diplômée de l’École Nationale Supérieure d’Architecture de Paris-Belleville (ENSA-PB)
Sommaire
1
La Machine à Mémoire - DSA (parasismique)
Marché couvert en structure bois - L3
2 - LOGEMENTS COLLECTIFS ET STRUCTURES HÔTELIÈRES
Logement collectif - L3
Retreat for the Blind - M2
3 - PROJETS SPACIAUX STUDIO UNO ET ARTS PLASTIQUES
Le Logis - L2
1 - PROGRAMMES MIXTES À L’ÉCHELLE URBAINE
Architecture et Méditerranée - PFE
Projet de revitalisation de Ceccia, un village corse en déclin, en s’appuyant sur ses enjeux paysagers, patrimoniaux et sociaux spécifiques et sur un équilibre entre son histoire et les nouveaux modes de vie. L’objectif est ainsi de révéler les potentiels déjà présents au village tout en y apportant une dynamique nouvelle.
Le village s’intègre à flanc de montagne et est tourné vers la vallée. Il est situé à proximité de deux sites archéologiques torréens (casteddi). Ses maisons en granit du XVIIIe siècle sont en majorité à l’abandon à cause de problèmes d’héritage, représentant ainsi un potentiel de densification et de remise en valeur du patrimoine. La population y est faible et vieillissante et aucun lieu de rencontre n’est présent.
Un premier travail à l’échelle paysagère consiste en la revalorisation des sentiers menant aux sites archéologiques. Il s’agit, outre leur mise en réseau et l’amélioration de leur signalétique, d’aménager des espaces de pause en valorisant des aménités naturelles ou en installant des
micro-architectures lorsque nécessaire. Celles-ci prennent la forme de plateformes de piquenique, d’un pont ou de bancs réalisés avec le granit présent sur place.
Un deuxième temps du projet traite l’aménagement du centre ancien fragmenté par des usages informels en une nouvelle place du village. Celle-ci, en lien avec le départ du sentier, offre un lieu de rencontre pour les habitants et les visiteurs.
Elle est implantée dans la pente avec une série de terrasses appelant différents usages et créant une ascension progressive vers le départ du sentier. De bas en haut : placette en lien avec une petite halle aux usages flexibles, place haute plantée avec des bancs et un terrain de pétanque et enfin assises en gradins associées à un espace de représentation en belvédère sur la vallée. La halle sert de centre d’interprétation des sites archéologiques, mais aussi de salle des fêtes, d’expositions ou de réunions pour l’association existante en manque de local.
Site de Tappa
Plaine boisée du Caniccione
Plaine du Stabiacciu, suberaie de Ceccia Ceccia
Casteddu di Tappa
Casteddu di Ceccia
Massif d’Arapa & Petra Longa
départ du sentier espace de pique-nique et gradins place haute halle placette route plaine
La place, lieu de convergence des usages à travers une ascension progressive vers le sentier.
0 5 10 20m
Interventions sur le sentier de Ceccia : micro-architectures et aménités.
Départ principal du sentier
Panneaux d’indications et d’explications
Zone de ravinement : installation de traverses
Emmarchements
Le Casteddu de Ceccia
0 5 10 20m
Le banc naturel
La fontaine
Les blocs de granit
Les plateformes
La citerne
L’olivier
Les plateformes : un espace ombragé en hauteur propice à la pause.
0 1 2 5m
Enfin, le troisième temps du projet consiste en la redensification de l’habitat à Ceccia, allant de pair avec la redynamisation du centre. Quatre maisons neuves sont ainsi créées en relation directe avec la place pour la contenir en prolongeant le front bâti existant (cf. plan p.5). Un travail d’analyse du bâti ancien a été effectué, permettant de proposer des habitations respectant certains des gabarits et principes architecturaux locaux, tout en s’autorisant des variations afin de concilier la valorisation de l’histoire du lieu avec de nouveaux modes de vie.
Mais le point de départ de cette redensification habitante est la réhabilitation de maisons abandonnées. Deux projets ont été développés : le premier traite trois maisons accolées à l’abandon. Leur inscription dans un dénivelé
engendrait une problématique de manque d’ensoleillement au rez-de-jardin, résolue par la création d’une double hauteur sur le salon grâce à la transformation du rez-de-chaussée en espace de distribution en mezzanine comportant la salle-de-bains, en interface entre le niveau haut et le niveau bas.
Le second projet traite trois bâtiments abandonnés – une maison paysanne et deux cabanes – gravitant autour d’un espace extérieur. L’ensemble est unifié en une même habitation intérieure-extérieure : les espaces sont décomposés entre les différents bâtiments pour mieux les mettre en relation et donner vie à l’ensemble par l’extérieur. L’habitant profite ainsi du jardin comme lien entre tous les lieux de la maison dans un climat méditerranéen.
Trois maisons inscrites dans un dénivelé : coupe transversale sur la double hauteur de l’une d’elle, amènant la lumière du Sud jusqu’au fond de la cuisine.
Relevés de l’ensemble bâti à l’abandon au départ du sentier.
Une maison extérieure : plan de rez-de-chaussée du projet de réhabilitation.
0 1 2 5m
Insertion paysagère du projet de place avec sa halle et ses logements neufs et réhabilités (éch. 1 : 500).
Maquette d’insertion des projets du PFE dans le paysage de Ceccia (éch. 1 : 500). De gauche à droite : projet de logements et commerce, agrandissement de l’école, halle agricole, en face du présent projet de place et de logements.
Maquette structurelle béton-bois de la halle à usages flexibles, en lien avec la place haute (éch. 1 : 20).
Maquette d’une plateforme de pique-nique en amont du sentier (éch. 1 : 20).
1 - PROGRAMMES MIXTES À L’ÉCHELLE URBAINE La Machine à Mémoire - DSA (parasismique)
Le projet du 1er semestre de DSA Risques Majeurs traite d’un bâtiment à réhabiliter à Apice Vecchio (Italie), un village abandonné depuis 1980 suite à plusieurs séismes. Les habitants ont déménagé dans une nouvelle ville créée ex-nihilo de l’autre côté de la colline, Apice Nuovo.
Le bâtiment que nous étudions est le Palazzo Falcetti, une demeure noble datant du XVIIIe siècle et se trouvant dans la partie de la ville fermée au public.
L’enjeu décrit par la mairie est celui de relancer une activité touristique à Apice Vecchio, surnommée la « Pompei du XXe siècle », en s’appuyant sur la construction d’une gare de la nouvelle ligne de TGV passant à proximité. De plus, les habitants
d’Apice Nuovo nous ont fait part de leur désir de voir davantages d’événements organisés dans leur ancien village. Ainsi, nous avons décidé d’orienter le projet de manière à s’adresser à deux échelles de public : un tourisme tant national qu’international, et les habitants du village d’en face, en mettant particulièrement l’accent sur la jeune génération, aujourd’hui détachée d’Apice Vecchio.
Le projet est celui d’un musée immersif à ciel ouvert se développant dans la ville haute. Un parcours didactique est immaginé à travers des maisons à l’abandon témoins du passé, superposées à de nouvelles technologies telles que des diffusions visuelles et sonores ou encore des hologrammes.
Apice Vecchio
Apice Nuovo
Calore
Palazzo Falcetti il
Ville basse (plus ancienne et dégradée) Ville haute (XVIIIe, maisons de nobles)
Plan de projet : un musée immersif à l’échelle urbaine.
Belvédères
Places structurantes
Bâtiments réhabilités
Stationnements existants
Arrivées à pied
Arrivées en voiture
Cette partie mémorielle trouve son pendant dans la ville basse, inaccessible, visible uniquement depuis une passerelle-Mémorial qui plonge le visiteur dans une perception plus fantastique. Elle est l’empreinte d’une rue, reconstruite en métal en hauteur, seule trace subsistante lorsque la végétation aura repris ses droits. L’esthétique métallique alliée à la pierre de réemploi se retrouve dans tout le projet, donnant à lire une machine à mémoire qui transforme le visiteur et l’invite à s’approprier l’histoire du village.
En partant du Palazzo, un programme d’escape game rend d’autant plus ludique le parcours dans la ville et appropriable l’expérience muséale. Les thèmes abordés vont de la sensibilisation aux risques à la légende des sorcières locale, en passant par une immersion dans les modes de vie du Moyen-Âge aux années 1960.
Le Palazzo Falcetti est séparé de son mitoyen au Nord pour limiter les vulnérabilités en cas de séisme, d’après le constat de désordres à leur jonction. Le bâtiment Sud abrite un escape game au rdc et des archives numériques à l’étage, recréées via témoignages et recherches. Cette « machine à mémoire » convertit l’histoire en supports immersifs : 5D, projections, hologrammes…
Le bâtiment Nord est au contraire plus « fantastique ». La dualité des deux bâtiments (mémoriel au Sud et fantastique au Nord), tout comme celle de la ville haute et basse, est nuancée par seconde passerelle métallique qui les relie. Elle permet de traverser
le bâtiment Nord comme on admire une ruine. Aujourd’hui très endommagé et sans toiture, il est curé de ses planchers et refends, excepté pour 3 murs. Ces murs isolés sont précontraints pour pouvoir résister aux séismes, rappelant l’esthétique de métal superposé à la ruine.
La passerelle permet aussi d’accéder à une boîte métallique contenant des immersions 5D liées au musée - archives. Cette boîte est le symbole de la machine à mémoire qui avale les visiteurs, leur fait vivre une expérience qui leur donne une partie d’histoire à s’approprier, et les fait ressortir changés, avec un nouveau regard sur la ruine qui les entoure.
Élévation Est de l’existant - signalation de la trame retirée lors du projet entre le Palazzo (au Sud) et son mitoyen (au Nord) - détail de l’appareillage
Plan projet du rez-de-chaussée
0 1 2m
La toiture en PTFE, qui évoque un univers fantomatique, est trop légère pour servir de diaphragme, et le curage du bâtiment aggravant sa vulnérabilité, un chaînage périphérique renforce l’ensemble. Il est complété à l’Est par la passerelle treillis et la boîte, qui reprennent les efforts transversaux.
0 1 5 10m
Plan projet de l’étage
1 - PROGRAMMES MIXTES À L’ÉCHELLE URBAINE
Marché couvert en structure bois - L3
Création d’un marché couvert en structure bois s’immisçant sur la place Marcel Achard à Paris.
Les enjeux principaux sont la gestion de la pente et des flux traversant cette place, ainsi que le rachat des formes chaotiques qui lui donnent une impression d’arrière-cour.
Élaboration d’une structure en demi-fermes donnant son identité au projet. Le travail de la lumière et de l’implantation des usages sous le marché couvert se fait en parallèle du développement de la structure bois.
Projet de logements collectifs sur une parcelle en pente à FontenaySous-Bois (94) incluant une crèche en rez-de-chaussée, et réhabilitation d’un immeuble du XIXe siècle en haut de la parcelle, au rez-de-chaussée duquel s’insère une épicerie et un café.
J’ai pris le parti d’offrir des terrasses à ciel ouvert aux logements, ouvrant sur un jardin collectif en cœur d’îlot derrière le bâtiment implanté côté rue en bas de parcelle. Ainsi, sa hauteur s’aligne avec les bâtiments du bas de la rue et le jardin se prolonge en un parc semi-public le jour, ouvrant sur la rue entre le bâtiment neuf et celui à réhabiliter.
Ce parc est aussi l’espace de distribution de la copropriété, permettant de relier les rez-dechaussées des deux bâtiments ; celui à réhabiliter s’ouvrant sur une terrasse en surplomb du parc.
Le bâtiment neuf est séparé en deux unités afin d’offrir une vue transversale depuis la rue sur le jardin collectif et d’ouvrir des fenêtres en cœur de bâti sur un patio. Celui-ci permet aussi une circulation extérieure jusqu’à la terrasse commune où se trouve un potager partagé.
Détail de la jonction entre terrasse et appartements.
Une difficulté et une force du projet a été le travail des terrasses, réduisant la superficie à chaque étage et posant des questions intéressantes de structure et d’étanchéité. La lumière aux étages inférieurs (plus larges) était elle aussi un sujet important, traité par un travail en duplex avec mezzanines et avec des ouvertures généreuses en rez-de-chaussée tout en conservant de l’intimité, grâce à un étage semi-enterré réservé aux parkings.
2 - LOGEMENTS COLLECTIFS ET STRUCTURES HÔTELIÈRES
Retreat for the Blind
-
M2
Retreat for the Blind est un concours d’architecture de Larsen Liverpool qui a servi de base pour ce projet de Master à l’ENSA-PB.
Le programme est un centre de soins thermaux pour aveugles et malvoyants localisé en Islande, près de la plage de lave et la falaise de basalte de Reynisfjara.
Le projet s’organise en deux corps de bâtiment, un premier vertical répondant à la falaise et comprenant le complexe hôtelier, et un deuxième horizontal faisant écho à la surface de l’eau. Celuici abrite des bassins à différentes vertus thérapeutiques, des salles de massages et saunas, une salle de yoga et aromathérapie ainsi qu’une salle de poterie.
Après être entré par la grande cour intérieure, le patient suit un parcours en spirale le menant tour à tour aux salles de soins et saunas puis aux différents bassins. Ceux-ci sont organisés autour d’un patio central avec bassin extérieur : le centre de la spirale, l’œil du Maelström
Cette spirale est appuyée au Nord par une forte ligne droite qui lie le bâtiment comme une colonne vertébrale et permet d’orienter les malvoyants. En la suivant, ils ont la possibilité d’accéder à une piscine entièrement vitrée posée sur le lagon. Elle répond à l’œil du Maelström comme son contraire : un espace clos mais projeté sur le paysage, tandis que le patio est à l’air libre mais en cœur de bâtiment.
Maquette échelle 1:20 d’une portion du bâtiment.
Vue du bâtiment depuis la plage.
Vue du site de Reynisfjara (crédit : Larsen Liverpool Iceland, Adam Jang).
Vue n° 1 depuis l’œil du Maelström.
L’orientation des malvoyants le long du parcours se fait principalement grâce aux contrastes lumineux et au toucher. L’œil du Maelström crée un point lumineux central et sa proximité est annoncée par un changement de texture de sol : le sable du patio entre dans le bâtiment. Le pavement minéral est ponctué d’indications de bois, et les moucharabieh en briques de lave annoncent la proximité d’une façade à longer.
Vue n° 2 du bassin détente et du moucharabieh.
3 - PROJETS SPACIAUX STUDIO UNO ET ARTS PLASTIQUES Le Logis - L2
Développement d’un projet de logis familial à partir d’un programme composé de cinq fonctions : se reposer, se laver, se nourrir, se réunir et une phrase représentant l’âme du projet.
La phrase que j’ai choisie est « Les enfants savent quelque chose que la plupart des gens ont oublié. » - Keith Haring.
Ces cinq fonctions se traduisent par des espaces de forme carrée entrant en intersection les uns avec les autres pour générer des usages et des lieux. Les lumières, les vues et la matérialisation du carré sont minutieusement travaillés pour chaque espace et dans sa relation avec les autres.
Se reposer : vert
Se laver : bleu
Se nourrir : rouge
Se réunir : jaune
Phrase-clé : blanc
Le site d’implantation est laissé libre et son choix correspond à la phrase-clé du projet. Mon site est ainsi l’Oasis de Cottonwood Spring dans le Parc National des Joshua Trees (désert de Mohave, Californie), dont le trésor est la floraison soudaine de fleurs colorées après la pluie. Les mystères du désert éveillent la curiosité et laissent s’épanouir l’imagination.
Le logis se développe en très grande partie en prêtant attention aux particularités immédiates du contexte.
Une maquette au 1: 20 est réalisée afin de mieux appréhender les espaces créés ainsi que les matérialités et le rapport au site.
Maquette finale 1 : 20, détachable en trois parties.
3 - PROJETS SPACIAUX STUDIO UNO ET ARTS PLASTIQUES
L’Image - L2
Travail formel approfondi d’un projet d’école de musique et auditorium au Pérou. Il s’agit d’imaginer et de développer un bâtiment d’après les lignes principales d’une photographie choisie, pour les transposer spatialement notamment par le biais de la coupe. L’enjeu est donc à la fois la « figure » du projet, son caractère perceptible depuis l’extérieur, et la qualité de ses espaces intérieurs (ce studio entrant en continuité avec le précédent).
Une recherche graphique et picturale a initié le processus de
projet. J’ai reproduit, simplifié, retourné et interprété l’image à la manière de certains peintres afin de trouver les lignes qui serviront pour la coupe principale du projet.
Le site influe grandement sur les cadrages et l’orientation du bâtiment. Il s’implante en lisière de la ville de Quillabamba, à la limite entre la Cordillière des Andes et les Forêt Amazonienne, et se tourne vers le mont enneigé Salcantay. Celui-ci crée le point focal du projet, qui organise des vues ponctuelles et grandioses sur ce mont.
« Les uns montent, les autres descendent », Lola Alvarez Bravo, 1940.
« Plans par couleurs », František Kupka, 1911, et peinture de la photographie d’après le tableau de Kupka.
« Paysage », Giacomo Balla, 1913, et peinture de la photographie d’après le tableau de Balla.
Image synthétisée finale de l’interprétation de la photographie.
Coupe dérivant de l’image synthétisée.
Vue intérieure depuis la scène.
Vue intérieure depuis les gradins.
Vue depuis la terrasse.
Maquette figure de base.
Maquette figure avancée.
3 - PROJETS SPACIAUX STUDIO UNO ET ARTS PLASTIQUES
Architecture Navale - M1
Projet de salle de classe flottante sur un bateau à voiles capable de naviguer sur des fleuves et canaux. Il est également travaillé par rapport à son lieu d’amarrage, au croisement du canal de l’Ourq et du canal Saint-Denis à Paris.
L’âme du projet que j’ai choisie au début du semestre est le mot « illusion » : le bateau doit transmettre aux usagers et visiteurs le sentiment d’illusion. Il permet aussi les usages de classe, couchettes, cuisine, salle à
manger, services sanitaires, pilotage et fonctionnement du bateau, espaces communs de détente et espaces d’exposition. Ces usages sont intriqués les uns aux autres spatialement et temporellement afin d’optimiser la taille et le poids de l’embarcation.
Ainsi, sous le salon et poste de pilotage se trouvent quelques couchettes, tandis que d’autres se métamorphosent en salle à manger le jour.
Maquette représentant les intrications des différentes fonctions du bateau.
Vue de l’entrée du bateau depuis le quai (maquette échelle 1 : 50).
Figure du bateau à l’amarrage.
L’illusion est travaillée avec des dispositifs spatiaux tels que la pespective accélérée, le miroir, les jeux de transparence, de flou et d’opacité, les jeux de différences de niveaux et de sols suspendus ou encore l’alternance de pleinvide, en s’inspirant des images ci-dessous.
Coupe transversale à l’amarrage.
Musée de l’Illusion, Paris.
« Plans par couleurs », Kupka, 1911.
3 - PROJETS SPACIAUX STUDIO UNO ET ARTS PLASTIQUES
Arts Plastiques - L1 et L2
3 - PROJETS SPACIAUX STUDIO UNO ET ARTS PLASTIQUES
Maquettes de DSA (parasismique)
Maquette de processus de construction d’une architecture parasismique vernaculaire existante, un Mbaru Niang de Wae Rebo, Indonésie. Échelle 1 : 20.
Maquette d’un projet parasismique contemporain existant, la Médiathèque de Sendai, Japon (Toyo Ito, 2001). Échelle 1 : 200.