contamination control report 2/2021

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September 2021

Offizielles Organ

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Unser Essen kommt immer öfter aus dem Reinraum

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Feinstaub stört und ist viel gefährlicher als man denkt

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Zu Zeiten von Corona ist Reinraumschulung essenziell

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Fast jedes Gebäude kann zu einem Reinraum werden


Gleiches Resultat. Mit Rezyklat. Rezyklate unterliegen naturgemäß stärkeren Chargenschwankungen als Neuware. Unsere intelligenten Assistenzsysteme und Technologien sorgen trotz schwankender Rohmaterialqualität für ein konstantes Schmelzevolumen und damit für eine konstant hohe Produktqualität.

Erfahren Sie mehr zum Thema Kreislaufwirtschaft:


editorial n

Wann geht es wieder los?

Ebenso ist die Planung der Generalversammlung und Fachtagung 2022 bereits wieder in Angriff genommen worden. Voraussichtlich wird die GV und Fachtagung am 22. März 2022 abgehalten. Weitere Informationen folgen später. In Erwartung einer Normalisierung der immer noch ungewohnten Situation sehe ich zuversichtlich in die Zukunft und hoffe, dass wir uns bald wieder an der einen oder anderen Veranstaltung unseres Vereins sehen und austauschen können. Ich wünsche allen Mitgliedern weiterhin alles Gute und viel Erfolg.

Liebe Leserin, lieber Leser, liebe SRRT-SwissCCS-Mitglieder Mit viel Hoffnung sehen wir der zweiten Jahreshälfte 2021 entgegen. Die in Rekordzeit entwickelten neuartigen mRNAImpfstoffe stehen mittlerweile in genügender Menge zur Verfügung, die täglichen Fallzahlen pendeln sich auf einem erträglichen Niveau ein. Alles Anzeichen, die eine Normalisierung in Aussicht stellen. Obwohl der Bundesrat nun weitere Lockerungen verweigert, dürfen wir zuversichtlich bleiben. Denn es ist weiterhin Umsicht und Vorsicht geboten. Im Vergleich zu letztem Jahr sind zumindest die Fallzahlen vergleichsweise hoch. Demgegenüber scheinen die Hospitalisierungen in einem erträglichen Rahmen zu bleiben. Die möglichen besorgniserregenden Virusvarianten, der offenbar immer noch (zu) hohe Anteil nicht geimpfter Personen und weitere Faktoren wie Auslandreisende (Stichwort Fussball-EM) könnten die Fallzahlen wieder ansteigen lassen, wie kürzlich beispielsweise in England. Dies könnte die Verantwortlichen dazu veranlassen, dass wiedererlangte Freiheiten wieder eingeschränkt werden oder aber, wie gerade eben, weitere Lockerungen nicht vollzogen werden. Dennoch stellt sich die Frage: Wann können wir endlich wieder Veranstaltungen durchführen und auch vor Ort besuchen? Lange Zeit mussten wir alle auf jegliche Veranstaltungen verzichten. Sei es im privaten als auch im beruflichen Umfeld. Auch die diesjährige Generalversammlung musste nochmals in ungewohnter Weise im Zirkularverfahren durchgeführt werden. Diverse andere geplante Veranstaltungen unseres Vereins fielen den bundesrätlich oder kantonal verordneten Restriktionen zum Opfer. Mittlerweile haben sich die einen oder anderen elektronischen Tools etabliert und die entbehrungsreiche Zeit hat uns dazu gezwungen, uns mit dem einen oder anderen «digitalen Helfer» wie Teams und Zoom auseinanderzusetzen. Das eine oder andere wichtige Geschäftstreffen konnte dann auch ohne physischen Kontakt abgehalten werden und dann und wann ist ein solches Meeting sicher auch effizienter als sonst durchgeführt worden. Mittlerweile sind auch schon grössere Veranstaltungen mit mehreren Dutzend Teilnehmern virtuell durchgeführt worden. contamination control report

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Freundliche Grüsse

Marco Cucinelli SRRT-SwissCCS Vorstandsmitglied

Aber seien wir ehrlich. Beim Besuch einer Fachtagung oder Schulung ist nicht nur fachliche Weiterbildung wichtig, sondern auch die Pflege der persönlichen Kontakte und Netzwerke besitzt einen entsprechenden Stellenwert. Sich mit alten Bekannten und Freunden oder mit Gleichgesinnten über ein Pro­ blem auszutauschen, neue Ideen und Lösungsansätze diskutieren, andere Meinungen einholen, über Privates plaudern – gerne auch als Apéro mit einem Gläschen Wein – all dies ist in letzter Zeit oft zu kurz gekommen. Mittlerweile können Veranstaltungen mit mehr oder weniger hohen Auflagen durchgeführt werden. Unter Einhaltung der geltenden hygienischen Regeln sind mit Berücksichtigung weiterer Faktoren wie Anzahl Teilnehmer, Grösse der Räumlichkeiten, Führen von Anwesenheitslisten bzw. Erfassung der Kontaktdaten, kleinere Veranstaltungen wieder möglich. So ist geplant, dass die SRRT-SwissCCS Schulung Reinraumtechnik Basiskompetenz und Fachkompetenz wie schon vorab angekündigt, am 13. und 14. September 2021 wieder an zwei aufeinanderfolgenden Tagen durchgeführt wird. Dabei dürfen wir bei der Unifil Filtertechnik in Niederlenz zu Gast sein. Aufgrund der vorherrschenden Lage wird die Teilnehmerzahl begrenzt sein. Das Sekretariat führt eine Warteliste und wird gegebenenfalls weitere Daten für weitere Schulungen bekannt geben, welche voraussichtlich im Januar 2022 stattfinden könnten.

Marco Cucinelli SRRT-SwissCCS Vorstandsmitglied

Quand est-ce que ça redémarre ?

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Chère lectrice, cher lecteur, Chers membres de la SRRT-SwissCCS, Nous envisageons le deuxième semestre 2021 avec plein d’espoir. Les nouveaux vaccins à ARN messager développés en un temps record sont maintenant disponibles en quantités suffisantes, le nombre de cas journaliers se stabilise progressivement à un niveau tolérable. Tous ces signes laissent entrevoir une perspective de normalisation. Même si le Conseil Fédéral refuse des assouplissements supplémentaires, nous pouvons rester optimistes. Mais prudence et circonspection sont toujours de mise. Comparé à l’année dernière, le nombre de cas est relativement élevé. Par contre les hospitalisations restent dans un cadre raisonnable. Les variants possibles et inquiétants du virus, la part toujours (trop) élevée de personnes non vaccinées et d’autres facteurs, tel que les voyages à l’étranger (exemple : coupe d’Europe de foot) pourraient faire remonter le nombre de cas, tel que cela s’est produit récemment en Angleterre. Ceci pourrait inciter les responsables à restreindre à nouveau les libertés reconquises ou à ne pas procéder à des assouplissements, tel qu’on vient de le voir. Malgré tout, la question se pose : Quand pourrons-nous enfin organiser à nouveau des évènements et y assister sur place ?

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Pendant longtemps, nous étions obligés de renoncer à toute sorte de manifestation, à la fois sur le plan privé que professionnel. Notre assemblée générale de cette année a dû être organisée encore une fois via le mode inhabituel de circulaires électroniques. Divers autres évènements prévus par notre association ont été victimes des restrictions fédérales ou cantonales. Entretemps, quelques outils électroniques se sont imposés et cette période difficile nous a obligés de nous habituer à des « assistants numériques » tel que Teams et Zoom. Ensuite l’une ou l’autre réunion professionnelle importante a pu aussi être tenue sans rencontre physique et de temps en temps ce type de meeting a aussi certainement été plus efficace que le mode conventionnel. Depuis, même des évènements de taille plus importante avec plusieurs douzaines de participants ont pu se dérouler de façon virtuelle. Mais soyons sincères. Quand on se rend à un congrès ou à une formation, ce qui compte ce n’est pas seulement de progresser sur le plan de ses compétences mais aussi de soigner le relationnel personnel et ses réseaux. Échanger avec des connaissances et amis de longue date ou avec des pairs sur un problème, discuter de nouvelles idées et solutions, recueillir d’autres avis, bavarder de questions privées – volontiers lors d’un apéro avec un verre à la main – tout cela a souvent manqué ces derniers temps. Maintenant des évènements peuvent être mis en place avec un niveau de contraintes plus ou moins élevé. En respectant les règles sanitaires en vigueur et en tenant compte de facteurs supplémentaires tel que le nombre de participants, la taille des salles, la mise en place de feuilles de présence respectivement recueil des données de contact, de petits évènements peuvent à nouveau avoir lieu. Ainsi nous avons prévu de réaliser la formation SRRT-SwissCCS sur les « Technologies en salle blanche, compétences de base et avancées » telle que déjà annoncée du 13 au 14 septembre 2021, à nouveau sur deux journées consécutives. À cette occasion, nous avons le plaisir d’être accueillis par Unifil AG Technique de filtration à Niederlenz. En raison du contexte actuel, le nombre de participants sera limité. Le secrétariat a établi une liste d’attente et proposera le cas échéant d’autres dates pour des formations supplémentaires qui se dérouleront probablement en janvier 2022. La préparation de l’assemblée générale et du congrès 2022 ont également déjà

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démarré. L’AG et le congrès auront lieu à priori le 22 mars 2022. Des informations plus détaillées suivront ultérieurement. Dans l’attente d’une normalisation de cette situation qui reste néanmoins encore inhabituelle, je reste confiant en l’avenir et j’espère que l’on pourra se revoir et échanger prochainement lors de l’une des manifestations de notre association. Je souhaite bonne chance et toujours autant de succès à tous nos membres. Bien cordialement,

Marco Cucinelli Membre du comité directeur de la SRRT-SwissCCS

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When do we start again?

Dear Readers, dear Members of the SRRT-SwissCCS We look full of hope to the second half of the year 2021. The novel mRNA vaccines developed in record time are by now available in sufficient quantities and the daily numbers of cases are at a more or less acceptable level. The signs point towards a normalization. Although the Central Swiss Government refuses a further easing off, we may be confident. Continued prudence and caution are called for all the same. Compared with last year the numbers of cases are relatively high, while the hospitalizations appear to remain at a bearable level. The worrying possible virus variants, the obviously still excessive portion of people that are not vaccinated and further aspects such as people travelling abroad could cause the numbers of cases to increase again, as we saw for example in England only recently. This might prompt those in charge to restrict regained freedoms again or, as just experienced, abstain from implementing further relaxations. The question remains: When, at long last, can we stage events again and participate in them on the spot? For a long time we all had to renounce on all sorts of meetings of a private or business nature. Our Annual General Meeting also had to take place in the unusual circular form. Various other planned happenings of our association were cancelled on account of restrictions ordered by the Confederation or the Cantons. In the meantime, various electronic tools have become established and the period of deprivation forced us to familiarize

ourselves with one or the other «digital assistant» such as Teams and Zoom. It has been possible to hold some important business meetings without physical contact and no doubt the odd conference was handled more efficiently in this way. In the meantime we staged also some bigger events on a virtual basis with several dozen participants. But, let’s be honest: When we attend a specialists’ event or a training session, it is not only the specific further eduction that matters, but also the personal contacts and networks. To exchange views with old acquaintances and friends or like-minded persons about a problem, to discuss new ideas and approaches, get other opinions, chat about private matters – why not at an aperitif with a glass of wine – all this was lacking too often in recent times. In the meantime, meetings can be held again subject to more or less strict restrictions. Minor events are possible again provided that applicable rules on hygiene, other factors such as number or participants, size of rooms, keeping of records of those present and contact data are complied with. It is planned, for instance, that the SRRT-SwissCCS Training in Clean-Room Technology Basic and Special Competence will take place on two consecutive days, namely on 13th and 14th September 2021, as already previously announced. Hereby we are guests at Messrs Unifil Filtertechnik in Niederlenz, Switzerland. Based on the current situation there will be a limit to the number of participants. The organizer’s office operates a waiting list and, if appropriate, will publish dates for further training sessions which could foreseeably take place in January 2022. Plans are already under way also for the General Assembly and Specialists’ Conference 2022. The GA and Specialists’ Conference will probably be staged on 22 March 2022. Further information will follow. Awaiting a normalization of the still exceptional situation, I look towards the future with confidence and hope that we can see each other again soon and exchange views at one or the other event of our association. My continued best wishes for every success to all of you. With kind regards

Marco Cucinelli SRRT-SwissCCS Member of the Committee contamination control report

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Essen aus dem Reinraum Reinraumtechnik verändert die Lebensmittelbranche. Was wir essen, entsteht immer häufiger mithilfe strenger hygienischer Konzepte bei der Herstellung, Verarbeitung und Verpackung.

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Ein herausforderndes Jubiläumsjahr 2021 wird der Textildienstleister Bardusch 150 Jahre alt. Das Unternehmen steht selbst in dieser herausfordernden Zeit solide da, und das Tätigkeitsfeld von Bardusch hat Zukunft.

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fachartikel Essen aus dem Reinraum Hygiene im Spannungsfeld zwischen Kosten und Nutzen Feinstaub ist gefährlicher als gedacht

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kundenprojekt Des solutions contre les différents risques microbiens et chimiques Pulsierender Strahl hinterlässt keine Flecken Reinraumschulungen in Zeiten von Corona Wie schützt man Produkte vor Aero­solen, Staub oder Keimen?

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firmenberichte Wie aus der Kantine ein Reinraum wurde Ausgewogener Anbau durch Messtechnik Ein herausforderndes Jubiläumsjahr Intelligente Stromzukunft im Echtzeit-Test

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publireportage Reinraum-Unterhaltsreinigung ist etwas für Profis TcAF-Systeme überzeugen mit deutlichen Vorteilen GMP-Probenzugsystem für Qualitätskontrolle

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veranstaltungen Entgraten und Oberflächenfinish sichern Produktqualität Messehinweise Ein richtiger Event ist nicht digital

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pr-news Raumluftreiniger Roomguard – erwiesen wirksam

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bulletin

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Impressum Erscheinungsweise 15. Jahrgang. Erscheint 2× jährlich (und in Ergänzung alle 2 Monate der elektronische ccr-Newsletter). Zur Veröffent­lichung angenommene Originalartikel gehen in das ausschliess­liche Verlagsrecht der SIGImedia  AG über. Nachdruck, fotomechanische Vervielfältigung, Einspeicherung in Datenverarbeitungsanlagen und Wiedergabe durch elektronische Medien, auch auszugsweise, nur mit Genehmigung des Verlages. Für unverlangt eingesandte Manuskripte wird keine Haftung übernommen. Copyright 2021 by SIGImedia AG, CH-5610 Wohlen ISSN 1662-1786 Herausgeber / Verlag Anzeigenverwaltung SIGImedia AG Alte Bahnhofstrasse 9a CH-5610 Wohlen Telefon +41 56 619 52 52 Telefax +41 56 619 52 50 info@sigimedia.ch www.ccreport.com

Redaktion SIGImedia AG Dr. Alexander Jegge Alte Bahnhofstrasse 9a CH-5610 Wohlen Telefon +41 56 619 52 52 Telefax +41 56 619 52 50 redaktion@ccreport.com

Vorstufe und Druck Triner Media + Print Schmiedgasse 7 CH-6431 Schwyz Telefon +41 41 819 08 10 beratung@triner.ch www.triner.ch

Offizielles Publikationsorgan Swiss Contamination Control ­Society Schweizerische Gesellschaft für Reinraumtechnik Société Suisse pour la prévention de la contamination www.swissccs.org

Titelbild/Quelle: Shutterstock /DC Studio

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fachartikel

Essen aus dem Reinraum Reinraumtechnik verändert die Lebensmittelbranche. Was wir essen, entsteht immer häufiger mithilfe strenger hygienischer Konzepte bei der Herstellung, Verarbeitung und Verpackung – gerade auch in der Schweiz. Wir sind umgeben von Fressfeinden. Sie haben es auf unser Essen abgesehen. Gemeint ist nicht die Wettbewerbssituation am Esstisch kinderreicher Grossfamilien. Es betrifft auch den Kühlschrank des Single-Haushalts, das Regal im Discounter und die Küche einer Betriebskantine. Was sich da befindet und bei uns auf dem Teller landet, das wollen nicht nur wir verzehren. Unsere Nahrungskonkurrenz ist zahlenmässig überlegen, allgegenwärtig und allzeit bereit. Es handelt sich um mikrobiologische Keime wie Bakterien und Pilze. Hinzu kommen grössere Geschöpfe von der Laus bis zur Maus. Sie fallen, wenn man sie lässt, über alles her, was da auf Äckern wächst und gedeiht und auf Erden kreucht und fleucht. Manche dieser Konkurrenten schlagen schon auf dem Feld oder im Stall zu. Andere holen sich ihren Teil erst nach der Ernte oder Schlachtung irgendwo entlang der Verarbeitungs- und Lieferkette. Selbst im Handel und zu Hause fallen ihnen Lebensmittel zum Opfer, wie mit Schimmelbrot und Gammelfleisch überfüllte Mülltonnen bezeugen. Noch leben wir im Zeitalter der Zusatzstoffe Die Antwort der Menschheit auf diese Vergänglichkeit lautete über viele Jahrhunderte: Konservierung. Im Lauf der Küchengeschichte entwickelten findige Feinschmecker zahlreiche Methoden zu diesem Zweck, sei es Kühlung, Trocknung, Pökelung, Gärung oder Pasteurisierung. Ein Pariser Konditor, Nicolas Appert, überzeugte mit der Erfindung des Einkochens: Im luftdichten Tontopf konnte er gar ein ganzes Schaf konservieren. Im Industriezeitalter fingen die Menschen an, ihr Essen mit Chemie haltbar zu machen. Die freigiebige Zugabe von Konservierungsstoffen war lange Zeit die unbestrittene erste Wahl. Sie wirken gegen Keime, die über kurz oder lang alles Essbare zersetzen, und verlangsamen diesen Abbauprozess. Anders als früher haben diese Mittel heute einen negativen Leumund. Manche Zusatzstoffe gelten als Auslöser allergischer Reaktionen. Auch die zunehmenden

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Die Stör-Zucht des Tropenhaus Frutigen arbeitet unter speziellen Reinraum-Bedingungen. (Bild: Tropenhaus Frutigen)

Intoleranzen, etwa gegenüber Gluten, Fruktose und Laktose, werden in Zusammenhang mit dem Konsum von Lebensmittelchemikalien gebracht. Das Deutsche Zusatzstoffmuseum in Hamburg hat sich der Aufklärung über Tausende von Aromen, Verdickungsmitteln, Emulgatoren und Additiven verschrieben. Aus Verbrauchersicht kommen diese zu den Rückständen der rund 800 Pestizide hinzu, die im Pflanzenanbau eingesetzt werden, während die Viehzucht massiv Antibiotika beisteuert. Das geschieht nicht nur aus Gesundheitsgründen, sondern zumindest früher oft auch als Masthilfe. Noch grössere Bedenken gibt es gegen Zusätze in Nanopartikelgrösse. Antibakterielle Silberbeschichtungen sind zwar inzwischen seltener anzutreffen. Dass sie bei Kühlschränken und Verpackungen keinen positiven Effekt haben, stellte die Europäische Behörde für Lebensmittelsicherheit (EFSA) schon vor 15 Jahren fest. In anderer Kombination kommen Nanopartikel weiter zum Einsatz. Nanopartikuläres Siliziumdioxid ist besser bekannt als «Rieselhilfe» in Pulvern und Salz. Andere Nanopartikel zum Mitessen und -trinken verabreicht die Industrie in Form von Weissmachern (Titandioxid). Wenig er-

forscht, stellen die Partikel, die sich in Organen anreichern können, für Beschäftigte in der Lebensmittelindustrie und für Verbraucher ein Risiko dar. Verbraucher und Gesetzgeber verändern die Lebensmittelbranche Die Produktionsverfahren der Lebensmittelbranche sind ins Gerede geraten. Eine Rolle dabei spielen Lebensmittelskandale, die ein erschreckendes Schlaglicht darauf werfen, wie manche Mahlzeit entsteht. Kontrollen in den Betrieben haben amtlichen Charakter. Bei aller Kritik an der Prüffrequenz und -strenge der aufsichtführenden Behörden holt mangelnde Hygiene früher oder später jeden Hersteller ein. Die Konsequenzen sind Betriebsschliessung, gar Insolvenz, sowie Reaktionen von Gesetzgeber und Verbrauchern. Das schlägt sich zum einen in strengeren Lebensmittelstandards nieder. Zum anderen ändert sich das Einkaufsverhalten von Verbrauchern, die höhere Qualität verlangen, also nicht allein auf den Preis achten. Dieses veränderte Marktumfeld fördert die Suche nach alternativen Produktionsmethoden. Natürlich hergestellte Biolebensmittel, die weitgehend auf Zusatzstoffe verzichten, sind nur ein

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Emmi Mittelland Molkerei in Suhr (Bild: Wikipedia)

kleiner Teil der Antwort. Bei industriell hergestellter Nahrung ist es der Einsatz von Reinraumtechnik, der Lebensmittelchemie überflüssig macht. Für immer mehr Produkte gibt es solche Lösungen. Einiges davon ist auf dem Weg zum Standard, wie im Folgenden gezeigt wird. Anderes hingegen hört sich sehr nach Zukunftsmusik an: Salat aus dem Reinraum (Vertical Farming), essbare Verpackungen, biologisch abbaubare Kunststoffe auf Basis von Milchproteinen, Nahrung in Pillenform. Reine Science-Fiction ist all das jedoch nicht mehr.

Lebensmittel werden von Menschen gemacht – auch in der Fabrik Frische, haltbare Speisen benötigen eigentlich keine Konservierungsstoffe. Um diese einzusparen, ohne dass die «Regallebensdauer» leidet, ist die Produktion umzustellen. Dabei gilt als neues oberstes Prinzip: Lebensmittel sind die ganze Zeit vor Keimen und Fremdstoffen zu schützen – im gesamten Verarbeitungsprozess von der Herstellung bis hin zum Verbraucher. Genau hier kommen die Erfahrungen der Reinraumtechniker ins Spiel. Sie haben bereits für andere Pro-

dukte Lösungen gefunden, um störende Partikel und Keime fernzuhalten. Verglichen mit den Reinheitsgraden in Mikrochip-Fabriken oder Operationssälen stellt die Lebensmittelbranche niedrigere Anforderungen. Auch wenn es weniger streng zugeht, hängt auch hier der Erfolg an einer hohen Personaldisziplin. Das ist schon deswegen der Fall, weil der Mensch selbst als grösste Keimschleuder zu betrachten ist. Unvermeidlich verbreitet er Schuppen von Haut und Haar, Staphylokokken (Hautbewohner), Entero- und E.-coli-Bakterien (Darmbewohner). Um diese Quelle in den Griff zu kriegen, sind Schulungen und Reinigungsroutinen nötig. Die Beschäftigten sind auch deswegen von zentraler Bedeutung, weil sie diejenigen sind, die die Oberflächen im Lebensmittelbetrieb reinigen. Reinraumtechnische Anlagen kontrollieren vor allem Luftströmungen und können hier nur bedingt helfen. Der starke Fokus auf die Reinigungsfähigkeit ist eine Besonderheit des Sektors «Food». Besonderes Augenmerk verdient zudem der starke Einfluss, den Schwankungen von Temperatur und Luftfeuchtigkeit auf die Produktqualität, haben. Hinzu kommt die enorme Vielfalt möglicher Konzepte, die im Folgenden vorgestellt werden. Ohne massgeschneiderte Lösungen gelingt nämlich nichts.

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Fleischzertrennraum einer Grossmetzgerei. (Bild: Adpics)

Je sauberer die Produktion, desto länger ist die Haltbarkeit Ziel des Einsatzes von Reinraumtechnik in Lebensmittelbetrieben ist es, Essen in der Verarbeitung gar nicht erst zu kontaminieren und es anschliessend sauber zu verpacken. Es geht also um den Schutz des Produkts. Grundlage für das Design der kontrollierten Produktionsbereiche sind AFMS: Approved Food Manifactoring Systems. Technisch betrachtet gehören dazu drei grundlegende Massnahmen: – Personal und Produkt sind durch Barrieren – etwa Luftströmungen – voneinander zu trennen. Hier kommen meist Folienbarrieren und FFU-Filtersysteme mit Kältespirale zum Einsatz (Clean Cloud System). Das heisst, von der Decke fällt gereinigte und gekühlte Luft auf die kritischen Bereiche. – Reinraumbereiche der nach ISO-Klassen und GMP sind dort einzurichten, wo das Produkt offen liegt. Die Klassen stehen für eine partikuläre (Partikel, …) und mikrobiologische (Schimmelpilze, Sporen, …) Luftreinheit je Kubikmeter. – Das sind etwa Schimmelpilze oder Sporen. Bei offenen Anlagen schützt eine Luftströmung das Produkt. Bei geschlossenen Anlagen wird es in einer abgetrennten Atmosphäre verarbeitet, die durch Überdruck von der Umgebung isoliert ist. Meist handelt es sich um kleinere isolierte Bereiche, sogenannte Mini-Environments. Sie haben sich in der Branche als offene Inselsysteme oder geschlossene Kabinenkonzepte bewährt und werden nach dem Reinraum-Standard GMP zertifiziert. – Innerhalb der Anlagen sind die wiederholte Reinigung und integrierte Dekontamination elementar. Wiederverkeimung muss verhindert werden, sonst verderben komplette Chargen. Zur Kontrolle stehen mit Mikrobiom-Analysen Verfahren zur Verfügung, die bislang unerreicht genaue Details über mikrobielle Belastungen in der Lebensmittelproduktion liefern. Wie das Produktionsdesign in der Praxis aussieht, hängt vom jeweiligen Lebensmittel ab. Die für Joghurt und Käse nötige Hygiene kann theoretisch jeder bei sich zu Hause herstellen. Im grossen Stil ist

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dafür aber Reinraumtechnik notwendig. Alle industriell gefertigten Milchprodukte entstammen einem Reinraum. Die Enzyme der Milchkulturen sind nämlich hochreaktiv. Wird in einem Raum Edamer und in einem anderen Camembert hergestellt, sollten sich die Käsekulturen nicht mischen. Die Bereiche sind abzutrennen, Maschinen gründlich zu reinigen. Mischen sich dort die Kulturen der für die Käseherstellung nötigen Bakterien und Pilze, beeinträchtigt das erheblich das Produkt. Passende Strömungstechnik verhindert zumindest die luftgestützte Eintragung fremder Substanzen. Die industrielle Herstellung von Brot ist anspruchsvoller, als man denkt. Das liegt – ähnlich auch bei der Wurstherstellung – an der Kaskade wechselnder Temperatur und Feuchte. Brot benötigt, nachdem es im Ofen gebacken wurde, drei verschiedene saubere Umgebungen, die jeweils andere Anforderungen stellen und entsprechend technisch umgesetzt werden. Aus dem heissen und damit keimunverdächtigen Ofen gelangt Brot zuerst in einen Kühltunnel. Dort bildet sich oft Schimmel, da dauerhaft ein feuchtes warmes Klima herrscht. Dann folgt die Schneidesektion. Wenn die Messer nicht regelmässig gründlich gereinigt werden, gelangen bei jedem Schnitt Bakterien hinein und die Saat fürs Verderben ist gelegt. Anschliessend kommen die Brotscheiben in die Verpackungseinheit. Für diesen Prozess die richtige Abstimmung zu finden, ist eine Herausforderung, an der manche Brotfabrik scheitert. Auch einfache technische Lösungen bringen viel, etwa wenn Backwaren auf Fliessbändern von Station zu Station transportiert werden und UV-Licht auf kostengünstige Art die nötige Keimabwehr sichert.

füllstation ist ein kleines, stark kontrolliertes Mini-Environment innerhalb eines grösseren, weniger streng ausgelegten Reinraums. Die Vorkehrungen sind dringend geboten. Stilles Wasser kippt nämlich um, wenn es nicht sauber in die Flaschen gefüllt und verschlossen wurde. Sprudelwasser wird durch sein Kohlendioxid konserviert. Kunststoffe sind bei vielen Lebensmitteln unverzichtbarer Teil der Verpackung. Ihre Verarbeitung geschieht zum grossen Teil in Reinräumen. Das gilt nicht nur für Hochleistungskunststoffe wie cycloolefinische Copolymere (COC), sondern auch Massenware wie PVC. So hilfreich Kunststoffe für die Lebensmittelsicherheit auch sind: Nach dem Gebrauch sind sie nichts als Müll. Dabei gibt es sinnvollere, wenn auch etwas teurere Lösungen. Bioresorbierbare Kunststoffe stehen gut erforscht in vielen Varianten bereit. Allein in der Schweiz sind mehrere Hersteller aktiv, darunter etwa Bioapply, Petroplast Vinore, Sukano und Swissgel. Nach Angaben des Schweizer Bundesamts für Umwelt (Bafu) gelangen Jahr für Jahr rund 3000 Tonnen biologisch abbaubare Verpackungsprodukte in Schweizer Haushalte, vor allem in Form von Boxen, Trinkbechern und Grünabfallsäcken. Allerdings bremst die Konkurrenz mit noch immer billigen Erdöl-Produkten die Verbreitung von Biokunststoffen weiterhin aus. Verpackungen werden noch immer nicht vom Ende her erdacht. Zwar können Biokunststoffe die Kosten der Verpackungsentsorgung langfristig verringern – nach Angaben eines Online-Portals für die Schweizer Kunststoffindustrie um etwa 1 Euro je Kilogramm gegenüber gängigen Kunststoffverpackungen.

Nicht zuletzt kommt es aufs saubere Verpacken an Fürs industrielle Verpacken von Lebensmitteln – eine Domäne gerade auch Schweizer Unternehmen – gibt es vor allem zwei Lösungen. Entweder deaktiviert ein unschädliches Gas die anhaftenden Keime oder das Produkt wird luftleer verpackt. Im ersten Fall, dem Modified Atmosphere Packaging (MAP), wird die Verpackung mit Stickstoff, Kohlendioxid oder Sauerstoff aufgeblasen und verkauft. In ihr herrscht eine Schutzatmosphäre. Das Gas hält den Reifeprozess an, aber nicht völlig. Wer beispielsweise eine Packung Wurst öffnet, findet die Spuren dieses Abwehrkampfs in Form von Schmiere an Händen und Folie. Nötig ist die vorherige Sterilisation der Verpackungen. PET-Flaschen kommen schon hochrein auf die Welt, da bei hohen Temperaturen gefertigt. Hier muss nur darauf geachtet werden, dass sie bis zur Abfüllung nicht verschmutzt werden. Säfte und Mineralwasser werden in räumlich getrennten Bereichen abgefüllt. Die Ab-

Keine Schweine im Reinraum Schlachtbetriebe sind Kühlhäuser, in denen Menschen körperlich hart arbeiten. Die Arbeitsumstände sind durch die Corona-Ausbrüche wie jene bei TönniesFleisch europaweit ins Bewusstsein gelangt. Weniger bekannt ist, dass man die Arbeitsplätze der Zerleger so gestalten kann, dass nicht nur das Fleisch vor Keimen geschützt wird, sondern auch die Mitarbeiter. Diese besondere Philosophie zeigt die Schweizer Firma Ernst Sutter in Gossau, Sankt Gallen-Winkeln. Auch bei der weiteren Fleischverarbeitung kommt Reinraumtechnik zum Einsatz. Man kann Tiere jedoch nicht im Reinraum züchten. Hier richten sich die Blicke eher auf alternative Formen der Proteingewinnung, besser bekannt als Fleisch aus dem Labor. Auch der Fleischersatz, zu dem Veganer greifen, ist hochgradig verarbeitet und kommt aus der sterilen Fabrik. Die Massentierhaltung auf engstem Raum bringt die Probleme mit sich, die Mäster standardmässig mit Medikamenten behandeln. Vielerorts wächst das Unbeha-

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gen über die Antibiotikabelastung von Nutztieren. Das nordrhein-westfälische Landesamt für Natur, Umwelt und Verbraucherschutz stellte 2011 für das deutsche Bundesland fest: 92 Prozent der gemästeten Hühner erhielten in den wenigen Wochen ihrer Lebenszeit Antibiotika – im Durchschnitt drei, manchmal sogar acht verschiedene Wirkstoffe. Der häufig prophylaktische Einsatz gilt als einer der Gründe für zunehmende Resistenzen. Aquakultur ohne Antibiotika Auch Fische, die in Aquakulturen grossgezogen werden, leiden unter Stress und Platzmangel. Das macht sie anfällig für Krankheiten und Verletzungen. Geschwächt sind sie zudem, weil sie auch dort gehalten werden, wo sie in der Natur nicht leben würden. Wie andere Tiermäster haben die Aquakulturbetreiber deswegen über viele Jahre Antibiotika mit dem Futter verabreicht. Was nicht gefressen wird, sinkt zu Boden. Unter den Fischfarmen sammelt sich Fäkalienschlamm, durchtränkt mit Antibiotika. Darin lebt, ausser antibiotikaresistenten Kulturen, nichts mehr. In der Fischzucht sind in den letzten Jahren jedoch grosse Fortschritte erreicht worden. Anstelle von Antibiotika erhalten viele Fische Impfungen. Die Lachsfarmen in Norwegen impfen seit 1987 und 1990

Industrielle Brotproduktion (Bild: Adpics)

gegen die zwei verbreitetsten Krankheiten Vibriose und Furunkulose. Darum hat sich die Antibiotikamenge – 1987 waren es 50 Tonnen, 2007 nur noch 1 Tonne – sehr stark verringert, trotz 85fach produzierter Fischmenge. Ganz darauf verzichten kann aber auch Marktführer Norwegen nicht. Das wäre aber möglich – mithilfe von Reinraumtechnik. Die Lösung besteht im Einsatz massgeschneiderter Impfstoffe, die in den Aquakulturen dosiert und gespritzt werden. Es handelt sich um ein Flüssigmedikament. Schwierig ist die Herstellung des Impfstoffs und dessen Zulassung. Das Prob-

lem: Es kann keinen einheitlichen Impfstoff für alle Züchtungen geben. Vielmehr braucht es jeweils nur kleine Mengen spezieller Substanzen für jede Aquakultur, Region und Fischart. Der Impfstoff variiert zudem mit dem Futter und der Lebensphase der wechselwarmen Tiere. Aufgrund der kleinen Mengen ist das kein lohnendes Geschäftsfeld für Pharmariesen. Aquakulturbetreiber müssten selbst für die Herstellung und Zulassung sorgen. Sie werden spätestens aktiv werden müssen, wenn Umweltgesetze die Antibiotikafütterung verbieten. Das wäre ein Schritt zur Renaturierung der Meere.

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Vertical Farming mit hydrotropisch ernährten Pflanzen. (Bild: Adpics)

Vor hohen hygienischen Herausforderungen stehen auch Aquakulturen, die nicht an Küsten oder fliessenden Gewässern, sondern an Land betrieben werden. So produziert die Firma Swiss Alpine Fish in Lostello (Graubünden) seit einigen Jahren Lachse. Dank abgeschotteter und streng kontrollierter Umgebungsbedingungen kann sie dabei auf Hormone und Antibiotika verzichten. Im Tropenhaus Frutigen im Berner Oberland werden gar Störe gezüchtet. In den Zuchtbecken von geschlossenen Kreislaufanlagen sorgen Filter dafür, dass Abwasser gereinigt und wieder eingeleitet werden kann. Für die Wassererneuerung in den Fischbecken sorgt nämlich nicht die Natur, anders als in Seen. Dort gibt die Wassererneuerungszeit an, wie viel Zeit vergeht, bis das gesamte Wasservolumen einmal ab- und zugeflossen, eine mögliche Belastung also gründlich verwässert ist. Beim Bodensee vergehen dafür 4,5 Jahre. Salat lokal: Gemüse wächst im Reinraum nebenan Über den modernen Gemüseanbau ist den Verbrauchern wenig bekannt. Landläufigen Vorstellungen nach wachsen Pflanzen nur auf Äckern oder im Gewächshaus in der Erde. Doch die nutzbare Fläche für die Landwirtschaft wird kleiner. Durch Monokulturen, Einsatz von Chemikalien, Überweidung und Versiegelung geht fruchtbarer Boden verloren. Dürreperioden führen zu unterdurchschnittlichen Ernteerträgen. Landwirtschaft verbraucht viel Wasser und ist für 30 Prozent der globalen CO2-Emissionen verantwortlich. Zwischen Anbau und Verzehr liegen weite Strecken, entsprechend transportintensiv ist die Logistik. Darum hat die Suche nach Alternativen begonnen. In hochtechnisierten Gewächshäusern, wie sie in den Niederlanden zu finden sind, wachsen viele Pflanzen gar nicht mehr im Boden, sondern auf einem Substrat oder in Nährlösung. Der künstli-

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che Untergrund verringert den Kontakt zu Krankheitserregern und Schädlingen. Einen konsequenten Schritt weiter gehen kompakte, fensterlose Gewächshäuser, die unter «Vertical Farming» zusammengefasst werden. Ob Licht, Feuchte, Nährstoffzufuhr, Temperatur: Die Einrichtungen bieten eine komplett kontrollierte Umgebung und ideale Wachstumsbedingungen. Es gibt keine fremdbiologische Eintragung, Pestizideinsatz wird überflüssig. Jahreszeitenunabhängig nah am Verbraucher produzierend, entfallen lange Anfahrtswege. Betreiber werben damit, ihre Kosten seien unterm Strich nur wenig höher als beim Freilandanbau. Der Absatz von Gewächshäusern wächst jährlich um 8 Prozent – der von Vertical Farms gar um 30 Prozent. Je nach Anbautechnik unterscheidet sich das Innere von Vertical Farms: – Hydroponics ist die älteste und verbreitetste Anbaumethode. Die Pflanzenwurzeln hängen in einer Nährlösung. – Aeroponics kommt ohne Wasserbecken aus. Frei in der Luft hängende Wurzeln ziehen aus einem Sprühnebel Wasser und Nährstoffe. Samen werden in Trays gesetzt, das sind Behälter mit einer mineralhaltigen Knochenstruktur. Die Trays durchlaufen auf einer Art dreidimensionalem Fliessband verschiedene Klimaund Lichtzonen. Auch Tag und Nacht wird simuliert. Die Methode, an der auch die US-Raumfahrtagentur Nasa forscht, lässt Pflanzen schneller wachsen als in Hydroponics-Kultur und verbraucht auch viel weniger Wasser. – Aquaponics ist eine Kombination aus Gewächshaus und Aquakultur. Wurzeln hängen in einem Wasserbecken, in dem Fische schwimmen. Ausscheidungen dienen als Nährstoff. Eine Reihe von Anbietern ist in dem Markt aktiv. Manche bauen alte Werkhallen oder Bürogebäude zu Indoor-Gewächshäusern um, andere rüsten 40-Fuss-Schiffscontainer um. Mit dem Modul Shellbe gibt es

eine weitere Option. Dieses mobile, zerlegbare Modul hat das Adriatic Institute of Technology (AIT) im italienischen Ancona mit Unterstützung von Dittel Engineering aus Schlehdorf/Bayern entwickelt. Ursprünglich für den Krankenhaussektor als Labor, OP-Saal oder Krankenstation vorgesehen, kam der Erstkunde im Jahr 2020 aus der israelischen Vertical-Farming-Szene. Er will in drei Modulen mit je etwa 40 qm Salate anbauen. Ob für Mensa, Kantine oder Schnellrestaurant: Wo immer viel frischer Salat gebraucht wird, könnte mithilfe solch eines Moduls produziert werden. Reinraum-Gewächshäuser sind nicht nur aus lokaler Perspektive sinnvoll. Gerade mit Blick auf die Welternährung sind sie eine echte Option. Die Golfstaaten auf der arabischen Halbinsel beispielsweise stellen mit Ausnahme von Nüssen und Pistazien fast kein Lebensmittel selbst her. Weniger als ein Prozent der Fläche der Vereinigten Arabischen Emirate (VAE) ist für die landwirtschaftliche Produktion geeignet. Der Wüstenstaat importiert 80 Prozent seiner Lebensmittel aus dem Ausland. Die Lösung, in die am Golf und in Ballungszentren wie New York oder Singapur massiv investiert wird, sind Vertical Farms. Den Vorteilen dieser Anbautechnologie stehen auch Nachteile gegenüber. Es lassen sich nicht alle Nutzpflanzen anbauen. Fremdbestäubung lässt sich nur manuell bewerkstelligen, das heisst mit hohem Aufwand. Als grösstes Hindernis gelten die hohen Energiekosten, die sich aus der Beleuchtung ergeben, sowie Wartungskosten. Gab es anfangs in der Szene viele Experimente und Eigenbau, gibt es nun erste Anfänge von Standardisierung. Die Stossrichtung ist klar: mehr Automatisierung und weniger Energieverbrauch bei der Beleuchtung durch immer effizientere LEDs und Nutzung von Solarenergie. Die Vorstellung, dass gesunde, unbelastete Lebensmittel nur vom Bauernhof, nicht aber aus einer hochtechnisierten Umgebung stammen können, mag sich bei vielen Verbrauchern halten. Sie ist jedoch überholt, wie die Beispiele aus der Lebensmittelbranche zeigen. Die Ideen von heiler Welt und Reinraumtechnik gehören längst zusammen. Die technologischen Lösungen helfen uns beim schonenden Umgang mit den knappen Ressourcen unseres Planeten. Autor: Dr. Gernod Dittel Weitere Informationen Dr. phil. Gernod Dittel Dittel Engineering GmbH An der Breiten 1 D-82444 Schlehdorf +49 8851 61 59 0 0 g.dittel@dittel-ce.de www.dittel-engineering.de

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fachartikel

Hygiene im Spannungsfeld zwischen Kosten und Nutzen

Die Weichen werden früh gestellt Auf dem Weg zur hygienischen, rationell produzierenden Fabrik müssen wichtige Entscheidungen bereits in einem frühen Planungsstadium getroffen werden, idealerweise bereits bei der Erstellung des Masterplans. In dieser ersten Planungsphase spielt die saubere Auslegung der Hauptmaterialflüsse eine zentrale Rolle, denn eine spätere Korrektur dieser ist aufwändig und verursacht unnötige Kosten. Eine weitere grosse Herausforderung besteht darin, die Anpassungsfähigkeit des Areals und des Gebäudes im Hinblick auf zukünftige neue Nutzungen zu gewährleisten. Dies, ohne das primäre Ziel von sauberen Materialflüssen und effizienten Verarbeitungsabläufen aus den Augen zu verlieren. Die Planung einer Lebensmittelfabrik geht zum einen von produktionsspezifischen Faktoren aus. Zu diesen zählen beispielsweise die geforderte Produktionskapazität, die anzuwendenden Technologien

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Hauptflüsse Waren sauber Waren schmutzig Abfall

Erweiterung Produktion 1 Backbone

Konsumenten wünschen sich frische, hygienisch einwandfreie Produkte, die vorzugsweise ohne Konservierungsmittel über eine gewisse Zeit haltbar sind. Mehr bezahlen wollen sie dafür allerdings nicht. Der konstruktive Umgang mit diesem Widerspruch beginnt bereits bei der Planung der Lebensmittelfabrik. Es gilt, die strengen gesetzlichen Hygienevorschriften mit effizient ausgelegten Prozessen in Einklang bringen. Die Kosten für erhöhte Hygieneanforderungen müssen durch Ausschöpfung von Sparpotenzial bei der Betriebsplanung oder durch Steigerung der Wertschöpfung aus der Produktion kompensiert werden. Die Schlüsselfragen, mit denen sich die Planung auseinandersetzen muss, lauten: Wie viel Hygiene braucht es in welchen Produktionsbereichen, wie lassen sich die Hygiene-Prozesse optimieren, und in welchen Bereichen bringt Hygiene neben der gesetzlichen Mindestanforderung wirklich einen Mehrwert?

Schmutzzone Zonentrennung

Lebensmittelhersteller bewegen sich mehr denn je im Spannungsfeld zwischen den zunehmenden Anforderungen an die Produktsicherheit und dem wirtschaftlichen Anspruch, so effizient und kostengünstig wie möglich zu produzieren. Die Planung einer Lebensmittelfabrik muss darauf abzielen, diese Gegensätzlichkeit zu vereinen.

Logistik

Produktion 2 Erweiterung

Produktion 3 Zukunft

Logistik Zukunft Produktion 4 Zukunft

Beispiel eines Masterplanes basierend auf «sauberen» Flüssen. Die «schmutzige» Rohware wird möglichst bald nach ihrem Eintreffen und nah am Wareneingang hygienisiert und der Abfall auf möglichst kurzen Wegen entsorgt. So viel Hygiene wie nötig, so viel Effizienz wie möglich. (Bilder: IE Food)

sowie Mengengerüste. Auf der anderen Seite muss sie sich an den gesetzlichen Hygienevorschriften und an den Anforde-

rungen des Handels orientieren. Wichtig für die Handelspartner sind beispielsweise die Verlängerung der Haltbarkeit und der Erhalt der Frische ohne Zusatzstoffe. Am Anfang der Entwicklung des Hygienekonzepts steht die Unterteilung der Produktion in verschiedene Hygienezonen. In der Lebensmittelindustrie erfordern die hohe Diversität und die unterschiedliche Gefährdung der Fertigprodukte eine spezifische Betrachtungsweise bei der Festlegung der Hygienezonen. Grundlage bildet eine individuelle Risikoanalyse des Herstellungsprozesses und das Resultat ist eine auf den jeweiligen Betrieb zugeschnittene optimale Lösung. Im Zusammenhang mit der Einteilung in Hygienezonen kommen auch die Material- und Personenflüsse ins Spiel. Deren Führung ergibt sich aus einer durchdachten, logischen Anordnung der einzelnen Funktionsbereiche. Ein intelligent konzipiertes Betriebslayout ermöglicht eine saubere Trennung der mit unterschiedlichen Hygieneanforderungen belegten Zonen, ohne dass sich der spätere Be-

Prozessoptimierung Rüsten

Hygienekonzept

Produktionsprozess Müller Gemüse AG

Hotel Cuisine

Lager VPM

Schälen

Waschen Schneiden

Kochen optional

Wiegen

Verpacken

Palettieren

Palettieren

Rüsterei Schälen/ Rüsten

Lager Gefahrstoffe

Abfall HF-Lager 4 °C

geschälte Kartoffeln

Lager Gebinde

Atir Vorrüsten

Lager 4 °C

GSP Schneiden

Mischen Wiegen

Waschen

Schleudern

Rüsten

Schneiden

Waschen

Schleudern

Wiegen

Mischen optional

Nilma

Rüsten

Schneiden

Waschen

Früchte Lager 8-12 °C

Wiegen

Verpacken

Wiegen YAMATO 30

Verpacken

Wiegen YAMATO 20

Verpacken

Wiegen YAMATO 10

Verpacken

Ultra

Waschen

Schleudern

Lager 4 °C

Palettieren

Kommissio nieren

Palettieren

Kommissio nieren

Wiegen

Wiegen manuell Schälen

Schalen einlegen

Schneiden

Verpacken

Etikettieren

Wiegen autom.

Funktionsdiagramm

Fabrikkonzept

Ein durchdachtes Hygienekonzept als essenzielle Grundlage für eine saubere und effiziente Fabrik.

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triebsaufwand beim Material- und Personenverkehr negativ auf die Rentabilität auswirkt. Es ist anzustreben, dass die Hygieneanforderungen auf effiziente Art und Weise erfüllt werden. Wegleitend ist das Prinzip, so viel Hygiene wie nötig, ohne Beeinträchtigung der Produktivität. Ein logisch aufgebautes Funktionslayout ist die essenzielle Grundlage für eine saubere und effiziente Fabrik. Auf ein passendes Betriebsklima kommt es an Das logisch aufgebaute Betriebslayout mit dem durchdachten Zonenkonzept ist ein erstes Ergebnis der Planung. Beim hygienischen Produktionsbetrieb spielt aber auch das Prozessumfeld als Schnittstelle zwischen dem Prozess und dem Gebäude eine wichtige Rolle. Dabei geht es weniger um die Gebäudehülle und die baulichen Einrichtungen als vielmehr um Raumkonditionen und weitere Faktoren, die sich direkt oder indirekt auf die saubere Produktion und auf die Betriebskosten auswirken. Besondere Aufmerksamkeit im hygienischen Betrieb verdient die Lüftung, denn diese wirkt sich massgeblich auf Lufttemperatur, Luftreinheit, Luftfeuchtigkeit und Strömungsmuster aus. Die richtige Luftführung innerhalb und über den Hygienezonen sowie die gezielte Anpassung des Luftdrucks in den unterschiedlichen Bereichen vermindern das Kontaminationsrisiko. Zu berücksichtigen sind neben den klimatischen Bedingungen auch Kontamina­ tionsrisiken wie sie beispielsweise durch das im sensiblen Bereich der Produktion arbeitende Personal entstehen können. Die strikte Trennung von Personen- und Materialflüssen und sinnvoll integrierte Schleusenkonzepte sind Grundvoraussetzungen für die saubere Produktion.

Im Bereich der verpackten Produkte können auch für sensible Produkte die Umgebungsanforderungen gesenkt werden.

Gebäudetechnik von Anfang an mitgedacht Generell ist die sorgfältig geplante Gebäudetechnik ein essenzieller Bestandteil funktionierender Zonenkonzepte. Vor allem bei hoch installierten Betrieben sollte der gebäudetechnische Bedarf möglichst frühzeitig in die Planung einfliessen, um spätere Konflikte mit anderen betrieblichen Anforderungen zu vermeiden. Zu bedenken ist, dass gebäudetechnische Installationen gereinigt und gewartet werden müssen. Es empfiehlt sich also, genügend Freiraum einzuplanen. In Produktionsbetrieben, die strengen hygienischen Anforderungen unterliegen, ist die Planung einer über der Produktion liegende Installationsebene für gebäudetechnische Anlagen eine Option. Bei mehrstöckigen Gebäuden ist eine solche Lösung aller-

Die Anforderungen und Bedürfnisse der Gebäudetechnik müssen früh in die Planung mit einbezogen werden, damit die Installationen sauber ausgeführt werden können.

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dings aufwändig und entsprechend kostspielig. Die Investition muss sich also in Form von Effizienzgewinn und/oder Verbesserung der Produktionssicherheit auszahlen. Der Teufel steckt im Detail Die Erfüllung spezifischer Hygienekriterien hat ihren Preis. Wie hoch dieser ist, hängt in hohem Mass von baulichen und gebäudetechnischen Details ab. Werden diese mit der gebührenden Aufmerksamkeit bearbeitet, können die Investitionskosten für das Projekt erheblich gesenkt und mögliche Folgekosten im Betrieb vermieden werden. Vorausschauend planen bedeutet, am richtigen Ort das Richtige zu tun. Es gibt eine Vielzahl von Vorschriften für das Hygienic Design von Produktionsanlagen, da diese produktberührend sind. Weniger klar geregelt ist der Kontakt offener Produkte mit der Raumumgebung. Umso wichtiger ist bei diesem Aspekt die Erfahrung des spezialisierten Planers. Aus hygienischer Sicht kritisch sind beispielsweise Materialwahl und Materialübergänge, schwer zugängliche Winkel, Türen, Tore und Fenster oder waagrechte Flächen, auf denen sich Staub ablagern kann. Dass im Zusammenhang mit dem Prozessumfeld jedes Detail zählt, sei am Beispiel des Bodens und der Bodenabläufe aufgezeigt. In Fabrikationsbetrieben sind Böden hohen mechanischen und chemischen Belastungen ausgesetzt. Auf der mechanischen Seite sind es vor allem Punktlasten sowie Transport- und Fördermittel (zum Beispiel Hubstapler), die den Böden enorm zusetzen können. Auf der chemischen Seite können aggressive Reinigungsmittel zu Schädigungen der Versiegelung führen. Bodenreparaturen sind umständlich und können unter Umständen

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Produktionsunterbrüche verursachen. Die Wahl des Materials für den Bodenbalg muss also umsichtig und stets mit Blick auf die Nutzung des jeweiligen Raums getroffen werden. Im Fabrikbau für die Lebensmittelindustrie werden Beläge aus Epoxy oder Polyurethan priorisiert. Polyurethan ist belastbarer, aber auch teurer. Es muss also fallweise abgewogen werden, welche Materialisierung für welchen Produktionsbereich angemessen ist. Die Tücken der Bodenabläufe Ein Kapitel für sich sind die Bodenabläufe, die in der Lebensmittelindustrie oft starken Temperaturschwankungen standhalten müssen. Es liegt deshalb nahe, Abläufe aus Chromstahl einzusetzen. Allerdings können sich Chromstahlabläufe aus hygienischer Sicht als problematisch erweisen, wenn die Abläufe in reine Epoxyböden eingelassen werden, denn Stahl und Epoxy dehnen sich unterschiedlich stark aus. Mit der Zeit können im Epoxy-Belag Risse entstehen, in denen sich Keime ansiedeln. Das Problem kann gar nicht erst entstehen, wenn dem Epoxy bei der Aufberei-

IHR PARTNER IM REINRAUM

tung des Belags eine gewisse Menge Polyurethan beigemengt wird. Dadurch steigert sich die Dehnbarkeit des Mate­ rials, was spätere Schäden ausschliesst. Bei Abläufen aus Edelstahl besteht die Gefahr, dass bei der Reinigung der umliegende Bodenbelag durch unsachgemässen Umgang mit der schweren Gitterabdeckung mechanisch beschädigt (verbogen) wird. Abplatzungen der obersten Bodensiegelschicht können zu Brutstätten von Mikroorganismen werden. Um dies zu vermeiden, kann anstelle eines Edelstahldeckels eine leichter zu handhabende Kunststoffabdeckung mit gleicher/höherer Festigkeit und gleichem Durchlassvermögen zum Einsatz kommen.

Planung einfliessen, lässt sich das Projekt «sauber» durchziehen. Es ist unabdingbar, dass neben den klassischen Kompetenzen der Fabrikplanung wie Anlagenbau, Architektur, Bauphysik, Statik oder Gebäudetechnik auch die Lebensmittelsicherheit das ihr gebührende Gewicht erhält. Die Qualitätssicherung muss von Anfang an ein Puzzleteil der Gesamtplanung sein. So kann sichergestellt werden, dass das Hygienic Design von Lebensmittelfabriken den gewünschten Nutzen bei nur so viel Kosten wie nötig bringt.

Gesamtheitlich geplant ist halb gewonnen Das zentrale Ziel einer hygienisch einwandfreien und gleichzeitig effizienten und kostengünstigen Produktion muss sich in der Zusammensetzung des Projektteams widerspiegeln. Nur wenn alle relevanten Aspekte von Beginn weg in die

Weitere Informationen IE Industrial Engineering Zürich AG Rainer Pirkelmann Marketing & Kommunikation Wiesenstrasse 7 CH-8008 Zürich r.pirkelmann@ie-group.com www.ie-group.com

Autor: Rainer Pirkelmann, Dipl.-Ing. Lebensmitteltechnologie, IE Food Engineering, Zürich

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fachartikel

Feinstaub ist gefährlicher als gedacht Forschende des Paul Scherrer Instituts PSI haben erstmals die fotochemischen Vorgänge im Innern kleinster Partikel in der Luft beobachtet. Dabei entdeckten sie, dass sich in diesen Aerosolen unter alltäglichen Bedingungen zusätzliche Sauerstoffradikale bilden, die der menschlichen Gesundheit schaden können. Über ihre Ergebnisse berichten sie heute im Fachjournal Nature Communications.

Dass Feinstaub die Gesundheit gefährden kann, ist bekannt. Die Partikel mit einem maximalen Durchmesser von 10 Mikrometern können tief ins Lungengewebe vordringen und sich dort festsetzen. Sie enthalten reaktive Sauerstoffverbindungen (ROS), auch «Sauerstoffradikale» genannt, die die Zellen der Lunge schädigen können. Je mehr Partikel in der Luft schweben, desto höher das Risiko. Die Partikel gelangen zwar auch aus natürlichen Quellen wie Wäldern oder Vulkanen in die Luft. Doch menschliche Aktivitäten, beispielsweise in Fabriken und Verkehr, vervielfachen die Menge, sodass bedenkliche Konzentrationen erreicht werden. Das Potenzial des Feinstaubs, Sauerstoffradikale in die Lunge zu bringen oder dort zu erzeugen, ist für verschiedene Quellen bereits untersucht worden. Die PSI-Forschenden haben dazu nun wichtige neue Erkenntnisse gewonnen.

Die bisherige Forschung hat gezeigt, dass einige ROS im Körper des Menschen entstehen, wenn der Feinstaub sich in der Oberflächenflüssigkeit der Atemwege auflöst. Feinstaub enthält in der Regel chemische Bestandteile, etwa Metalle wie Kupfer und Eisen sowie bestimmte organische Verbindungen. Diese tauschen mit anderen Molekülen Sauerstoffatome aus und es entstehen sehr reaktionsfreudige Verbindungen wie Wasserstoffperoxid (H2O2), Hydroxyl (HO) oder Hydroperoxyl (HO2), die so genannten oxidativen Stress verursachen. So greifen sie zum Beispiel die ungesättigten Fettsäuren im Körper an, die dann nicht mehr als Bausteine der Zellen dienen können. Auf solche Vorgänge führen Mediziner Lungenentzündungen, Asthma und diverse andere Atemwegserkrankungen zurück. Selbst Krebs könnte ausgelöst werden, da die ROS auch die Erbsubstanz DNA schädigen können.

Peter Aaron Alpert analysiert die Vorgänge in feinsten Partikeln in der Luft. Bereits in der Atmosphäre bilden sich darin gesundheitsschädliche Substanzen, nicht erst im menschlichen Körper. (Bild: PSI/Markus Fischer)

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Neue Erkenntnisse dank einmaliger Gerätekombination Seit einiger Zeit ist bekannt, dass gewisse ROS-Spezies auch bereits im Feinstaub der Atmosphäre vorliegen und als sogenannte exogene ROS über die Atemluft in unseren Körper gelangen, ohne dass sie sich dort erst bilden müssen. Wie sich nun herausstellt, hat man dabei noch nicht genau genug hingesehen: «Bisherige Studien haben mit Massenspektometern analysiert, woraus Feinstaub besteht», erklärt Peter Aaron Alpert, Erstautor der neuen PSI-Studie. «Dabei erhält man aber keine Informationen über die Struktur der einzelnen Partikel und darüber, was in ihrem Inneren vorgeht.» Alpert dagegen nutzte die Möglichkeiten des PSI für einen präziseren Blick: «Mit dem brillanten Röntgenlicht der Synchro­ tron Lichtquelle Schweiz SLS konnten wir solche Partikel nicht nur einzeln mit einer Auflösung von unter einem Mikrometer betrachten, sondern sogar in sie hineinschauen, während Reaktionen darin ablaufen.» Dazu verwendete er auch eine neuartige, am PSI entwickelte Zelle, in der sich verschiedenste atmosphärische Umweltbedingungen simulieren lassen. Sie kann Temperatur, Feuchte sowie Gasexposition genau regulieren und eine UV-LEDLichtquelle ahmt die Sonneneinstrahlung nach. «Diese Kombination – hochauflösendes Röntgenmikroskop und Zelle – gibt es nur einmal auf der Welt», sagt Alpert. Die Studie sei deshalb nur am PSI möglich gewesen. Eng zusammengearbeitet hat er dafür mit dem Leiter der Gruppe Oberflächenchemie am PSI, Markus Ammann. Unterstützt haben ihn ausserdem Forschende um die Atmosphärenchemiker Ulrich Krieger und Thomas Peter an der ETH Zürich, wo zusätzliche Experimente mit in der Schwebe gehaltenen Partikeln gemacht wurden, sowie Experten um Hartmut Hermann vom Leibniz-Institut für Troposphärenforschung in Leipzig.

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Wie sich gefährliche Verbindungen bilden Die Forschenden untersuchten Partikel mit organischen Bestandteilen und Eisen. Das Eisen stammt aus natürlichen Quellen wie Wüstenstaub oder Vulkanasche, ist aber auch in Emissionen von Industrie und Verkehr enthalten. Die organischen Bestandteile resultieren ebenfalls aus natürlichen und menschgemachten Quellen. In der Atmosphäre verbinden sich diese Bestandteile zu Eisenkomplexen, die dann unter Sonneneinstrahlung zu sogenannten Radikalen reagieren. Diese wiederum binden allen verfügbaren Sauerstoff und produzieren so die ROS. Normalerweise würde ein grösserer Teil dieser ROS in der Wärme der Sonne aus den Partikeln in die Luft diffundieren und keine Gefahr mehr bedeuten, wenn wir die Partikel einatmen, die dann weniger ROS enthalten. Stimmen die Bedingungen, reichern sich die Radikale jedoch im Inneren der Partikel an und verbrauchen dort binnen Sekunden den gesamten verfügbaren Sauerstoff. Und das liegt an der sogenannten Viskosität: Feinstaub kann fest wie Stein oder flüssig wie Wasser sein – aber je nach Temperatur und Feuchte auch zähflüssig wie Sirup, Kaugummi oder Schweizer Kräuterzucker. «Dieser Zustand des Partikels, so haben wir fest-

gestellt, sorgt dafür, dass die ROS im Partikel gefangenbleiben», sagt Alpert. Und von aussen gelangt auch kein zusätzlicher Sauerstoff hinein. Besonders erschreckend ist, dass sich durch das Zusammenspiel von Eisen und organischen Verbindungen die höchsten Konzentrationen der ROS bei alltäglichen Wetterbedingungen bilden: bei mittlerer Luftfeuchte von 50 Prozent und Temperaturen um die 20 Grad, wie sie etwa in Räumen herrschen. «Früher dachte man, dass ROS in der Luft – wenn überhaupt – nur dann entstehen, wenn die Feinstaubteilchen vergleichsweise seltene Verbindungen wie Chinone enthalten», sagt Alpert. Das sind oxidierte Phenole, die etwa in Farbstoffen von Pflanzen und Pilzen vorkommen. Seit Kurzem ist klar, dass viele weitere ROS-Quellen im Feinstaub vorhanden sind. «Wie wir nun feststellten, können diese bekannten ROS-Quellen unter völlig alltäglichen Bedingungen deutlich verstärkt werden.» Etwa jedes zwanzigste Partikel ist organisch und enthält Eisen. Doch damit nicht genug: «Wir gehen davon aus, dass die gleichen fotochemischen Reaktionen auch in anderen Feinstaubpartikeln ablaufen», sagt Forschungsgruppenleiter Markus Ammann. «Wir vermuten sogar, dass nahezu alle Schwebeteilchen

in der Luft auf diese Weise zusätzliche Radikale ausbilden», ergänzt Alpert. «Wenn sich dies in weiteren Studien bestätigt, müssen wir dringend unsere Modelle und Grenzwerte bezüglich der Luftqualität anpassen. Womöglich haben wir hier einen zusätzlichen Faktor dafür gefunden, dass so viele Menschen scheinbar ohne konkreten Anlass an Atemwegserkrankungen oder Krebs erkranken.» Immerhin haben die ROS – zumal in Zeiten der Covid-19-Pandemie – auch ihr Gutes, wie die Studie ebenfalls nahelegt: Sie greifen auch Bakterien, Viren und andere Pathogene an, die auf den Aerosolen sitzen, und machen diese unschädlich. Dieser Zusammenhang könnte erklären, warum das Sars-CoV-2-Virus in der Luft bei Raumtemperatur und mittlerer Feuchte am kürzesten überlebt. Autor: Jan Berndorff

Weitere Informationen Paul Scherrer Institut Dr. Mirjam van Daalen Forschungsstrasse 111 CH-5232 Villigen mirjam.vandaalen@psi.ch www.psi.ch

Die Reduktion von Bakterien in der Luft bedeutet auch gleichzeitig weniger Infektionen

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kundenprojekt

Des solutions contre les différents risques microbiens et chimiques Nous passons 90 % de notre temps à l’intérieur et 9 heures chaque jour à partager cet espace avec d’autres personnes mais nous ne prêtons pas encore suffisamment d’importance à l’air que nous respirons. Pourtant l’air intérieur est jusqu’à 5 fois plus pollué que l’air extérieur selon l’analyse de L’EPA (Environmental Protection Agency – USA) par le biais de l’IEMB (Indoor Environment Management Branch) qui a comparé les niveaux de concentration de nombreux polluants de l’air dans l’environnement intérieur et extérieur et notre exposition à ceux-ci. La qualité de notre vie dépend strictement de la qualité de l’air que nous respirons. Les activités courantes telles que la cuisine, le chauffage, le tabagisme, le nettoyage, libèrent des gaz et des particules dans l’air, dont beaucoup sont potentiellement nocives pour l’homme. Pour exemple le formaldéhyde qui se dégage des matériaux de construction, des revêtements et des isolations et peut donc être trouvé dans n’importe quels locaux. Mais que trouve-t-on réellement dans notre air intérieur? Outre les particules fines comme les poussières, on retrouve des gaz, des micro-organismes, des virus, des bactéries et des microbes. Mais aussi divers allergènes tels que pollens ou moisissures, des composés organiques volatils (COV) issus des produits d’entretien, du mobilier et des matériels électroniques, des microparticules générées par la circulation automobile et des mauvaises odeurs (fumée de tabac, cuisson des aliments . . .). Toutes ces substances qui restent en suspension dans l’air (jusqu’à ce qu’elles se déposent sur les surfaces et les objets) augmentent le risque de contamination entre les personnes tels que rhume, grippe, autres virus volatils et représentent un risque encore plus important pour les personnes déjà sensibles au niveau respiratoires (personnes atteintes de BPCO, asthme, allergies, etc.). En cette période de crise sanitaire, de plus en plus d’organismes de santé et de défenseurs scientifiques des «bâtiments sains» recommandent l’installation de purificateurs d’air pour la protection de tous. En effet en plus du lavage des mains et du port du masque, l’installation de purificateurs d’air dans les locaux ou dans les installations de ventilation, contribue à

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Purification d’un bureau grâce à l’Aéramax AMIII avec afficheur. (Source: RES Préverenges)

débarrasser l’air des germes, des microbes et des virus nuisibles (comme le SRAS-Cov-2). La solution purificateur d’air dans les locaux. Dans tout type de locaux il n’est pas toujours facile d’aérer correctement les espaces communs (salle d’attente, salle de soins, chambre . . .). Un purificateur d’air permet de compléter efficacement les dispositifs d’hygiène. Selon l’INRS, seuls les épurateurs équipés de filtre Hepa de niveau H13 minimum, peuvent lutter efficacement contre la Covid-19. Fellowes AeraMax Pro propose une solution durable et sans danger grâce à un véritable systèmes de filtration Hepa H14 qui nettoient l’air des polluants environnants, sans avoir recourt à des solutions chimiques ou toxiques.

Ce procédé s’avère efficace pour lutter contre la propagation des maladies saisonnières, telles que grippe, gastroentérite, rhume, en diminuant les risques d’exposition et de transmissions de ces maladies dans les environnements sensibles ou dans des zones déjà chargées en pollution divers. Ces purificateurs d’air assainissent l’air en quatre étapes. Le préfiltre capture les grosses particules et présente une couche visible de poussière après quelques semaines. Le filtre de Charbon actif élimine les odeurs désagréables et les émissions chimiques toxiques (COV). Le filtre Hepa H14 est conçu pour capturer jusqu’à 99,97 % les particules de 0,3 microns, les bactéries, les virus, les microbes, les allergènes. Il est même certifiés pour l’élimination entre autres de la grippe H1N1, du Coronavirus 229E, des staphylocoques

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La technologie Dust-Free imite et reproduit ce qui se passe dans la nature grâce à la photocatalyse. (Source: Dust Free)

Les modules Dust-Free peuvent être installés dans n’importe quel système CVC, gaines, plénum. (Source: Dust Free)

dorés à et des Aspergillus Fumigatus à 99,9 % mais également des norovirus à 98,5 %. L’Escherichia coli ou encore l’Aspergillus Niger font partie de cette liste. Enfin les purificateurs Fellowes AeraMax Pro diffusent des ions positifs et négatifs qui s’accrochent aux particules restantes, facilitant leur capture dans les filtres et utilise la technologie intuitive «Enviro­ Smart» qui optimise la consommation d’énergie et permet ainsi d’utiliser les filtres plus longtemps sans nuisances sonores. La solution purificateur d’air dans les gaines. La purification de l’air ne concerne pas uniquement celle contenu dans les locaux que nous occupons. Les installation aérauliques permettant l’apport, le renouvellement et le traitement de l’air que nous respirons n’est pas épargné par les diverses contaminations. Des systèmes de purification existe et permettent de traiter l’air au plus proche des installations de bases. Les modules de purification Dust-Free utilise la technologie PCO, mieux connue sous le nom d’oxydation photo-catalytique. Cette technologie à été développée pour imiter et reproduire ce qui se passe dans la nature grâce à la photocatalyse: un processus qui, grâce à l’action combinée des rayons UV du soleil, de l’humidité présente

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dans l’air et de certains métaux nobles naturels, génère des radicaux hydroxyles et des molécules de peroxyde d’hydrogène capables de détruire la plupart des substances polluantes et toxiques. Les modules, investis par le flux d’air, exploitent l’action combinée des rayons UV produits par une lampe à haute intensité et une structure de catalyseur constituée d’un alliage métallique (principalement de dioxydedetitane TiO2 et d’autres métaux nobles dans une moindre mesure) avec une matrice en nid d’abeille. L’air chargé d’humidité (H2O) traverse le module Dust-Free, donnant lieu à une réaction d’oxydation photochimique. L’atome d’oxygène (O) se lie à l’hydrogène préexistant et à l’oxygène de l’humidité de l’air (H2O). Le peroxyde d’hydrogène (H2O2) ainsi créé (en quantités minimales, ne dépassant pas 0,02 ppm) et les radicaux hydroxyles (•OH) sont diffusés et entraînés par le flux d’air. La réaction photochimique générée par PCO de Dust-Free permet donc de détruire grâce à son principe actif naturel la charge microbienne et les substances polluantes, particulièrement les odeurs, les bactéries, les virus et moisissures. Il en résulte un assainissement en continue, efficace et sûre, à la fois sur les surfaces des conduits, dans l’air ambiant et par contact sur les surfaces des locaux traitées. Auteur: Stéphane Blanc D’autres informations: Stéphane Blanc Romande Energie Services SA Resp. Dpt Salles blanches Avenue de la Gare 22 CH-1028 Préverenges +41 21 989 15 51 stephane.blanc@romande-energie.ch www.romande-energie.ch

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Pulsierender Strahl hinterlässt keine Flecken Bei der Reinigung unterschiedlichster Bauteile hat sich die quattroclean-Schneestrahltechnologie als Verfahren etabliert. Eine neu entwickelte Zweistoff-Ringdüse für einen pulsierenden Strahl ermöglicht es, bei der CO2 -Reinigung weitere wirtschaftliche und technische Vorteile zu realisieren. Die Bauteilreinigung ist heute in allen Industriebereichen essenzieller Bestandteil einer qualitätsorientierten Fertigung. Die zu erfüllenden Sauberkeitsspezifikationen variieren zwar abhängig von Produkt, der Fertigungsphase und dem nächsten Schritt in der Produktionskette, beispielsweise Beschichten, Fügen, Montieren oder Verpacken. Der Trend geht unabhängig davon zunehmend zu trocknen Reinigungsverfahren, die wie die quattrocleanSchneestrahltechnologie der acp systems AG prozesssicher bedarfsgerechte Reinigungsergebnisse sicherstellt und sich problemlos in Fertigungslinien sowie verkettete Produktionsumgebungen integrieren lässt. Vorteile bietet die umweltgerechte Alternative zu nasschemischen Verfahren auch, wenn nur bestimmte Bauteilbereiche wie Klebe-, Schweiss- oder Dichtflächen einen definierten partikulären und/oder filmischen Sauberkeitsgrad erfordern oder die Reinigung bei montierten Komponenten erfolgen soll. Ein weiterer Einsatzbereich ist das gleichzeitige Entgraten und Reinigen von harten und spröden Kunststoffen wie beispielsweise PEEK und PPS. Vier Effekte für reproduzierbar saubere Oberflächen Das Verfahren nutzt flüssiges, unbegrenzt haltbares und nicht korrosives Kohlendioxid als Reinigungsmedium. Es entsteht als Nebenprodukt bei chemischen Prozessen und der Energiegewinnung aus Biomasse und ist deshalb umweltneutral. Wesentliches Element des Reinigungssystems ist eine verschleissfreie Zweistoff-Ringdüse, durch die das nicht brennbare Kohlendioxid geleitet wird. Es entspannt beim Austritt aus der Düse zu feinem CO 2 -Schnee, der von einem separaten, ringförmigen Druckluft-Mantelstrahl gebündelt und auf Überschallgeschwindigkeit beschleunigt wird. Beim Auftreffen des gut fokussierbaren Schnee-Druckluftstrahls auf die zu reinigende Oberfläche kommt es zu einer

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Mit der Entwicklung der taktenden Düse wird die Reinigungseffizienz und das Anwendungsspektrum der quattroClean-Schneereinigung erweitert. (Bilder: acp systems AG)

1997 in Stuttgart gegründet, zählt die acp systems AG heute zu den internationalen Markt- und Technologieführern, wenn es um effiziente CO 2 -Schneestrahlreinigung geht. Die patentierte quattroClean-Technologie des Unternehmens ermöglicht die trockene, material- und ressourcenschonende Entfernung partikulärer und filmischer Verunreinigungen von nahezu allen technischen Werkstoffen. Das trockene Verfahren ist darüber hinaus für die Behandlung elektronischer und elektromechanischer Komponenten mit reproduzierbarem Ergebnis einsetzbar. Die Reinigung mit dem skalierbaren und Industrie 4.0-fähigen quattroClean-System kann ganzflächig oder partiell, beispielsweise an Schweiss-, Klebe-, Dicht- und Bondflächen, erfolgen. Eine weitere Kernkompetenz der acp liegt in der Automatisierung der Reinigungsprozesse und deren Integration in verkettete Fertigungs-, Montage und Beschichtungslinien. Kombination aus thermischem, mechanischem, Sublimations- und Lösemitteleffekt. Das Zusammenspiel dieser vier Wirkmechanismen entfernt partikuläre und filmische Verunreinigungen reproduzier-

bar. Abgelöste Verunreinigungen werden durch die aerodynamische Kraft der Druckluft weggeströmt und durch eine integrierte Absaugung entfernt. Das CO 2 sublimiert unter Atmosphärendruck, die

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Werkstücke sind nach der Reinigung trocken und können sofort weiterverarbeitet oder verpackt werden. Reinigungseffizienz durch neue Düsentechnologie Mit dem Ziel, Reinigungseffizienz und Anwendungsspektrum weiter zu erhöhen, hat acp ihre Düsentechnologie weiterentwickelt. Ergebnis ist eine Düsentechnologie, die einen pulsierenden Strahl mit einer Frequenz von 25 bis 30 Hertz erzeugt. Der pulsierende Schnee-Druckluftstrahl verfügt im Vergleich zum kontinuierlich strahlenden über eine höhere kinetische Energie, aus der eine optimierte Reinigungswirkung resultiert: Zum einen wird der Mikrostrahl-Effekt (mechanischer Wirkmechanismus) vervielfacht. Er entsteht durch die Impulsübertragung beim Auftreffen der feinen Schneekristalle mit hoher Geschwindigkeit auf der zu reinigenden beziehungsweise zu entgratenden Oberfläche. Zum anderen ermöglichen die wiederholten Mikroexplosionen, die bei jedem Auftreffen des pulsierenden Strahls durch die rund 600-fache Volumenvergrösserung während des Übergangs von der festen in die gasförmige Phase (Sublimationseffekt), eine effektivere Entfernung der Verunreinigungen. Kürzere Behandlungszeiten und reduzierte Kosten Durch die erhöhte Effektivität des Strahls lassen sich bei zahlreichen Anwendungen die ohnehin bereits kurzen Behandlungszeiten weiter verringern. Bei Entgrat-Aufgaben wird die Wirksamkeit des Verfahrens durch die verstärkte Impulsübertragung ebenfalls erhöht, so dass auch hier Bearbeitungszyklen verkürzt werden können. Dies eröffnet insbesondere bei der Inte­ gration des quattroclean-Systems in automatisierte Fertigungsschritte mit sehr kurzen Taktzeiten neue Perspektiven. Versuche dazu führt das Unternehmen im eigenen Technikum durch. Gleichzeitig können durch den pulsierenden Strahl die Verbräuche von Kohlendioxid und Druckluft reduziert werden. Dies wiederum verringert die Reinigungskosten pro Teil und leistet damit einen Beitrag zur Erhöhung der Wirtschaftlichkeit. Vorteilhaft ist da­ rüber hinaus, dass der Einsatz einer Schneestrahlreinigung mit pulsierender Düse gewichts- und platzsparender realisiert werden kann. Hochflexibel – auch in der Anlagenkonzeption Abgestimmt auf die jeweilige Reinigungsund Taktzeitvorgabe realisiert acp systems auf Standardmodulen basierende, massgeschneiderte Anlagenkonzepte. Sie können als Standalone-Lösungen oder für die Integration in automatisierte beziehungsweise verkettete Produktionsumgebungen ausgeführt werden. Der skalierbare

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ENGINEERING GEBÄUDETECHNIK REINRAUM 01

BEDARFSANALYSE

Die neue Düse erzeugt einen pulsierenden Strahl mit einer Frequenz von 25 bis 30 Hertz. Er besitzt eine höhere kinetische Energie.

quattroclean-Prozess lässt sich dabei effizient und platzsparend an unterschiedliche Bauteilgeometrien für eine ganzflächige oder partielle Reinigung anpassen. Sämtliche Prozessparameter wie Volumenströme für Druckluft und Kohlendioxid, Strahlbereich und Strahlzeit werden durch Versuche exakt für die jeweilige Applikation, die Materialeigenschaften sowie die zu entfernenden Kontaminationen ermittelt. Sie können als teilespezifische Programme in der Anlagensteuerung hinterlegt werden. Standardisierte Schnittstellen ermöglichen die einfache Einbindung in und Steuerung durch übergeordnete Leitrechner. Für eine lückenlose Dokumentation und Nachverfolgbarkeit werden sämtliche Prozessparameter automatisch erfasst und an den Leitrechner übergeben. Autor: Doris Schulz, Journalistin Schulz, Presse, Text

Weitere Informationen acp systems AG Karl-Heinz Menauer D-71254 Ditzingen +49 7156 480140 www.acp-systems.com

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QUALITÄTSSICHERUNG

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BETRIEBSUND ENERGIEOPTIMIERUNG

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PLANUNG DER GEBÄUDEUND REINRAUMTECHNIK

TGA und Reinraumtechnik – das können wir! Wir sind ein eigentümergeführtes und in Europa tätiges Ingenieur büro für Gebäude und Reinraumtechnik. Durch unseren fachübergreifenden Projektansatz und die Bereitschaft, mit unseren Kunden die benötigte Extrameile zu gehen, verbinden wir deren Interessen mit jenen unserer Mitarbeitenden.

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kundenprojekt

Reinraumschulungen in Zeiten von Corona Neben hochwertigem Arbeitsequipment ist geschultes, professionelles und zuverlässiges Personal in jeder Branche elementar. Ganz besonders aber, wenn es um Bereiche geht, in denen Fehlverhalten zu wirtschaftlichen bis hin zu tödlichen Folgen führen kann. Nachdem es schon zu Nicht-Corona Zeiten sehr schwierig war, unter realen Bedingungen in Reinräumen zu schulen, ist die Herausforderung aktuell noch viel grösser. Vorgaben wie Abstandsregelungen, Gruppengrössen und Hygienekonzepte erschweren die Umsetzung von Schulungen für Trainer und Teilnehmer. Trotzdem sind professionelle und effektive Schulungen auch in Zeiten von Corona möglich, wie die Pfennig Reinigungstechnik GmbH mit ihrem hybriden Schulungskonzept für die Reinraumreinigung unter Beweis stellt. Laut EU-GMP Leitfaden sollte «der Hersteller über Personal in ausreichender Zahl und mit der erforderlichen Qualifikation und praktischen Erfahrung verfügen.» Zudem sollte er «für die Schulung aller Personen sorgen, die Aufgaben in den Produktions- oder Lagerbereichen oder in Kontrolllaboratorien zu erfüllen haben (einschliesslich des technischen Wartungsund des Reinigungspersonals) sowie auch für anderes Personal, dessen Tätigkeit die Produktqualität beeinflussen könnte.» Einsatz von hochwertigem Equipment So gut das Personal auch geschult sein mag, ohne reinraumtaugliches Reinigungsequipment können auch Reinigungskräfte keine sichere und kontami-

Das Ankleiden der Schutzkleidung kann auch über das Internet geübt werden. Die Referenten zeigen das Vorgehen, die Teilnehmer üben zuhause und erhalten dabei Uterstützung durch die Referenten. (Bild: PPS)

nationsfreie Reinigung garantieren. Die EU-GMP Richtline fordert, dass «die zum Waschen und Reinigen verwendete Ausrüstung so gewählt und eingesetzt werden, dass sie selbst keine Quelle der Verunreinigung darstellt.» Dem Unternehmen war es seit Beginn seiner Reinraumaktivitäten ein Anliegen, den Reinigungskräften Produkte an die Hand zu geben, die nach strengen Hygienic Design Vorgaben entwickelt wurden sowie ergonomisch und intuitiv bedienbar sind. Diese Kriterien waren auch bei der Entwicklung des neuen, ausgefeilten MopScoop-Protect-Ver-

fahrens zentraler Bestandteil, wodurch ein weiterer Meilenstein in der Reinraumreinigung gesetzt werden konnte. Das erste, vollkommen geschlossene Reinraumreinigungsverfahren garantiert maximale hygienische und mikrobiologische Prozesssicherheit, eine validierbare und anwenderunabhängige Ergebnisqualität sowie Ergonomie und Motivation durch den Einsatz von wenig Körperkraft. Wissensvermittlung durch Profis Die Erfahrungen von Trainern zeigen, dass Schulungen besonders effektiv sind,

REINRAUM-MESSTECHNIK Abluftanalyse mit Partikelzähler

Isokinetische Probenahme mit Rechtecksonde

Rohgasverdünnung mit Verdünnungssystem Prüfaerosolerzeugung mit Aerosolgenerator Rohgasanalyse mit Partikelzähler

Reingasanalyse mit Partikelzähler

PARTICLE UNDER CONTROL Abnahme von reinraumtechnischen Anlagen, Reinräumen, Operationsräumen, Sicherheitswerkbänken norm- bzw. richtlinienkonform (EN 1822, ISO 29463, ISO 14644, ISO 21501, EN 19464-4 )

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wenn diese durch Visualisierungen und praktischen Übungen begleitet werden. Gerade die Auswirkungen durch Fehlverhalten können anschaulich mit Visualisierungen dargestellt werden, wodurch das Verständnis zusätzlich gefördert wird. Die Reinraumspezialisten der Pfennig Reinigungstechnik GmbH führen seit vielen Jahren Schulungen zur Reinraumreinigung durch und haben diese praxisorientierte und durch Visualisierungen unterstützte Konzeptidee erfolgreich realisiert. Um den Praxisbezug zu erhalten, werden Schulungen nicht nur im Schulungsreinraum des Unternehmens durchgeführt, sondern auch bei den Kunden vor Ort, um die Schulungen betriebsbezogen gestalten zu können. Ausgefeilte Seminartechnik Aufgrund der aktuellen Situation durch Covid-19 wird die Umsetzung bisheriger Schulungskonzepte oftmals erschwert. Abstandsregelungen, je nach Gruppengrösse und Räumlichkeiten, sind schwer einzuhalten und viele Betriebe haben ein Besuchsverbot erlassen. Trotz allem ist der Bedarf an Personalschulungen hoch. Schulen in realer Umgebung «Räumlichkeiten müssen darauf ausgerichtet sein, das Risiko von Fehlern auf ein

Minimum herabzusetzen und eine gründliche Reinigung und Wartung zu erlauben, um Kreuzkontamination, Staub- oder Schmutzansammlungen und ganz allgemein jeden die Qualität des Produktes beeinträchtigenden Effekt zu vermeiden.» Aus diesem Grund sind Schulungen, die die Reinraumreinigung betreffen, im laufenden Reinraumbetrieb meist nicht möglich. Die Gefahr des Eintrags von Kontaminationen oder Fehlverhalten durch ungeschultes Personal ist zu hoch. Ein Teil der Teilnehmer war vor Ort, der andere Teil nahm virtuell an der Schulung teil. Um diesem Problem entgegenzuwirken, hat die Pfennig Reinigungstechnik GmbH zusammen mit Enicos Engineering einen realitätsgetreuen Schulungsreinraum in Durach geschaffen Neben einer Sit-Over Bank, einem Partikelzähler, sowie Reinraummöbeln finden sich im Reinraum ausschliesslich originale Reinraummaterialien wieder. Der Schulungsreinraum wurde strikt nach Hygienic Design Vorgaben erbaut, um den Schulungsteilnehmern ein Höchstmass an Realität bieten zu können. Neben der realen Umgebung sowie hochwertigen Reinigungswagen und Textilien, steht auch die passende Reinraumbekleidung für eine vollumfängliche Schulung zur Verfügung.

Umsetzung in der Praxis Aufgrund aktueller Bestimmungen musste darauf geachtet werden, die Teilnehmergruppe vor Ort klein zu halten. Das hybride Schulungskonzept ermöglichte es, sieben Personen des Kunden zeitgleich zu schulen, wobei eine kleine Gruppe von drei Teilnehmern und einem Referenten physisch im Schulungsreinraum anwesend waren und ein zweiter Referent sowie die anderen Teilnehmer virtuell teilnahmen. Um die virtuellen Teilnehmer vollumfänglich integrieren zu können, wurde eine Live-Schaltung direkt aus dem Schulungsraum eingerichtet. Damit die virtuellen Teilnehmer die praktische Übung des Ankleidens eines Reinraumoveralls auch selbst üben konnten, wurde diesen vorab die notwendige Reinraumbekleidung zugeschickt. Der zweite Schulungsteil, die richtige Umsetzung der Reinraumreinigung, fand im Reinraum statt und wurde live übertragen. Autorin: Elena Schäfer Weitere Informationen Pfennig Reinigungstechnik GmbH Elena Schäfer, Marketing +49 831 561 22 48 schaefer@pps-pfennig.de www.pps-pfennig.de

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kundenprojekt

Wie schützt man Produkte vor Aero­solen, Staub oder Keimen? Zur Beantwortung dieser Frage müssen wir wissen, dass die physikalische Grösse, besser gesagt ihre Ausdehnung, alle drei Partikelgruppen miteinander verbindet. Sphärische Teilchen (Partikel, Aerosole, Keime) mit Durchmessern unter 30 µm können in der Luft über grosse Entfernungen transportiert werden oder schweben minutenlang in der Raumluft. In Innenräumen oder Produktionsstätten ist jedoch der Mensch selbst der grösste Produzent von Aerosolen und Partikeln. Beim Ausatmen gelangen winzige Tröpfchen in die Umgebungsluft, bei jeder Bewegung lösen sich Schuppen, Hautpartikel und Fasern seiner Kleidung und schweben meist für lange Zeit in der Raumluft. Viele der genannten Schwebeteilchen können in der Produktion oder der Verpackung die Produkteigenschaften verändern, beeinträchtigen und sogar optische oder elektronische Bauteile zerstören. Dies ist der Grund, warum einzelne Produkte unter Reinraumbedingungen vor Staub oder Keimen geschützt werden müssen. Nur durch eine sachgemässe Reinigung der Raumluft lassen sich Schwebeteilchen aus der Luft entfernen. Unter den verschiedenen technischen Möglichkeiten zur Reinigung von Raumluft haben sich Filtertechniken besonders bewährt, weil sie eine preiswerte und im Betrieb kostengünstige Alternative darstellen und auch nachträglich noch nachgerüstet werden können. Dies gilt für ganze komplexe Reinräume ebenso wie für kleinere Filtereinheiten, der sogenannten Laminar-FlowBox, denn beide Systeme basieren auf derselben Filtertechnologie. Eine Laminar-Flow-Box, wie zum Beispiel die FBS-Serie der Firma Spetec GmbH, wurde vom Fraunhofer Institut für Produktionstechnik und Automatisierung getestet, nach DIN-Norm EN ISO 14644 zertiSP061_Grafik_RRTechnik_D_RZ.pdf

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Laminar-Flow-Box der FBS-Serie von Spetec. (Bilder: Spetec)

fiziert und in die Klasse ISO 5 eingestuft. Das bedeutet, dass im Inneren der Box maximal 3520 Partikel pro 1 qm nachgewiesen werden dürfen. Die Flow Box verbessert somit die Luftqualität um mindestens das 10000-Fache gegenüber der Umgebungsluft im Produktionsbereich. In der Lebensmittelindustrie sind alle luftgetragenen Mikroorganismen (z.B. Schimmelpilze, Hefen) unerwünscht, aber sie sind trotzdem in jeder Raumluft vorhanden, genauso wie Staubpartikel in der optischen und elektronischen Fertigung. In der Pharma- und Medizintechnik spielt

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die Keimfreiheit oder Sterilität eine besondere Rolle, aber Keime sind in jeder Raumluft vorhanden. Deshalb müssen medizinische Geräte wie Spritzen, Skalpelle oder Verbandmaterialien und Pflaster steril verpackt und gelagert werden. Fazit: Zur Reduktion von Partikeln jeder Art (Staub, Mikroben, Keime, Aerosole) haben sich Hochleistungsfilter bewährt, denn hier erfolgt die Abscheidung und Reinigung lediglich über die physikalische Grösse des Partikels und seiner hydrodynamischen Eigenschaften. Deshalb spielen chemische oder biologische Eigenschaften keine Rolle. Hochleistungs-Luftfilter dienen dem Schutz unserer Gesundheit und unserer Produkte. Autor: Elisabeth Schollwöck

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Grössenvergleich verschiedener Schwebeteilchen.

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Weitere Informationen: Spetec GmbH Am Kletthamer Feld 15 D-85435 Erding +49 8122 95909 0 spetec@spetec.de www.spetec.de

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firmenberichte

Wie aus der Kantine ein Reinraum wurde Die B. Braun-Tochter Aesculap nimmt nach Zusammenarbeit mit der Reinraumfirma Schilling Engineering neuen Reinraum in Betrieb. Die 1200 m² grosse Anlage für die Montage und Verpackung von sterilen chirurgischen Instrumenten und neurochirurgischen Implantaten ist der grösste Reinraum am Tuttlinger Stammsitz des Unternehmens und bereits für die Zukunft ausgelegt.

Wenn man das Werksgelände der Aesculap AG betritt, fühlt man sich ein wenig wie in einer Zeitreise. Oder eher zwischen zwei Welten. In einem Teil des Werksgeländes beherbergen historische Gebäude mit Backsteinfassaden modernste Büros und Produktionsanlagen. Das Familienunternehmen wurde vor über 150 Jahren in Tuttlingen gegründet und ist seitdem dem Standort treu geblieben. Aesculap ist seit 1976 ein Teil von B. Braun, einem der führenden Hersteller von Medizintechnikund Pharma-Produkten und DienstleistunB. Braun – Aesculap B. Braun ist einer der führenden Hersteller von Medizintechnik- und Pharma-Produkten und Dienstleistungen weltweit. Zum Produktprogramm der B. Braun Tochter Aesculap AG in Tuttlingen gehören unter anderem chirurgische Instrumente für offene oder minimal-invasive Zugänge, Implantate (z.B. für die Orthopädie, Neuro- und Wirbelsäulenchirurgie), chirurgisches Nahtmaterial, Sterilcontainer, Lagerungs-, Motor- oder Navigationssysteme sowie Produkte für die Kardiologie. Schilling Engeneering GmbH Schilling Engeneering ist ein mittelständisches Unternehmen mit über 25-jähriger Erfahrung in der Reinraumtechnologie. Die baden-württembergische Firma entwickelt und produziert qualitativ hochwertige Reinraum-Systemlösungen inklusive Klimatechnik. Branchenspezifische Kundenanforderungen werden hierbei von der Planung bis zur Qualifizierung massgeschneidert und individuell umgesetzt. Die Reinraumsysteme werden unter anderem in der Pharmaindustrie, der Medizintechnik, der optischen Industrie, der Halbleiterfertigung, der Mikrotechnik, der Lebensmittelindustrie, sowie in Kliniken und Laboren eingesetzt.

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Der Reinraum Clean Medi Cell in der Aussenansicht. Rechts eine Dokumentenschleuse mit LED-Beleuchtung. (Bilder: Schilling)

gen weltweit. Mit rund 3400 Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter ist Aesculap der grösste Arbeitgeber der Stadt, die auch als Weltzentrum der Medizintechnik bezeichnet wird. 1200 m² Reinraum mit 88 Filter-Fan-Units Aesculap bewahrt die alte Baustruktur mit Bedacht. Dafür müssen immer wieder neue Belegungskonzepte erarbeitet werden. Das zeigt sich nun auch in den Räumlichkeiten der ehemaligen Betriebskantine. Essen ist dort mittlerweile absolut verboten und sogar das Sprechen wird auf ein Minimum reduziert. Denn die ehemalige Kantine ist heute ein hochmoderner Reinraum. Für die Endfertigung von sterilen chirurgischen Instrumenten und medizintechnischen Komponenten investierte die Aesculap AG in die bisher grösste und modernste Reinraumanlage des Werksgeländes. Auf fast 1200 m² entstand eine

kontrollierbare Umgebung, die die empfindlichen Produkte während der Produktion vor Kontaminationen schützt. Das Reinraumsystem erreicht die ISO Klasse 7 und 8 und wird mit 88 Filter-Fan-Units betrieben, die mit Ulpa 15 Hochleistungsfiltern für den Eintritt und die Zirkulation reinster Luft sorgen. Reine Produktion in drei Schichten Im Reinraum arbeiten die Mitarbeiterinnen und Mitarbeitern in bis zu drei Schichten. Die Schutzkleidung der Fachkräfte darf zu keinem Zeitpunkt abgenommen werden und muss richtig sitzen, ruckartige und schnelle Bewegungen sind zu vermeiden und auch Unterhaltungen sind auf ein Minimum zu reduzieren. All das dient dazu, die Partikelabgabe durch das Personal zu vermindern. Ralf Ketterer, Segmentleiter bei Aesculap, ist für den reibungslosen Ablauf der Reinraumproduktion verantwortlich und weiss, dass neben der Technik vor allem die aus-

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Leise Filteranlagen, eine helle Beleuchtung und viel Platz sorgen für eine gute Arbeitsatmosphäre.

führenden Personen für eine sichere Produktion wichtig sind: «Oft wird bei der Planung eines Reinraums wenig auf die Arbeits-Atmosphäre geachtet. Wir wollten das bewusst ändern und sind von den Rückmeldungen unserer Mitarbeiterinnen und Mitarbeiter bestätigt worden. Alle fühlen sich sehr wohl. Der Raum ist hell, die Flächen sind optimal genutzt worden und er läuft vor allem äusserst leise.» Modulares System mit Erweiterungsmöglichkeiten Bis die Arbeit vor Ort aufgenommen werden konnte, lag eine lange Zeit der Planung und des Umbaus vor allen Beteiligten. Zu Beginn wurden die Räume vollständig entkernt und erweitert. Der neue Reinraum ist grosszügig ausgelegt und auf Wachstum ausgerichtet. Eine mögliche Erweiterung wurde bereits vorgesehen und mit den erforderlichen Anschlüssen versehen. Mit der Detailplanung, der Lieferung und dem Aufbau des Reinraums wurde die Reinraumfirma Schilling Engineering beauftragt. Durch die Modularität ihres eigenentwickelten Systems Clean Medi Cell können die Anforderungen an zukünftige Erweiterungen ohne tiefgreifende Umbaumassnahmen erfüllt werden. Mediensäulen versorgen den grossen Reinraum mit Anschlüssen über die Decken. Bei einer Erweiterung können die Anschlüsse in den begehbaren Decken vorbereitet werden, so dass der Reinraum nur kurz geöffnet werden muss und es damit nur zu geringen Unterbre-

chungen der Produktion kommt. Für die flexible Erweiterung wurden zudem die Reinraumwände doppelt beplankt, so dass auch eine erweiterte Medienversorgung über die Wände einfach installiert werden kann. «Wir haben den Reinraum für die nächsten 10–15 Jahre geplant. Ungefähr ein Drittel der Fläche wird noch gar nicht benötigt. Durch das modulare System des Reinraums sind wir hier flexibel, was uns sehr wichtig war», erklärt Ralf Ketterer. LED-Signalisierung in Personen- und Materialschleusen Bei einem Reinraum dieser Grösse ist auch die Ein- und Ausschleusung von Personal und Material von entscheidender Bedeutung. Die nach Geschlechtern getrennten Personenschleusen nehmen 165 m² Platz in Anspruch. Verschiedene Materialschleusen, deren Grösse sogar für den Fall des Transports von neuen Maschinen und kompletten Anlagen konzipiert wurden, sorgen gleichzeitig für die sichere Einbringung des Materials. Die Ausbringung der fertiggestellten Teile erfolgt dann über ein Förderband mit automatischen Hubtüren, das zu einem Senkrechtförderschacht führt. Ein Stock tiefer erfolgt die Endverpackung dann schon ausserhalb des Reinraums. Die Materialschleusen und Eingangstüren des hellen Reinraums haben eine Besonderheit. Schon von weitem sieht man die grüne LED-Beleuchtung, die signalisiert, dass das System störungsfrei in Betrieb

ist und eine Tür geöffnet werden kann. Muss die Schleuse nach Betreten erst gespült werden, leuchtet der Raum blau, ist eine Tür geöffnet, stellt sich die intelligente Beleuchtung auf Rot. Ralf Ketterer ist überzeugt von dieser Funktion. «Es erleichtert tatsächlich den Eintritt und die Materialeinschleusung, weil die Mitarbeiter*innen schon aus der Entfernung sehen, ob die Schleuse frei ist. Ich sehe das grüne Licht sogar von anderen Gebäuden aus, dann weiss ich, dass alles in Ordnung ist. Es hat inzwischen eine beruhigende Wirkung auf mich», sagt der Segmentleiter. Aufbau mit Abstandsregeln Die Reinraumanlage bei Aesculap ist bis dato das grösste Projekt für Schilling Engineering. Zunächst mit dem Engineering beauftragt, konnten die Servicetechniker des südbadischen Familienbetriebs nach Auftragsvergabe genau nach Plan eingeteilt werden und den Bau ohne Verzögerungen durchführen. Die grossen Profilteile mussten per Lastenkran über die Fenster in den dritten Stock eingebracht werden. Nach einigen Monaten intensiver Installationsarbeiten wurde der Reinraum mit der Endqualifizierung betriebsbereit übergeben. Ralf Ketterer ist vollauf zufrieden mit dem gesamten Ablauf: «Man darf auch nicht vergessen, dass der Aufbau mit Baubeginn im März 2020 genau in den Anfang der Corona-Zeit gefallen ist. Die Servicetechniker von Schilling haben sich aber jederzeit flexibel auf die neuen Situationen eingestellt und sich richtig reingehängt, dass der Bau fristgerecht fertiggestellt werden konnte.» Autorin: Iris Dörffeldt Weitere Informationen Schilling Engeneering GmbH Iris Dörffeldt Produktmanagement / Marktforschung Industriestrasse 26 D-79793 Wutöschingen I.Doerffeldt@schillingengineering.de www.SchillingEngineering.de

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firmenberichte

Ausgewogener Anbau durch Messtechnik Controlled Environment Agriculture (CEA) ist eines der am schnellsten wachsenden Segmen­te auf den Lebensmittelmärkten weltweit. Da die Nachfrage nach lokal angebauten und biologischen Produkten weiter steigt, wird sie durch heutige moderne Gewächshäuser, vertikale Landwirtschaft und Containerfarmen gedeckt. Die Fortschritte bei den heute verfügbaren Technologien und Techniken ermöglichen es Erzeugern, mehr und konsistenter zu produzieren und dabei weniger Energie und Ressourcen zu verbrauchen. Erzeuger können mithilfe von Technologie optimale, hochpräzise Anbaubedingungen in ihren Anlagen schaffen und so eine grössere Auswahl an Kulturen mit zuverlässigen Ergebnissen erzielen. Durch die Einschliessung und Klimatisierung einer Anlage können Landwirte in kürzerer Zeit eine Kulturpflanze vom Saatgut bis zur Ernte anbauen, in jedem Zyklus höhere Erträge erreichen und mehr Erntezyklen pro Jahr durchführen. Die Optimierung des Gewächshauslayouts kann im Vergleich zur konventionellen Landwirtschaft zusätzliche Kapazität bieten. Der Einsatz vertikaler Landwirtschaftsund Tropfbewässerungstechniken kann das, was mit herkömmlichen Methoden oder sogar in einem traditionellen Gewächshaus angebaut werden kann, leicht übertreffen. In Anbetracht der Tatsache, dass die in Räumen häufiger angebauten Kulturpflanzen Gemüse, Reben, Blumen und andere Baumschulkulturen sind, wird das Schichtungspotenzial nur durch Beleuchtungsressourcen begrenzt, die in den letzten Jahren preiswerter geworden sind. Ein geringerer Pestizideinsatz ist auch ein Vorteil der CEA-Landwirtschaft, da die integrierte Schädlingsbekämpfung einfacher umgesetzt werden kann. Dies führt zu einer saubereren Umwelt, einem nachhaltigen Pflanzenschutz und einer Deckung der Nachfrage nach pestizidfreien Lebensmitteln. Wasserschutz ist ein weiterer grosser Vorteil der CEA. Indem der Wasserverbrauch durch hydroponische oder aeroponische Verfahren gesteuert wird und gleichzeitig kein Wasser durch Bodeninfiltration verloren geht, ist für den Betrieb in Räumen deutlich weniger Frischwasser erforderlich. In Gebieten mit Wasserknappheit und -beschränkungen kann dies ein wichtiger Rentabilitätsfaktor sein. Die Gesamtenergieeffizienz ist eine Schlüsselkomponente für einen CEA-Be-

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Das kontinuierliche Überwachungssystem von Vaisala integriert ein breites Spektrum an Daten­loggern, Messwertgebern und Modbus-Geräten, um verschiedene Parameter zu überwachen, darunter Temperatur, relative Feuchte, CO2, Differenzdruck und mehr. (Bilder: Vaisala)

trieb. Der Strombedarf eines Gewächshauses, ob automatisiert oder nicht, ist erheblich höher als bei der konventionellen Landwirtschaft, da HLK-Systeme und Beleuchtung eine Energiebelastung darstellen. Hier können hochwertige Sensoren etwas bewirken. Eine genaue Überwachung der Bedingungen im Anbauraum kann zu Energieeinsparungen und gesünderen Kulturen führen. Was wächst mit CEA? Da fast jede Kulturpflanze in Räumen angebaut werden kann, sind die Vorteile der CEA in vielen verschiedenen Märkten sichtbar, vom Blumen- und Zieranbau bis zur Produktion landwirtschaftlicher Erzeugnisse. CEA-Produktionstechniken können den Unterschied zwischen ein bis zwei und vier bis sechs Ernten pro Jahr sowie die Möglichkeit bedeuten, Erntezeiten für eine gleichmässige Lieferung zu wechseln. Nahezu jede in Räumen angebaute Kulturpflanze kann von diesen Techniken profitieren. Einige der beliebtesten Kulturen sind derzeit Salate, Keimpflanzen,

Reben und Blumen. Rohstoffkulturen, Pilze und Früchte werden ebenfalls in CEABetrieben angebaut. Steuerungstypen Die Gewächshaussteuerung kann von einfachen und gelegentlichen Messungen mit manueller Entlüftung bis hin zu kontinuierlichen Überwachungssystemen und automatisierten Steuerungen reichen. Vaisala bietet eine Reihe von Messgeräten für jede Steuerungsebene. Von hoch entwickelten, kontinuierlichen Überwachungssystemen mit unseren eigenen Datenloggern und der viewlinc-Software bis zu praktischen, genauen portablen Sensoren-Vaisala-Messgeräte erfüllen den Bedarf an zuverlässigen Messungen und Daten. Einfacher ausgedrückt bedeutet eine bessere Klimaregelung eine verbesserte Ernte. Dank genauer und zuverlässiger Messungen werden ausserdem die Produktionskosten durch ein effizientes Ressourcenmanagement gesenkt. Die gemessenen Parameter, die am wichtigsten sind, um-

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Der Humicap-Sensor von Vaisala ist ein kapazitiver Dünnfilm-Polymersensor. Er zeichnet sich vor allem durch ausgezeichnete Langzeitstabilität, Unempfindlichkeit gegenüber Staub und Chemikalien und verlässliche Messwerte aus.

fassen Feuchte, Temperatur, Kohlendioxid, Wetterbedingungen, Licht, Nährstoffe und Flüssigkeitszufuhr. Feuchteparameter Feuchte ist der am schwierigsten zu kontrollierende Umgebungsfaktor in einem Gewächshaus und ein wichtiger Leistungsindikator. Sie steht in direktem Zusammenhang mit der Lufttemperatur und kann sich bei relativ geringen Temperaturänderungen drastisch ändern. Mit jedem Temperaturabfall von 20° C wird das Wasserhaltevermögen der Luft halbiert und die relative Feuchte verdoppelt. Aus die-

Temperaturparameter Pflanzen können auch über einen weiten Temperaturbereich überleben und wachsen, aber es gibt für jede Art optimale Temperaturen, die die optimale Wachstumsrate fördern. Die Temperaturregelung erfolgt entweder durch natürliche Entlüftung oder durch mechanische Mittel wie HLK. Es wird empfohlen, die verschiedenen Bereiche des Anbauraums zu untersuchen oder abzubilden, um heisse oder kalte Stellen festzustellen. Genaue und zuverlässige Vaisala-Temperatursensoren können diese Messungen liefern, um sie bei der Kulturauswahl und bei Layoutentscheidungen zu unterstützen. CO2 -Parameter Die Vorteile der Kohlendioxidsupplementierung für das Pflanzenwachstum und die Pflanzenproduktion im Gewächshaus sind

Schweizerische Gesellschaft für Reinraumtechnik

seit vielen Jahren bekannt, da Kohlendioxid ein wesentlicher Bestandteil der Photosynthese ist. Tatsächlich kann die Nettophotosynthese um bis zu 50 Prozent ansteigen, wenn sich der CO 2 -Gehalt aus der Umgebung auf 1000 ppm erhöht. Ein Problem, das bei geschlossenen Anbaubetrieben beobachtet wird, besteht darin, dass die Pflanzen das verfügbare CO 2 verbrauchen, was zu einem Mangel führt und das Wachstum begrenzt. Zusätzliches CO 2 – entweder durch Verbrennung erzeugt oder in gasförmiger, flüssiger oder fester Form zugeführt– ist ein üblicher Weg, um die Pflanzen mit dieser kritischen Ressource zu versorgen. Es gibt auch Bedenken hinsichtlich der Sicherheit der Mitarbeitenden bei der Gasversorgung. Genaue CO2 -Messungen der Vaisala Carbocab-Sensoren ermöglichen die Überwachung dieser Ressource bei Langzeitstabilität und niedrigen Betriebskosten. Autor: Justin Walsh, Business Development Engineer bei Vaisala Weitere Auskünfte: Vaisala (Deutschland) Vaisala GmbH Adenauerallee 15 D-53111 Bonn www.vaisala.de/lifescience

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sem Grund kann ein Temperaturabfall über Nacht zu hoher Feuchte und Kondensation führen. Vaisala Humicap-Sensoren sind gegenüber Nässe beständig und liefern weiterhin genaue Messungen, nachdem sie wieder trocken sind. Optimale Bewässerungspraktiken und eine angemessene Belüftung sind die besten Möglichkeiten zur Steuerung der Feuchte in Gewächshäusern.

Die SRRT-SwissCCS ist eine wissenschaftlichtechnische Fachvereinigung zur Förderung der Kontaminations-Kontrolle und Reinraumtechnik. Sie vertritt die Schweiz in den europäischen und internationalen Normengremien ISO/CEN. Die SRRT-SwissCCS veranstaltet und organisiert: • Fachseminare mit VDI-Zertifikat • Schulungen und Workshops • Informationsaustausch unter Spezialisten

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Ein herausforderndes Jubiläumsjahr 2021 wird der Textildienstleister Bardusch 150 Jahre alt. Selbstverständlich hatten sich alle Verantwortlichen das Jubiläumsjahr anders vorgestellt – und gewünscht. Denn die CoronaPandemie 2020 und deren Auswirkungen haben auch Bardusch und seine Mitarbeiter getroffen. Eines hat sich jedoch gezeigt: Das Unternehmen steht selbst in dieser herausfordernden Zeit solide da und das Tätigkeitsfeld von Bardusch hat Zukunft.

Der Standort in Yverdon, wie er sich bis heute entwickelt hat. (Bilder: Bardusch)

Ein kurzer Blick in die Statistiken zeigt, dass es etwas Besonderes ist, wenn ein Betrieb 150 Jahre existiert: Das Durchschnittsalter aller deutschen Unternehmen liegt einer umfassenden Bankenstudie aus dem Jahr 2017 zufolge bei etwas mehr als 16 Jahren. Älter als 100 Jahre sind nur etwa acht Prozent der Betriebe. Noch ältere wurden statistisch nicht separat erfasst – vermutlich, weil es so wenige sind. Zwei Weltkriege, Wirtschaftsaufschwung, mehrere Wirtschaftskrisen, die Spaltung und Wiedervereinigung Deutschlands, die Globalisierung und die Digitalisierung: Das alles hat das Unternehmen Bardusch durchlebt und letztlich zu dem gemacht, was es heute ist. Von der Wäscherei zum modernen Dienstleistungsunternehmen Aus den Anfängen einer kleinen Wäscherei hat sich Bardusch inzwischen zu einem europaweit tätigen Unternehmen entwickelt, das umfassende Serviceleistungen im Textilbereich anbietet. Ziel für die Zukunft ist es, auch weiterhin als Textil-

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dienstleister tätig zu bleiben, denn die Verantwortlichen von Bardusch sind sich sicher, dass dieses Geschäftsfeld – das Bereitstellen und die Pflege von Berufskleidung und Wäsche – ein Servicepaket ist, das noch an Bedeutung gewinnen wird. Zur Bardusch-Gruppe zählen im Jubiläumsjahr mehr als 30 Standorte in sechs europäischen Ländern. Insgesamt erwirtschafteten die etwa 3500 Bardusch-Mitarbeiter einen Umsatz von 314 Millionen Euro. Organisches Wachstum und Zukäufe Bardusch ist in allen europäischen Ländern auf Wachstumskurs, Akquisitionen sind ins Auge gefasst. «Natürlich ist Bardusch abhängig von der allgemeinen Marktentwicklung, aber prinzipiell sehen wir Wachstumschancen in allen Branchen, in denen wir aktiv sind», beurteilt CFO Oliver Kuck die Perspektiven für Bardusch. Und er ergänzt: «Durch unser breites Spektrum an Textildienstleistungen für die unterschiedlichsten Wirtschaftsunternehmen, für Handwerk, Gastronomie und

Hotellerie, aber auch Kliniken, Labore und Pflegeheime, können wir Umsatzrückgänge in einzelnen Segmenten relativ gut kompensieren. Durch das umfassende Portfolio weist Bardusch eine hohe Resilienz auf.» Zugute kommt dem Unternehmen auch, dass es mit seinen Betrieben in sechs europäischen Ländern regional präsent ist und somit die Nähe zu den Kunden hat. Dadurch können die Mitarbeiter vor Ort schnell und spezifisch auf veränderte Wünsche oder Anforderungen reagieren. Die Schwierigkeiten bzw. Ausfälle im Hotel- und Gastronomiebereich haben Bardusch im letzten Jahr getroffen: In diesen Branchen gingen die Aufträge infolge der Pandemie bekanntlich wesentlich zurück und für einige Betriebsteile musste Bardusch Kurzarbeit beantragen. Systemrelevante Dienstleistungen Im Krisenjahr 2020 waren zertifizierte Wasch- und Desinfektionsprozesse für viele Unternehmen wichtiger denn je. Hohe Hygienestandards sind für einige Branchen existenziell geworden und das

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ren gilt es, frühzeitig auf veränderte Kundenmärkte und -wünsche zu reagieren. Um die Mitarbeiter auf diesem Weg mitzunehmen, investieren wir zudem viel in Fort- und Weiterbildungsmassnahmen». Bei der Kundenorientierung lauten die Stichworte ebenfalls «Digitalisierung» und «neue Wege der Zusammenarbeit». «Insgesamt gehen wir von einer steigenden Nachfrage, vor allem nach hygienisch einwandfreien Textilien und Bedarfsgegenständen aus. Auf den Wandel der Märkte in Europa haben wir uns rechtzeitig vorbereitet», erläutert Andreas Holzer die Ausrichtung des Unternehmens. Der Standort Yverdon im Jahre 1972

«Outsourcing» von Servicetätigkeiten liegt im Trend. Auch Kliniken, Pflegeheime und Rettungsdienste beauftragen hierfür in immer grösserem Umfang Spezialisten. Bei der Bewältigung seiner Aufgaben hat es Bardusch sehr geholfen, dass die Geschäftstätigkeit des Unternehmens als «systemrelevant» eingestuft und anerkannt wurde. Das heisst, die Textildienstleistungen sind unverzichtbar für die Versorgung von Gesundheitswesen und Industrieunternehmen, wie z. B. die Lebensmittelwirtschaft. Reinraum im Blick Mit seinen verstärkten Aktivitäten im Bereich Reinraum und mit der Eröffnung des sechsten Reinraums im vergangenen Jahr hat Bardusch die Weichen gestellt, um einen interessanten Zukunftsmarkt rasch erschliessen zu können. Denn für hochtechnisierte Unternehmen ist Reinraum entscheidend, weil für ihre Produktionen und Produkte neben hoher Hygiene-Anforderungen an die Mitarbeiter auch «Partikelfreiheit» sichergestellt sein muss. Eine solche Partikelfreiheit fordern beispielsweise Kunden aus Pharmaindustrie und Lebensmittelwirtschaft, UnternehIm Jubiläumsjahr 2021 werden in der Schweiz 40 soziale oder ökologische Projekte unterstützt. Die Mitarbeitenden der Standorte in Basel, Rheinfelden, Brugg, Bern, Yverdon und S ­ ierre haben «ihre» regionalen Aktivitäten ausgewählt, die sie im Jubiläumsjahr finanziell oder durch tatkräftige Mitarbeit fördern möchten. Diese Unterstützung wird statt eines grossen Jubiläumsfestes gespendet. In der Bardusch-Gruppe werden insgesamt 150 CSR-Projekte realisiert. Die Geschichte der Bardusch-Gruppe in der Schweiz beginnt im Jahre 1964 in Yverdon. Heute agiert Bardusch Schweiz von 7 Standorten aus.

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men aus der Elektronik-, Optik-, Feinmechanik- oder Biotechnologie-Branche. Sämtliche Prozesse bei Bardusch sind so gestaltet, dass die aufbereiteten Textilien keinerlei Schmutz- oder Stoffpartikel aufweisen und die Mitarbeiter in hochsensiblen Bereichen die Gewissheit haben, dass ihre Produkte vor Umwelteinflüssen und Reinfektionen jeglicher Art geschützt sind. Gesunder Mittelstand Das Unternehmen ist in einem national und international stark umkämpften Markt aktiv. «Unser Vorteil ist die mittlere Grösse des Unternehmens – quasi im oberen Mittelfeld», erläutert Andreas Holzer, COO Europe. «Wir sind gross genug, um Konzernen oder anderen Grosskunden entsprechende Volumina anbieten zu können. Aber andererseits sind wir noch «überschaubar» und als Familienunternehmen flexibel genug, um unsere Kunden individuell bedienen zu können.» Er ist sich sicher: «Menge ist nicht alles, der Servicegedanke zählt.» Bardusch hat in den vergangenen Jahren viel investiert, um sich bestmöglich auf die Anforderungen der Zukunft einzustellen. Nicht nur die Entwicklung der Wettbewerbssituation, auch gesellschaftliche Trends haben die Verantwortlichen analysiert und bei der strategischen Planung der künftigen Geschäftstätigkeit berücksichtigt. Vielfältige Herausforderungen für Mensch und Technik Oliver Kuck betont in diesem Zusammenhang, wie wichtig moderne Technologien, Transformation und Digitalisierung für Bardusch sind: «Zum einen sind Unternehmen wie wir gefordert, effiziente und trotzdem service-orientierte Arbeitsabläufe zu gewährleisten. Hier haben wir den Wandel geschafft: Die notwendigen Investitionen haben wir getätigt, die Aufgabenschwerpunkte «Digitalisierung der Geschäftsprozesse» und «Optimierung der Logistik» setzen wir zurzeit gemeinsam mit den Mitarbeitern um. Zum ande-

Langfristige Entscheidungen und rasches, flexibles Handeln Bei allen dynamischen Veränderungen ist Bardusch seinen Wurzeln treu geblieben. Das managergeführte Unternehmen ist bis heute im Familienbesitz und wird aktuell durch die fünfte Generation repräsentiert: Christina Bardusch-Haupt und CarlMatthias Bardusch steuern seit zehn Jahren als Gesellschafter und Aufsichtsrat-Mitglieder die Geschicke des Unternehmens. 150 Jahre nach seiner Gründung steht Bardusch insgesamt solide und gesund da und ist in vergleichsweise ruhigem Fahrwasser unterwegs. Die Mitarbeiter von Bardusch können sicher sein, dass das Unternehmen in Familienhand bleibt und die Entscheidungen über wirtschaftliche Fragen – im Sinne der Familientradition – grundsätzlich auf Langfristigkeit angelegt sind. «Wir möchten, dass Bardusch als Garant für individuelle, professionelle Lösungen und als wichtiger Dienstleister in Europa selbstständig bleibt. Dieser Stil beinhaltet rasches Handeln und kurze Entscheidungswege», fasst Carl-Matthias Bardusch die Unternehmensphilosophie der Familie zusammen. Und er ergänzt: «Für die Zukunft wünschen wir uns, dass Bardusch seine ‹familiäre Seele› behält. Es sind die Menschen, die Bardusch über viele Jahre – manchmal ein Berufsleben lang – begleitet, unterstützt und getragen haben. Sie haben letztlich aus Bardusch gemacht, was das Unternehmen heute ist. Dafür danken wir ihnen von Herzen.» Weitere Informationen Bardusch Beteiligungen GmbH & Co. KG Pforzheimer Str. 48 D-76275 Ettlingen +49 7243 707 0 presse@bardusch.de www.bardusch.com Bardusch AG Schweiz Flughafenstrasse 213 CH-4056 Basel +41 61 385 12 10 claudia.schukei@bardusch.ch www.bardusch.ch

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firmenberichte

Intelligente Stromzukunft im Echtzeit-Test Europas Stromnetze durchlaufen im Zuge der Energiewende eine tiefgreifende Transfor­ mation: von Grosskraftwerken hin zu verteilten, intelligent vernetzten, digital gesteuerten, emissionsarmen und vielfältigen Einheiten. Millionen kleine Einspeiseanlagen und Speicher, neue Verbraucher und Akteure treten auf den Plan, die auf den unteren Netzebenen gemanagt werden müssen. Die gewohnt hohe Versorgungsqualität ist zukünftig nur mit der Digitalisierung der Netze und intelligenten Betriebsführungskonzepten erreichbar. Das Fraunhofer-Institut für Solare Energie­ systeme ISE hat nun sein neues Digital Grid Lab in Betrieb genommen, in dem die dafür notwendigen Komponenten, Netzrege­ lungskonzepte und Betriebsführungsstra­ tegien erprobt werden. «Die Integration sowohl zentraler als auch fluktuierender dezentraler Systeme und der Erhalt der Netzstabilität sind eine grosse Herausfor­ derung für die Netzbetreiber. Mit dem Di­ gital Grid Lab erweitert das Fraunhofer ISE seine Kompetenzen im Bereich Netzsimu­ lation und kann das Netz und die Kommu­ nikation darin in Echtzeit betrachten», er­ klärt Prof. Christof Wittwer, Bereichsleiter Leistungselektronik, Netze und intelligente Systeme am Fraunhofer ISE. Hardware-in-the-Loop Simulationen in Echtzeit Herzstücke des neuen Labors sind die sechs leistungsstarken Hardware-in-the-

In der Leitwarte können neue Betriebsstrategien sicher erprobt werden. (Bilder: Fraunhofer ISE)

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Tel. +41 44 466 55 44 | mail.ch@schuelke.com Schülke & Mayr AG | www.schuelke.ch


Loop (HIL)-Computer: Sie erlauben es, Stromnetze mit bis zu 2000 Knoten im Modell nachzubilden und in zeitlich hoher Auflösung in ihrem Verhalten zu testen. Für Geräte oder Anlagen an Netzknoten­ punkten, aber auch für autarke MicroGrids, smarte Quartiere und Verteilnetze können in dieser hochmodernen Testum­ gebung auch kritische Netzsituationen simuliert werden, ohne das echte Strom­ netz zu gefährden. Acht flexibel schalt­ bare Leistungsverstärker mit einer Ge­ samtleistung von 800 kVA erlauben es, einem Prüfling diese simulierte Netzsitu­ ation aufzuprägen oder Batterien und Er­ zeuger (z.B. Photovoltaik-Anlagen) in Hard­ ware nachzubilden. Die moderne Infrastruktur ermöglicht die Betrachtung von AC oder DC Netzen. «Der digitale Zwilling auf dem HIL-Rechner ist dank einer Bibliothek von Modellen sehr flexibel konfigurierbar. Wir können Stromnetze unterschiedlicher Grössen und Spannungsebenen simulieren und sowohl private als auch gewerbliche Ener­ giesysteme nachbilden. Der Zwilling er­ möglicht die Evaluierung und Optimierung von Komponenten, Energiemanagement­ systemen und Kommunikationsstandards in einer sicheren realitätsnahen Umge­ bung», so Dr. Bernhard Wille-Haussmann, der als Gruppenleiter Netzbetrieb und Netzplanung das Labor leitet. Zur Ausstattung des Digital Grid Labs gehört auch eine Leitwarte, in der neu­ artige Regelungsalgorithmen und Be­ triebsstrategien für Smart Grids unter dem Einsatz von Methoden der künstli­ chen Intelligenz erprobt werden. Der Hardware-in-the-Loop-Rechner nimmt hier die Rolle des digitalen Zwillings ein und modelliert für die Leitwarte ein Stromnetz inklusive dessen Kommunika­ tion. So können neue Regelungskonzepte

Herzstück des neuen Labors ist ein leistungsstarker Power Hardware-in-the-Loop Simulator, der Stromnetze bis zu 2000 Knoten berechnen kann und Subnetze bis zu 800 kVA über Leistungsverstärker im Labor emulieren kann.

in einer realitätsnahen Umgebung unter kritischen Bedingungen evaluiert werden, ohne dass eine Gefahr für den echten Netzbetrieb besteht. Prüfungen für intelligente Elektromobilität Die beschriebene Infrastruktur erlaubt die Prüfung verschiedener energietechni­ scher Komponenten, wie Batteriesyste­ me, Blockheizkraftwerke oder Wärme­ pumpen. Für den Start des Labors haben die Expertinnen und Experten des Fraun­ hofer ISE den digitalen Zwilling eines Elektrofahrzeuges entwickelt. Mit diesem emulieren sie ein Elektrofahrzeug oder auch einen ganzen Fahrzeug-Pool mit seinen Leistungsflüssen und seiner Kom­ munikation mit der Ladestation. So kön­

nen verschiedene Arten von Ladestatio­ nen bezüglich ihrer Netzrückwirkung (nach Netzanschlussrichtlinien VDE AR 4100/4105) und im Zusammenspiel mit intelligenten Messsystemen und Energie­ managementsystemen geprüft werden. Hierzu gehören neben der Netzkonformi­ tät auch die Anpassung des Ladestroms an externe Anforderungen, z. B. durch den Netzbetreiber oder Ladestations­ betreiber. Das Digital Grid Lab erlaubt die Prüfung der Netzkonformität und Kom­ munikation von Ladesteckern und -modi nach den Normen IEC 62196, IEC 61851 und ISO 15118. Der Test von Ladestatio­ nen beinhaltet damit Kommunikations­ tests für die gesamte Signalkette und Evaluierungen des Geräteverhaltens auf externe Markt- und Steuersignale. Da der Teststand im Digital Grid Lab auch mit zahlreichen realen Ladestationen ver­ bunden ist, kann die Kompatibilitätsprü­ fung von Lademanagementkonzepten herstellerneutral und sicher durchgeführt werden. Autor: Dr.-Ing. Bernhard Wille-Haussmann, Gruppenleiter Netzbetrieb und Netzpla­ nung

Ladestationen können auf ihr Verhalten in verschiedenen Netzsituationen hin getestet werden.

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Weitere Informationen: Karin Schneider Fraunhofer ISE Heidenhofstr. 2 D-79110 Freiburg info@ise.fraunhofer.de www.ise.fraunhofer.de

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Reinraum-Unterhaltsreinigung ist etwas für Profis Für die Reinhaltung der Produktion unter reinen Bedingungen – in Sauber- und Reinräumen – wird immer öfter die Beratung und Unterstützung von professionelle Reinigungsfirmen hin­ zugezogen. Die Rohr AG in Hausen (Aargau/Schweiz) gibt anhand eines Praxisbeispiels die Überlegungen und das Vorgehen von Auftraggeber und Reinigungsinstitut weiter, um die Arbeit so effektiv wie möglich durchzuführen.

Ist der erforderliche Reinheitsstatus im RR erst einmal hergestellt, wie geht es dann weiter? Dienstagabend um 17:28. Anrufer: «Ist dort die Rohr AG? Ja,… genau, hat wunderbar geklappt mit der Grundreinigung. Danke vielmals dafür. Ich habe eine Frage: Der Produktionsleiter hat mich gefragt, wann wir mit der Unterhaltsreinigung weitermachen. Er meinte, wir sollten die Sauberkeit aufrechterhalten, jetzt wo der Reinraum gereinigt und qualifiziert ist und er mit der Produktion startet. Können Sie bitte Morgen vorbeikommen und schnell mal mit der Unterhaltsreinigung im Reinraum starten?» Ist die, für die Produktion erforderliche, Reinheit in den Produktionsräumen erst einmal hergestellt, muss diese aufrechterhalten werden. Dazu dient die Unterhaltsreinigung. Aber welcher Reinigungsumfang ist notwendig und wie kann man den Aufwand so gering wie möglich halten? Wie viel Reinigung darf es denn sein? Schnell mal vorbeikommen und mit der Unterhaltsreinigung im Sauber- oder Reinraum zu beginnen ist sicher möglich, vor dem Start der Unterhaltsreinigung sollten sie dazu jedoch bereits Ihre Hausaufgaben gemacht haben. So gilt auch für die Unterhaltsreinigung: Erstellen Sie als erstes eine Risikoanalyse. Über diese stellen Sie sicher, dass Sie bei kniffligen Fragen Ihrer Auftraggeber, externer Auditoren oder von Behörden bereits die richtigen Antworten parat haben. Ausserdem nützt Ihnen die beste Reinigung wenig, wenn diese nicht auf Ihre Produktion abgestimmt ist und entweder ein Risiko für den Herstellprozess (z. B. zu viel Luftfeuchtigkeit durch den Einsatz von Wasser im Reinigungsdesinfektionsmittel) oder das Produkt (Wirkstoff der Reinigung – Desinfektion wirkt sich negativ auf das Produkt aus) darstellt. Die Risikoanalyse muss nicht

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Anpassung der Reinigung an die bestehenden Apparaturen. (Bilder: Rohr AG)

ausufernd sein. So kann durchaus auch das von allen Teilnehmern unterschriebene Protokoll der Besprechung der Risiken bereits ausreichen. Der Leistungsumfang und das Reinigungssystem Der Aufwand für die Reinigung, das sogenannte Mengengerüst, ergibt sich aus der Grösse der Räume in Form des Raumplans und Raumverzeichnisses, der durchzuführenden Reinigungstätigkeiten in Form eines Leistungsverzeichnisses, der Umstände vor Ort (wie aufgeräumt und zugänglich) und aus dem Reinigungssystem. Vor dem Start der Reinigung benötigt der Dienstleister Ihres Vertrauens daher detaillierte Angaben von Ihnen. Die Gesamtheit der Angaben bezeichnen wir bei der Rohr AG als «Reinigungssystem». Dazu ist es erforderlich, dass Sie sich über folgende Fragen Gedanken machen:

Wer führt welche Reinigung durch? Definieren Sie welche Tätigkeiten von den eigenen Produktionsmitarbeitenden und welche von den Reinigungsfachkräften des Reinigungsinstituts durchgeführt werden. So werden Arbeitsplätze und sensi­ ble Produktionsmaschinen zumeist durch die eigenen, versierten Produktionsmitarbeitenden gereinigt. Die Mitarbeitenden des Reinigungsinstitutes kümmern sich um die Peripherie, wie das robustere Equipment, das Inventar und die Raumreinigung. Wann soll die Reinigung durchgeführt werden. Gibt es einen Schichtbetrieb oder wann ist z. B. das Ende der Produktion? Dazu vereinbaren Sie bei Bedarf einen Zeitplan für die Durchführung der Reinigung. Wo soll genau was gereinigt werden. Meist sind das vereinbarte Leistungsverzeichnis und das Verzeichnis der Räume zu unübersichtlich für die tägliche Arbeit

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Die gut ausgebildete Putz-Equipe übernimmt die Reinigung.

der Reinigungsfachkräfte. Damit trotzdem nichts vergessen wird empfiehlt es sich, in den betreffenden Räumen einen Plan der durchzuführenden Tätigkeiten und den zu verwendenden Reinigungs- bzw. Desinfektionsmitteln gut sichtbar zu platzieren. Womit soll die Reinigung- und Desinfektion durchgeführt werden? Dazu erarbeiten Sie am besten ein sogenanntes «Reinigungskonzept». Im Reinigungskonzept definieren Sie: – das Reinigungsverfahren bzw. die Reinigungsmethode – die Reinigungs- /Desinfektionschemie – die Wischtextilien oder Moppbezüge – das Reinigungs-Equipment – weiteres Verbrauchsmaterial. Idealerweise arbeiten Sie dieses nicht zu detailliert aus und legen darin lediglich Kriterien fest, wie zum Beispiel die zu verwendenden Wirkstoffe und deren Dosierung. Damit erhält Ihr Einkauf mehr Spielraum sich den wirtschaftlichsten Anbieter für die Reinigungs- und Desinfektionsmittel oder die Wischtextilien zu suchen. Der Effizienz und den Reinigungsfachkräften zuliebe sollten sie bemüht sein, die Anzahl verschiedener Reinigungs- und Desinfektionsmittel auf ein Minimum zu begrenzen. Des Weiteren sollten Sie da­ rauf achten, sich nicht mit ungeeigneten,

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weil nicht reinheitstauglichen, Reinigungsund Desinfektionsmittel zusätzliche Pro­ bleme in den reinen Bereich zu holen. Der Experte hilft Ihnen gerne dabei, die richtige Auswahl zu treffen. Das wie halten Sie ebenfalls schriftlich in einer kurzen, idealerweise sogar bebilderten, Arbeitsanweisung fest. Definieren Sie, wie bei der Reinigung und Desinfektion korrekt vorzugehen ist, zum Beispiel die Wischtechnik oder in welcher Reihenfolge die Räume zu reinigen sind. Damit schaffen Sie auch gleich die Grundlagen für Ihren kontinuierlichen Verbesserungsprozess (KVP), indem Sie die Stellschrauben definieren, an denen Sie dann je nach Bedarf drehen können. Für Produzenten technischer Produkte, in nach ISO 14644 zertifizierten Reinräumen, ist nicht sofort ersichtlich, wie viel Reinigungsaufwand auch tatsächlich notwendig ist. Je nach Anforderung an die Reinheit kann hier zwischendurch ein Wischtest mit dem berühmten weissen Samthandschuh an kritischen Stellen sehr hilfreich und aussagekräftig sein. Aufgrund der Erkenntnisse passen Sie dann die Reinigung entsprechend an. Produzenten von Arzneimitteln oder Medizinprodukten müssen sich an das schweizerische Heilmittelgesetz – (HMG) halten. Damit haben es die Kollegen aus der pharmazeutischen Produktion und Medizintechnik jedoch auch einfacher. Die entsprechenden Regularien, wie die schweizerische Arzneimittel-Bewilligungsverordnung (AMBV) oder der EudraLex Volume 4 Annex 1 machen genaue Vorgaben zur Reinigung und Desinfektion und geben sogar Zielwerte für die maximal zulässige Anzahl an Verunreinigungen (z. B. KBEs) vor. Dokumentation und Qualitätssicherung Für eine Kontrolle benötigen Sie eine Grundlage, anhand derer Sie die Übereinstimmung oder Abweichung des Ist vom Soll-Zustand erfassen können. Im Fall der Unterhaltsreinigung sind dies die qualitätssichernden Dokumente. Nur wenn Sie einen Massstab haben, können Sie eine Nichteinhaltung feststellen und dessen Einhaltung auch einmahnen. Qualitätssicherung kostet Zeit und damit Geld. Fakt ist aber auch: «Vorbeugen ist besser als Heulen» und «Wer schreibt, der bleibt». Legen Sie daher die wichtigsten Eckpunkte zur Unterhaltsreinigung Ihrer reinen Bereiche schriftlich fest, und lassen sich diese qualitätssichernden Dokumente von Ihrem Reinigungsdienstleister gegenzeichnen. Im Besten Fall hat das ausgewählte Reinigungsinstitut bereits eine fertige Blaupause der erforderlichen Dokumente in der Schublade, welche dann in gemeinsamer Abstimmung speditiv auf ihre speziellen Anforderungen hin abgepasst werden können.

Der Lohn für die Mühe liegt auf der Hand: weniger Fehler, weniger Ausschuss, weniger Reklamationen, weniger Unklarheiten und Rückfragen, weniger Aufwand bei der Ausbildung neuer Mitarbeitender, Nachvollziehbarkeit der Entscheidungen, weniger Rätselraten und vor allem leuchtende Augen all jener Personen, die an einem erfolgreichen Audit beteiligt waren. Und so nebenbei verhelfen Sie Ihrer QSAbteilung zu einem ungestörten und erholsamen Büroschlaf. Das beste Reinigungssystem und die beste Vorbereitung nützen Ihnen jedoch herzlich wenig, wenn das ausführende Personal die entsprechenden Dokumente nie zu Gesicht bekommen hat. Daher sollten Sie sich die Leseschulung der qualitätssichernden Dokumente von jeder einzelnen Reinigungsfachkraft auch bestätigen lassen. Wenn man sich bei der Einschulung der «Neuen» auf die «Alten» Mitarbeitenden verlässt, hat das immer etwas vom Spiel «Stille Post» an sich. Ein Tipp zum Schluss: Vertrauen ist gut, Kontrolle ist besser. Ein Reinigungs- und Desinfektionsprotokoll hilft Ihnen bei der Nachvollziehung der Durchführung der Reinigung und Desinfektion. Das kann hilfreich sein, wenn z. B. die Personalschleuse bereits zur «Znüni-Pause» wieder komplett verschmutz ist. In Good Manufacturing Practice (GMP) reglementierten Bereichen gilt zudem: «Nicht dokumentiert bedeutet: Es wurde nicht gemacht». Wie geht es weiter? Mittwochvormittag 7:03, zwei Monate nach dem Start der Reinraum-Unterhaltsreinigung. Anrufer: «Ist dort die Rohr AG? Ja, . . . genau, die Unterhaltsreinigung klappt wunderbar. Danke vielmals dafür. Ich habe eine Frage: Unser Einkauf hat mich gefragt, ob wir noch etwas am Preis für die Reinigung machen können. Können Sie dazu bitte morgen vorbeikommen und schnell mal mit uns eine Optimierung der Reinigung besprechen? Der Projektverantwortliche staunte, als er diese Antwort bekam . . . Autor Ing. Arthur Klavora, Senior Consultant Engineering und Schulung, Mitglied des Kaders der Rohr AG

Weitere Informationen Rohr AG Dr.-Ing. Wolfram Kessler Geschäftsführer Rohr AG Handel Leiter Kompetenzzentrum Reinraum Obere Holzgasse 8 CH-5212 Hausen +41 58 717 77 00 kessler@rohrag.ch www.rohrag.ch

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TcAF-Systeme überzeugen mit deutlichen Vorteilen Die infektionspräventive Funktionalität effizienter Lüftungsalternativen sieht sich insbesondere in der Dach-Region immer noch mit normativen Herausforderungen konfrontiert. Dabei zeigt ein Blick nach Skandinavien, dass es mittlerweile wirksame Lösungsansätze gibt, die gegenüber herkömmlichen TVS- und TAV-Systemen deutliche Vorteile aufweisen. Beispiele aus der Praxis zeigen hier das Potenzial, das in der Installation neuer Lüftungstechnik mit temperaturkontrolliertem Airflow (TcAF) liegt. An Raumluftanlagen in hygienekritischen Bereichen wie Operationssälen werden spezifische Anforderungen gestellt. Ne-

ben Aspekten wie Arbeitsschutz und Management thermischer Lasten, ist vor allem die Vermeidung von postoperativen

Flexible Platzierung des Instrumententisches, Opragon sorgt für ultra-saubere Bedingungen im gesamten OP der Art Clinic. (Bild: Art Clinic)

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Wundinfektionen im Sinne der Patientensicherheit elementares Ziel eines effektiven und effizienten Lüftungssystems. Konventionelle OP-Belüftungssysteme kommen hierbei oft an ihre Grenzen, da sie das Versprechen, Infektionen zu reduzieren, nicht einhalten können. Das Pro­ blem: Luftübertragene Bakterien bleiben meist in zu hoher Konzentration vorhanden und erhöhen dadurch die Gefahr, einer direkten oder indirekten Kontamination des OP-Feldes. Welche Auswirkungen das auf das Risiko postoperativer Wundinfektionen hat, wird seit Jahren kontrovers diskutiert. Da es innerhalb Europas keine einheitlichen Normen oder Bewertungsverfahren für Belüftungsanlagen in Operationssälen gibt, wird eine entsprechende Vergleichbarkeit zusätzlich erschwert. Insbesondere drei raumlufttechnische Lösungsansätze sind derzeit im Einsatz: TVS-Systeme (Turbulente Verdünnungsströmung), TAV-Systeme (Turbulenzarme Verdrängungsströmung) sowie TcAF-Systeme (Temperaturkontrollierter Airflow). Deutliche Vorteile von TcAF-Systemen Während in Deutschland, Österreich und der Schweiz fast ausschliesslich TVS- und TAV-Systeme Einsatz finden, sind Lüftungssysteme mit temperaturkontrolliertem Airflow (TcAF) wie das Opragon-System der schwedischen Firma Avidicare AB aus Lund (Schweden) im skandinavischen Raum und den Niederlanden bereits etabliert. Führende akademische Krankenhäuser sowie Fachkliniken setzen hier verstärkt auf TcAF, um eine grösstmögliche Reduzierung der mikrobiellen Belastung der Luft im gesamten Operationssaal zu erreichen. Das Opragon System basiert auf einer innovativen Kombination klassischer Mischlüftung in der Raumperipherie und einer unidirektionalen Strömung in der Raummitte. Durch das Einlassen kühler,

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hochreiner Luft wird belastete Luft effektiver und effizienter vom Operationstisch verdrängt. Dadurch wird ultra-reine Luft im gesamten Operationssaal und nicht nur in einem kleinen, eingegrenzten Bereich gewährleistet. Das System ist bereits umfassend wissenschaftlich validiert. So konnte in verschiedenen Studien gezeigt werden, dass die TcAF-Technologie alle Anforderungen für den nach der DIN 1946-4 geforderten Schutzgrad in der Raumklasse 1a als auch bzgl. der Anforderungen der Klasse 5 nach ISO 14644 bzw. der Raumklasse B nach GMP-Richtlinie erfüllt. Mit mehr als 300 Installationen in renommierten Kliniken und Gesundheitseinrichtungen, trägt das Opragon-Lüftungssystem vor allem im skandinavischen Raum dazu bei, luftgetragene Schadstoffe sowie die Bakterienbelastung im gesamten Operationssaal während einer OP auf ein Minimum zu reduzieren. Als eine der führenden Fachkliniken Schwedens für plastische Chirurgie, Rückenchirurgie und Orthopädie, entschied man sich in der Art Clinic in Schweden (www.artclinic.se) bereits 2010 für den Einsatz des Opragon Lüftungssystems. Ronnie Pettersson, CEO der Art Clinic, kann seitdem zurückblicken auf mehrere Inbetriebnahmen des Systems, unter anderem in Jönköping und Göteborg. «We really wanted the best setup for a clinic to minimize the risk of infections and complications and that’s why we chose the Opragon-system», so Pettersson, der neben der Patientengesundheit besonders den hohen Qualitätsanspruch der Art Clinic betont. Als Klinikum mit dezidiert patientenorientierter Perspektive, waren neben der Patientensicherheit jedoch auch die Gewährleistung der bestmöglichen medizinischen Erster Einsatz in der Schweiz Neben dem skandinavischen Raum, wächst auch in der Dach-Region das Interesse an TcAF-Lüftungstechnik. So entschied sich das Clinica Luganese Moncucco in Lugano als erstes Klinikum in der Schweiz 2018 für die Ausstattung von insgesamt vier komplett renovierten Operationsräumen mit einem TcAF-System. Innerhalb von nur vier Wochen wurde dabei das alte Lüftungssystem in den OPs ausgebaut und das neue OpragonSystem installiert. So war durch eine schnelle Montage sowie kurze Stillstandzeiten der OPs während der Bauphase bereits der Einbau kosteneffizient. «Dass wir uns für Avidicares Opragon-System entschieden haben, hatte vor allem zwei Gründe», so Christian Camponovo, Direktor der Clinica Luganese Moncucco, «Wir gehen von niedrigeren laufenden Kosten für das System aus und hoffen

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auch die einfache Bedienung, die es den Mitarbeitern ermögliche, sich mehr auf die Betreuung des Patienten und weniger auf die des Systems zu fokussieren. Letzteres wurde hierbei individuell den Bedürfnissen der Art Clinic angepasst, worin Pettersson einen weiteren Vorteil sieht: «The system was tailor-made for us and for the facilities, which is very nice, especially when you don’t build a new clinic and you already have a special facility».

Versorgung sowie die Wahl eines ökonomisch-effizienten Systems entscheidend. «One thing is to buy a ventilation system, another thing is the quality of a system, because if a patient gets an infection during an orthopedic surgery it causes high costs, both for the clinic and for the pa­ tient. If you can minimize these infections, you have lower costs for the whole clinic.», weiss Pettersson, der seit Einsatz des Opragon Lüftungssystems konstant niedrige Komplikationen sowie Infektionen verzeichnet: «We’ve been having this system since many years and we still see that it has been giving us very nice and clean air and we can also see that we are having a minimum of CFU in operation theatres, between 0 and 3 CFU/m3.» Zusätzlich betont Pettersson den Sicherheitsaspekt ultra-reiner Luft, der sich nicht zuletzt im Zuge der Corona-Pandemie auch für das Klinikpersonal essenziell erwiesen habe. Ein weiterer Aspekt sei aber

Alternative Lüftungssysteme: Auch Niederländer setzen verstärkt auf TcAF Doch nicht nur in Schweden auch in den Niederlanden setzt man seit einigen Jahren vermehrt auf TcAF-Systeme, insbesondere bei schweren und langdauernden Operationen. Um hier die tatsächliche Biobelastung in Operationssälen feststellen und die Effektivität von TcAF-Systemen valide bewerten zu können, wurde das System in einem echten OP in Göteborg (Schweden) einem Stresstest unterzogen. Remko Noor, Berater für OP-Lüftungstechnik von der Maximuse B. V. aus Almelo (Niederlanden) war als Spezialist für zukunftsorientierte OP-Raum-Lösungen federführend und seitdem bei fast allen Installationen des Opragon Systems in den Niederlanden beteiligt. Im Rahmen des Stresstests wurden insgesamt vier verschiedene Arten von simulierten Operationen durchgeführt, jeweils mit unterschiedlicher Anzahl an Personen und Geräten im OP sowie wechselndem Ablauf und Bewegungsmustern im Raum. Um einen umfassenden Eindruck vom OP mit dem TcAF-System zu bekommen, wurden insgesamt sieben verschiedene Szenarien nacheinander im Laufe eines Tages untersucht. Das Ergebnis überzeugte dabei in jeder Beziehung. So erfüllten

auf eine angenehmere Arbeitsumgebung für unser OP-Personal.» Auch hier gab es laut Camponovo bereits nach kürzester Zeit positive Rückmeldungen, ins-

besondere von Seiten der Chirurgen, die das bessere Arbeitsklima lobten, da ihnen «die Luft weniger auf den Kopf drückt.»

Ronnie Pettersson, CEO Art Clinic, Schweden. (Bild: Art Clinic)

Einer der vier Operationssäle, die in der Luganeser Klinik Moncouco eingebaut wurden. (Bild: Avidicare)

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alle KBE-Messungen mit aktiver Luftkeimsammlung den schwedischen Standard von unter 10 KBE/m³. Die gemessene Partikelzahl war immer kleiner als 20 000 Partikel mit einer Grösse von 0,5 μm bzw. kleiner 3000 mit einer Grösse von 5,0 μm. Selbst während der letzten «chaotischen» Operation – dem Stresstest – waren die Partikelkonzentration ebenso wie die KBEWerte niedrig trotz der zahlreichen Aktivitäten im OP. Die Zahl der TcAF-Installationen in den Niederlanden ist seitdem stetig gewachsen. So wurde das Opragon System unter anderem in einer der besten Kliniken für Orthopädie weltweit, der Sint Maartenskliniek (SMK) in Nijmegen, installiert. Insgesamt sechs neue OP-Säle sowie sechs Vorbereitungsräume wurden mit dem zukunftsweisenden System ausgestattet, wie Dr. Koen Defoort, orthopädischer Chirurg an der Sint Maartenskliniek berichtet. Das Opragon Lüftungssystem überzeugt durch positive Erfahrungen beim klinischen Personal, allem voran durch die Möglichkeit einer deutlich flexibleren Raumnutzung: «The major importance for us is that we are not confined any more to a small area around the operating table. We can use the whole room to place ins-

trument tables. For us that is very important as we do a lot of revision arthroplasty surgery which uses a lot of sterile sets.», so Defoort. Hinzu kämen eine geringere Lärmbelästigung, ein vermindertes Zuggefühl sowie ein niedrigerer Energieverbrauch. Insbesondere vor dem Hintergrund steigender endoprothetischer Eingriffe hält Defoort alle Arten von infektionsreduzierenden Massnahmen für dringend erforderlich. «There is never one single factor that will reduce the infection rate to 0», konstatiert Defoort, jedoch sei «the air quality […] one thing we don’t need to worry about anymore with this system.» Viele Kliniken seien laut Defoort bereits dem Beispiel der Sint Maartenskliniek gefolgt. Das könne wiederum auch anderen Kliniken motivieren, sich für TcAF zu entscheiden.

Patientensicherheit sicherzustellen. Angesichts stetig wachsender Herausforderungen im Bereich Ökonomie sowie Infektionsprävention wächst der Bedarf an effizienteren und wirksamen Alternativen zu TVS- und TAV-Systemen im OP. Die Zukunft wird zeigen, inwieweit andere Länder bereit sind, sich mit skandinavischen Standards und Erfahrungen auseinanderzusetzen. So könnten neue Wege in Richtung ultra-reine Luft in kritischen Krankenhausbereichen wie dem OP beschritten werden, zum Wohle der Patienten, des Personals und der Umwelt. Folgt man Pettersson gibt es hier vor allem einen Grund, der klar für TcAF-Systeme spricht: «So really to say one word why you should choose Opragon system: it’s quality.» Autor: Dr. Franziska Wotzinger

Conclusio Trotz länderspezifischer Herausforderungen gibt es auch in der Dach-Region erste positive Erfahrungswerte mit TcAF-Lüftungssystemen. Da es sich bei einem OP um ein komplexes thermodynamisches System handelt, gilt es neben Aspekten der Steuerung des Raumklimas, insbesondere die Gewährleistung von Arbeits- und

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publireportage

GMP-Probenzugsystem für Qualitätskontrolle Sicheres Ein- und Ausschleusen sind besondere Herausforderungen für Containment-Anlagen. GMP-konforme Probennahme ist dennoch schon im Wareneingang möglich.

Aussenansicht des Probenzugraums für sichere Qualitätskontrolle im Wareneingang. (Bilder: Weiss Pharmatechnik)

Schülke & Mayr mit Hauptsitz in Norderstedt stellt Desinfektionsprodukte für Hygiene und Infektionsprävention her. Für die Probenahme von Rohwaren, Verpackungsmaterialien für Arzneimittel sowie pharmazeutischen Wirk- und Hilfsstoffen suchte das Unternehmen eine Lösung, um die angelieferten Produkte direkt im Lagerbereich des Wareneingangs zu bemustern. Schon zu Beginn des Projektes war klar, dass ein massgeschneidertes Reinraumsystem gefordert ist, um die Probenahme unter GMP-Bedingungen durchführen zu können. Weiss Pharmatechnik hat für Schülke & Mayr das gesamte System inklusive RaumModule, Steuerung und Lüftungsanlage sowie Equipment und Inventar geplant und ausgeführt. Auch die Qualifizierung des Probenzugsystems war Teil des Lieferumfangs. Zum Probenzugsystem gehören eine Personalschleuse, ein Vorbereitungsraum, eine Materialschleuse und die Probenahmekammer. Eine belüftete Durchreiche-Schleuse dient zum Ein- und Ausschleusen von Probenbehältern und Abfall. Im Vorbereitungsraum und im Probenzugraum sind jeweils eine Wibobarrier Flow Probenzugkabine für das Handling der Gebinde und die manuelle Probenahme integriert. Deren spezielle Luftführungstechnik vereint die Funktionen von

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Laminar- und Barriere-Luftstrom. Ein automatisches Förderrollensystem durchzieht den gesamten Reinraum, so dass der Transfer der Gebinde auf Paletten ohne Umpacken geschieht. Die Mitarbeiter betreten den Reinraum über die äussere Tür der Personalschleuse. In der Personalschleuse befinden sich die Umkleide mit der Trennung der un-

reinen Seite und der reinen Seite durch eine Sit-Over-Bench. Nach dem Anziehen der Reinraumschutzkleidung gelangen Mitarbeiter über weitere Türen in den Vorbereitungsraum und in die Probenahmekammer. Die Türen sind gegeneinander verriegelt, und die Schleusensteuerung verhindert ein unkontrolliertes Eintreten vor Ende der Spülzeit. Ampel-Meldeleuch-

Innenansicht eines Probenzugraums für grosse Gebinde.

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Schema und Grafik des GMP-Musterzugs.

ten auf jeder Seite der Türen signalisieren in grün oder rot, ob die Tür zur Nutzung freigegeben oder gesperrt. GMP-Musterzug Das zu prüfenden Produkte wird durch das Förderrollensystem eingeschleust. Der Vorbereitungsraum hat gleichzeitig die Funktion einer Materialschleuse. Zur besseren Erreichbarkeit der Gebinde ist das Fördersystem mit Drehscheiben versehen. Im Wibobarrier Flow erfolgt die Vorbereitung für den GMP-Musterzug. Das Verpackungsmaterial wird entfernt und die Gebinde werden manuell gereinigt. Nach Ablauf einer definierten Spülzeit werden die Produkte über ein Rolltor direkt in die Kabine im GMP-Probenahmeraum eingeschleust. Hier erfolgt der GMP-Musterzug unter erhöhten Personen- und Produktschutzbedingungen. Druckstufenkonzept Ein spezielles Druckstufenkonzept verhindert das Eintreten von Kontaminationen vom unreinen Lagerraum in den Reinraum. Die Luftzufuhr erfolgt über die Reinraum-

Seit 1971 steht die Weiss Technik AG in der Schweiz für anspruchsvolle Lösungen in der Umweltsimulation und Klimatechnik sowie herausragenden Service.

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decke. Hier wird Hepa-gefilterte Reinluft über Auslässe mit turbulenter Verdrängungsströmung in den Raum geleitet. Die Luftwechselrate in allen Räumen des Reinraums ist 20-fach. Dadurch wird in den Schleusen und im Vorbereitungsraum die Reinheitsklasse ISO8 bzw. GMP-Klasse D erreicht. Innerhalb der Probenzugkabine herrscht eine turbulenzarme, unidirektionale Verdrängungsströmung und eine > 200-fache Luft-wechselrate. Hier wird die Reinheitsklasse ISO 5 nach ISO 146441-1 erreicht. Während der gesamte Reinraum mit Zuund Abluft von der zentralen Lüftungsanlage neben der Kabine versorgt wird, ist die Umluftführung jeder Probenzugkabine autark. Über den grossflächigen Zuluftverteiler in der Haube wird Hepa-gefilterte reine Luft als turbulenzarme, unidirektionale Verdrängungsströmung von oben in den Arbeitsbereich gegeben. Die Zuluftverteiler erzeugen zur Rückwand hin kleiner werdende, abgestufte Strömungsgeschwindigkeiten. Die im vorderen Haubenbereich integierten Auslassschienen bauen einen Reinluftschleier (Barriertrennschleier) auf, der in Verbindung mit den unterschiedlichen Ausströmgeschwindigkeiten des Zuluftverteilers eine stabile Reinraumzone erzeugt. Dadurch ist ein offener Zugang zum Arbeitsbereich möglich. Der vordere vertikale Reinluftschleier trennt den Produktbereich vom Umgebungsbereich und verhindert den Austritt von Kontaminationen. Im Produktbereich freiwerdende Partikel werden durch die Reinluftströmung erfasst und direkt vor die Absaugöffnungen in der Rückwand gefördert, so dass die Person und der Raum vor Produktemissionen geschützt sind. Punktabsaugung für Lösemittel Direkt am Arbeitsplatz der Probenzugkabinen sind schwenkbare Absaugarme installiert, die punktuell gasförmige Gefahrstoffe, wie beispielsweise Dämpfe von Lösemittel absaugen. Damit wird für zusätzlichen Schutz der Mitarbeiter gesorgt und es wird verhindert, dass eine explosive Atmosphäre in der Probenzugkabine entsteht. Die abgesaugte schadstoffhaltige Abluft wird in einer separaten Abluftleitung einer Filtereinheit ausserhalb des Reinraums zugeführt. Die gesamte Filtereinheit ist explosionsgeschützt nach AtexRichtlinie ausgeführt. Über einen installierten Ex-Not-Aus-Schalter lässt sich im Havariefall die Anlage ausstellen. Weitere Informationen Weiss Technik AG CH-8852 Altendorf Christian Scherrer Area Sales Manager Switzerland Containment Solutions christian.scherrer@weiss-technik.com www.weiss-technik.com

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veranstaltungen

Entgraten und Oberflächenfinish sichern Produktqualität Die Deburring Expo wird vom 12. bis 14. Oktober 2021 als Präsenzveranstaltung auf dem Messegelände Karlsruhe durchgeführt. Anwender aus den verschiedenen Branchen mit unterschiedlichsten Aufgabenstellungen in den Fertigungsschritten Entgraten und Herstellung von Präzisionsoberflächen können sich nun endlich wieder im direkten Gespräch mit Anbietern austauschen und deren neue sowie weiterentwickelte Lösungen live kennenlernen.

Ob Automobil- und Zulieferindustrie, Maschinen- und Anlagenbau, Medizin- und Pharmatechnik, Mess-, Feinwerk- und Sensortechnik, Werkzeug- und Formenbau oder Energie- und Umwelttechnik – in vielen Industriebereichen boomt die Nachfrage wieder. Allerdings steht die Bauteilfertigung durch Transformationsprozesse, veränderte Fertigungstechnologien wie additive Manufacturing, optimierte und neue Werkstoffe, den Trend zur Automatisierung und Digitalisierung von Produktionsprozessen sowie regulatorische Vorgaben vor neuen und veränderten Aufgabenstellungen. So unterschiedlich diese in den verschiedenen Branchen auch sein mögen, gratfreie und produktspezifisch optimal bearbeitete Oberflächen spielen zunehmend eine wichtigere Rolle. «Es geht dabei einerseits darum, beim Entgraten und dem Oberflächenfinish höhere Anforderungen an Qualität, Präzision und Energieeffizienz zu erfüllen. Andererseits sollen Kosten reduziert werden», beschreibt Hartmut Herdin, Geschäftsführer der fairXperts GmbH & Co. KG und Veranstalter der Deburring Expo, einige der Handlungsfelder für Unternehmen. Als ganzklar auf Entgrattechnologien und die Herstellung von Präzisionsoberflächen fokussierte Informations- und Kommunikationsplattform ermöglicht die Leitmessen den gezielten und effizienten Technologie- und Leistungsvergleich, wie er bei keiner anderen Fachmesse möglich ist. Dies zeigt sich auch daran, dass auf der Deburring Expo nahezu alle Markt- und Technologieführer vertreten sind. Branchen- und technologieübergreifendes Angebot Das breit gefächerte Lösungsangebot der Aussteller ist darauf ausgelegt, aktuelle und zukünftige Anforderungen effizient zu erfüllen. Für Hersteller medizintechnischer Produkte geht es unter anderem darum, die Vorgaben der neuen Medical Device

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Der klare Fokus auf Entgrattechnologien und Präzisionsoberflächen ermöglicht Besuchern, sich gezielt, effektiv und persönlich über unterschiedlichste Technologien und Verfahren zu informieren und diese zu vergleichen. (Bild: fairXperts)

Regulation – Medizinprodukteverordnung (MDR), die seit 26. Mai 2021 verpflichtend ist, zu erfüllen. Für Sterilprodukte werden in der MDR erstmals auch Partikel betrachtet. Dem Post Processing additiv gefertigter Komponenten widmet sich der Themenpark «AM Parts Finishing». Vorgestellt werden dabei Lösungen für die Entfernung von Stützstrukturen und Restpulver, für das Glätten und Polieren der Oberflächen sowie für die Vorbereitung der Bauteile für eine nachfolgende Wärmebehandlung oder Beschichtung. Um schneller, besser und wirtschaftlicher zu produzieren, gewinnt die Automatisierung und Digitalisierung von Entgrat- und Oberflächenbearbeitungsprozessen branchenübergreifend an Bedeutung. Dafür präsentiert die Deburring Expo mit dem Themenpark «Automatisiertes Entgraten mit Industrierobotern» innovative und praxistaugliche Lösungen.

Zweisprachiges Fachforum – Wissenstransfer als Mehrwert Die Qualität der Vorträge und ihre hohe Praxisorientierung sorgen beim dreitägigen, in die Deburring Expo integrierten Fachforum für einen wertvollen Wissenstransfer. Die simultan (Deutsch / Englisch) übersetzten Präsentationen informieren über Grundlagen, Wege zur Prozess- und Kostenoptimierung, Best-Practice-Anwendungen und Trends sowie zu den Inhalten der Themenparks. Autorin: Doris Schulz Weitere Informationen fairXperts GmbH & Co. KG Hartmut Herdin, Hauptstrasse 7 D-72639 Neuffen info@fairxperts.de, www.fairxperts.de

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veranstaltungen 21. Swiss Cleanroom Community Event

Am Montag, 8. November 2021 findet der Swiss Cleanroom Community Event in Pratteln (Schweiz) statt. Sein Ziel ist es, der Pharma-Branche mittels Know-how Vermittlung, die Teilnehmenden bei der Ent-

wicklung über die Herstellung bis hin zu Vermarktung von Arzneimitteln und Medizinprodukten, insbesondere der Herstellung von Impfstoffen (z.B. Covid-19) zu unterstützen. Dadurch wird den Patienten ein schnellerer und sicherer Zugang zu Arzneimitteln ermöglicht. Dieses Event bietet der GMP – und Reinraumbranche das optimale Ambiente für einfaches und erfolgreiches Networking. Man kann diese face-to-face experience nutzen, um hochwertige Leads generieren. 42 Firmen präsentieren mit eigenem Stand und kompetenten Mitarbeitern ihre Produkte und Dienstleistungen. Die rund 200 Teilnehmer des Events kommen ihrerseits aus über

130 Firmen. Der Event beginnt mit einem Hauptreferat, gefolgt von acht informativen Kurzreferaten, die den Besuchern aktuelle Themen, neue Produkte und Dienstleistungen sowie innovative Neuheiten rund um GMP und Reinraum vorstellen. Um 19.10 beginnt der Networking Teil des SCC Events. Wie oft fehlt Ihnen nur noch der richtige Ansprechpartner eines neuen Geschäftspartners? Bei Imbiss und einem kühlen Getränk kommen Sie schnell und unkompliziert ins Gespräch. Besuchen Sie zu dem die Ausstellerstände ihrer Favoritenfirmen.

se. Die nächste Ilmac findet von Dienstag, 19. bis Donnerstag, 21. Oktober 2021 in der Messe Basel statt. Im Markt findet momentan eine Rückbesinnung statt, Produktionen werden wieder rückverlagert und hier ansässige Firmen investieren verstärkt in den Standort Schweiz. Fast zwei Drittel aller in der Schweizer Pharmaindustrie Beschäftigten arbeiten in diesem Cluster. Cleanroom Control: An der Ilmac 2021 geben wir diesem wichtigen Thema Raum und richten den Fokus auf die kontrollierte Umgebungsreinheit für Forschung, Entwicklung und Produktion. Cleanroom Control ist eine Sonderausstellung und schafft

die ungezwungene und freundschaftliche Atmosphäre, in der gute Kontakte entstehen. Maintenance: Durch die Digitalisierung und die daraus resultierende Vernetzung von Prozessmanagement und Anlagenbetrieb wird die Instandhaltung zum Rückgrat der Industrie 4.0. An der ­Ilmac 2021 geben wir diesem wichtigen Thema eine Plattform. Maintenance Excellence Arena heisst die attraktive Gemeinschaftszone, die in Zusammenarbeit mit der Beiersdorff GmbH entwickelt wurde.

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Die Life Sciences und Chemie Branchen sind in der Schweiz sehr stark vertreten und bilden einen wichtigen Pfeiler der Wirtschaft. Die Ilmac ist die dazugehörige Mes-

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veranstaltungen

Ein richtiger Event ist nicht digital Die Durststrecke war sehr lang und alle hofften auf den tatsächlich stattfindenden Event für die Reinraumgemeinde in der Schweiz. Und tatsächlich war es am 5. Juli soweit: Der 20. Swiss Cleanroom Community Event erwartete in Pratteln (Schweiz) seine Besucherin­ nen und Besucher – analog und als ganze Menschen. Es war gut zu spüren, dass etwas Speziel­ les auf der Tagesordnung stand. Der Ta­ gungsort, das Hotel Marriott in Pratteln, stellte seine ganze Infrastruktur zur Ver­ fügung, was auch für das Hotel etwas Aussergewöhnliches darstellte. Das Pu­ blikum, die Ausstellerinnen und Aussteller und der Veranstalter befanden sich nerv­ lich zwischen erleichtert, etwas nervös und voller Freude. Geboten wurde, den Umständen entsprechend, ein volles Pro­ gramm von Firmenpräsentationen, Vor­ trägen und einem geselligen Teil. Der Organisator Frank Zimmermann stell­ te nach der ersten Begrüssung Beatrice Tappenbeck vor, die bei der Swiss Clean­

room Concept GmbH, neu zuständig ist für da Marketing, Business Development und Event Management. Das Ziel der Swiss Cleanroom Community Events ist es laut Zimmermann, der Phar­ ma-Branche mittels Know-how Vermitt­ lung, bei der Entwicklung über die Produk­ tion bis hin zu Vermarktung von Arznei­mitteln und Medizinprodukten, insbeson­ dere der Herstellung von Impfstoffen (z.B. Covid-19) behilflich zu sein. Dieser Event bietet der GMP – und Reinraumbranche das optimale Ambiente für einfaches und erfolgreiches Networking. Die «face-toface experience» soll genutzt und hoch­ wertige Leads generiert werden. 42 Firmen

Frank Zimmermann begrüsst die Teilnehmenden im Vorlesesaal. (Bilder: aje)

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Beatrice Tappenbeck verstärkt die Swiss Cleanroom Community und hat viel zum Event beigetragen. (Bild: SCC)

Dawn Ray ist bei Steris neu für die Schweiz zuständig. Sterilisation ist momentan sehr im Vordergrund.

präsentierten laut Veranstalter mit eigenem Stand und kompetenten Mitarbeitenden ihre Produkte und Dienstleistungen. Die rund 200 Teilnehmer des Events kamen aus über 130 Firmen. Und dies alles wurde reichlich genutzt. Die Vorträge waren gut besucht und deck­ ten ein breites Spektrum der Reinraum­ problematik ab. Man konnte feststellen, dass die Branche nicht stillsteht und das Betätigungsfeld sich ständig erweitert. Die Forschung generiert immer neue Lö­ sungsvorschläge und die Industrie ver­ sucht diese umzusetzen. Am Ende des Abends waren die Kärtchen getauscht, das Neuste und Wichtigste weitergege­ ben und es wurden entsprechend viele neue Kontakte geknüpft – eben all das, was in den letzten Monaten so gefehlt hat. «The show must go on» – natürlich hat uns die Technik die letzte Zeit über die Runden geholfen, aber ein echter Event braucht Menschen, und die Menschen brauchen den Event. www.swisscleanroomconcept.ch

Zoran Alimpic von der Evoplan AG hat in seinem Vortrag den Schwerpunkt auf Energie und Ökologie gelegt.

Michael Kuhn und Benjamin Pfändler von STZ Euro kamen vom Deutschen Offenburg nach Pratteln.

Vorschau: 21. Swiss Cleanroom Community Event Montag, 8. November 2021 Hotel Courtyard Marriott in Pratteln (Schweiz)

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Raumluftreiniger Roomguard – erwiesen wirksam Ob in Klassenzimmern, Büros, Restaurants, Wartezimmern, Besprechungs- oder Produktionsräumen, der CRT Roomguard Raumluftreiniger reduziert Aerosole um 99,995 % und damit auch ein potenzielles Ansteckungsrisiko. Der Roomguard wurde basierend auf dem Filter Know-how aus der Pharmabranche entwickelt und ist mit entsprechend hochwertigen Komponenten bestückt. Das Gerät ist sehr leistungsstark und erreicht Luftvolumenströme von bis zu 2000 m³/h. Dies ermöglicht auch in grösseren Räumen einen Luftwechsel von min. 6-fach, was als ungefährer Richtwert für eine optimale Reinigungswirkung genommen werden kann. Für eine ideale, auf die Räumlichkeiten zugeschnittene Luftverteilung sorgen justierbare Düsen die sicherstellen, dass eine optimale Luftfilterung und Luftverteilung gewährleistet wird – und dies alles ohne Zugerscheinungen. Der wichtigste Punkt, nämlich die effektive Filterwirkung, wird durch validierte Filterdaten des eingebauten Hepa Filters (H14) und den Nachweis des korrekten Einbaus vor Auslieferung sichergestellt. Jeder Roomguard wird vor Auslieferung nach EN 14644-3 überprüft (Filter zudem nach EN 1822 zertifiziert). Trotz hoher Leistungsfähigkeit generiert das Gerät dank durchdachtem Schall-

Auch Wartezimmer erhalten dank Roomguard Sicherheit durch die Reduktion der Aerosole um 99,995 %. (Bild: CRT)

schutz sehr geringe Betriebsgeräusche und kann daher überall und ohne durch Lärm zu stören aufgestellt werden. Der Betrieb des Roomguards wird dabei permanent intern überwacht und ein allfälliger Filteraustausch nach längerer Betriebszeit durch eine integrierte LED angezeigt. Um die Wirksamkeit seiner Reinigungseigenschaften auch durch eine neutrale und wissenschaftliche Stelle zu belegen,

wurde der Roomguard nach einem normierten Prüfverfahren durch die Hochschule Luzern (HSLU), Institut für Gebäudetechnik und Energie getestet. Dem Gerät wurde eine sehr hohe Effizienz bei der Reduktion von Partikeln innerhalb einer bestimmten Zeit (Erholzeit) attestiert. Im Testvergleich mit technisch und qualitativ vergleichbaren Luftreinigern schnitt der Roomguard herausragend ab. Beim Roomguard kommen auch individuelle Design-Wünsche nicht zu kurz. Er ist auch in Wunschfarbe oder mit Folierung lieferbar. So integriert sich dieser auch für Allergiker wertvolle Raumluftfilter dezent und unauffällig in seine Umgebung. Autor: Marco Cau Weitere Informationen CRT Cleanroom-Technology AG Marco Cau Langackerstrasse 1 CH-4332 Stein info@crt-ag.ch www.crt-ag.ch

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PR-News Riesige Nachfrage nach CO2 -Messgeräten Geschlossene Räume regelmässig zu lüften hat in der Corona-Pandemie eine ganz neue Bedeutung erhalten. Damit der richtige Zeitpunkt für Frischluft erkannt wird, setzen in der Schweiz immer mehr Schulen und Unternehmen CO 2 -Messgeräte ein. Diese messen die CO 2 -Konzentration in einem Raum und zeigen damit auch eine zu hohe Aerosol-Dichte an. Rotronic ist der führende Schweizer Anbieter von CO 2 -Displays. Nicht erst seit der Corona-Pandemie ist klar: Regelmässiges Lüften sorgt für ein gutes Raumklima und hilft bei der Konzentration während des Unterrichts oder einer Sitzung. Das Lüften hat seit Ausbruch der Pandemie einen neuen Stellenwert erhalten. Da

sich Viren und Bakterien auch via Aerosole übertragen, ist lüften zentral, um eine mögliche Ansteckung mit dem Corona-Virus zu vermeiden. Allerdings lassen sich Aerosole schlecht messen. Zusammen mit den Aerosolen atmet man jedoch auch CO 2 aus, somit bedeutet zu viel CO 2 in einem Raum auch eine entsprechend hohe Aerosol-Konzentration. Bei normaler Aktivität werden pro Person stündlich etwa 25 bis 35 Kubikmeter Frischluft benötigt. Ist genügend Frischluft vorhanden, bleiben die Kohlendioxidwerte unter der kritischen Grösse von etwa 1000 ppm (ppm = parts per million als Messgrösse für den Anteil an Kohlendioxid in der Luft). Aber bis man ohne Hilfsmittel bemerkt, dass der Luft-

Gerade für Schulzimmer eignen sich die Messgeräte sehr, da sie einfach zu handhaben sind. (Bild: Rotronic)

verbrauch in kleinen Räumen oder solchen mit vielen Menschen zu hoch ist, sind die CO 2 - und Aerosol-Konzentration bereits sehr hoch und es hätte gelüftet werden müssen. Die Messgeräte von Rotronic schaffen hier schnell und un-

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PR-News Personalisierte Hauttransplantate, im grossen Massstab Die Cutiss AG, ein Schweizer CEO von Cutiss, kommentierte: Life-Science-Unternehmen in «Jedes Jahr leiden über 11 Milder klinischen Phase, das sich lionen Menschen an schweren auf die regenerative Medizin Verbrennungen, die eine Opeder Haut und das Tissue Engi- ration erfordern. Die Haut ist neering konzentriert, hat die unser grösstes Organ. Wie weltweit erste automatisierte kann man also schnell und kosMaschine zur Herstellung von tengünstig genug Haut produmassgeschneiderten Hautge- zieren, um diese Patienten zu webetransplantaten für Er- behandeln? Gemeinsam mit wachsene und Kinder mit unserem Partner CSEM haben schweren Hautverletzungen, wir technologische Lösungen wie z.B. tiefen Verbrennungen, genutzt, um die Denovocastvorgestellt. Maschine zu entwickeln und Die in Zusammenarbeit mit die Produktion von Denovoskin, dem führenden Schweizer For- unserer personalisierten Hautschungszentrum CSEM entwi- gewebebehandlung, zu autockelte Denovocast-Maschine matisieren.» demonstriert die Machbarkeit Die Denovocast-Maschine proder Automatisierung des Her- duziert eine besondere Art von stellungsprozesses von bio- Hautgewebe namens Denotechnologisch hergestellter voskin, ein von Cutiss entwiHaut und soll die derzeit verfüg- ckeltes biotechnologisches baren Behandlungsmethoden und personalisiertes dermofür schwere Hautdefekte revo- epidermales Hauttransplantat. HOTEC_TSO_183x131_4c_2017_2_Layout 1 17.03.17 14:48 Seite 1 lutionieren. Daniela Marino, Dabei handelt es sich um ein

Denovoskin von Cutiss wird aus der CSEM Graftbox entnommen. Bild: (CSEM/Cutiss)

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bulletin 6. Décharge-Erteilung Antrag des Vorstandes Erteilung der Décharge an den Vorstand.

Veranstaltungen Protokoll der Generalversammlung vom 22. April 2021 per Mail im Zirkularverfahren Vorstand:

Norbert Otto, Präsident Roman Schläpfer, Kassierer Stéphane Blanc Martin Gutsche Thomas Krauss Roman Maag Tobias Merseburger Thomas Mosimann

Sekretariat:

Jeanette Wengler

Revisoren:

Thomas Christen Riccardo Schena

Traktanden 1. Begrüssung 2. Stimmenzählverfahren 3. Genehmigung Protokoll GV 22. April 2020 (publ. CCR 2 September 2020, Seite 46) 4. Jahresbericht des Präsidenten 5. Jahresrechnung 2020 und Revisionsbericht 2020 (Beilage 01 + 02) 6. Décharge-Erteilung 7. Änderungen im Mitgliederstand 8. Mitgliederbeiträge 2021 9. Budget 2021 und Beschluss (Beilage 03) 10. Wahlen / Mutationen Vorstand 11. Wahlen Revisoren 12. Ausblick Veranstaltungen SRRT-Swiss­ CCS 2021/2022 13. Varia 14. Schluss der Generalversammlung

1. Begrüssung Die Generalversammlung 2021, geplant am 22. April 2021, wird aufgrund der Corona-Krise erneut im Zirkularverfahren per E-Mail durchgeführt. 2. Stimmenzählverfahren Es werden lediglich die Stimmen «Ablehnung oder Enthaltung» gezählt, die bis 30. April 2021 per E-Mail im Sekretariat eintreffen (info@swissccs.org). Ohne Gegenstimmen gelten die Traktanden gemäss Traktandenliste als genehmigt.

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3. Genehmigung Protokoll der Generalversammlung vom 22. April 2020 (publ. CCR September 2/2020) Das Protokoll der Generalversammlung vom 22. April 2020 wurde nach der letzten Generalversammlung im CCReport 2/2020 (Seite 46) publiziert und auf der Homepage veröffentlicht. Antrag des Vorstandes Genehmigung des Protokolls der Generalversammlung vom 22. April 2020. Beschluss Das Protokoll der Generalversammlung vom 22. April 2020 wird einstimmig und mit Dank an die Verfasserin genehmigt. 4. Jahresbericht 2020 des Präsidenten Der Jahresbericht des Präsidenten wurde wiederum vorgängig zur Generalversammlung auf der SRRT-SwissCCS Homepage zur Einsicht und zum Download aufgeschaltet. Antrag des Vorstandes Genehmigung des Jahresberichts 2020. Beschluss Der Jahresbericht 2020 wird einstimmig genehmigt. 5. Jahresrechnung 2020 und Revisionsbericht 2020 – Rechnung 2020 schliesst mit einem Gewinn von CHF 30 638.86. – keine ausserordentlichen Aufwände – Bankguthaben ca. CHF 140 000.00 – das Vereinsvermögen beläuft sich per 31.12.2020 auf CHF 144 486.76 Die Revision wurde am 11. März 2021 erfolgreich durchgeführt. Der Vorstand dankt den Revisoren, Thomas Christen, vali.sys gmbh und Riccardo Schena, Weiss Technik AG. Diese empfehlen, die vorliegende Rechnung zu genehmigen. Die detaillierte Buchhaltung kann auf der Geschäftsstelle eingesehen werden und für Fragen steht Jeanette Wengler zur Verfügung.

Beschluss Dem Vorstand wird einstimmig Décharge erteilt. 7. Änderung im Mitgliederstand 2019 2020 Änderung Einzelmitglieder 79 71 –8 Kollektivmitglieder 122 111 –11 (max 5 Nominationen)

Statistik: Mitglieder Stand April 2021: Einzelmitglieder: 71 Kollektivmitglieder: 111 8. Mitgliederbeiträge 2021 Der Präsident Norbert Otto beantragt im Namen des Vorstands, die Mitgliederbeiträge 2021 einmalig zu halbieren, sprich auf CHF 50.00 bzw. Euro 50.00 für Einzelmitglieder und CHF 250.00 bzw. Euro 250.00 für Kollektivmitglieder festzulegen. Antrag des Vorstandes Einmalige Halbierung der Mitgliederbeiträge 2021 für alle Mitglieder, die vor dem 31. Dezember 2020 eingetreten sind wie folgt: Einzelmitgliedschaft CHF 50.00 (Euro 50.00) Kollektivmitgliedschaft CHF 250.00 (Euro 250.00) Beschluss Die Generalversammlung genehmigt einstimmig die einmalige Halbierung der Mitgliederbeiträge 2021 für alle Mitglieder, die vor dem 31. Dezember 2020 eingetreten sind, wie folgt: Einzelmitgliedschaft CHF 50.00 (Euro 50.00) Kollektivmitgliedschaft CHF 250.00 (Euro 250.00) 9. Budget 2021 und Beschluss Im Budget 2021 (Beilage 03) wurde die einmalige Reduktion von 50 % auf den Mitgliederbeiträgen einfügt, das zu einem voraussichtlichen Verlust von CHF 21 700.00 führt. Antrag des Vorstandes Genehmigung des Budgets 2021.

Antrag des Vorstandes Genehmigung der Rechnung 2020 und des Revisionsberichts 2020.

Beschluss Das Budget 2021 wird einstimmig genehmigt.

Beschluss Die Rechnung 2020 und der Revisionsberichts 2020 werden einstimmig genehmigt.

10. Wahlen / Mutationen Vorstand Der Vorstand wird alle 2 Jahre gewählt oder bestätigt. Das Jahr 2021 ist kein Wahljahr.

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Rücktritt: Martin Gutsche Martin Gutsche war seit 2014 im Vorstand SRRTSwissCCS und hat diesen während seiner langjährigen Amtszeit engagiert und motiviert vertreten. Unter grossem Bedauern nehmen wir seinen Rücktritt zur Kenntnis und danken ihm, dass er bereits einen Nachfolger aus den Reihen der Fachhochschulen gefunden hat. Der gesamte Vorstand dankt Dir, Martin, ganz herzlich für Dein grosses und langjähriges Engagement zu Gunsten unseres Vereins und wünscht Dir alles Gute für die Zukunft! Zur Wahl stellt sich neu: Marco Cucinelli, OST Ostschweizer Fachhochschule, Campus Buchs Marco Cucinelli hat am NTB Feinwerktechnik studiert (1993–1996). Weitere Nachdiplomstudiumgänge im Bereich Integrierte Mikro­ systeme (NTB, 1998–1999) und in Betriebswirtschaft (FH Liechtenstein, 2000– 2002) folgten. Im Anschluss an das FWT-Studium schloss er sich 1996 dem Institut für Mikrosysteme (IµS) am NTB an, wo er sich als wissenschaftlicher Mitarbeiter in der angewandten Forschung und Entwicklung im Bereich Mikro- und Nanotechnologie sowie dessen Anwendung im industriellen Umfeld fokussierte. Mit seiner langen Tätigkeit am Institut kann Marco Cucinelli auf fundierte Kenntnisse in den verschiedensten Bereichen der Mikrotechnik, Mikrosystemtechnik, Material- und Prozess-Entwicklung zurückgreifen und ist seit September 2020 Leiter des Reinraumes des Institutes IMP an der OST. Antrag des Vorstandes Wahl von Marco Cucinelli als Vorstandsmitglied für 2 Jahre. Beschluss Marco Cucinelli wird einstimmig als Vorstandsmitglied für 2 Jahre gewählt. Die nächste Bestätigung des Vorstandes erfolgt im Jahr 2022. 11. Wahl Revisoren Die Revisoren, Thomas Christen (vali.sys GmbH) und Riccardo Schena (Weiss Technik AG) stellen sich zur Wiederwahl als Revisoren. Antrag des Vorstandes Wiederwahl von Thomas Christen und Riccardo Schena als Revisoren der SRRTSwissCCS.

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Beschluss Die Revisoren Thomas Christen und Riccardo Schena werden einstimmig als Revisoren wiedergewählt. 12. Ausblick auf Veranstaltungen 2021/2022 Die Veranstaltungen 2020/2021 mussten aufgrund der Corona-Krise abgesagt bzw. verschoben werden. Geplante Veranstaltungen 2021 SRRT-SwissCCS Lehrgang Reinraumtechnik Basiskompetenz & Fachkompetenz 2021 Diese SRRT-SwissCCS Schulung wird im September 2021 wieder an 2 aufeinanderfolgenden Tagen durchgeführt (Abschluss mit Zertifikat) Datum: 13. + 14. September 2021, 09.00– 17.15 Uhr bei Unifil AG, CH-Niederlenz Weitere Veranstaltungen sind in Planung und werden frühzeitig kommuniziert. 13. Varia Kein Eintrag des Vorstands. 14. Schluss der Generalversammlung Der Präsident Norbert Otto richtet seinen Dank auf schriftlichen Weg an alle Vorstandsmitglieder, die Revisoren (Herren Thomas Christen und Riccardo Schena); an die Geschäftsstelle (Frau Jeanette Wengler) sowie an alle Mitglieder für ihre Treue.

7. Bilan du nombre des membres 8. Cotisations des membres 2021 9. Budget 2021 et résolution (annexe 03) 10. Élections / Mutations du Comité directeur 11. Élection des réviseurs 12. Aperçu des évènements SRRTSwissCCS 2021/2022 13. Divers 14. Clôture de l’Assemblée Générale  1. Salutation Du fait de la crise du coronavirus, l’Assemblée Générale 2020 prévue le 22 avril 2021 s’est tenue par voie de circulation par e-mail. 2. Procédé pour le comptage des votes N’ont été comptabilisés que les votes «contre ou abstention» parvenus jusqu’au 30 avril 2021 au secrétariat (info@swissccs.org) par e-mail. En l’absence de vote contre, les points à discuter à l’ordre du jour sont considérés comme approuvés. 3. Approbation du Procès-verbal de l’Assemblée Générale du 22 avril 2020 (publ. CCR septembre 2/2020) Le Procès-verbal de l’Assemblée Générale du 22 avril 2020 a été publié après la dernière AG dans le CCReport 2/2020 (page 46) et sur notre site web. Demande du Comité Approbation du Procès-verbal de l’Assemblée Générale du 22 avril 2020.

Événements Procès-verbal de l’Assemblée Générale du 22 avril 2021 par voie de circulation via e-mail Comité:

Norbert Otto, Président Roman Schläpfer, Trésorier Stéphane Blanc Martin Gutsche Thomas Krauss Roman Maag Tobias Merseburger Thomas Mosimann

Secrétariat:

Jeanette Wengler

Réviseurs:

Thomas Christen Riccardo Schena

Ordre du jour 1. Salutation 2. Procédé pour le comptage des votes 3. Approbation Procès-verbal AG 22 avril 2020 (publ. CCR 2 septembre 2020, page 46) 4. Rapport annuel du Président 5. Rapport financier annuel 2020 et rapport de révision 2020 (annexes 01 + 02) 6. Décharge

Résolution Le Procès-verbal de l’Assemblée Générale du 22 avril 2020 a été approuvé à l’unanimité et avec des remerciements à l’auteure. 4. Rapport annuel 2020 du Président Le rapport annuel du Président a été, préalablement à l’Assemblée Générale, mis une fois encore en ligne sur la page d’accueil de la SRRT-SwissCCS en vue d’être consulté et téléchargé. Demande du Comité Approbation du rapport annuel 2020. Résolution Le rapport annuel 2020 a été approuvé à l’unanimité. 5. Rapport financier annuel 2020 et rapport de révision 2020 – Le rapport financier 2020 se solde par un bénéfice de CHF 30 638.86 – Aucune dépense extraordinaire – Dépôt bancaire env. CHF 140 000.00 – Les actifs de l’association s’élèvent, au 31.12.2020 à CHF 144 486.76 La révision a été faite avec succès le 11 mars 2021. Le Comité remercie les Ré-

contamination control report

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viseurs, Thomas Christen, vali.sys Gmbh, et Riccardo Schena, Weiss Technik AG. Ils recommandent d’approuver les comptes en question. La comptabilité détaillée peut être consultée au bureau et Jeanette Wengler est à votre disposition pour toute question. Demande du Comité Approbation du rapport financier 2020 et du rapport de révision 2020. Résolution Le rapport financier 2020 et le rapport de révision 2020 ont été approuvés à l’unanimité. 6. Décharge Demande du Comité Délivrance de la décharge au Comité. Résolution Les membres votent à l’unanimité pour donner décharge au Comité. 7. Bilan du nombre des membres 2019 2020 Bilan Membres individuels 79 71 –8 Membres collectifs 122 111 –11 (max. 5 nominations)

Statistiques: Membres en avril 2021: Membres individuels: 71 Membres collectifs: 111 8. Cotisations 2021 Le Président Norbert Otto propose au nom du Comité directeur une réduction unique de 50  % des cotisations de 2021, CHF 50.00 (50.00 Euros) pour les membres individuels et CHF 250.00 (250 Euros) pour les membres collectifs. Demande du Comité Réduction de moitié des cotisations 2021 pour tous les membres qui ont adhéré avant le 31 décembre 2020, comme suit: Adhésion individuelle CHF 50.00 (50.00 Euros) Adhésion collective CHF 250.00 (250.00 Euros) Résolution L’Assemblée générale vote à l’unanimité la réduction de moitié des cotisations 2021 pour tous les membres qui ont adhéré avant le 31 décembre 2020, comme suit: Adhésion individuelle CHF 50.00 (50.00 Euros) Adhésion collective CHF 250.00 (250.00 Euros) 9. Budget 2021 et résolution Dans le budget 2021 (annexe 03) a été prise en compte la réduction unique de 50 % sur les cotisations, laquelle aura pour effet une perte prévisible de CHF 21’700.00.

Demande du Comité Approbation du budget 2021. Résolution Le budget 2021 a été approuvé à l’unanimité.

Résolution Marco Cucinelli a été élu à l’unanimité comme membre du Comité pour deux ans. La prochaine confirmation de la composition du Comité de direction aura lieu en 2022.

10. Elections / Mutations du Comité directeur Le Comité directeur est élu ou réélu tous les deux ans. L’année 2021 n’est pas une année d’élection.

11. Election des réviseurs Les Réviseurs, Thomas Christen (vali.sys GmbH) et Riccardo Schena (Weiss Technik AG) se représentent à l’élection des Réviseurs.

Démission: Martin Gutsche Martin Gutsche est membre du Comité directeur de la SRRT-SwissCCS depuis 2014 et l’a représenté avec engagement et motivation tout au long de son mandat. À notre grand regret, nous prenons note de sa démission et le remercions d’avoir déjà trouvé un successeur dans les rangs des hautes écoles spécialisées. Le Comité au complet te dit un grand merci, Martin, pour ton grand et long engagement en faveur de notre association et te souhaite tout le meilleur pour l’avenir! Se présente désormais à l’élection: Marco Cucinelli, OST Haute école spécialisée de Suisse orientale, Campus Buchs Marco Cucinelli a fait des études d’ingénierie de précision à la NTB Buchs (1993–1996). Il a aussi suivi d’autres cours de troisième cycle dans les domaines microsystèmes intégrés (NTB, 1998–1999) et économie d’entreprise (FH Liechtenstein, 2000–2002). Après ses études d’économie et de technique, il a rejoint en 1996 l’institut pour les microsystèmes (IµS) à la NTB où il a mis l’accent, en tant que collaborateur scientifique dans la recherche et le développement appliqués, sur le domaine micro- et nanotechnologie ainsi que son utilisation dans l’environnement industriel. Grâce à sa longue activité au sein de l’in­ stitut, Marco Cucinelli peut recourir à des connaissances solides dans les domaines les plus variés de la microtechnique, la technique des microsystèmes et la conception de processus; depuis septembre 2020, il est Responsable de la salle blanche de l’institut IMP à la Haute école spécialisée OST. Demande du Comité Élection de Marco Cucinelli comme membre du Comité pour deux ans.

Demande du Comité Réélection de Thomas Christen et Riccardo Schena comme Réviseurs de la SRRT-SwissCCS. Résolution Thomas Christen et Riccardo Schena ont été réélus à l’unanimité comme Réviseurs. 12. Aperçu des évènements 2021/2022 En raison de la crise due au coronavirus, les évènements 2020/2021 ont dû être annulés ou bien reportés. Évènements planifiés pour 2021 Cours de formation SRRT-SwissCCS en technologie en salle blanche – Compétence de base & Compétence spécifique – 2021. Ce cours de formation SRRT-SwissCCS sur 2 jours consécutifs se tiendra en septembre 2021 (diplôme avec certificat). Date: 13 et 14 septembre 2021, de 09h 0 0 à 17h 15 à Unifil AG, CH-Niederlenz D’autres évènements en cours de planification seront communiqués prochainement. 13. Divers Aucune entrée du Comité directeur. 14. Clôture de l’Assemblée Générale Le Président, M. Norbert Otto, adresse ses remerciements par écrit à tous les membres du Comité, aux Réviseurs (Thomas Christen et Riccardo Schena); au bureau (Jeanette Wengler) ainsi qu’à tous les membres pour leur fidélité.

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