Partie III - MEMOIRE architecture - Economie de moyens de mise en oeuvre

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VII. Trois paradigmes de leur procédé constructif, vers un néo-vernaculaire ?

La dernière partie a pour objectif d’ouvrir la recherche et de montrer l’exemplarité des trois projets. En quoi ces trois constructions sont en quelque sorte un paradigme de leur principe constructif ? Le Balloon Frame était très répandu aux États-Unis à l’époque de la construction de la Fisher House, de même pour la construction parpaing concernant la Kalil House. Ces maisons ont modifié la représentation que l’on pouvait se faire de ce type de construction. Dans le même registre, la maison 6x6 est un manifeste de la construction démontable et préfabriquée. Il paraît intéressant dans cette dernière partie de déterminer sous quelle forme ces trois architectes transgressent l’utilisation des procédés constructifs, et si cet effort tend vers une recherche d’un néo-vernaculaire. Il apparaît chez chacun des architectes une approche radicale, un questionnement portant sur la racine même des procédés qu’ils mettent en place. La radicalité est un adjectif qui signifie ; relatif à la racine, à l’essence de quelque chose. Cette 26 définition est intéressante à mettre en parallèle avec des constructions à faibles moyens. En effet, moins on a de moyens plus on s’approche de ce qui est essentiel, ainsi, peut-être s’approche-t-on d’une certaine forme de radicalité. De plus, Franck Lloyd Wright et Louis I. Kahn sont connus pour leur approche essentialiste des choses. Un questionnement sur la manifestation la vérité, des questions existentielles sur l’architecture, la nature des choses, et ce que veulent être les matériaux. Ces trois architectes, constructeurs de génie, établissent trois nouveaux modèles des procédés constructifs qu’ils emploient à travers les outils de leur époque. La transgression de ces trois procédés constructifs adaptés à l’autoconstruction pourrait amener à parler d’une recherche d’un néo-vernaculaire. Pour cela, il convient de préciser ce qu’est le vernaculaire dans l’architecture. Jacques Lucan, architecte, historien, critique et enseignant, introduit la question du vernaculaire en évoquant notamment des écrits de Bernard Rudofsky, Martin Heidegger et Le Corbusier. Le vernaculaire peut être relatif à des architectures 27 construites sans architectes et correspondre à des « types » ancestraux inscrits dans un territoire. Il parait intéressant de déterminer si ces trois constructions sont vernaculaires ou non, afin de mesurer l’impact de la transgression de ces procédés constructifs.

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CNRL. Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales. [en ligne]. 2023, [Consulté le 28.01.2023].
LUCAN, Jacques. Habiter. Lausanne, EPFL, 2021. ISBN : 9782889154067, pp 15-32

a) La maison 6x6, un manifeste de la construction démontable

La très grande rationalité de la composition prend sa source dans l’essence même de sa mise en production. En effet, ce que demande la production en série à l’usine, c’est de produire très rapidement des éléments identiques. Jean Prouvé utilise l’esprit de cette mise en production en développant des maisons fabriquées à la chaîne. Ce procédé accessible à n’importe qui, permet de monter une maison en une journée. C’est un paradigme de l’abri qu’un homme se construit avant la tombée de la nuit. Ce travail de préfabrication à l’usine inscrit ce projet comme un nouveau modèle de l’abri d’urgence. Il tire parti au maximum des outils de son époque, la machine est ici un accélérateur de temps et un moyen de mise en série pour répondre au plus grand nombre. On peut qualifier de radicale son approche dans la mesure où le minimum de temps de construction régit toute la conception de la maison, et ce minimum est la conséquence de l’urgence et du besoin instinctif de s’abriter pour se protéger des intempéries. Il ne laisse rien au hasard, tout est prévu et maîtriser pour un montage répété et rapide. Cette volonté détermine ces choix et ne fait jamais exception, caractérisant son attitude d’une certaine radicalité dans l’utilisation des moyens de ce procédé constructif. La scénographie du montage est une illustration contemporaine de ce que peut signifier s’abriter dans l’urgence. Cette construction se monte comme un meuble, à partir d’éléments qui s’assemblent parfaitement. C’est un objet parfaitement artificiel, un pur produit de l’homme et du calcul. Ce projet est un manifeste dans la mesure où il transforme l’image de l’abri. Il est très clair et didactique à ce sujet, rien n’est ajouté, il n’offre qu’un confort rudimentaire pour un moment temporaire. Ce projet n’est pas situé, il est fait pour l’homme moderne nomade avec son camion, ou pour celui qui n’a plus d’abri pour la nuit. Cette petite cabane raconte à elle seule une époque et ses nouveaux outils. Elle est un objet de la perfection, pré-dessiné et pré-fabriqué hors site. On peut aujourd’hui acheter cette maison sur Internet, traverser le monde avec, et se poser pour un temps avant de repartir ailleurs. Ce mobile-home est un nouveau modèle de la cabane produit par la machine qui correspond à une société transformée par de nouveaux moyens de mobilités. Cette cabane correspond pourtant bien à un archétype et ne demande pas de qualifications pour la monter. Il est pour autant difficile de là qualifier de vernaculaire dans la mesure où elle n’est pas associée à un territoire. De plus, l’extrême facilité du montage n’est permise que par les dessins très précis et un travail de recherche à l’usine. Cette perfection est le fruit de professionnels, elle n’est pas accessible aux constructeurs de cabanes vernaculaires associées à un territoire. Ainsi, la maison 6x6 est bien un manifeste de l’abri d’urgence, un nouveau modèle universel, mais ne correspond pas en tout point à une recherche d’un néo-vernaculaire.

99 VII.
Photographie avant montage © Galerie Patrick Seguin, 2014

Trois

photographies du montage

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© Galerie Patrick Seguin, 2014

b) La Kalil House, un paradigme moderne de la construction à empilement

On remarque chez Franck Lloyd Wright une volonté d’établir un paradigme moderne de la construction à empilement par bloc. De nouveau, ce procédé parle d’un acte instinctif et archaïque d’un homme qui empile des pierres pour se ménager un lieu. L’architecte utilise ce procès sans concessions dans l’entièreté de la maison. En se questionnant sur la nature de ce procédé, il trouve une manière de le répéter à l’horizontale. Il cherche l’unité de son architecture organique à partir du module et de la manière dont on l’assemble. Ces blocs remplissent des fonctions de structure et de second-œuvre dans l’entièreté de la maison. Cette approche radicale, sans concessions et obstinée, différencie cette construction des autres maisons construites en blocs maçonnés. Il tire parti au maximum des possibilités du procédé et l’adapte à ses théories de l’architecture organique. Il trouve une manière d’obtenir une toiture plate en débord afin d’obtenir une ombre qui met en relation la construction avec le sol. Il fait rentrer le paysage à l’intérieur par la transparence des blocs vitrés. Dans les angles, les blocs n’ont pas d’arête, il veut briser la boîte et dilater le vide intérieur vers l’extérieur. La parfaite harmonie entre le tout et les parties correspond également à ses théories de l’architecture organique, une construction doit croître dans une logique d’unité, constituée de plusieurs éléments. C’est dans cet esprit qu’il intègre les meubles pour ne pas perturber l’unité. Le dépôt de brevet pour ces nouveaux blocs de ciment avait pour objectif de généraliser cette nouvelle manière de construire avec des parpaings de ciment. La série des « Usonian automatic House » transforme le modèle de la construction parpaing qui était jusqu’alors banalisé dans un archétype de la maison à toiture à deux pans et à petites ouvertures. Franck Lloyd Wright montre la poétique de l’expression de l’empilement de ces pierres modernes, produite à la chaîne. Cette maison est vernaculaire dans la mesure où les blocs sont produits localement par le maître d’ouvrage lui-même, elle est donc bien relative à un territoire donné. De plus, sa mise en œuvre est relativement accessible à des non professionnels, bien que la proportion des blocs est à préciser. Ainsi, par ce nouveau modèle de la maison à empilement, la Kalil House s’inscrit dans une recherche d’un néo-vernaculaire. Elle offre une multitude de possibilités d’assemblages et demande peu de savoir-faire manuels. Une maison organique de Franck Lloyd Wright est maintenant accessible au plus grand nombre.

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Photographie maison en parpaing © Inconnu
VII.
Photographie extérieure Kalil House © Sean Dungan
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Photographie intérieure © Sean Dungan

nouveaux potentiels de ce procédé constructif. La Fisher House est bien inscrite dans un territoire donné et utilise ses savoir-faire. Le Balloon Frame fait partie des procédés constructifs adaptés à l’auto-construction. Il convient donc de dire qu’elle est vernaculaire, ce nouveau modèle de la maison balloon est inscrit dans une recherche d’un néo-vernaculaire. Il est maintenant possible de construire soi-même une maison à caractéristique moderne avec la technique du Balloon Frame. Le caractère proliférant de cette technique et de l’appropriation qu’en fait Louis I. Kahn laisse la possibilité d’inventer de nouveaux modèles à partir de ce type de construction.

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VII.
Photographie échantillon angle © Auteur
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Photographie Fisher House et la maison voisine, structure Balloon Frame © Jean Marc Weill

Conclusion

Pour conclure, il convient de répondre à la question initialement posée ; sous quelle forme les trois constructions s’inscrivent dans une logique d’économie de moyens de mise en œuvre, et comment les architectes exploitent au maximum les procédés constructifs ?

Le premier élément de réponse développe le conditionnement des procédés par les limites de l’ouvrier. Des limites dimensionnelles et de portances qui déterminent la proportion et le poids des éléments constructifs. Les architectes mettent en place des dispositifs de montage clairs et intuitifs qui simplifient le chantier. La maison 6x6 va au bout de cette démarche et propose un montage mécano à la portée de tous.

La forte contrainte des moyens de mise en fabrication explique la méthode de composition qu’utilisent les architectes. Il s’agit d’une composition par cadre ou par répétition d’un module standard proportionnel à l’ouvrier. Les trois projets montrent des manières différentes de composer avec des cadres avec une structure en acier, en bois et en béton. Ce type de composition rationalise la mise en œuvre et correspond à une logique de mise en production de ces éléments. En effet, pour produire ces éléments standards rapidement, et pour réduire le temps de chantier, les architectes ont recours à différents degrés de préfabrication.

Cette idée de produire vite et hors du chantier correspond à ce type de composition par éléments répétés. Elle nécessite un travail précis dans le dessin et rejette tout aléa sur le chantier. Elle est aussi un moyen de mise en série à plus grande échelle, de la construction entière pour la maison 6x6, aux blocs de béton pour la Kalil House. La structure balloon de la Fisher House se rapporte à une logique de préfabrication plus ouverte. Sa composition par cadre de dimensions et de natures différentes est proliférante. Elle offre une plus grande liberté que les deux autres systèmes qui sont saturés par le standard.

Les échantillons construits et le redessin ont donné la mesure de ces réflexions. Ils ont permis de se projeter à la fois dans les chantiers, et sur la feuille de dessin des architectes.

À l’aide d’écrits théoriques, la recherche à portée sur la manière dont les architectes ont exploité au maximum les procédés constructifs. Leur exploitation a généré une fusion d’éléments d’ordinaire séparés. L’organisation quadripartite des éléments de l’architecture de Gottfried Semper, associée à des procédés de mise en œuvre distincts, ne fonctionne dans aucun des trois projets. Les architectes réussissent à couvrir plusieurs fonctions avec un seul procédé. Ils remettent en cause par le projet les théories sempériennes. Il devient difficile de définir ces quatre éléments dans la mesure où ils sont exprimés par des procédés polyvalents. Cette approche correspond à une logique d’économie de moyens de mise en œuvre dans le sens où elle simplifie le chantier. Toujours dans cette idée de la polyvalence, le projet de Louis I. Kahn et celui de Franck Lloyd Wright atteignent une fusion entre le gros-œuvre et le second-œuvre. De plus, le complexe des enveloppes des trois projets couvre à la fois des fonctions de revêtement et de structure. La notion de la polyvalence génère des dispositifs synthétiques et efficaces en termes de moyens employés.

Ces procédés polyvalents produisent une certaine unité matérielle qui correspond à la clarté des dispositifs mis en place. Les architectes réfutent ce qui n’est pas essentiel et laisse la matière à l’état brut. Cette approche brutaliste dans l’expression de la matière correspond aussi à une logique d’économie de moyens, avec chaque élément qui s’exprime dans sa véracité première.

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La dernière partie montre en quoi les trois objets d’études sont des paradigmes de leur procédé constructif. Les architectes les exploitent de manière radicale et transgressive. La maison 6x6 est un manifeste de l’abri construit avant la nuit, on le monte et le démonte facilement sans efforts. Elle illustre de manière didactique l’intérêt de la préfabrication industrielle proportionnée à l’homme. Ce mobilehome est un modèle d’habitat temporaire, une construction rapide d’un abri rudimentaire. La Kalil House tente d’établir un paradigme moderne de la construction par empilement. C’est la mise en scène de l’expressivité de ce procédé dans les deux plans. Franck Lloyd Wright applique ses théories de l’architecture organique et transgresse le modèle de construction parpaing de l’époque. Il montre que ce dispositif à la portée de tous peut offrir de nouvelles qualités spatiales. Louis I. Kahn exploite au maximum les qualités proliférantes du Balloon Frame et contourne le modèle type. Il met en place un monolithe de bois à forme canonique moderne avec une double hauteur. Il montre une nouvelle manière de concevoir ces maisons bon marché qui peuvent alors avoir de nouvelles qualités spatiales. Les deux maisons américaines tendent vers un néo-vernaculaire dans la mesure où les architectes utilisent des procédés constructifs locaux à la portée de tous, et contournent les modèles associés. Le projet de Jean Prouvé pose question à ce sujet car il n’est pas situé. Cependant, l’archétype de la cabane correspond à des constructions vernaculaires par exemple dans les écrits de Heidegger. La préfabrication totale et la mise en série de l’objet transgressent les manières de construire ces cabanes montées par n’importe qui.

Ce travail de recherche, de la construction à la pensée, a permis de mettre en avant des principes de composition et de production efficaces lorsqu’on parle d'économie de moyens de mise en œuvre. La recherche de la polyvalence des procédés constructifs et l’approche brutaliste dans l’exploitation de la matière a enrichit et ouvert le propos. Ces principes de réduction des moyens et de fusion des éléments, produisent des ensembles synthétiques et unitaires qui révèlent la clarté des procédés. Projeter dans le dessin ces mises en œuvre contraintes peut être une démarche intéressante pour arriver à transgresser des procédés constructifs vernaculaires. Les approches et les principes développés dans ce mémoire donnent des outils conceptuels pour correspondre à une logique de réduction des moyens, et pour exprimer la poésie de ces procédés intuitifs et accessibles.

Finalement, ce mémoire tente d’introduire une méthodologie conceptuelle et analytique objective. Elle peut être transposée pour des projets de toutes les époques, et de plusieurs échelles différentes.

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Coda

Expérimentation, combinaison des systèmes

:

Il s’agit ici d’essayer de comprendre dans quelle mesure ces trois dispositifs sont compatibles. La composition par cadre rend possible de pianoter par le dessin des façades entre les trois projets. Ces dernières expérimentations par le dessin tentent d’ouvrir l’intérêt de ce mémoire pour le projet.

Expérimentation 1 :

C’est une reprise de la façade de la maison 6x6 par panneaux préfabriqués. Les panneaux sont composés des modules de la Kalil House auxquels s’ajoutent des cadres de différentes natures comme pour la Fisher House. Le mélange des trois dispositifs permet de montrer qu’il est tout à fait possible de puiser les qualités de chacun des projets en un seul. Il s’agit d’un essai abstrait sans aucune prétention à être un projet de qualité. Cette expérimentation montre cependant qu’il est possible de sortir de la signification très convenue de la cabane 6x6 avec une vraie relation à l’extérieur. Elle montre également qu’on peut sortir de la lecture des 6 panneaux en les subdivisant par plusieurs modules pleins ou vitrés.

Expérimentation 2 :

C’est aussi une reprise de la façade de la maison 6x6 par panneaux préfabriqués. Les panneaux sont également composés des modules de la Kalil House qui par leur opacité ou transparence, détermine depuis l’extérieur l’emplacement du mobilier. La troisième illustration montre ces panneaux qui pourraient intégrer le mobilier et ainsi fusionner les éléments entre eux. Ils sont imaginés en bois pour des questions de portance. Cette idée de panneaux préfabriqués qui intègrent le mobilier fait penser par exemple au projet Tétrodon de Jacques Berce et Henri Ciriani exposé en 1971 dans la cour du Louvre. Mais aussi aux meubles porteurs de la série de Furniture House de Shigueru Ban (1995-2002).

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Panneaux enveloppe/meuble préfabriqués

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Dessins de l’auteur d’après les dessins de Frank Lloyd Wright Élévation 2 Dessins de l’auteur d’après les dessins de Frank Lloyd Wright Élévation 1 Dessins de l’auteur d’après les dessins de Frank Lloyd Wright et Louis I. Kahn

Retour sur une construction personnelle réalisée deux années auparavant :

C’est avec beaucoup de plaisir que je découvre les liens entre mon mémoire et cette bibliothèque, construite de mes mains en une semaine. Sans formation technique et contraint par le temps, j’ai inconsciemment établi un procédé constructif de la répétition d’un module dans les deux plans. Cette répétition a facilité les mesures, la découpe et les assemblages. On remarque sur la photographie ci-dessus le patron en carton que j’ai utilisé. À partir de ce module adapté aux livres, j’ai préfabriqué des modules plus grands à la limite de ce que je pouvais porter, on en voit un mis en place sur la même photographie. Le plafond à caissons a été entièrement préfabriqué et a nécessité l’aide de deux autres personnes pour le placer en hauteur. L’idée de répéter le module dans les deux plans permet de redessiner l’espace entre la double hauteur et le linteau en bois du passage vers les chambres. Cela reprend également le plan en U du socle et encadre la fenêtre qui donne à l’Ouest. Il permet aussi de cacher le nez de l’ancienne cloison que j’ai choisi de démolir pour faire un lieu accueillant dans cet étage constitué seulement de pièces d’eau et de nuit. Je n’avais jamais fait le lien entre cette expérience et mon mémoire, je peux aujourd’hui mieux en parler et comprendre ces choix intuitifs. Il s’agit bien d’un procédé constructif adapté à l’homme et qui est la répétition d’un module préfabriqué. Le bois est bien laissé à l’état brut pour gagner du temps. Il y a aussi une certaine polyvalence du procédé avec la répétition du module dans les deux plans. Cette bibliothèque correspond à toutes les parties développées dans ce mémoire.

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Photographie bibliothèque en cours de construction © Auteur
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Photographie bibliothèque depuis l’assise © Auteur Photographie bibliothèque © Auteur

Bibliographie

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LLOYD WRIGHT, Franck. Testament. Marseille, Éditions Parenthèses, Septembre 2005. Traduit de l’anglais et présenté par Claude Massu, ISBN : 286364629, 219 pages.

LUCAN, Jacques. Habiter. Lausanne, EPFL, 2021. ISBN : 9782889154067, 397 pages.

MAÎTRE, Elodie. « JEAN PROUVE - MAISON DEMONTABLE 6x6, 1944 » [en ligne]. 2017, [Consulté le 22.10.2022]. Disponible à l’adresse : https://www.youtube.com/watch?v=bu3gDrr2OwQ&t=41s

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MORSE-FORTIER, Leonard J. « FROM FRANK LLOYD WRIGHT'S USONIAN AUTOMATIC BUILDING SYSTEM: LESSONS AND LIMITATIONS IN A LOST PARADIGM » Journal of Architectural and Planning Research [en ligne]. 1994, Vol. 11, No. 4, pp. 274-293. [Consulté le 11.11.2022]. ISSN 07380895. Disponible à l’adresse : https://www.jstor.org/stable/43029134

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RYKWERT, Joseph. « Semper et la conception du style » Le journal de Pontormo. 1979, Macula 5/6, pp. 176-189. Traduit de l'anglais par Priscille Michaud.

SEMPER, Gottfried. Du style et de l’architecture, Écrits, 1834-1869. Marseille, Éditions Parenthèses, 2007. Traduit de l’allemand en français par Jacques Souillon avec la collaboration de Nathalie Neumann. ISBN : 9782863646458, 368 pages. De l’ouvrage original en deux volumes, Der Stil, Gradhiva, 1860-63.

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NOM, Prénom ou ORGANISME. Titre du Site [en ligne]. Date de publication. Date de mise à jour ou de révision. [Consulté le JJ.MM.AAAA]. Disponible à l’adresse : <URL>

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Annexes

Dessins de Jean Prouvé, maison 6x6 Plan de présentation n°9691, mai 1945, Galerie Patrick Seguin, 2014 © Jean Prouvé

Ateliers Jean Prouvé « Pavillon démontable 6x6 » Plan de présentation n 9691, mai 1945

Ateliers Jean Prouvé “Demountable house 6x6” Presentation drawing, no. 9691, May 1945

Notice de montage, maison 6x9 Brevet n°849.762, Janv 1940, Galerie Patrick Seguin, 2014 © Jean Prouvé

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6x9 demountable house - 1944
Notice de montage [étape no 10] », janvier 1940
Ateliers Jean Prouvé « Pavillon démontable. Brevet no 849.762. Ateliers Jean Prouvé “Demountable pavilion. Patent no. 849.762. Assembly instructions [step 10]”, January 1940
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Plan général d’électricité Kalil House 1955, Site du Currier Museum of Art © Franck Lloyd Wright Détails, Kalil House 1955, Site du Currier Museum of Art © Franck Lloyd Wright

Coupes, Kalil House 1955, Site du Currier Museum of Art © Franck Lloyd Wright

Élévations, Kalil House 1955, Site du Currier Museum of Art © Franck Lloyd Wright

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Plan RDC Fisher House, dessiné par Louis I. Kahn

Document scannés par Jean Marc Weill en 1999 aux archives de l’university of Penn © Louis I. Kahn

Plan R1 Fisher House, dessiné par Louis I. Kahn

Document scannés par Jean Marc Weill en 1999 aux archives de l’university of Penn © Louis I. Kahn

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Coupes détail

Document scannés par Jean Marc Weill en 1999 aux archives de l’university of Penn © Louis I. Kahn

Plan R1 Fisher House, dessiné par Louis I. Kahn

Document scannés par Jean Marc Weill en 1999 aux archives de l’university of Penn © Louis I. Kahn

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