CHE-MAIN DE VIE
Che-main de vie est une rubrique qui vise Ă dĂ©couvrir, au travers dâun chef dâentreprise, les personnes qui ont influencĂ© ou marquĂ© sa vie professionnelle. Tour Ă tour modĂšle ou soutien, cinq personnes ont jouĂ© un rĂŽle prĂ©pondĂ©rant dans la carriĂšre de FrĂ©dĂ©ric Riva. Cet ingĂ©nieur de 54 ans a dĂ©butĂ© par un CFC de mĂ©canicien de prĂ©cision, puis pratiquĂ© plusieurs mĂ©tiers, avant de devenir directeur gĂ©nĂ©ral de Wago Contact SA, Ă Domdidier, il y a six ans.
«âTravailler dur pour rĂ©aliser ses rĂȘvesâ»
FrĂ©dĂ©ric Riva prĂ©vient dâemblĂ©e: il ne faut pas sâattendre Ă de prestigieuses rĂ©fĂ©rences lorsquâon lui demande de parler des cinq personnes qui ont influencĂ© sa carriĂšre. «âPour la premiĂšre, câest classique, je vais citer mon pĂšre. NĂ© de lâunion dâune Haut-Valaisanne et dâun immigrĂ© italien, AndrĂ© mâa appris une choseâ: en travaillant dur, mĂȘme si on nâĂ©tait pas les plus malins Ă lâĂ©cole, on peut rĂ©aliser ses rĂȘves, raconte-il. Mon papa et mon oncle, tous deux entrepreneurs dans le bĂątiment, ont concrĂ©tisĂ© le leurâ: avoir une maison.â» Son pĂšre Ă©bĂ©niste lui ayant dĂ©conseillĂ© le bois, câest vers la mĂ©canique de prĂ©cision que le patron de Wago se tourne au sortir de lâĂ©cole. AprĂšs quatre ans dâapprentissage chez Kudelski, il rĂ©alise que le travail câest bien, certes, mais aussi que son pĂšre sâĂ©puise 60 heures par semaine sur les chantiers. Il dĂ©cide alors de passer le concours dâentrĂ©e de lâEcole dâingĂ©nieurs, Ă Yverdon, et y prend un plaisir fou. «âCe que jây apprenais Ă©tait trĂšs concret, liĂ© Ă mon mĂ©tier. Il sâagissait du cĂŽtĂ© appliquĂ© plutĂŽt que thĂ©orique de lâingĂ©nierie.â»
au centra eseâ» r te s e r s r u it toujoD en poche, FrĂ©dĂ©ric Riv sont ne o d t n e li c e L «ââ la per IG-V e de la H E y trouve en
Son diplĂŽm M P SA, Ă Renens, et redoutable G ach dâune n co n u E engagĂ© chez M n signant u r de cette P appris quâe er. âa n m n o y d o p G du directeu u beauco -Jacques Ă an r Je sĂ» «â n : ie tĂ© retour. gage b efficaci recevoir en ail, on sâen p u av co tr u e d ea b at technicien aussi contr e, on peut ais son pire ti Ă©t jâ ar e ep u tr q n le emp En co uelque âa dit par ex rrivais pas Ă rĂ©parer q m il r, u jo Un âhui. «âDu je nâa -t-il aujourd ue fois que le o aq g oit ri ch Ă en r, , ca neufâ» ient, qui d endais du active du cl te n u so et trouver o t Ă©c en e chose, je v seulem son besoin lquĂ© un as r, cu p eu in e et ar âa h p r. m li ac rĂ© me ne de lâ Ă Ă©tab coup, il centre: on futurâ», com er lâintĂ©rĂȘt confiance le au ch e n as er er u p st ch i a t re ra y u d rs Il ssi. ant to es Goy a ne ven toujou Jean-Jacqu rĂ©pare lui au Ă une vente, il faut av profit instantanĂ©, je â» e. le it n su o , la it u ortance des prod r un cĂšde llĂ© par ntif Ă lâimp ques fautes and on pro Ăč jâai travai ation. «âPou te u o tu at q s, si e u e d en u n ĂȘm m re aq m ie ent De ur ch upe S re quel rĂ©ponse po eur du gro , il lâa Ă©galem mĂȘme si je fais enco en t la meilleure s de 150 ans le fondat ie dans le commercial E . le siĂšge est d t n an vo plu dâallem boĂźte do a sa e rs y n u er u il v i co t u u o ai es âh tr is d d urd dre a de dirige aujo ussĂ© Ă pren rĂ©dĂ©ric Riv puisque je «âIl mâa po permis Ă F ir s. u jo ay p rĂ© e n tr s no e mâe langues dan e datif, je ne peux qu d et f ti sa dâaccu â» Allemagne.
Frédéric