Athlete pathway hiver 2016 final

SIRCuit

parcours

DE

l’athlete croire soutenir renforcer l’avenir hiver 2016

Aussi à l’intérieur:

Voix de la Communauté: Canada Basketball et Club de ski de fond Nakkertok Créer des occasions sportives significatives pour les jeunes athlètes handicapés Adoption et mise en œuvre par les entraîneurs du modèle de DLTA Entraînement-Garder le sport amusant pour tous Amorcer la participation : Comment recruter de jeunes bénévoles pour mon programme sportif?

Les transitions réussies font partie intégrante d’un système sportif solide et bien aligné ENGLISH

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CHER PASSIONNÉ DE PROGRAMMES SPORTIFS, Merci de continuer de communiquer votre passion pour le sport en développant des programmes qui créent une variété d’expériences qui permettent à nos jeunes de trouver leur chemin pour développer leurs habiletés athlétiques et leurs aptitudes de vie.

Une des raisons pour lesquelles j’aime énormément travailler dans le monde du sport est la passion et l’énergie authentique des gens de l’industrie. Le présent numéro du Parcours de l’athlète montre comment les organisations de toutes compétences créent des opportunités de participation sportive à tous les niveaux et pour tous les âges.

Nous sommes particulièrement fiers de mettre l’accent dans ce numéro sur les premières étapes du sport, qui soulignent les capacités des athlètes de commencer un sport à divers niveaux du parcours, y compris les transitions d’autres sports.

Le processus d’apprentissage se poursuit grâce : • à la création d’opportunités sportives significatives pour les jeunes athlètes handicapés; • à l’adaptation des entraîneurs et à la mise en œuvre du développement à long terme de l’athlète; • aux entraîneurs qui créent des opportunités amusantes dans le sport;

EN

CHIFFRES 40%

des jeunes Canadiennes et Canadiens feront du bénévolat dans le domaine de la culture, du loisir et du sport.

8,75

est le nombre heures par semaine consacrées à l’exercice physique par les jeunes de 8 à 18 ans.

• au développement d’opportunités de bénévolat pour les jeunes.

La création d’expériences amusantes et stimulantes pour maintenir la participation des jeunes dans le sport est notre objectif commun. Qu’il s’agisse d’un athlète, d’un entraîneur, d’un officiel, d’un administrateur ou d’un bénévole, il existe un bon nombre de façons de garder en vie la passion pour le sport de nos jeunes.

Merci de faire avancer le sport au Canada.

Cordialement,

Debra

Debra Gassewitz Président et directrice générale, SIRC Équipe de leadership d’ACSCV

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Nous mandatons le sport Le SIRC est l’expert de premier plan pour l’analyse des contenus et des communications à caractère sportif 2

S I RC.CA

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est le nombre d’heures passées chaque semaine devant un écran par les jeunes de 8 à 18 ans

70%

des enfants âgés de 3-4 ans se conforment aux directives canadiennes en matière d’activité physique.

10

minutes d’activité physique par séance peuvent améliorer la condition physique des adultes.

25%

des enfants au Canada sont en surpoids ou obèses.

À L’INTÉRIEUR Les transitions réeussies

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Alan Zimmermann, Directeur, politique et plannification au Sport Canada discute que les transitions réussies font partie intégrante d’un système sportif solide et bien aligné

Adoption et mise en œuvre par les entraîneurs du modèle de développement à long terme de l’athlète

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Selon les auteurs, ce sont les entraîneurs qui détiennent la clé de la progression des athlètes durant leur développement et, étant donné l’appui de Sport Canada au modèle de DLTA, il est essentiel de déterminer si les entraîneurs comprennent, adoptent et mettent en œuvre le modèle dans leurs pratiques d’entraînement.

Développement de l’athlète chez Canada Basketball : Q et R avec Michelle O’Keefe

Entraînement-Garder le sport amusant pour tous

Nous nous sommes entretenus avec Michele O’Keefe de Canada Basketball concernant les pratiques de son organisme dans la promotion de programmes adaptés à l’intention des athlètes désireux de garder leur sport tout au long de leur développement athlétique.

Nous savons tous à quel point le sport peut être profitable aux enfants; il existe de nombreuses études, en plus de nos expériences personnelles, qui appuient ce fait. Bien que de nombreux facteurs contribuent à cette chute, le facteur de plaisir dans le sport est un élément important à considérer, et nous devons aussi nous pencher sur ce que les entraîneurs peuvent faire pour maximiser le plaisir et sur ce que cela signifie pour les jeunes participants.

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Stades initiaux au Club de ski de fond Nakkertok Nordique

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Le programme de compétition Nakkertok est l’un des plus prospères au Canada. Globalement, les programmes offerts procurent aux athlètes un environnement qui favorise le développement mental et physique afin qu’ils deviennent des skieurs de pas classique et de pas de patin et donnent leur plein potentiel aux niveaux provincial, national et international.

Créer des occasions sportives significatives pour les jeunes athlètes handicapés

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Comme les responsables des politiques sportives canadiennes travaillent avec diligence pour renforcer les parcours de développement des athlètes handicapés, le moment est opportun pour examiner certains facteurs qui peuvent avoir une incidence sur la participation de ces athlètes à des sports compétitifs et sur leur motivation à poursuivre

Amorcer la participation : Comment recruter de jeunes bénévoles pour mon programme sportif?

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La majorité des jeunes qui font du bénévolat se servent de cette occasion pour développer des habiletés, avoir des expériences de travail et réseauter afin d’améliorer leurs possibilités de carrière à l’avenir.

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LES TRANSITIONS RÉUSSIES

FONT PARTIE INTÉGRANTE D’UN SYSTÈME SPORTIF SOLIDE ET BIEN ALIGNÉ Alan Zimmermann, Directeur, politique et planification Sport Canada

N

ous avons tous déjà entendu l’expression « Vous n’aurez jamais une deuxième chance de faire une première bonne impression ». Sport Canada reconnait l’importance des premières impressions dans le sport puisque ces expériences initiales peuvent avoir une incidence considérable sur l’« Attitude positive dans le sport » d’une personne et déterminer si celle-ci continuera de participer ou non.

Lorsque l’on pense aux premières impressions, il est facile de penser seulement aux étapes Enfant actif et S’amuser grâce au sport du développement à long terme du participant/athlète.

Bon nombre de personnes se font une première impression d’un sport très tôt dans leur vie, habituellement dans le cadre d’un programme communautaire ou à l’école. Mais si l’on tient compte de tout ce que vit une personne durant toutes les étapes de son développement, ces toutes premières impressions ne représentent qu’une fraction des premières impressions qu’une personne

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pourrait avoir à l’égard du sport tout au long de sa vie.

Il y a une première impression chaque fois qu’une personne effectue une transition dans le sport – changement d’équipe, de club, de ligue ou même de sport – pour diverses raisons, y compris un déménagement dans une nouvelle ville, le caractère abordable, la promotion à un niveau de compétition supérieur, et ainsi de suite. Chacune de ces transitions représente une occasion de renforcer les « attitudes positives dans le sport ».

Inversement, chaque transition vient remettre en question la participation continue d’une personne à une activité sportive.

Si vous réfléchissez à votre passé sportif, il est fort probable que vous vous souviendrez d’un certain nombre de transitions. Peut-être que certaines d’entre elles se sont bien passées, et que d’autres ont été plus difficiles.

Un nombre considérable d’études montrent l’incidence d’une première impression positive – tout comme il

existe d’innombrables éléments pouvant prouver qu’une première impression négative peut avoir des effets à long terme. Lorsque ces transitions dans le sport se passent bien, elles peuvent constituer un des jalons d’un parcours de vie dans le sport, et pour certains, une étape vers un championnat du monde ou un podium olympique et/ ou paralympique. Mais lorsque les transitions ne se passent pas bien, les gens ont tendance à abandonner le sport et à ne pas y revenir.

Si l’expression « Vous n’aurez jamais une deuxième chance de faire une première bonne impression » est vraie dans un contexte sportif, alors la connaissance et la compréhension de ces points de transition sont d’autant plus essentielles pour les dirigeants sportifs.

RÉFLÉCHISSEZ À VOTRE PASSÉ SPORTIF ET À TOUTES CES TRANSITIONS. Savez-vous pourquoi certaines d’entre elles se sont bien passées et les autres non?

Qu’est-ce qui aurait pu changer les expériences négatives en expériences positives?

POUR CONTRIBUER À CES POINTS DE TRANSITION, VOUS POUVEZ POSER LES QUESTIONS SUIVANTES : À quelles étapes de développement est-ce que les gens se joignent à notre sport, et de quelle discipline sportive proviennent-ils le plus souvent?

Quelles sont les transitions internes dans notre sport?

Quelle est l’expérience des gens qui font une transition vers notre sport ou au sein de notre discipline sportive? S’agit-il d’une expérience positive?

Que devons-nous savoir au sujet des antécédents d’une personne pour assurer la réussite de la transition vers notre sport?

Que fait-on dans notre sport pour faciliter les transitions?

Examiner vos réponses à ces questions.

Une des façons d’améliorer la réussite des transitions est d’utiliser les réponses aux questions ci-dessus afin de créer des milieux de transition accueillants, favorables et appropriés sur le plan du développement.

ENGLISH

Un des facteurs importants dans la réussite des transitions est de déterminer si la personne possède déjà les aptitudes et les qualités nécessaires.

Votre Matrice de développement de l’athlète (MDA) peut vous aider à déterminer quelles aptitudes sont nécessaires selon les transitions.

Des tests d’évaluations bien conçus permettront de révéler les lacunes qui doivent être comblées chez chacune des personnes. Ces renseignements peuvent être utiles pour un entraîneur ou un dirigeant technique si la personne effectue une transition au sein de la discipline sportive (p. ex. d’une équipe provinciale à une équipe nationale), ou une transition d’un autre sport (p. ex. du trampoline au style acrobatique). À partir de ces renseignements, vous pouvez concevoir des programmes ou personnaliser l’entrainement afin d’améliorer la transition dans le cadre de ces points déterminants critiques.

En plus d’examiner ces aptitudes, vous voudrez également examiner les barrières de transition auxquelles sont confrontés les groupes sousreprésentés.

Bon nombre de Canadiens, tels que les femmes, les personnes handicapées et les Autochtones, font face à des obstacles comme la marginalisation, les préjugés et le racisme. Ce sont là des facteurs dissuasifs importants à la participation au sport. Des ressources telles que « Engagement actif des femmes et des filles », « Devenir champion

n’est pas une question de chance » et de nouvelles ressources visant à renforcer la participation d’athlètes autochtones dans les activités sportives comprennent des idées et des recommandations à l’intention des leaders sportifs en vue d’aborder ces facteurs dissuasifs. Afin d’améliorer les milieux de transition, vous devriez également examiner les besoins de ces groupes et aborder de façon proactive les barrières systémiques et culturelles qui font obstacle à leurs transitions.

En veillant à ce que la transition de chacun soit une expérience positive, de plus en plus de personnes vont continuer à pratiquer le sport. Les avantages pour les organisations sportives qui sont au courant de ces points de transition et qui ont l’habitude de faciliter l’introduction et la progression d’une personne dans une discipline sportive sont faciles à décrire. Meilleur taux de recrutement.

Meilleur taux de participation des athlètes. Meilleurs résultats. ∆

Pour en apprendre davantage sur le rôle du gouvernement du Canada à titre de principal investisseur dans le système sportif du Canada, veuillez consulter www.Canada.ca/Sport ou nous joindre sur Facebook et Twitter.

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voix de la communauté Développement de l’athlète chez Canada Basketball :

Q&R AVEC

MICHELE O’KEEFE , PRÉSIDENTE ET DIRECTRICE

L

GÉNÉRALE

’objectif du sport au Canada est de procurer aux enfants et aux jeunes des occasions de vivre des expériences positives en ajustant les activités à leur niveau d’habiletés et à leur stade de développement. Nous nous sommes entretenus avec Michele O’Keefe de Canada Basketball concernant les pratiques de son organisme dans la promotion de programmes adaptés à l’intention des athlètes désireux de garder leur sport tout au long de leur développement athlétique.

Pourquoi aimez-vous le basketball??

Le basketball fait partie de ma vie depuis ma 7e année à l’école. J’ai joué pour des clubs et des écoles tout au long de mes études secondaires et universitaires.

Le basketball m’a fait connaitre mes meilleurs amis et m’a procuré les meilleurs emplois.

J’ai appris à travailler en équipe, à regarder la situation dans son ensemble et à respecter tout le monde.

Jeune fille, j’étais grande et le basketball m’a procuré un milieu sécuritaire où je pouvais être fière de ma taille et l’assumer. Il n’est pas facile d’être une jeune fille, mais le soutien que j’ai eu de mes camarades m’a donné confiance.

Quel est le meilleur programme (ou le meilleur stade et/ou âge) pour s’initier au basketball?

Pourquoi?

Deux programmes exercent généralement un attrait chez les novices au basketball : la Division des recrues de la NBA junior et le Basketball des jeunes de Steve Nash (BJSN).

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BJSN est un programme comprenant une formation, des plans de pratique et une trousse de coaching ainsi qu’un maillot et un ballon pour les jeunes. De plus, nous avons créé un environnement communautaire grâce à Facebook et à un site Internet incluant des blogues et des conseils en matière de coaching.

Nous avons aussi publié un livre sur la formation intitulé Mini Basketball. Dans ce livre, on analyse différents modèles de compétition notamment, pour les plus jeunes, le 3 contre 3 avec un panier et un ballon plus petit. Au fur et à mesure de leur développement, ils passeront au 4 contre 4, puis au 5 contre 5.

Basketball Canada a collaboré avec NBA Canada pour l’élaboration d’un programme nommé NBA Junior, division des Recrues. C’est un programme du DLTA à l’intention des enfants souhaitant améliorer leurs aptitudes physiques au moyen du basketball.

Le 3 contre 3 est particulièrement efficace, car tous les joueurs ont l’occasion de toucher au ballon. Il n’y a absolument pas de plaisir à être le plus petit et à ne jamais toucher au ballon.

Dans ces deux programmes, la notion de plaisir domine, les enfants apprennent à être actifs tout en ayant du plaisir à jouer au basketball. Les parties sont modifiées et beaucoup plus appropriées que le 5 contre 5 standard avec un ballon de taille 7.

Est-ce que le basketball est plus indiqué en initiation précoce ou tardive? Pourquoi?

Le basketball régulier des adultes à 5 contre 5 ne convient pas à une initiation précoce.

C’est la raison d’exister de BJSN et de NBA junior, division des recrues.

Le 5 contre 5 convient certainement mieux à une initiation tardive. Une des difficultés concerne les aspects techniques des habiletés hautement spécialisées. Les enfants qui s’initient tôt et qui apprennent dans un environnement sain auront un avantage.

De quel autre sport proviennent souvent les athlètes qui adoptent le basketball?

Quel est le dernier stade pour passer au basketball et avoir encore la possibilité de réussir à un haut niveau de performance?

S’entraîner à la compétition est le stade pour passer au basketball et avoir encore la possibilité de réussir à un haut niveau de performance.

Quelles sont les habiletés fondamentales que le basketball permet d’enseigner?

Le basketball est un sport à travers laquelle les athlètes peuvent acquérir des compétences importantes dans la vie comme: communication, leadership, responsabilité, concentration dans un contexte d’adversité, coopération, imagerie, confiance, bonne alimentation, sommeil.∆

Le sport le plus commun que nous voyons transférer à partir est le soccer.

Pour en apprendre consultez Canada Basketball: Web: www.basketball.ca Twitter: @CanBball Facebook: facebook.com/CanadaBasketball

ENGLISH

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voix de la communauté Stades initiaux au

CLUB DE SKI DE FOND NAKKERTOK NORDIQUE Carolyn Johnson Grall Directrice des compétitions, Nakkertok Photographies, avec l’aimable autorisation de Ian Austen, Toni Scheier, Rob Smith, Corina Zechel

L

e programme de compétition Nakkertok est l’un des plus prospères au Canada. Globalement, les programmes offerts procurent aux athlètes un environnement qui favorise le développement mental et physique afin qu’ils deviennent des skieurs de pas classique et de pas de patin et donnent leur plein potentiel aux niveaux provincial, national et international. Nakkertok a produit deux Olympiennes et aligne présentement deux athlètes sur l’équipe nationale.

Nakkertok a soigneusement et volontairement consolidé un programme de compétitions à cinq niveaux parfaitement ajustés au Modèle de développement à long terme de l’athlète (DLTA) et chaque niveau constitue une porte d’accès au programme de compétitions.

Ces portes d’accès sont Apprendre à skier Plus (LTS+= initiation active) à l’intention des athlètes de 8-9 ans, Racing Rabbits

(Apprendre à s’entraîner) pour les 9 à 11 ans, S’entraîner à s’entraîner, pour les 1214 ans, Apprendre à compétitionner pour les 15-18 ans etS’entraîner à la compétition pour l’équipe de développement junior de Nakkertok qui est constituée d’athlètes universitaires âgés de 18 à 23 ans.

Les portes d’accès les plus utilisées dans le programme de compétitions sont le LTS+ et Racing Rabbits. À ces niveaux, les athlètes développent leur agilité

Perianne Jones, Jeux olympiques de 2010 et de 2014. Perianne a commencé à skier avec Nakkertok à l’âge de 14 ans, soit au stade de formation des athlètes « Apprendre à compétitionner » 8

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et leurs aptitudes à skier, leur système cardiovasculaire selon leur âge en plus d’amitiés de longue durée.

Nakkertok a arrimé ses programmes de compétition au DLTA en 2009 en prenant soin de développer les athlètes selon leur propre rythme ajusté à l’âge ou au stade de développement. Actuellement, les programmes de Nakkertok comprennent 250 skieurs de compétition.

Grâce à ce milieu d’entraînement stimulant entretenu par trois

Apprendre à skier Plus et Racing Ra

Des filles du programme S’entraîner à la compétition manifestent leur joie et se donnent à fond au championnat national de 2015

Athlètes au stade S’entraîner à s’entraîner devant le « Piston bully »

professionnels de notre équipe en collaboration avec le club, les parents des athlètes et les 61 entraîneurs bénévoles, Nakkertok présente un haut taux de rétention des athlètes (95 % année après année). Les cinq programmes de compétition se sont développés de façon constante, le plus grand nombre d’athlètes (52) étant dans le programme Apprendre la compétition. Fort de ce nombre et de sa croissance, Nakkertok a délégué au cours des 3 dernières années 60 athlètes au championnat national et a gagné le championnat durant 6 ans d’affilée.

Nakkertok affiche une croissance substantielle et réussit à maintenir un équilibre dans les programmes pour permettre aux skieurs de se développer à leur rythme en tant qu’individus. La taille de nos programmes nous permet d’offrir une combinaison d’entraînements mixtes et distincts selon le sexe dans plusieurs catégories d’âge et d’année de naissance.

À domicile, Nakkertok présente la plus grosse compétition en nombre au Canada. Cette année, il y avait 673 athlètes provenant d’aussi loin que le Yukon, la Colombie-Britannique et Terre-Neuve. Les Championnats de l’Est sont tenus par Nakkertok depuis 2012 et plus de 200 bénévoles les organisent.

Plusieurs athlètes ont grandi, en compagnie de leur famille, avec Nakkertok qui était leur terrain de jeu, leur milieu d’entraînement.

abbits à la « Cookie Race »

ENGLISH

Cette combinaison nous permet de stimuler les skieurs de diverses façons tout en entretenant et développant de forts liens sociaux.

Toutes ces réalisations sont dues entre autres aux entraîneurs dévoués et aux programmes de développement élaborés par les

entraîneurs en chef dans chaque programme. Globalement, on s’en tient au modèle du DLTA et on organise des séances d’entraînement stimulantes dans un contexte de jeu et de plaisir, 11 mois par année.

Le dernier stade dans le modèle du DLTA est le programme Ski pour la vie développé par les entraîneurs à l’intention des adultes. Ce programme garde les mêmes principes fondamentaux de l’entraînement que les autres programmes de compétition. Ce programme démarré cette année s’adresse aux adultes désireux de se développer encore en tant que skieurs. Le programme fonctionne à plein régime. ∆ Contactez nous: Web: nakkertok.ca Twitter: @NakkertokRacing Facebook: facebook.com/NakkertokRacing

Athlètes de l’ÉNJD et spectateurs au Championnat de l’Est à Haywood

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CRÉER DES OCCASIONS SPORTIVES SIGNIFICATIVES POUR LES JEUNES ATHLÈTES HANDICAPÉS Jason Dunkerley

Athlète paralympique à quatre reprises et médaillé, course sur distance moyenne (catégorie T11)

C

omme les responsables des politiques sportives canadiennes travaillent avec diligence pour renforcer les parcours de développement des athlètes handicapés, le moment est opportun pour examiner certains facteurs qui peuvent avoir une incidence sur la participation de ces athlètes à des sports compétitifs et sur leur motivation à poursuivre.

J’ai passé beaucoup de temps à penser au développement des sports pour les athlètes handicapés. J’ai grandi en Irlande du Nord avec deux frères, et nous souffrions tous les trois d’aveuglement congénital. Nos parents nous ont toutefois encouragés à être actifs, et bien que les enfants du quartier étaient curieux, ils nous ont généralement acceptés. Nous avons adapté nos propres jeux, nous faisions du vélo, et nous avions toujours hâte de jouer dehors après l’école.

Lorsque nous avons immigré au Canada, mes frères et moi avons fréquenté une école pour élèves ayant une déficience visuelle qui encourageait les sports. Nous avons essayé une variété de sports dans un environnement sécuritaire et de soutien qui nous poussait à nous dépasser et à développer nos compétences athlétiques.

Pour mes frères, cela signifiait de se spécialiser en lutte; pour moi, c’était la course sur distance moyenne. Lorsque je suis entré à l’université à l’automne 1997, j’ai eu assez de confiance en moi pour demander à l’entraîneur d’athlétisme et

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de cross-country si je pouvais me joindre à l’équipe. Il n’a eu aucune hésitation à me laisser prendre part aux entraînements, malgré le fait qu’il n’avait jamais entraîné un coureur aveugle auparavant. En m’entraînant et en passant du temps avec l’équipe, je me suis amélioré rapidement au point de me qualifier pour l’équipe paralympique nationale d’athlétisme pour la première fois.

Ceci est mon expérience personnelle, et elle n’est pas du tout typique. En fait, il n’y a pas vraiment de parcours commun pour les athlètes handicapés émergents. Ce qu’on constate, c’est qu’il n’est pas facile pour de nombreux enfants handicapés d’entrer dans le système sportif. Jusqu’à 78 % des parents d’enfants handicapés affirment que leur enfant ne participe pas à des programmes communautaires (Picard, 2012). Seulement 3 % des enfants handicapés canadiens participent à des sports organisés, contrairement à 36 % des enfants valides. En ce qui concerne l’activité physique non structurée, près d’un quart des jeunes handicapés n’y participent pas, contrairement à

seulement 2 % des jeunes valides (Levelling the Playing field, 2012). Certains facteurs peuvent avoir une incidence sur l’accès au sport chez les jeunes handicapés, notamment : • une première expérience positive ou négative (qui donne une raison de continuer); • le niveau de connaissance sur les façons d’accommoder des participants handicapés; • des obstacles (attitude, accessibilité, etc.) qui pourraient écarter les personnes handicapées dans un contexte sportif; • les préoccupations des parents au sujet de la sécurité d’un sport et des mesures prises pour atténuer les risques de blessure; • les connaissances des programmes, des organisations et des services inclusifs qui sont offerts.

Les jeunes doivent avoir la possibilité de suivre les pas de leurs modèles, peu importe si c’est faisable ou non. J’ai grandi en admirant des vedettes de soccer professionnel vers la fin des années 1980.

Je pensais que je pouvais devenir comme eux un jour, et personne ne m’a jamais convaincu du contraire. Je pense qu’il est particulièrement important que les jeunes aient ce type de pensées positives, étant donné que les membres de ce groupe démographique s’excluent eux-mêmes. Par contre, je ne dis pas que les parents ou les leaders sportifs doivent induire en erreur un athlète en l’incitant à devenir une personne

qu’il n’est pas. L’objectif est plutôt d’encourager les athlètes handicapés émergents à visualiser leur réussite malgré leurs limites.

En favorisant la confiance en soi, en stimulant le désir et en soutenant les athlètes, on donne à ces derniers des outils qui leur permettront de créer eux-mêmes des occasions de sport. Cela dit, l’effort requis pour faire en sorte que les athlètes handicapés continuent de pratiquer un sport est sans aucun doute un effort d’équipe.

Voici certaines considérations et ressources.

POUR LES PARENTS Exposez les enfants à une diversité d’activités structurées et non structurées.

Introduisez les enfants à des programmes intégrés et séparés; les programmes séparés permettent aux enfants de développer leur confiance, tandis que les programmes intégrés maintiennent des liens avec la collectivité.

Traitez les enfants ayant un handicap comme vous traiteriez d’autres enfants.

Entrez en contact avec des groupes de parents et trouvez des mentors pour vos enfants. Des recherches ont démontré les avantages du soutien par les pairs, qui influence le comportement des athlètes et qui les encourage à faire du sport et de l’activité physique.

ENGLISH

POUR LES RESPONSABLES DE PROGRAMMES SPORTIFS Créez des environnements qui favorisent la confiance et des expériences positives pour tous.

Apprenez comment bien accommoder et mettre au défi les athlètes handicapés. Vous n’aurez pas la réponse à tout, mais soyez curieux, ouverts d’esprit et créatifs.

Consultez des ressources sur l’activité physique, des organismes de sport pour personnes handicapées, comme l’Association canadienne des sports en fauteuil roulant et l’Ontario Blind Sports Association, et des conseils utiles.

POUR LES PERSONNES HANDICAPÉES Croyez en vous et en ce qui est important pour vous.

Cherchez à obtenir du renforcement positif de la part de votre famille, de vos amis, de vos entraîneurs et de vos mentors.

Investissez-vous dans votre participation sportive. Obtenez du soutien, adaptez-vous, et soyez persistants et ambitieux.

L’augmentation du nombre d’opportunités pour les athlètes handicapés de participer à pratiquement n’importe quel sport au cours des dernières années témoigne du progrès qui est fait. Mais lorsqu’on compare le Canada à l’échelle mondiale, on constate globalement que notre bassin de talentueux athlètes handicapés est vieillissant et qu’il y a un besoin d’identifier la prochaine génération d’athlètes (No Accidental Champions, 2011). En continuant de faire connaître les riches ressources disponibles et en exposant les athlètes handicapés émergents à des occasions sportives d’envergure qui, à leur tour, inspireront ces athlètes à croire en eux, je suis convaincu que nous bâtirons une solide fondation qui permettra de rehausser les opportunités pour les athlètes de tous les niveaux afin qu’ils atteignent leur plein potentiel sportif. ∆

Réferences: “No Accidental Champions: LTAD for Athletes with Disabilities (2nd Edition)”. Canadian Sport for Life, 2011.

Accessed online, February 25, 2016.

“Levelling the Playing field: a Natural Progression from Playground to Podium for Canadians with Disabilities”.

Standing Senate Committee on Human Rights, June 2012.

Martin Ginis, Kathleen, et al. “Peer-Delivered Physical Activity Interventions: An Overlooked Opportunity for Physical Activity Promotion”. Translational Behavioral Medicine, Volume 3, Issue 4, December 2013. Accessed online, January 18, 2016.

Picard, André. “Don’t Shut Disabled Kids Out of Society”.

The Globe and Mail, January 30, 2012. Accessed online, February 26, 2016.

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RECHERCHE EN COURS ADOPTION ET MISE EN ŒUVRE PAR LES ENTRAÎNEURS DU MODÈLE DE DÉVELOPPEMENT À LONG TERME DE L’ATHLÈTE

L

e SIRC est heureux de collaborer avec Sport Canada à la mise en commun des recherches en cours sur des sujets à l’appui des politiques et des programmes de sport de qualité. Cette semaine, nous vous faisons part d’un article récent qui aborde le rapport entre l’entraîneur et l’application du modèle de développement à long terme de l’athlète.

Charlotte Beaudoin, Bettina Callary & François Trudeau (2015), Coaches’ Adoption and Implementation of Sport Canada’s Long-Term Athlete Development Model .SAGE Open, 1-16.

(La recherche appuyée par l’ Initiative de recherche sur la participation au sport) (en anglais seulement)

Points saillants de la recherche du SIRC Depuis longtemps, le développement des athlètes est un sujet qui suscite un vif intérêt envisagé dans l’optique de la participation sportive, et ce, à tous les niveaux. Au Canada, la création du modèle de développement à long terme de l’athlète constitue l’une des théories les plus rassembleuses au chapitre de la participation au sport des athlètes de tous les âges et de tous les niveaux. Selon les auteurs, ce sont les entraîneurs qui détiennent la clé de la progression des athlètes durant leur développement et, étant donné l’appui de Sport Canada au modèle de DLTA, il est essentiel de déterminer si les entraîneurs comprennent, adoptent et mettent en œuvre le modèle dans leurs pratiques d’entraînement.

Les auteurs utilisent la diffusion des innovations de Rogers comme cadre pour analyser l’adoption du modèle de DLTA à titre d’innovation sociale.

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L’objet de leur analyse est d’étudier de quelle façon les entraîneurs ont adopté et mis en œuvre le modèle de DLTA de Sport Canada, et de comprendre les obstacles et les vecteurs qu’ils voient dans ces processus. On a réalisé une étude de cas sur les entraîneurs qui avaient opté pour le modèle de DLTA ou un second groupe se trouvant à l’étape de la mise en œuvre, ce qui a donné lieu aux observations suivantes : • Plus de la moitié des entraîneurs ayant opté pour l’adoption du modèle ont déclaré très bien connaître le DLTA, la plupart des connaissances ayant été acquises durant les cours de certification; de plus, la majorité de ces entraîneurs avaient une longue expérience de l’entraînement.

• De nombreux entraîneurs ont fait remarquer qu’au Canada, la pratique du sport par des

participants qui en sont aux premières étapes de développement se fait sous la direction de parents bénévoles qui ont été peu exposés à l’entraînement dans le cadre du DLTA, ce qui rend difficile l’acquisition des compétences de base à ces étapes.

• Les entraîneurs affectés aux premières étapes de développement déclarent moins bien connaître le modèle de DLTA, et l’état des connaissances qu’ils en ont révèle une incompatibilité entre le modèle et la mise en œuvre de leurs pratiques.

• Les entraîneurs voient des associations positives avec le modèle de DLTA en ce qu’il offre une méthode de développement de l’athlète au niveau personnel, mais n’en voient aucune par rapport à

la performance de l’athlète, probablement parce qu’il y a peu d’éléments probants qui permettent d’établir que ce modèle est plus efficace qu’un autre.

• Pour les entraîneurs, le modèle de DLTA crée un langage commun qui permet de communiquer avec d’autres intervenants du milieu, en particulier les parents.

• De l’avis des entraîneurs, le DLTA est compatible avec leurs philosophies actuelles d’entraînement. Cela dit, il y a une incompatibilité entre le DLTA et la structure organisationnelle du sport

ENGLISH

qui appuie le succès à court terme et parfois met l’accent sur le fait de « gagner ».

L’accent mis sur cette notion ne vient pas appuyer le développement ultérieur des athlètes et fait entrer en jeu « l’effet de l’âge relatif ». Autre facteur préoccupant dans ce scénario de compatibilité conjugué avec l’accent mis sur le succès est la migration vers la spécialisation hâtive, qui est contraire à la philosophie du DLTA. • Les entraîneurs croient que l’aspect à long terme du modèle est difficile à mettre en œuvre dans les scénarios à court terme. Sans succès

à court terme, les parents et les entraîneurs peuvent difficilement avoir confiance à ce modèle. Bon nombre d’entraîneurs n’exécutent alors que certains aspects du modèle, plutôt que le modèle dans son intégralité.

On suggère l’introduction d’objectifs à court terme afin que les entraîneurs et les athlètes disposent d’étapes de mesure dans le cadre du DLTA. • On commence à peine à voir les effets positifs à long temps d’intégrer le DLTA aux systèmes de sport.

• Le perfectionnement professionnel des entraîneurs est recommandé afin d’aider à comprendre dans son ensemble le modèle de DLTA et la transition des athlètes entre les différentes étapes. Les entraîneurs doivent comprendre le modèle dans son intégralité en dehors de l’étape de développement auquel ils sont affectés de façon à pouvoir également permettre aux athlètes, aux parents et aux autres entraîneurs de bien comprendre le modèle. ∆

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ENTRAÎNEMENT GARDER LE SPORT AMUSANT POUR TOUS

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ous savons tous à quel point le sport peut être profitable aux enfants; il existe de nombreuses études, en plus de nos expériences personnelles, qui appuient ce fait. Les recherches démontrent également que la majorité des taux de participation au sport atteignent leur sommet chez les enfants de 13 ans, puis ils baissent continuellement tout au long de l’adolescence. Bien que de nombreux facteurs contribuent à cette chute, le facteur de plaisir dans le sport est un élément important à considérer, et nous devons aussi nous pencher sur ce que les entraîneurs peuvent faire pour maximiser le plaisir et sur ce que cela signifie pour les jeunes participants.

Que faire si vous vous rendez compte qu’un enfant au sein de votre équipe n’a pas de plaisir?

Pour les enfants, l’absence de plaisir peut être attribuable à plusieurs raisons; il est possible qu’ils n’aient tout simplement pas une bonne journée et que le lendemain tout revienne à la normale.

D’un autre côté, si vous remarquez qu’un enfant qui semblait autrefois avoir du plaisir est maintenant maussade, désintéressé, agressif ou agit d’une façon inhabituelle, il y a de fortes chances que quelque chose doive être réglé.

Il est devenu une pratique courante que les parents spécialisent leurs enfants dans un sport en particulier le plus tôt possible avec l’idée qu’en ayant plus de pratique, ils deviendront de meilleurs athlètes. Bien que les intentions puissent être bonnes, il a été prouvé à maintes reprises que la spécialisation précoce

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dans un sport a un effet négatif sur le développement mental et physique d’un jeune, ce qui peut se traduire par un épuisement et même un abandon éventuel du sport. L’épuisement d’un enfant peut être traité en prenant une pause de sport, en assistant à moins d’entraînements ou en leur permettant d’essayer quelque chose de nouveau.

Si l’épuisement ou la spécialisation dans un sport ne sont pas des facteurs, penchez-vous sur les attentes des parents à l’égard de leurs enfants ou sur le sport pratiqué, et, au besoin, vous pouvez aussi examiner votre propre perspective en tant qu’entraîneur.

Que devraient viser les entraîneurs?

• Mettre l’accent sur le perfectionnement des compétences et l’amélioration individuelle plutôt que vous concentrer sur les compétitions et les parties gagnées.

• La modification des parties peut ajouter une variété aux entraînements et garder les enfants stimulés. Maintenez des routines actives et organisées; essayez de réduire les temps d’attente et maximisez la participation.

• Soyez réaliste quant au manque d’attention, aux capacités athlétiques et au talent. Tous les enfants vieillissent différemment et apprennent des habiletés à une vitesse différente, et la majorité d’entre eux ne deviendront pas un prodige du sport.

• Accordez des possibilités de socialisation et de création d’amitiés; tout le monde a plus de plaisir si on a un ami à avec qui plaisanter.

• Énoncez clairement que les erreurs et les défaites font partie du processus d’apprentissage. Cette approche aide à réduire le stress et l’anxiété

lorsqu’on essaie quelque chose de nouveau, et ça encourage les jeunes à continuer d’essayer de s’améliorer.

• Mettez fortement l’accent sur les objectifs de groupe, le travail d’équipe et la cohésion de l’équipe. Bien que l’on ne doive pas se concentrer sur la victoire, n’ayez pas peur de fixer quelques objectifs compétitifs afin que les enfants essaient toujours de se dépasser.

En connaissant les pièges courants auxquels les jeunes font face dans le sport à mesure qu’ils grandissent, un entraîneur peut avoir une influence et mieux répondre à leurs besoins. Si vous aimez un sport en particulier et appréciez votre rôle en tant qu’entraîneur, les enfants vont garder cette vision en tête et auront la même passion que ce que vous essayez d’enseigner. Il devrait être évident que créer un environnement sportif amusant, stimulant et positif fera en sorte que les enfants continueront de se présenter sur le terrain année après année. ∆

Références Bengoechea E, Strean W, Williams D. Understanding and promoting fun in youth sport: coaches’ perspectives. Physical Education & Sport Pedagogy. November 2004;9(2):197-214.

Martin N. Keeping It Fun in Youth Sport: What Coaches Should Know and Do. Strategies (08924562). September 2014;27(5):27-32.

Strachan L. Enhancing Coach-Parent Relationships in Youth Sports: Increasing Harmony and Minimizing Hassle. International Journal Of Sports Science & Coaching [serial online]. March 2011;6(1):47-48.

Strean W, Holt N. Coaches’, athletes’, and parents’ perceptions of fun in youth sports: assumptions about learning and implications for practice. / Perceptions des entraineurs, des athletes et des parents, sur le plaisir eprouve par les jeunes dans la pratique sportive: perspectives d’apprentissage et implications dans la pratique. Avante.

2000;6(3):83-98.

Visek A, Manning H. The FUN MAPS: A Youth Sport Scientific Breakthrough. Olympic Coach.

December 2014;25(4):39-42.

Inscrivez-vous au SIRCuit Parcours de l’athlète ici ENGLISH

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AMORCER LA PARTICIPATION :

COMMENT RECRUTER DE JEUNES BÉNÉVOLES POUR MON PROGRAMME SPORTIF?

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elon de récents rapports, plus de 40 % des jeunes Canadiens et Canadiennes font du bénévolat dans le secteur de la culture, du sport et des loisirs. Cette statistique est très intéressante pour les leaders sportifs. La majorité des jeunes qui font du bénévolat se servent de cette occasion pour développer des habiletés, avoir des expériences de travail et réseauter afin d’améliorer leurs possibilités de carrière à l’avenir.

Alors comment peut-on recruter des gens?

Les premiers endroits auxquels on pense sont les écoles secondaires et les institutions post-secondaires. De nombreuses écoles exigent maintenant que les jeunes accomplissent un certain nombre d’heures de bénévolat pour obtenir leur diplôme. Le nombre d’heures de bénévolat peut être de cinq, comme il peut être de 100. Pour commencer votre recrutement, vous pouvez vous concentrer sur votre communication initiale à l’égard des étudiants, mais de nombreuses autres possibilités s’offrent également à vous.

Vous n’avez qu’à penser aux endroits de votre communauté où les jeunes se rassemblent habituellement : centres d’achats, églises, cinémas, épiceries, restaurants, centres de loisirs, arénas de sports, etc. N’ayez pas peur de créer des liens personnels entre votre organisation et les bénévoles potentiels en ayant des discussions seuls à seuls. Montez un stand (si possible) ou distribuez des 16

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dépliants. Les jeunes d’aujourd’hui connaissent bien les médias, donc avoir recours à l’internet est toujours une bonne idée. Utilisez les journaux en ligne locaux, les médias sociaux, les babillards de recherche d’emplois, les bulletins d’écoles ou de bibliothèques ou le site Web de votre organisation pour faire passer le mot.

Quels sont les avantages pour les jeunes?

Volunteering will likely be a new Comme le bénévolat risque d’être une nouvelle expérience pour les jeunes que vous souhaitez attirer, assurez-vous d’établir clairement ce que le travail implique et quels sont les avantages pour les participants. Par exemple, le bénévolat peut mener à un emploi d’été, accroître l’expérience qui peut être ajoutée à un CV, créer des contacts ou améliorer les chances d’obtenir une bourse. Les adolescents ont souvent des horaires chargés, donc vos publicités doivent être convaincantes pour que les jeunes acceptent de travailler gratuitement pour vous.

POUR EN APPRENDRE PLUS SUR LE RECRUTEMENT DE BÉNÉVOLES, CONSULTEZ LES RESSOURCES CIDESSOUS. Nouvelles stratégies pour engager les jeunes – Bénévoles Canada

Vous souhaitez tenir une conférence pour les jeunes? Voici comment rendre votre événement stimulant – Charity Village

Attirer de jeunes bénévoles

Le recrutement est essentiellement comme un travail de vente qui comprend des défis et pour lequel il faut faire preuve de patience et de persévérance afin d’obtenir des résultats. Développez une stratégie, donnez de la visibilité à votre organisation et obtenez l’appui du plus grand nombre de personnes possible alors que vous tentez de rassembler des bénévoles actuels et précédents, des membres de conseils d’administration, des parents et d’autres membres importants de la collectivité. ∆

Références

Selon de récents rapports, plus de 40 % des jeunes Canadiens et Canadiennes font du bénévolat dans le secteur de la culture, du sport et des loisirs.

Bouchet A, Lehe A. Volunteer Coaches in Youth Sports Organizations: Their Values, Motivations & How To Recruit, & Retain.

Journal Of Youth Sports. April 2010;5(1):21-24.

Busser J, Carruthers C. Youth sport volunteer coach motivation. Managing Leisure. January 2010;15(1/2):128-139 Engelberg T, Skinner J, Zakus D. What does commitment mean to volunteers in youth sport organizations?. Sport In Society. January 2, 2014;17(1):52-67.

LaVetter D, Stahura K. Negligent Hiring in Youth Sports: Background Screening of Volunteers. Journal Of Youth Sports. April 2010;5(1):9-15.

Shannon C, Robertson B, Morrison K, Werner T. Understanding Constraints Younger Youth Face in Engaging as Volunteers. Journal Of Park & Recreation Administration. Winter2009 2009;27(4):17-37

Dans la prochaine numéro ! les articles de: • Water Polo Canada • patinage de vitesse Canada • perspective d’un entraîneur ENGLISH

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The Future

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