Diagnostic global à l’échelle métropolitaine
Répartition des densités d’intersection
Tours
Répartition des densités d'intersection (moy = 85 / km2)
Le carroyage de la répartition des densités d’intersection montre de fortes inégalités selon les secteurs. Les secteurs qui contiennent entre 400 et 700 intersections sont à valoriser de manière prioritaire 52
30
70
177
53
191
51
44
8
22
22
35
205
316
630
636
91
113
55
36
33
204
116
496
1245
933
103
160
132
66
47
289
201
599
1508
957
465
379
224
94
28
107
149
894
1486
2037
766
199
184
70
22
85
68
474
1304
1433
620
221
74
89
28
317
446
1203
718
1226
318
121
50
83
19
171
31
134
197
420
96
77
48
20
Légende Grille @ 2km Intersections
0
500
1'000
1'500 Mètres
´
© Bfluid 2017
L’attractivité du réseau viaire se mesure à l’aune de sa capacité à offrir un large spectre de choix de route permettant de maximiser les équivalences cheminatoires. Pour capter cet indice, nous utilisons par proxy le nombre d’intersections normalisé sur une surface donnée. Sans suprise, les 4 cadrants qui composent le centreville concentrent le plus grand nombre d’intersections : en moyenne environ 1500. Les secteurs péricentraux situés tant au nord de la Loire qu’au sud du Cher restent également riches en opportunités de changer de choix de route, avec une densité d’intersections supérieure à 1 000. En revanche, lorsqu’il y a de brusques contrastes entre des secteurs à forte densité d’intersections et des secteurs dont la densité est beaucoup plus faible, il faut agir pour clarifier les choix de route des usagers. Il faudra également renforcer la capacité d’accueil des «archipels marchables» en 2ème couronne.
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