17 minute read

Leçon positive du drame de Fukushima

Next Article
Chemin faisant

Chemin faisant

Recharge bidirectionnelle

L’autonomie de la batterie d’une voiture électrique est cinq fois plus élevée que son utilisation quotidienne réelle. Le système de recharge bidirectionnelle de la société Sun2wheel permet d’exploiter ce surplus de capacité. Son fondateur, Marco Piffaretti, y voit un énorme potentiel.

TEXTE DOMINIC GRAF | ILLUSTRATIONS NICOLAS KRISTEN

En 2011, suite à la catastrophe de Fukushima, une partie du Japon connaît d’importantes pénuries et des pannes d’électricité. Alors que de nombreuses habitations sont souvent plongées dans le noir, des milliers de voitures électriques et hybrides – à l’époque déjà – sommeillent dans des garages avec des batteries pleines. Une énergie pouvant – en théorie – être utilisée à d’autres fins. Mais ces véhicules ne sont pas alors conçus pour réinjecter de l’énergie dans le réseau ou chez les particuliers, et ces précieuses réserves restent en friche. C’est ce qui pousse le gouvernement japonais à obliger la même année les constructeurs nationaux à équiper leurs voitures électriques de manière à ce que le flux soit possible dans les deux sens.

Batteries surdimensionnées

Près de dix ans plus tard, la recharge bidirectionnelle fait gentiment son chemin en Suisse. Depuis décembre 2020, la start-up Sun2wheel développe des solutions de recharge et de stockage pour les ménages privés, les immeubles et les PME. En combinaison avec l’électricité produite par les installations photovoltaïques, l’entreprise promet une optimisation considérable et financièrement intéressante de l’autoconsommation.

Sun2wheel a été fondée par des spécialistes en informatique, des experts en énergie solaire, EVTEC SA et le pionnier tessinois de l’e-mobilité, Marco Piffaretti. «Le potentiel de l’électricité solaire est loin d’être épuisé. Mais le soleil ne brille pas toujours quand nous avons besoin de son énergie. La solution pour optimiser l’autoconsommation réside dans le stockage», explique-t-il. Parallèlement, le nombre de voitures électriques augmente certes rapidement, mais, comme les véhicules à combustion, elles restent à l’arrêt la majeure partie de la journée.

Craintes infondées

L’autonomie d’une batterie de voiture électrique ordinaire est aujourd’hui d’environ 300 km, mais on ne parcourt en moyenne que 30 à 40 km par jour. «Les batteries sont surdimensionnées pour une utilisation quotidienne, sauf pour les vacances ou les longs trajets. C’est là que nous intervenons», ajoute Marco Piffaretti.

Concrètement, cela signifie que le surplus en électricité solaire peut être stocké dans la voiture, puis réinjecté dans une maison au moyen de la borne de recharge bidirectionnelle. Un procédé – appelé Vehicle-to-Home (V2H) – permettant d’utiliser l’électricité solaire n’importe quand, pour cuisiner, regarder la télévision, faire la lessive ou chauffer la pompe à chaleur électrique. Mais, concrètement, quelle quantité d’électricité doit être retirée de la voiture pour alimenter un ménage, et n’y a-t-il pas un risque que la batterie soit vide le matin venu? Marco Piffaretti a fait le calcul: «Une voiture électrique standard a une capacité de 50 à 60 kilowattheures (kWh) et un ménage moyen consomme de 10 à 15 kWh par jour. Cela signifie qu’en utilisant uniquement 20% de la capacité de la batterie, l’ensemble des besoins domestiques d’une journée peut être couvert par cette électricité.» A cela s’ajoute le fait que tout le système peut être com-

De jour, le surplus d’énergie solaire est stocké dans la batterie d’une voiture.

mandé par une application intelligente et que l’on peut définir un niveau de charge minimum pour la voiture, par exemple à 80%. La crainte de se retrouver le matin devant une voiture déchargée n’est donc pas fondée.

Une norme très attendue

Hormis au Japon, cette technologie n’en est encore qu’à ses balbutiements au niveau mondial. Car le nombre de voitures à en être équipées demeure encore particulièrement modeste. Actuellement, il s’agit des modèles Nissan Leaf, e-NV200 et Evalia, des Mitsubishi i-MiEV, Outlander et Eclipse Cross, ainsi que de la Honda e, de la Peugeot iOn et de la Citroën C-Zero. L’espoir que l’offre s’élargisse bientôt est toutefois grand. La norme ISO 15118, contenant des dispositions relatives à la recharge bidirectionnelle, devrait en effet être introduite vers la fin 2022. De nombreux constructeurs, comme VW, ont déjà annoncé qu’ils la soutiendraient.

En se projetant un peu plus loin dans l’avenir, la recharge bidirectionnelle présente également un énorme potentiel pour l’ensemble du réseau électrique. «Les voitures peuvent également réinjecter l’électricité stockée dans le réseau, via la technique Vehicleto-Grid (V2G). En connectant un nombre important de véhicules, ceux-ci peuvent lui venir en aide durant les pics de consommation électrique et éviter ainsi, par exemple, d’éventuelles pannes de courant», ajoute Marco Piffaretti. Selon ce pionnier de la mobilité, la voiture électrique ne menace pas le réseau électrique, mais le soutient et fait donc partie de la solution.

Cela reste toutefois encore un produit de niche, ce qui explique également le prix élevé – 13 000 fr. – de la borne de recharge «two-way» de Sun2wheel. Mais, pour les particuliers souhaitant stocker de l’énergie solaire pour leur propre utilisation sans posséder ce type de voiture, l’entreprise basée à Kriens (LU) dispose également d’une solution de stockage stationnaire. «Nous proposons deux modèles, l’un avec des roues et l’autre sans», explique Marco Piffaretti. Dans la version sans roues, on utilise de «vieilles» batteries Nissan. Elles représentent une solution idéale pour leur offrir une seconde vie comme batterie stationnaire, dans un garage par exemple, et tiennent encore une bonne dizaine d’années sans problème. Ce qui améliore encore leur bilan en énergie grise.

L’offre de Sun2wheel a convaincu le TCS, qui soutient activement cette start-up. Bernhard Bieri, directeur Club du TCS, s’en explique: «Nous accompagnons nos membres dans l’ère de l’e-mobilité en les conseillant, en leur apportant notre expertise, mais aussi en leur proposant des solutions concrètes de recharge à domicile et en déplacement. Les solutions intégrées pour la production et l’utilisation de courant sont très demandées, d’où notre collaboration avec Sun2wheel». ◆

Plus d’informations: sun2wheel.com/tcs Des conseils TCS neutres et individuels Avec le concours d’un expert du TCS, le conseil global personnalisé permet de relier les différents aspects de l’e-mobilité à chaque situation individuelle, de clarifier les interrogations étape par étape et de donner un aperçu rapide et efficace de cette thématique d’actualité. Les membres TCS ont la possibilité de s’inscrire gratuitement et sans engagement pour un conseil global personnalisé. ▪ Conseil détaillé et individuel ▪ Gratuit et exclusivement pour les membres TCS ▪ Conseil sur rendez-vous ▪ En français, allemand et italien ▪ En conversation vidéo ou sur place, dans notre TCS eMobility Lounge ▪ Durée de l’entretien: environ une heure

Inscription: 0844 888 333 ou eMobBeratung@tcs.ch

De nuit, la voiture alimente la maison jusqu’à un niveau de charge minimum.

L’hydrogène se tient en embuscade

Encore confidentielles, les voitures alimentées par une pile à combustible se targuent d’avoir un rôle primordial à jouer dans la transition énergétique. Alors que de grandes nations et la plupart des constructeurs investissent massivement dans cette technologie, tout dépend encore de la provenance de l’hydrogène. Un domaine prometteur à terme.

TEXTE MARC-OLIVIER HERREN | PHOTO MISSIONH24 – THIERRY GROMIK

Moins d’une centaine de voitures abritant une pile à combustible ont été immatriculées en Suisse l’an dernier. Pourtant, tant le SUV Hyundai

Nexo que la berline Toyota Mirai II – les deux seuls modèles commercialisés – fonctionnent aussi bien que des voitures électriques standard. A la différence qu’ici le moteur électrique est alimenté par une pile à combustible transformant l’hydrogène (H2), stocké dans leurs réservoirs, en électricité au contact de l’oxygène ambiant (O2). Avec à la clé aucun rejet polluant et, surtout, pas de fastidieux arrêts pour recharger les batteries étant donné que le plein d’hydrogène de ces petites centrales d’énergie ambulantes prend à peine 5 minutes.

En phase avec le solaire

Cette technologie prometteuse se heurte pourtant précisément à la production de l’hydrogène, un processus qui requiert beaucoup d’électricité pour casser les molécules d’eau, opération générant de l’hydrogène et de l’air. Cette dernière ne fait donc sens qu’en utilisant de l’électricité climatiquement neutre. C’est déjà le cas en Suisse, où le réseau embryonnaire des stations-service distribue de l’hydrogène produit avec de l’électricité issue de centrales au fil de l’eau. Reste à savoir si ce gaz peut être fabriqué en suffisance. A cet égard, Christian Bach, spécialiste en systèmes de propulsion à l’Empa, se veut optimiste: «Les excédents d’électricité déjà disponibles en Suisse pendant l’été vont fortement augmenter avec le développement du photovoltaïque. Grâce à la transformation en hydrogène, ces excédents pourront être utilisés et ne devront pas être régulés. De fait, l’hydrogène pourrait permettre de développer davantage le secteur photovoltaïque.» Christian Bach tempère quelque peu cet optimisme en soulignant qu’il faudra probablement importer de l’électricité en hiver. Le dilemme sera alors de savoir si l’on obtiendra de l’hydrogène «vert» ou «gris».

Le prototype MissionH24, conçu en Suisse, ouvre la voie aux voitures d’endurance à hydrogène.

Quoi qu’il en soit, des pays comme l’Allemagne et la France ont annoncé vouloir investir des milliards dans le développement de la société à hydrogène. Il en va de même de la plupart des constructeurs automobiles. Selon l’analyste automobile Bertrand Rakoto, «la technologie n’est toutefois pas le seul levier de croissance de la pile à combustible. Comme pour les véhicules électriques, l’infrastructure de distribution et de production de l’hydrogène vont limiter la croissance de ce marché». Et Bertrand Rakoto d’estimer que les voitures à hydrogène décolleront véritablement à l’horizon de 2035. Ce qui n’empêche pas le coréen Hyundai, l’un des pionniers de ce domaine, d’annoncer déjà une pile à combustible de troisième génération dont la taille sera réduite de 70%. Plus globalement, cette catégorie de voitures s’orientera apparemment surtout vers de grandes berlines et des crossovers.

Même si son impact est encore anecdotique, l’ère de la pile à combustible est déjà réalité en Suisse. «En fait, nous préparons le terrain avec la mise en service de camions alimentés à l’hydrogène», révèle Jörg Ackermann, président de l’association Mobilité H2 Suisse regroupant des pétroliers, des transporteurs routiers et de grands distributeurs. «Les camions utilisent d’importantes quantités d’hydrogène, ce qui permet de rentabiliser les stations-service et, partant, de développer progressivement le réseau», souligne Jörg Ackermann, tout en précisant que des stations seront seulement implantées aux endroits où des véhicules à hydrogène seront présents. En clair, il n’y aura pas de stations sans un potentiel suffisant de voitures, contrairement à ce qui a, par exemple, été fait en Allemagne.

Vecteur d’image suisse

Comme toute technologie, la promotion de la pile à combustible passera également par la compétition. Contactée par les organisateurs des 24 Heures du Mans, la société vaudoise GreenGT s’attèle à préparer l’introduction, en 2025, d’une catégorie électrique/ hydrogène dans la mythique épreuve sarthoise. Précédée par deux prototypes ayant notamment faits leurs premiers tours de roues sur la piste TCS de Cossonay (VD), le prototype d’endurance MissionH24 est la dernière réalisation de GreenGT. Ce bolide est censé aiguillonner les 9 constructeurs déjà intéressés à s’engager au Mans. Climatiquement neutre, l’ère de la pile à combustible sera vraisemblablement aussi détonante. ◆ Faire le plein d’hydrogène au quotidien Restreint à 4 points de ravitaillement en 2018, le réseau suisse s’est étoffé, passant à 9 stations-service débitant de l’hydrogène à 350 bars (camions) et 700 bars (voitures). Il s’étend désormais de la Suisse orientale à Lausanne et devrait comporter 22 stations d’ici la fin de l’année. Parallèlement, la production locale d’hydrogène vert va être décuplée grâce à la mise en service d’une deuxième unité de production à Niedergösgen (SO) et la construction d’une usine à Kubel (SG).

Cela étant, il serait vain d’oublier que l’on en est aux premiers balbutiements de l’hydrogène. Ainsi, il n’est pas rare que les automobilistes soient dans l’impossibilité de faire le plein. Il faut en effet procéder quasi quotidiennement au changement des containers contenant le précieux gaz. Outre la durée liée à cette opération, il faut attendre que l’installation dispose d’une pression suffisante pour injecter l’hydrogène à haute dose. Conscient du problème, Jörg Ackermann, président de l’association Mobilité H2, indique qu’il est prévu de dédoubler localement les stations afin d’éviter ces désagréments. Quant aux automobilistes, ils ont la satisfaction de circuler à un prix équivalent environ à celui d’une voiture à essence. Les tarifs des 100 g d’hydrogène oscillaient entre 1,20 et 1,40 fr. à fin 2021.

Le plein d’hydrogène pour les voitures dure à peine plus qu’un ravitaillement classique.

TOYOTA MIRAI PLATINUM Une usine à gaz crédible

La Mirai de 2e génération arbore un design plus attractif, notamment du fait de son toit fuyant.

NLongueur: 4,98 m; coffre: 321 l Esynchrone, 182 ch, 300 Nm; pile à combustible 174 ch; boîte monorapport, propulsion; 0 à 100 km/h en 9,2 s; consommation moyenne (essai): 0,94 kg/100 km; 3 réservoirs H2: 5,6 kg; autonomie autoroute: env. 470 km L71 900 fr. (Platinum)

La Toyota Mirai II s’évertue à promouvoir l’hydrogène. Une berline tout confort à l’autonomie rivalisant avec les motorisations classiques.

TEXTE MARC-OLIVIER HERREN | PHOTOS EMANUEL FREUDIGER

Ce second opus de la Toyota Mirai n’est certes pas encore à la portée de toutes les bourses, mais son prix de base fixé à 59 900 fr. a considérablement fléchi. Tout en s’allongeant, cette berline frisant les 5 m s’est aussi affinée vu sa hauteur réduite de 6,5 cm. Autant de conditions qui devraient séduire les disciples de la pile à combustible, moins les autres car les grandes berlines ne sont plus vraiment en vogue dans nos contrées. On ajoutera à ce détail esthétique l’indigence du réseau de 9 stations débitant de l’hydrogène en Suisse, sans compter qu’elles sont souvent momentanément inopérationnelles pour cause de ravitaillement. Normal, aux prémices d’une technologie novatrice.

Bon rayon d’action

Cela étant, la Toyota Mirai II enfonce encore davantage les voitures électriques. Le plein effectué en à peine 5 minutes permet de parcourir aisément 450 km en trajet varié, et même un peu plus sur autoroute. Ceci pour un montant équivalent à un plein d’essence. Afin d’accroître le rayon d’action, on privilégiera le mode Eco. Bien que les 182 ch du moteur électrique soient alors émoussés, il délivre un dynamisme amplement suffisant pour circuler en agglomération et croiser sur autoroute.

Croiser est d’ailleurs le terme convenant à cette Mirai réservant un agrément de roulage peu commun. Outre les sifflements discrets de la pile à combustible en accélération, le filtrage de la suspension classique procède presque d’un amortissement pneumatique. S’y ajoutent les sièges cuir moelleux et l’habillage cossu de cette version Platinum. Malgré les cotes haussières, l’espace arrière de cette 5 places demeure en revanche moyen, tandis que le volume du coffre est au niveau d’une citadine. Il fallait bien caser le moteur au-dessus de l’essieu arrière. Toutefois, la pile à combustible, désormais placée à l’avant, concourt à la répartition des masses équilibrée de cette voiture de 2 tonnes au centre de gravité abaissé. Pas question ici de sportivité, mais un dynamisme assurant des dépassements sereins. Avec la bonne conscience de rouler à bord d’un véhicule émettant seulement d’innocentes gouttelettes d’eau. ◆

Autonomie autoroutière Ravitaillement H2 rapide Prix concurrentiel Confort de haut niveau Solides reprises moteur Equipement au complet

Densité/Fiabilité réseau H2 Encombrement Habitabilité arrière Coffre de citadine

L’appli H2.LIVE fournit la liste des stations-service opérationnelles. Le pistolet massif est plus lourd à manipuler qu’un modèle essence. Une pression sur le bouton vert et le plein complet prend env. 5 minutes. L’hydrogène est livré dans des containers interchangeables.

Tu seras toujours ma fi lle

Bracelet avec un diamant véritable

Avec un diamant véritable

Image agrandie

Tour de poignet: jusqu’à 18 cm

Disponible aussi avec inscription : “ Quelle que soit ta vie, tu seras toujours ma petite-fille“ Prix du produit: Fr. 99.90 518-DIA09.01

Célébrez votre attachement avec un lien d’amour

Vous aimez votre fille plus que la lune et toutes les étoiles dans le ciel. A présent, vous pouvez exprimer votre amour infini avec ce bracelet en diamant, un délicat design de joaillerie, exclusivement chez Bradford Exchange. Magnifi quement travaillé à la main et plaqué argent sterling avec des touches plaquées or, ce bracelet dame rigide avec diamant solitaire est ouvert et se trouve rehaussé d’un motif unique de cœur et de lune.

Un magnifique diamant véritable étincelle au centre du cœur tandis que le croissant de lune est travaillé dans un fini texturé. Pour une finition parfaite, l’intérieur du bracelet est finement gravé d’une phrase pleine de sensibilité : “Quelle que soit ta vie, tu seras toujours ma fi lle”. Ce superbe bracelet vous parviendra dans un coffret cadeau, parfait pour le conserver en sécurité et l’offrir à sa merveilleuse fi lle. Commandez votre

bracelet “Tu seras toujours ma fi lle”, de préférence aujourd’hui même !

Prix du produit: Fr. 99.90 ou 2 mensualités de Fr. 49.95 (+ Fr. 11.90 expédition et service)

518-DIA08.01

www.bradford.ch

fb.com/BradfordExchangeSchweiz

Pour commander en ligne: n° de référence: 66909

Garantie de reprise de 120 jours

BON DE COMMANDE EXCLUSIF

Répondez avant le 28 février 2022

N° de référence: 66909

Oui, je commande le bracelet ❒ “Tu seras toujours ma fille“ / 518-DIA08.01 ❒ “Tu seras toujours ma petite-fille“ / 518-DIA09.01 Je désire ❒ une facture totale ❒ mensualités

Nom/Prénom À compléter en caractères d’imprimerie

Nº/Rue

CP/Localité

E-mail

Signature Téléphone

Protection des données: Vous trouverez sur www.bradford.ch/datenschutz des informations détaillées sur la protection des données. Nous ne vous transmettrons aucune offre de Bradford Exchange par e-mail, téléphone ou SMS. Vous pouvez modifier à tout moment la façon dont vous préférez être contacté, en nous contactant à l’adresse ou numéro de téléphone ci-contre. Au cas où vous ne souhaiteriez pas non plus recevoir d’offres par courrier, veuillez nous en faire part par téléphone, e-mail ou lettre.

Économisez chaque jour grâce aux TCS Benefits.

Grâce aux o res préférentielles, vous faites des économies, en tant que membre du TCS, en faisant vos achats quotidiens. En achetant par exemple votre vignette autoroutière. Commandez-la maintenant sur Postshop à partir du site Internet ou de l’application TCS Benefits pour récupérer 3,5% de cashback*. TCS Benefits vous rapporte de l’argent !

*Pour l’achat de deux vignettes ou à partir d’un montant minimum de commande de CHF 50.00.

5%

Cashback

Skiez sans attendre Vous faites encore la queue pour votre forfait de ski ? Avec Skioo, n’attendez plus. La carte réunit près de 40 domaines skiables dans un seul pass. Vous évitez les queues et en plus vous profitez toujours des meilleurs tarifs. Les membres TCS ont toujours 5 % de cashback. 10%

Rabais

Écoles de ski suisses pour tous Niveau débutant ou confirmé, enfant ou adulte : les écoles de ski suisses sont là pour vous. Les membres TCS ont 10 % de remise sur les cours en groupe de semaine dans les 154 écoles de ski o cielles.

3%

Cashback

Les meilleurs hébergements Que vous préfériez partir loin ou rester dans le coin : sur booking.com, vous trouverez l’hébergement dans lequel vous aimerez passer vos vacances, du simple bed & breakfast à l’hôtel de luxe 5 étoiles. Les membres du TCS profitent d’un cashback de 3 %. Un vaste choix pour toute la famille Quelles que soient les disciplines sportives, les conditions météo et la saison, Ochnser Sport vous propose une gamme de matériel adapté, avec notamment un vaste assortiment d’équipement sportif pour enfants, femmes et hommes. Les membres du TCS récupèrent 2% de cashback à la boutique en ligne. 2%

Cashback 8%

Cashback

Matériel de sport d’hiver en ligne Réservez votre matériel de sport d’hiver sur alpinresorts.com, le loueur de ski en ligne le plus apprécié de Suisse. Choisissez parmi 110 boutiques dans 60 stations de ski et économisez jusqu’à 30 % par rapport au prix sur place. Les membres TCS ont toujours 8 % de cashback.

6%

Cashback

La glisse en snowboard, le grand style ! Burton, c’est toute une gamme d’équipement professionnel et moderne pour les amateurs de snowboard et d’aventure, quel que soit le temps. 6% de cashback sur les achats en ligne pour les adhérents du TCS.

This article is from: