Frauen im Automobilsport (2022)

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FRAUEN IM AUTOMOBIL SPORT

LES FEMMES DANS

LE SPORT AUTOMOBILE

FRAUEN IM AUTO MOBILSP ORT

CONSERVATOIRE NATIONAL DE VÉHICULES HISTORIQUES DIEKIRCH

Reportage: Marie-Catherine Ligny auf / sur www.mecanicus.com

Buch / Livre: Alpine, la renaissance, Bernard Ollivier Layout: Mise en page : SAN s.àr.l. Diekirch | www.san.lu

INDEX 1. Vorwort Préface 3 2. Frauen im Automobilsport Les femmes dans le sport automobile 6 • Eine Frau hinter dem Steuer eines Autos Une femme au volant d’une voiture 8 • Serie W Série W 14 • Eine Frau am Steuer eines Rennwagens Une femme au volant d’une voiture de course 16 • Luxemburger Frauen hinter dem Steuer Les femmes luxembourgeoises derrière le volant 18 • Management von Rennen Gestions des courses 22 2. Team Aseptogyl L’Équipe Aseptogyl 28
/ MENTIONS LÉGALES Quellen: Sources : Images from Aseptogyl promotional material www.zona-rapida.blogspot.com www.joomla.classicsportscar-rallyes.fr www.facebook.com/aseptogyl
IMPRESSUM
www.speedqueens.com

FRAUEN AM STEUER, DAS WIRD TEUER…

Der Weltfrauentag bietet alljährlich die Gelegenheit das Thema Gleichstellung von Frauen und Männern in den Vordergrund zu rücken. Trotz großer Fortschritte in den letzten Jahrzehnten, sind Mädchen und Frauen auf sehr vielen Gebieten noch immer nicht gleichgestellt. Der Sport ist dabei ein wesentlicher Bereich, da er eine wichtige soziale Rolle spielt und die Breite der Gesellschaft anspricht und zusammenbringt.

Natürlich ist das weibliche Geschlecht in den meisten Sportarten mit Bestleistungen vertreten, angefangen bei den Mannschaftssportarten wie Fußball, Basketball oder Handball bis hin zum Individualsport wie Tennis, Tischtennis oder Schwimmen. Nichtdestotrotz sind Frauen im Sport in vielerlei Hinsicht (noch) das weniger sichtbare Geschlecht. In den Führungsgremien der Sportorganisationen spielen sie weltweit nur Nebenrollen, bei internationalen Sportereignissen sind Athletinnen in der Minderheit, die Massenmedien zeigen weniger Interesse am Frauensport und die Großverdiener im Sport sind, bis auf wenige Ausnahmen, Männer.

Eine Ursache liegt bei den stereotypen Zuschreibungen, die sich auf Frauen und Männern beziehen. Denn Stärke, Kraft, Durchsetzungsvermögen und Intelligenz – Eigenschaften, die im Sport eine tragende Rolle spielen – werden bis heute eher den Jungen und Männern zugeordnet und weniger den Mädchen und Frauen.

„Frauen am Steuer, das wird teuer“ ist nur einer der gängigen Sprüche, die sich auf die vermeintliche Fahruntüchtigkeit von Frauen beziehen, die jedoch keiner wissenschaftlichen Prüfung standhalten. So zeigt die Unfallstatistik, dass Männer häufiger im Straßenverkehr verunglücken als Frauen. Trotzdem ist Autofahren, und vor allem der Auto- und Motorsport, bis heute eine reine Männerdomäne.

Die Initiative des CNVH setzt deshalb ein wichtiges Zeichen, um einerseits auf die sportlichen Leistungen der Frauen im nationalen und internationalen Auto- und Motorsport hinzuweisen, und andererseits mit den gängigen Genderstereotypen zu brechen und auf innovative Weise in Frage zu stellen.

Die Ausstellung im Diekircher Automobilmuseum leistet einen wertvollen Beitrag, um zu belegen, dass alle Sportarten – so technisch sie auch sein mögen – für alle Geschlechter geeignet sind und dass jede Leistung ebenbürtig zu bewerten ist.

Die Frauen im nationalen und internationalen Automobilsport leisten deshalb nicht nur Pionnierinnenarbeit, sondern räumen mit den hartnäckigen und sinnfreien Klischees und Vorurteilen konsequent auf. Das ist der Weg zu mehr Gleichstellung in unserer Gesellschaft.

TAINA BOFFERDING

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MINISTERIN FÜR
VON FRAUEN
MÄNNER
GLEICHSTELLUNG
UND

CHÈRES LECTRICES, CHERS LECTEURS,

C’est un immense honneur pour moi que de préfacer cette brochure à l’attention du grand public à l’occasion de la Journée Internationale des Femmes. Confier cette première page à un homme c’est déjà en quelque sorte « casser les préjugés » pour célébrer cette journée de sensibilisation aux droits des femmes. À l’Automobile Club du Luxembourg, l’égalité des chances, la lutte contre les discriminations tout comme la solidarité et l’engagement font partie intégrante de notre quotidien. Ce n’est pas un hasard si notre association a embauché majoritairement du personnel féminin l’année passée pour poursuivre son développement et sa transformation.

Le respect des droits des femmes, tout comme la mobilité, sont l’affaire de tous. Notre ambition à l’ACL est de garantir des moyens de déplacement individuel efficaces, durables et confortables sans stigmatiser certains usagers de la route. C’est dans la diversité et le respect que se mesure la richesse d’une société. Il en va de même dans le sport automobile.

L’année dernière, le département Sport de l’ACL comptait 19 pilotes féminines au Luxembourg. Nous espérons que cette année, elles seront encore plus nombreuses à suivre l’exemple des femmes de l’écurie Aseptogyl. En effet, de 1970 à 1990, ces dames ont collectionné les trophées sur les circuits internationaux. Puissent-elles inspirer une nouvelle génération de pilotes féminines et

susciter des vocations auprès des jeunes femmes au Luxembourg. L’ACL serait ravi de les accueillir parmi ses licenciés et les accompagner dans la réalisation de leur passion.

Nous sommes donc très heureux d’être associés à l’exposition « Alpine » en collaboration avec le Conservatoire National de Véhicules Historiques de Diekirch et le soutien du ministère de l’Égalité des chances. L’Alpine 110 Aseptogyl du début des années 70 présentée ici est un symbole du rôle de pionnières joué par ces femmes pilotes dans le sport mécanique. Elle nous rappelle aussi que la lutte pour l’égalité des genres ne date pas d’aujourd’hui et que l’engagement de tout un chacun pour valoriser les complémentarités et faire fi des préjugés reste toujours d’actualité.

JEAN-CLAUDE JUCHEM

DIRECTEUR DE L’ACL

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#BreakTheBias #IWD2022

LIEBE FREUNDE DES AUTOMOBILSPORTS,

Der Automobilsport war schon immer eine echte Männerdomäne. Während der Damenfußball bereits seit Jahren große Erfolge feiert, scheint der Motorsport nur langsam in einer gleichberechtigteren Gegenwart anzukommen. Doch nach und nach zeigen konkrete Projekte und Initiativen wichtiger Akteure, dass auch der Motorsport offen für eine stärkere Frauenquote werden kann.

Anhand vom Beispiel „Team Aseptogyl“ der französischen Marke Alpine aus Dieppe(F), kommt das Conservatoire National de Véhicules Historiques aus Diekirch den teilweise immer noch vorhandenen Stereotypen auf die Schliche und bietet dem Publikum und Schulklassen im Rahmen des Weltfrauentages die Gelegenheit die Ungleichheiten zwischen Frau und Mann pädagogisch aufzuarbeiten.

Persönlich liegt mir diese Kampagne besonders am Herzen, da ich in den vergangenen 12 Jahren, in denen ich in der Welt des nationalen wie internationalen Automobilsports unterwegs bin, immer wieder auf offensichtliche Nachteile in dieser Domäne gestoßen bin, die mich stets irritierten. Umso mehr bin ich dankbar, dass dieses Anliegen vom Ministerium für Gleichstellung von Frauen und Männern getragen und vom Automobil Club Luxembourg unterstützt wird. Ich bedanke mich ebenfalls bei meinem Clubvorstand, der mir das Vertrauen schenkte, diese Kampagne organisieren zu dürfen.

CHERS AMIS DU SPORT AUTOMOBILE,

Le sport automobile a toujours été un véritable domaine masculin. Alors que le football féminin connaît depuis des années déjà de grands succès, le sport automobile semble n’arriver que lentement dans un présent plus égalitaire. Mais peu à peu, des projets concrets et des initiatives d’acteurs importants montrent que le sport automobile peut lui aussi s’ouvrir à une plus grande féminisation.

A travers l’exemple du « Team Aseptogyl » de la marque française Alpine de Dieppe(F), le Conservatoire National de Véhicules Historiques de Diekirch s’attaque aux stéréotypes encore partiellement présents et propose au public et aux classes scolaires, dans le cadre de la journée mondiale de la femme, l’occasion de travailler de manière pédagogique sur les inégalités entre femmes et hommes.

Personnellement, cette campagne me tient particulièrement à cœur, car au cours des 12 dernières années où j’ai évolué dans le monde du sport automobile national et international, j’ai toujours été confrontée à des désavantages évidents dans ce domaine, qui m’ont toujours irritée. Je suis d’autant plus reconnaissante que cette cause soit portée par le ministère de l’Égalité des chances entre les femmes et les hommes et soutenue par l’Automobile Club Luxembourg. Je remercie également le comité de mon club qui m’a fait confiance pour organiser cette campagne.

5 TOM SAUBER ORGANISATIONSLEITER
D’ORGANISATION
RESPONSABLE

IM AUTO MOBIL SPORT FRAUEN

LES FEMMES DANS LE SPORT AUTOMOBILE

Motorsport gilt in der heutigen Gesellschaft immer noch als eine Männerdomäne. Dies ist wohl der stärkste Stereotyp mit der die Frauenwelt zu ringen hat. Jedoch werden Frauen mit jeder neuen erfolgreichen Rennfahrerin im Motorsport mehr gewürdigt.

Dans la société actuelle, le sport automobile est toujours considéré comme un domaine réservé aux hommes. Il s’agit sans doute du stéréotype le plus fort auquel le monde féminin doit faire face. Mais les femmes sont de plus en plus reconnues à chaque fois qu’une nouvelle pilote de course remporte un succès dans le sport automobile.

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CARMEN JORDÁ

CARMEN JORDÁ

EINE FRAU HINTER DEM STEUER EINES AUTOS

Im Jahr 2018 sorgte die Aussage eines Mitglieds der FIA-Frauenkommission, welches selbst seit vielen Jahren Rennen fährt, für Aufregung in den Medien. Die Spanierin Carmen Jordá erklärte, dass die Formel 1 für Frauen aufgrund der körperlichen Voraussetzungen immer noch unerreichbar sei, während sie die Formel E als einen besseren Ort für das weibliche Geschlecht bezeichnete.

UNE FEMME AU VOLANT D’UNE VOITURE

En 2018, la déclaration d’une membre de la commission des femmes de la FIA, elle-même pilote de course depuis de nombreuses années, a suscité l’émoi dans les médias. L’Espagnole Carmen Jordá a déclaré que la Formule 1 était toujours inaccessible aux femmes en raison de leurs conditions phy siques, tandis qu’elale a décrit la Formule E comme offrant une meilleur place à la gente féminine.

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In der Tat gibt es derzeit keine berühmten weiblichen Namen in der Formel 1, zumindest keine auf den vorderen Plätzen. Dennoch gibt es einige, die sich in der Vergangenheit in den Annalen dieser Rennen verewigt haben.

Die erste Frau in der Geschichte, die in der Formel 1 antrat und ein Rennen beendete, war die Italienerin Maria Teresa de Filippis.

En effet, il n’y a actuellement pas de noms féminins célèbres en Formule 1, du moins pas aux premières places. Il y en a néanmoins, quelquesunes qui se sont immortalisées par le passé dans les annales de ces courses.

La première femme de l’histoire à s’aligner en Formule 1 et à terminer une course a été l’Italienne Maria Teresa de Filippis.

MARIA TERESA DE FILIPPIS

MARIA TERESA

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Maria Teresa de Filippis in den späten 1950er Jahren. Sie fuhr in der Formel-1-Weltmeisterschaft. Maria Teresa de Filippis à la fin des années 1950. Elle a couru dans le championnat du monde de Formule 1.

LELLA LOMBARDI

LELLA LOMBAR DI

Eine weitere erfolgreiche Rennfahrerin war

Lella Lombardi, die zwischen 1974 und 1976

12 Mal antrat und als erste in die Punkte fuhr. Sie hat den Weg geebnet und viele andere Frauen motiviert.

Lella Lombardi a été une autre pilote de course couronnée de succès : elle a concouru 12 fois entre 1974 et 1976 et a été la première à entrer dans les points. Elle a ouvert la voie et motivé de nombreuses autres femmes.

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Ihr folgte Desiré Wilson, die 1980 als einzige Frau in der Geschichte den Sieg in einem F1-Auto in der Aurora F1 Series-Meisterschaft errang, die nur vier Jahre dauerte. Damit hat sie bewiesen, dass es keine Beschränkungen gibt, die Frauen daran hindern, ihren Platz auf dem Podium einzunehmen.

Elle a été suivie par Desiré Wilson, qui est devenue en 1980 la seule femme de l’histoire à remporter la victoire dans une voiture de F1 lors du championnat Aurora F1 Series, qui n’a duré que quatre ans. Elle a ainsi prouvé qu’aucune n’empêchait les femmes de prendre leur place sur le podium.

DESIRÉ WILSON

DESIRÉ WILSON

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SUS IE WOLFF

GIOVANNA AMATI SUSIE

1992 nahm Giovanna Amati an einem Formel-1-Rennen teil, und mehr als 20 Jahre später, im Jahr 2014, Susie Wolff. Große Hoffnungen werden derzeit in die kolumbianische Rennfahrerin Tatiana Calderon gesetzt. Sie gehört zum Alfa Romeo-Team, welches in der Formel 1 antritt. Sie fungiert hier als Testfahrerin.

2018 verzichtete die Formel 1 auf die Anstellung sogenannter Grid Girls, also Models, die die Teilnehmer während der Rennen begleiten. Das Thema löste eine Lawine von Kommentaren und Kontroversen aus. Obwohl einige F1-Fans den Sinn der Anwesenheit von Hostessen während des Rennens verteidigten, sahen die Rennbehörden diese Tradition als überholt an.

Die Teilnahme von Grid Girls am Wettbewerb wird zunehmend aufgegeben.

GIOV ANNA MA TI 12

SUS IE WOLFF TAT IANA CALD ERON

WOLFF TATIANA CALDERON

En 1992, Giovanna Amati a participé à une course de Formule 1, et plus de 20 ans plus tard, en 2014, Susie Wolff. De grands espoirs sont actuellement placés dans la pilote colombienne Tatiana Calderon. Elle fait partie de l’équipe Alfa Romeo qui participe à la Formule 1, dans laquelle elle est pilote d’essai.

En 2018, la Formule 1 a renoncé à engager des « grid girls », c’est-à-dire des modèles qui accompagnent les participants pendant les courses. Le sujet a déclenché une avalanche de commentaires et de controverses. Bien que certains fans de F1 aient défendu l’intérêt de la présence d’hôtesses pendant la course, les autorités de course ont considéré cette tradition comme dépassée.

La participation des grid girls à la compétition est de plus en plus abandonnée.

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JAMIE CHAD WICK

JAMIE CHADWICK

SERIE W

2019 wurden die Rennen der W-Serie zum ersten Mal ausschließlich von Frauen bestritten. Die Premierensaison bestand aus sechs Runden. Sie fanden auf europäischen Rennstrecken statt und dauerten jeweils 30 Minuten. Die Damen saßen hinter dem Steuer von einem Tatuus T-318.

Historische Siegerin der „Frauen-Formel 1“ wurde die Britin Jamie Chadwick, an die eine halbe Million Dollar des Preisgeldes ging. Kurz vor ihrem Triumph wurde sie Entwicklungsfahrerin für das Williams-Team. In sie werden große Hoffnungen gesetzt, so dass es sich lohnt, die weitere Entwicklung ihrer Karriere zu verfolgen. Das Jahr 2020 könnte viele Überraschungen mit sich bringen, denn sie hat ihre ersten Punkte gesammelt, die sie dem Einstieg in die Formel 1 näherbringen werden.

SÉRIE W

En 2019, les courses de la série W ont été disputées pour la première fois exclusivement par des femmes. La première saison comportait six manches. Elles ont eu lieu sur des circuits européens et ont duré 30 minutes chacune. Les femmes étaient au volant d’un Tatuus T-318.

La gagnante historique de la « Formule 1 féminine » a été la Britannique Jamie Chadwick, qui a remporté un demi-million de dollars de prix. Peu avant son triomphe, elle est devenue pilote de développement pour l’équipe Williams. De grands espoirs sont placés en elle, il vaut donc la peine de suivre l’évolution de sa carrière. L’année 2020 pourrait lui réserver de nombreuses surprises, car elle a marqué ses premiers points, ce qui la rapprochera de son entrée en Formule 1.

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Vater und Tochter bereiten sich auf ein Rennen vor. Seit 1996 und ihrem zweiten Platz bei den 24 Stunden von Spa-Francorchamps wurde Vanina Ickx von Jacky aktiv unterstützt.

Père et fille se préparant pour une course. Depuis 1996 et sa deuxième place aux 24 heures de Spa-Francorchamps, Vanina Ickx a été activement soutenue par Jacky.

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VANINA ICKX

VANINA ICKX

EINE FRAU AM STEUER EINES RENNWAGENS

Die bereits erwähnte Desire Wilson war die einzige Frau, die ein Rennen in einem Formel-1-Auto gewonnen hat, aber es gibt noch viele andere Frauen, die sich als Testfahrerinnen versucht haben und bei der Entwicklung und Förderung von Formel-1-Autos geholfen haben. Darunter Carmen Jordá (Entwicklungsfahrerin im Lotus- und Renault-Sport-Team) und Susie Stoddard (sehr talentierte Rennfahrerin).

Ein weiteres Beispiel ist Danica Patrick, die in anspruchsvollen, aber spektakulären NASCAR- und IndyCar-Rennen antrat. Sie war die einzige Frau, die 2008 das Rennen der IndyCar Series in Japan gewann, und auch, die Tochter von Legende Jacky Ickx, ist einen Blick wert. Vanina hat regelmäßig an Rennen der GT- und Le Mans-Serie teilgenommen und dabei beachtliche Erfolge erzielt.

UNE FEMME AU VOLANT

D’UNE VOITURE DE COURSE

Desire Wilson, déjà mentionnée, a été la seule femme à gagner une course dans une voiture de Formule 1, mais il y a beaucoup d’autres femmes qui se sont frottées au pilotage d’essai et qui ont aidé au développement et à la promotion des voitures de Formule 1. Parmi elles, Carmen Jordá (pilote de développement dans les équipes Lotus et Renault Sport) et Susie Stoddard (pilote de course très talentueuse).

Un autre exemple est celui de Danica Patrick, qui a participé à des courses NASCAR et IndyCar exigeantes mais spectaculaires. Elle a été la seule femme à remporter la course des IndyCar Series au Japon en 2008. La fille de la légende Jacky Ickx vaut aussi le coup d’œil. Vanina a régulièrement participé aux courses de la série GT et de la série Le Mans, obtenant des résultats remarquables.

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JENNIFER THIELEN

JENNIFER THIELEN

LUXEMBURGER FRAUEN HINTER DEM STEUER

In unserem Land hat Jennifer Thielen den Sprung geschafft. Sie ist Luxemburgs erste weibliche Vertreterin im Nationalen Olympischen Komitee (COSL), da Sie es 2016 untern anderem geschafft hat als OPEL WerksteamMitglied Junior Europameister zu werden.

LES FEMMES LUXEMBOURGEOISES DERRIÈRE LE VOLANT

Dans notre pays, Jennifer Thielen a fait le grand saut. Elle est la première représentante féminine du Luxembourg au sein du Comité national olympique (COSL). Elle a notamment réussi à devenir championne d’Europe junior en 2016 en tant que membre de l’équipe d’usine OPEL.

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Jennifer Thielen, Co-Pilotin & Siegerin der ADAC Rallye Deutschland 2015 Jennifer Thielen, copilote & vainqueur de l’ADAC Rallye Allemagne 2015

Desweiteren ist Zoé Knebler erwähnenswert. Die 19-Jährige gewann einige Titel und zählt zu den erfahrenen Piloten. Die Landesmeisterschaft im Karting hat sie schon mehrmals gewonnen. 2019 wurde Knebler Dritte beim französischen IAMELadies-Cup.

Knebler will zunächst in die Formel 3. Erste Erfahrungen hat sie bereits gesammelt – 2016 testete sie in Barcelona einen Formel Renault.

Par ailleurs, Zoé Knebler mérite d’être mentionnée. La jeune femme de 19 ans a remporté plusieurs titres et compte parmi les pilotes expérimentées. Elle a déjà remporté plusieurs fois le championnat national de karting. En 2019, Knebler s’est classée troisième de la Coupe de France IAME-Ladies.

Knebler veut d’abord se lancer dans la Formule 3. Elle a déjà acquis une première expérience – en 2016, elle a testé une Formule Renault à Barcelone.

„Männer werden nervös, wenn sie von einer Frau überholt werden. Dann machen sie Fehler.“

„Les hommes deviennent nerveux lorsqu’ils sont dépassés par une femme. Ils font alors des erreurs.“

ZOÉ
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KNEBLER
ZOÉ KNEBLER

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INTERVIEW ZOÉ KNEBLER

Wie sind Sie zum Automobilsport gekommen?

Schon sehr früh habe ich mich für diesen Sport interessiert, da mein Vater früher einige Rennen gefahren ist und ich bei diesen Rennen immer mit dabei war.

Sie selbst beweisen regelmäßig, dass Frauen genauso schnell sein können wie Männer. Warum ist das im Motorsport möglich?

Ich denke, dass dies daran liegt, dass Motorsport eher eine technische Sportart ist. Bei anderen Sportarten spielen die körperliche Kraft und Ausdauer eine Rolle. Obwohl auch letzteres im Motorsport wichtig ist, so kann man es nicht mit anderen Ausdauersportarten vergleichen.

Zum schnellen Fahren gehört aber auch Mut. Sind Frauen genauso mutig wie Männer?

Ich denke, dass es da keinen Unterschied gibt. Ich denke, dass es eher mit Erziehung zu tun hat. Als Kind hat mich mein Vater immer ermutigt alles auszuprobieren, denn nur wenn man es selbst ausprobiert, merkt man wann man an seine Grenze stößt.

Comment êtes-vous venu au sport automobile ?

Je me suis intéressée très tôt à ce sport, car mon père a fait quelques courses par le passé et j’ai toujours participé à ses courses.

Vous-même prouvez régulièrement que les femmes peuvent être aussi rapides que les hommes. Pourquoi cela est-il possible dans le sport automobile ?

Je pense que cela est dû au fait que le sport automobile est plutôt un sport technique. Dans d’autres sports, la force physique et l’endurance jouent un rôle. Bien que cette dernière soit également importante dans le sport automobile, on ne peut pas le comparer à d’autres sports d’endurance.

Mais pour conduire vite, il faut aussi du courage. Les femmes sont-elles aussi courageuses que les hommes ?

Je ne pense pas qu’il y ait de différence. Je pense que c’est plutôt une question d’éducation. Quand j’étais enfant, mon père m’encourageait toujours à tout essayer, car ce n’est qu’en essayant soi-même que l’on remarque quand on atteint ses limites.

INTER
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Wie ist es, als einzige Frau gegen die Männer anzutreten?

Ich muss sagen, dass in den letzten Jahren immer mehr Frauen an Rennen teilnehmen. Frauen werden immer von den männlichen Konkurrenten unterschätzt und das ist das Besondere, was mich besonders in Rennen anspornt.

Ihre Teilnahme als weibliche Fahrer ist eher eine Ausnahme. Fühlen Sie sich je diskriminiert?

Nein, ich hatte noch nie das Gefühl diskriminiert zu sein. Ich denke eher, dass Frauen noch immer die typische Rollenverteilung im Kopf haben und es sich nicht zutrauen Sportarten auszuprobieren, wo eher den Männern zugeordnet ist.

Wann sehen wir die nächste Frau in der Formel 1?

Ich glaube, dass dies nicht mehr so lange dauern wird. In der Formel W Serie und auch in anderen Motorsportkategorien zeigen schon viele Frauen ihr Können. Außerdem waren und sind in der Formel 1, auch schon Testfahrerinnen.

Qu’est-ce que ça fait d’être la seule femme à concourir contre les hommes ?

Je dois dire que ces dernières années, de plus en plus de femmes participent à des courses. Les femmes sont toujours sous-estimées par leurs concurrents masculins et c’est cette particularité qui me stimule particulièrement en course.

Votre participation en tant que femme pilote est plutôt une exception. Vous sentez-vous parfois discriminée ?

Non, je n’ai jamais eu le sentiment d’être discriminée. Je pense plutôt que les femmes ont encore en tête la répartition typique des rôles et qu’elles n’osent pas s’essayer à des sports que l’on attribue plutôt aux hommes.

Quand verrons-nous la prochaine femme en Formule 1 ?

Je pense que cela ne durera plus longtemps. Dans la série Formule W et dans d’autres catégories de sport automobile, de nombreuses femmes montrent déjà leurs capacités. De plus, il y a déjà eu et il y a encore des femmes pilotes d’essai en Formule 1.

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CLAIRE WILLIAMS

CLAIRE WILLIAM S

MANAGEMENT VON RENNEN

Auch Frauen zeichnen sich in diesem Bereich aus. Ein Beispiel dafür ist Claire Williams, die Leiterin des Williams F1-Rennstalls.

GESTIONS DES COURSES

Les femmes se distinguent aussi dans ce domaine. Claire Williams, directrice de l’écurie de F1 Williams, en est un exemple.

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Eine weitere Erfolgsgeschichte ist Michèle Mouton, Präsidentin des FIA-Ausschusses für Frauen und Motorsport. Sie ist eine ehemalige Audi-Rallyefahrerin, die zur gleichen Zeit wie Walter Röhrl im Team antrat. Die Frau hat vier Weltmeisterschaftsrallyes gewonnen und viele zweite Plätze bei Starts in der Gruppe B (der gefährlichsten Phase in der gesamten Geschichte des Rallyesports) erzielt.

Une autre histoire à succès est celle de Michèle Mouton, présidente du comité de la FIA pour les femmes et le sport automobile. Il s’agit d’une ancienne pilote de rallye Audi, qui a concouru dans l’équipe en même temps que Walter Röhrl. Elle a remporté quatre rallyes du championnat du monde et obtenu de nombreuses deuxièmes places lors de départs dans le groupe B (la phase la plus dangereuse de toute l’histoire du rallye).

MICHÈLE MOUTON

MICHÈLE MOUTON

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Michèle Mouton auf Alpine A110 und in der Funktion der Präsidentin des FIA-Ausschusses für Frauen und Motorsport. Michèle Mouton en Alpine A110 et en tant que présidente du comité de la FIA pour les femmes et le sport automobile.

TESSY WAHL

TESSY WAHL

Auch in Luxemburg sind Frauen Bestandteil des Rennzirkus neben der Strecke. So bekleidet Tessy Wahl seit einigen Jahren eine Führungsposition bei dem Rennorganisator High Speed Racing Club.

Au Luxembourg aussi, les femmes font partie du circuit des courses en dehors des pistes. Ainsi, Tessy Wahl occupe depuis quelques années un poste de direction au sein de l’organisateur de courses High Speed Racing Club.

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Wie sind Sie zum Automobilsport gekommen?

Ich habe mich von klein auf schon sehr für Autos und den Motorsport interessiert. Ich schaute immer mit meinem Vater die Formel 1 und habe das Eschdorfer Bergrennen besucht.

Sie selbst beweisen regelmäßig, dass Frauen genau so engagiert sein können wie Männer. Warum ist das im Motorsport möglich?

Persönlich finde ich, dass der Motorsport keine geschlechtsspezifische Sportart ist. Es gibt viele verschiedene Spalten im Motorsport bei denen sowohl Frauen als auch Männer motiviert und engagiert teilnehmen können. Egal ob Schrauber oder Organisator alles ist möglich, wenn man passioniert und fasziniert vom Motorsport ist.

Welche Aufgaben bewältigen Sie an einem Rennwochenende?

Eigentlich ist die Organisation von Motorsportevents ein Fulltimejob den man nicht nur am Rennwochenende macht. Alles fängt schon lange vorher an mit dem Einholen aller notwendigen Genehmigungen (ACL, MUL, Goodyear, Centre de Formation und Sportministerium) und Anfragen für alle benötigten Dienstleistungen (Streckenposten, Medical Intervention Car, Doktor, Krankenwagen und Anschlepper).

Comment êtes-vous venue au sport automobile ?

Dès mon plus jeune âge, je me suis beaucoup intéressée aux voitures et au sport automobile. Je regardais toujours la Formule 1 avec mon père et j’assistais à la course de côte d’Eschdorf.

Vous prouvez vous-même régulièrement que les femmes peuvent être aussi engagées que les hommes. Pourquoi est-ce possible dans le sport automobile ?

Personnellement, je pense que le sport automobile n’est pas un sport spécifique au genre. Il existe de nombreuses positions différentes dans le sport automobile, auxquelles les femmes comme les hommes peuvent participer avec motivation et engagement. Que l’on soit bricoleur ou organisateur, tout est possible si l’on est passionné et fasciné par le sport automobile.

Quelles sont les tâches que vous accomplissez pendant un week-end de course ?

En fait, l’organisation d’un événement sportif motorisé est un travail à plein temps qui ne se limite pas au week-end de la course. Tout commence bien avant, avec l’obtention de toutes les autorisations nécessaires (ACL, MUL, Goodyear, Centre de Formation et Ministère des Sports) et les demandes de tous les services requis (commissaires de piste, Medical Intervention Car, médecin, ambulance et remorqueur).

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INTERVIEW TESSY WAHL

Sobald das Event dann online ist, müssen alle Anmeldungen eingesammelt und kontrolliert werden und die Bestätigungen verschickt werden. Am Rennwochenende muss dann noch alles koordiniert werden. Die Timings müssen eingehalten werden und die Leute gebrieft werden. Am Freitag werden dann die Schlüssel abgeholt und die Kontrakte unterschrieben, mit denen die Verantwortung für das Wochenende dann bei uns liegt. Am Tag selbst werden dann alle Papiere der Beteiligten kontrolliert und wenn alles in Ordnung ist, dürfen die Leute am Event teilnehmen. Am Sonntag wird dann wieder alles abgebaut und am Montag werden die Rückgabepapiere unterschrieben sowie alles ohne Probleme abgelaufen ist. Erst dann ist das Rennwochenende erfolgreich abgeschlossen. Bei den Events, an denen wir teilnehmen und nicht organisieren ist die Arbeit nicht weniger intensiv. Alles im Voraus planen aufbauen präsent sein und dann wieder abbauen. An diesen Wochenenden ist die Hauptaufgabe die Piloten und das Auto durch das Rennen zu bekommen.

Wie ist es, als fast einzige Frau im Rennzirkus unterwegs zu sein?

Ich sehe mich nicht als einzige Frau inmitten des Rennzirkus, sondern als gleichwertigen Mitgliedes eins super Teams, mit dem zusammen ich einfach Spaß am Organisieren und an unsere Rennwochenenden habe. Jeder packt mit an und ist sich keiner Arbeit zu Schade. Wir machen alles zusammen.

Ihre Teilnahme als Frau im Rennzirkus ist eher eine Ausnahme. Fühlen Sie sich je diskriminiert?

Diskriminiert? Nein absolut nicht. Jeder im Team hat seine Aufgaben und jeder packt überall mit an. Diskriminierung gibt es keine.

Une fois l’événement en ligne, toutes les inscriptions doivent être collectées et contrôlées, et les confirmations doivent être envoyées. Le weekend de la course, tout doit encore être coordonné. Les horaires doivent être respectés et les gens doivent être briefés. Le vendredi, les clés sont récupérées et les contrats sont signés, ce qui nous rend responsables du week-end. Le jour même, tous les papiers des participants sont contrôlés et si tout est en ordre, les gens peuvent participer à l’événement. Le dimanche, tout est démonté et le lundi, les papiers de retour sont signés si tout s’est déroulé sans problème. Ce n’est qu’à ce moment-là que le week-end de course est terminé avec succès. Pour les événements auxquels nous participons et que nous n’organisons pas, le travail n’est pas moins intense. Il faut tout planifier à l’avance, être présent et ensuite démonter. Lors de ces week-ends, la tâche principale est de faire en sorte que les pilotes et la voiture finissent t la course.

Qu’est-ce que ça fait d’être presque la seule femme sur le circuit ?

Je ne me considère pas comme la seule femme sur le circuit, mais comme un membre égalitaire d’une super équipe avec laquelle j’ai simplement du plaisir à organiser et à participer à nos week-ends de course. Tout le monde met la main à la pâte et personne a peur de travailler. Nous faisons tout ensemble.

Votre participation en tant que femme dans le circuit de course est plutôt une exception. Vous sentez-vous parfois discriminée ?

Discriminée ? Non, absolument pas. Chaque membre de l’équipe a ses propres tâches et tout le monde met la main à la pâte. Il n’y a pas de discrimination.

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Wie könnte man mehr Frauen dazu bewegen aktiv an/neben der Rennstrecke zu werden?

Motorsport ist eine Sache der Hingabe man muss dafür brennen. Der Geruch von Gummi und Benzin, schnelle schöne Autos aber auch harte Arbeit und Organisation sind notwendig. Frauen sind nicht nur Dekoration an der Rennstrecke. Einfach mal reinschnuppern und sich von der Atmosphäre mitreisen lassen. Neben Tessy Wahl gibt es noch weitere aktive Frauen im Einsatz in der Luxemburger Motorsportwelt. In der Rallye Szene führt kein Weg an Nathalie Klein vorbei. Sie ist viel mehr als nur die gute Seele der Ecurie Roude Leiw. An der Seite des mittlerweile verstorbenen Georges Michels hält Sie über Jahre alle Stricke beisammen. An dem Neustart des Rallye Lëtzebuerg 2019 war Nathalie Klein wieder maßgeblich beteiligt und konnte die gesamte Organisation mit Erfahrung und dem nötigen Knowhow professionell unterstützen.

Comment pourrait-on inciter davantage de femmes à devenir actives sur/hors du circuit ?

Le sport automobile est une affaire de dévouement, il faut être passionné. L’odeur du caoutchouc et de l’essence, les belles voitures rapides, mais aussi le travail et l’organisation sont nécessaires. Les femmes ne sont pas seulement des décorations sur le circuit. Il suffit de s’y rendre et de se laisser emporter par l’atmosphère.

Outre Tessy Wahl, il y a d’autres femmes actives dans le monde du sport automobile luxembourgeois. Dans le milieu du rallye, il est impossible de passer à côté de Nathalie Klein. Elle est bien plus que la bonne âme de l’Ecurie Roude Leiw : aux côtés de Georges Michels, aujourd’hui décédé, elle a tenu toutes les ficelles pendant des années. Nathalie Klein a joué un rôle important dans le redémarrage du Rallye Lëtzebuerg 2019 et a pu apporter son soutien professionnel à toute l’organisation grâce à son expérience et son savoir-faire.

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L’ÉQUIPE ASEPTOGYL

Wer die europäische Rallye-Szene der 1970er Jahre kennt, weiß um die markante rot-rosa Lackierung der Rallye-Autos des Teams Aseptogyl. Das Team war mit Sicherheit einzigartig, denn es beschäftigte ausschließlich weibliche Fahrer und begründete die Karriere mehrerer internationaler Rallyefahrer.

Ceux qui connaissent la scène européenne des rallyes des années 1970 savent que les voitures de rallye de l’équipe Aseptogyl étaient peintes en rouge et rose, des couleurs très caractéristiques. Cette équipe était certainement unique en son genre, car elle n’employait que des femmes pilotes et a lancé la carrière de plusieurs pilotes de rallye internationaux.

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BOB NEYRET

BOB NEYRET

Das Team wurde von Bob Neyret, einem französischen Zahnarzt und ehemaligen Rallyefahrer, ins Leben gerufen. Die erste Saison war 1971, und die Fahrzeuge waren Alpine-Renault A110, die von Aseptogyl gesponsert wurden, einer Zahnpastamarke, die von Neyrets Firma entwickelt wurde.

L’équipe a été créée par Bob Neyret, un dentiste français et ancien pilote de rallye. La première saison a eu lieu en 1971 et les voitures étaient des Alpine-Renault A110 sponsorisées par Aseptogyl, une marque de dentifrice développée par la société de Neyret.

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Das Alpine-Werk unterstützte die Idee eines reinen Frauenteams und verkaufte drei AlpineRenault A110 der Gruppe 4 an Neyret sowie ein weiteres Auto für sich selbst. Die Technik und die Vorbereitung des Teams wurde von Autogyl, einem weiteren Unternehmen von Neyret, übernommen. Neben dem Aseptogyl-Branding sicherte sich das Team auch das Sponsoring von Esso.

L’usine Alpine a soutenu l’idée d’une équipe exclusivement féminine et a vendu trois AlpineRenault A110 du groupe 4 à Neyret ainsi qu’une autre voiture pour elle-même. La technique et la préparation de l’équipe ont été prises en charge par Autogyl, une autre société de Neyret. Outre le branding d’Aseptogyl, l’équipe s’est également assurée le sponsoring d’Esso.

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Dominique Guichard, Anne-Marie Desvignes, Francoise Conconi, Annick Girard, Marie-Odile Desvignes, Claudine Trautmann, Alpine Renault A110

Bob Neyret hatte sich ein Jahr lang nach potenziellen Fahrern umgesehen. Das erste Team bestand aus Claudine Trautmann, einer mehrfachen französischen Meisterin, den Zwillingen Marie-Odile und Anne-Marie Desvignes, Annick Girard und Marie-Dominique Guichard. Zu ihnen gesellten sich bald Françoise Conconi und „Biche“ (Michele Petit), die als Beifahrer fungierten, sowie Marie-Pierre Palayer.

Einige der Rekruten, wie Claudine Trautmann, Marie-Pierre Palayer und Biche, waren sehr erfahrene Rallyefahrer und Beifahrer. Andere, wie Marie-Odile Desvignes, waren Neulinge, die gerne schnell fuhren und gut mit dem Auto umgehen konnten. Neyret hatte immer ein Auge auf den Werbewert seines Teams und machte keinen Hehl daraus, hübsche Fahrerinnen zu bevorzugen. Ob alle seine AseptogylMädchen wirklich nach ihrem fahrerischen Talent ausgewählt wurden, darf bezweifelt werden, aber viele von ihnen waren sehr versiert. Zum Fahrerteam gehörte auch Christine „Kiki“ Caron, eine ehemalige Schwimmmeisterin, die als Aushängeschild des Teams fungierte. Sie fuhr gelegentlich mit.

Die ersten Einsätze des Teams waren zu Beginn der Saison die alpinen Veranstaltungen in Frankreich, darunter die Rallye Neige et Glace. Diese Rallyes boten dem Team nicht nur anspruchsvolle Wettkämpfe, sondern auch Werbemöglichkeiten, indem sie in passenden Outfits im Schnee posierten. Claudine Trautmann war in diesem Jahr die herausragende Fahrerin; sie und MarieOdile Desvignes gewannen ihre Klasse bei der Rallye Lyon-Charbonnières-StuttgartSolitude, dicht gefolgt von Marie-Pierre Palayer und Biche. Obwohl die Alpines das bevorzugte Auto des Teams waren, hatte Neyret auch einen Renault 16 für die schwierigeren nordafrikanischen Rallyes erworben. Claudine und Marie-Odile wurden Dritte bei der Rallye Bandama, die von Neyret selbst gewonnen wurde. Marie-Pierre Palayer war ein weiterer sta rker Fahrer des Teams und wurde mit Christine Rouff Fünfter bei der Rallye Genf.

1972 stießen weitere Fahrer zum AseptogylTeam, darunter Pat Moss-Carlsson, der bei der Rallye Monte Carlo in einer Aseptogyl-

Bob Neyret s’était mis à la recherche de coureurs potentiels pendant un an. La première équipe était composée de Claudine Trautmann, une multiple championne de France, des jumelles Marie-Odile et Anne-Marie Desvignes, d’Annick Girard et de Marie-Dominique Guichard. Elles ont été rapidement rejointes par Françoise Conconi et « Biche » (Michele Petit), qui faisaient office de copilotes, ainsi que par Marie-Pierre Palayer.

Certaines recrues, comme Claudine Trautmann, Marie-Pierre Palayer et Biche, étaient des pilotes de rallye et des copilotes très expérimentées. D’autres, comme Marie-Odile Desvignes, étaient des novices qui aimaient la vitesse et se débrouillaient bien avec une voiture. Neyret avait toujours un œil sur la valeur publicitaire de son équipe et ne cachait pas sa préférence pour les jolies conductrices. On peut douter que toutes les filles d’Aseptogyl aient vraiment été choisies pour leurs talents de conductrices, mais beaucoup d’entre elles étaient très expérimentées. L’équipe de conductrices comprenait également Christine « Kiki » Caron, une ancienne championne de natation qui faisait office de figure de proue de l’équipe. Elle faisait partie de l’équipe à l’occasion.

Les premiers engagements de l’équipe ont été, en début de saison, les épreuves alpines en France, dont le Rallye Neige et Glace. Ces rallyes offraient à l’équipe non seulement des compétitions exigeantes, mais aussi des coups de publicité, en posant dans la neige dans des tenues assorties. Claudine Trautmann s’est distinguée cette année-là ; elle et Marie-Odile Desvignes ont remporté leur catégorie lors du rallye Lyon-Charbonnières-StuttgartSolitude, suivies de près par Marie-Pierre Palayer et Biche. Même si les Alpines sont restées la voiture préférée de l’équipe, Neyret avait également acquis une Renault 16 pour les rallyes nord-africains plus difficiles. Claudine et Marie-Odile ont terminé troisième au Rallye Bandama, remporté par Neyret lui-même. Marie-Pierre Palayer, une autre pilote phare de l’équipe a terminé cinquième du Rallye de Genève avec Christine Rouff.

En 1972, d’autres pilotes ont rejoint l’équipe Aseptogyl, dont Pat Moss-Carlsson, qui s’est classée dixième au Rallye de Monte-Carlo sur une Alpine Aseptogyl. Christine Dacremont,

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Alpine den zehnten Platz belegte. Christine Dacremont, die französische Meisterin bei den Damen, war ein weiterer Neuzugang, der unter anderem bei der Tour de France für das Team fuhr, zusammen mit einer anderen erfahrenen Fahrerin, Marianne Hoepfner. Anny-Charlotte Verney ist ebenfalls neu im Team, und Marie-Odile Desvignes übernimmt neben der Navigation auch einige Fahraufgaben. Marianne Hoepfner beeindruckte bei der spanischen RACE-Rallye und wurde Siebte.

Pat Moss-Carlsson hatte 1973 einige weitere Auftritte, obwohl sie weder die Monte noch die RAC-Rallye beendete. Marianne Hoepfner war in dieser Saison eine der Starfahrerinnen und führte ein großes Aseptogyl-Kontingent bei der Rallye Paris-St. Raphaël an, wo sie den ersten Platz belegte. Marie-Pierre Palayer wurde Dritte. Anny-Charlotte Verney und Christine Beckers gehörten zu den weiteren Teilnehmern des Teams. Ihre markanten rosa-rot-weißen Alpines waren auf den europäischen Etappen häufig zu sehen. Neben den Rallyeautos setzte das Team auch einen rosa-roten AlpineEinsitzer ein, der von Marianne Hoepfner bei Bergrennen eingesetzt wurde.

Trotz der Einschränkungen, die dem Motorsport durch die Treibstoffkrise in jenem Jahr auferlegt wurden, diversifizierte sich das Team 1974 weiter. Die A110 Alpines waren immer noch im Einsatz, und eine davon wurde von Christine Dacremont bei der Tour de France gefahren, aber einige neue Alpine-Renault A310 wurden bei der gleichen Veranstaltung eingesetzt. Marianne Hoepfner und Marie Laurent wurden in ihrem Auto Dreizehnte. Bei den längeren und härteren Rallyes war der Peugeot 504 das Auto der Wahl. Keines der drei für die Bandama-Rallye gemeldeten Teams erreichte das Ziel, aber Christine Dacremont wurde Zweite bei der WeltcupRallye, die von London über Subsahara-Afrika nach Südeuropa und dann nach München führte. Claudine Trautmann wurde Vierte, und Bob Neyret selbst wurde Dritter. Außerhalb des Rallyesports sponserte Aseptogyl den Chrysler Hemicuda von Marie Laurent für französische Bergrennen.

championne de France chez les femmes, était quant à elle une nouvelle venue, qui a notamment couru pour l’équipe lors du Tour de France, aux côtés d’une autre pilote expérimentée, Marianne Hoepfner. Anny-Charlotte Verney est également nouvelle dans l’équipe, et Marie-Odile Desvignes assumait, outre la navigation, quelques tâches de conduite. Marianne Hoepfner a fait forte impression lors du rallye RACE espagnol et s’est classée septième.

Pat Moss-Carlsson a encore fait quelques apparitions en 1973, bien qu’elle n’ait pas terminé le Monte ni le RAC Rallye. Marianne Hoepfner fut l’une des pilotes vedettes de la saison, menant un gros contingent d’Aseptogyl au Rallye Paris-St Raphaël, où elle termina première. Marie-Pierre Palayer a quant à elle terminé troisième. Anny-Charlotte Verney et Christine Beckers faisaient partie des autres participantes de l’équipe. Leurs remarquables Alpines roses, rouges et blanches étaient souvent visibles lors des étapes européennes. Outre les voitures de rallye, l’équipe utilisait également une Alpine monoplace rose et rouge, qui était notamment utilisée par Marianne Hoepfner lors des courses de côte.

Malgré les restrictions imposées au sport automobile par la crise du carburant de cette année-là, l’équipe a continué à se diversifier en 1974. Les A110 Alpines sont restées en service, et l’une d’entre elles fut d’ailleurs conduite par Christine Dacremont lors du Tour de France, mais quelques nouvelles Alpine-Renault A310 furent également utilisées lors du même événement. Marianne Hoepfner et Marie Laurent ont terminé treizième dans leur voiture. Pour les rallyes plus longs et plus difficiles, la Peugeot 504 a été la voiture de choix. Aucun des trois équipages inscrits au Rallye Bandama n’a atteint l’arrivée, mais Christine Dacremont a terminé deuxième du rallye de la Coupe du monde qui reliait Londres au sud de l’Europe, en passant par l’Afrique sub-saharienne, avant de rejoindre Munich. Claudine Trautmann a terminé quatrième et Bob Neyret lui-même a terminé troisième. En dehors du rallye, Aseptogyl a sponsorisé la Chrysler Hemicuda de Marie Laurent pour des courses de côte françaises.

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1975 ging es in ähnlicher Weise weiter. Die A310 sind immer noch im Einsatz, und ein Zweierteam nimmt an der Tour de France teil. Marianne Hoepfner und Christine Dacremont sind nach wie vor die stärksten Fahrerinnen des Teams, auch wenn immer wieder neue Fahrerinnen hinzukommen. Die Peugeots waren wieder bei den härteren Veranstaltungen im Einsatz, und Marianne Hoepfner und Claudine Trautmann wurden Siebte und Achte bei der Rallye Marokko. Ihre Teamkolleginnen, Christine Dacremont und Yveline Vanoni, kamen nicht ins Ziel. Für Claudine war es die letzte Rallye für das Team, und sie zog sich am Ende der Saison zurück, um sich um die Autogyl-Sparte zu kümmern.

1976 war ein Jahr mit einigen neuen Innovationen. Das Rallyeauto der Wahl des Teams wurde der kleine Autobianchi A112 Abarth. Diese neuen Aseptogyl-Autos wurden bei der diesjährigen Monte vorgestellt. Christine Dacremont und die Neue, Delphine Denard, belegten den 23. Marie-Odile Desvignes, die mit Jacqueline Perrin fuhr, und die neue Fahrerin, Corinne Tarnaud, kamen nicht ins Ziel. Etwas später in der Saison erhielt das Team einen Lancia Stratos, der von Christine Dacremont bei europäischen Rallyes eingesetzt wurde. Ihre beste Gesamtplatzierung war der dritte Platz beim Criterium Alpin, aber sie gewann die Rallye de la Chataigne in einem A310 auf Anhieb.

Das aufregendste Projekt des Teams in diesem Jahr war die Teilnahme an Le Mans. Ein weiterer Stratos wurde für das Langstreckenrennen vorbereitet, und Christine Dacremont wurde als Partnerin der großen Lella Lombardi für das Rennen selbst ausgewählt. Sie belegten den 20. Platz in der Gesamtwertung und den zweiten Platz in der Klasse, von Startplatz 41 aus.

Der Aseptogyl Stratos nahm 1977 erneut am Rennen von Le Mans teil, wieder mit Christine Dacremont und Marianne Hoepfner am Steuer. Sie kamen nicht ins Ziel, nachdem in der 37. Runde der Motor geplatzt war.

Im Rallyesport setzte Christine den Stratos erfolgreich ein und belegte bei der Monte den sechsten Platz. Der A310 war immer noch im Einsatz, und die finnische Aseptogyl-Fahrerin Marketta Oksala belegte mit Yvonne Mehta den 17. Im November

En 1975, les choses ont continué de la même manière. Les A310 sont toujours restées en service et une équipe de deux a participé au Tour de France. Marianne Hoepfner et Christine Dacremont sont restées les coureuses les plus fortes de l’équipe, même si de nouvelles coureuses ont régulièrement été ajoutées. Les Peugeot ont à nouveau participé à des épreuves plus difficiles, et Marianne Hoepfner et Claudine Trautmann se sont classées septième et huitième au Rallye du Maroc. Leurs coéquipières, Christine Dacremont et Yveline Vanoni, n’ont pas terminé la course. Pour Claudine, il s’agissait du dernier rallye pour l’équipe et elle s’est retirée à la fin de la saison pour s’occuper de la branche Autogyl.

1976 a été une année marquée par quelques nouvelles innovations. La voiture de rallye choisie par l’équipe fut la petite Autobianchi A112 Abarth. Ces nouvelles voitures aseptogyles ont été présentées au Monte de cette année. Christine Dacremont et la nouvelle, Delphine Denard, se sont classées 23e, tandis que Marie-Odile Desvignes, qui roulait avec Jacqueline Perrin, et la nouvelle pilote, Corinne Tarnaud, n’ont pas terminé la course. Un peu plus tard dans la saison, l’équipe a reçu une Lancia Stratos qui a été utilisée par Christine Dacremont lors de rallyes européens. Son meilleur classement général fut une troisième place au Critérium Alpin, mais elle remporta d’emblée le Rallye de la Chataigne au volant d’une A310.

Le projet le plus excitant de l’équipe cette année-là a été la participation au Mans. Une autre Stratos a été préparée pour la course d’endurance, et Christine Dacremont a été choisie comme partenaire de la grande Lella Lombardi pour la course elle-même. Ils se sont classés 20e au classement général et 2e dans leur catégorie, en partant de la 41e place sur la grille de départ.

L’Aseptogyl Stratos a de nouveau participé à la course du Mans en 1977, toujours avec Christine Dacremont et Marianne Hoepfner au volant. Elles ne franchirent pas la ligne d’arrivée après que le moteur eut éclaté au 37e tour.

En rallye, Christine a utilisé la Stratos avec succès et s’est classée sixième au Monte. L’A310 était toujours en service et la pilote finlandaise d’Aseptogyl Marketta Oksala s’est classée 17e avec Yvonne Mehta. En novembre, une paire de Toyota Celica d’Aseptogyl s’est attaquée au

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nahm ein Paar Toyota Celicas von Aseptogyl die Tour de France in Angriff, aber weder Marianne Hoepfner noch Christine Beckers kamen ins Ziel.

Das andere große Ereignis des Jahres war die World Cup Rallye von London nach Sydney. Christine Dacremont fuhr einen Fiat 131 Abarth mit Dieselmotor, kam aber nicht ins Ziel. Bob Neyret, mit Marianne Hoepfner als Beifahrerin, wurde Fünfzehnter. Ungewöhnlich ist, dass eine reine Männercrew mitfuhr; Giancarlo Baghetti wurde 23.

Nach dem London-Sydney-Experiment mit Dieselmotoren und den guten Leistungen der Diesel-Citroens bei diesem Rennen erwarb

Bob Neyret drei Citroen 2500 CX Diesel, für Marianne Hoepfner / Marie-Madeleine Fouquet, Christine Dacremont / „Ganaëlle“ und Marketta

Oksala / Pirjo Pinnä. Zwei der drei kamen ins Ziel, aber keine war besonders konkurrenzfähig. Die CX-Fahrzeuge wurden stillschweigend in den Ruhestand versetzt und tauchten erst bei der Tour de France wieder auf.

Später in der Saison stellte das Team bei der Tour de Corse ein neues Auto vor. Sechs rosafarbene Fiat 127 von Aseptogyl gingen an den Start, gefahren von Christine Dacremont / Isabelle Perrier, Marianne Hoepfner / Marie-Madeleine Fouquet, Joëlle Chardin / Antoinette Straumann und drei italienischen Besatzungen: Antonella Mandelli / Cristina Bertone, Anna Cambiaghi / Enrica Marenghi und Maurizia Baresi / Iva Boggio. Leider schieden alle sechs aus, vier davon mit elektrischen Problemen. Aseptogyl wollte in dieser Saison neben den italienischen Autos auch italienische Fahrer präsentieren, und Maurizia Baresi und Anna Cambiaghi nahmen an mehreren regionalen Veranstaltungen in Frankreich und Italien teil. Die Fahrerinnen Caterina Baldoni, ein ehemaliges Fotomodell, und Margherita Corio verstärkten das italienische Kontingent. Ein französisches Team mit Bernadette Sacy war weiterhin dabei.

Tour de France, mais ni Marianne Hoepfner ni Christine Beckers n’ont terminé la course.

L’autre grand événement de l’année a été le rallye de la Coupe du monde de Londres à Sydney. Christine Dacremont conduisait une Fiat 131 Abarth à moteur diesel, mais n’a pas terminé la course. Bob Neyret, avec Marianne Hoepfner comme copilote, a terminé quinzième. Fait inhabituel, un équipage exclusivement masculin a participé à la course ; Giancarlo Baghetti a terminé 23e

Après l’expérience de Londres-Sydney avec des moteurs diesel et les bonnes performances des Citroën diesel lors de cette course, Bob Neyret a acheté trois Citroën 2500 CX diesel, pour Marianne Hoepfner / Marie-Madeleine Fouquet, Christine Dacremont / « Ganaëlle » et Marketta Oksala/Pirjo Pinnä. Deux des trois duos ont terminé la course, mais aucun n’était particulièrement compétitif. Les véhicules CX ont ensuite été discrètement mis à la retraite et n’ont refait surface que lors du Tour de France.

Plus tard dans la saison, l’équipe a présenté une nouvelle voiture lors du Tour de Corse. Six Fiat 127 roses d’Aseptogyl ont pris le départ, conduites par Christine Dacremont / Isabelle Perrier, Marianne Hoepfner / Marie-Madeleine Fouquet, Joëlle Chardin / Antoinette Straumann et trois équipages italiens : Antonella Mandelli / Cristina Bertone, Anna Cambiaghi / Enrica Marenghi et Maurizia Baresi/Iva Boggio. Malheureusement, les six ont abandonné, dont quatre en raison de problèmes électriques. Aseptogyl a voulu présenter des pilotes italiens en plus des voitures italiennes cette saison-là, et Maurizia Baresi et Anna Cambiaghi ont participé à plusieurs événements régionaux en France et en Italie. Les pilotes Caterina Baldoni, un ancien mannequin, et Margherita Corio sont venues renforcer le contingent italien. Une équipe française composée de Bernadette Sacy était toujours présente.

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Das Team Aseptogyl löste sich Ende der 1970er Jahre auf, obwohl Bob Neyret bis in die frühen 1980er Jahre hinein eine Reihe von Fahrerinnen bei großen Rallyes einsetzte. Einer der aufsehenerregendsten Aseptogyl-Einsätze war die Rallye Nizza-Abidjan 1979, der Vorläufer der Dakar. Ein dreiköpfiges Team von sechs Fahrern trat in einem Iveco-LKW an. Im folgenden Jahr gewannen Anna Cambiaghi und Oda Dencker-Andersen die Lkw-Klasse der Trans-Afrika-Rallye und belegten den 30. Im selben Jahr wurde Marianne Hoepfner mit Oda Dencker-Andersen in einem Toyota Corolla Gesamtzweite bei der Himalaya-Rallye.

Das letzte Hurra für das Team Aspetogyl kam 1983, als eine achtköpfige Gruppe von Alfa Romeo Alfasuds bei der Rallye Monte Carlo antrat. Nominell traten sie als Nationalmannschaften aus dem Vereinigten Königreich (Louise Aitken-Walker und Ruth Hillier), Deutschland (Margot Henn und Waltraud Wünsch), Italien (Maurizia Baresi und Isabella Bignardi) und Belgien (Marie-Francoise Placq und Nicole Sol) an. Das Unterfangen war kein großer Erfolg, denn nur vier der Autos gingen tatsächlich an den Start. Louise Aitken-Walker war die beste von ihnen und kam als 49. ins Ziel.

Mehrere Mitglieder des Teams Aseptogyl sind immer noch auf die eine oder andere Weise im Motorsport aktiv, und Marie-Odile Desvignes fährt immer noch einen Alpine-Renault mit Aseptogyl-Logo bei historischen Rallyes.

MAURIZIA BARESI – fuhr in den 1970er Jahren für das spätere Team Aseptogyl, manchmal in einem Fiat 127, unter anderem 1978 bei der Tour de Corse. Manchmal, wie bei der Rallye Monte Carlo 1975, war sie selbst am Start. Sie gehörte auch zum Damenteam von Alfa Romeo bei der Rallye Monte Carlo 1983. Mindestens ein Jahr lang, in den 1970er Jahren, war sie italienische Rallye-Meisterin der Damen.

JOELLE CHARDIN – Mitglied des Teams Aseptogyl während seiner Fiat-Power-Periode in den späten 1970er Jahren. Sie nahm an nationalen und internationalen Rallyes in Frankreich teil, unter anderem 1978 an der Tour de Corse und 1979 an der Rallye Lorraine. Einzelheiten zu ihren anderen Einsätzen sind schwer aufzuspüren.

L’équipe Aseptogyl s’est dissoute à la fin des années 1970, malgré que Bob Neyret ait engagé un certain nombre de pilotes féminines dans de grands rallyes jusqu’au début des années 1980. L’une des participations les plus retentissantes d’Aseptogyl fut le Rallye Nice-Abidjan 1979, précurseur du Dakar. Une équipe de trois pilotes, composée de six personnes, s’est affrontée dans un camion Iveco. L’année suivante, Anna Cambiaghi et Oda Dencker-Andersen ont remporté la catégorie camion du Rallye Trans-Africain et se sont classées 30e. La même année, Marianne Hoepfner a terminé deuxième au classement général du Rallye de l’Himalaya avec Oda Dencker-Andersen dans une Toyota Corolla.

Le dernier Hourra pour l’équipe Aspetogyl aura lieu en 1983, lorsqu’un groupe de huit Alfa Romeo Alfasuds a participé au Rallye de MonteCarlo. Nominalement, ils se présentaient en tant qu’équipes nationales du Royaume-Uni (Louise Aitken-Walker et Ruth Hillier), d’Allemagne (Margot Henn et Waltraud Wünsch), d’Italie (Maurizia Baresi et Isabella Bignardi) et de Belgique (Marie-Francoise Placq et Nicole Sol). L’entreprise n’a cependant pas été un grand succès, puisque seules quatre des voitures ont effectivement pris le départ. Louise Aitken-Walker a été la meilleure d’entre elles, terminant 49e

Plusieurs membres de l’équipe Aseptogyl sont toujours actifs d’une manière ou d’une autre dans le sport automobile, et Marie-Odile Desvignes conduit toujours une Alpine-Renault portant le logo Aseptogyl lors de rallyes historiques.

MAURIZIA BARESI – a couru dans les années 1970 pour ce qui allait devenir l’équipe Aseptogyl, parfois dans une Fiat 127, entre autre en 1978 au Tour de Corse. Parfois, comme au Rallye Monte-Carlo 1975, elle était elle-même au départ. Elle a également fait partie de l’équipe féminine d’Alfa Romeo au Rallye Monte-Carlo 1983. Pendant au moins un an, dans les années 1970, elle a été championne d’Italie des rallyes féminins.

JOELLE CHARDIN – membre de l’équipe Aseptogyl pendant sa période Fiat Power à la fin des années 1970. Elle a participé à divers rallyes nationaux et internationaux en France, notamment au Tour de Corse en 1978 ainsi qu’au Rallye de Lorraine en 1979. Les détails de ses autres participations sont toutefois difficiles à retracer.

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MARGHERITA CORIO – italienische Rennfahrerin, die Mitte bis Ende der 1970er Jahre für das Team Aseptogyl fuhr. Zusammen mit Cristina Bertone nahm sie 1975 an der Rallye du Var teil und fuhr einen Fiat-Abarth 124. Fotos zeigen Margherita 1978 mit einem Fiat 128 von Aspetogyl, aber die tatsächlichen Ergebnisse sind schwer zu ermitteln. Sie nahm auf jeden Fall an der Ronde Cevenole teil, fuhr aber einen Lancia. In den Jahren 1976 und 1977 nahm sie an der gleichen Veranstaltung in einem Fiat 124 teil. Möglicherweise nahm sie 1979 auch an einer Rallye mit einem Lancia Stratos teil, der ohne Aspetogyl-Lackierung fuhr. Margherita war mit einem anderen Rallyefahrer, Angelo, verheiratet, und sie fuhren zwischen 1967 und 1978 oft zusammen, mit Margherita als Beifahrerin.

FRANCOISE DEMARTEAU – Teil des belgischen Zweigs des späteren Teams Aseptogyl. Ihr Auto war ein Fiat 127 und sie fuhr 1979 und 1980 für das Team in der belgischen Meisterschaft. Ihr bestes Ergebnis war ein 18. Platz bei den 24 Stunden von Lessines 1979, ein Platz im Mittelfeld. Sie war oft die schnellste der Aseptogyl-Fahrzeuge. Ihre größte Rallye war das 24-Stunden-Rennen von Ypern 1979, das sie allerdings nicht beendete.

ANNICK GIRARD – fuhr in den 1970er Jahren Rallyes in Frankreich. Sie war eines der Gründungsmitglieder des Teams Aseptogyl. Sie begann 1971 mit dem Team einen Alpine-Renault zu fahren und nahm zusammen mit Marie-Odile Desvignes an der Alpenrallye teil. Zuvor hatte sie bereits an der Tour de France teilgenommen. Neben dem Rallyesport nahm sie mit einem Alpine-Renault A110 auch an Bergrennen teil, darunter die berühmte Besteigung des Mount Ventoux im Jahr 1971. Weitere Einzelheiten über ihre Motorsportkarriere sind nicht bekannt.

MARGOT HENN – deutsche Fahrerin, die 1983 für das Alfa-Romeo-Damenteam einen Alfa Romeo Alfasud TI bei der Rallye Monte Carlo fuhr. Sie kam nicht ins Ziel und nahm an keinen weiteren großen Rallyes teil.

RUTH HILLIER – britische Fahrerin, die bei der Rallye Monte Carlo 1983, ihrem ersten Versuch, in einem Alfa Romeo Alfasud TI den 62. Ihre Beifahrerin in diesem Jahr war Mary Fullerton. Sie gehörte in jenem Jahr zum Damenteam von Bob Neyret.

MARGHERITA CORIO – pilote italienne qui a couru pour l’équipe Aseptogyl du milieu à la fin des années 1970. Avec Cristina Bertone, elle a participé au Rallye du Var en 1975 au volant d’une Fiat-Abarth 124. Des photos montrent Margherita au volant d’une Fiat 128 d’Aspetogyl en 1978, mais les résultats réels restent difficiles à établir. Elle a en tout cas participé à la Ronde Cevenole, mais au volant d’une Lancia. En 1976 et 1977, elle a participé à la même manifestation au volant d’une Fiat 124. Il est possible qu’elle ait également participé à un rallye en 1979 avec une Lancia Stratos qui roulait sans la peinture Aspetogyl. Margherita était mariée à un autre pilote de rallye, Angelo, et ils ont souvent roulé ensemble entre 1967 et 1978, avec Margherita comme copilote.

FRANCOISE DEMARTEAU – Elle faisait partie de la branche belge de ce qui allait devenir l’équipe Aseptogyl. Sa voiture était une Fiat 127 et elle a couru pour l’équipe dans le championnat belge en 1979 et 1980. Son meilleur résultat fut une 18e place aux 24 heures de Lessines en 1979, une place en milieu de peloton. Elle était souvent la plus rapide des voitures d’Aseptogyl. Son plus grand rallye a été les 24 heures d’Ypres en 1979, qu’elle n’a toutefois pas terminé.

ANNICK GIRARD – a participé à des rallyes en France dans les années 1970. Elle était l’un des membres fondateurs de l’équipe Aseptogyl. Elle a commencé à conduire une Alpine-Renault avec l’équipe en 1971 et a participé au Rallye des Alpes avec Marie-Odile Desvignes. Auparavant, elle avait déjà participé au Tour de France. Outre le rallye, elle a également participé à des courses de montagne au volant d’une Alpine-Renault A110, dont la célèbre ascension du Mont Ventoux en 1971. On ne connaît pas d’autres détails sur sa carrière dans le sport automobile.

MARGOT HENN – pilote allemande qui a piloté une Alfa Romeo Alfasud TI pour l’équipe féminine d’Alfa Romeo au Rallye Monte-Carlo en 1983. Elle n’a pas terminé la course et n’a pas participé à d’autres grands rallyes.

RUTH HILLIER – pilote britannique qui a terminé 62e au Rallye Monte-Carlo 1983, sa première tentativeau volant d’une Alfa Romeo Alfasud TI. Sa copilote cette année-là était Mary Fullerton. Elle faisait partie le même année de l’équipe féminine de Bob Neyret.

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DOMINIQUE PERRIER – nahm an der Rallye Monte Carlo 1983 als Mitglied des Alfa RomeoDamenteams teil und fuhr einen Alfasud TI. Sie war mindestens seit 1980 in Frankreich unterwegs, als sie an der Mont-Blanc-Rallye teilnahm. Danach nahm sie in einem Citroen Visa und einem Talbot Samba an verschiedenen europäischen Veranstaltungen teil, darunter die RACund die Catalunya-Rallye, die manchmal auch als „Grandvuinet-Perrier“ bezeichnet wurden, obwohl sie normalerweise bei französischen Veranstaltungen antrat. Sie war in der Lage, Top-TenPlatzierungen zu erreichen. Irgendwann gehörte sie zum „richtigen“ Team Aseptogyl.

MARIE-FRANCOISE PLACQ – belgische Fahrerin, nahm an der Rallye Monte Carlo 1983 als Teil des Alfa Romeo-Damenteams teil. Zuvor hatte sie bereits an der Rallye Paris-Dakar 1980 als Beifahrerin von Corinne Koppenhague teilgenommen. Ihr Fahrzeug war ein Jeep Hotchkiss. Zwischen 1979 und 1983 war sie in der belgischen Meisterschaft sehr aktiv, zunächst in einem Fiat 127, dann in einem MG Metro. Im Jahr 1980 errang sie mit dem Fiat zwei Klassensiege bei belgischen Rallyes.

BETTY TOGNANA – in den 1970er Jahren in Europa vor allem als Beifahrerin bekannt, aber 1978 und 1979 fuhr sie auch gelegentlich selbst. Ihr erstes Auto war ein kleiner Autobianchi A112 Abarth, mit dem sie an einem Markenpokal für dieses Auto in Italien teilnahm und bei der Rallye 4 Regioni den fünfzehnten Platz belegte. 1979 gehörte sie dem Team Aseptogyl an und fuhr einen Fiat 127 bei einigen italienischen Rallyes. Ihre mit Abstand beste Platzierung in diesem Auto war ein 25. Platz bei der Rallye Valle d’Aosta. Als Beifahrerin gewann sie 1985 die Rallye Citta di Sassari mit Giovanni del Zoppo. Sie war auch 2018 noch am Start.

DOMINIQUE PERRIER – a participé au Rallye Monte-Carlo 1983 en tant que membre de l’équipe féminine Alfa Romeo, au volant d’une Alfasud TI. Elle a roulé en France au moins depuis 1980, date à laquelle elle a participé au Rallye du Mont-Blanc. Elle a ensuite participé à plusieurs événements européens au volant d’une Citroën Visa et d’une Talbot Samba, dont le RAC et le Catalunya Rally, parfois appelés « Grandvuinet-Perrier », même si elle participait habituellement plutôt à des événements français. Elle était capable de se classer dans le top 10. Pendant toute une période, elle a fait partie de la « vraie » équipe Aseptogyl.

MARIE-FRANCOISE PLACQ – pilote belge, a participé au Rallye Monte-Carlo 1983 au sein de l’équipe féminine Alfa Romeo. Auparavant, elle avait déjà participé au Rallye Paris-Dakar 1980 en tant que copilote de Corinne Koppenhague. Son véhicule était une Jeep Hotchkiss. Entre 1979 et 1983, elle a été très active dans le championnat belge, d’abord dans une Fiat 127, puis dans une MG Metro. En 1980, elle a remporté deux victoires de classe dans des rallyes belges avec la Fiat.

BETTY TOGNANA – était surtout connue en Europe dans les années 1970 en tant que copilote, mais en 1978 et 1979, elle conduisait aussi occasionnellement elle-même. Sa première voiture était une petite Autobianchi A112 Abarth, avec laquelle elle a participé à une coupe de marque pour cette voiture en Italie et s’est classée quinzième au Rallye 4 Regioni. En 1979, elle a fait partie de l’équipe Aseptogyl et a piloté une Fiat 127 dans quelques rallyes italiens. Son meilleur classement au volant de cette voiture fut, de loin, une 25e place au Rallye Valle d’Aosta. En tant que copilote, elle a remporté le Rallye Citta di Sassari en 1985 aux cotés de Giovanni del Zoppo. Elle était encore au départ en 2018.

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YVELINE VANONI – im bekanntesten als Beifahrerin, die zu Beginn ihrer Karriere regelmäßig an der Seite von Marianne Hoepfner und später von Christine Dacremont saß. Sie gehörte zur zweiten Welle von Team Aseptogyl-Fahrern und fuhr selbst bei französischen Rallyes im Rahmen von Aseptogyl-Kadern. Ihre internationale Erfahrung als Fahrerin war recht begrenzt; als AseptogylFahrerin nahm sie 1975 an der Rallye Marokko in einem Peugeot 504 teil, kam aber nicht ins Ziel. Möglicherweise hat sie auch an der Rallye ParisSt. Raphaël teilgenommen. Nach 1975 scheint sie eine Pause vom Rallyesport eingelegt zu haben, aber 1979 taucht sie wieder auf, und zwar als Mitglied des sechsköpfigen Aseptogyl-Teams, das die Rallye Nizza-Abidjan-Nizza mit einem Iveco-LKW bestreitet.

YVELINE VANONI – plus connue comme copilote, elle a régulièrement pris place aux côtés de Marianne Hoepfner au début de sa carrière, puis de Christine Dacremont. Elle faisait partie de la deuxième vague de pilotes du Team Aseptogyl et a elle-même participé à des rallyes français dans le cadre d’Aseptogyl. Son expérience internationale en tant que pilote reste assez limitée ; en tant que pilote Aseptogyl, elle a participé au Rallye du Maroc en 1975 sur une Peugeot 504, mais n’a pas terminé la course. Il est possible qu’elle ait également participé au Rallye Paris-Saint-Raphaël. Après 1975, elle semble avoir fait une pause dans les rallyes, mais elle réapparaît en 1979, en tant que membre de l’équipe Aseptogyl des six personnes qui participent au Rallye Nice-AbidjanNice avec un camion Iveco

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