Focus Ma Famille

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20 & 21 mars | sur site · 27 mars | en ligne Inscrivez-vous sur cdl.ch/fr ou via QR code. 3.5 p. dĂšs CHF 490’000.– Ă  deux pas de Sion Chantier ouvert ! www.cdfardon.ch 0848 007 001 OFFRELIMITÉE UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA Mars ’24 Olivier Kretz Ma Famille
pĂšre de la famille Kretz, star de la sĂ©rie L’Agence, se confie sur les avantages de travailler en famille. En lire plus sur focus.swiss
Le

Qu’est-ce que la famille aujourd’hui ?

RĂ©pondre Ă  la question « Qu’est-ce que la famille aujourd’hui ? » nĂ©cessite d’éviter les Ă©cueils des gĂ©nĂ©ralitĂ©s simplistes. Je prĂ©sente mes excuses par avance au lecteur pour ce travail de vulgarisation, qui, nĂ©anmoins, vise Ă  Ă©tablir une base commune propice Ă  la rĂ©flexion sur la famille.

Certaines personnes pourraient se reconnaĂźtre dans ces descriptions, tandis que d’autres pourraient les rejeter. Cependant, c’est prĂ©cisĂ©ment dans cette diversitĂ© que rĂ©side la richesse des familles, chacune Ă©tant singuliĂšre et unique. En qualitĂ© de psychologue et thĂ©rapeute familial, je suis fermement convaincu que, malgrĂ© nos diffĂ©rences, les familles partagent des objectifs et des dynamiques communs. Des Ă©vĂ©nements clĂ©s tels que la naissance, le mariage et le dĂ©part des enfants du foyer marquent des cycles de vie similaires.

En thĂ©rapie familiale, ces moments sont dĂ©signĂ©s comme des crises Ă©volutives, des phases cruciales perturbant le systĂšme familial et exigeant un nouvel Ă©quilibre. En mandarin, le terme « crise » combine les sinogrammes Wei, signifiant danger, et Ji, signifiant chance ou opportunitĂ©. Pour une famille, la crise est essentielle Ă  sa survie, car sans ces perturbations, elle risque de s’enliser dans un Ă©quilibre figĂ© incompatible avec les besoins de ses membres. Un exemple concret serait un fils de 25 ans devant encore demander la permission Ă  ses parents pour sortir jusqu’à minuit.

La famille est un organisme vivant en perpĂ©tuel mouvement, ses membres s’adaptant constamment aux circonstances changeantes et aux besoins du moment. Les parents endossent des rĂŽles multiples tels qu’enseignants, chefs cuisiniers et chauffeurs de taxi, tout en assumant leurs responsabilitĂ©s parentales, citoyennes et professionnelles. Cette polyvalence a Ă©tĂ© particuliĂšrement mise en lumiĂšre pendant la pandĂ©mie, incitant de nombreuses familles Ă  mobiliser leurs ressources pour faire face Ă  des circonstances particuliĂšrement Ă©prouvantes.

Du point de vue de leur structure, les familles se composent, se dĂ©composent et se recomposent, Ă©tant mallĂ©ables, souples et mobiles, Ă  l’image des barbapapas. Les membres peuvent partager des valeurs et des cultures diverses, notamment lors de seconds mariages oĂč demi-frĂšres et demi-sƓurs apprennent Ă  s’ajuster Ă  la nouvelle configuration familiale.

Les notions de mallĂ©abilitĂ© et de permĂ©abilitĂ© semblent essentielles au bon fonctionnement des familles modernes, mais si poussĂ©es Ă  l’extrĂȘme, elles peuvent conduire Ă  une quĂȘte excessive de performance, nuisible au bien-ĂȘtre. Le burnout parental et l’épuisement gĂ©nĂ©ralisĂ© dans tous les aspects de la sphĂšre familiale sont des problĂ©matiques couramment Ă©voquĂ©es. Les adultes manquent de temps, de simplicitĂ© et d’insouciance, tandis que les enfants sont confrontĂ©s Ă  des prĂ©occupations qui dĂ©passent souvent leur comprĂ©hension, telles que le changement climatique ou les questions d’identitĂ© et de genre.

Brandreport ‱ École Eden

Il est impĂ©ratif, Ă  mon sens, de recentrer la famille au cƓur de ses compĂ©tences et de lui rendre son pouvoir dĂ©cisionnel quant Ă  ce qui est bĂ©nĂ©fique pour elle-mĂȘme.

Je tiens Ă  souligner mon soutien total Ă  la sensibilisation des jeunes gĂ©nĂ©rations aux dĂ©fis de notre sociĂ©tĂ© actuelle et future. Cependant, il est impĂ©ratif de prĂ©server leur insouciance et leur innocence, Ă©vitant de leur imposer le fardeau de nos responsabilitĂ©s. Les enfants demeurent des enfants et ne doivent pas ĂȘtre contraints de porter le poids des prĂ©occupations des adultes, ce qui pourrait gĂ©nĂ©rer d’importantes angoisses.

Selon une Ă©tude d’UnisantĂ©, un tiers des jeunes de 14 Ă  19 ans en Suisse souffrent de problĂšmes

psychiques, ce qui a conduit Ă  un suivi par un Ă©ventail de professionnels tels que psychologues, psychiatres, pĂ©dopsychiatres, infirmiers et Ă©ducateurs. La psychologisation des familles, bien qu’utile pour sensibiliser aux souffrances psychiques et aux ressources disponibles, peut Ă©galement enfermer les membres dans une identitĂ© de « malade » Ă  soigner, placĂ©s sous la loupe des experts. Il est impĂ©ratif, Ă  mon sens, de recentrer la famille au cƓur de ses compĂ©tences et de lui rendre son pouvoir dĂ©cisionnel quant Ă  ce qui est bĂ©nĂ©fique pour elle-mĂȘme. Cette vision constitue l’un des objectifs majeurs de la revue « Ma Famille ». Tout en sondant la famille dans toute sa complexitĂ©, la revue esquisse le tableau de cette entitĂ© sociale dans toute sa simplicitĂ©, mettant en exergue ses ressources intrinsĂšques. Feu Guy Ausloos, Ă©minent pĂ©dopsychiatre belge dĂ©cĂ©dĂ© l’annĂ©e prĂ©cĂ©dente, avançait que les familles ne crĂ©ent que les problĂšmes qu’elles sont capables de rĂ©soudre. Les solutions qu’elles dĂ©veloppent pour surmonter leurs dĂ©fis tendent souvent vers un retour Ă  l’essentiel. Au-delĂ  de leurs actions diverses, les membres de la famille puisent frĂ©quemment leurs ressources dans l’art d’ĂȘtre en famille plutĂŽt que dans celui de simplement agir en famille. Qu’il s’agisse d’un repas simple partagĂ© autour de la table de la cuisine, d’un trajet en voiture, ou mĂȘme d’un bol de chips devant une sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e, la disponibilitĂ© relationnelle et la simple prĂ©sence Ă©mergent comme des outils privilĂ©giĂ©s pour renforcer le tissu familial. Ces instants modestes et authentiques deviennent des catalyseurs, favorisant un vĂ©ritable Ă©panouissement au sein de la cellule familiale.

La revue « Ma Famille » s’érige ainsi en un espace oĂč cette philosophie trouve Ă©cho, explorant et exposant les diffĂ©rentes facettes de la famille tout en encourageant un retour aux valeurs fondamentales. Elle cĂ©lĂšbre la rĂ©silience de la famille face aux dĂ©fis, mettant en avant la capacitĂ© de cette unitĂ© Ă  crĂ©er des solutions uniques et adaptĂ©es Ă  son contexte.

Au travers de ses pages, la revue offre une plateforme pour rĂ©flĂ©chir sur la dynamique familiale, encourageant la comprĂ©hension mutuelle et la communication ouverte. Elle sert de catalyseur pour une introspection constructive, incitant les familles Ă  reconnaĂźtre et Ă  capitaliser sur leurs propres forces, Ă  embrasser la simplicitĂ©, et Ă  cultiver des moments de connexion authentique. Pour conclure, j’adresse ma gratitude Ă  l’équipe rĂ©dactionnelle de « Ma famille » pour m’avoir invitĂ© Ă  contribuer Ă  cette nouvelle Ă©dition qui s’annonce pleine de richesses.

Texte Jon Schmidt, Psychologue FSP, thérapeute de famille

Contenu.

04 Moments en famille

08 Animaux de compagnie

10

Interview : Olivier Kretz

12 Comprendre les besoins de son enfant

16 TDAH

18 Simplifier sa vie Ă  la maison

Focus Ma Famille

Chef de projet

Joan Martins

Country Manager Pascal Buck

Head of Content Romandie

Léa Stocky

Layout

Mathias Manner, Sara Davaz

Journalistes

Léa Stocky, Linda Carstensen, Océane Ilunga, SMA

Image de couverture mĂ d

Canal de distribution

Tribune de GenĂšve et 24Heures

Imprimerie

CIL Centre d’Impression Lausanne SA

Smart Media Agency

Gerbergasse 5, 8001 Zurich, Suisse

Tél +41 44 258 86 00 info@smartmediaagency.ch redactionFR@smartmediaagency.ch focus.swiss

Bonne lecture !

Joan Martins Project Manager

Repenser l’éducation dans un monde en mutation

Dans un monde en perpĂ©tuelle Ă©volution, l’éducation se trouve Ă  un carrefour dĂ©cisif.

Alors que les dĂ©fis du XXIe siĂšcle exigent des compĂ©tences nouvelles, de nombreuses voix se lĂšvent pour remettre en question les modĂšles traditionnels d’apprentissage. Une interrogation Ă©merge : vers quoi l’éducation devrait-elle tendre ? À travers le prisme de l’École Eden, une institution aux principes novateurs, explorons les chemins possibles pour une Ă©ducation plus globale, crĂ©ative et adaptĂ©e aux besoins de chaque individu.

Le systÚme éducatif traditionnel remis en question

Depuis quelques années, le systÚme éducatif traditionnel est de plus en plus souvent remis en question.

Parmi les raisons Ă©voquĂ©es, on peut citer notamment le manque de diffĂ©renciation qui mĂšne Ă  un systĂšme ne rĂ©pondant pas aux besoins propres des Ă©lĂšves : « D’une part, on ne tient pas compte du fait que chacun peut apprendre de maniĂšre diffĂ©rente et d’autre part, on ne s’intĂ©resse qu’à l’acadĂ©mique et aux rĂ©sultats », explique Magali Wahl, directrice et fondatrice de l’École Eden. C’est il y a presque 20 ans que cette maman de cinq enfants créée cette Ă©cole Ă  pĂ©dagogie engageante, fruit d’une passion profonde pour l’éducation.

Au-delĂ  des compĂ©tences acadĂ©miques, il est important de dĂ©velopper en parallĂšle les compĂ©tences transversales telles que l’écoute active, le travail avec les pairs, l’autonomie
 Ainsi, les enfants dĂ©veloppent une pensĂ©e crĂ©ative et critique leur permettant de rĂ©flĂ©chir par et pour eux-mĂȘmes. En effet, dans un systĂšme traditionnel, l’accent est mis sur la mĂ©morisation et la restitution de savoirs. Par ailleurs, le travail rĂ©el se faisant beaucoup plus Ă  la maison qu’à l’école, les enfants ne sont pas sur un pied d’égalitĂ©, leurs contextes familiaux pouvant diffĂ©rer.

Enfin, on sait aujourd’hui que l’enfant comme l’adulte apprend par l’erreur, c’est la condition mĂȘme de l’apprentissage or le systĂšme Ă©ducatif traditionnel punit l’erreur. « Sanctionner un enfant pour une erreur, c’est la plus grande erreur qu’on puisse faire (rires). Si

au contraire, au moment oĂč l’enfant fait une faute, on tente de comprendre avec lui pourquoi il l’a faite, il ne la refera probablement plus », exprime Madame Wahl.

L’approche novatrice de l’Ecole Eden L’École Eden Ă  GenĂšve offre un environnement Ă©ducatif oĂč la crĂ©ativitĂ© et l’apprentissage diffĂ©renciĂ©s sont encouragĂ©s. Contrairement aux mĂ©thodes traditionnelles, elles permettent aux Ă©lĂšves d’explorer et d’expĂ©rimenter librement leur propre parcours d’apprentissage. Selon la directrice Magali Wahl, l’approche diffĂ©renciĂ©e de l’École Eden reconnaĂźt que les enfants ont des prĂ©fĂ©rences d’apprentissage diffĂ©rentes, qu’il s’agisse de l’apprentissage visuel ou auditif, par exemple. Cette approche vise Ă  adapter les mĂ©thodes pĂ©dagogiques pour rĂ©pondre aux diffĂ©rents besoins des Ă©lĂšves.

La formation des enseignants joue un rĂŽle fondamental dans le processus d’apprentissage des Ă©lĂšves. À l’École Eden, les professeurs bĂ©nĂ©ficient d’une formation poussĂ©e sur le dĂ©veloppement de l’enfant, et l’utilisation de diffĂ©rents outils pĂ©dagogiques. RĂ©alisĂ©e en interne au sein de l’école, cela leur permet de mieux comprendre les diffĂ©rentes Ă©tapes du dĂ©veloppement cognitif, social et Ă©motionnel, dĂ©ployant ainsi une pĂ©dagogie engageante pour les enfants. « Nous n’avons pas de professeurs gĂ©nĂ©ralistes.

Chaque discipline est enseignĂ©e exclusivement par un professeur passionnĂ©. Ainsi, dĂšs l’ñge de trois ans, chaque enfant bĂ©nĂ©ficie de six ou sept enseignants, offrant une diversitĂ© d’expertises similaires Ă  ce qu’il pourrait trouver au cycle » partage Magali Wahl. FondĂ©e sur les valeurs fondamentales de l’écoute, du respect et de la co-construction, l’École Eden, Ă  l’instar de la majoritĂ© des Ă©coles novatrices, rĂ©invente l’éducation en valorisant la diversitĂ© des modes d’apprentissage et en mettant l’accent sur le dĂ©veloppement global de l’individu. Ce modĂšle pĂ©dagogique est porteur d’espoir pour les gĂ©nĂ©rations futures.

Texte Océane Ilunga

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA focus.swiss 2 Éditorial
Magali Wahl Directrice et fondatrice de l’École Eden

La famille et l’école sont deux piliers fondamentaux dans la vie d’un enfant. Elles ont toutes deux un rĂŽle crucial Ă  jouer dans son dĂ©veloppement et sa rĂ©ussite. Une collaboration Ă©troite et positive entre la famille et la direction de l’école est donc essentielle pour faire avancer l’enfant. Communication et comprĂ©hension mutuelles La communication ouverte et transparente entre la famille et l’école permet de mieux comprendre les besoins de l’enfant et de mettre en place des stratĂ©gies d’apprentissage et de soutien individualisĂ©es. La direction de l’école peut ainsi informer

Famille et école : un partenariat nécessaire
La vĂ©ritable Ă©ducation repose sur ce principe : il s’agit tout d’abord d’aller Ă  la dĂ©couverte de l’enfant et de rĂ©aliser sa libĂ©ration.

– Maria Montessori

leur enfant Ă  faire ses devoirs, Ă  s’organiser et Ă  prendre confiance en lui et l’école peut valoriser les efforts de l’enfant et le fĂ©liciter pour ses rĂ©ussites. Participation active Ă  la vie scolaire La participation des parents Ă  la vie scolaire montre Ă  l’enfant qu’ils s’impliquent dans son Ă©ducation et qu’ils attachent de l’importance Ă  son apprentissage. Les parents peuvent par exemple participer aux rĂ©unions parents-enseignants et aux activitĂ©s organisĂ©es par l’école. De son cĂŽtĂ©, l’école peut encourager la participation des parents en organisant des Ă©vĂ©nements et des ateliers qui leur permettent de s’impliquer dans la vie scolaire.

Collaboration en cas de difficultés

les parents des progrĂšs de leur enfant, des dĂ©fis qu’il rencontre et des solutions envisageables. De leur cĂŽtĂ©, les parents peuvent partager avec l’école leurs observations sur le comportement de leur enfant Ă  la maison et ses difficultĂ©s Ă©ventuelles.

Soutien et encouragement

Lorsque la famille et l’école travaillent ensemble, elles peuvent offrir Ă  l’enfant un environnement stable et cohĂ©rent qui favorise son apprentissage et son dĂ©veloppement. Les parents peuvent encourager

Lorsque l’enfant rencontre des difficultĂ©s, il est important que la famille et l’école travaillent ensemble pour trouver des solutions. L’école peut mettre en place des mesures de soutien pĂ©dagogique ou psychologique adaptĂ©es aux besoins de l’enfant, tandis que les parents peuvent apporter leur soutien Ă  l’enfant Ă  la maison en l’aidant Ă  faire ses devoirs et en lui offrant un environnement propice Ă  l’apprentissage.

Faire découvrir les arts vivants aux plus-petits, un pari réussi

En juin, les enfants ont aussi droit Ă  leur festival ! Pour sa douziĂšme Ă©dition, les familles romandes ont rendez-vous les 22 et 23 juin 2024 au Diabolo Festival Ă  Morges. Les arts vivants sont Ă  l’honneur de cette programmation riche et variĂ©e qui propose une multitude de spectacles et d’activitĂ©s pour les enfants de 2 Ă  10 ans, Ă  partager en famille ou entre amis.

Diabolo Festival, c’est une immense aire de jeu de prĂšs de 30 000 m2 oĂč l’on peut dĂ©couvrir des spectacles qui font rire, qui font grandir ou qui font rĂȘver pour se crĂ©er de nombreux souvenirs Ă  chĂ©rir annĂ©e aprĂšs annĂ©e. On aimerait pouvoir retomber en enfance pour profiter d’un tel festival oĂč les enfants sont non seulement spectateurs mais Ă©galement acteurs, grĂące Ă  la diversitĂ© des activitĂ©s proposĂ©es.

Au rayon des spectacles, l’offre est gargantuesque avec 14 spectacles diffĂ©rents pour prĂšs de 70 reprĂ©sentations

sur deux jours ! Difficile de faire des choix, mais sans nul doute, il ne faudra pas manquer le projet spĂ©cial concoctĂ© par GaĂ«tan, le chanteur prĂ©fĂ©rĂ© des enfants. C’est un concert en deux parties que l’artiste propose aux familles, lors duquel il racontera Pierre et le loup de Prokofiev avec l’Orchestre de Chambre de GenĂšve et entonnera ensuite ses plus grands succĂšs accompagnĂ©s de 18 musiciens classiques ! Pour sĂ»r, ça va swinguer au Théùtre de Beausobre !

Au Diabolo Festival, tous les arts vivants sont représentés. On peut notamment découvrir de la magie avec

LĂ©on, du cirque avec le spectacle DistanS qui raconte l’amitiĂ© indĂ©fectible de deux enfants qui se retrouvent dans leur cabane d’enfance, ou encore s’émerveiller devant des marionnettes avec un petit bijou de manipulation dans Ma grand-mĂšre est une aventuriĂšre, un spectacle tendre et palpitant sur la vie de nos grands-mamans que parfois on ne connaĂźt pas si bien !

Au rayon des activités ludiques, sportives ou créatives, le festival met également les petits plats dans les grands en proposant pas moins de 25 ateliers

diffĂ©rents. Six d’entre eux sont payants et peuvent ĂȘtre rĂ©servĂ©s, comme l’atelier de confection de marionnettes ou la crĂ©ation d’une boule de bain. Les autres sont compris dans le prix d’entrĂ©e du festival. Trampoline, accrobranche, chantier, slackline, baby gym, mur de grimpe et tellement plus encore. L’ offre est si riche qu’il est impossible de tout dĂ©tailler. Retrouvez toute la programmation des spectacles et ateliers sur le site diabolofestival.ch. Pour arriver l’esprit tranquille au festival, nous vous recommandons de prendre vos billets en avance par internet ou au 021 804 97 16. Diabolo Festival, c’est une invitation Ă  butiner la culture et la pratiquer en s’amusant. À vos agendas !

Informations pratiques

Dates : 22 et 23 juin 2024 de 9h à 18h

Prix : dĂšs CHF 20.- selon les options choisies et CHF 37.- pour le spectacle de GaĂ«tan

Lieu : Morges, théùtre et esplanade de Beausobre, 2, av. Vertou, 1110 Morges

RĂ©servations : www.diabolofestival.ch 021 804 97 16

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Diabolo
Famille
Ecrivain.
Paul Fitoussi Directeur d’école, Chevalier dans l’Ordre des Palmes acadĂ©miques,
iStockphoto/skynesher
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La richesse des traditions familiales Ă  travers le monde

Des vastes plaines de l’Afrique aux villes animĂ©es d’Europe en passant par les paysages fascinants d’AmĂ©rique du Sud, chaque coin de notre planĂšte abrite des traditions familiales uniques. Ces traditions tissent des liens indĂ©fectibles entre les gĂ©nĂ©rations et demeurent un pilier essentiel de la sociĂ©tĂ© dans un monde en pleine rĂ©volution.

Selon une enquĂȘte publiĂ©e en 2019 par l’European Values Study, la famille est la valeur la plus prĂ©cieuse en Europe. Cependant, cette vertu est Ă©videmment primordiale Ă  travers le monde. Jetons un regard rapide et non exhaustif, sur certaines des traditions familiales valorisĂ©es Ă  l’étranger.

Le nouvel an au Japon

Le Nouvel An au Japon est une cĂ©lĂ©bration profondĂ©ment traditionnelle, bien diffĂ©rente de notre Nouvel An en Suisse. C’est le NoĂ«l japonais, d’une certaine maniĂšre.

Pendant cette pĂ©riode, il est courant que les Japonais retournent chez eux pour partager ce moment avec leur famille dans une atmosphĂšre paisible, oĂč tout le monde se retrouve devant la tĂ©lĂ©vision et partage des repas et des discussions. C’est Ă©galement un temps de rĂ©flexion sur l’annĂ©e Ă©coulĂ©e et de connexion avec ses origines familiales.

Il est de coutume de manger le plat traditionnel appelĂ© « Osechi », un assortiment de lĂ©gumes, viandes, fruits de mer et poissons, souvent prĂ©alablement marinĂ©s dans du vinaigre pour assurer leur conservation. AprĂšs cela, une tradition incontournable est la visite du temple Ă  partir de minuit, appelĂ©e Hatsumode, pour pouvoir prier. Pour se rĂ©chauffer, les gens se tournent souvent vers l’« amazake », un alcool de riz laiteux chaud vendu prĂšs des temples Ă  cette occasion. De plus, la plupart des Japonais achĂštent des « omikuji », des prĂ©dictions sur papier disponibles dans tous les sanctuaires. Une fois la visite terminĂ©e, certains choisissent de poursuivre la tradition en assistant au premier lever de soleil de l’annĂ©e, appelĂ© « Hatsuhinode ».

Divali, la fĂȘte des lumiĂšres en Inde

Divali symbolise la victoire spirituelle de la lumiĂšre sur les tĂ©nĂšbres, du bien sur le mal et de la connaissance sur l’ignorance. Divali est dĂ©rivĂ©

du mot « Deepavali », qui signifie « une rangĂ©e de lumiĂšres ». C’est la fĂȘte la plus importante de l’annĂ©e en Inde - et pour les hindous en particulier. Elle est cĂ©lĂ©brĂ©e par plus d’un milliard de personnes de toutes confessions dans le pays le plus peuplĂ© du monde et dans la diaspora. Pendant cinq jours, les gens participent Ă  des rassemblements festifs, des feux d’artifice, des festins et des priĂšres. Les cĂ©lĂ©brants allument des rangĂ©es de lampes Ă  huile traditionnelles en argile devant leurs maisons pour symboliser la victoire de la lumiĂšre sur l’obscuritĂ© et du savoir sur l’ignorance.

Ramadan au Moyen-Orient

Le ramadan, loin d’ĂȘtre simplement une fĂȘte religieuse, reprĂ©sente un mois entier dans le calendrier. D’une durĂ©e de 29 ou 30 jours, ses dates varient chaque annĂ©e en raison de son calendrier lunaire. Ce jeĂ»ne, pratiquĂ© entre le lever et le coucher du soleil, est bien plus qu’un simple acte de privation. Il s’agit d’une pĂ©riode de purification de l’ñme, oĂč les plus privilĂ©giĂ©s sont incitĂ©s Ă  venir en aide aux moins fortunĂ©s, faisant ainsi du ramadan un mois de gĂ©nĂ©rositĂ© et de solidaritĂ©. NĂ©anmoins, le ramadan est Ă©galement un moment de convivialitĂ©, oĂč familles, amis et voisins se rĂ©unissent pour rompre le jeĂ»ne Ă  la tombĂ©e de la nuit et avant le lever du jour. Les repas sont souvent somptueux, avec une variĂ©tĂ© de plats traditionnels selon les coutumes familiales et les origines de chacun. Des

soupes comme la Chorba en Tunisie, AlgĂ©rie et Libye, ou la Harira au Maroc, sont dĂ©gustĂ©es avec plaisir ou encore un plat de mil au SĂ©nĂ©gal. Les plats sucrĂ©s comme les cornes de gazelles et les baklavas sont ensuite partagĂ©s en famille ou entre amis pour conclure en douceur ces moments de partage. Enfin, le mois de ramadan se termine par l’AĂŻd-el-Fitr, marquĂ© par des priĂšres, des Ă©changes de cadeaux, des offrandes de pĂątisseries et le paiement d’une aumĂŽne aux nĂ©cessiteux, renforçant ainsi les liens familiaux et communautaires.

Mariages et dot en Afrique subsaharienne

Certaines coutumes traversent les Ă©poques sans perdre de leur importance. À Kinshasa, YaoundĂ© ou Dakar, la pratique de la dot demeure souvent inĂ©vitable pour sceller l’union entre deux familles. Cette tradition, oĂč la dot est payĂ©e par le fiancĂ©, reste hautement codifiĂ©e. Lors de cette cĂ©rĂ©monie, qui peut durer jusqu’à quatre heures, les deux familles, chacune reprĂ©sentĂ©e par un porte-parole, se livrent Ă  un jeu de rĂŽle traditionnel teintĂ© d’humour. Sous la supervision du maĂźtre de cĂ©rĂ©monie, les rĂšgles, trĂšs prĂ©cises, sont expliquĂ©es progressivement. Ce dernier s’assure surtout que tous les Ă©lĂ©ments figurant sur la liste de dot, Ă©tablie par la famille de la future Ă©pouse, ont Ă©tĂ© correctement apportĂ©s, et les prĂ©sente un Ă  un Ă  l’assemblĂ©e. Ainsi, peuvent dĂ©filer au milieu des deux familles, des objets divers tels que douze pagnes wax, trois cartons de bouteille de Leffe, cinq foulards, deux bouteilles de whisky, deux cartons de vin, cinq grosses casseroles, un costume, etc. Une fois la cĂ©rĂ©monie traditionnelle terminĂ©e, la danse dĂ©bute et le couple est dĂ©sormais considĂ©rĂ© comme mariĂ©. Pour de nombreuses ethnies en Afrique subsaharienne, le versement de la dot suffit amplement Ă  consolider l’union. Elle demeure une obligation en RĂ©publique DĂ©mocratique Congo ou Ă  Djibouti, et est considĂ©rĂ©e comme un Ă©lĂ©ment indispensable pour valider le mariage.

Image iStockphoto/Kelechi Nlemibe

PĂąques en Italie

Enfin, il y a ces fĂȘtes oĂč les amis deviennent la famille. En Italie, si NoĂ«l est une cĂ©lĂ©bration familiale, les Italiens ont un autre adage pour PĂąques : « Natale con i tuoi, Pasqua con chi vuoi », soit « NoĂ«l avec les tiens, PĂąques avec qui tu tiens ». Le lundi de PĂąques, appelĂ© « Pasquetta », offre l’occasion aux familles italiennes de partager un pique-nique Ă  la campagne, dĂ©gustant les Ɠufs ramassĂ©s la veille et savourant une colombe, un gĂąteau traditionnellement associĂ© Ă  cette fĂȘte. De plus, il est courant pour certains de passer le week-end de PĂąques sous la tente avec des amis, une tradition qui, selon certains historiens, trouverait ses racines dans le voyage de deux disciples entre JĂ©rusalem et EmmaĂŒs.

Texte Océane Ilunga

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URGENCE R.D. Congo

Depuis deux mois, en RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo, des millions de personnes, une majoritĂ© de femmes et d’enfants, sont jetĂ©s sur les routes par un conflit d’une violence inouĂŻe. PrivĂ©s de tout, ils ont besoin de notre aide pour survivre et Ă©chapper aux trafics. Ne les oublions pas.

Il est temps d’agir: faites un don aujourd’hui.

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Medair Chemin du Croset 9, 1024 Ecublens

Medair Rue de Lausanne 42, 1201 GenĂšve

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VIVARIUM

Un univers bienveillant qui valorise la petite enfance

HonnĂȘtetĂ©, responsabilitĂ© et joie, telles sont les valeurs que partage Kristina Babina dans tous les aspects de sa vie et qui l’ont poussĂ©e Ă  crĂ©er tout un univers tournĂ© vers les besoins de l’enfant : l’univers TotUP. L’entrepreneure nous explique dans cette interview les activitĂ©s qu’elle y propose et leurs bĂ©nĂ©fices pour les tout-petits.

Kristina Babina, pouvez-vous nous parler de votre parcours professionnel ?

Je suis arrivĂ©e en Suisse Ă  13 ans oĂč j’ai Ă©tudiĂ© dans une Ă©cole internationale avant de faire mon bachelor Ă  l’École hĂŽteliĂšre de Lausanne et mon master Ă  HEG Fribourg. Ayant toujours rĂȘvĂ© de travailler dans le secteur de l’enfance et venant d’une famille d’entrepreneurs, c’est donc tout naturellement que j’ai toujours cherchĂ© Ă  ce que je pouvais faire pour servir au mieux les enfants. Pendant ma thĂšse de master, j’ai appris qu’il y a une pĂ©nurie des places en crĂšche en Suisse et qu’on n’accorde pas vraiment d’importance au dĂ©veloppement des enfants avant l’ñge d’aller Ă  l’école. Étant donnĂ© qu’on dit souvent que tout se passe avant cinq ans, il me paraissait important de fournir aux jeunes enfants une prise en charge Ă©ducative plutĂŽt qu’une simple garderie. Comment avez-vous créé l’univers TotUP ?

Le concept est nĂ© de mon travail en collaboration avec de nombreux professionnels du secteur dans les mathĂ©matiques et la psychologie. J’ai toujours Ă©tĂ© hyperactive. Il me paraissait donc important d’offrir aux enfants un lieu dans lequel on ne les met pas dans des cases. La pĂ©dagogie de TotUP est trĂšs ouverte, nous travaillons avec diffĂ©rentes approches pour que chaque enfant puisse dĂ©couvrir une activitĂ© qui lui corresponde.

J’ai ouvert la premiĂšre crĂšche Ă  Lancy Ă  GenĂšve il y a six ans, avant d’y ouvrir deux ans plus tard une Ă©cole primaire Ă  la suite de la demande des parents. Aujourd’hui, TotUP regroupe six crĂšches dans trois cantons : GenĂšve, Vaud et Fribourg.

Brandreport ‱ Fort de Chillon SA

Nous y proposons des activitĂ©s crĂ©atives comme l’art, le théùtre, des ateliers cuisine ou encore des jeux libres, des activitĂ©s sportives comme le yoga, la danse, la motricitĂ©, tout en nous inspirant des diffĂ©rentes pĂ©dagogies comme Montessori, Snoezelen, Rikkiko. Sans oublier notre programme d’éducation durable oĂč les enfants apprennent Ă  prendre soin de la planĂšte, des ressources, des populations plus ĂągĂ©es et des animaux.

En plus de la crĂšche et de l’école, pourquoi avez-vous dĂ©cidĂ© de diversifier vos activitĂ©s en dĂ©veloppant des camps ?

Certains parents m’ont confiĂ© ne pas pouvoir nous confier leurs enfants Ă  plein-temps pour des raisons financiĂšres. Nous avons donc dĂ©cidĂ© de dĂ©velopper d’autres activitĂ©s temporaires comme les camps. Ces derniers permettent au plus grand nombre d’enfants de dĂ©couvrir l’univers TotUP.

Au-delà du prix, il est important pour beaucoup de parents de socialiser leurs enfants grùce à des activités de plus courte durée et qui ne les engagent pas sur une année.

Les camps sont proposés pendant les vacances scolaires, en octobre, février, avril et juillet/août.

Un musĂ©e chargĂ© d’histoire

Plonger dans un lieu longtemps classĂ© secret dĂ©fense de maniĂšre inĂ©dite, mĂ©morable et passionnante. Nouvelles technologies, approche ludique et interactivitĂ© imprĂšgnent ce musĂ©e chargĂ© d’histoire.

Le Fort de Chillon, site rĂ©pertoriĂ© d’importance national, se prĂ©sente comme le premier « parc d’attractions » de Suisse associant la visite d’un fort militaire et la dĂ©couverte de ce qui fut longtemps le secret le mieux gardĂ© de Suisse : le rĂ©duit national. Son objectif : faire revivre le quotidien des milliers de soldats qui s’y sont succĂ©dĂ©s depuis sa construction en 1941 par le biais de technologies de pointe mĂȘlant mobilier, objets d’origine et outils innovants de rĂ©alitĂ© virtuelle et augmentĂ©e.

L’occasion de profiter d’une visite inoubliable en famille dans une forteresse de 2125m2 avec plus 20 piĂšces visitables sur plusieurs niveaux, une scĂ©nographie

omniprĂ©sente avec des ambiances sonores et visuelles qui ferons revivre la vie secrĂšte d’une fortification militaire. Apprendre en s’amusant, expĂ©rimenter, tout toucher font partie du concept de ce musĂ©e immersif et interactif.

Pour petits et grands, ce musĂ©e d’un nouveau genre invisible de l’extĂ©rieur et dissimulĂ© dans la roche en face du chĂąteau de Chillon propose une approche dĂ©calĂ©e avec une pointe d’humour de ce qui Ă©tait jusqu’en 2001 un lieu impĂ©nĂ©trable classĂ© secret dĂ©fense.

La visite sera guidée par des expériences et des découvertes spectaculaires, mais aussi des quizz, des jeux de stratégie, des jeux de réalité augmentée et 3D.

Et pour vivre l’expĂ©rience complĂšte du soldat, il est Ă©galement possible de dĂ©guster quelques spĂ©cialitĂ©s locales dans le Bistrot du Soldat.

Musée du Fort de Chillon

1820 Veytaux Chillon (en face du ChĂąteau) +41(0)21 552 44 55 info@fortdechillon.ch www.fortdechillon.ch

Chaque semaine, une nouvelle thĂ©matique est accompagnĂ©e par de nombreuses activitĂ©s, des sorties et des excursions. Le forfait du lundi au vendredi de 7h Ă  19h est Ă  500 francs par semaine. Nous proposons Ă©galement un forfait en demi-journĂ©es, de 7h Ă  14h30, qui est Ă  350 francs par semaine. Le forfait journĂ©e est quant Ă  lui au tarif crĂšche. Tous les repas sont pris en compte et il n’y a aucun surplus Ă  payer. Les camps sont ouverts aux enfants de trois Ă  six ans dans tous les cantons, et jusqu’à huit ans pour celui du petit Lancy.

Qu’en est-il des ateliers indĂ©pendants ?

À Lancy, nous avons un centre sportif familial ouvert aux enfants de 0 Ă  5 ans avec tous types d’activitĂ©s : yoga, musique, danse, arts, motricitĂ© etc. L’abonnement illimitĂ© est Ă  108 francs par mois et permet Ă  l’enfant de venir Ă  toutes les activitĂ©s sans prĂ©-rĂ©servation. L’abonnement Ă  55 francs par mois donne l’accĂšs Ă  une activitĂ© par semaine.

Le centre possĂšde aussi une salle de fitness pour les adultes, ce qui permet Ă  la personne qui accompagne l’enfant de faire une sĂ©ance de sport pendant que celui-ci est pris en charge.

Brandreport ‱ PrioritĂ© Enfants

En quoi les besoins de l’enfant sont-ils mis au premier plan dans vos structures ?

La plus-value est de donner aux enfants Ă  dĂ©couvrir le plus d’activitĂ©s possibles afin d’aider leurs parents Ă  les orienter vers tel ou tel loisir parascolaire. Globalement, les activitĂ©s que nous proposons permettent de dĂ©velopper leur motricitĂ©, leur socialisation et leur apprendre de nouvelles compĂ©tences, ce qui est parfois difficile Ă  organiser Ă  la maison car cela nĂ©cessite des compĂ©tences pĂ©dagogiques. Les enfants qui viennent rĂ©guliĂšrement bĂ©nĂ©ficient d’un suivi un peu plus personnalisĂ© car nous travaillons avec leurs parents pour essayer de trouver leurs intĂ©rĂȘts naturels.

En quoi les activitĂ©s extra-scolaires sont-elles bĂ©nĂ©fiques pour le dĂ©veloppement des enfants ?

Elles leur permettent de dĂ©charger l’énergie. S’il y a une structure dans les camps et les cours, les enfants sont tout de mĂȘme plus libres qu’à la crĂšche ou Ă  l’école. Avoir la possibilitĂ© de dĂ©couvrir diffĂ©rents types d’activitĂ©s permet un dĂ©veloppement complet. En faisant du yoga par exemple, l’enfant dĂ©veloppe plusieurs compĂ©tences telles que la motricitĂ©, la concentration ou encore la gestion des Ă©motions. De plus, nous proposons des activitĂ©s bilingues, ce qui permet aux enfants de se familiariser avec une autre langue. Enfin, il s’agit aussi de solutions de garde pour les parents.

Quels sont vos futurs projets ?

Nous allons ouvrir deux nouvelles crÚches, à Crissier et à GenÚve, entre 2024 et 2025, et nous voulons également ouvrir une nouvelle structure à Nyon.

totup.ch

Garde d’enfants : des services fiables pour les familles

Trouver une personne de confiance pour prendre soin de son enfant est un souhait partagĂ© par de nombreux parents. PrioritĂ© Enfants, une agence qui a dĂ©jĂ  26 ans d’expĂ©rience, propose des services de garde d’enfants, de nounous et d’employĂ©s de maison adaptĂ©s aux besoins des familles.

Avec une longue expĂ©rience dans le recrutement de nounous et de personnel de maison, PrioritĂ© Enfants travaille avec des personnes expĂ©rimentĂ©es, qualifiĂ©es et compĂ©tentes. L’agence accorde une importance toute particuliĂšre au professionnalisme de son personnel grĂące aux autorisations obtenues en bonne et due forme, de mĂȘme qu’un processus de sĂ©lection rigoureux des candidates, dont les rĂ©fĂ©rences sont systĂ©matiquement vĂ©rifiĂ©es. Un accompagnement personnalisĂ© et des dĂ©marches simplifiĂ©es

PrioritĂ© Enfants prend en considĂ©ration les besoins spĂ©cifiques de chaque famille pour trouver la nounou idĂ©ale. L’agence reste disponible tout au long du processus de sĂ©lection, de recrutement et d’engagement, offrant un soutien continu et une proximitĂ© importante. Elle aide Ă©galement les familles dans les dĂ©marches administratives et lĂ©gales liĂ©es Ă  l’emploi d’une personne, prenant en charge les dĂ©clarations aux assurances sociales et les salaires dĂšs l’engagement jusqu’au dernier jour de travail. MĂȘme pendant la pandĂ©mie en 2020, l’agence a rĂ©ussi Ă  trouver des solutions lĂ©gales pour maintenir la relation de travail entre les familles et les nounous, dĂ©montrant son engagement envers les parents et les employĂ©s. La sĂ©curitĂ© et le bien-ĂȘtre des enfants : la prioritĂ© absolue ! Au-delĂ  des parents et des employĂ©s, la prioritĂ© de l’agence se situe bien au niveau des enfants, dont la sĂ©curitĂ© est le fer de lance. La mise Ă  jour des formations aux premiers secours, un certificat mĂ©dical attestant de la possibilitĂ© de s’occuper d’enfants ainsi que l’extrait du casier judiciaire sont exigĂ©s aux candidates.

Le futur

Pour amĂ©liorer davantage l’expĂ©rience familiale, PrioritĂ© Enfants est en train d’obtenir l’autorisation

de location de personnel. Cette obligation lĂ©gale tĂ©moigne du professionnalisme de l’agence et lui permettra d’offrir des services d’aide Ă  domicile pour les personnes ĂągĂ©es, de la garde d’enfants occasionnelle ou du babysitting, ainsi que du personnel de remplacement pour les crĂšches. Toujours avec la mĂȘme exigence, le mĂȘme savoir-faire et la mĂȘme prioritĂ© : le bien-ĂȘtre des enfants !

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA #focusmafamille 6 Brandreport ‱ TotUp
L ’équipe : Catia, Nadia et Louise
info@totup.ch Direction GĂ©nĂ©rale : +41
31
78 658 78

découvrezlanouvelle saison2024-25 osr.ch OSR.CH

20. 04. 24

samedi 11h00

Victoria Hall - GenĂšve

Le Carnaval 'gastronomique' des animaux concert en famille (dĂšs 7 ans)

La cuisine musicale vous connaissez ? Bienvenue Ă  Lionville pour son grand concours annuel ! Si c’est bien les incontournables lion, coqs et autres tortues et hĂ©miones illustrĂ©s par Camille Saint-SaĂ«ns qui sont en cuisine, les plats originaux, eux, ont Ă©tĂ© nouvellement imaginĂ©s par Jean-Francois Verdier. Attention, un petit malin aurait empoisonnĂ© un plat
 mais lequel ?

Réservez vos billets (dÚs 5.-)

OSR.CH/animaux

T. +41 (0)22 807 00 00

ORCHESTRE DE LA SUISSE ROMANDE

Avec le soutien de Partenaire de diffusion MécÚne

Découvrez le ogramme

de l’annĂ©e 2024

!

Journée Spéciale Pùques le 31 mars

Thé dansant le 3 avril

Atelier Petit Forestier le 5 avril

Atelier Petit Fermier le 10 avril

Et ce n’est pas tout !

Restez informé des prochains évÚnements via notre site internet : www.signaldebougy.ch

CHARLOTTE HODES CONVERSATIONS EN PLEIN AIR

FINISSAGE EN PRÉSENCE DE L’ARTISTE

DIMANCHE 5 MAI | 11H —17H

Pique-nique dans le parc, visites commentées à deux voix, guide volante

En partenariat avec l’association Camarada | EntrĂ©e libre, bu et payant

swiss museum for ceramics geneva schweizerisches museum fĂŒr keramik und glasand glass genf musĂ©e suisse de la cĂ©ramique et du verre genĂšve MOUVEMENTS 3PMET S 2 LE THÉÂTRE DES MARIONNETTES EN FÊTE ! 19 — 28 AVRIL 24 2 WEEK-ENDS — 3 SPECTACLES ET DES FORMES COURTES — VISITES — ATELIERS — ANIMATIONS INFOS ET BILLETS : MARIONNETTES.CH

DAdopter un animal de compagnie : comment faire le bon choix ?

Beaucoup de familles voient l’arrivĂ©e d’un nouveau membre poilu agrandir leur cocon familial. Adopter un animal de compagnie n’est cependant pas anodin et oblige Ă  se poser les bonnes questions pour que la cohabitation se passe au mieux et que tout le monde en ressorte grandi.

ans cette interview, les experts de l’association AtheMae-Cabot’ins nous expliquent comment choisir son nouveau compagnon de vie.

Quelles sont les raisons qui poussent une famille à adopter un animal de compagnie ?

Les raisons peuvent ĂȘtre diverses et sont gĂ©nĂ©ralement propres Ă  chaque famille. Mais pour les plus courantes, il y a souvent l’amour des animaux, l’envie de responsabiliser les enfants et/ou de les sensibiliser Ă  la vie animale, le souhait d’avoir une compagnie, l’effet de mode ou encore le besoin d’un chien d’utilitĂ© (par exemple un chien de socialisation pour un enfant vivant avec des troubles du neurodĂ©veloppement, ou un chien d’assistance pour une personne en situation de handicap physique ou de maladie, etc.)

Au contraire, dans quels cas n’est-il pas recommandĂ© d’adopter ?

Adopter un animal par effet de mode est rarement une bonne idĂ©e, de mĂȘme qu’adopter par suite d’un cadeau reçu (on ne fait pas cadeau d’un animal). Adopter parce qu’on s’est laissĂ© attendrir en voyant un chiot, un chaton, un lapin, etc. n’est pas recommandĂ© non plus.

Plus globalement, il n’est pas recommandĂ© d’adopter lorsqu’on n’a pas mesurĂ© tous les tenants et aboutissants d’une adoption (contraintes quotidiennes, que faire de l’animal durant les vacances, coĂ»ts vĂ©tĂ©rinaires, etc.). Une adoption doit ĂȘtre un acte mĂ»rement rĂ©flĂ©chi et impliquer tous les membres de la famille ; car adopter un ĂȘtre vivant est une grosse responsabilitĂ©. Comme disait St. ExupĂ©ry dans le Petit Prince, il faut « ĂȘtre responsable de ce que l’on apprivoise ».

Quels sont les animaux qui rencontrent le plus de succĂšs auprĂšs des familles ? Il s’agit des chats, des chiens, mais Ă©galement des animaux dits « NAC » qui sont les

FondĂ©e en 2022, Pawy rĂ©volutionne le marchĂ© suisse de l’alimentation animale avec un concept unique : une ration mĂ©nagĂšre fraĂźche, Ă©quilibrĂ©e et eco-friendly.

100 % sain, 100 % Suisse À l’origine de Pawy, il y a Alexandre et son amour inconditionnel des animaux. Alors que des Ă©tudes montrent l’impact de l’alimentation sur leur santĂ©, il cherche une alternative Ă  la fois saine, locale et respectueuse de l’environnement. Pour Ă©laborer ses recettes, il s’entoure de vĂ©tĂ©rinaires nutritionnistes et initie des partenariats avec des fermes engagĂ©es dans une production durable. RĂ©sultat : des plats savoureux exclusivement composĂ©s de viandes et de lĂ©gumes frais, produits et cuisinĂ©s en Suisse. Contenant plus de 55 % de bƓuf, de porc ou de poulet, au choix, ils sont 100 % naturels, sans conservateur, ni gluten. Les rations sont calculĂ©es au gramme prĂšs pour rĂ©pondre aux besoins spĂ©cifiques de l’animal et les ingrĂ©dients, sĂ©lectionnĂ©s avec soin, sont cuits Ă  la vapeur Ă  basse tempĂ©rature pour conserver leurs qualitĂ©s nutritives.

La magie du frais

Pour le propriĂ©taire, Pawy reprĂ©sente un gain de temps prĂ©cieux ; pour le chien ou le chat, c’est la garantie d’un

nouveaux animaux de compagnie comme les lapins, les cochons d’Inde, les furets, etc.

Quelles sont les bonnes questions Ă  se poser pour savoir si l’on est prĂȘt Ă  adopter ?

Il faut se demander si l’on a le temps et l’espace pour s’occuper de l’animal au quotidien selon les besoins propres Ă  l’espĂšce adoptĂ©e, si l’on est prĂȘt Ă  vivre les dĂ©gĂąts que l’animal va peut-ĂȘtre causer et si l’on a les moyens de l’entretenir. Il faut Ă©galement trouver des solutions de garde pendant les vacances et se renseigner si son canton, sa commune ou son domicile ont mis en place une rĂšglementation spĂ©cifique en lien avec l’espĂšce animale que l’on souhaite adopter.

Comment bien choisir son animal ? Y a-t-il des animaux qui correspondent davantage à tel ou tel type de famille ?

Ici encore, il faut se demander pourquoi veut-on un animal de compagnie et qu’attend-t-on de l’adoption. Cela se fait au cas par cas. Par exemple, si une famille souhaite un chien, il est alors primordial d’analyser les conditions de vie de la famille : est-ce une famille active, ou une famille plutĂŽt sĂ©dentaire et casaniĂšre, est-ce qu’il y a des enfants en bas Ăąge, etc. Les rĂ©ponses Ă  ces questions permettent de dĂ©finir quelle race de chien adopter selon le milieu familial et ses enjeux propres.

Pour un chat, il sera bon aussi de se demander oĂč poser la litiĂšre et qui va s’occuper de la nettoyer, est-ce qu’il devra vivre en appartement ou aura-t-on la possibilitĂ© de le faire sortir, aura-t-on le temps pour un chat Ă  poils longs si c’est ceux-lĂ  qui font chavirer notre cƓur.

Pour un NAC, il est important de se demander quel type de relation on cherche Ă  pouvoir entretenir ou non avec l’animal adoptĂ©. Un lapin ou un cochon

d’Inde ne sont pas des peluches. Et contrairement Ă  ce que les gens imaginent souvent, ils ne sont pas des « animaux pour les enfants » car ils sont des animaux de proie donc de caractĂšre gĂ©nĂ©ralement craintif, avec un temps d’apprivoisement qui peut ĂȘtre consĂ©quent. Ces petits animaux n’apprĂ©cient pas particuliĂšrement ĂȘtre manipulĂ©s, il faut donc ĂȘtre prĂȘt Ă  plus les observer.

Quels sont les bienfaits d’un animal de compagnie pour la vie familiale et l’épanouissement de ses membres ?

Chaque famille, selon qui elle est, va trouver ses intĂ©rĂȘts. LĂ  encore, il n’y a pas de rĂšgles prĂ©cises. Un animal peut parfois permettre de rassembler les membres de la famille, de mieux « souder le clan » et de favoriser le partage (partage des tĂąches, partage des Ă©motions, partage d’expĂ©riences, etc.) et le respect. Selon l’espĂšce, l’animal de compagnie peut aussi inviter au mouvement et aux balades, par exemple lorsqu’il faut sortir le chien ou jouer avec lui, ce qui peut se faire tous ensemble.

Dans le cas des chiens d’utilitĂ©, l’animal de compagnie peut aussi apporter une ouverture vers l’extĂ©rieur. On constate frĂ©quemment que le chien est un liant relationnel/social. Il permet d’engager la conversation car il est un sujet de discussion. Cela peut ainsi favoriser l’intĂ©gration des personnes en situation de handicap, le sentiment de reconnaissance et d’appartenance, et par la mĂȘme occasion sensibiliser tout un chacun aux diffĂ©rences.

En quoi avoir un animal de compagnie est-il un bon moyen de sensibiliser ses enfants au fait de s’occuper et de prendre soin d’autrui ? L’enfant apprend, entre autres, par imitation. Il a besoin de modùles pour se construire. Si dans l’adoption d’un animal, les parents montrent le bon exemple de comportement, de l’importance d’assumer

En bonne compagnie

La ration ménagÚre qui fait du bien aux animaux et à la planÚte

repas gourmand et d’une meilleure santĂ©. Le poids est rĂ©gulĂ©, sans carence ni excĂšs, le transit est facilitĂ©, le systĂšme immunitaire renforcĂ©... Et les rĂ©sultats sont visibles, comme l’explique Marc H.*, client conquis : « Mabrouk adore son Pawy. Il a une meilleure digestion et une plus grande vitalitĂ© ». Quant au prix, il est adaptĂ© Ă  la qualitĂ© du produit tout en restant volontairement accessible. Car comme l’explique Alexandre,

fondateur et CEO, « amĂ©liorer la qualitĂ© de vie d’un membre de sa famille ne doit pas ĂȘtre un luxe. »

Un menu sur mesure

Pour rejoindre la tribu Pawy, il suffit de se rendre sur le site internet et de se laisser guider. En quelques clics, le propriétaire complÚte le profil de son animal et crée son menu personnalisé. Race, taille, poids, activité,

ses choix et ses responsabilitĂ©s, cela peut devenir pour l’enfant une expĂ©rience positive significative. Avoir un animal de compagnie peut Ă©galement aider Ă  dĂ©velopper l’empathie des enfants, et mĂȘme des adultes.

Cependant, les parents doivent toujours garder Ă  l’esprit que lĂ  oĂč des petites tĂąches responsabilisantes peuvent ĂȘtre confiĂ©es Ă  l’enfant, comme remplir la gamelle d’eau, changer une litiĂšre ou emmener le chien faire ses besoins, tout doit ĂȘtre adaptĂ© Ă  l’ñge et au potentiel de l’enfant. Les parents doivent rester conscients que l’animal est sous leur responsabilitĂ© et non sous celle de leurs enfants. Tous les ans, des familles abandonnent leur animal de compagnie. Comment prĂ©venir un tel phĂ©nomĂšne ?

Il existe des campagnes de sensibilisation qui sont vraiment bien faites pour prĂ©venir les abandons des chiens. Il faut dissocier les diffĂ©rentes formes d’abandon, car ce n’est pas pareil de prendre ses responsabilitĂ©s pour emmener son animal dans un refuge car on ne peut vraiment pas faire autrement, par exemple dans le cas d’un dĂ©cĂšs ou d’une maladie dans la famille, que de se sĂ©parer de l’animal car on en a marre des contraintes. Ceux qui abandonnent leurs animaux « sur le bord d’une route » doivent ĂȘtre condamnĂ©s.

Il manque d’informations relatives Ă  l’abandon des chats, mais Ă©galement concernant les problĂšmes qui peuvent ĂȘtre engendrĂ©s en relĂąchant par exemple son lapin, son cochon d’Inde ou son oiseau en libertĂ© dans la nature. À propos de l’association :

Ă©ventuels problĂšmes de santé  une dizaine de critĂšres permet aux nutritionnistes de dĂ©terminer la ration journaliĂšre idĂ©ale. Les portions sont livrĂ©es rĂ©guliĂšrement ou ponctuellement, sans engagement. Elles se conservent quatre mois au congĂ©lateur, sept jours au rĂ©frigĂ©rateur et trois jours aprĂšs ouverture. Une praticitĂ© qui sĂ©duit les utilisateurs, Ă  l’instar de Maurine L.* : « Les produits sont de grande qualitĂ© et les recevoir chaque mois nous facilite la vie. » Comme elle, ils sont dĂ©jĂ  des milliers Ă  avoir adhĂ©rĂ© au concept Pawy.

Pour aujourd’hui et pour demain DĂ©vouĂ©e au bien-ĂȘtre animal et dĂ©terminĂ©e Ă  soutenir l’agriculture locale et durable, Pawy s’efforce aussi de rĂ©duire au maximum son impact environnemental. Neutre en carbone, elle est l’une des seules marques du secteur Ă  proposer des emballages certifiĂ©s neutres en plastique. Elle utilise Ă©galement une partie de ses recettes pour aider les associations de protection des animaux. En 2023, elle a fourni plus de 500 kg de nourriture fraĂźche Ă  des refuges.

PAWY

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Animaux de compagnie
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Dolmatov 8
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Faire son marché sur son canapé et à des prix imbattables !

Justin Borgesius, entrepreneur Ă©voluant dans le monde de l’informatique, est reconnu pour avoir créé plusieurs sites de e-commerce et dĂ©veloppĂ© des logiciels innovants. Aujourd’hui, il est le fondateur de Kakoin Shop, une boutique en ligne spĂ©cialisĂ©e dans la distribution de denrĂ©es alimentaires Ă  travers toute la Suisse, mettant en avant des prix concurrentiels inĂ©galĂ©s sur le marchĂ©.

Justin Borgesius, pourriez-vous nous raconter l’histoire de la crĂ©ation de Kakoin Shop et ce qui vous a inspirĂ© Ă  fonder cette entreprise ?

Face Ă  une inflation grandissante, mon Ă©quipe et moi avons pris l’initiative de crĂ©er un modĂšle commercial 100 % en ligne. Pourquoi se limiter Ă  un magasin physique alors que nous pouvons ĂȘtre partout en Suisse, Ă  portĂ©e de clic ? C’est ainsi que Kakoin Shop peut se permettre d’offrir les meilleurs prix possibles Ă  ses consommateurs. Avec notre approche sans intermĂ©diaires, nous rĂ©duisons les coĂ»ts et nous garantissons des Ă©conomies substantielles sur chaque achat.

Qu’est-ce que Kakoin Shop propose ?

Chez Kakoin Shop, nous mettons en avant une sĂ©lection minutieuse de produits secs et d’articles d’entretien et de soin tels que les gels douche et les shampooings. Nos clients adorent notre gamme car elle leur offre la commoditĂ© de faire leurs achats sans se dĂ©placer. Lorsqu’ils choisissent un paquet de pĂątes ou du papier toilette, ils n’ont pas besoin d’ĂȘtre sur place pour choisir. Cependant, pour les produits frais comme les fruits, les lĂ©gumes, le poisson ou la viande, nous comprenons que nos clients prĂ©fĂšrent choisir eux-mĂȘmes. C’est pourquoi nous offrons la possibilitĂ© de commander en ligne les articles encombrants ou lourds, pour une expĂ©rience de marchĂ© plus agrĂ©able et pratique.

Avec Kakoin Shop, le consommateur peut commander en ligne en toute confiance, sachant qu’il bĂ©nĂ©ficie de produits de qualitĂ© Ă  des prix compĂ©titifs.

Pourquoi Kakoin Shop ?

Parce que c’est facile Ă  retenir et il ne restait pas Ă©normĂ©ment de noms de domaines (rires).

Quels sont les principaux dĂ©fis que vous avez rencontrĂ©s lors du lancement de Kakoin shop et comment les avez-vous surmontĂ©s ?

Notre premier défi a été de trouver les bons fournisseurs et de gérer un catalogue comprenant prÚs de 4000 produits. Mais le défi majeur a été de rassembler les fonds nécessaires, car investir dans un tel projet demande un budget conséquent. Nous avons dû faire preuve de créativité et de détermination pour concrétiser nos ambitions.

Qu’ils soient cĂ©libataires ou en famille, nos clients font appel Ă  notre service pour bĂ©nĂ©ficier d’une livraison rapide et efficace de leurs denrĂ©es alimentaires, oĂč qu’ils soient.

plus prÚs des sources, garantissant ainsi une fraßcheur et une qualité optimales pour nos clients.

Qui sont vos principaux clients ?

Ce sont principalement des familles Ă  la recherche de solutions pratiques pour leurs courses quotidiennes. Nos services sont Ă©galement plĂ©biscitĂ©s par de nombreux hommes cĂ©libataires soucieux de gagner du temps et de simplifier leur vie quotidienne. Qu’ils soient cĂ©libataires ou en famille, nos clients font appel Ă  notre service pour bĂ©nĂ©ficier d’une livraison rapide et efficace de leurs denrĂ©es alimentaires, oĂč qu’ils soient.

Quel est le prix minimum du panier chez Kakoin Shop ?

Le montant du panier minimum s’établit Ă  seulement 76 francs suisses, une offre imbattable comparĂ©e Ă  celle de la concurrence qui exige gĂ©nĂ©ralement un minimum de 100 francs. De plus, le panier moyen tourne autour de 100 francs, offrant ainsi une flexibilitĂ© et une accessibilitĂ© maximales Ă  nos clients.

En quoi Kakoin shop se distingue-t-il des autres services de livraison de courses à domicile ?

La premiĂšre grande diffĂ©rence se situe au niveau des prix. Nous proposons les mĂȘmes produits que les grandes marques suisses et internationales Ă  des prix imbattables, avec certains articles qui sont parfois jusqu’à 50 % moins chers. Ensuite, notre service aprĂšs-vente tient compte de la satisfaction de nos clients. Nous avons une politique de remboursement des produits. Si il y a une erreur quelconque de notre part, nous n’hĂ©sitons pas Ă  offrir des bons d’achat. Cette annĂ©e d’ailleurs, nous allons mettre sur place des bons d’achats et des promotions personnalisĂ©es. Une fois qu’un client aura commandĂ© plusieurs fois

chez Kakoin, on va pouvoir identifier ses produits prĂ©fĂ©rĂ©s et lui proposer des rĂ©ductions. Initialement nous sommes une entreprise informatique, nous comptons donc introduire les technologies d’intelligence artificielle pour pouvoir proposer ce service personnalisĂ© aux prix les plus bas.

Comment sĂ©lectionnez-vous les produits et les commerçants avec lesquels vous travaillez ?

Dans notre quĂȘte de qualitĂ©, nous sĂ©lectionnons rigoureusement les grandes marques europĂ©ennes et nord-amĂ©ricaines renommĂ©es telles que Barilla, LU, et bien d’autres. En ce qui concerne nos fournisseurs, nous nous efforçons d’établir des partenariats au

Avec Kakoin Shop, le consommateur peut commander en ligne en toute confiance, sachant qu’il bĂ©nĂ©ficie de produits de qualitĂ© Ă  des prix compĂ©titifs.
– Justin Borgesius

Kakoin shop accorde-t-il une importance particuliùre à des pratiques durables et respectueuses de l’environnement ?

Si oui, comment cela se reflùtet-il dans votre entreprise ?

En tant que petite entreprise, nous sommes fiers de notre empreinte carbone minimale, contribuant ainsi Ă  la prĂ©servation de notre planĂšte. De plus, nous veillons Ă  ce que nos partenaires de livraison, tous basĂ©s en Suisse, adoptent des pratiques Ă©co-responsables tout au long de leurs opĂ©rations. C’est notre façon de garantir que chaque Ă©tape de notre processus contribue Ă  la protection de l’environnement. Quels sont vos projets de dĂ©veloppement futurs pour Kakoin shop ?

Nous aspirons Ă  Ă©largir notre assortiment en incluant des produits frais tels que des viandes, des poissons, et bien plus encore. Nous souhaiterions nous dĂ©velopper au-delĂ  des frontiĂšres suisses, avec pour objectif de conquĂ©rir le marchĂ© français, avant de nous installer dans d’autres pays d’Europe. Plus d’informations : www.kakoinshop.com

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Kakoin Shop ‱ Brandreport 9 #focusmafamille

« Chaque enfant a amenĂ© une pierre Ă  l’édifice »

Olivier Kretz se considĂšre comme l’homme le plus heureux du monde. Cette annĂ©e, il fĂȘte ses 40 ans de mariage avec Sandrine. Le couple a donnĂ© naissance Ă  quatre garçons, avec qui il dirige aujourd’hui une agence immobiliĂšre spĂ©cialisĂ©e dans les biens de luxe. Leur atout : avoir rĂ©ussi Ă  faire du travail en famille une force, tant sur le plan personnel que professionnel. Interview LĂ©a Stocky Image mĂ d

Dans cette interview, Olivier Kretz se confie sur les avantages de travailler en famille, mais aussi sur les obstacles que l’on peut rencontrer et la meilleure façon de les surmonter.

Olivier Kretz, qu’est-ce qui vous a amenĂ© Ă  fonder votre propre agence immobiliĂšre, qui plus est dans les biens de luxe ?

J’ai Ă©tĂ© cadre pendant plus de 25 ans dans des petites, des moyennes et des grosses entreprises françaises et amĂ©ricaines. J’ai eu la chance de commencer chez Procter & Gamble, oĂč j’ai appris les fondamentaux de la vente et du marketing. J’ai ensuite travaillĂ© dans des domaines diffĂ©rents, puis j’ai orientĂ© ma carriĂšre dans les technologies chez Nielsen avant de terminer dans les tĂ©lĂ©coms chez Prosodie (Capgemini). Dix ans aprĂšs, je n’avais que des machines autour de moi et je me suis rendu compte que cet environnement n’était plus fait pour moi. J’ai donc voulu me reconvertir dans un travail oĂč l’humain est au centre de la relation. Avec Sandrine, qui Ă©tait institutrice Ă  l’époque et passionnĂ©e de dĂ©coration, nous avons eu la chance d’acheter l’hĂŽtel particulier oĂč a habitĂ© AndrĂ© Malraux et dans lequel on habite aujourd’hui. Cette vente a finalement Ă©tĂ© le dĂ©clencheur de notre nouvelle vocation. J’ai donc pris mon bĂąton de pĂšlerin pour me lancer dans un mĂ©tier que je ne connaissais pas du tout, aprĂšs avoir passĂ© quelques mois Ă  en apprendre les bases dans mon coin. On Ă©tait en plein dans la crise des subprimes, mais grĂące Ă  notre duo, on a rĂ©ussi Ă  briser la glace et Ă  vendre notre premiĂšre maison, puis une deuxiĂšme, une troisiĂšme etc. Et c’était parti ! On a laissĂ© parler nos cƓurs et nos envies. Ce projet, en mettant en commun le professionnel et le privĂ©, a aussi donnĂ© un nouvel Ă©lan Ă  notre couple. Quels challenges avez-vous rencontrĂ©s en Ă©levant quatre garçons ?

Nous avions envie de fonder une grande famille. Afin de subvenir aux besoins de tous, je me suis beaucoup investi dans mon travail. Le challenge est de garder une vie de couple. Avec l’arrivĂ©e du troisiĂšme, on a pu dĂ©lĂ©guer un peu aux aĂźnĂ©s (rires). Nous avons dĂ» dĂ©velopper un sens de l’organisation et de la logistique. Se dĂ©placer Ă  six n’est en effet pas la mĂȘme chose que se dĂ©placer Ă  deux.

Comment dĂ©finiriez-vous votre famille ?

Notre famille est fusionnelle. Le fait de travailler ensemble depuis plusieurs annĂ©es nous permet aujourd’hui de communiquer sans se parler. Chacun ressent ce que les autres peuvent ressentir. On est trĂšs uni grĂące aux liens forts que nous avons su dĂ©velopper. Il ne s’agit plus seulement de deux parents et de quatre enfants, mais de six associĂ©s et de six amis. La relation s’est dĂ©veloppĂ©e et s’est construite Ă  plusieurs niveaux.

Quelles sont pour vous les valeurs essentielles Ă  vĂ©hiculer au sein d’une famille ?

PremiĂšrement, il y a l’amour, puis la confiance, le dialogue, la responsabilitĂ©, la loyautĂ©, la solidaritĂ©, le partage, l’épanouissement, ou encore la prise de risque. Il ne faut pas non plus oublier de s’amuser et de garder une Ăąme d’enfant. Le plaisir, liĂ© Ă  notre mĂ©tier, nous est aussi trĂšs important.

Vos fils vous ont rejoint dans l’aventure de l’agence immobiliùre. Comment cela s’est-il fait ?

Nous n’avons pas voulu forcer les choses et tout le monde a trouvĂ© sa place naturellement. Martin est un entrepreneur avec une Ăąme d’aventurier. AprĂšs avoir Ă©tĂ© diplĂŽmĂ© d’une Ă©cole de commerce et avoir travaillĂ© chez Alcatel, il voulait prendre son envol et nous avions justement besoin de quelqu’un qui dĂ©veloppe de nouvelles techniques marketing. Il est notamment trĂšs fort sur l’aspect communication. Valentin, ingĂ©nieur, a travaillĂ© aux États-Unis, aux Philippines, Ă  Hong Kong et Ă  New York. Quand il est revenu en France, il nous a rejoint pour nous aider sur l’aspect technologique et met Ă©galement Ă  profit son rĂ©seau Ă  l’international. Louis a travaillĂ© dans l’hĂŽtellerie avant de rejoindre l’aventure avec ses frĂšres. Aujourd’hui, il est parti Ă  Barcelone pour dĂ©velopper notre marchĂ© en Espagne. Quant Ă  RaphaĂ«l (20 ans), il est tombĂ© dans la marmite. Il poursuit des Ă©tudes immobiliĂšres et travaille en alternance Ă  l’agence. Chaque enfant a amenĂ© une pierre Ă  l’édifice.

Quels sont les avantages de travailler en famille ?

C’est un grand bonheur de pouvoir avoir nos enfants Ă  nos cĂŽtĂ©s tous les jours et de leur transmettre notre expĂ©rience. Depuis toujours, nous travaillons en confiance tous ensemble avec la mĂȘme vision : devenir l’un des leaders mondiaux dans l’immobilier de luxe. Nous faisons un peu sauter les rĂšgles d’une entreprise normale.

Au contraire, quels obstacles peut-on rencontrer ?

En tant qu’entreprise, quand on est petit et qu’on se bat contre de trĂšs gros acteurs, il faut constamment se rĂ©inventer pour ĂȘtre meilleur que les autres. Il est important de rester concentrĂ©, soudĂ© et uni et de ne pas se disperser, afin de garder notre direction et d’éviter qu’il y en ait un d’entre nous qui parte de son cĂŽtĂ©. Finalement, il faut rester uni. Nous Ă©voluons dans une crise immobiliĂšre depuis quelques mois mais le secteur du luxe et de l’ultra luxe rĂ©siste. Nous avons de plus en plus d’agents qui nous ont rejoint et de personnes Ă  coordonner.

Notre principal challenge est donc de développer notre société tout en gardant notre ADN familial.

En tant que chef d’entreprise et chef de famille, comment faites-vous face Ă  cette double casquette ? J’ai toujours Ă©tĂ© un camĂ©lĂ©on. Mais j’ai vite vu que cette double casquette n’était pas tenable longtemps, car mes enfants sont rapidement devenus meilleurs que moi dans de nombreux domaines. J’ai trĂšs tĂŽt dĂ©lĂ©guĂ© et mis en place une direction collĂ©giale avec eux. Comment gĂ©rez-vous les moments de dĂ©saccord au sein de la famille lorsque des dĂ©cisions importantes doivent ĂȘtre prises pour l’entreprise ?

Les dĂ©saccords ne concernent pas les dĂ©cisions stratĂ©giques, qui doivent d’ailleurs recueillir l’aval de tous les membres de la famille. Pour le reste, cela ne sert Ă  rien de forcer une dĂ©cision, je laisse souvent les enfants expĂ©rimenter par eux-mĂȘmes

C’est un grand bonheur de pouvoir avoir nos enfants Ă  nos cĂŽtĂ©s tous les jours et de leur transmettre notre expĂ©rience.
– Olivier Kretz

pour qu’ils puissent se faire leur propre expĂ©rience. J’ai davantage un rĂŽle de coach que de chef.

Arrivez-vous Ă  passer des moments

100 % famille sans parler du travail ? Nous nous sommes fixĂ©s la rĂšgle que lorsque nous sommes en famille avec les petits-enfants, nous excluons les discussions sur le travail qui pourraient polluer notre relation sur le plan privĂ©. L’avantage de travailler en famille c’est de pouvoir se relayer Ă  l’agence les uns les autres. Par exemple, au moment oĂč je vous parle, Martin est en train d’escalader le Kilimandjaro avec un de nos agents, et cela sans rĂ©seau ( rires ).

Quelles sont les astuces pour rĂ©ussir Ă  travailler sereinement avec sa famille ?

Il ne faut pas trop se mĂȘler de tout et laisser de l’oxygĂšne Ă  chacun pour ne pas avoir l’impression d’étouffer tous ensemble. Nous pouvons le faire car nous partageons les mĂȘmes valeurs.

Comment gĂ©rer la concurrence au sein des membres de la famille ?

Tout est partagĂ© entre nous sur toutes nos affaires, Ă  la façon d’un pot commun. Les primes sont par exemple partagĂ©es Ă©quitablement entre la famille et nos agents. Chacun de mes enfants excellant dans un domaine particulier, nous n’avons pas de problĂšme de concurrence de poste.

En quoi la dimension familiale de votre entreprise constitue-t-elle un avantage concurrentiel, selon vous ?

Finalement, nous sommes une famille qui parle Ă  d’autres familles, nous sommes trĂšs proches de nos clients. Cette relation nous permet de faire du sur-mesure et de comprendre au mieux les enjeux d’un projet. GrĂące aux valeurs que nous avons vĂ©hiculĂ©es Ă  nos enfants, ils ont mieux compris le mĂ©tier : ils ont une meilleure comprĂ©hension des souhaits des clients, savent dialoguer et ont plus de rĂ©activitĂ©. C’est pour cela que tous nos efforts sont tournĂ©s vers le fait de maintenir notre ADN familial dans l’entreprise mĂȘme si elle grossit rapidement. Nous mettons donc l’accent sur la formation, l’accompagnement et la proximitĂ© avec les agents.

Vous ĂȘtes depuis quelques annĂ©es Ă  l’affiche de la sĂ©rie TF1 et Netflix L’Agence, L’immobilier de luxe en famille, qui met en scĂšne votre vie Ă  la fois professionnelle et privĂ©e. A-t-il Ă©tĂ© facile de laisser entrer des camĂ©ras dans votre sphĂšre privĂ©e ? Encore une fois, cela s’est fait progressivement. Lors de la premiĂšre saison diffusĂ©e en 2020 et composĂ©e de cinq Ă©pisodes, nous Ă©tions un peu craintifs car ce n’est pas quelque chose de naturel. Toutefois, voir les premiers rĂ©sultats nous a libĂ©rĂ©s. La quatriĂšme saison, en train d’ĂȘtre diffusĂ©e, est composĂ©e de dix Ă©pisodes. Aujourd’hui, nous faisons corps avec l’équipe de production RĂ©servoir Prod qui nous accompagne depuis le dĂ©but et qui fait finalement partie de la famille Ă©largie. Nous sommes trĂšs transparents et nous n’avons rien Ă  cacher. Notre visibilitĂ© plaĂźt beaucoup aux clients car ils nous connaissent dĂ©jĂ . La relation de confiance est ainsi Ă©tablie dĂšs le dĂ©but.

Comment voyez-vous l’évolution de l’agence et de votre travail avec vos fils ? Nous souhaitons garder une taille humaine, tout en nous dĂ©veloppant Ă  l’international. Nous avons une prĂ©sence partout en France et nous dĂ©marrons progressivement en Espagne, au Portugal, en GrĂšce, Ă  DubaĂŻ, Ă  New York, Ă  Saint BarthĂ©lĂ©my et au BrĂ©sil. Nous dĂ©marrons Ă©galement en Suisse. Nous souhaitons aussi diversifier nos activitĂ©s. Enfin, notre but est d’effectuer une transmission progressive de l’entreprise Ă  nos enfants.

Dans votre famille, lequel est :

Le plus blagueur : Valentin

Le plus exigeant : Martin

Le plus fonceur : Valentin

Le meilleur cuisinier : Louis

Le plus fou : Martin

Le plus voyageur : Valentin

Le plus sportif : Raphaël

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA focus.swiss 10 Interview ‱ Olivier Kretz

La passion de l’immobilier, de pùre en fils

Tassilo Boscacci incarne la vision et la passion d’Attica Immobilier, entreprise Ă©tablie il y a de nombreuses annĂ©es en Suisse. NĂ© Ă  Lausanne, aprĂšs quelques annĂ©es dans la finance et la gestion de projet, Tassilo Boscacci s’est rapprochĂ© de la vocation familiale, inspirĂ© depuis tout jeune par son pĂšre qui possĂšde une expertise de plus de 40 ans dans la promotion immobiliĂšre.

Que ce soit dans la vente en plaine ou en montagne, l’ADN d’Attica Immobilier se distingue par son service et son engagement sur-mesure pour tous ses clients et pour tout type de bien immobilier.

Tassilo Boscacci, quels sont les principaux services que vous offrez ?

Nous nous spĂ©cialisons dans le courtage ou la revente, ainsi que dans la promotion immobiliĂšre. Ce qui nous distingue, c’est notre structure Ă  taille humaine, qui favorise une relation Ă©troite avec aussi bien les vendeurs que les acheteurs privĂ©s comme institutionnels. Notre volontĂ© n’est pas d’avoir juste un grand volume de biens immobiliers, mais plutĂŽt d’en proposer soigneusement, Ă©valuĂ©s et construits, pour pouvoir consacrer du temps Ă  nos clients et comprendre pleinement leurs besoins. En consĂ©quence, environ 90 % de nos mandats sont exclusifs, ce qui signifie qu’aucune autre agence n’a accĂšs Ă  ces propriĂ©tĂ©s. Nous acceptons ces mandats Ă  des prix que nous jugeons justes, avec parfois une certaine marge, ce qui garantit une transaction Ă©quitable pour toutes les parties impliquĂ©es.

Comment votre approche sur-mesure diffĂšre-t-elle des pratiques plus standardisĂ©es que l’on trouve souvent dans l’industrie immobiliĂšre ?

Auparavant, Ă  l’époque de mon pĂšre, une transaction immobiliĂšre impliquait souvent seulement deux parties : un acheteur et un vendeur. Mais aujourd’hui, il y en a trois : l’acheteur, le vendeur et la banque. L’acquisition d’un bien immobilier ne peut plus

se faire sans l’accord prĂ©alable d’un Ă©tablissement financier. C’est pourquoi nous nous efforçons d’ĂȘtre alignĂ©s au marchĂ©, ce qui se traduit par des mandats qui sont peu de temps sur le marchĂ©. Notre approche repose principalement sur les recommandations, sans recourir Ă  un marketing excessif. Nous entretenons des relations durables avec nos clients ; certains d’entre eux reviennent aprĂšs dix ans, soit pour revendre, soit pour nous recommander Ă  d’autres personnes souhaitant acheter ou vendre. Nous Ă©tablissons ainsi un rĂ©seau de proximitĂ© avec nos clients sur du long terme, ce qui nous permet mĂȘme de ne pas rendre public certains mandats (environ un sur cinq). Lorsque nous obtenons de nouveaux mandats, nous savons qu’ils sont au bon prix, nous contactons donc directement nos clients car notre objectif est aussi de leur offrir des exclusivitĂ©s en lien avec leur confiance qu’ils nous portent. De plus, nous leur offrons diverses prestations, notamment un conseiller en financement hypothĂ©caire qui travaille avec plusieurs Ă©tablissements bancaires pour proposer des conditions de financement variĂ©es, ainsi que l’accĂšs Ă  plusieurs notaires et Ă  des entreprises compĂ©tentes dans la transformation et la rĂ©novation.

Quels sont les conseils que vous donneriez aux familles qui envisagent d’acheter ou de vendre une propriĂ©tĂ© en Suisse ?

Pour les acheteurs potentiels, la premiĂšre Ă©tape cruciale consiste Ă  Ă©valuer leur capacitĂ© d’emprunt, afin de dĂ©finir un budget rĂ©aliste pour leurs recherches. Ensuite, il est essentiel pour eux de planifier non seulement leurs besoins immĂ©diats en matiĂšre de logement, mais aussi de projeter leurs besoins sur cinq Ă  dix ans. Quels sont leurs projets de vie Ă  venir ? Envisagent-ils de construire ou agrandir leur famille, de dĂ©mĂ©nager, etc.? Bien que la situation puisse sembler complexe, il est gĂ©nĂ©ralement plus avantageux d’ĂȘtre propriĂ©taire que locataire si l’on dispose des fonds nĂ©cessaires, en fonction de sa vision Ă  court, moyen ou long terme. Et considĂ©rer qu’il faut environ dix ans pour rĂ©aliser une plus-value significative sur un bien immobilier. Pour les vendeurs, l’important est d’obtenir des conseils appropriĂ©s sur la valeur de leur bien. Autrefois, il Ă©tait courant de tester le marchĂ© en vendant un bien avec une marge supĂ©rieure Ă  sa valeur rĂ©elle, car les acheteurs investissaient davantage de fonds propres. Cependant, dans le contexte Ă©conomique actuel, les banques et les acheteurs sont plus enclins Ă 

rechercher des transactions au prix juste. Cela signifie que les vendeurs doivent Ă©galement ajuster leurs attentes et proposer leur bien Ă  un prix Ă©quitable. Quels sont les principaux dĂ©fis auxquels une famille peut ĂȘtre confrontĂ©e lorsqu’elle cherche Ă  acheter ou vendre un bien en Suisse et comment Attica aide-telle les familles Ă  les surmonter ?

Trouver un bien immobilier qui corresponde Ă  leurs besoins et Ă  leur budget, puis pouvoir le visiter rapidement et entamer les dĂ©marches bancaires constitue le dĂ©fi majeur pour les acheteurs. Actuellement, le marchĂ© immobilier suisse est peu fourni, ce qui exige une grande rĂ©activitĂ©. C’est pourquoi nous proposons les services d’un conseiller en financement hypothĂ©caire. Ce professionnel peut rapidement solliciter une, deux voire trois banques pour obtenir des financements adaptĂ©s Ă  nos clients. En somme, le dĂ©fi pour les clients d’aujourd’hui est de trouver le bon bien immobilier, de gĂ©rer efficacement les formalitĂ©s administratives, mais surtout de prendre la bonne dĂ©cision.

Quels sont vos projets futurs ?

Personnellement, pĂšre de jeunes jumeaux, je suis de plus en plus sensible Ă  leur avenir, de leurs futurs besoins d’un logement qui ne cesse de se tarir, aux enjeux de durabilitĂ© et d’écologie.

Attica Immobilier a donc comme ambition de prolonger son activitĂ© de conseil et vente, de poursuivre sa recherche d’opportunitĂ©s, comme des terrains, pour construire de nouveaux projets et de faire perdurer cette relation de proximitĂ© avec tous ceux qui nous font confiance.

Interview Océane Ilunga www.atticaimmobilier.ch

15 dĂ©cennies d’immobilier en famille

« Notre succĂšs est intimement liĂ© Ă  la structure et Ă  la solidaritĂ© familiales sans lesquelles jamais cette pĂ©rennitĂ© n’aurait pu exister. » Yves Grange

En 1869, alors que l’ampoule n’a mĂȘme pas encore Ă©tĂ© inventĂ©e, François-Louis Grange dĂ©cide que le mĂ©tier d’épicier de son pĂšre ne sera pas le sien et s’associe Ă  Louis Carey pour installer la rĂ©gie Carey & Grange Ă  la place du Molard. Il va toquer Ă  la porte de ses locataires Ă  bicyclette pour rĂ©colter les loyers, tient sa comptabilitĂ© Ă  force d’esprit et rĂ©dige les baux Ă  la plume.

EntourĂ©e de ses fortifications, GenĂšve ne pouvait s’étendre qu’en hauteur. Les immeubles remplacĂšrent les maisons, incitant les propriĂ©taires Ă  chercher de l’aide pour administrer un plus grand nombre de logement. C’était l’époque des premiĂšres rĂ©gies Ă  GenĂšve et le dĂ©but de l’aventure de la famille Grange. Chaque gĂ©nĂ©ration a ensuite contribuĂ© Ă  son histoire. Pour Jules, fils de François-Louis, toute la satisfaction se trouvait dans le contact humain. Il gĂ©rait quelques immeubles, de la cave au grenier, en s’occupant de tous les aspects. Ses fils Bernard et Philippe ont dĂ©veloppĂ© l’activitĂ© en se lançant dans la vente et le courtage. Puis lorsque les frĂšres jumeaux Jacques et Michel reprennent le flambeau dans les annĂ©es 70, le marchĂ© est en pleine progression. Ils poursuivent le dĂ©veloppement de la rĂ©gie notamment par la gestion de sociĂ©tĂ©s immobiliĂšres par le biais de leur dĂ©partement fiduciaire.

Aujourd’hui encore, l’entreprise est entiĂšrement dĂ©tenue par la famille. Les quatre reprĂ©sentants de la 5Ăšme gĂ©nĂ©ration – BĂ©atrice, Cyril, Nicolas et Yves – insufflent depuis plusieurs dĂ©cennies une nouvelle dynamique et ont fait prendre Ă  l’entreprise une ampleur encore jamais connue jusque-lĂ . PrĂšs d’une centaine de collaborateurs s’activent tous les jours Ă  la gestion de plus de 1’500 immeubles. Ensemble, ils Ă©toffent le panel de services offerts par l’entreprise et dĂ©veloppent une vĂ©ritable expertise pour l’investissement, le dĂ©veloppement et le courtage. ParallĂšlement, ils lancent la marque Grange Prestige, qui se concentre sur la vente de biens immobiliers de luxe.

Notre régie a su croßtre de maniÚre organique, en préservant la disponibilité et la proximité qui nous caractérisent depuis le premier jour.
– Nicolas Grange

« Notre régie a su croßtre de maniÚre organique, en préservant la disponibilité et la proximité qui nous caractérisent depuis le premier jour. » Nicolas Grange

Plus rĂ©cemment, Julien – le fils d’Yves – a rejoint l’actionnariat et le Conseil d’Administration de la sociĂ©tĂ©. Avec son intĂ©gration, c’est aujourd’hui la 6Ăšme gĂ©nĂ©ration de la famille qui est reprĂ©sentĂ©e. Son objectif : faire Ă©voluer la sociĂ©tĂ© avec son Ă©poque tout en prĂ©servant les valeurs fondamentales de l’aventure familiale.

« J’ai une chance inouĂŻe de pouvoir compter sur l’expĂ©rience de la gĂ©nĂ©ration prĂ©cĂ©dente, on ne peut rĂȘver de meilleurs mentors. Travailler en famille a bien entendu ses avantages et inconvĂ©nients. Les Ă©changes peuvent parfois manquer de formalisme. Un Conseil d’Administration peut prendre la forme d’une discussion sur Whatsapp un dimanche soir Ă  23h. NĂ©anmoins, aucun autre type d’entreprise ne peut se targuer de penser en gĂ©nĂ©rations et pas en trimestres, ce qui est particuliĂšrement pertinent dans le contexte de la gestion ou la transmission d’un patrimoine immobilier. » Julien Grange

Pour plus d’informations : grange.ch

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA
Tassilo Boscacci Fondateur de Attica Immobilier
Immobilier ‱ Brandreport 11 #focusmafamille
Grange Immobilier ‱ Brandreport Attica

Comprendre les besoins de son enfant

Aider au développement cognitif de son enfant

Comment comprendre les besoins de son enfant ? Comment lui permettre de se développer dans les meilleures conditions tout en lui fournissant un cadre nécessaire ?

Dans cette interview, Anne Jeger, psychologue clinicienne à Lausanne et psychologue référente des associations lafamily.ch et VIA, répond à ces questions.

Anne Jeger, comment transmettre Ă  son enfant de la bienveillance, de l’écoute, mais aussi un cadre avec des rĂšgles claires ?

On doit toujours tenir compte de l’ñge de l’enfant, de sa maturitĂ©, qu’elle soit cĂ©rĂ©brale ou Ă©motionnelle, de ses habilitĂ©s et de ses compĂ©tences. Par exemple, un enfant de deux ans ne peut pas rĂ©guler ses Ă©motions seul. L’isoler dans sa chambre peut donc lui provoquer des angoisses. Il est nĂ©cessaire de lui transmettre Ă  la fois de l’amour et des rĂšgles claires et constantes qui vont l’aider Ă  se structurer et le rassurer. Cela passe par le fait de rĂ©pĂ©ter souvent les mĂȘmes choses. Poser des rĂšgles, c’est aussi lui apprendre des valeurs de respect, de non-violence et de partage.

Tout cela ne s’apprend pas Ă  l’école. En tant que parents, il est important d’ĂȘtre curieux et de s’instruire, notamment grĂące Ă  l’échange avec d’autres parents ou aux Ecoles de parents qui existent un peu partout. Comment transmettre Ă  son enfant des valeurs et de la confiance en soi, qui lui permettront ensuite de s’insĂ©rer dans la sociĂ©té ?

La confiance en soi passe par le faire. Il est important de prendre le temps d’encourager son enfant à essayer, à tomber et à se relever. Lui montrer ou faire avec lui, mais pas à sa place, car un enfant apprend par imitation. Solliciter son aide est un bon moyen pour l’enfant de gagner en confiance.

Brandreport ‱ La Nouvelle Ecole

Comment savoir quels sont les besoins de son enfant et comment les satisfaire ?

Les besoins des enfants, qui dĂ©pendent de leur Ăąge, peuvent s’apprendre dans les livres. Leur identification commence trĂšs tĂŽt en posant des questions simples : Est-ce tu as faim ? Est-ce que tu veux jouer ?

Quelles activitĂ©s peut-on intĂ©grer dans la routine quotidienne pour stimuler le dĂ©veloppement cognitif des enfants ?

Les jeux de sociĂ©tĂ© tels que le Memory, les puzzles, les calculs mentaux, les jeux de mĂ©moire et de formation de phrases comme le cadavre exquis, le sport, la danse ou encore la lecture, sont de bons stimulants. Ce qui compte avec les enfants, c’est le temps qualitatif passĂ© avec eux.

Comment gĂ©rer l’exposition des enfants aux Ă©crans et quels sont les risques associĂ©s Ă  un usage excessif ?

Il faut leur expliquer le pour et le contre de l’utilisation des Ă©crans et instaurer des rĂšgles trĂšs claires dĂšs leur plus jeune Ăąge. Plus le cadre est clair, plus l’enfant est rassurĂ©. Les risques d’une utilisation excessive sont la dĂ©pendance, le stress, le manque, les troubles de l’humeur, du sommeil et de la concentration, et le risque d’entraver ses habilitĂ©s sociales, surtout chez des enfants qui sont dĂ©jĂ  introvertis. C’est le mal du siĂšcle, qui concerne aussi d’ailleurs les parents.

Que peut-on faire pour augmenter leur capacitĂ© de concentration et d’attention ?

Il faut les envoyer jouer dehors davantage, les rendre curieux, les emmener dans la nature, dans les musées ou des expositions interactives. Les jeux de réceptivité sensorielle sont aussi trÚs intéressants pour apprendre à fixer son attention sur un sens en particulier.

Comment favoriser le dĂ©veloppement social des enfants et encourager des relations saines avec ses pairs ?

Ce qui est important, c’est d’apprendre trĂšs tĂŽt aux enfants les valeurs de gĂ©nĂ©rositĂ© et de partage,

d’ouverture aux autres et Ă  la diffĂ©rence. Pour cela, les enfants doivent passer du temps avec des amis, des adultes, faire des activitĂ©s extrascolaires et rejoindre des groupes tels que le scoutisme. La question de l’empathie est fondamentale car pouvoir se mettre Ă  la place de l’autre, surtout en cas de conflit, permet d’éviter de lui faire du mal. Quelles sont les stratĂ©gies efficaces pour encourager l’autonomie chez les enfants tout en assurant leur sĂ©curité ? Il est trĂšs important de laisser les enfants rĂ©flĂ©chir, prendre des initiatives et participer Ă  la vie communautaire. L’autonomie passe aussi par le fait de laisser ses enfants tranquilles. Aujourd’hui, les parents, qui veulent bien faire, sont trop sur leurs enfants, qui sont surstimulĂ©s et arrivent Ă  saturation. Il faut les laisser jouer seuls pour dĂ©velopper leur monde imaginaire, et cela sans consigne. Moins on fait ingĂ©rence, plus les enfants prennent confiance en eux. Quels sont les signes indicateurs de stress ou d’anxiĂ©tĂ© chez les enfants, et comment peut-on les aider Ă  y faire face ? Sur le plan physique et comportemental, les signes sont l’épuisement physique, l’irritabilitĂ©, le refus des consignes, ou des difficultĂ©s Ă  le stimuler. On peut aussi relever des tics, de la nervositĂ©, des problĂšmes d’attention et de mĂ©moire, la baisse des rĂ©sultats scolaires et des manifestations psychosomatiques telles que des maux de ventre, de tĂȘte ou de l’eczĂ©ma. Sur le plan psychique et Ă©motionnel, on retrouve la peur de l’échec et de mal faire, l’anxiĂ©tĂ© de performance, la peur de la vie voire la phobie scolaire. On note Ă©galement une dĂ©valorisation de soi, l’absence de dĂ©sir, la quĂȘte de perfection ou l’obsession. Il faut particuliĂšrement faire attention aux symptĂŽmes exacerbĂ©s et chroniques. Pour y remĂ©dier, je recommande la sophrologie, la mĂ©ditation, la dĂ©tente, les groupes de soutien ou des activitĂ©s telles que l’équitation. Il est

fondamental d’apprendre aux enfants Ă  respirer et Ă  dĂ©velopper des pensĂ©es positives, notamment la gratitude. Il s’agit d’offrir un cadre de vie calme et un espace d’écoute, surtout en fin de journĂ©e.

Comment traiter les situations de deuil, de sĂ©paration ou de divorce dans la vie d’un enfant et minimiser leur impact sur son bien-ĂȘtre Ă©motionnel ?

Un enfant confrontĂ© Ă  ces chocs a besoin d’un espace bienveillant pour exprimer son chagrin sans jugement. Il est essentiel de lui dire la vĂ©ritĂ© sur les Ă©vĂ©nements. Dans le cas d’un divorce, il a besoin de savoir qu’il sera toujours aimĂ© par ses deux parents de maniĂšre inconditionnelle. L’enfant ne doit pas ĂȘtre mĂȘlĂ© aux problĂšmes d’adultes ; il ne faut surtout pas en faire son messager ou son confident. La mise en place d’une routine permet de lui donner une structure. Enfin, il faut veiller Ă  ce que les enfants frĂ©quentent les membres de la famille Ă©largie.

Comment aborder les questions de sexualitĂ© et d’éducation sexuelle avec ses enfants Ă  diffĂ©rentes Ă©tapes de leur croissance ? Utiliser des livres est une bonne mĂ©thode pour apprendre le respect de son corps et du corps d’autrui. Il est important d’utiliser des mots simples.

Interview Léa Stocky

Pour en savoir plus sur le sujet, Anne Jeger est l’auteure du livre Regard d’une psychologue sur les enfants, la vie de famille et les Ă©preuves du couple.

« Quand l’apprentissage tient Ă  cƓur, alors vient l’excellence »

Lorsque l’on accorde une importance particuliĂšre Ă  son apprentissage, l’excellence devient alors une Ă©vidence, car un dĂ©sir sincĂšre de rĂ©ussir se dĂ©veloppe chez l’enfant qui porte alors de l’intĂ©rĂȘt bienveillant Ă  apprendre.

StĂ©phanie Ayre, directrice et fondatrice de la Nouvelle École Ă  GenĂšve le confirme : « quand l’apprentissage tient Ă  cƓur, alors vient l’excellence ». Retour sur les vertus d’une pĂ©dagogie davantage centrĂ©e sur les besoins et les intĂ©rĂȘts de l’enfant.

Stephanie Ayre, quelle est la philosophie de la Nouvelle École ?

La Nouvelle École s’inspire grandement de la philosophie Montessori qui se fonde sur le respect de l’enfant, la responsabilisation et la stimulation de la curiositĂ©. Nous travaillons avec des petits groupes d’apprentissage d’environ 5 enfants dans des classes de 2 Ă  3 ans puis de 3 Ă  7 ans.

Le programme de la Nouvelle École se dĂ©veloppe autour de thĂšmes qui se renouvellent chaque deux semaines. Au travers de thĂšmes tels que les planĂštes, les abeilles ou encore la plage, les enfants suivent les objectifs d’apprentissage inscrits dans les programme suisse et anglais, puisqu’il s’agit d’une Ă©cole bilingue. Par exemple, plutĂŽt que de compter selon une liste de chiffres, ils vont compter des planĂštes reprĂ©sentĂ©es sur un tableau et par couleur. Cette approche concrĂšte, axĂ©e sur la manipulation, convient parfaitement aux enfants de moins de 7 ans encore trop jeunes pour aborder des Ă©lĂ©ments abstraits. En somme, l’enfant va apprendre en se questionnant, ce qui lui permet de s’impliquer davantage dans son apprentissage.

En plus de proposer une Ă©ducation personnalisĂ©e dans un environnement attractif, la Nouvelle École met un point d’honneur sur l’écoresponsabilitĂ©.

Pouvez-vous expliquer ce choix ?

Nous avons effectivement des programmes tournĂ©s vers la nature et l’environnement. Nous avons dĂ©veloppĂ© toutes une partie du cursus scolaire Ă  travers les mers et les ocĂ©ans et nous utilisons beaucoup de matĂ©riel naturel.

Je pense qu’il est trĂšs important pour les enfants d’apprendre Ă  ĂȘtre responsable et respectueux envers la nature. En guide d’exemple, l’école plante chaque mois 100 arbres Ă  travers le monde et organise des rĂ©unions sur le rĂ©chauffement climatique. Au cours de l’annĂ©e, la Nouvelle École propose diffĂ©rents ateliers thĂ©matiques tant pour les enfants que pour les adultes. De quoi s’agit-il exactement ? Nous proposons toutes sortes d’ateliers afin de construire et renforcer notre communautĂ©. Nous avons par exemple des ateliers de tissage, trĂšs apprĂ©ciĂ©s tant par les enfants que par les parents. Nous offrons Ă©galement des ateliers de coaching pour les parents afin de les aider Ă  amĂ©liorer leur environnement familial. Le rĂŽle de parent n’est pas toujours facile et certains Ă©lĂ©ments

peuvent parfois ĂȘtre mis en place pour mieux rĂ©pondre aux besoins de la famille. Ces ateliers sont ouverts Ă  tous.

Finalement, nous proposons des programmes de vacances ouverts Ă  tous les enfants entre 3 et 7 ans durant les vacances de printemps et le mois de juillet. Il s’agit de semaines thĂ©matiques comme le petit gĂ©ologue, le petit architecte, etc.

Interview Maévane Mas

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Montessori Seeds of Knowledge

Étudier dans la libertĂ© et la crĂ©ativitĂ©

NĂ©e au tournant du 20e siĂšcle, la mĂ©thode Montessori suscite un intĂ©rĂȘt croissant parmi les parents modernes.

En valorisant l’autonomie et le respect, elle offre Ă  chaque enfant l’opportunitĂ© de façonner activement son propre apprentissage, rĂ©vĂ©lant ainsi un monde oĂč l’éducation devient une aventure captivante.

par cƓur qu’il va ensuite appliquer à des exercices.

Marie Littman, directrice pĂ©dagogique de l’école Montessori Seeds of Knowledge Ă  Etoy, met en lumiĂšre les bienfaits de cette approche novatrice.

Marie Littman, quelles sont les valeurs défendues au sein de

Montessori Seeds of Knowledge ?

En tant que guides, nous sommes particuliĂšrement Ă  l’écoute des besoins de chaque enfant. Nous promouvons la bienveillance et le respect, et accompagnons les Ă©lĂšves vers l’autonomie grĂące Ă  la pĂ©dagogie Montessori. Nous mettons Ă©galement l’accent sur le cĂŽtĂ© positif de l’erreur, car elle n’est pas un Ă©chec mais quelque chose qui nous permet de voir ce sur quoi nous pouvons encore travailler. Les enfants qui commettent des erreurs ne devraient pas se dĂ©nigrer, mais plutĂŽt essayer de trouver des solutions pour s’amĂ©liorer.

Pouvez-vous expliquer le principe de la pĂ©dagogie Montessori ?

La mĂ©thode Montessori part de l’enfant et de ses propres intĂ©rĂȘts afin de rendre l’apprentissage actif. À Montessori Seeds of Knowledge, nous offrons Ă  chaque Ă©lĂšve la possibilitĂ© d’explorer des concepts abstraits de maniĂšre concrĂšte au travers d’un matĂ©riel variĂ©. Il s’agit en somme du processus inverse de l’enseignement magistral oĂč l’enfant apprend une rĂšgle

Avec la mĂ©thode Montessori, l’enfant utilise le matĂ©riel pour travailler, rĂ©pĂ©ter et aboutir de lui-mĂȘme Ă  la rĂšgle sans intervention superflue de l’adulte.

En fonctionnant avec la mĂ©thode Montessori, nous menons les enfants Ă  travailler pour eux et non pas pour une note ou pour l’adulte. Nous mettons en place des outils pour qu’ils soient Ă  mĂȘme de structurer leur journĂ©e afin d’effectuer tout leur travail.

L’école Montessori Seeds of Knowledge accueille des enfants de tous Ăąges jusqu’à 15 ans. Quels sont les aspects abordĂ©s dans les diffĂ©rentes classes ?

Dans notre CommunautĂ© Enfantine, qui accueille les enfants de 18 Ă  36 mois, nous mettons l’accent sur l’affinement de la motricitĂ© fine, l’acquisition du langage oral et la consolidation de l’autonomie de base. Nous proposons des activitĂ©s sensorielles et pratiques spĂ©cifiquement adaptĂ©es Ă  leurs besoins de dĂ©veloppement Ă  ce stade crucial de la petite enfance.

Dans la classe 3-6 ans, les enfants ont besoin d’explorer leur environnement direct et perceptible. Leurs sens sont trĂšs Ă©veillĂ©s, nous travaillons donc avec une large sĂ©rie de matĂ©riel Ă  explorer de maniĂšre sensorielle.

Les enfants entre 6 et 12 ans ont au contraire besoin de comprendre ce qu’ils ne voient pas : le cosmos, la nature, le monde, etc. Il s’agira davantage de matĂ©riel gĂ©omĂ©trique, d’algĂšbre ou de notions cosmiques. Dans cette classe, les matiĂšres sont travaillĂ©es les unes avec les autres. Les enseignants vont par exemple exploiter l’intĂ©rĂȘt d’un enfant pour l’histoire afin de travailler des notions de rĂ©daction, d’orthographe ou de syntaxe.

Finalement, pour la classe des 12-15 ans, il n’y a pas de programme Montessori Ă  proprement parler. Ce qui est important est de s’adapter au systĂšme dans lequel le jeune Ă©voluera. Nous avons donc construit

En tant que guides, nous sommes particuliĂšrement Ă  l’écoute des besoins de chaque enfant.

un matĂ©riel Ă  partir du programme Harmos pour que le jeune puisse s’auto-Ă©valuer, rĂ©pĂ©ter et se corriger. Dans quels types d’espaces de travail les enfants Ă©voluent-ils ?

Nous avons des salles de classes mais aussi toute une superficie en extĂ©rieur avec un jardin de permaculture. Toutes les classes ont un espace potager, ce qui permet aux enfants de prendre conscience de l’équilibre de la nature et de comprendre l’écosystĂšme. Comment la mĂ©thode Montessori prĂ©paret-elle les Ă©lĂšves Ă  la suite de leurs Ă©tudes ?

Nous prĂ©parons les Ă©lĂšves pour l’entrĂ©e en gymnase grĂące Ă  un matĂ©riel qui renforce leur autonomie, leur sens des responsabilitĂ©s et l’autoĂ©valuation. Le matĂ©riel est conçu pour couvrir l’ensemble des exigences Harmos et apprendre aux Ă©lĂšves Ă  s’organiser et Ă  se responsabiliser. L’esprit d’entraide renforce Ă©galement la cohĂ©sion sociale et permet Ă  chacun de trouver sa place au sein du groupe. Les enfants construisent ainsi une rĂ©elle confiance en soi, laquelle est vitale pour leur adaptation future. De plus, les enfants ont depuis la classe des 3-6 ans des responsabilitĂ©s de groupes et communautaires, ce qui les prĂ©pare pour leurs responsabilitĂ©s dans la sociĂ©tĂ© de demain.

Quels sont d’autres bienfaits de la mĂ©thode Montessori ? De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, c’est un bienfait pour la sociĂ©tĂ©. Dans la pĂ©dagogie Montessori, le respect des diffĂ©rences est transmis aux enfants, ce qui va mener Ă  un Ă©quilibre et une paix durable. On observe bien cet esprit d’entraide au sein de l’école. Bien sĂ»r, des conflits Ă©mergent entre les Ă©lĂšves, mais nous leur apprenons Ă  les gĂ©rer et Ă  trouver des solutions pour que cela ne se reproduise pas.

Quels sont les projets futurs de Montessori Seeds of Knowledge ?

Mon rĂȘve sur le long terme serait de trouver des partenariats avec le canton pour rendre la pĂ©dagogie Montessori accessible Ă  tout le monde, tout en gardant la belle communautĂ© de parents que nous avons actuellement.

Interview Maévane Mas

Portes ouvertes le samedi 20 avril de 10h Ă  14h

Ecole Montessori Seeds of Knowledge

En Courta Rama 10, 1163 Etoy

Pour plus d’information : montessori-seeds.ch

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Marie Littman Directrice pĂ©dagogique de l’école Montessori Seeds of Knowledge
ANNONCE JOURNÉE PORTES OUVERTES SPÉCIALE ANNIVERSAIRE S A M E D I 2 7 A V R I L 2 0 2 4 de 10h à 15h FÊTER 70 ANS AU JOURD’HUI, C’EST FAIRE NAÎTRE L’ESPOIR POUR DEMAIN ANS
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14 Brandreport ‱ Ecole Juive de Genùve Ohalei Menahem Habad

Pour bĂątir un avenir radieux

Non loin du jet d’eau qui domine la rade de GenĂšve, l’école Habad est la seule Ă©cole juive de Suisse Ă  prĂ©parer Ă  la maturitĂ© fĂ©dĂ©rale. Une Ă©cole d’excellence Ă  plusieurs Ă©gards.

Depuis sa fondation il y a 20 ans par Monsieur le Rabbin Mendel Pevzner et Monsieur Henri Moser, le succĂšs de l’école Ohalei Mena’hem ‘Habad ne se dĂ©ment pas. Elle accomplit sa mission de formation en proposant une pĂ©dagogie axĂ©e sur l’accompagnement de l’enfant et son Ă©panouissement. Son objectif : faire en sorte qu’à leur sortie de l’école, les jeunes soient le mieux armĂ©s possible et trouvent facilement leur place dans la sociĂ©tĂ©. Ce qui implique de leur fournir tous les outils pour rĂ©ussir.

L’enseignement est donc rĂ©solument axĂ© sur la pratique. Ainsi, les Ă©lĂšves disposent d’un laboratoire de biologie et de physique-chimie, ainsi que d’une salle d’informatique parfaitement Ă©quipĂ©e avec du matĂ©riel technologique de pointe, afin qu’ils puissent apprendre toutes les facettes du hardware, du software, de la cybersĂ©curitĂ© et de la robotique.

La maĂźtrise des langues fait aussi partie intĂ©grante du programme Ă©ducatif – notamment le français, l’anglais (avec prĂ©paration aux examens Cambridge) et l’hĂ©breux dĂšs la 3e, ainsi que l’allemand Ă  partir de la 5e, puis si souhaitĂ©, l’italien. Un cursus bilingue anglais-français est Ă©galement dispensĂ©. Mais outre la qualitĂ© des cours et de l’encadrement, l’école Habad se distingue aussi par l’ambiance chaleureuse qui y rĂšgne.

Le bien-ĂȘtre de l’élĂšve constitue un objectif prioritaire de l’école autant que sa rĂ©ussite scolaire. Pour la cinquantaine de personnes de diffĂ©rentes confessions composant le corps enseignant, l’enfant est en effet un Ă©lĂ©ment central du programme pĂ©dagogique. Si les professeurs, hautement diplĂŽmĂ©s, sont le gage de qualitĂ© de l’établissement, leur engagement et les mĂ©thodes d’apprentissage appliquĂ©es participent aussi Ă  atteindre l’excellence visĂ©e.

Un environnement familial

L’atmosphĂšre bienveillante est un facteur essentiel pour cette parente d’élĂšves qui tĂ©moigne : « À l’école Habad, on a l’impression que chaque enfant est unique. Quand vous laissez votre enfant Ă  l’école le matin, vous savez

Brandreport ‱ École Mont-Olivet

Le diplĂŽme qu’ils obtiennent leur ouvre les portes des Ă©tablissements supĂ©rieurs.

qu’il y sera comme au sein de votre famille. » Cette approche individuelle se reflĂšte aussi dans l’enseignement religieux : il est structurĂ© de telle façon qu’il permet Ă  chaque enfant de se familiariser avec les pratiques du judaĂŻsme et d’intensifier son Ă©tude des textes saints Ă  son rythme. FidĂšle Ă  la devise « Éduque l’enfant selon son chemin, quand il vieillira, il ne s’en Ă©cartera pas », l’école s’est fixĂ©e pour mission d’offrir Ă  tous ses Ă©lĂšves des opportunitĂ©s de rĂ©ussite. Et elle se donne les moyens de ses ambitions : un corps enseignant hautement diplĂŽmĂ© ainsi qu’un accompagnement personnalisĂ© pour garantir la rĂ©ussite de chacun et chacune.

Apprendre,

c’est pour la vie

FondĂ© par des sƓurs en 1917, il est souvent dit qu’on y ressent encore entre ses murs la sĂ©rĂ©nitĂ© qui a caractĂ©risĂ© l’établissement depuis maintenant plus d’un siĂšcle. L’ Ă©cole Mont-Olivet, qui accueille ses Ă©lĂšves du jardin d’enfants Ă  la maturitĂ©, a pour philosophie d’encourager leur Ă©panouissement et leur rĂ©ussite.

Une culture d’appartenance

L’ Ă©cole Mont-Olivet favorise la culture d’appartenance pour ses Ă©lĂšves, ses enseignants et leurs parents. La proximitĂ© et l’esprit familial sont en effet des valeurs phares de l’établissement. L’ Ă©cole reconnaĂźt que lorsque les Ă©lĂšves se sentent intĂ©grĂ©s, respectĂ©s et soutenus au sein de leur communautĂ© scolaire, ils sont plus enclins Ă  s’investir pleinement dans leurs apprentissages.

Un environnement d’apprentissage stimulant

En adoptant une approche personnalisĂ©e de l’enseignement, l’école Mont-Olivet veille Ă  ce que chaque Ă©lĂšve soit soutenu dans son parcours d’apprentissage, quels que soient ses aptitudes ou ses intĂ©rĂȘts. Cet enseignement personnalisĂ© est rendu possible grĂące Ă  des classes composĂ©es de 13 Ă  15 Ă©lĂšves et par des enseignants Ă  l’écoute des besoins des enfants.

Un accompagnement sous le signe de la bienveillance

Au-delĂ  des matiĂšres scolaires, l’école Mont-Olivet tend Ă  enseigner et promouvoir le respect et la bienveillance, afin que chaque Ă©lĂšve se sente en sĂ©curitĂ© et Ă  sa place. Cela se matĂ©rialise par une attention toute particuliĂšre donnĂ©e au programme sportif, avec notamment des cours de judo dispensĂ©s Ă  chaque Ă©lĂšve, et par des activitĂ©s extra-scolaires, telles que la musique, la danse, le théùtre, la gestion du stress ou encore la magie. L’ Ă©cole Mont-Olivet souhaite ainsi permettre Ă  ses Ă©lĂšves de s’ Ă©panouir et de dĂ©velopper leur confiance en eux. Un enfant qui a confiance en lui est en effet plus apte Ă  apprendre.

Plus d’informations : ecolemontolivet.ch

Portes ouvertes le 19 mars Ă  partir de 17h

Soirée judo en présence de Sergei Aschwanden le 18 avril à 18h30

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Delphine Dieupart-Perruchione, une coach certifiĂ©e, offre des sĂ©ances personnelles aux Ă©lĂšves. Il s’agit lĂ  de leur apprendre Ă  apprendre. Pour la jeune femme, «il est important que les Ă©lĂšves puissent constater de suite leurs progrĂšs. Qu’ils soient acteurs de leur apprentissage et jouissent d’une grande autonomie.»

Anticiper pour l’avenir des Ă©lĂšves

L’établissement est fier de ses accomplissements. Et Ă  juste titre. Depuis son ouverture, les Ă©lĂšves de l’école Habad ont connu, grĂące Ă  D.ieu, 100 % de rĂ©ussite au baccalaurĂ©at. Et 90 % d’entre eux ont mĂȘme dĂ©crochĂ©

Brandreport ‱ École Bersot

une mention. Des rĂ©sultats obtenus, qui plus est, sans sĂ©lectionner les Ă©lĂšves. Le label QSC ProCert, soit le certificat suisse de qualitĂ© pour les Ă©coles d’enseignement gĂ©nĂ©ral et professionnel, atteste cette excellence. Le fait que l’école ait choisi, il y a deux ans, de prĂ©parer ses Ă©lĂšves Ă  la maturitĂ© fĂ©dĂ©rale plutĂŽt qu’au baccalaurĂ©at traduit sa volontĂ© d’anticiper pour l’avenir des enfants. « C’était le bon moment », prĂ©cise le directeur. « Depuis la nouvelle rĂ©forme, le baccalaurĂ©at français, mĂȘme avec mention, ne garantit plus l’accĂšs Ă  de nombreuses institutions et hautes Ă©coles Suisses, telle que l’EPFL », prĂ©cise la doyenne Virginie Traversa. Pour accompagner cette transition, l’école Habad peut compter sur de prĂ©cieux partenariats. Elle bĂ©nĂ©ficie en effet de la collaboration et de l’expĂ©rience de l’école Moser de Nyon et de l’école des Arches Ă  Lausanne, des Ă©tablissements qui prĂ©parent avec succĂšs leurs Ă©lĂšves aux examens de la maturitĂ© fĂ©dĂ©rale depuis plusieurs dĂ©cennies. La question de l’orientation professionnelle est abordĂ©e dĂšs l’entrĂ©e en secondaire. Les Ă©lĂšves sont alors invitĂ©s Ă  dĂ©couvrir diffĂ©rents mĂ©tiers et Ă  commencer Ă  rĂ©flĂ©chir Ă  leur avenir professionnel. Il s’agit de leur offrir la meilleure formation possible afin qu’ils puissent s’insĂ©rer au mieux dans la sociĂ©tĂ©. « Le diplĂŽme qu’ils obtiennent ne sanctionne pas simplement la fin de leur scolaritĂ©, il leur ouvre les portes des Ă©tablissements supĂ©rieurs de Suisse et d’ailleurs », souligne Monsieur le Rabbin Pevzner. « Il nous tient Ă  cƓur d’en faire de bons citoyens, intĂ©grĂ©s et engagĂ©s, capables d’exercer une multitude de mĂ©tiers. » Texte Sylvie CastagnĂ©

Pour plus d’infos : ecolehabad.ch

L’intĂ©rĂȘt d’un Cycle d’Orientation Ă  taille humaine

Une petite structure, une atmosphĂšre stricte mais bienveillante, un environnement serein et un suivi personnalisĂ© proposĂ© aux Ă©lĂšves, rendent ce Cycle d’Orientation unique en son genre Ă  GenĂšve.

En effet, l’École Bersot qui existe depuis plus de 30 ans et propose les trois annĂ©es du Cycle selon le programme officiel du PER - regroupements deux et trois – ainsi qu’une douziĂšme annĂ©e comprenant des sĂ©jours linguistiques, se distingue par une approche Ă©ducative oĂč chaque Ă©lĂšve est reconnu, mais Ă©galement soutenu et guidĂ© vers son plein potentiel, quelles que soient ses aptitudes ou difficultĂ©s. Des amĂ©nagements et des soutiens sont mis en place pour rĂ©pondre aux besoins individuels de chacun. Ainsi, tout Ă©lĂšve peut surmonter les obstacles, prendre confiance en soi, dĂ©couvrir de nouveaux intĂ©rĂȘts et atteindre ses objectifs qu’ils soient acadĂ©miques ou professionnels, soutenu par une Ă©quipe dĂ©terminĂ©e et engagĂ©e.

De plus, l’orientation joue un rĂŽle important dans cet Ă©tablissement : grĂące Ă  la connaissance approfondie des forces, des fragilitĂ©s, des intĂ©rĂȘts et des compĂ©tences de chacun, l’équipe pĂ©dagogique accompagne chaque Ă©lĂšve pour qu’il trouve la voie qui lui convient. Une journĂ©e des mĂ©tiers a par exemple Ă©tĂ© organisĂ©e dans ses locaux, pour

permettre aux Ă©tudiants de dĂ©couvrir des professions auxquelles ils/elles n’avaient encore jamais pensĂ©.

Autre point fort : la grande partie des devoirs s’effectue en classe. Les Ă©lĂšves y sont accompagnĂ©s de maniĂšre ciblĂ©e par les enseignants de l’école.

Enfin, le projet pĂ©dagogique de cette Ă©cole est complĂ©tĂ© par des cours d’appui donnĂ©s en fin de journĂ©e ainsi que par des cours d’étĂ© les semaines prĂ©cĂ©dant la rentrĂ©e scolaire, cours ouverts aussi aux Ă©lĂšves extĂ©rieurs Ă  l’école.

Tous ces Ă©lĂ©ments montrent bien l’intĂ©rĂȘt de choisir un tel Ă©tablissement pour son enfant.

Plus d’informations sous : www.bersot.ch

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De la théorie à la pratique. Les élÚves expérimentent les sciences au laboratoire.
Monsieur le Rabbin Pevzner, Directeur

Tenir

compte des particularitĂ©s de chacun ou comment ramener l’élĂšve au centre de ses apprentissages

Bienveillance, confiance, autonomie, rigueur et crĂ©ativitĂ© sont les valeurs qui entourent le fonctionnement du cycle d’orientation l’Acore. GrĂące Ă  son Ă©quipe pluridisciplinaire, l’établissement accompagne des Ă©lĂšves en difficultĂ© scolaire afin de les prĂ©parer au mieux Ă  la suite de leur parcours.

Dans cette interview, le Directeur de l’Acore, Christophe Chanson, nous explique en quoi l’accompagnement passe par un suivi personnalisĂ© centrĂ© sur les ressources de l’élĂšve, dans une perspective d’entrĂ©e dans la vie professionnelle. Christophe Chanson, quelles sont les particularitĂ©s du cycle d’orientation l’Acore ?

L’Acore est une fondation reconnue d’utilitĂ© publique. Son Conseil de Fondation, organe dĂ©cisionnel, prĂ©sidĂ© par Monsieur Robert Hensler avec Madame JoĂ«lle Mathey Ă  la Vice-PrĂ©sidence donne les orientations stratĂ©giques. Le Conseil rĂ©unit des Membres, apportant chacun leur expertise dans leurs domaines respectifs. L’équipe de l’Acore est composĂ©e de diffĂ©rents professionnels qualifiĂ©s et motivĂ©s qui s’emploient au quotidien Ă  proposer la meilleure prise en charge possible pour les Ă©lĂšves. Notre mission principale est d’amener les jeunes en collaboration avec les parents vers un projet de suite qu’il soit en Ă©cole ou en formation professionnelle, avec comme finalitĂ© leur autonomie future.

Nos Ă©lĂšves peuvent prĂ©senter des troubles complexes des apprentissages comme la dyslexie, des troubles de l’attention, de l’anxiĂ©tĂ© scolaire ou autres difficultĂ©s, qui peuvent entrainer une situation d’échec et de souffrance. L’Acore se veut ĂȘtre une Ă©cole rĂ©active et crĂ©ative, oĂč l’accompagnement individualisĂ© occupe une place centrale afin de pouvoir orienter l’élĂšve dans le monde professionnel

via une prise en charge adaptĂ©e. Nous sommes fiers de pouvoir avancer que 80 % de nos Ă©lĂšves sortants sont entrĂ©s en formation professionnelle Ă  la fin de l’annĂ©e scolaire 2022/2023 ! Nous devons beaucoup aux plus de 80 entreprises partenaires de l’Acore qui offrent Ă  nos Ă©lĂšves des possibilitĂ©s de stage de dĂ©couverte.

De qui est composĂ©e l’équipe de l’Acore et comment celle-ci accompagne-t-elle les Ă©lĂšves ?

L’équipe de l’Acore est pluridisciplinaire. Les enseignants dispensent des contenus scolaires en adĂ©quation des objectifs du plan d’étude romand. Ils dispensent un enseignement diffĂ©renciĂ© en lien avec le niveau de chaque Ă©lĂšve. Les psychopĂ©dagogues suivent les Ă©lĂšves durant toute leur scolaritĂ©. Ils travaillent Ă©galement autour des processus d’apprentissage en collaboration avec les enseignants, afin d’échanger autour des outils Ă  mettre en place pour chaque Ă©lĂšve.

Les Ă©ducateurs favorisent quant Ă  eux les liens entre Ă©lĂšves avec les adultes. Ils travaillent sur les prĂ©requis et les savoir-ĂȘtre attendus tant dans la sociĂ©tĂ© que dans le monde professionnel, mais Ă©galement sur la confiance en soi souvent mise Ă  mal chez nos Ă©lĂšves.

La logopĂ©diste travaille sur les troubles du langage oraux et Ă©crits. Il est possible de mettre en place des moyens compensatoires individuels pour aider les Ă©lĂšves en classe Ă  progresser le mieux possible. Par exemple, un ordinateur facilite pour certains le passage Ă  l’écrit.

Enfin, la responsable IPPO (information professionnelle et projet d’orientation) co-construit avec les Ă©lĂšves, les familles et l’équipe un projet de formation. Des stages en entreprise sont mis en place dĂšs la 10Ăšme annĂ©e grĂące au rĂ©seau d’entreprises constituĂ©.

Quelles sont les mĂ©thodes utilisĂ©es pour faire face aux difficultĂ©s des Ă©lĂšves ? Nous utilisons des mĂ©thodes actives qui permettent Ă  l’élĂšve de construire ses connaissances en les ancrant dans le concret. L’enseignement est diffĂ©renciĂ©, l’élĂšve reçoit du contenu scolaire adaptĂ© Ă  son niveau afin de le maintenir le plus possible dans une zone d’apprentissage efficace. Des moyens variĂ©s et adaptĂ©s aux besoins de chacun sont mis en place. Un travail est effectuĂ© sur la confiance en soi des Ă©lĂšves et sur leur autonomie. Nous les mettons en contact avec le monde de l’économie, et c’est Ă  travers cela qu’ils rĂ©ussissent Ă  trouver ce qui les font vibrer. Un Ă©lĂšve qui peut expĂ©rimenter un mĂ©tier lors d’un stage en entreprise trouve plus facilement la motivation Ă  s’investir dans les apprentissages scolaires.

Depuis la rentrĂ©e 2023 et suite Ă  l’agrandissement de l’école, nous proposons diffĂ©rents ateliers : bois, bijouterie/horlogerie, cuisine et informatique. Ils permettent de travailler certains objectifs scolaires hors du contexte de la classe, en plus d’ĂȘtre les vecteurs de la dĂ©couverte de certains domaines professionnels.

Enfin, il est Ă©galement important que les Ă©lĂšves soient impliquĂ©s dans les enjeux du monde actuel. C’est pourquoi l’école est certifiĂ©e Eco-Schools suite Ă  un important travail incluant les Ă©lĂšves

autour des questions Ă©cologiques, en particulier la gestion des dĂ©chets. Notre bĂątiment a reçu le label THPE (TrĂšs Haut Potentiel ÉnergĂ©tique), ce qui le rend presque autosuffisant Ă©nergĂ©tiquement. Avez-vous de nouveaux projets au sein de l’école ?

Le projet principal de cette annĂ©e est de dĂ©velopper des classes qui, tout en poursuivant les objectifs du secondaire I, donnent l’occasion aux Ă©lĂšves d’effectuer une annĂ©e scolaire de plus, et ce dans des conditions optimales. Cette prise en charge leur permet de travailler leur projet de suite de maniĂšre plus prĂ©cise avec une orientation professionnelle marquĂ©e pour une transition vers le monde du travail efficace. C’est ainsi que l’école enregistre un trĂšs important taux d’intĂ©gration des Ă©lĂšves sortant dans les filiĂšres professionnelles. Cela dĂ©montre au besoin l’adĂ©quation des mĂ©thodes d’orientation personnalisĂ©es avec les besoins de l’économie actuelle. Nous dĂ©veloppons en ce moment un makerlab en lien avec la salle informatique afin que les Ă©lĂšves puissent faire des impressions 3D et laisser parler leur crĂ©ativitĂ© Ă  travers des outils technologiques modernes. Nous explorons Ă©galement l’utilisation de l’intelligence artificielle dans des applications pĂ©dagogiques.

Interview Léa Stocky

Internat Maturité suisse Camps de vacances Baccalauréat international Programmes en français, en anglais ou bilingue www.ensr.ch

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NTERNATIONAL BACCALAUREATE
Ă  18 ANS
50YEARS
I
2œ

TDAH – De quoi s’agit-il ?

Le trouble du dĂ©ficit de l’attention avec ou sans hyperactivitĂ© – Ă©galement appelĂ© TDAH – est de plus en plus frĂ©quemment diagnostiquĂ©. Au moins 200 000 personnes sont concernĂ©es en Suisse et entre 4 et 5 % des personnes dans le monde. Aussi important que soit le traitement, le travail Ă©ducatif l’est encore plus.

Le TDAH est un trouble mĂ©tabolique hĂ©rĂ©ditaire qui provoque un renouvellement rapide des neurotransmetteurs dopamine et noradrĂ©naline dans le cerveau. Ces neurotransmetteurs sont responsables de l’attention, de la protection contre les stimuli, du contrĂŽle des impulsions et de la stabilisation des effets. S’ils sont Ă©puisĂ©s trop rapidement, la pensĂ©e et l’action seront altĂ©rĂ©es pendant longtemps. Cela se reflĂšte dans les symptĂŽmes typiques du TDAH.

Diagnostic du TDAH

Aujourd’hui, le diagnostic du TDAH est posĂ© de maniĂšre psychiatrique. Cela se fait via la CIM – la Classification statistique internationale des maladies et des problĂšmes de santĂ© connexes. C’est donc une confirmation scientifique de cette maladie limitante. Le nombre de personnes diagnostiquĂ©es ne cesse d’augmenter. Selon Anne Nissen, coach TDAH, cela est dĂ» au fait que de plus en plus d’adultes sont examinĂ©s. « La sensibilisation au TDAH augmente parce que la sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e fait du bon travail. L’Elpos – l’organisation faĂźtiĂšre des personnes touchĂ©es et de leurs proches – apporte ici un grand soutien », explique Anne Nissen.

Le problĂšme de la reconnaissance de la maladie est qu’il est difficile pour les personnes touchĂ©es de percevoir elles-mĂȘmes les dĂ©ficiences car leur perception est affectĂ©e. Souvent, les enfants ne rĂ©alisent qu’ils souffrent de TDAH qu’aprĂšs avoir reçu un diagnostic dans le cadre d’une psychoĂ©ducation. Les comportements inhabituels sont particuliĂšrement Ă©vidents lors de changements majeurs, tels que la transition d’un cycle scolaire Ă  l’autre. La pubertĂ©, au cours de laquelle moins de dopamine est produite, peut accroĂźtre ce comportement.

Les symptĂŽmes du TDAH

Le manque d’attention est un signe typique du TDAH qui n’est souvent remarquĂ© par les enseignants qu’au moment oĂč les enfants font leur rentrĂ©e Ă  l’école. Cela se traduit par le fait que l’enfant ne peut

Il est essentiel que les parents soient informĂ©s de ce qu’ils peuvent faire pour aider leur enfant.

pas rester assis en cercle, suit Ă  peine ou pas du tout les instructions de l’enseignant et attire l’attention par des disputes dans la cour de rĂ©crĂ©ation. Cette inattention ne se produit que dans des situations que l’enfant trouve ennuyeuses. Il peut au contraire ĂȘtre trĂšs attentif et enthousiaste lorsqu’il est confrontĂ© Ă  une tĂąche crĂ©ative. C’est ce qu’on appelle l’hyperfocus. Dans de telles situations, l’attention des enfants peut augmenter considĂ©rablement.

MĂȘme Ă  l’ñge adulte, le trouble peut conduire Ă  des Ă©checs, par exemple avec des difficultĂ©s dans le monde du travail. Que ce soit Ă  l’école ou dans l’entreprise : les personnes concernĂ©es ne peuvent pas se fixer de prioritĂ©s. Ils suivent le principe du plaisir : s’ils n’ont pas envie d’accomplir une tĂąche, ils ne la font pas. On parle alors de procrastination. C’est difficile car : « Nous vivons dans une sociĂ©tĂ© dans laquelle nous devons performer », explique Anne Nissen.

Chez les femmes, la maladie est souvent diagnostiquĂ©e tardivement. Le TDAH devient particuliĂšrement Ă©vident lorsqu’elles fondent une famille et doivent apprendre Ă  leurs enfants comment organiser leur vie ou comment gĂ©rer la frustration. Lorsque ces moments de crise s’additionnent, le burn-out peut mĂȘme survenir.

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La maladie demeure : comment traite-t-on le TDAH ?

Pour modifier ces comportements typiques du TDAH, il faut avant tout une chose : « Pour pouvoir changer et contrĂŽler leurs propres actions, les gens doivent ĂȘtre capables d’y rĂ©flĂ©chir », explique Anne Nissen. Mais cette rĂ©flexion sur soi est trĂšs difficile pour les personnes concernĂ©es car, en raison de leur impulsivitĂ©, elles ne perçoivent souvent pas les situations de la mĂȘme maniĂšre que la majoritĂ© des autres gens. Il est essentiel que les parents soient informĂ©s de ce qu’ils peuvent faire pour aider leur enfant. Par exemple, si un enfant a peu de structure interne, les parents doivent lui donner une structure externe. La psychoĂ©ducation est Ă©galement essentielle Ă  l’école. Les enseignants doivent ĂȘtre sensibilisĂ©s au TDAH. Il faut essayer de recentrer l’attention de l’enfant sur la leçon et l’aider Ă  se retrouver. Dans la plupart des cas, un spĂ©cialiste recommandera des mĂ©dicaments aprĂšs le diagnostic. L’objectif est de compenser le dĂ©ficit en dopamine dans le cerveau, ce qui devrait garantir une plus grande concentration et une meilleure rĂ©gulation des Ă©motions. Les enfants peuvent prendre des mĂ©dicaments dĂšs la maternelle. Selon les experts, une

maladie potentielle doit ĂȘtre reconnue et traitĂ©e le plus tĂŽt possible afin que l’un des premiers grands changements, la rentrĂ©e scolaire, se passe bien.

En plus des mĂ©dicaments, la thĂ©rapie comportementale et l’ergothĂ©rapie peuvent Ă©galement aider. Le comportement social des personnes concernĂ©es est souvent perturbĂ©. Il peut donc ĂȘtre trĂšs utile de rĂ©flĂ©chir aux rĂ©actions face Ă  certaines situations. En ergothĂ©rapie, l’accent est mis sur la capacitĂ© d’agir de l’individu : les personnes concernĂ©es doivent dĂ©couvrir comment aborder les problĂšmes afin de les rĂ©soudre elles-mĂȘmes.

Fondamentalement, il est important que les personnes atteintes de TDAH et leur entourage soient conscients des effets secondaires et des risques du trouble dĂ©ficitaire de l’attention. Les difficultĂ©s d’apprentissage, les peurs, la dĂ©pression, le manque de concentration, l’inattention et les dĂ©pendances sont des effets secondaires courants qui les limitent encore davantage. Plus le diagnostic est posĂ© tĂŽt, plus grandes sont les chances que les personnes atteintes apprennent Ă  exploiter leur potentiel et Ă  mener une vie Ă©panouie.

Texte Linda Carstensen

Il existe trois types de TDAH

Dans 60 % des cas, les personnes atteintes de TDAH Ă©prouvent un mĂ©lange d’impulsivitĂ© et d’inattention. Dans 30 % des cas, l’hyperactivitĂ© impulsive n’est pas prĂ©sente – les personnes sont souvent perçues comme des rĂȘveuses. Cependant, elles souffrent Ă©galement d’hyperactivitĂ© intĂ©rieure, qui se manifeste par une augmentation de la pensĂ©e non verbale. Dans 10 % des cas, il s’agit uniquement d’impulsivitĂ©, qui se manifeste gĂ©nĂ©ralement Ă  la maternelle.

Une oasis d’apprentissage au cƓur de Genùve

Deux adresses, Ă  un jet de pierre des majestueux parcs de la Grange et Bertrand respectivement, l’école Montessori Grange Explorers se rĂ©vĂšle comme un vĂ©ritable sanctuaire Ă©ducatif, oĂč la pĂ©dagogie innovante de Maria Montessori s’épanouit dans un cadre imprĂ©gnĂ© de nature et de bilinguisme franco-anglais.

Cette institution unique, certifiĂ©e AMI, invite les enfants ĂągĂ©s de 3 Ă  9 ans Ă  un voyage d’apprentissage oĂč la curiositĂ© intellectuelle, l’autonomie et le respect mutuel sont cultivĂ©s. En harmonie avec le riche paysage urbain et une population genevoise ouverte sur l’international, Montessori Grange Explorers offre une immersion complĂšte dans un environnement stimulant, bienveillant et profondĂ©ment harmonieux, modelant les jeunes esprits explorateurs de demain, prĂȘts Ă  affronter avec rĂ©silience les dĂ©fis futurs d’un monde en pleine mutation.

Apprentissage en pleine nature

Profitant de sa proximitĂ© avec les parcs Grange et Bertrand, Montessori Grange Explorers intĂšgre la nature au cƓur de sa pĂ©dagogie. Cette immersion permet Ă  l’enfant d’explorer et d’apprendre de maniĂšre tangible, en observant le monde qui l’entoure. Il dĂ©couvre par exemple le changement des saisons et prend ainsi conscience de l’environnement dans lequel il se dĂ©veloppe.

Enrichissement culturel et engagement communautaire L’école enrichit son curriculum avec une palette d’activitĂ©s socioculturelles et Ă©ducatives ouvertes au

grand public, allant des ateliers bois crĂ©atifs aux camps de vacances, en passant par la musique et le yoga. Ces initiatives favorisent l’interaction sociale et le dĂ©veloppement culturel, soutenant les familles dans leur diversitĂ©. Des Ă©vĂ©nements rĂ©guliers, sportifs et culturels, renforcent les liens communautaires, tandis que des confĂ©rences pour les parents viennent appuyer l’application de la mĂ©thode Montessori Ă  la maison.

Préparer les jeunes esprits à un avenir dynamique

Dans un monde oĂč l’éducation façonne les piliers de notre avenir, l’école Montessori Grange Explorers incarne parfaitement la vision de Maria Montessori, qui prĂŽne une approche Ă©ducative centrĂ©e sur l’enfant, respectueuse de son rythme et de ses intĂ©rĂȘts individuels tout en le prĂ©parant Ă  ĂȘtre un membre actif et Ă©clairĂ© de la sociĂ©tĂ©. À travers une immersion dans la nature, des activitĂ©s socioculturelles variĂ©es, et un engagement communautaire fort, cette Ă©cole n’est pas seulement un lieu d’apprentissage mais aussi un espace de vie oĂč chaque enfant peut s’épanouir, dĂ©velopper son autonomie et sa curiositĂ© intellectuelle. En somme, Montessori Grange Explorers ne se

contente pas d’éduquer ; elle prĂ©pare les enfants Ă  naviguer avec confiance et crĂ©ativitĂ© dans un monde en constante Ă©volution. Comme le soulignait Maria Montessori : « L’éducation doit promouvoir Ă  la fois le dĂ©veloppement de l’individualitĂ© et celui de la sociĂ©tĂ©. La sociĂ©tĂ© ne peut pas se dĂ©velopper si l’autonomie des individus ne progresse pas. » – Maria Montessori »

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16 TDAH
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Route de Frontenex 86 1208 GenĂšve info@m-ge.ch www.m-ge.ch 079 380 15 83
L’art-thĂ©rapie touche les enfants malades lĂ  oĂč les injections et les mĂ©dicaments n’y parviennent pas.

L’art-thĂ©rapie favorise et accĂ©lĂšre le processus de guĂ©rison et a un effet positif Ă  long terme sur la santĂ© des jeunes patients ainsi que de leurs familles.

Dans le cadre de troubles du neuro-dĂ©veloppement, l’art-thĂ©rapie permet de rĂ©duire les symptĂŽmes d’impulsivitĂ©, de frustration et de stress tout en amĂ©liorant le bien-ĂȘtre individuel et social ; les capacitĂ©s d’attention et de concentration sont renforcĂ©es, les jeunes patients gagnent en confiance et dĂ©veloppent de nouvelles compĂ©tences sociales.

Visitez notre site www.arttherapie.org pour en savoir plus sur cette forme de thérapie non-invasive et trÚs efficace.

Nous soutenir :

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École des Étoiles ‱ Brandreport

Une école bilingue français/arabe à GenÚve

Des nombreuses familles arabophones s’installent chaque annĂ©e dans la ville de GenĂšve, un mouvement entre autres influencĂ© par la prĂ©sence d’organisations internationales aux alentours de la ville. Pour ces familles expatriĂ©es, il est important que les enfants puissent maintenir leur niveau d’arabe, notamment lorsque leur mission est de courte durĂ©e.

C’est pourquoi l’école des Ă©toiles a vu le jour dans la ville au bout du LĂ©man. L’école propose des cours bilingues français/ arabe ouverts Ă  tous les Ă©lĂšves pour le prĂ©scolaire ainsi que les classes de 1p et 2p. À la rentrĂ©e, les classes pour les 3p et 4p ouvriront pour accueillir davantage d’enfants. L’objectif est de pouvoir proposer l’entiĂšretĂ© du cycle primaire dans les annĂ©es Ă  venir. Les frais d’écolage sont raisonnables. Une Ă©cole primaire ouverte Ă  tous L’école des Ă©toiles est une Ă©cole primaire reconnue par le dĂ©partement de l’instruction publique, de la formation et de la jeunesse (DIP) qui suit le Plan d’étude Romand, tout en incluant la particularitĂ© d’ĂȘtre bilingue français/arabe. Elle suit des pĂ©dagogies alternatives en s’inspirant par exemple de la mĂ©thode Montessori et de la pĂ©dagogie active, dans le but de placer l’enfant au cƓur de l’apprentissage.

Deux jours en français, deux jours en arabe

Du lundi au mardi, les cours sont enseignĂ©s en français. Du jeudi au vendredi, les cours sont donnĂ©s en arabe avec une professeure arabophone. L’école offre Ă©galement une initiation Ă  l’anglais tous les jours de cours.

Un lieu lumineux qui encourage l’apprentissage

Les locaux de l’établissement sont un point fort de l’école des Ă©toiles. Avec une superficie de 450 mĂštres carrĂ©s et de larges baies vitrĂ©es, le bĂątiment surprend agrĂ©ablement les familles qui visitent le lieu pour la premiĂšre fois. Un jardin intĂ©rieur s’ajoute au charme du bĂątiment et offre un espace extĂ©rieur aux enfants.

Texte Maévane Mas

Les inscriptions pour 2024 sont encore ouvertes.

Pour plus d’informations :

www.ecoledesetoiles.ch

Assurer le bien-ĂȘtre de sa famille grĂące Ă  des aides Ă  domicile

GĂ©rer sa vie de famille peut prĂ©senter de nombreuses difficultĂ©s. Entre gĂ©rer l’emploi du temps de ses enfants, les finances, les courses, son travail ou encore le mĂ©nage, on peut vite se retrouver dĂ©passĂ©. Pour s’aider, de nombreuses solutions d’aides Ă  domicile existent et permettent de soulager sa charge mentale et d’allĂ©ger son emploi du temps.

Une aide Ă  domicile peut ĂȘtre engagĂ©e de deux maniĂšres. On peut faire appel Ă  une agence ou devenir un employeur privĂ©. Devenir soi-mĂȘme employeur prĂ©sente de nombreux avantages, notamment celui d’avoir un contrĂŽle total sur les conditions d’emploi et le salaire de son employĂ©. Mais cela signifie aussi que l’on doit gĂ©rer seul le contrat de travail, les affiliations obligatoires auprĂšs des autoritĂ©s compĂ©tentes, la conclusion de l’assurance-accidents ainsi que les dĂ©comptes de salaire mensuels et le certificat de salaire annuel. Par consĂ©quent, devenir employeur privĂ© prend souvent beaucoup de temps et demande un certain savoir-faire. En l’absence de ces connaissances, des erreurs administratives et lĂ©gales peuvent se produire au dĂ©triment des deux parties, employeur et employĂ©. Les employeurs privĂ©s qui ne souhaitent pas gĂ©rer eux-mĂȘmes

l’administration peuvent faire appel au service en ligne « quitt » qui prend en charge pour ses clients tous les processus administratifs, de l’établissement du contrat de travail aux assurances en passant par le paiement du salaire mensuel et des charges sociales correspondantes. Simple, Ă©quitable et numĂ©rique.

Gagner du temps précieux

grĂące Ă  l’aide au mĂ©nage

L’aide au mĂ©nage, loin d’ĂȘtre un simple luxe, reprĂ©sente un investissement prĂ©cieux dans la qualitĂ© de vie. L’un des avantages les plus Ă©vidents de l’aide au mĂ©nage est le temps que l’on gagne. Les tĂąches mĂ©nagĂšres peuvent ĂȘtre chronophages, et en libĂ©rant ces heures, on peut consacrer ce temps Ă  d’autres activitĂ©s. Que ce soit pour des moments de dĂ©tente en famille, la poursuite de passions personnelles ou simplement du repos bien mĂ©ritĂ©, l’aide au mĂ©nage offre une bouffĂ©e d’air dans un emploi du temps chargĂ©.

Vivre dans un environnement propre et ordonnĂ© a des rĂ©percussions directes sur le bien-ĂȘtre mental. L’aide au mĂ©nage permet de rĂ©duire le stress liĂ© aux responsabilitĂ©s domestiques, laissant ainsi la place Ă  une atmosphĂšre plus sereine Ă  la maison.

Plus une personne avance en ñge, moins elle sera apte à s’occuper de certaines tñches du quotidien.

En Ă©vitant la fatigue physique et mentale associĂ©e aux tĂąches mĂ©nagĂšres, on peut aborder ses journĂ©es avec Ă©nergie. Une maison propre et bien entretenue crĂ©e un environnement propice au confort. L’aide au mĂ©nage garantit que chaque coin de son domicile soit accueillant et ordonnĂ©, offrant ainsi un refuge agrĂ©able oĂč l’on peut se dĂ©tendre.

L’aide au mĂ©nage n’est pas une approche unique et rigide. Les services peuvent ĂȘtre adaptĂ©s en fonction de ses besoins spĂ©cifiques, que ce soit pour une assistance rĂ©guliĂšre ou des interventions ponctuelles. Cette flexibilitĂ© permet une personnalisation qui s’adapte Ă  tout style de vie.

En somme, l’aide au mĂ©nage n’est pas seulement un service, c’est un investissement dans son bienĂȘtre global. LibĂ©rer du temps, rĂ©duire le stress, et profiter d’un espace de vie soigneusement entretenu sont des avantages inestimables.

Garantir un environnement familier en permettant Ă  ses enfants de rester Ă  la maison

La garde d’enfants Ă  domicile offre aux petits une continuitĂ© avec leur environnement familial. EntourĂ©s

de leurs jouets, de leurs repĂšres et de l’amour de leur foyer, les enfants se sentent en sĂ©curitĂ©, favorisant ainsi leur Ă©panouissement Ă©motionnel.

Chaque enfant Ă©tant unique, la garde Ă  domicile permet une personnalisation des activitĂ©s en fonction des besoins spĂ©cifiques de chaque enfant. Des activitĂ©s Ă©ducatives aux routines quotidiennes, le professionnel de la garde d’enfants peut adapter ses interventions pour favoriser le dĂ©veloppement optimal de chaque enfant. De plus, avec la garde d’enfants Ă  domicile, les enfants peuvent suivre leurs programmes Ă©ducatifs habituels. La continuitĂ© dans les activitĂ©s, les jeux Ă©ducatifs et les interactions sociales favorise un apprentissage cohĂ©rent et sain.

Un des atouts majeurs de la garde d’enfants Ă  domicile rĂ©side dans la flexibilitĂ© des horaires. Les parents peuvent adapter les plages horaires en fonction de leurs besoins professionnels, offrant ainsi une conciliation travail-famille plus aisĂ©e. Éviter le trajet quotidien jusqu’à une garderie ou une crĂšche peut significativement rĂ©duire le stress pour les parents. Cette Ă©conomie de temps permet aux parents de se concentrer pleinement sur leurs responsabilitĂ©s professionnelles tout en maintenant une connexion solide avec leurs enfants.

La garde d’enfants Ă  domicile va donc bien au-delĂ  de la simple supervision. Elle offre une approche holistique du bien-ĂȘtre de l’enfant, alliant confort, sĂ©curitĂ©, personnalisation des soins et flexibilitĂ© pour crĂ©er un environnement optimal oĂč les enfants peuvent grandir, apprendre et s’épanouir. C’est un choix qui non seulement simplifie la vie des parents mais aussi qui contribue au bonheur et Ă  l’équilibre de toute la famille.

Les aides à domicile pour les aßnés

Plus une personne avance en Ăąge, moins elle sera apte Ă  s’occuper de certaines tĂąches du quotidien. Les aides Ă  domicile constituent dans ce cas une aide prĂ©cieuse. Elles incarnent une source de soutien essentielle, apportant non seulement une assistance pratique mais aussi une prĂ©sence chaleureuse dans la vie quotidienne des aĂźnĂ©s. Parmi les services proposĂ©s, on retrouve l’aide aux courses, au mĂ©nage, le portage de repas, la tĂ©lĂ©assistance, l’aide administrative ou encore aux actes essentiels du quotidien tels que la toilette.

Tous ces services permettent aux personnes ĂągĂ©es de garder une certaine autonomie et de rester vivre chez elles, tout en Ă©tant assurĂ© de continuer Ă  vivre une vie digne. Au-delĂ  des tĂąches matĂ©rielles, les aides Ă  domicile offrent une compagnie prĂ©cieuse. La solitude peut ĂȘtre un dĂ©fi pour de nombreux aĂźnĂ©s, et la prĂ©sence attentionnĂ©e d’un professionnel de l’aide Ă  domicile contribue Ă  combattre l’isolement en Ă©tablissant des liens sociaux et en offrant un soutien Ă©motionnel.

Parmi les services proposĂ©s Ă  la maison, ceux liĂ©s Ă  la santĂ© restent parmi les plus importants. Il est en effet primordial de garantir un environnement sain et dĂ©cent aux personnes. La sĂ©curitĂ© est une prioritĂ©, et les aides Ă  domicile assurent une surveillance attentive. Que ce soit pour prĂ©venir les accidents domestiques, administrer des mĂ©dicaments ou signaler tout changement dans l’état de santĂ©, ces professionnels offrent une tranquillitĂ© d’esprit essentielle.

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA focus.swiss ANNONCE 18 Simplifier sa vie à la maison
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RĂ©sidence Les CrĂȘts de VĂ©senaz ‱ Brandreport 19 #focusmafamille

Un cadre de vie optimal pour les personnes retraitées et autonomes

AxĂ©e sur le bien-ĂȘtre et la convivialitĂ©, la RĂ©sidence Les CrĂȘts de VĂ©senaz a pour but de favoriser la crĂ©ation et le dĂ©veloppement de liens sociaux chez les personnes retraitĂ©es afin d’éviter une situation d’isolement social, trop souvent prĂ©sente dans cette tranche d’ñge.

Avec ses 58 appartements spacieux de 3 et 4 piĂšces, chacun dotĂ© d’une terrasse ou d’un jardin, la rĂ©sidence allie confort et praticitĂ©.

En janvier 2020, la gestion de la RĂ©sidence des CrĂȘts est reprise par la Fondation communale ImmobiliĂšre de Collonge-Bellerive, qui poursuit depuis sa mission et son dĂ©veloppement dans le respect des rĂ©sidents.

Un havre de vie idyllique

ImplantĂ©e dans le village de VĂ©senaz au cƓur d’un vaste parc agrĂ©ablement arborĂ©, la RĂ©sidence des CrĂȘts se compose d’un bĂątiment administratif et de trois entitĂ©s locatives, tous reliĂ©s entre eux par des couloirs chauffĂ©s et accessibles par ascenseur. Les rĂ©sidents bĂ©nĂ©ficient Ă©galement d’un parking souterrain, de caves, de caves Ă  vin, d’un garde-meubles ainsi qu’un libre accĂšs Ă  deux buanderies selon un agenda préétabli.

De nombreux services et infrastructures sont proposĂ©s au sein de la rĂ©sidence, Ă  commencer par un restaurant et une sublime terrasse qui reçoivent les habitants du lundi au vendredi durant l’heure de midi. À l’intĂ©rieur comme Ă  l’extĂ©rieur, les tables sont soigneusement agencĂ©es et parĂ©es d’élĂ©gantes nappes blanches. Cet espace

est propice aux Ă©changes ou Ă  l’intimitĂ©, en fonction des prĂ©fĂ©rences des convives. DerriĂšre les fourneaux, un chef cuisinier et un cuisinier, deux passionnĂ©s de cuisine, mettent en scĂšne une cuisine saisonniĂšre principalement ancrĂ©e dans les traditions suisse et française. Ces chefs se font un plaisir de discuter des plats avec les habituĂ©s, toujours prĂȘts Ă  ajuster les recettes ou Ă  expĂ©rimenter de nouvelles idĂ©es. En l’absence d’un rĂ©sident dans la salle Ă  manger, la direction s’assure que tout va bien, dĂ©montrant ainsi un engagement constant envers le bien-ĂȘtre de ses rĂ©sidents.

Commodités à proximité

Le bĂątiment accueille divers services indĂ©pendants incluant des soins mĂ©dicaux, une physiothĂ©rapeute, une pĂ©dicure-podologue et un salon de coiffure. La prĂ©sence d’une conciergerie et de veilleurs de nuit garantit la sĂ©curitĂ© des rĂ©sidents, intervenant rapidement en cas d’urgence.

Outre ces installations pratiques, les habitants ont accĂšs Ă  une salle de gym, une bibliothĂšque, une salle

de billard, un salon de bridge et un carnotzet, oĂč ils peuvent Ă©galement inviter leurs proches sur demande. Ces espaces sont conçus pour favoriser la crĂ©ation et renforcer les liens sociaux, offrant ainsi aux rĂ©sidents un refuge sur contre la solitude. À l’extĂ©rieur, un terrain de pĂ©tanque ainsi qu’un parc parfaitement entretenu sont Ă  disposition. La RĂ©sidence Les CrĂȘts de VĂ©senaz incarne en somme un lieu de vie oĂč confort, sĂ©curitĂ© et sociabilitĂ© se conjuguent harmonieusement.

Faire le plein d’activitĂ©s

Au quotidien, la vie Ă  la RĂ©sidence des CrĂȘts de VĂ©senaz est empreinte de dynamisme avec une gamme Ă©tendue d’activitĂ©s. De l’organisation de festivitĂ©s d’anniversaire Ă  la tenue de spectacles d’improvisation et de concerts, les rĂ©sidents ont la chance de prendre part Ă  une variĂ©tĂ© d’évĂ©nements organisĂ©s par la direction. De plus, ils peuvent profiter de cours de gymnastique et de projections cinĂ©matographiques hebdomadaires, proposĂ©s par les rĂ©sidents. La bibliothĂšque, minutieusement entretenue par des rĂ©sidents passionnĂ©s de livres, et la cafĂ©tĂ©ria avec son piano, font partie des lieux les plus apprĂ©ciĂ©s.

Un service de navette par minibus est assuré deux fois par semaine, permettant aux résidents de se rendre facilement à Vésenaz pour leurs achats.

Des appartements confortables et abordables

La RĂ©sidence des CrĂȘts dispose de 58 appartements de 3 ou 4 piĂšces tous Ă©quipĂ©s de larges terrasses ou de jardins. Les logements sont lumineux et offrent une vue panoramique sur le lac, les montagnes ou le parc de la rĂ©sidence, ce qui ajoute un charme certain Ă  chaque espace de vie. Les appartements de 3 piĂšces bĂ©nĂ©ficient d’une superficie gĂ©nĂ©reuse de 66 m2, tandis que les 4

piĂšces offrent une surface encore plus spacieuse, pouvant aller jusqu’à plus de 100 m2. La cuisine entiĂšrement Ă©quipĂ©e s’ouvre sur le salon, offrant ainsi le sentiment agrĂ©able de vivre dans un espace aĂ©rĂ©. Les vastes terrasses, quant Ă  elles, invitent les rĂ©sidents Ă  savourer pleinement la beautĂ© de la nature environnante.

Les loyers particuliùrement attractifs varient entre 2’120 CHF et 4’720 CHF selon le type de logement.

Et vous, que diriez-vous d’une visite pour vous faire votre propre opinion ?

Texte Maévane Mas

Pour plus d’informations : residence-crets-vesenaz.ch

Chemin des Rayes 33 1222 Vésenaz info@ficb.ch

+ 41 22 752 65 01

Maison de Vessy ‱ Brandreport

Une demeure oĂč il fait bon vivre

Pour les personnes ĂągĂ©es, les Ă©tablissements mĂ©dico-sociaux peuvent offrir de nombreux avantages par rapport Ă  d’autres solutions.

AprĂšs avoir franchi le pas, certaines d’entre elles font l’expĂ©rience d’un rebond de vie empreint de joie, d’espoir et d’amour. Florence Moine, Directrice de la Maison de Vessy (GE), nous Ă©claire sur les tenants et les aboutissants d’une telle dĂ©marche.

26 lits, 100 ans d’existence, 2 hectares de verdure. Un hĂŽtel pour nos prochaines vacances ? Peut-ĂȘtre, mais pas tout de suite, car nous sommes encore bien jeunes. Ce lieu est en effet rĂ©servĂ© aux personnes ayant atteint l’ñge de la retraite et dont l’état de santĂ© nĂ©cessite quelque attention. Au vu de l’étendue de ce petit joyau, nous serions presque tentĂ©s d’employer le terme « domaine » pour le qualifier. Et si la terminologie officielle se veut ĂȘtre « EMS », cet espace de vie est en effet bien loin de l’idĂ©e que l’on se fait gĂ©nĂ©ralement des Ă©tablissements mĂ©dicaux-sociaux. A bien des Ă©gards, cela pourrait s’avĂ©rer de bon augure lorsqu’en se regardant dans le miroir, deux ou trois rides naissantes nous rappellent qu’à plus ou moins long terme la vie nous invitera Ă  faire le bon choix pour continuer son chemin en toute sĂ©rĂ©nitĂ©.

Une transition délicate

« Ne nous voilons pas la face, nous confie notre interlocutrice, quitter son logement peut ĂȘtre une expĂ©rience dĂ©stabilisante, voire bouleversante lorsque la nĂ©cessitĂ© influence ou contraint le choix ». Parfois, plusieurs mois de prĂ©paration psychologique s’avĂšrent nĂ©cessaires, tant pour le proche aidĂ© que pour la famille ». En ce sens, il est important de sensibiliser, accompagner, rassurer comme sait si bien le faire le personnel de la Maison de Vessy oĂč l’on confĂšre aux personnes ĂągĂ©es un statut d’habitant plus que de rĂ©sident. « Cela n’est pas une vue d’esprit, poursuit Florence Moine, mais une rĂ©alitĂ©. Pour nous, les familles et les personnes que nous accueillons restent au centre de nos attentions ». En attestent les nombreux tĂ©moignages, comme celui d’Antoinette Ă  sa fille : « [
] il aura fallu tous ces accidents et la confiance que m’apporte la foi pour que les choses mĂ»rissent en moi [
] ». Finalement, tu as tout fait parfaitement ma chĂ©rie. Tu es allĂ©e au bout de tes forces. Je me sens revivre ici ». Revivre
 nul ne peut imaginer la portĂ©e de ce mot pour une personne qui, Ă  90 ans, sentait ses espoirs dĂ©cliner.

Soulagement

Le philosophe ne dit-il pas que l’horizon, plus on s’en approche plus il s’éloigne, dĂ©roulant dans son sillage de nouvelles perspectives, de nouveaux amis, de nouvelles expĂ©riences. Et de « libĂ©rer » dans le mĂȘme temps la proche aidante qui, passablement Ă©puisĂ©e, est venue chercher, pour sa maman, un lieu d’accueil empreint de bienveillance et de confort.

Sentiment d’appartenance

« La continuitĂ© du lien social et familial revĂȘt une importance capitale pour la personne ĂągĂ©e, reprend la Directrice. Aussi, au sein de notre Ă©tablissement, elle

trouvera moult occasions de le nourrir, de le raffermir, par exemple autour d’un bon repas avec ses pairs, sa famille ou le personnel soignant. De nombreuses activitĂ©s culturelles, de loisir et de bien-ĂȘtre lui seront aussi proposĂ©es, Ă  sa convenance, toujours en accord avec ses possibilitĂ©s, ses appĂ©tences, ses dĂ©sirs. Et parfois, au hasard d’une excursion ou d’une simple balade peut naĂźtre une belle histoire d’amour entre deux ĂȘtres que le destin conduisit en un mĂȘme lieu. Prestations haut de gamme

Sur le plan de la santé, infirmiÚres, aides-soignantes, ergothérapeutes, physiothérapeutes et

autres professionnels de la santĂ© sont aux petits soins des habitants. Ces derniers peuvent aussi rencontrer une esthĂ©ticienne, un coiffeur, ou encore, profiter d’un moment de partage lors d’un concert. Dans le cadre de la mission qui leur est confiĂ©e, les Ă©quipes pluridisciplinaires offrent une prise en charge intĂ©grative qui tient compte des besoins de la personne, Ă  tous niveaux et tous Ă©gards. Enfin, l’amĂ©nagement des chambres et des locaux est conçu pour favoriser l’autonomie, le confort ainsi que la sĂ©curitĂ©.

RĂ©silience « Nous sommes tĂ©moins, conclut Florence Moine, de parcours de vie et de rĂ©cits dont on garde un souvenir Ă©mouvant ». En cela, elle nous invite Ă  parcourir le Livret des 100 ans ; un portfolio de textes et d’images qui nous permet d’apprĂ©hender, sinon de mieux comprendre la vie dans ce qu’elle pourrait ĂȘtre le jour oĂč l’on serait amenĂ©s Ă  faire l’expĂ©rience d’un nouveau « chez soi », et de se dire, tout comme Antoinette, que finalement la Maison de Vessy fĂ»t un bon choix ; probablement le meilleur, pour tout le monde.

Plus d’informations emsvessy.ch

Texte Emmanuel Viaccoz

UN SUPPLÉMENT THÉMATIQUE DE SMART MEDIA
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La spécialiste de la vente en viager en Suisse depuis 10 ans !

Juriste et passionnĂ©e d’immobilier, Sabrina Reynier a créé il y a 10 ans, avec le soutien de ses notaires, la sociĂ©tĂ© IMMO-VIE-AGEE Ă  Rolle (VD), dont l’objectif est de remettre la vente en viager au goĂ»t du jour. C’est aujourd’hui la meilleure alternative pour que les personnes ĂągĂ©es puissent rester chez elles sans changer leurs habitudes tout en recevant un capital financier. Pour les investisseurs, il s’agit aussi d’un des meilleurs placements. C’est une solution « gagnant-gagnant ».

Qu’est-ce que la vente en viager ? Il s’agit de vendre sa maison ou son appartement en conservant le droit d’y habiter jusqu’à la fin de ses jours (seul ou en couple). Au moment de la vente, le vendeur perçoit une somme en capital : le « bouquet ». Il peut aussi opter pour une rente mensuelle Ă  vie qui complĂštera sa retraite, fiscalement trĂšs intĂ©ressante.

Il peut s’agir de petits appartements, de villas jumelles ou individuelles, de propriĂ©tĂ©s au bord du lac... situĂ©s dans des villes, villages ou campagnes, il n’y a pas de rĂšgle.

La vente en viager concerne des propriĂ©taires d’un certain Ăąge (75 ans, idĂ©alement 80 ans ou plus), avec ou sans enfant, qui vendent leur logement afin d’obtenir un capital puis un complĂ©ment de revenu rĂ©gulier tout au long de leur vie.

C’est une façon pour eux de rĂ©gler une partie de leur succession, de vivre mieux financiĂšrement, de rĂ©partir leur argent de leur vivant, d’aider leurs proches en leur consentant des donations et de protĂ©ger leur conjoint grĂące au droit d’habitation.

Sabrina Reynier s’occupe de tout le processus, de la demande initiale de renseignements Ă  la finalisation de la vente chez son notaire spĂ©cialisĂ© en viager. Sa sociĂ©tĂ© a dĂ©jĂ , Ă  son actif, plus de 200 ventes et une parfaite maĂźtrise des opĂ©rations, les tĂ©moignages sont nombreux sur son site.

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Sabrina

Explorer, apprendre, grandir :

la magie de l’éducation suĂ©doise

CĂ©lĂ©brant cette annĂ©e ses 50 ans, l’École SuĂ©doise Internationale de GenĂšve (SISOG) est un lieu d’apprentissage exceptionnel offrant une approche pĂ©dagogique unique, centrĂ©e sur le bien-ĂȘtre et l’épanouissement des enfants de 1 Ă  12 ans. BasĂ©e sur les grands piliers de la pĂ©dagogie suĂ©doise, elle offre un programme scolaire bilingue avec une section français-anglais ainsi qu’une une section français-suĂ©dois.

Au cƓur de l’École SuĂ©doise Internationale de GenĂšve rĂ©sident cinq valeurs Ă©ducatives qui façonnent son identitĂ© : l’empathie, l’amour des apprentissages, l’engagement, l’équitĂ© et la communautĂ©. Ces valeurs, Ă  la source de cet environnement enrichissant et stimulant, s’unissent avec les grands principes de l’éducation suĂ©doise.

La pĂ©dagogie suĂ©doise au bord du lac LĂ©man L’approche pĂ©dagogique suĂ©doise repose sur le principe fondamental du respect de l’individualitĂ© de chaque enfant. À travers des mĂ©thodes d’enseignement novatrices, elle encourage la curiositĂ© naturelle des Ă©lĂšves, favorisant leur autonomie, leur crĂ©ativitĂ© et leur amour de l’apprentissage. Chaque enfant est encouragĂ© Ă  s’épanouir Ă  son propre rythme dans un cadre sĂ©curisĂ© et bienveillant. C’est pourquoi SISOG propose uniquement des classes multi Ăąges Ă  effectifs rĂ©duits, en mettant la diffĂ©renciation pĂ©dagogique et l’individualisation des approches au cƓur de ses pratiques afin de rĂ©pondre aux besoins de chaque Ă©lĂšve pour lui permettre d’évoluer en adĂ©quation avec son rythme. Chaque enfant dĂ©veloppe l’élĂšve en lui, loin de tout esprit de compĂ©tition. Loin de toute pression, il se sent libre de progresser Ă  son propre rythme, prenant un peu plus de temps pour consolider certains apprentissages lorsque c’est nĂ©cessaire ou au contraire en allant plus loin dans ses apprentissages s’il s’y sent prĂȘt. L’apprentissage de l’autonomie est au centre du

programme d’enseignement dĂšs la crĂšche. DĂšs leur plus jeune Ăąge, les enfants sont encouragĂ©s Ă  prendre des dĂ©cisions et des initiatives, Ă  apprendre Ă  rĂ©soudre des situations problĂšmes et Ă  mener des actions de maniĂšre indĂ©pendante. Cette vision pĂ©dagogique participe ainsi Ă  construire la personnalitĂ© de chaque enfant en forgeant une rĂ©elle confiance en soi et en ses capacitĂ©s. De plus, la voix de l’élĂšve est d’une importance primordiale dans l’éducation suĂ©doise. Que ce soit Ă  la crĂšche ou Ă  l’école primaire, les Ă©lĂšves sont encouragĂ©s Ă  s’exprimer, Ă  poser des questions, Ă  dĂ©velopper leur esprit de rĂ©flexion sur le monde qui les entoure. Les enseignants et les Ă©ducateurs veillent ainsi Ă  crĂ©er un environnement oĂč l’élĂšve se sent valorisĂ©, Ă©coutĂ© et respectĂ©. Les Ă©lĂšves de 5P Ă  8P de l’École SuĂ©doise Internationale Ă©lisent des reprĂ©sentants d’élĂšves qui rencontrent les membres de la direction plusieurs fois par annĂ©e afin de collaborer ensemble au dĂ©veloppement de l’école. L’éducation suĂ©doise met l’accent sur le jeu en tant qu’outil d’apprentissage essentiel. C’est pourquoi les programmes de SISOG intĂšgrent des activitĂ©s ludiques et Ă©ducatives afin de stimuler le dĂ©veloppement cognitif, social et Ă©motionnel des Ă©lĂšves. Les espaces de jeux et les projets spĂ©cialement conçus pour chaque tranche d’ñge offrent un terrain propice Ă  l’exploration et Ă  la dĂ©couverte. Les moments de jeux libres font aussi partie intĂ©grante de l’approche pĂ©dagogique. Bien plus qu’un simple moment de divertissement, le jeu libre permet Ă  chaque Ă©lĂšve d’explorer sa propre identitĂ©, de favoriser sa curiositĂ©, sa crĂ©ativitĂ©, ses compĂ©tences sociales et son dĂ©sir d’apprendre.

L’équilibre entre le temps de travail et le temps de jeu est essentiel afin de garantir un environnement d’apprentissage sain et positif et de contribuer au bien-ĂȘtre Ă©motionnel et social de l’enfant.

L’école SuĂ©doise Internationale de GenĂšve participe aussi Ă  l’intĂ©gration des nouvelles technologies en formant des citoyens numĂ©riques responsables et avertis. DĂšs la 5P, les Ă©lĂšves dĂ©veloppent leurs compĂ©tences numĂ©riques afin d’ĂȘtre prĂ©parĂ©s Ă  Ă©voluer dans une sociĂ©tĂ© moderne de plus en plus technologique. L’utilisation d’outils interactifs, d’applications de crĂ©ation et de ressources en ligne diversifiĂ©es contribue Ă  rendre l’apprentissage plus stimulant et encourage la collaboration dans la rĂ©alisation de projets, la crĂ©ativitĂ© ou encore la capacitĂ© de recherche. L’objectif est de former des crĂ©ateurs plutĂŽt que des consommateurs.

L’approche suĂ©doise croit Ă©galement en l’importance du lien entre l’éducation et la nature. SituĂ©e dans l’écoquartier des Vergers Ă  Meyrin, l’École SuĂ©doise Internationale de GenĂšve ne pouvait pas trouver meilleur environnement pour ouvrir ses locaux. L’école est entourĂ©e de vastes espaces

extĂ©rieurs oĂč les enfants peuvent explorer, jouer et apprendre en harmonie avec la nature. Cette connexion privilĂ©giĂ©e avec l’environnement renforce leur comprĂ©hension du monde qui les entoure et contribue Ă©galement Ă  cultiver un amour durable pour la nature. Il n’est donc pas rare de croiser les enfants de la crĂšche en train de jardiner dans leur petit potager ou encore les Ă©lĂšves de primaire nourrir les poules installĂ©es en face de leur classe. L’exploration de la nature environnante et le temps passĂ© Ă  l’extĂ©rieur font partie du quotidien afin de favoriser les activitĂ©s de plein air pour la santĂ© et le bien-ĂȘtre. L’expression suĂ©doise « Il n’y a pas de mauvais temps, que des mauvais vĂȘtements » illustre bien l’état d’esprit de l’École SuĂ©doise Internationale de GenĂšve. C’est ainsi que, toujours Ă©quipĂ©s pour faire face Ă  toutes les conditions climatiques ; la pluie, la neige ou le vent ne sont pas des barriĂšres pour profiter de l’extĂ©rieur, bien au contraire. Quel plus beau souvenir d’enfance que de sauter dans les flaques d’eau ou de se prendre pour un avion en courant Ă  travers le vent ?

L’extĂ©rieur offre aussi un espace d’enseignement sans limites. C’est pourquoi, une grande partie de notre programme d’enseignement est couvert hors des murs de la classe. Pourquoi apprendre les chiffres en comptant des images sur une fiche lorsque l’on peut compter les marrons ou les feuilles d’automne lors d’une promenade en forĂȘt ?

En plus des moments d’exploration quotidiens, les Ă©lĂšves de la crĂšche passent chaque semaine une matinĂ©e en forĂȘt tandis que les Ă©lĂšves de 1P Ă  8P y passent une journĂ©e entiĂšre par mois. Pour finir, l’approche suĂ©doise met l’accent sur une communication ouverte et rĂ©guliĂšre entre l’école et les familles. Afin de renforcer cette collaboration entre tous les acteurs de la vie de l’élĂšve,

l’équipe Ă©ducative et les parents se rencontrent deux fois par an lors d’entretiens individuels afin d’échanger sur l’évolution de chaque enfant. Ces rencontres illustrent Ă  merveille le partenariat entre l’école, la famille et l’élĂšve. À partir de la 5P, les Ă©lĂšves sont aussi conviĂ©s Ă  cet entretien en tant qu’acteurs Ă  part entiĂšre de cette discussion.

Mondialement reconnue pour son engagement envers le dĂ©veloppement global de l’élĂšve, l’approche suĂ©doise offre donc une expĂ©rience d’enseignement Ă©panouissante et enrichissante basĂ©e sur des valeurs de respect, d’inclusion et d’ouverture d’esprit. L’école Internationale SuĂ©doise de GenĂšve offre cette bulle nordique ici, Ă  portĂ©e de main, au bord du lac LĂ©man en proposant une approche diffĂ©rente tout en respectant les objectifs du Plan d’Études Romand en prĂ©parant les Ă©lĂšves aux Ă©valuations communes du Canton de GenĂšve ou encore en intĂ©grant l’enseignement de l’allemand dĂšs la 5P.

Texte Laura TrĂ©mouille, Coordinatrice de l’école primaire et enseignante

Une école et bien plus encore.

En plus d’offrir une crĂšche ouverte toute l’annĂ©e, l’École SuĂ©doise Internationale de GenĂšve propose Ă©galement pour les Ă©lĂšves de primaire dĂšs la 1P des activitĂ©s extra-scolaires variĂ©es (danse, chorale, théùtre, club d’échecs, violon, football, cours de langues etc) ainsi que des camps (aussi ouverts aux Ă©lĂšves externes) durant les vacances scolaires afin de permettre aux enfants de s’épanouir tout au long de leur parcours.

Contact : www.sisog.ch

Instagram : @sisogeneva Facebook/Linkedin : Swedish International School of Geneva

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