de son site Web et de ses réseaux sociaux.
« Merci pour votre motivation, votre engagement permanent en faveur de la protection de notre belle planète et pour la confiance que vous accordez à notre travail visant à mettre en lumière les menaces auxquelles nous faisons face. Nos campagnes ont besoin de données probantes pour avoir un impact et conduire au changement, et votre soutien est essentiel pour nous permettre de les recueillir. »
Paul Johnson responsable de l’unité scientifique de Greenpeace
« Lorsque les gens me demandent s’ils doivent être optimistes en pensant à l’avenir, je leur réponds que je ne veux pas qu’ils soient optimistes, mais qu’ils aient de l’espoir. L’optimisme suppose que tout ira bien, et ce n’est pas ce vers quoi nous nous dirigeons actuellement. L’espoir, pour sa part, est la conviction que ce que nous faisons a de l’importance. L’espoir invite à l’action – il est la raison d’être de Greenpeace. »
Keith Stewart stratège principal en matière d’énergie
« Nous ne pouvons tout simplement pas mener à bien notre mission sans votre soutien. Greenpeace est unique dans la mesure où elle ne reçoit aucun financement de la part de gouvernements ou d’entreprises. Notre organisation s’appuie presque entièrement sur le mobilisatione pouvoir citoyen et le soutien de personnes qui croient en ses efforts afin de garantir un avenir vert et pacifique pour tout le monde. Grâce à ce modèle, nous disposons d’une indépendance et d’une latitude accrues pour démontrer les faits aux personnes au pouvoir, sans devoir limiter ou censurer les messages et les stratégies utilisées dans le cadre de nos campagnes. Notre communauté de donateur·rices est ce qui fait la spécificité de Greenpeace, et nous ne changerions ça pour rien au monde. »
Farrah Khan responsable du programme Nature et Biodiversité
« Les sympathisant·es de Greenpeace sont au cœur de tout ce que nous faisons. Sans ces personnes dévouées qui font entendre leur voix, qui font don de leur temps et qui nous soutiennent financièrement, nous ne serions pas en mesure de repousser les limites de ce qui est possible pour notre avenir ou d’obliger les entreprises et les gouvernements à rendre des comptes ».
Sarah King
stratège principal en matière d’océans, de plastiques et de biodiversité
Le mois de juin 2024 a marqué la fin d’une époque à Greenpeace Canada, car nous avons dit au revoir à notre merveilleuse collègue Mona Coulavin et l’avons félicitée pour son départ à la retraite. Mona a rejoint l’équipe de Greenpeace Canada en 1990. À l’époque, le bureau de Toronto, pour reprendre les mots de Mona, « était un espace minuscule au-dessus d’un comptoir de pizzas à emporter, rempli de gens pleins d’énergie, de colère, de détermination et d’espoir ». Pendant ses 34 années de carrière, Mona a occupé plusieurs fonctions (et a survécu à de nombreux déménagements de bureaux!), notamment celle de coordinatrice des services de soutien et de responsable des données et de l’analyse, rôles qu’elle a assumés avec un engagement et un dévouement exceptionnels. Tout au long de son parcours, Mona a participé à des dizaines d’actions et de manifestations de Greenpeace, servi de responsable d’équipe et de mentore à un grand nombre de collègues, communiqué et dialogué avec des milliers de sympathisant·es et fait de Greenpeace Canada un meilleur endroit grâce à sa nature bienveillante et compatissante.
« La force de Greenpeace repose en son personnel, ses bénévoles et ses sympathisant·es, dit Mona. Elle provient de ces personnes courageuses qui agissent, mais aussi de celles qui assurent le bon fonctionnement de l’organisation et de celles qui croient tellement en son travail qu’elles sont prêtes à donner de leur temps et leur argent ». Depuis plus de trente ans, Mona est l’une de ces personnes. Merci Mona, au nom de nos sympathisant·es et de notre personnel, passé et présent, d’avoir tant donné à notre mouvement et de l’avoir rendu plus fort!
Des personnes bienveillantes, désireuses de protéger notre planète et les autres, ont toujours été au cœur du travail de Greenpeace. Chaque don généreux, chaque participation à un rassemblement, chaque signature sur une pétition suscite un élan et nous rapproche un peu plus d’un monde plus vert pour chacune et chacun d’entre nous.
Notre travail n’est possible que grâce à vous et aux autres personnes qui soutiennent notre travail. Vous faites partie d’une communauté infiniment généreuse et issue de tous les milieux qui s’étend audelà des frontières géographiques. Votre appui soutient non seulement les campagnes de Greenpeace Canada, mais contribue également à d’autres campagnes mondiales, ce qui fait de vous le cœur du travail de Greenpeace dans le monde entier. Nous savons que le monde actuel comporte son lot de pressions et de contraintes, et que le temps et l’argent sont des ressources précieuses. C’est pourquoi nous vous remercions sincèrement d’investir en nous, en nos campagnes et en la planète.
Ellen Sprenger est l’une de ces personnes généreuses qui soutient Greenpeace et qui s’est engagée à faire un don dans son testament.
« J’ai l’impression de connaître Greenpeace depuis toujours. J’aime leur créativité, leur courage et leur volonté d’œuvrer pour une planète et un avenir propres, justes et renouvelables. En plus des actions que nous voyons dans les médias, Greenpeace s’engage et travaille avec les entreprises, les gouvernements et des organisations de la société civile pour jeter des bases solides en vue d’une véritable transformation. Greenpeace est une force de changement astucieuse et efficace. En inscrivant l’organisation dans mon testament, je fais un cadeau aux générations futures qui habiteront cette planète. Je suis fière de soutenir Greenpeace. »
Ellen Sprenger
Les Gardiennes et Gardiens verts sont un groupe mondial de personnes qui se sont distinguées par générosité et leur engagement envers la protection de la planète.
Merci de faire partie de cette communauté! Nous ne pourrions pas mener à bien notre mission sans vous.
greenpeace.ca