FAMILLES
Saga
PUIG
LA PLAGE EN PARTAGE
Joffrey et Anne-Charlotte ont pratiquement grandi sur la plage où leur mère les emmenait à la sortie de l’école. Ils y passent tous les trois la majeure partie de leur temps libre.
Joffrey Puig Né à La Baule, il travaille depuis trois ans avec Marie-Françoise à « Vent d’Ouest ». Il souhaite lui succéder. « La Baule, confie-t-il, c’est mon cocon. J’adore y vivre. J’y ai tous mes amis. J’aime profiter de toutes ses infrastructures sportives. Et ce que je fais à “Vent d’Ouest” me plaît beaucoup. » Une musique qui évoque La Baule ? Stupidisco, de Junior Jack. Un parfum ? L’odeur des pins. Un plat ou une gourmandise ? Les langoustines et les crevettes. Une boisson ? Un rosé bien frais avec des amis ou en famille. Ou un petit verre de blanc avec des huîtres, si possible au marché. Un sport ? Beaucoup : tennis, surf, wake… Mes journées de surf ou en bateau avec mes amis sont parmi mes meilleurs souvenirs. Un objet ? Les voiliers. Mon rêve le plus fou à La Baule ? Plein d’activités pour les jeunes, de la musique partout, des concerts improvisés sur la plage, des spectacles toute l’année.
Anne-Charlotte Puig Née elle aussi à La Baule, elle a vécu quelques années à Paris et à Nantes pour ses études. Aujourd’hui, elle travaille sur la plage, tous les jours, face à la mer, et c’est un vrai bonheur. « Je suis contente d’être revenue », confie-t-elle. Elle a repris l’an dernier le restaurant « Polo Beach », sur la plage de Pornichet, avec son ami Romain Collet. Une musique qui évoque La Baule ? Mathias Aguayo, que j’écoute en boucle. Un parfum ? L’odeur de l’océan. Un plat ou une gourmandise ? Les niniches de « Manuel ». Une boisson ? Un rosé bien frais avec des amis ou en famille. Ou un petit verre de blanc avec des huîtres, si possible au marché. Un sport ? Footing sur le remblai, tôt le matin Un objet ? Les vélos. Mon rêve le plus fou à La Baule ? 25° C toute l’année !
Marie-Françoise Puig Vingt ans cette année que Marie-Françoise gère les magasins « Vent d’Ouest ». « Quand je suis arrivée à La Baule, se souvient-elle, c’était pour la profession de mon mari. Et je me suis alors dit que ce serait un merveilleux endroit pour y vivre et élever nos enfants. Je n’ai absolument pas changé d’avis. De plus, j’ai pu m’y accomplir professionnellement. Une musique qui évoque La Baule ? Pas de musique en particulier, plutôt des sons : les drisses qui claquent sur les mâts, ou le ressac qui m’apaise. Un parfum ? L’odeur du sable chaud et de l’ambre solaire. Quand les enfants étaient petits, à la sortie de l’école, nous allions toujours sur la plage nous baigner, jouer ou retrouver des amis. Un plat ou une gourmandise ? La glace à la nougatine de Manuel et les plateaux de fruits de mer. Une boisson ? Un rosé bien frais avec des amis ou en famille. Ou un petit verre de blanc avec des huîtres, si possible au marché. Un sport ? La marche à pied sur le remblai ou sur la plage, dès que je peux. J’ai aussi fait beaucoup de squash avec mon mari, nous y avons passé des moments magiques. Un objet ? Les tentes de plage. Mon rêve le plus fou à La Baule ? Le remblai complétement piétonnier, où l’on puisse courir, faire du roller ou marcher en toute tranquillité et sans bruit.
25 ANS
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LA BAULE PRIVILÈGE 2013
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