Shooting N°25

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En revanche, on est une bande de 10 potes (parisiens et provinciaux) à pratiquer la photo en passionnés et là on se lâche pendant nos dinerstographes ou nos sorties shooting. C’est un contact motivant et une forme d’émulation positive.

- La photographie est-elle pour toi une sorte de thérapie ? C’est un moyen génial et ludique de m’épanouir et de m’amuser, donc oui c’est surement une forme de thérapie… Et c’est moins cher qu’un séjour à Bali… Quoique ! Sinon, sans rire, c’est vraiment une passion extra : je démarche et je côtoie des gens passionnants que je n’aurais pas l’opportunité de rencontrer dans mon quotidien.

- Quel a été le moment le plus embarrassant depuis que tu pratiques la photographie ? Je shootais avec une modèle dans un quartier chic parisien et là, un concierge nous propose de shooter dans un hall et un escalier d’immeuble très « art déco » dont il avait la charge.

nous couvrait les mains de bisous, et nous promettait d’être notre « esclave ». Impossible de shooter et une vraie galère pour s’en dépêtrer. Pour le fun j’ai gardé sa carte de visite « Mr X – consultant international ». Mouais…

- Si tu étais invisible une journée, quelle serait la première chose que tu ferais ? J’irai espionner mon amoureux, et juste après j’irai espionner un photographe reconnu et célèbre, et juste après j’irai espionner… Non mais il faut que j’arrête, j’ai décidément une grave tendance au voyeurisme !

- Qu’est ce que tu aimes le moins chez toi ? Humm… Mon nez. Je rêve d’un petit nez retroussé alors que j’ai un profil grec.

- Quel est ton achat le plus cher ? Ça doit surement être un achat compulsif suite à une journée de bureau pénible, et c’est surement une robe… J’adoooore les robes !

Au bout de dix minutes, il se jetait à nos pieds, Shooting Mag N° 25 - Janvier 2012 - Page 16


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